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Reçu aujourd’hui — 26 novembre 2025

Accusé d'être le système préféré des narcotrafiquants, GrapheneOS quitte la France

25 novembre 2025 à 23:46

Le système alternatif GrapheneOS est depuis quelques jours au centre de l'actualité, et pour de mauvaises raisons. Un article de nos confrères de Le Parisien met en effet en avant le système d'exploitation et le présente comme la botte secrète des narcotrafiquants. Il explique qu'ils utilisent des Google Pixels sous GrapheneOS pour éviter que les forces de l'ordre puissent accéder aux données.

L'écran d'accueil de GrapheneOS.

Il faut commencer par parler de GrapheneOS : c'est une ROM alternative pour les smartphones Google Pixel (du Pixel 6 aux Pixel 9, et bientôt les Pixel 10). Dans le monde GNU/Linux, nous pourrions parler d'une distribution. Le système d'exploitation est en pratique une variante sécurisée d'Android, avec une orientation très forte sur la sécurité. Les smartphones sous GrapheneOS sont généralement considérés comme les plus sûrs, et Cellebrite semble par exemple incapable de percer les sécurités du système. Même si GrapheneOS peut être vu comme une version « degooglisé » d'Android pour les Pixel, ce n'est pas tout à fait le cas : c'est une version sécurisée du système sans les outils de Google, même s'il est possible de les installer.

Le,logo de GrapheneOS.

Mais revenons au problème : dans l'article de nos confrères, GrapheneOS est présenté comme un système sécurisé qui « (…) s’est progressivement diffusé auprès d’utilisateurs désirant avant tout échapper à toute forme de collecte ou d’analyse de données de leurs supports par les autorités, y compris dans un cadre judiciaire. » Il explique que le système peut être récupéré sur le darknet (sic) et que « Le logiciel peut effacer toutes les données du téléphone1 en affichant une fausse page de Snapchat par exemple quand un cyberenquêteur tente d’entrer dans sa mémoire ou de le décrypter. »

Deux points qui ont visiblement fait bondir les personnes à l'origine du projet sur les réseaux sociaux, comme l'explique Next. Leur réponse (présente dans l'article) est assez cinglante :

Nous ne vendons rien, nous n’avons ni clients ni usagers. Les gens peuvent télécharger notre système d’exploitation gratuitement sur leurs téléphones Pixel et l’utiliser. Notre travail sur la sécurité et la confidentialité est très apprécié par les professionnels de la sécurité et est régulièrement recommandé et utilisé par les militants des droits de l’homme, les journalistes et les avocats. […] Les bandits et trafiquants utilisent aussi des couteaux, des voitures rapides et de l’argent liquide, des choses qui sont aussi largement utilisées par des citoyens honnêtes.

GrapheneOS s'installe sur les Pixel de Google. Image Google.

Au-delà de ce point, les différents comptes sur les réseaux sociaux sont assez critiques vis-à-vis de la France, qui est accusée de se tourner vers l'autoritarisme. Dans un message récent (le 24 novembre), ils indiquent que les serveurs qui étaient basés en France (chez OVHcloud) ont été coupés et remplacés par d'autres serveurs dans d'autres pays. Ils affirment aussi que la France n'est pas un pays sûr pour les développeurs de projets open source qui se concentrent sur le respect de la vie privée, et que les autorités tendent à vouloir intégrer des portes dérobées pour permettre l'accès aux données des utilisateurs. Nos confrères de Next expliquent aussi que les comptes sur les réseaux sociaux sont souvent très critiques envers d'autres ROM alternatives (comme e/OS/ et iodéOS), avec des posts parfois agressifs.

Reste que même si l'infrastructure de GrapheneOS n'est plus installée en France et que ses développeurs sont priés d'éviter le pays, les Français (même ceux qui ne sont pas des narcotrafiquants) peuvent évidemment encore installer la ROM alternative, qui reste open source et distribuée gratuitement. Et sans devoir aller sur le darknet ou chercher sur des chaînes YouTube non répertoriées.


