La gamme iPhone 16 a apporté un tout nouveau bouton : Commande de l’appareil photo. Situé sur la tranche droite, celui-ci permet d’invoquer une app de prise de vue et fait office de déclencheur. Son emplacement peut cependant mener à des activations accidentelles frustrantes si vous vous en servez peu. Heureusement, il est assez simple de le désactiver.

Commencez par vous rendre dans les Réglages de votre iPhone, rubrique Appareil photo. Tout en haut se trouve une section Commande de l’appareil photo permettant d’affiner son fonctionnement. Avant de le désactiver complètement, vous pouvez faire en sorte de l’activer uniquement lors d’un double clic : cela devrait limiter les ouvertures accidentelles. On peut sinon exiger que l’écran soit allumé pour ouvrir l’appareil photo, évitant encore plus les ouvertures au fond d’une poche.

Cette section permet également d’activer certains réglages, comme les différentes commandes apparaissant en appuyant légèrement sur le bouton et en faisant glisser son doigt à gauche ou à droite. Ces options sont désactivées de base depuis le passage à iOS 26. Notons que l’on peut aussi utiliser la touche pour verrouiller la mise au point et l’exposition.

Si vraiment vous voulez complètement débrancher ce bouton, il faut appuyer tout en haut sur « Lancer l’appareil photo », qui permet de choisir l’app à ouvrir. iOS propose une liste, avec tout en bas « aucune » rendant le bouton totalement inactif. Il n’est malheureusement pas possible d’en faire un second bouton Action, même si certaines apps arrivent à filouter. Avant de le couper, passez une tête dans la section Accessibilité > Commande de l’appareil photo permettant de faire quelques ajustements comme la force de la pression ou la vitesse du double appui.

CBNote utilise la Commande de l’appareil photo des iPhone récents pour prendre des notes

De base, iOS ouvre également l’appareil photo en faisant glisser l’écran verrouillé : un raccourci pratique mais qui pourra en énerver certains. Il est possible de le désactiver depuis iOS 26.1 en se rendant dans Réglages > Appareil photo > Balayer l’écran verrouillé pour ouvrir Appareil photo. L’astuce fonctionne aussi sur iPadOS.

Joies et peines, réussites et défis, espoirs : retour sur 2025 en France et dans le monde.
Garanti sans réalité immersive. pic.twitter.com/5PwwxtkR8P

— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) December 30, 2025

Voici une image qui devrait donner le sourire à Tim Cook : une photo d’Emmanuel Macron avec un Vision Pro ! Le Président vient de publier sur X une vidéo dans laquelle on le voit porter le casque d’Apple pour regarder sa rétrospective 2025. L’introduction le montre lancer le film du doigt, demandant au passage à son épouse « Tu vois le film aussi, Brigitte, toi ? ».

La vidéo présente différents temps forts de 2025 : l’entrée de Robert Badinter au Panthéon, la conférence de Nice sur l’océan, la visite d’état en Chine… La légende se veut second degré, indiquant que le tout est « Garanti sans réalité immersive ». Les connaisseurs noteront qu’il s’agit probablement d’un Vision Pro de première génération, le Président portant un simple bandeau Dual Loop.

Emmanuel Macron commence à avoir l’habitude du Vision Pro. L’Élysée a cet été diffusé le film Un 14 juillet avec le Président de la République à l’occasion des journées du patrimoine. Ce court-métrage d’environ 7 minutes intégralement en VR propose différents plans inédits dans le bureau du Président ou encore à l’arrière de sa voiture pendant la descente des Champs-Élysées.

Un 14 juillet avec le Président de la République : quand le Vision Pro s’invite aux Journées européennes du patrimoine

Maintenant qu'iOS 26 est sorti officiellement depuis plusieurs mois, les rumeurs se tournent désormais vers iOS 27 ! S’il est assez difficile de savoir en détail ce que nous réserve Apple, quelques éléments ont commencé à fuiter. On fait le point sur ce qui nous attend.

