Vue normale
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Interdiction des réseaux sociaux avant 16 ans : Clara Chappaz voudrait une réflexion sans tabou
Interdiction des réseaux sociaux avant 16 ans : Clara Chappaz voudrait une réflexion sans tabou
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Le dernier réveil connecté Echo Spot d'Amazon à -21% : un cadeau geek pour la Saint-Valentin !
Le dernier réveil connecté Echo Spot d'Amazon à -21% : un cadeau geek pour la Saint-Valentin !
Honda-Nissan : la fusion est mal barrée
OpenAI change de look : un rebranding plus moderne et (un peu) plus humain
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Apple vend le SSD des Mac mini M4 Pro à la pièce… mais les prix sont bien trop élevés
Apple vend le SSD des Mac mini M4 Pro à la pièce… mais les prix sont bien trop élevés
Apple, en plus de mettre en ligne les pièces pour permettre à ses clients de réparer les derniers Mac équipés d'une puce M4, propose aussi une nouveauté que certains attendaient : la possibilité de commander n'importe quel module de mémoire flash pour les Mac mini M4 Pro.
C'est un changement intéressant : si vous mettez le numéro de série d'un Mac Studio M1, par exemple, vous ne pourrez commander que le module avec la capacité choisie lors de l'achat. Dans le cas d'un Mac mini M4 Pro, a contrario, Apple propose toutes les capacités disponibles, de 512 Go à 8 To. C'est certes une bonne nouvelle, mais elle a un (gros) défaut : le prix.
Les pièces et outils pour réparer les Mac M4 déjà disponibles sur le site self-repair d'Apple
Des « SSD » hors de prix
Nous mettons SSD entre guillemets pour une bonne raison : Apple, pour rappel, intègre le contrôleur du SSD dans le système sur puce de l'ordinateur et les barrettes ne contiennent que de la mémoire flash, contrairement à un SSD M.2 standard. Et surtout, c'est le point le plus gênant, le prix est particulièrement élevé. Le module de 512 Go est facturé 435 €, celui de 1 To est à 581,28 €, la version 2 To vaut 968,81 €, celle de 4 To monte à 1 550,09 € et pour 8 To, il faudra débourser 2 712,66 €. Le prix est équivalent à celui facturé lors de la configuration du Mac, sans être totalement identique.
Dans les faits, Apple rembourse aussi une partie du coût du module si vous renvoyez l'ancien… ce qui n'arrive évidemment que si vous remplacez un modèle par un autre de la même capacité. La facture descend de 48,44 € (soit 386,56 €) pour 512 Go, de 97,85 € (483,43 €) pour 1 To, 145,32 € (823,49 €) pour 2 To, 232,51 (1 317,58 €) pour 4 To et 406,9 € (2 035,76 €) pour 8 To.
Nous ne sommes pas allés au bout de la commande, mais le site semble bien permettre de commander n'importe quelle capacité, sans vérification sur la capacité d'origine du module. Il faut noter une vérification un peu étonnante : Apple impose d'aller lire le manuel de réparation avant l'achat, en demandant un code présent dans ce dernier.
Rien pour le Mac mini M4
De façon un peu étonnante, la manipulation ne fonctionne pas pour le Mac mini M4 standard. Sur ce modèle, seul le module de la même capacité que celle choisie au départ est disponible. Dans notre exemple, le module de 256 Go est proposé pour 386,56 € (289,67 € si vous renvoyez un SSD défectueux).
Il s'agit donc peut-être d'une erreur dans le cas du Mac mini M4 Pro, mais ce n'est pas certain. L'Apple Store en ligne propose par exemple de commander les modules pour le Mac Pro.
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- SparkCat, un malware astucieux sur iOS qui utilise l'OCR sur des phrases clef
SparkCat, un malware astucieux sur iOS qui utilise l'OCR sur des phrases clef
Bel exemple de créativité pour ce malware découvert par Kaspersky au sein d'apps iOS. Il utilise une fonction d'OCR développée par Google pour repérer certains contenus sensibles et les transmettre à des serveurs tiers.
Ce malware avait été précédemment croisé par la société ESET à l'intérieur d'applications Android et Windows. Fin 2024, sa présence a été confirmée pour la première fois au sein d'apps iOS d'apparence inoffensive. Son surnom, « SparkCat » découle du nom de la campagne de piratage conduite par ce composant logiciel niché au cœur des apps.