  1. Une fonction explicitement absente du système, selon la FAQ.  ↩︎

Accusé d'être le système préféré des narcotrafiquants, GrapheneOS quitte la France

25 novembre 2025 à 23:46

Le système alternatif GrapheneOS est depuis quelques jours au centre de l'actualité, et pour de mauvaises raisons. Un article de nos confrères de Le Parisien met en effet en avant le système d'exploitation et le présente comme la botte secrète des narcotrafiquants. Il explique qu'ils utilisent des Google Pixels sous GrapheneOS pour éviter que les forces de l'ordre puissent accéder aux données.

L'écran d'accueil de GrapheneOS.

Il faut commencer par parler de GrapheneOS : c'est une ROM alternative pour les smartphones Google Pixel (du Pixel 6 aux Pixel 9, et bientôt les Pixel 10). Dans le monde GNU/Linux, nous pourrions parler d'une distribution. Le système d'exploitation est en pratique une variante sécurisée d'Android, avec une orientation très forte sur la sécurité. Les smartphones sous GrapheneOS sont généralement considérés comme les plus sûrs, et Cellebrite semble par exemple incapable de percer les sécurités du système. Même si GrapheneOS peut être vu comme une version « degooglisé » d'Android pour les Pixel, ce n'est pas tout à fait le cas : c'est une version sécurisée du système sans les outils de Google, même s'il est possible de les installer.

Le,logo de GrapheneOS.

Mais revenons au problème : dans l'article de nos confrères, GrapheneOS est présenté comme un système sécurisé qui « (…) s’est progressivement diffusé auprès d’utilisateurs désirant avant tout échapper à toute forme de collecte ou d’analyse de données de leurs supports par les autorités, y compris dans un cadre judiciaire. » Il explique que le système peut être récupéré sur le darknet (sic) et que « Le logiciel peut effacer toutes les données du téléphone1 en affichant une fausse page de Snapchat par exemple quand un cyberenquêteur tente d’entrer dans sa mémoire ou de le décrypter. »

Deux points qui ont visiblement fait bondir les personnes à l'origine du projet sur les réseaux sociaux, comme l'explique Next. Leur réponse (présente dans l'article) est assez cinglante :

Nous ne vendons rien, nous n’avons ni clients ni usagers. Les gens peuvent télécharger notre système d’exploitation gratuitement sur leurs téléphones Pixel et l’utiliser. Notre travail sur la sécurité et la confidentialité est très apprécié par les professionnels de la sécurité et est régulièrement recommandé et utilisé par les militants des droits de l’homme, les journalistes et les avocats. […] Les bandits et trafiquants utilisent aussi des couteaux, des voitures rapides et de l’argent liquide, des choses qui sont aussi largement utilisées par des citoyens honnêtes.

GrapheneOS s'installe sur les Pixel de Google. Image Google.

Au-delà de ce point, les différents comptes sur les réseaux sociaux sont assez critiques vis-à-vis de la France, qui est accusée de se tourner vers l'autoritarisme. Dans un message récent (le 24 novembre), ils indiquent que les serveurs qui étaient basés en France (chez OVHcloud) ont été coupés et remplacés par d'autres serveurs dans d'autres pays. Ils affirment aussi que la France n'est pas un pays sûr pour les développeurs de projets open source qui se concentrent sur le respect de la vie privée, et que les autorités tendent à vouloir intégrer des portes dérobées pour permettre l'accès aux données des utilisateurs. Nos confrères de Next expliquent aussi que les comptes sur les réseaux sociaux sont souvent très critiques envers d'autres ROM alternatives (comme e/OS/ et iodéOS), avec des posts parfois agressifs.

Reste que même si l'infrastructure de GrapheneOS n'est plus installée en France et que ses développeurs sont priés d'éviter le pays, les Français (même ceux qui ne sont pas des narcotrafiquants) peuvent évidemment encore installer la ROM alternative, qui reste open source et distribuée gratuitement. Et sans devoir aller sur le darknet ou chercher sur des chaînes YouTube non répertoriées.


