Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Tim Cook aurait bien besoin d’un plombier. Des fuites assez exceptionnelles ont révélé de nombreuses informations sur les projets secrets d’Apple. Sa feuille de route pour 2026 ne fait plus vraiment de mystère : que ce soit les futurs iPhone ou même les nouveautés logicielles, on connait déjà une partie du programme. Alors que faut-il retenir de ces fuites ? On en discute dans cette émission.
Au programme également, l’arrivée effective de l’Apple Watch chez Free Mobile, le Japon force Apple à ouvrir l’iPhone et iOS 26.3 qui commence son cycle de bêta.
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Tim Cook aurait bien besoin d’un plombier. Des fuites assez exceptionnelles ont révélé de nombreuses informations sur les projets secrets d’Apple. Sa feuille de route pour 2026 ne fait plus vraiment de mystère : que ce soit les futurs iPhone ou même les nouveautés logicielles, on connait déjà une partie du programme. Alors que faut-il retenir de ces fuites ? On en discute dans cette émission.
Au programme également, l’arrivée effective de l’Apple Watch chez Free Mobile, le Japon force Apple à ouvrir l’iPhone et iOS 26.3 qui commence son cycle de bêta.
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Le tribunal judiciaire de Paris a rejeté, ce vendredi 19 décembre, la demande de l’État visant à bloquer provisoirement le site Shein en France. Cette requête faisait suite à la découverte de produits illicites sur la plateforme début novembre, quelques jours avant l’ouverture de son premier magasin physique en France. Des poupées pédopornographiques, des armes de catégorie A ou encore des médicaments interdits étaient commercialisés par des vendeurs tiers sur sa place de marché.
Le tribunal a reconnu l’existence d’un « dommage grave à l’ordre public », mais a estimé que la mesure demandée était « disproportionnée ». Il a notamment relevé le caractère « ponctuel » de ces ventes et constaté que la plateforme avait retiré les produits en cause. La justice a toutefois adressé une injonction à Shein, lui interdisant de remettre en vente des « produits sexuels pouvant caractériser un contenu à caractère pornographique » sans mise en place préalable de dispositifs de vérification de l’âge.
L’État demandait que Shein soit contraint de maintenir la suspension de sa marketplace et plus largement l’arrêt de toutes les ventes ne relevant pas de l’habillement. Depuis le 5 novembre, Shein limite en effet son activité à la vente de vêtements issus de ses collections, le temps de corriger les « failles » identifiées sur son site.
La marketplace de Shein n’était toutefois pas la seule concernée par la présence de produits interdits. Le gouvernement s’est ensuite rendu compte que celles de Temu, AliExpress, Wish, eBay et Joom proposaient également des articles prohibés. Amazon a aussi été pointé du doigt, aux côtés de Wish et Temu, pour ne pas avoir « respecté [ses] obligations de filtrage des mineurs face aux images à caractère pornographique ». De là à considérer qu'il y a un problème généralisé de contrôle sur les marketplaces, il n’y a qu’un pas.
« Toute plateforme qui aura commercialisé des articles illicites aura le même traitement [que Shein] », avait assuré en novembre le ministre des PME, Serge Papin. Au vu de l’issue de la procédure visant Shein, les autres acteurs du secteur ne doivent pas être particulièrement inquiets.
Mise à jour à 18 h 49 : le gouvernement annonce qu'il fera appel de la décision du tribunal judiciaire dans les prochains jours.
Le tribunal judiciaire de Paris a rejeté, ce vendredi 19 décembre, la demande de l’État visant à bloquer provisoirement le site Shein en France. Cette requête faisait suite à la découverte de produits illicites sur la plateforme début novembre, quelques jours avant l’ouverture de son premier magasin physique en France. Des poupées pédopornographiques, des armes de catégorie A ou encore des médicaments interdits étaient commercialisés par des vendeurs tiers sur sa place de marché.
Le tribunal a reconnu l’existence d’un « dommage grave à l’ordre public », mais a estimé que la mesure demandée était « disproportionnée ». Il a notamment relevé le caractère « ponctuel » de ces ventes et constaté que la plateforme avait retiré les produits en cause. La justice a toutefois adressé une injonction à Shein, lui interdisant de remettre en vente des « produits sexuels pouvant caractériser un contenu à caractère pornographique » sans mise en place préalable de dispositifs de vérification de l’âge.
L’État demandait que Shein soit contraint de maintenir la suspension de sa marketplace et plus largement l’arrêt de toutes les ventes ne relevant pas de l’habillement. Depuis le 5 novembre, Shein limite en effet son activité à la vente de vêtements issus de ses collections, le temps de corriger les « failles » identifiées sur son site.
La marketplace de Shein n’était toutefois pas la seule concernée par la présence de produits interdits. Le gouvernement s’est ensuite rendu compte que celles de Temu, AliExpress, Wish, eBay et Joom proposaient également des articles prohibés. Amazon a aussi été pointé du doigt, aux côtés de Wish et Temu, pour ne pas avoir « respecté [ses] obligations de filtrage des mineurs face aux images à caractère pornographique ». De là à considérer qu'il y a un problème généralisé de contrôle sur les marketplaces, il n’y a qu’un pas.
« Toute plateforme qui aura commercialisé des articles illicites aura le même traitement [que Shein] », avait assuré en novembre le ministre des PME, Serge Papin. Au vu de l’issue de la procédure visant Shein, les autres acteurs du secteur ne doivent pas être particulièrement inquiets.
Mise à jour à 18 h 49 : le gouvernement annonce qu'il fera appel de la décision du tribunal judiciaire dans les prochains jours.