Son but est simple et la méthode est habile. Ce malware utilise une librairie de Google — ML Kit — qui contient plusieurs ressources pour identifier des contenus dans une image (code barre, objet, visage, texte, posture d'un sujet, etc). Cette trousse à outils est mise à profit pour analyser les images dans la bibliothèque photos de l'utilisateur — après que l'app ait obtenu l'autorisation d'y accéder via la demande standard d'iOS.
Le malware s'intéresse aux captures d'écran car il est entrainé à détecter les phrases de récupération utilisée pour les portefeuilles de cryptomonnaies. Il peut en extraire le texte qu'il transmettra vers un serveur. Sa présence est a priori difficile à déceler et son fonctionnement ne diffère pas d'autres comportements classiques.
Kaspersky fait remonter à mars 2024 la mise en service de la version iOS de SparkCat. Ce malware a été trouvé dans une poignée d'apps gratuites aux fonctions variées mais grand public, comme la livraison de plats ou des fonctions d'IA.
Est-ce que leurs auteurs ont placé ce malware dans ces apps ou l'a-t-il été par le truchement d'autres acteurs qui fournissent des composants logiciels ou qui sont intervenus dans le développement ? Kaspersky n'a pas de réponse.
Parmi ces logiciels, certains sont tout à fait légitimes (tel ComeCome, cité plus haut et toujours en ligne sur Google Play), d'autres semblent n'exister que pour propager cet intrus. À la suite de la publication de cette découverte, Apple a retiré les apps identifiées sur sa boutique.
Combien coûtera la Switch 2 ? Même Nintendo ne le sait pas encore...
Fin des programmes de diversité chez Google ! Seule Apple résiste...
Tapestry : l’appli qui regroupe tous vos flux en un seul endroit
Le drone DJI Mini 3 en promo à 379€ (-19%) !
ChatGPT Search désormais accessible sans compte
Éteignez tout de suite votre iPhone ! Vite vite vite !
Google abandonne ses objectifs de recrutement axés sur la diversité
Après Amazon et Meta, c’est au tour de Google de revenir sur sa politique de diversité à l’embauche. Dans un mail envoyé à ses employés, Alphabet a annoncé qu’elle n’allait plus se fixer d’objectif de recrutement visant à améliorer la représentation au sein de son personnel. Comme l’a remarqué le Wall Street Journal, l’entreprise a également supprimé une phrase de son bilan financier annuel présente depuis 2021. Celle-ci assurait qu’Alphabet s’engageait « à intégrer la diversité, l'équité et l'inclusion dans tout ce que nous faisons et à développer une main-d'œuvre représentative des utilisateurs ».
Dans son mail, l’entreprise explique reconsidérer la publication d’un rapport annuel existant depuis 2014 mettant en avant la diversité dans ses rangs. Les subventions, formations et initiatives liées à ce sujet sont également réévaluées. Si elle fait une croix sur certains objectifs, Google affirme vouloir continuer d’investir et d’ouvrir des bureaux pour des équipes variées.
Google s'est toujours engagé à créer un lieu de travail où nous recrutons les meilleures personnes partout où nous opérons, où nous créons un environnement où tout le monde peut s'épanouir et où nous traitons tout le monde de manière équitable. C'est exactement ce que vous pouvez vous attendre à voir à l'avenir.
Depuis le retour de Donald Trump, de nombreux géants américains se sont alignés sur le point de vue des Conservateurs au sujet de la diversité. Meta est une de celle ayant fait le plus de bruit, Mark Zuckerberg ayant défendu « l’énergie masculine » en entreprise tout en revoyant la politique de discours haineux sur ses plateformes, où l’on peut désormais publier des propos injurieux sur les minorités et les personnes LGBT. La NASA, Amazon ou McDonalds ont eux aussi rétropédalé sur la question. De son côté, Apple s’est opposé à une proposition des actionnaires visant au démantèlement de son programme de Diversité, équité et inclusion.