  1. Une fonction explicitement absente du système, selon la FAQ.  ↩︎

Reçu hier — 25 novembre 2025

Microsoft casse une des solutions qui permettait d'activer Windows sans payer

25 novembre 2025 à 22:12

Vous ne le saviez peut-être pas, mais Windows est un système d'exploitation payant. Si. Le système d'exploitation vaut en réalité 145 €, alors que des millions de personnes utilisent soit des clés dans une zone (très) grise, soit passent par des outils largement diffusés comme MAS (Microsoft Activation Script). Trêve de plaisanterie, devenons sérieux : avec la dernière mise à jour de Windows 11 (26100.7019), Microsoft a cassé une des solutions qui permettait de se passer de l'activation.

Une boîte de Windows 11. Image Microsoft.

Cet outil que l'on peut télécharger sur GitHub (qui appartient à Microsoft) permettait de tricher et d'activer Windows de façon temporaire jusqu'en 2038 (d'où le nom KMS38). Pourquoi cette date exacte ? Car c'est une limite classique dans de nombreux systèmes : le temps est généralement calculé en stockant un entier de 32 bits signé qui contient le nombre de secondes depuis le 1er janvier 1970 (une convention issue d'Unix). La limite du compteur est donc de 231 - 1 secondes, ce qui permet d'atteindre le 19 janvier 2038 à 03:14:07 (UTC).

Le principe de KMS38 était simple : Microsoft permettait aux entreprises de fixer un état de grâce pour l'activation, pour leur permettre de prendre en compte l'arrivée d'une nouvelle machine dans une flotte d'entreprise. KMS signifie ici Key Management Services (service de gestion des clés) et il s'agit en simplifiant de la possibilité de gérer des clés d'activation en volume. Avec KMS38, il était possible de modifier la durée maximale avant l'activation en ligne, en passant de 180 jours (la norme) à la valeur la plus élevée disponible (janvier 2038, donc). Cette méthode avait un avantage évident : elle fonctionnait hors-ligne. Il était donc possible d'activer Windows sans même contacter Microsoft.

Montage MacGeneration.

Ceux qui ne veulent pas payer Windows — et soyons clairs, nous ne vous encourageons pas à pirater — auront toujours d'autres possibilités, mais les autres solutions proposées par les outils MAS, si elles sont fonctionnelles, nécessitent de contacter Microsoft. Et la société pourrait évidemment tenter de les contrer de la même façon : les outils MAS sont open source, ce qui fait dire à certains que Microsoft tolère en partie les outils et qu'un utilisateur qui pirate Windows est toujours au moins un utilisateur qui utilise Windows…

Du côté d'Apple, macOS est gratuit depuis la version 10.9 de Mac OS X, mais le piratage était assez courant auparavant. Les pics de vente sur les DVD-R DL1 lors de la sortie de Mac OS X Leopard ou Mac OS X Snow Leopard le montrent bien.


  1. Contrairement aux versions précédentes, les deux systèmes nécessitaient plus que les 4,3 Go d'un DVD-R classique.  ↩︎

Microsoft casse une des solutions qui permettait d'activer Windows sans payer

25 novembre 2025 à 22:12

Vous ne le saviez peut-être pas, mais Windows est un système d'exploitation payant. Si. Le système d'exploitation vaut en réalité 145 €, alors que des millions de personnes utilisent soit des clés dans une zone (très) grise, soit passent par des outils largement diffusés comme MAS (Microsoft Activation Script). Trêve de plaisanterie, devenons sérieux : avec la dernière mise à jour de Windows 11 (26100.7019), Microsoft a cassé une des solutions qui permettait de se passer de l'activation.

Une boîte de Windows 11. Image Microsoft.

Cet outil que l'on peut télécharger sur GitHub (qui appartient à Microsoft) permettait de tricher et d'activer Windows de façon temporaire jusqu'en 2038 (d'où le nom KMS38). Pourquoi cette date exacte ? Car c'est une limite classique dans de nombreux systèmes : le temps est généralement calculé en stockant un entier de 32 bits signé qui contient le nombre de secondes depuis le 1er janvier 1970 (une convention issue d'Unix). La limite du compteur est donc de 231 - 1 secondes, ce qui permet d'atteindre le 19 janvier 2038 à 03:14:07 (UTC).