En décembre 2024, iOS 18.2 inaugurait le partage de la position des AirTags avec les compagnies aériennes afin de faciliter la localisation des bagages égarés. Un an plus tard, SITA, société spécialisée dans les solutions de communication pour le transport aérien et partenaire d’Apple sur cette fonctionnalité, dresse un premier bilan.
Un AirTag accroché à une valise. Image iGeneration
D’après les statistiques de SITA, si la majorité des bagages perdus finissent par être restitués à leurs propriétaires, un « petit pourcentage » d’entre eux ne sont toutefois jamais retrouvés et sont alors considérés comme définitivement perdus. Pour les bagages équipés d'un AirTag ou d'un autre traceur compatible avec le réseau Localiser d’Apple, le nombre de pertes définitives a chuté de 90 % lorsque le partage de localisation est activé via WorldTracer, le système de gestion de l’entreprise.
De plus, les compagnies aériennes qui exploitent le réseau Localiser d’Apple ont observé une réduction de 26 % du temps nécessaire à la récupération des bagages retardés. « Lorsque les technologies grand public et les infrastructures aéronautiques sont connectées de manière optimale, les résultats peuvent être révolutionnaires », souligne Nicole Hogg, directrice du portefeuille Bagages chez SITA, dans un communiqué.
Partage de la position d’un AirTag avec une compagnie aérienne. Image Apple.
À ce jour, 29 compagnies aériennes tirent parti de l’intégration du réseau Localiser dans WorldTracer. C’est notamment le cas d’Aer Lingus, British Airways, Brussels Airlines, Delta Air Lines, Eurowings, Iberia, KLM Royal Dutch Airlines, Lufthansa, Qantas, Swiss International Air Lines, Turkish Airlines, United, Virgin Atlantic ou encore Vueling. D’autres transporteurs devraient suivre dans les mois à venir. Selon nos informations, Air France expérimente actuellement ce dispositif et prévoit un déploiement en 2026.
À l’échelle mondiale, le taux de bagages égarés est de 6,3 pour 1 000 passagers. Parmi eux, 66 % sont restitués à leurs propriétaires dans un délai de 48 heures, précise la société spécialisée.
En décembre 2024, iOS 18.2 inaugurait le partage de la position des AirTags avec les compagnies aériennes afin de faciliter la localisation des bagages égarés. Un an plus tard, SITA, société spécialisée dans les solutions de communication pour le transport aérien et partenaire d’Apple sur cette fonctionnalité, dresse un premier bilan.
Un AirTag accroché à une valise. Image iGeneration
D’après les statistiques de SITA, si la majorité des bagages perdus finissent par être restitués à leurs propriétaires, un « petit pourcentage » d’entre eux ne sont toutefois jamais retrouvés et sont alors considérés comme définitivement perdus. Pour les bagages équipés d'un AirTag ou d'un autre traceur compatible avec le réseau Localiser d’Apple, le nombre de pertes définitives a chuté de 90 % lorsque le partage de localisation est activé via WorldTracer, le système de gestion de l’entreprise.
De plus, les compagnies aériennes qui exploitent le réseau Localiser d’Apple ont observé une réduction de 26 % du temps nécessaire à la récupération des bagages retardés. « Lorsque les technologies grand public et les infrastructures aéronautiques sont connectées de manière optimale, les résultats peuvent être révolutionnaires », souligne Nicole Hogg, directrice du portefeuille Bagages chez SITA, dans un communiqué.
Partage de la position d’un AirTag avec une compagnie aérienne. Image Apple.
À ce jour, 29 compagnies aériennes tirent parti de l’intégration du réseau Localiser dans WorldTracer. C’est notamment le cas d’Aer Lingus, British Airways, Brussels Airlines, Delta Air Lines, Eurowings, Iberia, KLM Royal Dutch Airlines, Lufthansa, Qantas, Swiss International Air Lines, Turkish Airlines, United, Virgin Atlantic ou encore Vueling. D’autres transporteurs devraient suivre dans les mois à venir. Selon nos informations, Air France expérimente actuellement ce dispositif et prévoit un déploiement en 2026.
À l’échelle mondiale, le taux de bagages égarés est de 6,3 pour 1 000 passagers. Parmi eux, 66 % sont restitués à leurs propriétaires dans un délai de 48 heures, précise la société spécialisée.
Vous avez maintenant encore plus d’occasions de vous servir d’Apple Pay. Régulièrement, des plateformes en ligne ajoutent la technologie d’Apple à leurs options de règlement. Deux services particulièrement populaires ont sauté le pas ces dernières semaines.
Depuis une quinzaine de jours, HelloAsso prend en charge Apple Pay, ainsi que Google Pay. Au moment du paiement, vous pouvez maintenant choisir entre la saisie des infos de votre carte bancaire à l’ancienne ou bien Apple Pay. Une évolution qui facilitera un petit peu le règlement des inscriptions à une association ou à un club sportif, la plateforme étant largement utilisée par ce type d’organisations.
Le mois dernier, Yurplan a également intégré Apple Pay parmi ses moyens de paiement. Cette billetterie en ligne est utilisée pour de nombreux événements, qu’il s’agisse de compétitions sportives, de festivals ou de salons professionnels, comme le sympathique Marché de la Mode Vintage.