Les questions sociétales au menu de la prochaine assemblée des actionnaires d'Apple
Sur un autre registre, Google a également supprimé une ligne affirmant qu’elle n’utiliserait pas les intelligences artificielles comme des armes ou à des fins de surveillance. Sa page recensant ses grands principes sur le domaine déclare qu’elle s’efforcera « d'atténuer les résultats involontaires ou préjudiciables et d'éviter les préjugés injustes ».
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Sony World Photography Awards 2025 : les plus belles photos primées sont magnifiques
Sony World Photography Awards 2025 : les plus belles photos primées sont magnifiques
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- François Bayrou dévoile la stratégie IA de la France (et un ChatGPT de la fonction publique)
François Bayrou dévoile la stratégie IA de la France (et un ChatGPT de la fonction publique)
Orange ajuste le prix de son offre satellite
Sérieusement concurrencé par Starlink depuis une poignée d’années, Orange procède à un changement tarifaire pour son accès à internet par satellite. Auparavant facturé 29,99 €/mois pendant six mois puis 49,99 €/mois, l’abonnement Satellite Orange avec Nordnet coûte désormais 39,99 €/mois sans engagement. Si le coût initial est donc plus élevé, l’offre devient avantageuse pour ceux qui restent abonnés plus d’un an.
Le reste ne change pas : il faut ajouter 35 € de frais d’activation ainsi que 15 € de frais de livraison, sans oublier le kit satellite à 299 €. Le coût de ce kit est pris en charge par l’État pour les personnes éligibles au dispositif Cohésion Numérique des Territoires. L’offre, opérée par Nordnet, la filiale de l'opérateur spécialisée dans le satellite, comprend un accès à internet jusqu’à 200 Mbit/s en réception et 15 Mbit/s en envoi. Une ligne téléphonique fixe est incluse.
En comparaison, l’offre résidentielle de Starlink coûte à partir de 40 €/mois, auxquels il faut ajouter 349 € pour l’antenne (en promo actuellement à 249 €), sans subvention possible. La latence est bien moins importante avec l’offre de l’acteur américain, du fait d’une connexion satellitaire très différente : le satellite Eutelsat Konnect VHTS utilisé par Orange est situé en orbite géostationnaire à plus de 35 000 km au-dessus de nos têtes, tandis que la société d'Elon Musk exploite des satellites bien moins haut (de 550 à 1 150 km).
Starlink à l'essai : tout ce qu'il faut savoir sur cette connexion par satellite d'un genre nouveau
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Paracétamol Challenge : un « défi » débile sur TikTok qui inquiète (en supposant qu’il existe)
Paracétamol Challenge : un « défi » débile sur TikTok qui inquiète (en supposant qu’il existe)
Google accepte finalement que son IA soit utilisée par les forces armées
Le groupe Lufthansa s'aidera des AirTags pour retrouver des bagages égarés
Les AirTags peuvent être utilisés sur les lignes du groupe Lufthansa pour aider à localiser un bagage égaré. Dans un communiqué, le groupe qui réunit les compagnies Lufthansa, SWISS, Austrian Airlines, Brussels Airlines et Eurowings annonce qu'il est maintenant possible de transmettre aux équipes au sol la position d'un AirTag glissé dans un bagage pour le retrouver.
Cette fonction de partage temporaire d'un emplacement auprès d'un tiers est apparue à la fin de l'année dernière avec iOS 18.2. Elle a été adoptée par une première vague de compagnies aériennes, parmi lesquelles figurait Lufthansa. Une compagnie peut ajouter dans son app un moyen de partager la localisation d'un AirTag lorsqu'un bagage manque à l'appel. Une info qui sera exploitée le temps de remettre la main sur la valise.
AirTag : United, Delta et Air Canada traqueront les bagages perdus avec le partage de position d'iOS 18.2
La balise d'Apple a rapidement trouvé son chemin dans les valises et sacs à dos en voyage, d'abord au grand dam des compagnies qui ont commencé par l'interdire. Mais l'usage a fait loi. Ce nouveau procédé n'est pas encore généralisé, cela se fait progressivement. Air France par exemple explique que les AirTags ne sont pas encore connectés à son système et chez EasyJet ce n'est pas différent, l'app orange n'a toujours pas cette fonction non plus.
Dans le Colorado, la police distribue des AirTags pour lutter contre les vols de voitures
ASUS Zenfone 12 Ultra : un smartphone premium misant sur l’IA
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Grosse promo sur le robot Scuba S1 Pro (-300€) ! Le plus puissant de la gamme Aiper !