Le principe de KMS38 était simple : Microsoft permettait aux entreprises de fixer un état de grâce pour l'activation, pour leur permettre de prendre en compte l'arrivée d'une nouvelle machine dans une flotte d'entreprise. KMS signifie ici Key Management Services (service de gestion des clés) et il s'agit en simplifiant de la possibilité de gérer des clés d'activation en volume. Avec KMS38, il était possible de modifier la durée maximale avant l'activation en ligne, en passant de 180 jours (la norme) à la valeur la plus élevée disponible (janvier 2038, donc). Cette méthode avait un avantage évident : elle fonctionnait hors-ligne. Il était donc possible d'activer Windows sans même contacter Microsoft.

Montage MacGeneration.

Ceux qui ne veulent pas payer Windows — et soyons clairs, nous ne vous encourageons pas à pirater — auront toujours d'autres possibilités, mais les autres solutions proposées par les outils MAS, si elles sont fonctionnelles, nécessitent de contacter Microsoft. Et la société pourrait évidemment tenter de les contrer de la même façon : les outils MAS sont open source, ce qui fait dire à certains que Microsoft tolère en partie les outils et qu'un utilisateur qui pirate Windows est toujours au moins un utilisateur qui utilise Windows…

Du côté d'Apple, macOS est gratuit depuis la version 10.9 de Mac OS X, mais le piratage était assez courant auparavant. Les pics de vente sur les DVD-R DL1 lors de la sortie de Mac OS X Leopard ou Mac OS X Snow Leopard le montrent bien.


  1. Contrairement aux versions précédentes, les deux systèmes nécessitaient plus que les 4,3 Go d'un DVD-R classique.  ↩︎

Deux mois après, l'ANFR explique qu'iOS 26 active bien le contrôle parental au démarrage

25 novembre 2025 à 21:26

Près de deux mois après la sortie d'iOS 26, l'ANFR vient de communiquer sur une nouveauté du système, qui permet aux iPhone — même si seul l'iPhone 16 est mis en avant — de se conformer à la loi. En effet, la loi française impose que le contrôle parental soit proposé dès la première configuration d'un appareil, ce qui n'est pas le cas des systèmes précédents, comme nous l'avions noté.

Un réglage lié au contrôle parental. Image iGeneration.

L'ANFR explique qu'iOS 26 demande d'activer le contrôle parental dès le démarrage, alors qu'iOS 18 ne le proposait pas dans certains cas (sans plus de détails). L'agence nationale des fréquences met en avant l'iPhone 16 car c'est le seul iPhone à avoir été contrôlé, mais la correction touche tous les modèles qui acceptent iOS 26. Elle recommande aux utilisateurs de mettre à jour les iPhone vers iOS 26, pour être certains que le contrôle parental soit proposé dès le premier démarrage en cas de réinitialisation.

Le problème est peut-être lié à un point qu'Apple a corrigé avec iOS 18.4 : dans un communiqué de juin 2025, la société explique que si la configuration d'un compte pour un enfant est arrêtée pour une raison ou pour une autre, les réglages de sécurité destinés aux enfants restent actifs, ce qui sous-entend que ce n'était pas le cas jusque là.

Dans tous les cas, quand il s'agit du contrôle parental, il est réellement recommandé d'effectuer les mises à jour dès que possible, que ce soit sur l'iPhone des enfants ou celui des parents. En effet, les failles dont profitent certains enfants pour contourner le contrôle parental sont généralement corrigées par des mises à jour, et elles circulent très rapidement (notamment sur les réseaux sociaux) quand elles sont découvertes.

Est-il vraiment si simple de contourner le contrôle parental d

Est-il vraiment si simple de contourner le contrôle parental d'un iPhone ?

Deux mois après, l'ANFR explique qu'iOS 26 active bien le contrôle parental au démarrage

25 novembre 2025 à 21:26

Près de deux mois après la sortie d'iOS 26, l'ANFR vient de communiquer sur une nouveauté du système, qui permet aux iPhone — même si seul l'iPhone 16 est mis en avant — de se conformer à la loi. En effet, la loi française impose que le contrôle parental soit proposé dès la première configuration d'un appareil, ce qui n'est pas le cas des systèmes précédents, comme nous l'avions noté.