Les plateformes ont plutôt intérêt à adopter Apple Pay, car ce mode de paiement limite les abandons d’achat au dernier moment liés à des frictions ou des blocages. « En termes de transformation, si l’on compare les gros volumes de transaction en dehors du BNPL [buy now pay later, paiement différé, ndlr], Apple Pay convertit le mieux, suivi de PayPal et des cartes bancaires », expliquait récemment un responsable de Cdiscount à mind Retail. Sur ce créneau du paiement en ligne, Apple Pay va bientôt être concurrencé par Wero, qui va s’intégrer à des sites français à partir de 2026.
Vous avez maintenant encore plus d’occasions de vous servir d’Apple Pay. Régulièrement, des plateformes en ligne ajoutent la technologie d’Apple à leurs options de règlement. Deux services particulièrement populaires ont sauté le pas ces dernières semaines.
Depuis une quinzaine de jours, HelloAsso prend en charge Apple Pay, ainsi que Google Pay. Au moment du paiement, vous pouvez maintenant choisir entre la saisie des infos de votre carte bancaire à l’ancienne ou bien Apple Pay. Une évolution qui facilitera un petit peu le règlement des inscriptions à une association ou à un club sportif, la plateforme étant largement utilisée par ce type d’organisations.
Le mois dernier, Yurplan a également intégré Apple Pay parmi ses moyens de paiement. Cette billetterie en ligne est utilisée pour de nombreux événements, qu’il s’agisse de compétitions sportives, de festivals ou de salons professionnels, comme le sympathique Marché de la Mode Vintage.
Les plateformes ont plutôt intérêt à adopter Apple Pay, car ce mode de paiement limite les abandons d’achat au dernier moment liés à des frictions ou des blocages. « En termes de transformation, si l’on compare les gros volumes de transaction en dehors du BNPL [buy now pay later, paiement différé, ndlr], Apple Pay convertit le mieux, suivi de PayPal et des cartes bancaires », expliquait récemment un responsable de Cdiscount à mind Retail. Sur ce créneau du paiement en ligne, Apple Pay va bientôt être concurrencé par Wero, qui va s’intégrer à des sites français à partir de 2026.
À quelques jours de Noël, on peut encore profiter de bons plans sur des produits Apple. Le MacBook Air M2 est disponible à 749 € à la Fnac et chez Darty. Dans les deux cas, une livraison avant Noël est proposée. C’est un tarif devenu assez habituel, Amazon fait le même, mais en plus le groupe français offre 50 € en carte cadeau.
Chez Darty, il faut utiliser le code MACBOOK50 lors de la commande pour en profiter. Attention à une chose, les conditions d’utilisation de la carte cadeau sont assez strictes : elle est valable uniquement dans les magasins Darty de France métropolitaine, hors darty.com, du 10/01/2026 au 24/02/2026.
À la Fnac, les conditions sont différentes : les 50 € reversés sont réservées aux adhérents Fnac+ et sont valables 30 jours à partir de la réception du produit. Dès le cumul de 1 € sur le compte fidélité, il est possible d'obtenir un chèque-cadeau virtuel Fnac du montant cumulé valable dans les magasins Fnac et Darty participants ainsi que sur Fnac.com.
Même s’il a été lancé il y a trois ans, le MacBook Air M2 reste dans le coup. Il est léger, silencieux, performant et endurant — il tient sans aucun problème une longue journée. Deux générations lui ont succédé, mais la formule n’a pas changé, si bien qu’il est tout à fait recommandable encore aujourd’hui.
À quelques jours de Noël, on peut encore profiter de bons plans sur des produits Apple. Le MacBook Air M2 est disponible à 749 € à la Fnac et chez Darty. Dans les deux cas, une livraison avant Noël est proposée. C’est un tarif devenu assez habituel, Amazon fait le même, mais en plus le groupe français offre 50 € en carte cadeau.
Chez Darty, il faut utiliser le code MACBOOK50 lors de la commande pour en profiter. Attention à une chose, les conditions d’utilisation de la carte cadeau sont assez strictes : elle est valable uniquement dans les magasins Darty de France métropolitaine, hors darty.com, du 10/01/2026 au 24/02/2026.
À la Fnac, les conditions sont différentes : les 50 € reversés sont réservées aux adhérents Fnac+ et sont valables 30 jours à partir de la réception du produit. Dès le cumul de 1 € sur le compte fidélité, il est possible d'obtenir un chèque-cadeau virtuel Fnac du montant cumulé valable dans les magasins Fnac et Darty participants ainsi que sur Fnac.com.
Même s’il a été lancé il y a trois ans, le MacBook Air M2 reste dans le coup. Il est léger, silencieux, performant et endurant — il tient sans aucun problème une longue journée. Deux générations lui ont succédé, mais la formule n’a pas changé, si bien qu’il est tout à fait recommandable encore aujourd’hui.
Il n’est pas trop tard pour faire des économies sur ses cadeaux de Noël Apple. L’iPhone 17 Pro orange est vendu 1 184 € sur Amazon Italie au lieu de 1 329 € chez Apple. Il est affiché à 1 199 € sur Amazon.it, mais une fois les taxes et les frais de livraison calculés, il revient à 1 184 €. Il est livré en France le 24 décembre, juste à temps pour l’emballer et le mettre sous le sapin, donc.
Vous pouvez passer commande sur Amazon Italie avec votre compte Amazon français. Seule la couleur orange est disponible avant Noël.
Si vous l’ignorez, l’iPhone 17 Pro représente le top du top chez Apple. Il a un magnifique écran OLED de 6,3", une nouvelle structure unibody solide, une puissance de feu, un appareil photo ultra complet (enfin, presque) et une excellente autonomie. Les seules critiques qu’on peut lui faire, c’est que son design n’est pas du goût de tout le monde et surtout qu’il est relativement lourd et imposant.