Grosse promo sur le robot Scuba S1 Pro (-300€) ! Le plus puissant de la gamme Aiper !
A peine née, Invitations Apple connait déjà sa première mise à jour...
Classement des opérateurs mobiles : l’Arcep soupçonne de la triche
Free augmente les frais de résiliation pour ses box Internet
Free fait grimper les frais de résiliation de ses Freebox. La somme demandée va passer de 49 € à 59 € pour tous les abonnés à partir du 1er avril. Les abonnés ont été prévenus par une brève ligne dans le mail annonçant l’arrivée de leur dernière facture.
Cela ne devrait pas changer grand chose pour les clients Free cherchant une nouvelle crémerie, ces frais étant généralement remboursés par leur futur opérateur. L’augmentation devrait tout de même se faire sentir chez ceux résiliant définitivement une ligne sans en reprendre une nouvelle derrière, par exemple en cas de déménagement à l’étranger.
Cette hausse a été mise en place graduellement. Elle concernait jusqu’à présent uniquement les souscriptions faites à partir du 26 novembre 2024 ou pour les abonnés ayant accepté les nouvelles conditions (déménagement, changement d’offre). Si vraiment c’est la goutte de trop, ce changement de contrat vous permet de résilier votre ligne sans frais et sans droit à dédommagement pendant 4 mois pour peu que vous mentionnez ce motif.
De mal en pis pour Sonos, qui va licencier 200 salariés
Après une année 2024 bien compliquée, Sonos ne commence pas 2025 du bon pied. Le CEO par intérim de l’entreprise Tom Conrad vient d’annoncer le licenciement de 200 personnes. Dans son communiqué, il explique avoir observé que Sonos s’était « embourbée dans trop de strates qui ont rendu la collaboration et la prise de décision plus difficiles ». Il souhaite par conséquent réorganiser ses équipes en des groupes plus petits et plus spécialisés.
C’est loin d’être la première vague de licenciement que l’on voit chez Sonos. L’entreprise s’était séparée de 7 % de ses employés à l’été 2023, puis d’une centaine de têtes au mois d’août dernier. Son CEO a démissionné fin janvier, en même temps qu’un chef produit clef. Environ 1 700 personnes travaillaient chez Sonos au mois de septembre, qui ne seront bientôt plus que 1 500.
Tom Conrad a déclaré qu’il allait réorganiser l’organisation produit de Sonos en s’éloignant des groupes uniquement dédiés à des catégories de produits individuelles. L’entreprise va maintenant fonctionner avec des équipes distinctes pour le matériel, les logiciels, la conception, la qualité et les opérations. « Le fait d'être plus petits et plus concentrés nous obligera à mieux hiérarchiser notre travail », estime-t-il.
Sonos est dans une situation très délicate depuis plusieurs mois. Sa nouvelle app est sortie trop vite du four, ce qui a entaché son image et forcé ses équipes à travailler d’arrache-pied pour corriger le tir. Le casque Sonos Ace a été bien reçu par la presse, mais ne se vendrait pas beaucoup (on le trouve régulièrement à moins de 400 € au lieu de 499 €). Son prochain gros projet serait un boîtier TV, un concept original mais risqué et qui va devoir trouver son public.
La fibre Sosh passe enfin à 1 Gbit/s, et sans changement de prix
Orange accélère significativement les débits de la Boîte Sosh, son offre fibre d’entrée de gamme sans engagement. Jusque-là cantonnée à 400 Mbit/s symétriques, la fibre Sosh passe à 1 Gbit/s maximum en réception et 800 Mbit/s en envoi. Ce gros coup d’accélérateur remet cette offre au niveau de la concurrence. Cette amélioration se fait sans changement de prix : l’abonnement coûte toujours 25,99 €/mois.
Les nouveaux débits sont a priori disponibles immédiatement pour les nouveaux clients. Pour les clients existants, Sosh indique que l’évolution se fera automatiquement à partir du 10 février et en plusieurs vagues, jusqu’à la mi-avril. Vous recevrez un email lorsque l’évolution sera déployée chez vous. Aucun changement de Livebox nécessaire pour en profiter.
