Si vous cherchez une Apple Watch, c’est le moment de craquer : la Series 10 est en ce moment à 379 € à la Fnac. Il s’agit du modèle GPS en taille 42mm, ce qui représente une ristourne de 70 € sur le prix demandé en Apple Store. La montre est disponible en coloris noir, mais les déclinaisons Argent et Or rose sont également en stock. Notons que la version 42 mm est à 323 € chez Amazon Italie, tandis que la déclinaison 46 mm tombe à 353 €.
L'Apple Watch Series 10. Image Apple.
La Series 10 est la dernière génération d’Apple Watch, qui a gagné un design légèrement affiné plus confortable au poignet. On y retrouve les fonctions habituelles en plus d’une recharge plus rapide, d’un capteur de température externe et des notifications d’apnée du sommeil. On ne s’attend pas à une mise à jour majeure pour la Series 11 : ce n’est donc pas un mauvais choix à ce prix là.
La version cellulaire peut être associée à un forfait, ce qui permet de rester joignable sans emporter son iPhone. Comptez par exemple 5 € par mois chez Orange ou Sosh, avec trois mois offerts pour tester la fonctionnalité sans risque.
Alors que la pression monte sur l’App Store et sa fameuse commission de 30 %, Cupertino vient de dévoiler les conclusions d’une enquête portant sur les gains générés par sa boutique. Commandée par ses soins, on y apprend que l’App Store américain a « généré 406 milliards de dollars de revenus et de ventes pour les développeurs en 2024 ». Apple explique que la taille de sa boutique a presque triplé depuis 2019, étant donné qu’elle n’engendrait alors que 142 milliards de dollars.
Sur ce chiffre de 406 milliards, 277 proviennent des ventes de biens et services physiques (voyages, livraison de nourriture, paiement), 75 de publicités in-app et 53 des biens et services numériques. En 2024, le nombre de téléchargements d'applications dans le monde a atteint 12,4 milliards, soit une augmentation de 36 % par rapport à 2019. Apple indique que les petits développeurs ont vu leurs revenus s'envoler, avec une hausse de 76 % entre 2021 et 2024. Le communiqué, forcément très positif, rappelle les différents avantages à utiliser l’App Store ainsi qu’une déclaration de Tim Cook :
Depuis plus de 15 ans, l’App Store est une source d’opportunités incroyables pour les développeurs d’apps, les entrepreneurs et les entreprises de toutes tailles. Cela inclut les nombreux développeurs américains qui innovent, développent leurs activités et connaissent un succès exceptionnel sur l’App Store. Nous continuerons d’investir dans des outils, des technologies et des ressources puissants pour aider les développeurs aux États-Unis et dans le monde entier à propulser leurs apps vers de nouveaux sommets et à créer des expériences transformatrices pour les utilisateurs.
Cupertino insiste sur le fait que les développeurs ne lui ont versé aucune commission pour plus de 90 % des transactions et ventes effectuées sur l'App Store. La mise en valeur de cette donnée n’est pas innocente : Cupertino a récemment été forcée de faire sauter plusieurs barrières tarifaires de sa boutique aux États-Unis, permettant par exemple de rediriger en dehors des applications pour faire des achats. Le changement a eu lieu dans le cadre de son grand procès contre Epic, qui s’est toujours montré très critique face à cette commission.
Avec les Mac à base de M4 Pro et Max (et sur le Mac Studio M3 Ultra), Apple a ajouté une corde à son arc : la prise en charge du Thunderbolt 5 et de l'USB4v2. Les deux technologies permettent un débit de 80 Gb/s (et même 120 Gb/s dans certains cas) mais les périphériques compatibles restent rares. Un point qui pourrait changer : Asmedia et Via, deux sociétés spécialisées dans les composants, travaillent sur le sujet.
Le logo de l'USB à 80 Gb/s. Image USB-IF.
Actuellement, il n'y a que deux contrôleurs sur le marché : celui d'Intel (vu dans les périphériques et dans les PC à base de CPU Intel) et celui d'Apple. Mais selon Tom's Hardware, Asmedia et Via devraient proposer leurs propres puces en 2026 et 2027 (respectivement). Celui d'Asmedia est très attendu, car il va permettre aux fabricants de PC qui ont choisi un CPU AMD d'intégrer la technologie, mais il va aussi probablement permettre l'arrivée de périphériques moins onéreux. C'était le cas avec l'USB4 classique (40 Gb/s) : avant l'arrivée d'Asmedia avec l'ASM2464PD, vu par exemple dans le ZikeDrive, les périphériques étaient rares et onéreux.
Avec un SSD Thunderbolt 5, macOS travaille en mode USB4v2. Image MacGeneration.
Dans la pratique, l'USB4v2/Thunderbolt 5 permet un débit pratique de l'ordre de 7 Go/s avec des SSD externes, par exemple. Le mode à 120 Gb/s, parfois mis en avant, cible essentiellement les moniteurs : il permet de créer des modèles avec des définitions très élevées qui ne nécessitent qu'un seul câble. Ce mode asymétrique est en effet peu pratique pour les autres types de périphériques : il monte à 120 Gb/s vers un périphérique, mais descend à 40 Gb/s du périphérique vers l'hôte. Un choix peu adapté aux SSD externes, qui sont généralement plus rapides en lecture (du périphérique vers l'hôte) qu'en écriture (de l'hôte vers le périphérique).
Autant être honnête CarPlay Ultra pour le commun des mortels, ce n’est pas pour demain la vielle. Mieux vaut adopter la politique des petits pas. À défaut de pouvoir (ou vouloir) acheter une Aston Martin vendue à un prix d’appartement, se mettre à CarPlay sans fil est autrement plus raisonnable. Avec cette promotion, cela vous reviendra pour à peine plus de 20 €. Pensez à activer le coupon.
Pour que cela fonctionne, il faut déjà que le système de votre voiture soit déjà compatible à CarPlay. Ce dongle USB qui se connecte à votre voiture se charge ensuite de faire le relai avec votre iPhone. Il a été revu récemment avec un processeur plus puissant. Cet adaptateur est compatible avec plus de 800 modèles et prend en charge tous les iPhone à partir de l’iPhone 6. Autre prérequis peu gênant en 2025 : utiliser au minimum iOS 10.
Autre chose à noter : du fait des règlementations actuelles, ce dongle est équipé d’un port USB-C. Si ce n’est pas le cas de votre véhicule, il faudra également acquérir un petit adaptateur. Ce n’est pas le choix qui manque.
Ce dongle CarPlay sans fil étant en vente sur Amazon, en cas de souci, vous pourrez toujours le rendre et obtenir un remboursement de la part du géant du commerce en ligne.
Dans les systèmes d'exploitation modernes, les mises à jour des applications ont beaucoup d'importance : elles sont régulières et permettent parfois de corriger des failles de sécurité. Mais que ce soit sous macOS ou sous Windows, rien n'est unifié. Mais Microsoft veut régler en partie ce problème.
Un exemple d'une app qui se met à jour par elle-même. Image MacGeneration.
Actuellement, et le constat est le même sous macOS et Windows, vous avez des applications qui se mettent à jour dans l'App Store du système, d'autres qui se mettent à jour dans un lanceur (comme Steam), certaines qui reposent sur des mécanismes intégrés et (plus rare) des apps qui vous indiquent simplement d'aller télécharger manuellement la mise à jour sur le site. Apple, à une époque, avait essayé d'unifier un peu ça, avec par exemple les mises à jour de macOS qui passaient par le Mac App Store, sans succès.
La solution Windows Update
Microsoft détaille sa solution dans un post de blog : elle consiste à passer par Windows Update, le mécanisme de mise à jour de Windows, qui prend déjà notamment en compte certains pilotes. La société de Redmond met évidemment en avant divers avantages. Elle permet d'améliorer les performances avec des mises à jour récupérées pendant les périodes où le PC est peu utilisé, simplifie l'expérience pour les utilisateurs avec des notifications unifiées et une liste des mises à jour visibles et disponibles à un endroit connu et simplifie la vie des administrateurs système, qui n'auront en théorie qu'une méthode à gérer.
Windows Update sous Windows 10. Image MacGeneration.
Les détails eux-mêmes sont peu importants, Microsoft explique juste que les développeurs devront fournir les informations nécessaires pour détecter une mise à jour (versions, obligation de redémarrer, etc.). Les applications disponibles sous la forme d'un paquet msix ou appx (apparus avec Windows 10) pourront être modifiées facilement pour tirer parti des nouvelles API, les applications Win32 plus classiques nécessiteront quelques ajustements, mais Microsoft a prévu le coup. Pour le moment, le mécanisme est dans une phase de test privée, a priori uniquement pour Windows 11.
En pratique, ça ne va probablement rien changer
Le principal problème du choix de Microsoft, c'est que ça ne va (presque) rien changer. Même en considérant un lien entre le Microsoft Store et Windows Update pour unifier l'interface, des magasins en ligne comme Steam ou Epic Games Store ne vont pas passer par Windows Update, et il est évident que certains développeurs ne suivront pas Microsoft, ne serait-ce — comme le note Next — que parce que Windows Update n'est pas parfait et a eu son lot de problèmes avec le temps.
Des mises à jour dans le Microsoft Store. Image MacGeneration.
Si Apple proposait un mécanisme du même type, les chances de le voir être adopté pourraient être plus élevées, pour deux raisons. La première, c'est que les développeurs d'apps emploient plus facilement les nouvelles API et les fonctions proposées par Apple. La seconde, c'est qu'Apple a tendance à parfois vouloir imposer ses vues et pourrait pousser les développeurs vers sa solution. Reste que le problème des magasins tiers et l'adoption assez faible du Mac App Store ne jouent pas en la faveur d'une intégration.