Vos proches ont déjà des iPhone qui tiennent la route ? Une Apple Watch peut faire un très beau cadeau. En plus, c’est moins cher qu’un smartphone. L’Apple Watch Series 11 est à 358 € sur Amazon Italie, soit 20 % de moins que chez Apple.
L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Les progrès par rapport à la Series 10 sont très minimes, mais l’écart devient nettement plus perceptible face aux générations précédentes. C’est une montre fine et très bien finie, avec une bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Si vous voulez le meilleur de l’Apple Watch sans passer à la massive Ultra, vous ne serez pas déçu.
Il n’est pas trop tard pour faire des économies sur ses cadeaux de Noël Apple. L’iPhone 17 Pro orange est vendu 1 184 € sur Amazon Italie au lieu de 1 329 € chez Apple. Il est affiché à 1 199 € sur Amazon.it, mais une fois les taxes et les frais de livraison calculés, il revient à 1 184 €. Il est livré en France le 24 décembre, juste à temps pour l’emballer et le mettre sous le sapin, donc.
Vous pouvez passer commande sur Amazon Italie avec votre compte Amazon français. Seule la couleur orange est disponible avant Noël.
Si vous l’ignorez, l’iPhone 17 Pro représente le top du top chez Apple. Il a un magnifique écran OLED de 6,3", une nouvelle structure unibody solide, une puissance de feu, un appareil photo ultra complet (enfin, presque) et une excellente autonomie. Les seules critiques qu’on peut lui faire, c’est que son design n’est pas du goût de tout le monde et surtout qu’il est relativement lourd et imposant.
Vos proches ont déjà des iPhone qui tiennent la route ? Une Apple Watch peut faire un très beau cadeau. En plus, c’est moins cher qu’un smartphone. L’Apple Watch Series 11 est à 358 € sur Amazon Italie, soit 20 % de moins que chez Apple.
L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Les progrès par rapport à la Series 10 sont très minimes, mais l’écart devient nettement plus perceptible face aux générations précédentes. C’est une montre fine et très bien finie, avec une bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Si vous voulez le meilleur de l’Apple Watch sans passer à la massive Ultra, vous ne serez pas déçu.
Un million de permis de conduire ont été importés dans France Identité, annonce France Titres, l’agence gouvernementale en charge de l’application. Lancée en février 2024, cette fonctionnalité a été simplifiée en mai dernier.
Image France Titres
Rapporté au nombre total de conducteurs, le chiffre reste modeste. Selon les dernières données officielles disponibles, la France comptait environ 48 millions de titulaires d’un permis de conduire en 2019. À ce stade, seulement 2 % d’entre eux ont donc ajouté une version dématérialisée de leur document sur leur iPhone ou leur smartphone Android.
La dynamique devrait toutefois s’accélérer dans les prochaines années. Une directive européenne récemment adoptée prévoit que, d’ici à 2030, le permis de conduire numérique devienne le format par défaut. La carte en plastique ne disparaîtra pas pour autant, mais la version dématérialisée devrait être fournie en priorité, la version physique devenant une option à demander explicitement.
Pour rappel, il n’est pas nécessaire de posséder un permis au format carte bancaire pour l’importer dans France Identité : l’ancien permis cartonné rose est également pris en charge. En revanche, l’application France Identité nécessite, elle, de détenir une carte d’identité biométrique, puisque l’authentification repose sur sa puce NFC.
À l’occasion du salon Trustech organisé au début du mois, France Titres a également communiqué d’autres chiffres. France Identité compte désormais 3,2 millions d’utilisateurs, dont un peu plus de 500 000 avec un compte « certifié ». Cette certification, qui passe par une vérification en mairie ou dans un consulat, autorise des usages plus sensibles, comme l’établissement d’une procuration de vote. L’agence se fixe pour objectif d’atteindre 5 millions d’utilisateurs d’ici à 2026.
Un million de permis de conduire ont été importés dans France Identité, annonce France Titres, l’agence gouvernementale en charge de l’application. Lancée en février 2024, cette fonctionnalité a été simplifiée en mai dernier.
Image France Titres
Rapporté au nombre total de conducteurs, le chiffre reste modeste. Selon les dernières données officielles disponibles, la France comptait environ 48 millions de titulaires d’un permis de conduire en 2019. À ce stade, seulement 2 % d’entre eux ont donc ajouté une version dématérialisée de leur document sur leur iPhone ou leur smartphone Android.
La dynamique devrait toutefois s’accélérer dans les prochaines années. Une directive européenne récemment adoptée prévoit que, d’ici à 2030, le permis de conduire numérique devienne le format par défaut. La carte en plastique ne disparaîtra pas pour autant, mais la version dématérialisée devrait être fournie en priorité, la version physique devenant une option à demander explicitement.
Pour rappel, il n’est pas nécessaire de posséder un permis au format carte bancaire pour l’importer dans France Identité : l’ancien permis cartonné rose est également pris en charge. En revanche, l’application France Identité nécessite, elle, de détenir une carte d’identité biométrique, puisque l’authentification repose sur sa puce NFC.
À l’occasion du salon Trustech organisé au début du mois, France Titres a également communiqué d’autres chiffres. France Identité compte désormais 3,2 millions d’utilisateurs, dont un peu plus de 500 000 avec un compte « certifié ». Cette certification, qui passe par une vérification en mairie ou dans un consulat, autorise des usages plus sensibles, comme l’établissement d’une procuration de vote. L’agence se fixe pour objectif d’atteindre 5 millions d’utilisateurs d’ici à 2026.