La chasse aux bugs

Selon Mark Gurman, Apple aurait prévu une année Snow Leopard pour son système d’exploitation. Autrement dit, l’idée serait de mettre l’accent sur la correction de bugs et sur la stabilité, quitte à lever un peu le pied sur les fonctions. Une bonne idée tant la mise en place de l’interface Liquid Glass a amené son lot de couacs visuels.

iOS 27, macOS 27 : une année sous le signe de Snow Leopard

La fin du Mac Intel, un « 27 » type Snow Leopard et un départ un peu (trop) anticipé : la semaine Apple

Du neuf pour l’iPhone pliant

iOS 27 devrait être lancé en parallèle du premier iPhone à écran pliant de la Pomme. Le système va donc devoir s’adapter, et on ne serait pas surpris que de nombreuses nouveautés lui soient réservées. C’est tout du moins la théorie de Mark Gurman, qui fait sens tant ce format permet d’innover. On peut imaginer qu’iOS va récupérer certains aspects d’iPadOS, un si grand écran permettant d’effectuer différentes actions en multitâche.

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iPadOS sur iPhone 17 Pro Max : un hack qui pose les bonnes questions

Un nouveau service de santé

Mark Gurman s’attend à ce qu’Apple lance un nouveau service en 2026 : Health+. Le but serait de lancer un abonnement surtout axé sur la santé avec des conseils et des idées d’exercices basées sur une IA. Les sujets iraient de la nutrition aux suggestions médicales. L’application Santé aurait également droit à un nouveau look, tandis que les entraîneurs Fitness+ ont récemment fait miroiter du neuf pour l’année prochaine…

Health+ : le service de santé d'Apple attendu pour 2026

Les entraîneurs de Fitness+ promettent du lourd pour 2026

Un redesign pour Siri

Avec tous ces retards, on en finirait presque par oublier le nouveau Siri se basant sur un grand modèle de langage. Initialement annoncé en 2024, les rumeurs le voient finalement arriver avec iOS 26.4 l’année prochaine, mais Apple ne s’arrêterait pas en si bon chemin. Selon Mark Gurman, l’assistant pourrait avoir droit à un nouveau redesign. Le fuiteur de Bloomberg avait évoqué l’idée qu’Apple ne donne un visage à Siri, ce qui pourrait amener un grand changement. Il ne serait pas étonnant que les nouveautés arrivent en deux temps, avec une partie réservée à iOS 27.

Siri pourrait bientôt gagner un visage

Des petits ajouts ici et là

MacWorld a mis la main sur une build interne d’iOS 26 donnant quelques détails sur les futures révisions. On y a appris que Cupertino envisageait différents ajouts, comme la possibilité de créer des dossiers qui seraient synchronisés par iCloud pour son app de tableau blanc Freeform.

Une build interne d’iOS 26 dévoile les plans d’Apple jusqu’à iOS 27

L’application Photos pourrait s’enrichir de nouvelles « Collections améliorées », sans plus de détails. Mark Gurman voit également arriver une grosse refonte de l’app Calendrier. Les AirPods 3 pourraient aussi être plus facilement repérables grâce à l’app Localiser.

Apple confirme travailler sur une refonte de l’app Calendrier

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La chasse aux bugs

Selon Mark Gurman, Apple aurait prévu une année Snow Leopard pour son système d’exploitation. Autrement dit, l’idée serait de mettre l’accent sur la correction de bugs et sur la stabilité, quitte à lever un peu le pied sur les fonctions. Une bonne idée tant la mise en place de l’interface Liquid Glass a amené son lot de couacs visuels.

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Du neuf pour l’iPhone pliant

iOS 27 devrait être lancé en parallèle du premier iPhone à écran pliant de la Pomme. Le système va donc devoir s’adapter, et on ne serait pas surpris que de nombreuses nouveautés lui soient réservées. C’est tout du moins la théorie de Mark Gurman, qui fait sens tant ce format permet d’innover. On peut imaginer qu’iOS va récupérer certains aspects d’iPadOS, un si grand écran permettant d’effectuer différentes actions en multitâche.