En plus de cet accès internet jusqu’à 1 Gbit/s, l’offre fibre de Sosh comprend une Livebox 5 (Wi-Fi 5) et une ligne téléphonique avec les appels illimités vers les fixes. Un décodeur TV Ultra HD 4K est disponible en option à 5 €/mois.
Chez la concurrence, SFR RED commercialise une offre fibre 1 Gbit/s avec un routeur Wi-Fi 5 et téléphone à 23,99 €/mois, alors que Free fait du triple-play (fibre avec Wi-Fi 5 + téléphone + TV) avec la Freebox Révolution Light à 19,99 €/mois pendant un an puis 29,99 €/mois. Chez Bouygues, à moins de 30 €, il y a la fameuse offre B&You Pure fibre à 23,99 €/mois avec un accès jusqu'à 8 Gbit/s et Wi-Fi 6E. Mais attention, il n'y a ni téléphone ni télé et les clients ne sont pas tous éligibles aux 8 Gbit/s.
Prends ça l’Ademe : Orange lance un forfait 5G de 400 Go
Coïncidence amusante : au moment où l’Agence de la transition écologique (Ademe) remet en question les forfaits mobiles comprenant des tonnes de gigaoctets, Orange lance son offre 5G comprenant la plus grosse enveloppe de data à ce jour.
L’opérateur historique propose un nouveau forfait 400 Go à 80,99 €/mois avec engagement de 24 mois. Cette offre comprend un smartphone subventionné à la souscription puis tous les deux ans. Avec lui, un iPhone 16 Pro Max coûte à partir de 499 €, par exemple.
Le forfait lui-même comprend donc 400 Go de data en France, 200 Go dans les DOM et en Europe (Suisse et Andorre inclus), les appels illimités en Europe et vers l’Amérique du Nord, ainsi qu’une Multi-SIM Internet sur demande.
Les prix des autres forfaits Orange ne bougent pas. Avec engagement et un smartphone subventionné, il faut dépenser 35,99 €/mois pendant six mois puis 47,99 €/mois pour 200 Go. Sans engagement et sans smartphone, l’opérateur propose notamment 120 Go pour 24,99 €/mois.
Orange lance également aujourd’hui un nouveau forfait « 5G+ » réservé aux professionnels, qui s’appuie sur son réseau 5G Stand Alone. Pour 79 € HT/mois, les pros ont droit à 350 Go de data en France, les appels/SMS/MMS illimités ainsi que des services spécifiques quand ils se trouvent dans les zones couvertes en 3,5 GHz : connexion data maintenue en 5G lors d’un appel ; chiffrement renforcé des données d'identification de la carte SIM ; latence réduite ; network-slicing (le réseau s’adapte aux usages des clients connectés en même temps).
Numérique et environnement : une empreinte carbone alarmante
Incogni : Protégez votre vie privée en ligne avec une offre à - 55 % !
Nos données personnelles sont partout sur Internet. Elles sont collectées, revendues et utilisées sans qu'on le sache vraiment. Incogni, un service développé par Surfshark, propose une solution simple : effacer vos informations des bases de données des courtiers en données.
Et bonne nouvelle, en ce moment, vous pouvez profiter d’un abonnement annuel à - 50 %, à 101,49 € TTC.
Pourquoi utiliser Incogni ?
Les courtiers en données collectent des infos sur vous : nom, adresse, numéro de téléphone, habitudes en ligne… Tout ça est ensuite revendu à des entreprises, parfois même à des escrocs. Résultat ? Vous recevez des spams, des appels indésirables, et pire encore, vous êtes plus exposé aux usurpations d’identité.
Incogni prend tout en charge à votre place. Une fois inscrit, le service contacte automatiquement des centaines de courtiers en données pour demander la suppression de vos infos. Il relance si nécessaire et vous tient au courant de l’évolution. Bref, c’est un vrai gain de temps et une tranquillité d’esprit assurée.
Une promo qui vaut le coup
En plus des 50 % de réduction, sachez que si vous hésitez encore, Incogni propose une garantie de remboursement de 30 jours, donc vous pouvez tester sans risque. D'autant plus qu'Incogni prend jusqu'à 3 adresses e-mail en charge.
Comment ça marche ?