Apple n’en a pas terminé avec les ajustements de design autour du Liquid Glass. Après macOS et iOS 26.1 qui ont introduit une option pour réduire la transparence du verre, macOS 26.2 apporte une modification plus discrète. Comme l’a remarqué AAPL Ch., l’ombre affichée sous le centre de contrôle est désormais plus large et plus marquée.
Le centre de contrôle (et son ombre) sur macOS 26.2. Image MacGeneration.
Ce changement permet de mieux distinguer les boutons translucides de l’arrière-plan. C’est un écueil commun des interfaces qui misent sur la transparence, les différents plans de profondeur ont tendance à se confondre. Avec cette ombre renforcée, les commandes se détachent plus nettement du fond d’écran ou de l’application à l’arrière-plan. En contrepartie, ce choix éloigne quelque peu le Liquid Glass de la promesse initiale de clarté visuelle. On ne peut pas tout avoir.
Cette ombre est également visible lorsque l’on ouvre le nouvel overlay dédié aux jeux, ce menu en surimpression qui donne accès à certaines fonctions, comme les succès du Game Center.
Comparaison de l’ombre du centre de contrôle. Image AAPL Ch.
Pour rappel, le centre de contrôle de macOS Tahoe est largement personnalisable. Comme sur iOS, il est maintenant possible d’ajouter ou de supprimer des commandes. Pour l’instant, encore très peu d’applications tierces proposent des boutons spéciaux.
Apple n’en a pas terminé avec les ajustements de design autour du Liquid Glass. Après macOS et iOS 26.1 qui ont introduit une option pour réduire la transparence du verre, macOS 26.2 apporte une modification plus discrète. Comme l’a remarqué AAPL Ch., l’ombre affichée sous le centre de contrôle est désormais plus large et plus marquée.
Le centre de contrôle (et son ombre) sur macOS 26.2. Image MacGeneration.
Ce changement permet de mieux distinguer les boutons translucides de l’arrière-plan. C’est un écueil commun des interfaces qui misent sur la transparence, les différents plans de profondeur ont tendance à se confondre. Avec cette ombre renforcée, les commandes se détachent plus nettement du fond d’écran ou de l’application à l’arrière-plan. En contrepartie, ce choix éloigne quelque peu le Liquid Glass de la promesse initiale de clarté visuelle. On ne peut pas tout avoir.
Cette ombre est également visible lorsque l’on ouvre le nouvel overlay dédié aux jeux, ce menu en surimpression qui donne accès à certaines fonctions, comme les succès du Game Center.
Comparaison de l’ombre du centre de contrôle. Image AAPL Ch.
Pour rappel, le centre de contrôle de macOS Tahoe est largement personnalisable. Comme sur iOS, il est maintenant possible d’ajouter ou de supprimer des commandes. Pour l’instant, encore très peu d’applications tierces proposent des boutons spéciaux.
Quand c’est mou, c’est qu’il y a un loup. Quelques utilisateurs d’iPhone 17 Pro et 17 Pro Max se plaignent de boutons qui ne répondent plus aussi bien qu’au départ. Les boutons de volume, mais surtout le bouton latéral, réagissent plus mollement qu’avant.
Ici, un utilisateur évoque un bouton latéral « collant » qui l’oblige à appuyer plus fermement, ce qui finit par activer Siri. Là, un autre pointe un bouton de volume supérieur « moins résistant », donnant l’impression d’un mécanisme plus lâche.
iPhone 17 Pro. Image iGeneration.
Nos confrères de Frandroid ont également constaté le problème sur l’un de leurs iPhone 17 Pro. Le bouton latéral fonctionne, mais il se montre parfois « mou ». L’appareil a été pris en charge sous garantie dans un Apple Store. La réparation consisterait au « changement de tout le contour de l’iPhone », une intervention facturée plus de 300 € lorsqu’elle est réalisée hors garantie. Un autre utilisateur rapporte avoir bénéficié d’une réparation gratuite, sans que cela semble pour autant systématique.
Selon nos informations, il ne s’agit pas, à ce stade, d’un problème couramment rencontré par les Genius des Apple Store. De mon côté, les boutons de mon iPhone 17 Pro (orange) se comportent très bien, ils cliquent comme au premier jour. Pour ce que cela vaut, j’utilise cet iPhone presque en permanence sans coque.
iPhone 17 Pro. Image iGeneration.
L’origine de ce ramollissement est inconnue. Les iPhone 17 Pro inaugurent une toute nouvelle conception, avec un boîtier unibody, c’est-à-dire constitué d’un seul tenant, mais rien ne permet à l’heure actuelle d’établir un lien de cause à effet. Il peut simplement s’agir de quelques unités moins bien assemblées que d’autres.
Et de votre côté, qu’en est-il ? Les boutons de votre iPhone 17 Pro ou 17 Pro Max cliquent-ils toujours aussi bien ou bien sont-ils devenus mous du genou ?
Meta a « mis en pause » son programme permettant à d’autres fabricants de concevoir des casques de réalité virtuelle tournant sur Horizon OS. Le groupe a indiqué à Road to VR qu’il se concentrait désormais sur « le développement de matériels et de logiciels maison de pointe, indispensables à l'essor du marché de la réalité virtuelle. »
La vision d’un Horizon OS ouvert proposée par Meta en 2024. Image Meta.