Un réglage lié au contrôle parental. Image iGeneration.

L'ANFR explique qu'iOS 26 demande d'activer le contrôle parental dès le démarrage, alors qu'iOS 18 ne le proposait pas dans certains cas (sans plus de détails). L'agence nationale des fréquences met en avant l'iPhone 16 car c'est le seul iPhone à avoir été contrôlé, mais la correction touche tous les modèles qui acceptent iOS 26. Elle recommande aux utilisateurs de mettre à jour les iPhone vers iOS 26, pour être certains que le contrôle parental soit proposé dès le premier démarrage en cas de réinitialisation.

Le problème est peut-être lié à un point qu'Apple a corrigé avec iOS 18.4 : dans un communiqué de juin 2025, la société explique que si la configuration d'un compte pour un enfant est arrêtée pour une raison ou pour une autre, les réglages de sécurité destinés aux enfants restent actifs, ce qui sous-entend que ce n'était pas le cas jusque là.

Dans tous les cas, quand il s'agit du contrôle parental, il est réellement recommandé d'effectuer les mises à jour dès que possible, que ce soit sur l'iPhone des enfants ou celui des parents. En effet, les failles dont profitent certains enfants pour contourner le contrôle parental sont généralement corrigées par des mises à jour, et elles circulent très rapidement (notamment sur les réseaux sociaux) quand elles sont découvertes.

Est-il vraiment si simple de contourner le contrôle parental d

Est-il vraiment si simple de contourner le contrôle parental d'un iPhone ?

Après les Crocs Windows XP, voici les Crocs Xbox, pour les vingt ans de la Xbox 360

25 novembre 2025 à 18:30

Il y a quelques mois, pour les cinquante ans de la société, Microsoft avait lancé une paire de Crocs aux couleurs de Windows XP. Et la marque vient de récidiver : elle vient de mettre en vente une autre paire de Crocs, cette fois aux couleurs de la Xbox 360 (enfin, plus ou moins), pour fêter les vingt ans de la console (qui est donc vintage).

Les Crocs. Image Microsoft.

Elles sont noires, valent 80 $ et sont décorées avec composants qui rappellent la manette de Xbox Series actuelles. Rappelons que la première Xbox 360, en 2005, est arrivée dans une robe blanche.

Les Crocs.
Les Crocs aux couleurs de Windows XP pour les 50 ans de Microsoft sont en vente

Les Crocs aux couleurs de Windows XP pour les 50 ans de Microsoft sont en vente

Pour décorer les Crocs — parce que c'est la mode —, Microsoft propose aussi des Jibbitz aux couleurs de franchises qui ont fait la joie des joueurs : Fallout, Doom, Halo, World of Warcraft et Sea of Thieves. Les charmes en question valent, 20 $. Pour ceux qui l'ignorent, il s'agit de petites décorations en plastique qui se fixent dans les trous des Crocs, pour les personnaliser.

Les charmes.

Il n'y a pas encore de Crocs aux couleurs d'Apple, mais la société a tout de même vendu des sneakers dans les années 90, et elles valent assez cher quelques (dizaines) d'années plus tard.

Vous êtes team Crocs Xbox ou sneakers Apple ?

Après les Crocs Windows XP, voici les Crocs Xbox, pour les vingt ans de la Xbox 360

25 novembre 2025 à 18:30

Il y a quelques mois, pour les cinquante ans de la société, Microsoft avait lancé une paire de Crocs aux couleurs de Windows XP. Et la marque vient de récidiver : elle vient de mettre en vente une autre paire de Crocs, cette fois aux couleurs de la Xbox 360 (enfin, plus ou moins), pour fêter les vingt ans de la console (qui est donc vintage).

Les Crocs. Image Microsoft.

Elles sont noires, valent 80 $ et sont décorées avec composants qui rappellent la manette de Xbox Series actuelles. Rappelons que la première Xbox 360, en 2005, est arrivée dans une robe blanche.