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Un nouveau service de santé

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Un redesign pour Siri

Avec tous ces retards, on en finirait presque par oublier le nouveau Siri se basant sur un grand modèle de langage. Initialement annoncé en 2024, les rumeurs le voient finalement arriver avec iOS 26.4 l’année prochaine, mais Apple ne s’arrêterait pas en si bon chemin. Selon Mark Gurman, l’assistant pourrait avoir droit à un nouveau redesign. Le fuiteur de Bloomberg avait évoqué l’idée qu’Apple ne donne un visage à Siri, ce qui pourrait amener un grand changement. Il ne serait pas étonnant que les nouveautés arrivent en deux temps, avec une partie réservée à iOS 27.

Siri pourrait bientôt gagner un visage

Des petits ajouts ici et là

MacWorld a mis la main sur une build interne d’iOS 26 donnant quelques détails sur les futures révisions. On y a appris que Cupertino envisageait différents ajouts, comme la possibilité de créer des dossiers qui seraient synchronisés par iCloud pour son app de tableau blanc Freeform.

Une build interne d’iOS 26 dévoile les plans d’Apple jusqu’à iOS 27

L’application Photos pourrait s’enrichir de nouvelles « Collections améliorées », sans plus de détails. Mark Gurman voit également arriver une grosse refonte de l’app Calendrier. Les AirPods 3 pourraient aussi être plus facilement repérables grâce à l’app Localiser.

Apple confirme travailler sur une refonte de l’app Calendrier

Mise à jour le 31/12 à 9 h : Sans surprise, Apple a bien atteint le cap des 3 millions de dollars qu’elle s’était fixé. RED a félicitée la Pomme pour ce don dans un message sur Threads. « Merci à Apple et aux clients Apple d'avoir atteint cet incroyable objectif et d'avoir contribué à fournir des soins de santé vitaux aux communautés vulnérables », a déclaré l'association.

Article original : Les fêtes de fin d’année sont là, et avec elles, le retour de la traditionnelle opération d’Apple visant à lever des fonds pour l'association (RED). Sur son site, la Pomme indique qu’elle versera 5 dollars pour chaque achat réglé avec Apple Pay dans un Apple Store, sur son site web ou via l’app Apple Store. L’action se fait dans la limite de 3 millions de dollars, qui seront probablement atteints rapidement.

L’annonce a lieu à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le SIDA, organisée chaque 1er décembre dans le monde entier. Apple indique que les dons iront au Fonds mondial de lutte contre le sida et contribueront « au financement de pro­grammes de santé essentiels qui sauvent des vies ». Cela fait depuis 2006, soit 19 ans, qu’Apple a un partenariat avec l'association (RED).

Par le passé, ce partenariat s’est traduit par le lancement de certains appareils en coloris (RED). Tout a commencé en 2006 avec la sortie d’une version spéciale de l’iPod nano de seconde génération. L’iPhone 7 y a eu droit quelques années après. Cependant, les choses ont ralenti ces dernières années. Il n’y a pas eu d’iPhone 15 ni d’Apple Watch Series 10 rouge.

Les derniers représentants du genre, à savoir les iPhone SE 3, 14 et 14 Plus, ont été retirés de la vente en février. Si Apple ne propose plus d’appareils Product(RED), elle a cependant lancé des cadrans pour Apple Watch. Ils sont recensés sur la page de l’opération.

Certaines rumeurs voient venir un iPhone 18 Pro en coloris bordeaux. Rien n’est sûr pour le moment et il devrait s’agir d’un coloris moins flashy que les anciens Product(RED), mais on peut espérer qu’Apple ressortira ce partenariat un jour ou l’autre.