Meta avait pourtant fait grand cas de ce projet. Au printemps 2024, le groupe avait annoncé l’ouverture de son système d’exploitation à d’autres fabricants, avec l’ambition d’offrir davantage de choix aux consommateurs et de bâtir un écosystème plus large. « Notre objectif est de faire en sorte que le modèle ouvert définisse la prochaine génération d'informatique, avec à nouveau le métavers, les lunettes et les casques », avait alors déclaré Mark Zuckerberg, répétant sa lubie de l’époque d’un métavers ouvert qui affronterait l’écosystème fermé d’Apple.
Plusieurs acteurs s’étaient engagés aux côtés de Meta. Lenovo et Asus devaient développer des casques de réalité mixte reposant sur Horizon OS, tandis que Qualcomm figurait également parmi les partenaires du projet.
Finalement, Meta préfère mettre cette initiative entre parenthèses pour se recentrer sur ses propres casques Quest. « Nous nous engageons sur le long terme [dans la réalité virtuelle] et nous réexaminerons les opportunités de partenariats avec des fabricants tiers à mesure que le secteur évoluera », assure une porte-parole du groupe.
Même si le projet n’est pas officiellement abandonné, il semble aujourd’hui très compromis. Selon Bloomberg, Meta pourrait en effet réduire d’environ 30 % ses dépenses liées aux projets autour du métavers l’an prochain. Un nouveau casque Quest serait toutefois bien en préparation, avec un positionnement toujours très orienté vers le jeu vidéo.
iOS 26.2 n’est pas une mise à jour comme les autres au Japon. Avec cette nouvelle version, les utilisateurs japonais peuvent désormais installer une boutique d’apps tierce sur leur iPhone, remplacer Siri par un autre assistant sur le bouton latéral ou encore effectuer des achats de contenu en dehors de l’App Store.
Nouvel écran de sélection du navigateur au Japon (sur un iPhone configuré en anglais). Merci Bruno.
Cette ouverture, Apple ne la fait pas de gaieté de cœur, elle est imposée par le Mobile Software Competition Act (MSCA). Cette nouvelle loi, qui entre en vigueur aujourd’hui même, le 18 décembre, fait figure d’équivalent japonais du DMA européen. Son objectif est le même : ouvrir davantage l’écosystème iOS à la concurrence, en offrant plus de liberté aux développeurs comme aux utilisateurs.
Boutiques alternatives : les applications peuvent être distribuées via des boutiques tierces. AltStore PAL a d’ores et déjà sauté sur l’occasion pour proposer une alternative à l’App Store sur l’archipel.
Options de paiement : les développeurs peuvent intégrer un système de paiement tiers et rediriger les utilisateurs vers leur site web pour effectuer un achat.
Modification des frais : les nouveaux frais varient entre 5 % et 26 % selon le mode de distribution et le système de paiement.
Choix du navigateur : les utilisateurs sont invités à choisir un navigateur par défaut lors de la configuration.
Choix du moteur de recherche : les utilisateurs sont invités à choisir un moteur de recherche par défaut lors de la configuration.
Applications de navigation : les utilisateurs peuvent choisir une autre application de navigation par défaut que Plans.
Bouton latéral : les utilisateurs peuvent remplacer Siri par un autre assistant sur le bouton latéral.
Interopérabilité : les développeurs peuvent demander à Apple l’accès à des API privées et la création de nouvelles fonctionnalités.
Ces mesures sont directement inspirées du DMA, en particulier l’ouverture aux boutiques alternatives et la mise en place d’écrans de sélection pour les apps par défaut. Il y a néanmoins quelques différences. Dans l’Union européenne, il n’est par exemple pas possible de remplacer l’assistant lié au bouton latéral de l’iPhone. À l’inverse, au Japon, l’iPad n’entre pas dans le périmètre de la loi et la Recopie d'iPhone sur Mac reste disponible.
Ce qui ne change pas, c’est la colère d’Apple contre ces obligations. Dans son communiqué annonçant ces évolutions, l’entreprise dénigre le MSCA de la même manière qu’elle l’avait fait avec le DMA, en affirmant notamment qu’il ouvre la porte aux « logiciels malveillants, [à] la fraude et [aux] escroqueries » et qu’il pose des « risques liés à la confidentialité et à la sécurité. » Rien que ça. Jusqu’à preuve du contraire, l’iPhone ne s’est pourtant pas révélé moins sûr depuis l’entrée en application du DMA.
Cette nouvelle loi, qui oblige aussi Google à favoriser la concurrence sur Android, pourrait également provoquer l’ire des États-Unis. Pas plus tard que cette semaine, l’administration américaine a menacé de sanctions les entreprises européennes si le DMA et le DSA n’étaient pas amendés, tout en précisant que ces représailles pourraient s’étendre aux pays qui s’engageraient dans la même voie. C’est précisément ce que vient de faire le Japon.
Dans les labos de Cupertino, on trouve de drôles de machines. Apple aurait testé un MacBook équipé d’une puce A15, affirme MacRumors après avoir disséqué un outil de développement interne.
Image Apple/MacGeneration
Ce kit de débogage du kernel, qui n’aurait pas dû sortir des quartiers de Johny Srouji, a été accidentellement rendu public sur le site d’Apple plus tôt cette année. Il a été rapidement retiré, mais pas suffisamment pour empêcher quelques curieux de le récupérer et de l’examiner en détail.
Ce MacBook à puce A15 porterait le nom de code J267. Cette puce a été inaugurée en 2021 dans les iPhone 13. Elle s’est fait ensuite une place dans l’iPad mini 6, l’iPhone SE 3, les iPhone 14 et 14 Plus, et enfin l’Apple TV 4K 2022.