À quelques jours du lancement de la Switch 2, Nintendo met ses applications iOS à jour pour accueillir correctement cette nouvelle génération. L’app officielle Nintendo Switch Online est récemment devenue Nintendo Switch App et gagne en fonctionnalité : on peut désormais accéder aux captures d’écran de sa console directement depuis son téléphone. Des éléments de l’interface ont été mis à jour, et on peut maintenant ajouter des personnes à sa liste d’amis via son iPhone. Le but est de mettre en valeur GameChat, un système de discussion en ligne présenté comme un point fort de la Switch 2.
Ce n’est pas tout, et l’entreprise a également apporté quelques modifications à son app de contrôle parental. Récemment passée en version 2.0, celle-ci prend désormais en charge la Switch 2 et les paramètres liés à GameChat. On pourra ainsi décider avec qui son enfant a le droit de parler, mais aussi augmenter le temps de jeu quotidien ou choisir à partir de quelle heure la console peut être utilisée. Des informations ont été ajoutées dans l’historique de jeu, tandis que de nouvelles notifications sont disponibles pour donner des conseils aux parents. Il est possible de gérer 8 Switch depuis l’app.
Sur un autre registre, Nintendo a également mis à jour Nintendo Today! : cette app lancée il y a peu permet de facilement suivre l’activité de la marque. Les évènements peuvent maintenant se synchroniser avec le calendrier d’iOS, et un bouton de favori a fait son apparition. De son côté, Nintendo Music a gagné une option d’arrêt automatique idéale pour ceux s’endormant en musique, ainsi que de nouveaux réglages pour la fonction d’extension de piste.
Apple aurait prévu un gros changement lors de la prochaine WWDC : un nouveau système de numérotation de ses OS. Cupertino se baserait ainsi sur l’année plutôt que sur un numéro de version incrémental, ce qui fait qu’iOS 19 s’appellerait iOS 26. Le but est de simplifier une gamme qui commence à devenir assez compliquée entre visionOS 2, watchOS 10 et macOS 15. Ce plan pose la question de savoir ce qu’il en sera pour l’iPhone, qui devrait logiquement passer au chiffre 17 cette année.
Image iGeneration
Le prochain modèle sera-t-il l’iPhone 26 ? Un tel changement serait plus simple pour les clients, tant un iPhone 26 tournant sous iOS 26 serait plus facile à expliquer qu’un iPhone 17 sous iOS 26. Le tout restera un peu confus après quelques générations de mises à jour (l’iPhone 26 sous iOS 29 ?), mais ça ne sera pas plus flou que ce que l’on a actuellement.
Un système de nom d’iPhone basé sur l’année permettrait également au client de savoir facilement quand a été lancé son téléphone. Le modèle actuel ne fait de toute façon plus vraiment sens, Apple ayant sauté l’iPhone 9 en 2017. En suivant le rythme habituel, l’iPhone des 20 ans de 2027 devrait être appelé… l’iPhone 19. Apple aura peut-être trouvé un nom spécial pour l’occasion, comme elle l’avait fait avec l’iPhone X.
Cupertino ne pourra pas rapprocher sa nomenclature de celle des iPad, qui n’ont pas de numéros et que l’on désigne parfois par générations. Cependant, Apple différencie depuis quelque temps ses produits par leurs puces (iPad Air M3, iPad Pro M4), ce qui ne fonctionnerait pas vraiment avec l’iPhone. Les modèles standard et Pro utilisent une puce différente, ce qui donnerait quelque chose comme iPhone (A19) et iPhone Pro Max (A19 Pro). Si les lecteurs de MacG s’y retrouverait, ce serait sans doute trop confus pour les acheteurs lambda.
Un iPhone nommé selon son année le rapprocherait des Mac, mais les ordinateurs de la Pomme sont baptisés de l’année en cours (MacBook Pro 2024), là où iOS se baserait sur l’année après la sortie (iOS 26 sortirait en septembre 2025). Un iPhone 25 tournant sous iOS 26 ne serait pas très logique. Reste aussi l’hypothèse appuyée par Mark Gurman qu’Apple ne changera rien pour ne pas perturber le public. On en saura plus en septembre prochain, lors du grand Keynote de présentation de la nouvelle cuvée d’iPhone.
John Gruber organisera comme chaque année sa propre conférence autour de la WWDC d’Apple, sauf que cette fois, il n’y aura pas de dirigeant d’Apple avec lui. C’était pourtant une longue tradition : depuis 2015, son Talk Show Live From WWDC accueillait un ou plusieurs responsables d’Apple pour parler des nouveautés annoncées lors de la conférence destinée aux développeurs. Il y avait le plus souvent Craig Federighi, responsable logiciel et star de la WWDC, accompagné de Greg Joswiak en charge du marketing et parfois d’une autre personne, comme Mike Rockwell (Vision Pro), John Ternus (Mac) ou bien John Giannandrea (intelligences artificielles) selon le sujet de l’année.
Les têtes d’affiche de quelques conférences organisées à la WWDC par John Gruber ces dernières années. Montage MacGeneration, images YouTube.
Cette tradition sera rompue en 2025. En annonçant l’ouverture des ventes de tickets, John Gruber prévient qu’Apple a décliné son invitation et n’enverra personne. Il promet malgré tout un spectacle « fascinant » et note qu’il se sent « revigoré » par l’absence de la Pomme, on verra bien ce que cela veut dire. Quoi qu’il en soit, il aura peut-être plus de mal à écouler tous les tickets, vendus 50 $ pièce, maintenant que l’on sait qu’il n’y aura ni Craig, ni Joz, ni aucun dirigeant Apple sur la scène à ses côtés.
Même si John Gruber n’a pas obtenu de réel scoop depuis des années, son échange plus informel avec les vice-présidents de Cupertino apportait souvent un éclairage différent sur les annonces de la WWDC et parfois quelques petites infos. L’ambiance est assez particulière cette année toutefois, alors qu’Apple a été prise en flagrant délit de mensonge lors de la WWDC 2024, en présentant un Siri purement fictif. Ses annonces concernant Apple Intelligence seront ainsi scrutées avec davantage de scepticisme et il faut aussi tenir compte de la gestion compliquée (pour utiliser un euphémisme) de l’App Store face aux demandes de l’Europe et même de son propre pays.
John Gruber paie peut-être son article de blog rageur intitulé « Il y a quelque chose de pourri au royaume de Cupertino », un titre assez clair pour un contenu accusateur à l’encontre d’Apple en général et de ses dirigeants en particulier. Ils n’ont sans doute pas apprécié le ton de la critique…
Alors que les rumeurs s’axaient surtout sur l’iPhone 17 Pro et bien entendu l’iPhone 17 Air, il serait facile d’oublier l’iPhone 17 « standard ». Heureusement, certains fuiteurs ne l’ont pas oublié, comme le rappelle 9to5Mac.
Vous prendrez bien un bouquet d’iPhone 17 ? Image Sonny Dickson.
Au fil des semaines, les fuites commencent à accorder leurs violons sur certaines spécificités du nouveau modèle. Ainsi, il gagnerait en taille, passant de 6,1 pouces de diagonale actuellement à 6,3 pouces (comme l’iPhone 16 Pro actuel) et verrait son écran amélioré, par l’ajout d’un taux de rafraîchissement à 120 Hz, comme son grand frère. Au final, les diagonales et spécifications étant identiques, il n’y a qu’un pas à en déduire qu’Apple fera quelques économies d’échelle sur la production des écrans.
Voilà qui permettrait à l’iPhone 17 de récupérer pour la première fois dans cette gamme le mode « always on », qui permet l’affichage de l’heure et de quelques autres informations supplémentaires en permanence sur l’écran.
La guerre commerciale engagée par Donald Trump, feuilleton de ce début d’année, continue avec une nouvelle surprise : selon Reuters, une cour de justice spécialisée dans le commerce extérieur de New York a suspendu la majorité des tarifs douaniers voulus par le président des États-Unis d’Amérique.
Tim Cook et Donald Trump en 2019. Image The White House, domaine public.
En effet, cette cour a invalidé l’usage de la loi d’urgence économique de 1977, estimant qu’elle n’était pas utilisable pour imposer une surtaxe généralisée sur les importations. L’injonction donne 10 jours à la Maison Blanche pour supprimer les taxes imposées, la décision étant à effet immédiat bien que le bureau du président ait bien entendu fait appel.
Voilà de quoi mettre des bâtons dans les roues de Donald Trump, qui se voit non seulement interdire d’imposer une majeure partie des taxes qu’il avait dévoilées (dont celles sur le Canada, le Mexique ou encore la Chine), mais aussi toute autre taxe future (dont la fameuse taxe de 25 % sur les smartphones) sans l’aval du Congrès au préalable. Suite à l’appel de la Maison Blanche, la décision finale reviendra à la Cour Suprême des USA.
En attendant, les entreprises de la tech comme Apple, pour qui ces taxes représenteraient près d’un milliard de dollars de pertes au Q3, peuvent respirer un peu et espérer une décision finale positive... et leurs clients aussi.
Mise à jour à 22h45 : et comme les USA ne sont plus à un retournement de situation près, une cour d’appel a décidé de suspendre l’arrêté pris par la première cour de justice. Les taxes douanières peuvent donc revenir, et de nouvelles peuvent être ajoutées, mais ce n'est pas la fin de la bataille. La remontée vers la Cour Suprême pourrait aller très vite, certains ayant évoqué une décision d’ici moins d’une semaine.