Mise à jour le 31/12 à 9 h : Sans surprise, Apple a bien atteint le cap des 3 millions de dollars qu’elle s’était fixé. RED a félicitée la Pomme pour ce don dans un message sur Threads. « Merci à Apple et aux clients Apple d'avoir atteint cet incroyable objectif et d'avoir contribué à fournir des soins de santé vitaux aux communautés vulnérables », a déclaré l'association.

Article original : Les fêtes de fin d’année sont là, et avec elles, le retour de la traditionnelle opération d’Apple visant à lever des fonds pour l'association (RED). Sur son site, la Pomme indique qu’elle versera 5 dollars pour chaque achat réglé avec Apple Pay dans un Apple Store, sur son site web ou via l’app Apple Store. L’action se fait dans la limite de 3 millions de dollars, qui seront probablement atteints rapidement.

L’annonce a lieu à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le SIDA, organisée chaque 1er décembre dans le monde entier. Apple indique que les dons iront au Fonds mondial de lutte contre le sida et contribueront « au financement de pro­grammes de santé essentiels qui sauvent des vies ». Cela fait depuis 2006, soit 19 ans, qu’Apple a un partenariat avec l'association (RED).

Par le passé, ce partenariat s’est traduit par le lancement de certains appareils en coloris (RED). Tout a commencé en 2006 avec la sortie d’une version spéciale de l’iPod nano de seconde génération. L’iPhone 7 y a eu droit quelques années après. Cependant, les choses ont ralenti ces dernières années. Il n’y a pas eu d’iPhone 15 ni d’Apple Watch Series 10 rouge.

Les derniers représentants du genre, à savoir les iPhone SE 3, 14 et 14 Plus, ont été retirés de la vente en février. Si Apple ne propose plus d’appareils Product(RED), elle a cependant lancé des cadrans pour Apple Watch. Ils sont recensés sur la page de l’opération.

Certaines rumeurs voient venir un iPhone 18 Pro en coloris bordeaux. Rien n’est sûr pour le moment et il devrait s’agir d’un coloris moins flashy que les anciens Product(RED), mais on peut espérer qu’Apple ressortira ce partenariat un jour ou l’autre.

Le projet d’euro numérique avance bon train. Le Conseil de l’Union Européenne a récemment validé différentes propositions visant à faire naître cette alternative aux pièces et aux billets. L’idée est de réduire la dépendance vis-à-vis de Visa, Mastercard ou encore des solutions de paiement dominantes comme Apple Pay grâce à une monnaie numérique émise par la Banque centrale européenne (BCE).

Le projet vise à répondre à des questions de souveraineté, les deux tiers des transactions par carte dans la zone euro étant traitées par des prestataires non européens. Selon la BCE, treize des vingt pays de la zone euro ne disposent pas de système de cartes bancaires national. Une telle dépendance à des systèmes étrangers est un problème : la BCE a bien remarqué que Visa et Mastercard ont suspendu leurs activités en Russie en mars 2022 après l'invasion de l'Ukraine.

À quoi cela va ressembler ?

Dans l’idée, un compte euro numérique devrait apparaître dans l’app de votre banque sous forme d’un compte distinct. Il sera sinon possible de passer par une app dédiée ou par une carte spéciale, qui est à l’étude. Le compte sera limité afin d’éviter qu’il ne devienne un produit d’épargne, la Banque Centrale Européenne envisageant pour le moment un plafond autour des 3 000 €. Il sera possible d’ouvrir un compte euro numérique même sans avoir de banque en se rendant dans un bureau de poste. Tout serait gratuit pour l’utilisateur, une législation empêchant les banques de le facturer.

Une version hors-ligne sera disponible avec un porte-monnaie prérempli sur un composant sécurisé du téléphone. Il pourra servir en cas d’urgence (par exemple après une coupure de courant ou lors d’une panne), mais sa conception fait que perdre son smartphone revient à perdre son argent. Cet aspect hors ligne est intéressant au vu des diverses pannes de systèmes de paiement et des menaces de cyberattaques. De plus, les prestataires sont invités à aller plus vite que jusqu’à présent avec une latence de bout en bout plus faible.