Impossible de savoir si cet ordinateur portable à puce A15 est un MacBook Air, un MacBook Pro ou bien un tout nouveau modèle. De toute façon, il semble s’agir d’une plateforme de test, peut-être utilisée pour préparer le « vrai » MacBook à puce d’iPhone.
De multiples rumeurs pointent en effet l’arrivée d’un MacBook doté d’une puce A18 Pro en 2026. Cette machine serait à la fois plus compacte et surtout plus abordable que le MacBook Air M4.
Pour rappel, Apple a déjà livré un Mac avec une puce d’iPhone : le Mac mini DTK, qui a permis aux développeurs tiers de préparer la transition vers l’architecture Apple Silicon en 2020, était équipé d’une puce A12Z.
Le PowerBug est un chargeur 2-en-1 pas comme les autres. Prenant le forme d’un gros galet, il peut alimenter simultanément un appareil via un câble et un iPhone en recharge magnétique MagSafe/Qi2. Pensé pour être branché sur des prises facilement accessibles, il dispose en effet d’une surface plane intégrant des aimants capables de maintenir un iPhone en suspension. L’accessoire de Twelve South a rapidement trouvé sa place chez moi.
Twelve South PowerBug. Image iGeneration.
Vendu 59,95 € en blanc ou en noir, le PowerBug est tout en plastique, mais il jouit néanmoins d’une bonne fabrication. Gare toutefois à la version blanche, qui risque vite de perdre sa superbe à proximité de casseroles. Le galet mesure 60 x 60 x 29,18 mm, ce qui le rend légèrement plus large que l’orifice circulaire des prises électriques.
Il est donc conçu pour être branché sur une prise visible, typiquement celles intégrées aux plans de travail de cuisine — c’est justement là où je l’ai installé principalement. Il peut aussi trouver sa place dans une salle de bain, sur une prise en hauteur près d’un lavabo.
Twelve South PowerBug. Image iGeneration.
En approchant l’iPhone, celui-ci se fixe immédiatement sur le PowerBug par magnétisme. La recharge en MagSafe/Qi2 monte jusqu’à 15 W. Les iPhone 16 et 17 peuvent encaisser davantage, mais cette limite paraît raisonnable, surtout quand on voit que certains chargeurs 25 W embarquent un ventilateur pour refroidir.
Le port USB-C permet de recharger un second appareil à l’aide d’un câble (non fourni). Utilisé seul, il délivre jusqu’à 35 W (20 V / 1,75 A), suffisant pour recharger rapidement n’importe quel appareil mobile ou même, plus lentement, un MacBook Air. Lorsque les deux systèmes de charge sont sollicités en même temps, le port USB-C se limite à 20 W et la recharge sans fil à 15 W, pour une puissance totale de 35 W. D’après mes essais, le PowerBug chauffe peu, même à pleine charge, ce qui est un bon point.
Avec un iPhone 17 Pro aimanté en orientation portrait. Image iGeneration.Avec un iPhone 17 Pro aimanté en orientation paysage. Image iGeneration.
À condition de disposer d’une prise bien placée et libre, ce chargeur se révèle pratique. Il évite notamment que l’iPhone traîne sur le plan de travail, tout en le rechargeant et en le gardant bien visible. En orientation paysage — si l’espace le permet — il est même possible de profiter du mode En veille.
La fixation magnétique est solide, l’iPhone ne risque pas de tomber. Mon seul reproche concerne l’équilibre de l’ensemble. Le poids du smartphone fait légèrement basculer le PowerBug vers l’avant. Le chargeur ne menace pas de chuter, mais l’inclinaison de l’écran n’est pas idéale, celui-ci pointant un peu vers le bas. Ce n’est pas gênant pour un coup d’œil rapide, mais moins confortable pour regarder une longue vidéo — un usage qui n’est sans doute pas sa vocation première.
Le poids de l’iPhone fait pencher le PowerBug légèrement vers l’avant. Image iGeneration.
Le produit de Twelve South a un concurrent très similaire. Le Zens Wireless Charging Adapter est plus carré et son port USB-C est limité à 18 W, mais il coûte un peu moins cher. Il est vendu en temps normal 49,99 €. La version noire est actuellement en promotion à 35,17 € sur Amazon.
Si vous cherchez encore un cadeau de Noël Apple pas trop cher, voici une offre intéressante. L’Apple Watch SE 3 est disponible dès 234 € sur Rakuten, avec Boulanger comme vendeur, au lieu de 269 € chez Apple. Elle est affichée à 249 €, mais le code « RAKUTEN15 » baisse son prix de 15 € supplémentaires.
En 40 mm, vous avez le choix entre le boîtier couleur lumière stellaire ou minuit. En 44 mm, la montre revient à 264 € au lieu de 299 €. Si vous voulez connecter la montre au réseau mobile (par exemple chez Free, chez qui c’est gratuit pour les abonnés 5G), la version cellulaire est en promo à 284 € en 40 mm et 314 € en 44 mm.
Apple Watch SE 3. Image WatchGeneration.
Malgré son statut de montre d’entrée de gamme, l’Apple Watch SE 3 est un accessoire très intéressant. Lancée en septembre, elle a gagné un écran toujours allumé, ce qui était le principal défaut des générations précédentes. La charge rapide a aussi fait son apparition, tout comme les nouveaux gestes permettant de sélectionner l’action principale ou de désactiver une alarme sans toucher l’écran.