Le successeur de macOS Sequoia, qui ne sera pas macOS 16 mais macOS 26, devrait laisser l’iMac Pro sur le carreau. Selon AppleInsider, qui cite « des individus familiers des variantes internes et des versions de préproduction des systèmes d’exploitation d’Apple », Apple ne compte pas tout à fait abandonner les machines à puce Intel, mais c’est tout comme.
À ce stade, le système d’exploitation connu sous le nom de code « Cheer » (« joie ») prend en charge les machines suivantes :
MacBook Pro depuis le modèle 2019 ;
MacBook Air depuis le modèle M1 ;
Mac Pro depuis le modèle 2019 ;
tous les Mac Studio ;
iMac depuis le modèle 2020 ;
et Mac mini depuis le modèle M1.
Autrement dit : outre l’iMac Pro 2017, seule et unique variante de cette étrange machine, Apple abandonne les derniers MacBook Air et Mac mini à puce Intel, ainsi que le MacBook Pro 2018. Alors que la plupart des nouveautés des dernières années sont réservées aux puces Apple, la compatibilité avec les puces Intel se réduit à peau de chagrin.
Les AirTags ne cessent de prouver leur utilité, ainsi que leur danger quand ils sont détournés, mais leur format restreint leur polyvalence. Qu’à cela ne tienne, les accessoiristes ne manquent pas d’idées. Satechi présente ainsi une gamme complète de produits compatibles avec le réseau Localiser.
Image Satechi/iGeneration.
L’accessoiriste californien inaugure la gamme FindAll avec cinq produits : un porte-clés (29,99 $), une carte à glisser dans son portefeuille (34,99 $), une étiquette de valise (44,99 $), une couverture de passeport (59,99 $) et surtout un étui à lunettes (49,99 $). Ses accessoires fleurent bon les vacances, mais pas le cuir, Satechi lui préférant un plastique texturé, décliné dans trois couleurs (noir, blanc sable et rose poudré).
Les produits compatibles avec le réseau Localiser apparaissent dans l’application du même nom et possèdent la plupart des fonctionnalités des AirPods, à l’exception notable de la microlocalisation par UWB. En contrepartie, les produits de Satechi sont dotés d’une batterie leur conférant jusqu’à huit mois d’autonomie, qui peut être rechargée par induction. Le prix en euros et la disponibilité dans nos contrées n’ont pas encore été annoncés.
Vidéos floues, fichiers trop lourds, photos abîmées : on a tous dans nos disques durs des souvenirs malmenés par le temps ou la technologie. Macxvideo AI promet de les réparer, de les réinventer — et il le fait avec une IA redoutablement efficace. Bonne nouvelle : on peut le tester gratuitement, ou l’acheter à -57 %.
Il y a ces vieilles vidéos de famille enregistrées sur DVD ou transférées depuis une VHS fatiguée. Ces photos qu’on aimerait faire imprimer, mais qu’on n’ose pas tant elles sont floues ou truffées de bruit numérique. Ces enregistrements qu’on a faits à la va-vite, sur un téléphone ou une GoPro, et qu’on voudrait améliorer sans y passer la nuit.
Et puis il y a le quotidien : les vidéos trop lourdes pour être envoyées par mail, les formats incompatibles avec un logiciel, les extraits qu’on télécharge et qui s’avèrent trop compressés pour être vraiment regardables.
Dans tous ces cas, Macxvideo AI se présente comme une réponse directe, claire, performante. Il ne s’agit pas juste d’un logiciel de conversion ou d’un outil d’édition en plus. C’est une solution complète, pensée pour que le traitement de vos fichiers multimédias ne soit plus une galère mais un plaisir.
Une application qui ne vous fait pas perdre de temps
Ce qui frappe dès les premières minutes d’utilisation, c’est la fluidité. Sur Mac (à partir de macOS 10.15), Macxvideo AI combine toutes les fonctions essentielles dans une interface unique : édition vidéo, capture d’écran, téléchargement, compression, conversion, et bien sûr amélioration par intelligence artificielle.
Mais ce n’est pas qu’une question de quantité. Ce qui change tout, c’est l’intégration du traitement IA avec accélération GPU. Résultat : une vidéo qui mettrait normalement vingt minutes à être retravaillée s’exporte ici en une poignée de secondes. L’optimisation est telle qu’on peut traiter des vidéos en 4K sans voir le logiciel flancher.
L’IA à la rescousse de vos pixels
Là où Macxvideo AI impressionne vraiment, c’est quand on lui confie des fichiers abîmés. Une vieille vidéo granuleuse, un clip musical téléchargé en basse qualité, une photo en noir et blanc : tout peut être rajeuni, embelli, transformé.
L’IA a été entraînée sur des millions d’échantillons, et ça se sent. Elle reconnaît les visages, les textures, les mouvements, et les restaure sans créer d’artifices gênants. Elle upscale, elle fluidifie, elle nettoie. Une vidéo en 720p devient parfaitement visionnable en 4K. Un selfie flou peut presque passer pour une photo professionnelle.
Et le tout se fait sans réglages compliqués. Il suffit de glisser un fichier dans l’interface, de sélectionner une amélioration, et de laisser l’IA faire le reste.
Comment ça marche, concrètement ?
Prenons un exemple : une vieille vidéo de vacances, filmée à l’époque des premiers smartphones. Il suffit de l’ouvrir dans Macxvideo AI, d’activer la super résolution IA, de choisir un export en 1080p ou 4K, et de cliquer sur « traiter ». La comparaison avant/après est immédiate. C’est net, propre, sans bruit parasite. Et ça redonne envie de la partager.
Même chose pour les images. Une photo d’archive, un portrait d’enfance, une image générée par IA trop compressée… Macxvideo AI peut les faire passer en 8K, supprimer les flous, retrouver des détails invisibles. On peut même coloriser automatiquement une photo en noir et blanc avec un résultat étonnamment naturel.
Et si on veut aller plus loin : montage rapide, ajout de texte ou de sous-titres, export dans des dizaines de formats… tout est intégré. Pas besoin d’ouvrir une autre application, tout se fait au même endroit.
Macxvideo AI propose deux portes d’entrée. D’un côté, une licence gratuite à activer ici, qui permet de tester l’intégralité des fonctions pendant un temps limité. Parfait pour voir par soi-même ce que l’IA a dans le ventre.
De l’autre, une offre de lancement qui casse les prix : 29,95 € au lieu de 69,95 €, à condition d’utiliser le code promo MACXDEBUT57OFF sur la page d’achat officielle. Il suffit de cliquer sur « Acheter maintenant », d’entrer le code dans le champ prévu, puis de rafraîchir la page. Et voilà : une licence à vie, sans abonnement, pour un prix plancher.
Ne laissez pas vos souvenirs dans l’ombre !
On a trop souvent pris l’habitude de renoncer : à restaurer une vidéo qu’on croyait irrécupérable, à publier une photo un peu trop floue, à convertir un fichier capricieux. Macxvideo AI remet tout cela à portée de clic.
Il ne promet pas de miracles. Mais il s’en approche dangereusement. Avec son IA performante, son interface limpide et son accélération GPU, il transforme une tâche fastidieuse en expérience presque créative.
Opera continue d’y croire, avec l’énergie du désespoir. Après avoir abandonné son moteur de rendu au profit des technologies de Google, s’être vendu à un obscur consortium chinois, et changé d’interface comme d’autres changent de chemise, le navigateur norvégien parie aujourd’hui sur le « web agentique ». Opera Neon est un nouveau navigateur qui prétend naviguer sur le web à votre place.
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« Nous sommes parvenus à un point où l’intelligence artificielle peut fondamentalement changer la façon dont nous utilisons internet et effectuons toutes sortes de tâches dans le navigateur », explique Henrik Lexow, directeur de l’intelligence artificielle chez Opera, « nous considérons Opera Neon comme une plateforme collaborative pour façonner le prochain chapitre de la navigation agentique avec notre communauté ». (Non, ce n’est pas juste vous, cela ne veut vraiment rien dire.)
En somme, Opera Neon intègre trois modalités d’utilisation de l’intelligence artificielle. Comme son nom l’indique, « Chat » n’est rien d’autre qu’un assistant conversationnel intégré au navigateur. « Do » est un moteur d’actions qui prétend effectuer des actions à votre place, comme l’établissement d’un itinéraire de vacances et les réservations des billets associés. « Make », enfin, est un assistant spécialisé dans la création d’automatisations et de petits logiciels.
Autant dire qu’Opera n’a rien présenté que Google, Microsoft, Mozilla ne fassent déjà — sans parler d’Anthropic, OpenAI et Perplexity. L’entreprise norvégienne propose son nouveau navigateur sur invitation, sans mentionner de publication plus ouverte. Une chose est sûre : les fonctionnalités d’Opera Neon ne seront pas gratuites. Payer pour ne pas utiliser son navigateur, voilà qui ne manque pas de piquant.
Alors que les meilleures applications de blocage des appels indésirables adoptent le modèle de l’abonnement, Silence se distingue avec son achat unique de 0,99 € qui rappelle les débuts de l’App Store. Si elle incorpore sa propre liste de blocage, « il est regrettable qu’elle ne propose pas de bloquer l’ensemble des numéros réservés au démarchage téléphonique », disions-nous. Ce défaut est maintenant corrigé.