La Banque centrale européenne veut un accès plus équitable à la NFC des iPhone

L’Euro numérique se doit donc d’être 100 % européen, géré par des entreprises européennes qui seront exclues si elles quittent le Vieux Continent. Ses créateurs veulent mettre en avant la confidentialité pour éviter les théories du complot sur une éventuelle surveillance. L’ambition affirmée n’est pas de remplacer l’argent liquide, et la proposition du Conseil vise à interdire le refus des paiements en espèce.

Un lancement d’ici quelques années

Les établissements bancaires ne voient pas forcément d’un bon œil ce projet, que certains prennent comme un concurrent direct risquant de leur piquer les fonds de leurs clients. Il faudra encore quelques années avant de pouvoir essayer cette nouveauté. Le projet doit être examiné par le Parlement européen mi-2026 et ne devrait commencer à être testé qu’en 2027. Le lancement est attendu en 2029 au plus tôt.

Le projet d’euro numérique avance bon train. Le Conseil de l’Union Européenne a récemment validé différentes propositions visant à faire naître cette alternative aux pièces et aux billets. L’idée est de réduire la dépendance vis-à-vis de Visa, Mastercard ou encore des solutions de paiement dominantes comme Apple Pay grâce à une monnaie numérique émise par la Banque centrale européenne (BCE).

Le projet vise à répondre à des questions de souveraineté, les deux tiers des transactions par carte dans la zone euro étant traitées par des prestataires non européens. Selon la BCE, treize des vingt pays de la zone euro ne disposent pas de système de cartes bancaires national. Une telle dépendance à des systèmes étrangers est un problème : la BCE a bien remarqué que Visa et Mastercard ont suspendu leurs activités en Russie en mars 2022 après l'invasion de l'Ukraine.

À quoi cela va ressembler ?

Dans l’idée, un compte euro numérique devrait apparaître dans l’app de votre banque sous forme d’un compte distinct. Il sera sinon possible de passer par une app dédiée ou par une carte spéciale, qui est à l’étude. Le compte sera limité afin d’éviter qu’il ne devienne un produit d’épargne, la Banque Centrale Européenne envisageant pour le moment un plafond autour des 3 000 €. Il sera possible d’ouvrir un compte euro numérique même sans avoir de banque en se rendant dans un bureau de poste. Tout serait gratuit pour l’utilisateur, une législation empêchant les banques de le facturer.

Une version hors-ligne sera disponible avec un porte-monnaie prérempli sur un composant sécurisé du téléphone. Il pourra servir en cas d’urgence (par exemple après une coupure de courant ou lors d’une panne), mais sa conception fait que perdre son smartphone revient à perdre son argent. Cet aspect hors ligne est intéressant au vu des diverses pannes de systèmes de paiement et des menaces de cyberattaques. De plus, les prestataires sont invités à aller plus vite que jusqu’à présent avec une latence de bout en bout plus faible.

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L’Euro numérique se doit donc d’être 100 % européen, géré par des entreprises européennes qui seront exclues si elles quittent le Vieux Continent. Ses créateurs veulent mettre en avant la confidentialité pour éviter les théories du complot sur une éventuelle surveillance. L’ambition affirmée n’est pas de remplacer l’argent liquide, et la proposition du Conseil vise à interdire le refus des paiements en espèce.

Un lancement d’ici quelques années

Les établissements bancaires ne voient pas forcément d’un bon œil ce projet, que certains prennent comme un concurrent direct risquant de leur piquer les fonds de leurs clients. Il faudra encore quelques années avant de pouvoir essayer cette nouveauté. Le projet doit être examiné par le Parlement européen mi-2026 et ne devrait commencer à être testé qu’en 2027. Le lancement est attendu en 2029 au plus tôt.