Les Crocs.
Les Crocs aux couleurs de Windows XP pour les 50 ans de Microsoft sont en vente

Les Crocs aux couleurs de Windows XP pour les 50 ans de Microsoft sont en vente

Pour décorer les Crocs — parce que c'est la mode —, Microsoft propose aussi des Jibbitz aux couleurs de franchises qui ont fait la joie des joueurs : Fallout, Doom, Halo, World of Warcraft et Sea of Thieves. Les charmes en question valent, 20 $. Pour ceux qui l'ignorent, il s'agit de petites décorations en plastique qui se fixent dans les trous des Crocs, pour les personnaliser.

Les charmes.

Il n'y a pas encore de Crocs aux couleurs d'Apple, mais la société a tout de même vendu des sneakers dans les années 90, et elles valent assez cher quelques (dizaines) d'années plus tard.

Vous êtes team Crocs Xbox ou sneakers Apple ?

Black Friday : il y a peu de promotions sur le stockage… et pourtant c'est probablement le moment d'acheter

25 novembre 2025 à 17:15

Lors du Black Friday1, les promotions sur les SSD externes, les SSD internes et les disques durs externes sont habituellement intéressantes, comme lors des autres grandes périodes de promotion. Mais cette année, ce n'est pas réellement le cas : les promotions sont rares et les prix assez élevés. Et pourtant, c'est probablement le meilleur moment pour acheter si vous avez besoin d'un SSD ou d'un disque dur.

Les promotions sur les SSD ne sont pas très intéressantes... et pourtant. Image Crucial.
Des hausses prévues sur la mémoire flash, les disques durs et la mémoire vive

Des hausses prévues sur la mémoire flash, les disques durs et la mémoire vive

Nous en avons déjà parlé, les serveurs dédiés à l'IA ont d'énormes besoins et les fabricants de mémoire vive, de mémoire flash et de disques durs l'ont bien compris. Une partie des chaînes de production a été allouée à des technologies rarement utilisées dans nos appareils (comme la mémoire HBM). Et pour le reste, les constructeurs préfèrent vendre à un prix élevé (variable) aux sociétés qui installent des serveurs qu'à des clients qui ont des contrats pour acheter à un prix défini à l'avance, comme les fabricants d'ordinateurs ou les sociétés qui vendent les composants à la pièce.

Le prix de la mémoire vive en très forte hausse : +170 %, et ça ne risque pas de s

Le prix de la mémoire vive en très forte hausse : +170 %, et ça ne risque pas de s'arrêter

Le résultat est très visible depuis quelques semaines : une hausse très importante dans le domaine de la mémoire vive, des SSD et des HDD. Alors qu'il était possible il y a à peine un an de trouver des SSD de 4 To aux environs de 200 €, nous sommes nettement plus proches de 300 € actuellement… et sur les meilleures promotions.

Et pourtant, ce sont de bonnes affaires dans un sens

Mais il faut bien comprendre une chose : même si les périphériques de stockage sont plus chers qu'attendu, il ne s'agit pas pour autant de mauvaises affaires. Tous les analystes attendent de nouvelles hausses, et de nombreux fabricants anticipent des prix très nettement plus élevés que les actuels. Le patron d'OVHcloud, par exemple, a été assez clair sur ce sujet. Si vous avez réellement besoin d'acheter un SSD externe ou un disque dur externe, les promotions actuelles, même si elles semblent peu intéressantes, le sont en réalité : les prix d'ici quelques mois devraient être encore bien plus élevés.

Un SSD M.2. Image Crucial.

Dans tous les cas, nous avons repéré quelques promotions. Chez Crucial (filiale de Micron), le SSD M.2 de 2 To (P310) est encore à un prix acceptable, 132 € (255 € pour 4 To). En externe, le X10 de 2 To est à 169 €. Il y a un an, le Crucial X9 (équivalent à l'époque dans la gamme du X10) se négociait par exemple pour moins de 120 € (150 € actuellement).

Test du SSD externe Crucial X10, qui peut atteindre 8 To

Test du SSD externe Crucial X10, qui peut atteindre 8 To

Chez Sandisk, c'est à peu près la même chose : le modèle Extreme est à 169 € pour 2 To. D'autres marques habituées des promotions sont même absentes des étals cette année, d'ailleurs.

Un HDD externe WD.