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Silence propose toujours sa base de données de numéros indésirables, qui compte plus de 8 000 entrées, mais permet désormais de bloquer les 12,5 millions de numéros sous les préfixes réservés au démarchage (01 62, 01 63, 02 70, 02 71, 03 77, 03 78, 04 24, 04 25, 05 68, 05 69, 09 48, 09 49, 09 475, 09 476, 09 477, 09 478 et 09 479). La petite application comble ainsi une lacune face à Begone et Saracroche.
Les applications de blocage ne peuvent malheureusement pas grand-chose contre la multiplication des appels depuis l’étranger. Si vous êtes assaillis d’appels, n’oubliez pas l’existence de l’option Appels d’inconnus silencieux dans les réglages de l’application Téléphone.
Bare Bones Software corrige une anomalie en dotant BBEdit 15.5 d’espaces de travail, des arrangements de documents et de fenêtres qui peuvent être enregistrés et (ré)activés à la volée. Le vénérable éditeur de code, plus que trentenaire, veut aussi rester dans le coup en intégrant les outils d’écriture d’Apple Intelligence.
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Les espaces de travail peuvent être décrits comme une capture à l’instant t de l’état de l’application. Cela veut dire qu’ils ne sont pas modifiés au fur et à mesure de l’ouverture et de la fermeture de fenêtres : ils doivent être enregistrés, et éventuellement écrasés, manuellement. Ce fonctionnement assure que des manipulations transitoires d’un projet ne chamboulent pas son organisation, ce qui n’est probablement pas plus mal.
Vous l’aurez compris, les espaces de travail permettent de passer rapidement d’un projet à un autre, une fonctionnalité d’autant plus appréciable que BBEdit est tout autant un éditeur de code qu’un éditeur de texte. Seuls les fichiers enregistrés peuvent faire partie d’un espace de travail ; les fichiers ouverts mais pas encore enregistrés sont préservés lors du passage d’un espace à un autre.
Comme toujours, Bare Bones a profité de l’occasion pour multiplier les petits changements. Outre les outils d’écriture d’Apple Intelligence, BBEdit 15.5 prend maintenant en charge les connexions FTPS, améliore sa prise en charge des branches dans les projets Git et réincorpore la commande « zoom » qui avait disparu dans une précédente version. BBEdit est disponible sur le site de Bare Bones au prix de 59,99 $ (env. 53 €) ou sur l’App Store avec un abonnement annuel à 59,99 €.
eSIM ou SIM physique ? C’est le choix indispensable que vous devez faire depuis quelque temps chez les quatre grands opérateurs au moment de souscrire un forfait. Si l’eSIM présentait au départ plusieurs contraintes, sa gestion s’est améliorée au fil du temps.
Orange, SFR et depuis peu Free Mobile permettent de transférer facilement cette SIM virtuelle entre deux iPhone. Le transfert vers un smartphone Android est toujours moins évident que de retirer une petite carte à puce d’un appareil pour l’insérer dans un autre, mais cela pourrait évoluer positivement avec iOS 19.
L’outil d'éjection de la carte SIM, le prochain élément qui va disparaître de la boîte de l’iPhone ? Image iGeneration.
Autre avancée notable, la prise en charge simultanée de deux eSIM actives depuis les iPhone 14. Avant cette génération, pour utiliser deux forfaits en même temps, il en fallait forcément un lié à une nano-SIM et un autre lié à une eSIM.
Pour l’instant, vous avez toujours le choix entre eSIM et nano-SIM, mais cela pourrait changer avec les iPhone 17. Il se murmure en effet que les iPhone uniquement eSIM imposés depuis quelques années aux Américains pourraient arriver dans d’autres pays.
Alors, pour votre forfait personnel, utilisez-vous une eSIM ou une SIM physique ? Notre sondage porte sur votre forfait principal, pas sur un éventuel forfait (eSIM) que vous prendriez pour les vacances ou un forfait professionnel.
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Même quand il n’a plus de réseau, votre iPhone peut en retrouver ! Depuis quelques années, les iPhone récents bénéficient d’une connexion satellitaire qui peut vous tirer d’affaire dans une zone blanche. C’est une super fonction, sauf qu’Apple ne saurait plus trop comment la faire évoluer. Quelle est la bonne trajectoire à suivre pour les ambitions satellitaires d’Apple ? On en discute dans cette émission.
Au programme également, WhatsApp dispose enfin d’une application pour iPad, Donald Trump tourne le dos à Tim Cook et Siri retarde un tout nouveau produit.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
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Alors que la Dynamic Island existe depuis maintenant plusieurs années, et que les Activités en direct ont pointé le bout de leur nez avec iOS 16.1, certains modes de transport commencent à profiter de la nouveauté.
Deux exemples donnés par Apple.
Tesla et la SuperCharge en temps réel
Pour les inconditionnels de la voiture, Tesla a apporté une mise à jour de son app de contrôle du véhicule, permettant d’indiquer l’état de charge de la voiture quand elle est branchée à un SuperChargeur. Le remplissage de la batterie allant assez vite sur ces bornes, l’idée est bien pratique pour ne pas avoir à payer de pénalités (la marque inflige une pénalité de 1 €/mn en cas de borne squattée indûment après la charge).
La nouvelle activité en direct pour la charge du véhicule. Image Tesla.
Île de France Mobilités et vos itinéraires
L’affichage du temps vers la prochaine étape dans la Dynamic Island. Image Numerama.
Mais la marque américaine n’est pas la seule à annoncer l’utilisation des Activités en direct, le Lab IDFM lançant en beta la possibilité d’obtenir son itinéraire dans les notifications, affichant l’étape suivante sans avoir à déverrouiller l’appareil. De plus, le temps de la prochaine étape apparaîtra aussi sur la Dynamic Island des appareils équipés, comme rapporté par Numerama.
Votre itinéraire dans les Activités en direct. Image Numerama.
Pour activer l’option, il faut aller dans la section « Le Lab » des paramètres de l’app Île de France Mobilités.
Jusqu’à présent, Apple a toujours nommé ses OS par incrémentation, commençant par « 1.0 » et augmentant d’une unité à chaque grosse mise à jour. Si au début de macOS (qui s’appelait alors Mac OS X), comme pour son prédécesseur, les mises à jour majeures n’étaient pas annuelles, le rythme est maintenant calé sur le calendrier, avec une nouvelle grosse version tous les ans.
iOS, lui, voit sortir sa grosse version chaque année depuis le début, ayant commencé par iPhoneOS 1.0 pour être actuellement sur iOS 18.5. La même chose pour watchOS, qui a commencé à 1.0 pour être à watchOS 11.5.
tvOS et iPadOS sont un peu étranges : ils n’ont pas commencé à « 1.0 », pour tenter d’être raccord avec iOS. Ainsi tvOS 18.5 et iPadOS 18.5 n’ont pas réellement 18 ans d’existence, ni n’ont connu 18 versions majeures.
Selon Mark Gurman Apple aurait décidé, en plus de revoir de fond en comble son interface, de renommer tous les OS suivant l’année en cours. Et comme les nouvelles versions devraient sortir en fin 2025, chaque version s’appellerait « 26 ».
Ainsi devraient être présentés iOS 26, iPadOS 26, watchOS 26, tvOS 26, macOS 26 et visionOS 26.
Le changement, symbolique, aurait été décidé pour marquer l’unification des systèmes, et rendre la numérotation moins confuse pour les utilisateurs. Voilà qui rapprocherait Apple de Samsung, qui utilise ce système pour ses smartphones annuels depuis 2020 (l’actuel est le S25 pour 2025), et rappellera l’époque d’iWork ou iLife, qui étaient nommés suivant l’année suivant leur sortie.
Et vous, que pensez-vous de ce changement de nom ?
Alors que la nouvelle gamme doit être présentée d’ici quelques mois, voilà qu’une nouvelle vidéo sort le bout de son nez, permettant de se représenter l’épaisseur que devrait avoir l’iPhone 17 Pro Max, qui s’il devient plus épais n’est pas à l’abri d’être aussi plus cher.
C’est le fuiteur Majin Bu qui la propose avec une maquette de ce à quoi devrait ressembler l’iPhone 17 Pro Max. Comparé à l’iPhone 16 Pro Max il devrait faire un peu moins de 0,5 mm de plus, l’appareil actuel mesurant 8,25 mm d’épaisseur contre 8,725 mm pour le nouveau modèle.
Telegram vient d’annoncer un partenariat avec xAI, l’entreprise d’Elon Musk dédiée aux IA génératives. Le service de messagerie va proposer le chatbot Grok à ses utilisateurs, qui sera intégré dans ses applications. Le fondateur de Telegram Pavel Durov a déclaré que cet accord durerait un an : son entreprise va recevoir 300 millions de dollars pour l'occasion (environ 264 millions d’euros), dont une partie sera payée en actions xAI. La plateforme récupérera également 50 % des recettes provenant des abonnements à Grok vendus via Telegram.
This summer, Telegram users will gain access to the best AI technology on the market. @elonmusk and I have agreed to a 1-year partnership to bring xAI’s @grok to our billion+ users and integrate it across all Telegram apps
Pavel Durov a partagé une vidéo montrant l’intégration du tchatbot. Celui-ci va être mis en avant auprès des utilisateurs et trouvable via une recherche. On pourra lui poser des questions, s’en servir pour modifier ses messages, résumer des conversations ou des PDF, mais aussi modérer des tchats de groupes. Un peu comme ce que propose Apple avec les genmojis, il sera possible de générer des autocollants animés. On pourra enfin lui demander de retoucher son avatar, présent sur sa photo de contact.