LG va présenter un nouveau téléviseur grand format imitant une peinture au CES de Las Vegas, qui aura lieu début janvier. Baptisé LG Gallery TV, il sera vendu en versions 55 pouces et 65 pouces. Cet équivalent à la série The Frame de Samsung arborera un design encastrable avec différents cadres élégants à accrocher magnétiquement, que l’on pourra changer après achat.

L’idée est de proposer un téléviseur pouvant se fondre dans un salon en affichant constamment une peinture. L’accessoire est relié au service LG Gallery+ et à ses quelque 4 500 œuvres d’art. Un mode galerie est présent améliorant automatiquement l'image en ajustant la luminosité et les couleurs en fonction de l'éclairage de la pièce afin de donner un rendu plus naturel.

Les prix n’ont pas été communiqués, mais LG a confirmé qu’il s’agissait d’une dalle matte mini-LED (LCD à rétroéclairage local) à la manière des écrans Samsung, ce qui va lui permettre de rester dans les mêmes gammes de prix. En comparaison, l’écran The Frame de Samsung coûte 1 190 € en format 55" et 1 790 € dans sa déclinaison 65".

Ce n'est pas la première fois que LG commercialise un téléviseur du genre. Le coréen avait lancé en 2020 un modèle OLED ultrafin baptisé LG GX Gallery TV ainsi que d'autres téléviseurs « Gallery Design » par le passé. Le successeur qui sera dévoilé au CES semble être un concurrent plus direct à la gamme The Frame de Samsung.

Ce genre de produit de niche semble avoir trouvé son public au fil du temps. Si Samsung n'a pas divulgué de chiffres de vente récents de sa série The Frame, d'autres fabricants de téléviseurs comme Hisense ou TCL ont lancé des modèles similaires ces dernières années.

LG va présenter un nouveau téléviseur grand format imitant une peinture au CES de Las Vegas, qui aura lieu début janvier. Baptisé LG Gallery TV, il sera vendu en versions 55 pouces et 65 pouces. Cet équivalent à la série The Frame de Samsung arborera un design encastrable avec différents cadres élégants à accrocher magnétiquement, que l’on pourra changer après achat.

L’idée est de proposer un téléviseur pouvant se fondre dans un salon en affichant constamment une peinture. L’accessoire est relié au service LG Gallery+ et à ses quelque 4 500 œuvres d’art. Un mode galerie est présent améliorant automatiquement l'image en ajustant la luminosité et les couleurs en fonction de l'éclairage de la pièce afin de donner un rendu plus naturel.

Les prix n’ont pas été communiqués, mais LG a confirmé qu’il s’agissait d’une dalle matte mini-LED (LCD à rétroéclairage local) à la manière des écrans Samsung, ce qui va lui permettre de rester dans les mêmes gammes de prix. En comparaison, l’écran The Frame de Samsung coûte 1 190 € en format 55" et 1 790 € dans sa déclinaison 65".

Ce n'est pas la première fois que LG commercialise un téléviseur du genre. Le coréen avait lancé en 2020 un modèle OLED ultrafin baptisé LG GX Gallery TV ainsi que d'autres téléviseurs « Gallery Design » par le passé. Le successeur qui sera dévoilé au CES semble être un concurrent plus direct à la gamme The Frame de Samsung.

Ce genre de produit de niche semble avoir trouvé son public au fil du temps. Si Samsung n'a pas divulgué de chiffres de vente récents de sa série The Frame, d'autres fabricants de téléviseurs comme Hisense ou TCL ont lancé des modèles similaires ces dernières années.

Salesforce, un mastodonte du logiciel B2B, lève le pied sur l’intégration massive de l’IA. Pour rappel, ce géant américain est spécialisé dans les produits de relation client et a racheté Slack en 2021. Si le groupe propose différents services basés sur des LLM, il a récemment changé son fusil d’épaule en expliquant vouloir faire appel à des automatisations déterministes basiques sur certains points. Cette approche qui fonctionne à chaque fois est donc dans certains cas préférée aux modèles de langage.