L’inscription est rapide. Il suffit de créer un compte et de donner l’autorisation à Incogni d’agir en votre nom. Ensuite, le service commence son travail : il contacte les courtiers en données et enclenche le processus de suppression.
Il ne se contente pas d’envoyer une demande, il suit l’évolution et relance si besoin. Vous pouvez voir les progrès en temps réel sur votre compte et constater par vous-même que vos informations disparaissent des bases de données.
Un service pour qui ?
Tout le monde peut bénéficier d’Incogni. C’est particulièrement utile si vous êtes submergé par des appels ou des e-mails publicitaires, si vous vous souciez de votre vie privée et de l’utilisation de vos données personnelles, etc. C’est aussi une bonne solution pour ceux qui veulent éviter que leurs informations soient accessibles en quelques clics sur le web.
Avec la promo actuelle (- 50 %) l’abonnement revient à finalement un peu plus de 8 € par mois pour un an, et le service est garanti satisfait ou remboursé pendant 30 jours. C’est le bon moment pour agir et reprendre le contrôle sur vos données !
-20% sur la serrure connectée Aqara compatible HomeKit et clés de maison !
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Un malware capable de faire de la reconnaissance de caractères touche Android et iOS
Un malware capable de faire de la reconnaissance de caractères touche Android et iOS
Dans un article très détaillé, Kaspersky rapporte la découverte d'un Malware capable, une fois installé sur un appareil, d'aller rechercher dans la bibliothèque d'images de l'utilisateur toute donnée liée à un compte de crypto-monnaies que ce soit les identifiants et mots de passe que les informations pouvant conduire à la récupération d'un compte.
Le système est très sophistiqué, utilisant à la base une API OCR (reconnaissance de caractères) développée par Google. Elle est exploitée pour partir à la chasse de mots clé spécifiques dans l'essentiel des langues et envoyer les résultat à un serveur distant.
Ce malware a été retrouvé sur plusieurs applications Android mais aussi une application iOS distribuée sur l'App Store, ComeCome.
Nous faisons maintenant face à une ingéniosité incroyable de ces gangs de pirates qui sont arrivés à un niveau d'expertise et d'ingéniosité impressionnants.
Réorganisation : Sonos supprime 200 emplois après une année difficile
Du foot féminin pour la saison 4 de Ted Lasso !
Le Self Service Repair Store accueille les Macs M4
App Store : des apps voleuses de cryptomonnaies sur l'iPhone
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Raycast gère à son tour l’Hyper Key et peut ainsi remplacer un utilitaire de plus
Raycast gère à son tour l’Hyper Key et peut ainsi remplacer un utilitaire de plus
Raycast ajoute une nouvelle fonctionnalité et propose ainsi de remplacer encore un utilitaire de plus. Le lanceur multifonctions toujours réservé au Mac (des versions pour iOS et Windows arrivent) est capable de gérer lui-même l’Hyper Key, une touche qui remplace ces quatre autres : ⇧
, ^
, ⌥
et ⌘
. L’idée est de définir des raccourcis clavier très complexes composés de cinq touches, les quatre précédentes et une de votre choix, sans pour autant avoir à taper sur cinq touches à chaque fois. À la place, on utilise l’Hyper Key, qui est en général définie sur ⇪
et la deuxième touche de son choix.
L’Hyper Key peut être activée dans les réglages avancés de Raycast, avec le choix de la touche, celle du verrouillage des majuscules étant proposée par défaut. L’app propose même de garder son usage normal, ce qui est utile pour ajouter des majuscules accentuées en français, avec une pression courte. En clair, les raccourcis clavier complexes ne seront accessibles qu’en appuyant et maintenant la touche ⇪
; si vous appuyez juste dessus brièvement, macOS (dés)activera toujours bien le verrouillage des majuscules.
Ceci fait, vous pouvez utiliser l’Hyper Key dans toutes les apps qui le gèrent, dont Raycast bien entendu. À dire vrai, le lanceur savait déjà reconnaitre la combinaison de quatre touches spéciales et l’interface les remplaçait déjà par un losange qui symbolisait cette hyper touche. Tout cela ne change pas par rapport aux anciennes versions, la différence étant qu’un utilitaire comme le bien nommé Hyperkey n’est plus nécessaire pour que le raccourci simplifié fonctionne encore. Raycast remplace ainsi toujours plus de petits utilitaires spécialisés, c’est un de ses points forts, même si cela veut aussi dire que l’on confie à un seul outil énormément de fonctionnalités différentes.