Ce partenariat marque un rapprochement entre deux acteurs controversés. Pavel Durov a été arrêté en France l’année dernière : on lui reprochait alors l’absence de modération sur les contenus partagés sur Telegram, en plus d’un refus de coopérer sur différentes enquêtes (escroquerie, trafic de drogues, crime organisé, etc). Il s’était défendu par la suite, déclarant qu’il était « difficile de trouver le bon équilibre entre la confidentialité et la sécurité ».
De son côté, Grok a été présenté comme un tchatbot « ayant un sens de l'humour » et moins politiquement correct que la concurrence. Son générateur d’image n’est pas bridé et peut représenter des célébrités. Il a récemment été épinglé pour sa capacité à déshabiller des femmes ou encore son obsession sur un prétendu « génocide blanc » en Afrique du Sud. Les nouveautés liées à Grok seront mises en place à l’été 2025.
Framasoft cherche à mettre en valeur PeerTube, son alternative décentralisée à YouTube. L’association vient de lancer un financement participatif visant à accélérer le développement de son application mobile. Un pari qui devrait rendre l'app plus confortable au quotidien et ainsi permettre à PeerTube d’être adopté par un plus grand public.
PeerTube n’a pendant longtemps été gérée que par un seul développeur, mais Framasoft a doublé ses effectifs l’année dernière en embauchant une personne travaillant sur la future application mobile. L’association considère que PeerTube est désormais mature, rappelant qu’il est utilisé par le ministère de l'Éducation nationale français ou le réseau informatique des universités italiennes. Le fonctionnement reste assez différent de YouTube, étant donné que tout est décentralisé : il faut rejoindre des « plateformes » diffusant leurs vidéos avant d’en voir le contenu.
Une première version de l’app mobile est sortie en fin d’année dernière, et la campagne a pour but de l’améliorer. À partir de 15 000 € de dons seront ajoutés la lecture en arrière-plan, la possibilité de diffuser la vidéo sur une TV ou d’activer les notifications. À 35 000 €, l’association va pouvoir permettre l’envoi de vidéos depuis son téléphone, que l’on pourra directement chapitrer et sous-titrer. À partir de 55 000 €, un système de diffusion en direct sera mis en place.
La campagne durera pendant encore 19 jours, avec un objectif de 75 000 € permettant de soutenir l’association sur le long terme. Framasoft explique qu’il n’y a pas de contributions à proprement parler, et que la campagne va permettre de jauger l’enthousiasme du public pour le projet. Vous pouvez faire un don à ce lien, lire le billet de blog détaillé ici ou télécharger la première version de l’app sur l’App Store
Logic Pro 11.2 sur Mac voit sa fonction d'extraction de stems d’instruments étendue. Précédemment on pouvait récupérer d'un mixage multipiste des enregistrements individuels de chant, de basse, de batterie et le reste allait dans les « autres instruments ». On peut ajouter maintenant à cette liste les parties jouées au piano et à la guitare (il faut toujours un Mac M1 minimum pour réaliser ces extractions).
Le séparateur de stems avec de nouveaux instruments. Image Apple.
Apple cite aussi ces deux améliorations :
Utilisez la nouvelle fonctionnalité de sous-mixage pour créer un fichier audio personnalisé, comme un morceau instrumental ou seulement une batterie et une basse
Servez-vous de préréglages pour définir rapidement des ensembles de mixages de stems fréquemment utilisés, comme a cappella, instrumental, instrumental avec chant, et plus encore
Une nouvelle fonction baptisée Capture flashback dépanne l'utilisateur lorsqu'il veut restaurer une improvisation qu'il a omis d'enregistrer. L'activation du mode Cycle envoie automatiquement les prises et pistes dans des dossiers classés pour les récupérer et retravailler plus tard. Ensuite, le bloc-notes de l'application adopte les outils d'écriture de ChatGPT via Apple Intelligence sur macOS 15.4 minimum.
Image Apple.
Puis des paquets de sons supplémentaires sont fournis avec cette mise à jour, détaille Apple :
Dancefloor Rush offre des crêtes de batterie et de basse avec des synthés et des batteries percutants
Magnetic Imperfections confère un charme imprévisible à chaque son en évoquant l'esprit brut des bandes analogiques
Tosin Abasi apporte sa touche de guitare de métal progressif, avec des amplis et des effets sophistiqués, des styles distinctifs de pincement et des riffs écrasants pour les altérations
Enfin, le moteur de recherche s'améliore sur les projets plus volumineux pour des requêtes sur les noms ou numéros de pistes.
La version iPad de Logic n'est pas oubliée. La mise à jour 2.2 reprend de la version Mac la fonction Learn MIDI pour assigner facilement des commandes et modules du logiciel à des contrôleurs sur des périphériques.
Image Apple.
Les autres nouveautés de Logic Pro pour Mac sont incluses dans la version iPad (iPadOS 18.4 est nécessaire pour les stems) et un seul paquet de son est mentionné (Dancefloor Rush).
Bonne nouvelle pour les bidouilleurs : Apple vient d’annoncer que les iPad venaient de rejoindre son programme de réparation à domicile. Les plus manuels pourront donc y faire appel pour réparer certaines tablettes récentes. Le programme était jusqu’à présent réservé aux iPhone, aux Mac et à certains accessoires comme le Studio Display.
Comme pour les autres appareils, les manuels sont disponibles en accès libre sur le site d’Apple tandis que les pièces peuvent être commandées sur la boutique prévue à cet effet. Le programme ne fonctionne qu’avec des iPad sortis sur les deux dernières années : l’iPad Air M2/M3, les iPad Pro M4, l’iPad mini A17 Pro et le dernier iPad à puce A16.
Il est possible de faire en sorte de changer la batterie, mais aussi de réparer une caméra ou un port défectueux. La boutique française n’a pas encore été mise à jour avec les nouvelles pièces. Elle prend désormais en charge 65 produits Apple, donc les Mac M4 et l’iPhone 16e.
La réparation via ce programme est à réserver aux clients qui savent ce qu’ils font : un simple changement de batterie d'iPhone implique de recevoir des grosses malles de plus de dix kilos comportant tout un tas d’outils. Lancé au début 2023 dans l’Hexagone, le Canada sera le 34ᵉ pays à en bénéficier à partir de l’été prochain. La Pomme a profité de cette annonce pour donner des détails sur son programme Genuine Parts Distributor, qui se destine aux réparateurs. Il permet au prestataires indépendants de commander des composants d’origine via un distributeur tiers. Une page dédiée est en ligne avec des détails.
La Switch 2 sera officiellement lancée la semaine prochaine, le 5 juin. Si certains ont précommandé la machine dès son annonce début avril, d’autres ont été quelque peu refroidis par son prix en hausse par rapport à la première génération. Heureusement, les revendeurs français ont décidé de casser les prix pour attirer les clients : voici où précommander votre Switch 2 si ce n’est pas encore fait.
Nintendo Switch 2. Image Nintendo.
Bien que Nintendo affiche un tarif recommandé de 469,99 €, la machine seule peut être trouvée pour 439,99 € chez Cdiscount, Leclerc ou Cultura. Les nouveaux clients Cdiscount peuvent obtenir 10 € de remise avec le code HELLO10, ce qui en fait sans doute la meilleure offre du moment. La livraison est prévue dès le 5 juin.
La Fnac affiche la console à son tarif standard, mais proposera une ouverture exceptionnelle dans une dizaine de magasins le 5 juin : cela peut être intéressant pour les plus pressés. Les boutiques seront ouvertes de minuit à 2 h du matin pour l’occasion, mais il faudra commander avant le 30 mai pour être sûr d’être servi.
Le pack avec Mario Kart est à 10 € de moins que son tarif conseillé chez de nombreux revendeurs. On le trouve ainsi à 499,99 € chez Amazon ou même à la Fnac. L’enseigne a visiblement plus de stock que la plateforme en ligne, Amazon annonçant une livraison le 10 juin là où la Fnac reste sur le 5. Leclerc a également du stock, tout comme Auchan, qui propose en plus 15 € de bons d’achat pour l’achat de 60 € de jeux vidéo.
Pour ceux désirant acheter des jeux en version boîte, Mario Kart est à 69,90 € chez de nombreux revendeurs, comme la Fnac ou Amazon. Cette dernière a visiblement ce qu’il faut pour les accessoires, comme la manette Pro à 89,99 € ou la pochette de transport. Donkey Kong Bananza est disponible pour 59,90 € en précommande chez Amazon, sachant qu’il ne sortira qu’à la mi-juillet. Nous mettrons cet article à jour avec les bonnes affaires qui vont sans doute être mises en place une fois la console sur les étals.
Mise à jour 30/05 — Le code coupon RAKUTEN30 ne marche plus. Cela ramène l’iPhone 16e à 549 €, ce qui reste tout de même un excellent prix, puisque ce modèle coûte 170 € de plus en Apple Store.
Article original —
Le plus gros défaut de l’iPhone 16e ? Son prix évidemment. À 719 €, on remarque beaucoup plus ses lacunes que ses qualités : un appareil agréable à utiliser doté d’une très bonne autonomie. Heureusement, son plus gros défaut tend à disparaitre avec le temps. Les promotions se multiplient et son prix ne cesse de baisser.
Voilà que Rakuten vient d’établir à ce petit jeu un nouveau record : il est possible aujourd’hui d’acquérir l’iPhone 16e 128 Go pour 519 € seulement. Soit une réduction de 200 € sur son prix habituel.