Salesforce est connu pour Agentforce, un outil servant à automatiser des actions variées grâce à l’IA. Sanjna Parulekar, vice-présidente du marketing produit, a confié à The Information vouloir revenir à un système plus simple à la place des modèles de langage dans certains scénarios. « Nous avions tous davantage confiance dans les LLM il y a un an », a-t-elle déclaré.

Le mouvement surprend, le site de l’entreprise allant jusqu’à vanter une approche plus déterministe pour éviter que les LLM n’improvisent. Salesforce annonce qu'Agentforce peut aider à « éliminer le caractère aléatoire inhérent » aux LLM, garantissant que les flux de travail critiques « suivent exactement les mêmes étapes à chaque fois ».

Ce pas en arrière reflète la difficulté pour certaines entreprises d’adopter les LLM, une technologie ayant la mauvaise habitude d’halluciner des informations sans qu’il ne soit possible d’en créer une 100 % fiable. Or, de mauvaises réponses données à un client ou des chiffres inventés dans un tableur Excel peuvent avoir des conséquences lourdes pour une entreprise.

Pour le CTO d’Agentforce Muralidhar Krishnaprasad, il est donc parfois plus avantageux de revenir à de bonnes vieilles commandes basiques. « Si vous donnez à un LLM plus de, disons, huit instructions, il commence en quelque sorte à en laisser tomber certaines, ce qui n'est pas très bon », a-t-il déclaré. « Il y a des aspects où vous voulez qu'il soit absolument déterministe, et vous ne gaspillez pas de tokens pour cela. C'est une autre façon pour nous de réduire le coût du LLM, mais surtout, nous nous assurons que les gens obtiennent les bonnes réponses ». Autrement dit, la meilleure solution pour baisser la facture des LLM… c’est de ne pas s’en servir !

The Information relaye le cas de l’entreprise de télésurveillance Vivint, qui a voulu adopter Agentforce pour son SAV. L’IA n’était pas complètement fiable, refusant parfois d’envoyer un questionnaire de satisfaction en fin de discussion. Salesforce a finalement mis en place une commande basique pour effectuer l’action après chaque conversation d’une manière ne reposant pas sur l’IA.

Le prix des puces devrait continuer d’augmenter dans les années à venir. Selon le journal Economic Daily News, TSMC a contacté ses clients pour les prévenir que les devis des procédés de gravure avancés seraient revus à la hausse pendant quatre années consécutives, soit de 2026 à 2029. Celui de l’année prochaine entrera en vigueur au premier janvier.

Le fondeur doit détailler les évolutions attendues lors d’une conférence avec les investisseurs programmée le 15 janvier 2026. La question des tarifs devrait logiquement revenir sur la table lors de ce rendez-vous. Le journal évoque aussi un début d’année potentiellement solide pour TSMC, porté par la demande liée à l’IA sur les procédés les plus avancés.

Selon les proches du dossier, la hausse prévue pour 2026 serait un pourcentage à un chiffre. L’idée serait de refléter des coûts de production en hausse et des chaînes sous tension. Les instituts et analystes s’attendent à une augmentation allant de 3 % à 10 % selon les procédés et même selon les clients, car les hausses varieront en fonction des volumes et des conditions d’achat.

Le calendrier est assez révélateur. Si TSMC ne commente pas officiellement les tarifs, annoncer une trajectoire de prix sur plusieurs années est un signal. Le fondeur annonce implicitement que l’ère des procédés avancés accessibles s’éloigne, et que la facture suivra désormais la complexité technique.

Apple, l’un des clients majeurs de TSMC, fait partie des acteurs qui dépendent le plus de ces fluctuations. Si l’addition grimpe, elle peut finir absorbée dans les marges… ou se refléter sur le prix des appareils. On devrait en savoir plus lors de la conférence des investisseurs de TSMC le 15 janvier prochain.