Les notifications d’apnée du sommeil sont désormais de la partie, tout comme la détection de la température. Le verre est aussi plus résistant aux rayures. À ce prix là, c’est donc une très bonne montre connectée qui fera autant l’affaire pour les sportifs que pour ceux voulant garder un œil sur leurs notifications.
Décidément, le DSA et le DMA restent en travers de la gorge des États-Unis. Dans un message publié sur X le 16 décembre, l’administration américaine a menacé l’Union européenne de représailles si elle ne revenait pas sur ses grandes régulations dans le domaine numérique.
Ce n’est pas la première fois que la Maison-Blanche s’en prend aux lois européennes, mais le ton monte d’un cran. Cette fois, Washington agite explicitement la menace de mesures de rétorsion visant des entreprises européennes.
« Des entreprises européennes de services ont eu la possibilité d’opérer librement aux États-Unis depuis des décennies, profitant de l’accès à notre marché et à nos consommateurs », affirme le bureau du représentant américain au commerce. Une liste nominative est même donnée : Accenture, Amadeus, Capgemini, DHL, Mistral, Publicis, SAP, Siemens et Spotify. Autant de groupes qui pourraient faire l’objet de mesures coercitives, comme des taxes ou des restrictions, si l’Union européenne persistait dans sa voie, avertit l’administration Trump.
Mistral réalise environ 20 % de son chiffre d’affaires annuel récurrent sur le marché américain, soit près de 60 millions d’euros. Une proportion similaire pour le spécialiste des services numériques Capgemini. La part est plus importante chez le Suédois Spotify, dont 40 % des revenus proviennent des États-Unis.
Pour Washington, l’UE et certains États membres ont adopté une approche « discriminatoire », multipliant « procès, impôts, amendes et directives » à l’encontre des grandes entreprises américaines du numérique. Dernièrement, le réseau social X s’est vu infliger une amende de 120 millions d’euros pour son système de comptes vérifiés qui contrevient au DSA. Dans le cadre du DMA, Apple a de son côté été contrainte d’ouvrir l’écosystème iOS à la concurrence et a écopé d’une amende de 500 millions d’euros (dont elle a fait appel) pour ne pas avoir suffisamment permis aux développeurs de promouvoir des offres d’abonnement en dehors de l’App Store.
La Commission européenne a rejeté fermement ces accusations. « Comme nous l’avons expliqué à de nombreuses reprises, nos règles s’appliquent de manière égale et équitable à toutes les entreprises opérant dans l’UE, a défendu Thomas Regnier, porte-parole de l’exécutif européen. Nous continuerons à appliquer nos règles de façon équitable et sans discrimination. »
Les États-Unis préviennent que ces représailles pourraient s’étendre à d’autres pays adoptant une approche similaire à celle de l’Union européenne. Le Japon, qui vient de contraindre Apple à ouvrir iOS aux boutiques d’applications tierces, pourrait se sentir directement concerné.
Le 11 décembre, OpenAI a opéré un changement discret mais important dans le fonctionnement de ChatGPT. Pour les utilisateurs sans abonnement et ceux abonnés à la formule Go (non disponible en France), le service ne redirige plus automatiquement les questions complexes vers le modèle Thinking, qui « réfléchit » plus longtemps afin de fournir des réponses plus élaborées.
Le choix du modèle sur ChatGPT avec un abonnement Plus (notez au passage que l’app Mac est passée au Liquid Glass). Image MacGeneration.
Un petit rappel des faits s’impose. L’été dernier, concomitamment au lancement de GPT-5, OpenAI a voulu simplifier l’expérience en introduisant un mécanisme de routage automatique vers le modèle jugé le plus approprié. La question posée est simple ? C’est le modèle de base (nommé maintenant « Instant ») qui s’en occupe. La question est complexe ? Elle est alors confiée à GPT-5.x Thinking, un modèle à raisonnement reposant sur une « chaîne de pensée » pour affiner ses réponses.
Ce routage automatique a été supprimé récemment pour les utilisateurs « gratuits » et Go. Ils peuvent toujours recourir à Thinking, mais doivent désormais le sélectionner manuellement dans les options de ChatGPT.
Plusieurs raisons expliquent ce revirement. Le routage automatique a logiquement fait exploser l’usage des modèles de raisonnement, qui sont plus chers à faire tourner. Peu après le lancement, Sam Altman avait indiqué que leur utilisation était passée de moins de 1 % à 7 % chez les utilisateurs gratuits. OpenAI avait anticipé cette hausse, mais son pari ne s’est pas révélé payant. Alors que l’entreprise espérait que cette nouveauté renforce l’attrait du service, l’effet inverse s’est produit. Selon Wired, le routage a eu un impact négatif sur le nombre d’utilisateurs actifs quotidiens, beaucoup n’appréciant pas d’attendre plus longtemps pour obtenir une réponse.
Un porte-parole d’OpenAI a expliqué à Wired que, d’après les retours des utilisateurs, les abonnés Free et Go préféraient rester sur le modèle par défaut, tout en conservant la possibilité de basculer ponctuellement vers un modèle à raisonnement. Dont acte, le routage a été supprimé pour eux, permettant au passage des économies au spécialiste de l’IA. OpenAI justifie son retour en arrière en soulignant aussi qu’Instant peut désormais prendre un peu plus de temps pour répondre, afin de se positionner comme une solution intermédiaire.
Pour les abonnés Plus et Pro, en revanche, rien ne change : le routage automatique reste activé par défaut via le réglage Auto. Il est toujours possible de privilégier Instant ou Thinking manuellement, selon ses préférences et ses requêtes.