Pour l’obtenir à ce prix, il est important de saisir le code RAKUTEN30 lors de la commande. Les deux couleurs (blanc et noir) sont éligibles à cette opération.
Ce sont des modèles neufs d’import. Le téléphone proposé est un modèle européen, il n’y a donc pas de problèmes de compatibilité à prévoir. Pour une commande passée aujourd’hui, vous recevrez le smartphone entre le 30 mai et le 2 juin.
Si vous hésitez, sachez que notre test de l’iPhone 16e est en libre accès. Nous avions donné une note de quatre sur cinq à ce modèle. À l’époque, notre plus gros grief était son prix. À vous de voir…
Remplacer Apple Pay par une autre solution de paiement c'est possible en Europe et Curve a saisi la balle au bond, notamment en France. Le service britannique a démarré par l'Italie et il prévoit d'offrir Curve Pay dans tous les pays de l'Union européenne d'ici la fin du mois (le Royaume-Uni suivra dans quelques mois).
Image Curve.
L'un de nos lecteurs en France a pu activer cette nouvelle option dont il nous a transmis les captures qui illustrent le parcours de configuration. Il n'avait pas encore eu l'occasion de tester l'ultime étape, celle d'un achat. Théoriquement tout se passe comme avec Apple Pay, par une double pression sur le bouton latéral ou par l'approche de son iPhone vers le TPE (l'Apple Watch n'est pas concernée, Bruxelles s'est concentré sur l'iPhone pour l'accès à sa NFC).
Les captures se passent de longs commentaires. Curve propose de définir Curve Pay comme nouveau portefeuille numérique à la place de l'app Cartes/Wallet d'Apple. L'utilisateur doit ensuite valider l'autorisation pour cette solution tierce d'utiliser la NFC de son iPhone pour les paiements sans contact et Curve Pay est ensuite à sélectionner comme nouvelle app de paiement sans contact, en lieu et place d'Apple Pay.
DR.DR.
Il n'y a pas qu'Apple Pay et Cartes qui sont tenues de laisser la place à un concurrent, Apple a dû lâcher du lest pour bien d'autres catégories : Plans, Mail, Safari, Messages, Traduire…
Pour la Commission européenne, Apple est toujours en dehors des clous du DMA. Le régulateur a infligé une amende de 500 millions d’euros à Cupertino en avril dernier. L’intégralité de sa décision vient d’être publiée : rédigée fin avril, on peut y lire qu’Apple avait 60 jours pour se mettre au pas des règles du DMA, sans quoi des « pénalités périodiques » seront mises en place. On peut donc conclure qu'il lui reste jusqu'au 22 juin pour s'exécuter, soit moins de 30 jours.
La discorde porte autour des limitations mises en place par Apple visant à empêcher les clients de s’abonner à des services ou d’effectuer des achats sur des plateformes externes, qui ne sont pas soumises aux 30 ou 15 % de commission. Apple a bien fait quelques changements, qui ne sont pas suffisants pour la Commission. Celle-ci a passé au crible les règles de l’App Store, la révision mise en place au mois de mars et les textes concernant les apps de streaming musicales : elle estime qu’Apple ne respecte pas ses règles.
Les changements effectués par Apple font que les développeurs peuvent proposer des liens externes, mais dans un format spécifique. Cliquer dessus affiche un écran avertissant l’utilisateur qu’il quitte le pré carré d’Apple d’une manière pouvant être interprétée comme intimidante. Apple continue de prélever une taxe de 27 % sur ces achats, pourtant réalisés en dehors de l’App Store. Ces contraintes ont récemment sauté aux États-Unis dans le cadre du grand procès opposant Cupertino à Epic.
« Les pénalités qui pourraient être définitivement fixées devraient être suffisantes pour assurer le respect par Apple de la présente décision et pourraient tenir compte des ressources financières importantes d'Apple », indique la Commission dans un document. Le DMA précise que ces amendes peuvent aller jusqu’à 5 % de son chiffre d’affaires mondial journalier moyen. Apple a répondu dans un communiqué partagé à 9to5Mac, dont voici une traduction :
Rien dans la décision de 70 pages publiée aujourd'hui ne justifie les actions ciblées de la Commission européenne contre Apple, qui menacent la vie privée et la sécurité de nos utilisateurs en Europe et nous obligent à donner notre technologie gratuitement. Cette décision et cette amende sans précédent ont été prises alors que la Commission a continuellement changé les règles du jeu en matière de conformité et bloqué à plusieurs reprises les efforts déployés par Apple pendant des mois pour mettre en œuvre une nouvelle solution.
Cette décision est mauvaise pour l'innovation, mauvaise pour la concurrence, mauvaise pour nos produits et mauvaise pour les utilisateurs. Pendant que nous faisons appel, nous continuerons à nous engager auprès de la Commission pour défendre les intérêts de nos clients européens.
De façon régulière, des malandrins réussissent à passer entre les mailles du filet de l'App Store et proposent des apps qui semblent anodines, mais qui cachent en réalité des plateformes de streaming illégales, qui donnent par exemple accès aux catalogues de Netflix, Disney+ et d'autres sans devoir débourser un centime. Mais la justice s'en mêle.
Quelques apps passées entre les mailles du filet au fil du temps. Image iGeneration.
Diverses organisations liées au cinéma — centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), la Fédération nationale des éditeurs de films (FNEF), le syndicat de l’édition vidéo numérique (SEVN), etc. — viennent en effet d'obtenir le blocage des serveurs qui alimentent des apps connues comme Kayak, Micro Habits, Univers Note ou Salan Rice. Nos confrères de L'Informé expliquent que la justice a ordonné le blocage aux principaux opérateurs — Orange, Free, SFR, Bouygues — le 15 mai.
Deux des applications affichent le même message. Image iGeneration.
Le point intéressant, c'est que si Apple supprime évidemment les apps de ce type quand elles sont détectées (et médiatisées), elles continuent habituellement à fonctionner pour ceux qui possèdent déjà les apps. La solution de faire couper les serveurs1 est donc plus efficace que d'empêcher les utilisateurs de télécharger les apps, et Apple (ou Google) rechignent généralement à supprimer les apps à distance chez les utilisateurs. Selon nos constatations, les apps visées par la décision de justice ont bien disparu des App Store et celles dont nous avons parlé ne sont plus fonctionnelles, avec un message d'erreur indiquant qu'une mise à jour est prévue. Comme Apple a supprimé les apps de l'App Store, cette potentielle mise à jour semble étonnante. Soit le message est faux (ce qui est possible), soit les apps disposent de mécanismes de mise à jour en dehors de l'App Store, ce qui peut cacher des problèmes de sécurité.
De nouvelles apps ont pris le relais. Image iGeneration.
Notons enfin, comme le note L'Informé, que le jeu du chat et de la souris n'est pas terminé : d'autres apps ont pris le relais. Ils citent par exemple Virt Partn, qui était encore disponible sur l'App Store hier soir et qui ne l'est plus ce matin. Sous ses faux airs d'app de rencontre, un simple code permet d'activer l'accès à une plateforme de streaming illégale, qui est encore utilisable. Comme souvent avec ce genre d'app, le code se trouve en quelques clics sur les réseaux sociaux ou sur des boucles Telegram dédiées. Étant donné les sommes en jeu pour les personnes qui développent ces apps (grâce à la publicité), il y a peu de chances qu'un blocage par la justice change quelque chose : c'est malheureusement probablement peine perdue, car les pirates ont un coup d'avance.
Le blocage s'effectue au niveau des serveurs DNS des opérateurs, ce qui ne coupe pas réellement les serveurs, mais empêche une partie significative des clients d'y accéder. ↩︎
Les IA génératives font cogiter les patrons de la tech. Le CEO de Nothing Carl Pei a partagé ses réflexions à l’occasion d’une interview accordée à Wired. Il y explique penser que le smartphone du futur ne sera pas basé sur des apps, mais que les utilisateurs feront appel à l’IA et au système d'exploitation pour effectuer leurs différentes actions du quotidien.
Le CEO estime que l’IA sera le prochain grand tournant numérique, et compare son arrivée à celle de l’iPod. Il explique que tout le monde savait à l’époque que le concept de baladeur MP3 allait marcher, et qu’Apple a dominé le marché car son produit avait « vu tout juste », du point de vue de l’interface comme du matériel ou de l’expérience utilisateur. Son ambition est de reproduire quelque chose de similaire avec l’IA, sans forcément en incorporer juste pour remplir un cahier des charges. Carl Pei ne manque pas de tacler Apple par rapport au fiasco Apple Intelligence :
À cet égard, Apple d'aujourd'hui est très différent de l'Apple de ma jeunesse. L'année dernière, ils ont fait de grandes promesses à propos de l'Apple Intelligence. Aujourd'hui, un an plus tard, Apple Intelligence n'est pas grand-chose de plus que quelques emojis générés par IA. Cela a rendu les consommateurs très sceptiques.
Le CEO de Nothing ne voit pas un grand avenir dans les « accessoires IA » comme l’AI Pin ou les lunettes connectées dans l’immédiat, le marché étant selon lui trop petit là où tout le monde a déjà un smartphone dans la poche. « Je ne pense pas qu'un autre appareil sera aussi important pour l'IA que le smartphone dans un avenir proche », déclare-t-il. Cependant, les lunettes connectées seront pour lui un gros marché dans une petite dizaine d’années, tandis que d’autres catégories de produits pourraient décoller.