À ce sujet, la version 1.91 améliore aussi Focus, le mode de concentration intégré qui a été ajouté à l’app il y a quelques semaines. Une option permet de rouvrir automatiquement les apps fermées pendant la session lorsque la tâche est terminée. Davantage de navigateurs sont gérés pour filtrer les sites web, dont Firefox, Orion, Vivaldi ou encore Zen Browser. Enfin, le minuteur est automatiquement mis en pause quand le Mac entre en veille.
Avec Focus, Raycast propose une alternative au mode de concentration de macOS
Raycast est gratuit et même si une partie des fonctions demande un abonnement payant, ce n’est pas le cas de toutes celles évoquées dans cet article. J’utilise d’ailleurs le lanceur sans payer depuis bien des années et je ne suis pas gêné, Raycast Pro étant avant tout lié à l’intelligence artificielle générative que je n’utilise pas au quotidien.
macOS 12 (Monterey) est nécessaire pour installer Raycast et son interface n’est pas traduite en français.
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Apple étend son programme de réparation à domicile aux Mac M4 (y compris en France)
Apple étend son programme de réparation à domicile aux Mac M4 (y compris en France)
Première mise à jour corrective pour Invitations Apple
L'app de gestion d'invitations d'Apple a reçu sa première mise à jour, 48h après sa sortie. Cette version 1.0.1 apporte des corrections de bugs et des améliorations de performances, Apple n'offre que ce descriptif générique, sans plus de détails.
Lors de notre prise en main, nous n'avions pas eu de blocages ou de plantages, mais certains comportements surprenaient, comme la suppression de la présence d'invités par d'autres invités. Apple en tout cas n'a toujours pas réglé la question de la dénomination de cette app. Elle est toujours appelée Apple Invitations en son sein tandis que le communiqué de presse français et l'App Store l'appellent Invitations Apple.
Prise en main d'Apple Invitations : carton en vue pour cette nouvelle app ?
OpenAI affronte directement Google en ouvrant ChatGPT Search à tous
Alors qu’elle était jusqu’à présent réservée aux utilisateurs inscrits, la fonctionnalité ChatGPT Search est maintenant ouverte à tous. En vous rendant sur chatgpt.com, vous pouvez utiliser cette fonction même si vous n’avez pas de compte.
À la différence du ChatGPT classique dont les « connaissances » s’arrêtent au moment de son entraînement (GPT-4o ne « sait » rien de ce qu’il se passe après octobre 2023), ChatGPT Search enrichit ses réponses de faits récents grâce à des recherches sur le web. Pour l’utiliser, il faut cliquer sur le bouton Rechercher sous le champ de saisie du texte.
Par exemple, à la question « qui est MacGeneration ? », ChatGPT classique fournit une réponse très générale, tandis que ChatGPT Search se montre plus actuel en précisant que le site a fêté son 25e anniversaire en 2024. Les réponses de ChatGPT Search se distinguent par la présence de liens qui renvoient vers les sites web d’où sont tirées les infos récentes.
La fonction peut aussi chercher des éléments qui paraissent triviaux, mais nécessitent bien souvent de fouiner quelque temps sur divers sites internet, comme pour trouver un appareil très demandé venant de sortir :
Bien entendu, il reste à vérifier que le bot ne se trompe pas, et va bien chercher toutes les possibilités existantes histoire d’être sûr de ne pas passer à côté d’une bonne affaire ailleurs, et que les liens affichés correspondent bien à des produits disponibles. Mais pour une recherche rapide, c’est plutôt efficace.
OpenAI met donc les pieds dans le plat, et vient avec cette proposition se poser en adversaire direct de Google pour nombre de recherches effectuées tous les jours sur le moteur de recherche. Si ChatGPT était déjà sur beaucoup de lèvres, il risque maintenant de devenir un objet du quotidien pour nombre de personnes. La bataille ne fait que commencer… et risque d’être âpre et de ne faire aucun prisonnier.
Une première version de cet article faisait une confusion entre ChatGPT et ChatGPT Search. Nous avons corrigé les erreurs et nous vous prions de nous en excuser.