A l'entendre, le téléphone va drastiquement évoluer dans les années à venir. Il imagine un smartphone avec une seule app : le système d’exploitation, connaissant tout du propriétaire et étant optimisé pour son utilisation. L’étape suivante viendra de l’automatisation, l’OS s’adaptant en fonction de l’heure, de l’emplacement et de l’agenda de son propriétaire. « À l'avenir, votre téléphone vous suggérera ce que vous voulez faire et le fera automatiquement pour vous. Il sera donc agentique, automatisé et proactif ».
Phone (3a). Image Nothing
Ce changement va se faire petit à petit pour ne pas effrayer les utilisateurs, qui ne seraient pas convaincus par un concept aussi radical qu’un téléphone sans apps. Il envisage donc d’améliorer ses produits de génération en génération, prenant en compte les suggestions pour ne pas perdre les utilisateurs en cours de route. Il estime qu’il lui faudra « 7 à 10 ans » pour arriver à ce but.
Nothing sera-t-elle encore là dans une décennie ? Carl Pei affirme que sa start-up se porte bien. « L'année dernière, nous avons connu une croissance d'environ 150 % », déclare-t-il avant de concéder qu’ils n’ont cependant qu’une part de marché de 0,1 %. Il reste donc beaucoup à faire, mais Nothing a une feuille de route bien remplie. Elle s’apprête à lancer un nouveau smartphone premium dans l’été, qui arrivera au côté de son premier casque audio.
Le Texas est le second État à exiger que les boutiques d'apps mobiles vérifient l'âge de leurs utilisateurs avant le téléchargement d'une app, au grand dam d'Apple et de Google. Il n'y a pas que l'Europe qui cherche à imposer de nouvelles règles à l'App Store. Apple (ainsi que Google) bataille aussi à domicile et en l'espèce au Texas. Greg Abbott, le gouverneur de ce puissant État a signé hier une nouvelle loi — le Senate Bill 2420 — qui s'intéresse à la vérification de l'âge sur les boutiques d'apps mobiles.
Image Apple.
À compter du 1er janvier 2026, Apple et Google seront tenus de contrôler l'âge de l'utilisateur d'un smartphone lorsqu'il veut télécharger une app (ou un In-App). Si celle-ci est interdite aux moins de 18 ans, il lui faudra obtenir l'autorisation de ses parents. Du côté des éditeurs d'apps comme Meta, X ou Snapchat, on se refuse à demander une pièce d'identité à chacun de ses utilisateurs et on renvoie la balle vers les plateformes de téléchargement pour que cette vérification leur soit déléguée et centralisée.
Apple ne ferme pas la porte à l'idée — son lobbying n'a de toute façon pas porté ses fruits, ni même l'ultime coup de fil de Tim Cook au gouverneur — mais elle aimerait le faire à sa manière. La Pomme refuse que tous les utilisateurs de l'App Store aient à transmettre la copie d'une pièce d'identité qu'elle devra stocker et gérer sur ses serveurs. Et ce afin de prouver leur âge lors de chaque opération, quelle que soit l'app demandée.
Apple préfère que ce soient les parents qui autorisent leur enfant, au travers d'une option dans le compte Famille, à transmettre cette information à un éditeur tenu de la réclamer. Ce serait fait au cas par cas, uniquement pour certaines catégories d'apps au lieu de toutes sans exception. Cela n'empêcherait pas quelques apps qui ont absolument besoin d'une preuve d'identité de la réclamer. Cette autorisation pourrait être révoquée à tout moment.
Par ailleurs, dans le projet d'Apple, ce n'est pas l'âge précis et encore moins une date de naissance qui seraient communiqués, mais une tranche d'âge. Des tranches pouvant couvrir jusqu'à 4 années (par exemple pour les 4 ans et plus jusqu'aux 9 ans et plus). Apple va également permettre aux parents, dans les prochains mois, de plus facilement corriger une erreur sur l'âge qui a été saisi lors de la création d'un compte.
Pour témoigner de sa bonne volonté, Apple a conçu pour les développeurs une API baptisée Declared Age Range. Elle prévoit aussi que les apps interdites à une tranche d'âge n'apparaissent dans les rubriques et les recherches sur l'App Store. Reste à savoir si cela conviendra au législateur. Apple et Google n'en ont pas terminé avec ce sujet puisque l'Utah a voté un texte similaire et il y a un projet au niveau fédéral.
Pour héberger Home Assistant, il existe de nombreuses solutions, du Raspberry Pi que l’on configure soi-même aux appareils clés en main vendus par les concepteurs de la domotique open-source. Mapio est un nouveau boîtier qui propose une voie originale : destiné à prendre place dans un tableau électrique, il servira à Home Assistant par défaut, ainsi qu’à tous les services auto-hébergés dont vous pourriez avoir besoin, du partage de fichiers au serveur multimédia.
Imaginé à Lyon et même produit en France, ce qui est rare dans ce domaine, l’appareil a été pensé par ses deux concepteurs comme une solution ultime pour les plus bricoleurs d’entre nous, qui veulent gérer leur domotique et d’autres services tout en ayant un tout-en-un proprement rangé dans le tableau. L’appareil débute sa carrière avec une campagne de financement participatif sur Ulule, où vous pouvez le précommander à partir de 360 €.
Le Mapio en situation dans le tableau. Image Mapio/iGeneration.
Pour ce tarif, le Mapio est construit autour d’un Compute Module 4, un micro-ordinateur équivalent au Raspberry Pi 4 dans un format plus adapté à ce genre d’usages. C’est lui qui est chargé de faire tourner tout le logiciel nécessaire, ce qu’il fait grâce à ses 8 Go de stockage eMMC (on évite ainsi la carte microSD souvent trop fragile pour ces usages) ou bien un SSD que l’utilisateur pourra ajouter en option dans l’appareil, sur l’emplacement M.2 prévu. Il intègre aussi du Wi-Fi et Bluetooth, même si un port Ethernet est prévu pour la connexion au réseau local, c’est toujours recommandé dans le monde de la domotique.
Sur le plan matériel, le Mapio a été conçu pour s’intégrer à un boîtier qui occupe six emplacements de large dans un tableau électrique. Un petit écran à encre électronique est prévu sur le dessus pour afficher quelques informations de base, dont un code QR qui simplifiera la connexion initiale si vous optez pour du Wi-Fi. Trois boutons serviront à contrôler cette interface, tandis que trois LED RGB sont prévues pour afficher d’autres informations. L’ensemble est alimenté en 5V à 2A et le boîtier sera fourni avec une alimentation qui devra elle aussi être placée dans le tableau électrique. Sous le capot, une batterie prendra la relève en cas de coupure de courant et pourra alimenter l’ensemble pendant cinq heures.
La carte principale du Mapio, avec le Compute Module 4 au milieu, le SSD optionnel en bas et les différents connecteurs en haut. Image Mapio.La carte secondaire accueille les trois modules d’extension (en haut) et la batterie qui maintient l’alimentation en cas de coupure du courant (en bas). Image Mapio.
Il y a encore de la place à l’intérieur pour trois emplacements pensés pour des modules d’expansion. Les créateurs du Mapio en ont prévu deux pour commencer, avec un module qui génère un réseau Zigbee et un autre en Thread. Ils serviront tous deux dans le cadre de la domotique avec Home Assistant et permettront de contrôler des accessoires dans une norme ou dans l’autre. Un module au choix est livré avec le kit de base et une documentation sera fournie pour ceux qui veulent créer les leurs, de quoi adapter le boîtier à d’autres normes domotiques (le Z-Wave pourrait être un bon candidat). Une idée suggérée par les créateurs est de prévoir un module 4G, afin de maintenir un accès à internet même si la connexion de la maison n’est plus accessible.
Le Mapio intègre quelques connecteurs supplémentaires qui seront utiles pour la domotique. On peut ainsi le relier à la prise TIC d’un compteur Linky afin d’obtenir des informations fiables sur la consommation électrique et même sur la puissance instantanée par ce biais. Ces données serviront ensuite dans Home Assistant, qui excelle pour le suivi des données de consommation énergétique. Autre fonction intégrée de base, un relai électrique pour gérer à distance un appareil jusqu’à 2 kW, ce qui peut notamment suffire pour contrôler un (petit) ballon d’eau chaude.
Même si la domotique à travers Home Assistant est un point central, le Mapio ne s’y limite pas. D’ailleurs, ce n’est pas le système d’exploitation de Home Assistant qui gère l’appareil, mais une distribution Linux spécifique, basée sur le projet Yocto. Celle-ci prend en charge les particularités du matériel (écran, lecture des données du Linky, batterie…), installe quelques briques logicielles importantes comme un serveur MQTT ou encore le gestionnaire de conteneurs Docker. Une interface web a également été développée par les concepteurs de l’appareil, afin de simplifier la gestion de ces conteneurs, même si un accès SSH par le biais du terminal reste possible pour aller plus loin.
Une interface web permet de gérer les différents aspects du Mapio, dont les conteneurs Docker qui tournent sur l’ordinateur. Image Mapio.
Home Assistant est lui-même installé sous la forme d’un conteneur Docker. Cela réserve le Mapio aux utilisateurs plus avancés, prêts à mettre la main dans le cambouis virtuel et pas seulement dans leur tableau électrique, même s’il n’y a aucune difficulté majeure à utiliser cette méthode d’installation, qui est par ailleurs officiellement prise en charge. Je l’exploite sans encombre pour ma propre domotique depuis plus d’un an et la seule particularité est de trouver les bonnes configurations Docker pour les modules, qui ne sont plus installés automatiquement comme avec Home Assistant OS.
Pour aider les utilisateurs, les concepteurs du Mapio fourniront des tutoriels et fichiers de configuration prêts à l’emploi et adaptés au matériel. Cette approche demande un petit peu plus de travail qu’avec un boîtier comme le Home Assistant Green, certes, mais elle apporte en contrepartie une bien plus grande liberté. Vous pouvez ajouter n’importe quel conteneur Docker et tant que le CM4 peut faire tourner l’app demandée, vous pouvez utiliser le boîtier pour une tout autre tâche. Pierrick, un des deux cofondateurs de l’appareil, m’a confié qu’il faisait tourner une instance de Nextcloud (gestion de fichiers et collaboration) ainsi que Jellyfin (media-center) sur son Mapio, sans problème de performances au quotidien.
Le matériel doit contribuer à cette souplesse : les trois emplacements pour des modules ouvrent de nouvelles opportunités, tandis que le connecteur M.2 ne sert pas forcément à un SSD, on peut envisager d’y placer le Coral de Google, un moteur neuronal qui sert notamment à analyser les images fournies par les caméras de sécurité dans l’enregistreur réseau Frigate. Tout ce matériel est largement documenté à défaut d’être open source, comme l’est le logiciel. Ainsi, les sources de la distribution Linux modifiée sont distribuées sur GitHub et les utilisateurs pourront créer leur propre variante s’ils le souhaitent. Le code de plusieurs composants logiciels sont aussi disponibles sur GitHub, l’idée étant de proposer une solution aussi ouverte que possible.
Le Mapio hors du tableau électrique, toujours fonctionnel grâce à la batterie intégrée. Image Mapio.
La fabrication française et les petits volumes, avec un assemblage final et des tests réalisés à la main par les deux fondateurs à Lyon, justifient le prix demandé. Le projet Ulule est aussi modeste dans ses ambitions, avec un objectif minimum de 50 exemplaires : s’il n’atteint pas ce nombre, la production d’une première série ne pourra pas être lancée et le projet échouera. Si l’idée vous intéresse, sachez qu’il faut compter au minimum 360 € sur Ulule pour les plus rapides, avec quelques paliers ensuite jusqu’à 427,5 €.
Si la campagne est un succès et que tout se déroule comme prévu, les concepteurs du Mapio espèrent expédier les premiers exemplaires dès le mois de septembre. Il faudra d’ailleurs prévoir minimum 4 € de frais de port vers la France ou la Belgique pour une livraison en point relai. Si vous habitez à Lyon, vous pourrez récupérer gratuitement votre exemplaire dans le neuvième arrondissement.
Apple Invitations a reçu une mise à jour et la dernière app d’Apple à ce jour gagne même une fonctionnalité. Avec la version 1.2, on peut désormais ajouter des liens vers un site web ou n’importe quel contenu accessible par ce biais. La page liée sera affichée directement dans le contenu de l’invitation, à côté des autres éléments que l’on pouvait glisser jusque-là sur le carton d’invitation virtuel, comme une liste de lecture Apple Music ou un album photo partagé.
La nouvelle option pour ajouter un lien à gauche, l’éditeur du lien au centre et le résultat dans l’aperçu à droite. Image iGeneration.
Ajouter une URL à une invitation numérique ne devrait pas être un événement, sauf que c’est une ouverture rare de la part d’Apple, qui permet à son app de sortir (un tout petit peu) de son écosystème fermé. Cet ajout peut être pratique pour permettre aux invités de mieux se préparer à une activité prévue, par exemple en les incitant à télécharger une app ou bien en leur permettant de découvrir un lieu. Glisser un lien permet aussi d’ouvrir l’app à d’autres environnements : on peut envisager d’y placer une liste de lecture sur Spotify au lieu d’Apple Music, ou bien un album partagé Google Photos au lieu d’iCloud Photos.
Apple a par ailleurs été plutôt généreuse, avec la possibilité d’intégrer plusieurs liens et un contrôle sur le titre et la description associés. Par défaut, l’app récupère le titre de la page et le suggère dans le champ dédié, mais rien ne vous empêche de le modifier par la suite. Seule l’icône ne peut pas être ajustée, il s’agira du favicon associé à l’URL.
C’est une ouverture toutefois très relative, puisque de manière fondamentale, l’app nécessite toujours un compte iCloud payant pour créer une invitation et elle offre une bien meilleure expérience aux utilisateurs de produits pommés qu’à tous ceux qui préfèrent un autre écosystème. Sur tous ces points, Apple Invitations 1.2 ne change rien, même si on peut se réjouir de voir qu’Apple n’a pas (encore) abandonné l’app.
iOS 19 pourrait être la clef d'une nouvelle fonction de transfert d'eSIM entre l'iPhone et des appareils Android. La première bêta d'Android 16, l'utilitaire Gestionnaire de SIM de Google contient quelques lignes de code qui font explicitement référence au prochain système d'Apple.
Elles indiquent de nouveaux choix pour la vue "Transférer ou réinitialiser l'iPhone" que l'on a dans les réglages généraux d'iOS. L'un d'eux s'appelle "Transférer vers Android" et l'autre est intitulé "Autres options". Android Authority, qui a déniché ces nouvelles références, penche vers la probabilité d'un moyen de transférer une eSIM depuis son iPhone vers un terminal Android. Chaque OS sait le faire chez lui, mais ce n'est pas encore possible aisément entre les deux plateformes sans le concours de son opérateur.
Il est également indiqué dans ces lignes qu'un identifiant de sessions et un code PIN sont nécessaires et un message est prévu, en cas d'échec de la connexion sans fil entre les deux appareils, qui enjoint l'utilisateur de vérifier s'il utilise bien iOS 19 ou plus.
Enter session ID and passcodeOn your other device, go to Settings app > General > Transfer or Reset iPhone > Transfer to Android > Other Options"Still can't connect wirelessly?""
Make sure your other device is running iOS 19 or later versions."
Le fonctionnement qui est supposé est que l'Android afficherait un code QR que l'iPhone scannerait pour démarrer le transfert de l'eSIM. L'autre supposition est qu'Apple et Google ont travaillé en collaboration sur cette option est qu'elle sera possible dans les deux sens.
Après 9To5 Mac à l’automne dernier, c’est au tour de Mark Gurman d’annoncer l’arrivée prochaine d’une app conçue par Apple dédiée au… jeu vidéo, mais oui ! D’après le journaliste de Bloomberg qui a toujours d’excellentes sources au sein de Cupertino, cette nouvelle app serait lancée d’ici la fin de l’année, avec les mises à jour annuelles des systèmes d’exploitation. On la retrouverait ainsi dans iOS 19, iPadOS 19 et macOS 16, mais aussi dans tvOS 19, l’Apple TV n’étant manifestement pas oubliée1 dans cette nouvelle stratégie destinée à convaincre les joueurs, encore une fois.
Image iGeneration.
Au programme, une app qui servirait tout à la fois de lanceur pour les jeux vidéo déjà installés et de remplacement au bon vieux Game Center qui survit comme il peut depuis 2010 pour garder une trace de ses exploits et ceux de ses amis. Il y aurait aussi une boutique qui mettrait en avant de nouveaux titres à acheter, avec une bonne dose d’éditorial comme sur l’App Store. Apple Arcade, le service d’Apple qui permet d’accéder sans limite à un catalogue de plus de 200 jeux pour 6,99 € par mois, serait naturellement mis à l’honneur dans la nouvelle app.
De manière plus étonnante, la version pour macOS serait capable de gérer du contenu téléchargé hors du Mac App Store. Mark Gurman ne détaille pas ce point, si bien que l’on ne sait pas comment cela fonctionnerait exactement. Est-ce que le Game Center récupérera les données de Steam désormais ? Cela semble totalement improbable, mais allez savoir.
Quoi qu’il en soit, Apple voudrait marquer le coup lors de la WWDC en présentant le jeu vidéo comme l’un des domaines importants pour ses mises à jour annuelles. L’acquisition du studio RAC7, officialisée ce soir, ferait partie des annonces en ce sens.
Reste à savoir si cette nouvelle app fera la différence et sur ce point, le journaliste reste prudent. L’app devrait mettre en avant le jeu vidéo dans l’univers Apple, mais l’iPhone est déjà la plateforme la plus utilisée pour jouer, ce n’est pas nouveau et cela concerne surtout les joueurs occasionnels ou grand public. Ce qui manque, ce sont les joueurs et jeux plus sérieux, les titres AAA qu’Apple essaie d’apporter aux Mac et même aux iPhone et iPad grâce à la puissance de ses puces. Est-ce qu’une nouvelle app attirerait de nouveaux joueurs ? D’après Bloomberg, pas vraiment : l’article évoque des retours de testeurs qui suggèrent que l’app ne devrait pas changer la perception d’Apple dans cet univers.
Contrairement au pauvre Vision Pro, qui n’a pas droit à une seule mention dans l’article de Mark Gurman. ↩︎
La Switch 2 n’est pas censée sortir avant le 5 juin, mais il y a manifestement quelques chanceux qui ont déjà reçu leur console ! Enfin, chanceux, il faut le dire vite : les consoles distribuées trop tôt ne peuvent pas encore servir. L’auteur de la vidéo indique dans les commentaires que Nintendo a prévu le coup, la console ne peut pas être activée pour le moment. On imagine qu’il faudra attendre le jour officiel du lancement pour qu’elle s’allume normalement, tant pis…