Dans le cas des disques durs externes, la hausse n'est pas aussi récente, mais les prix restent assez élevés. Les modèles de 5 To en 2,5 pouces, qui ont parfois été vendus sous les 100 € ces dernières années, sont au mieux aux environs de 125 €. Et dans les disques durs externes de grande capacité, les promotions sont rares. Là encore, les prix sont assez élevés avec des prix qui dépassent 20 € le téraoctet, sauf à de rares exceptions, comme ce modèle de 18 To à 324 €.

Au delà du prix des composants vendus à la pièce, le prix des ordinateurs complets devrait lui aussi augmenter. Pour le moment, les fabricants qui ont des contrats annuels arrivent à peu près à temporiser les coûts élevés (pour les plus gros), mais le résultat devrait être le même à moyen terme : la hausse semble inévitable.


  1. Qui est vraiment devenu une fête commerci…  ↩︎

Black Friday : il y a peu de promotions sur le stockage… et pourtant c'est probablement le moment d'acheter

25 novembre 2025 à 17:15

Lors du Black Friday1, les promotions sur les SSD externes, les SSD internes et les disques durs externes sont habituellement intéressantes, comme lors des autres grandes périodes de promotion. Mais cette année, ce n'est pas réellement le cas : les promotions sont rares et les prix assez élevés. Et pourtant, c'est probablement le meilleur moment pour acheter si vous avez besoin d'un SSD ou d'un disque dur.

Les promotions sur les SSD ne sont pas très intéressantes... et pourtant. Image Crucial.
Des hausses prévues sur la mémoire flash, les disques durs et la mémoire vive

Des hausses prévues sur la mémoire flash, les disques durs et la mémoire vive

Nous en avons déjà parlé, les serveurs dédiés à l'IA ont d'énormes besoins et les fabricants de mémoire vive, de mémoire flash et de disques durs l'ont bien compris. Une partie des chaînes de production a été allouée à des technologies rarement utilisées dans nos appareils (comme la mémoire HBM). Et pour le reste, les constructeurs préfèrent vendre à un prix élevé (variable) aux sociétés qui installent des serveurs qu'à des clients qui ont des contrats pour acheter à un prix défini à l'avance, comme les fabricants d'ordinateurs ou les sociétés qui vendent les composants à la pièce.

Le prix de la mémoire vive en très forte hausse : +170 %, et ça ne risque pas de s

Le prix de la mémoire vive en très forte hausse : +170 %, et ça ne risque pas de s'arrêter

Le résultat est très visible depuis quelques semaines : une hausse très importante dans le domaine de la mémoire vive, des SSD et des HDD. Alors qu'il était possible il y a à peine un an de trouver des SSD de 4 To aux environs de 200 €, nous sommes nettement plus proches de 300 € actuellement… et sur les meilleures promotions.

Et pourtant, ce sont de bonnes affaires dans un sens

Mais il faut bien comprendre une chose : même si les périphériques de stockage sont plus chers qu'attendu, il ne s'agit pas pour autant de mauvaises affaires. Tous les analystes attendent de nouvelles hausses, et de nombreux fabricants anticipent des prix très nettement plus élevés que les actuels. Le patron d'OVHcloud, par exemple, a été assez clair sur ce sujet. Si vous avez réellement besoin d'acheter un SSD externe ou un disque dur externe, les promotions actuelles, même si elles semblent peu intéressantes, le sont en réalité : les prix d'ici quelques mois devraient être encore bien plus élevés.

Un SSD M.2. Image Crucial.

Dans tous les cas, nous avons repéré quelques promotions. Chez Crucial (filiale de Micron), le SSD M.2 de 2 To (P310) est encore à un prix acceptable, 132 € (255 € pour 4 To). En externe, le X10 de 2 To est à 169 €. Il y a un an, le Crucial X9 (équivalent à l'époque dans la gamme du X10) se négociait par exemple pour moins de 120 € (150 € actuellement).

Test du SSD externe Crucial X10, qui peut atteindre 8 To

Test du SSD externe Crucial X10, qui peut atteindre 8 To

Chez Sandisk, c'est à peu près la même chose : le modèle Extreme est à 169 € pour 2 To. D'autres marques habituées des promotions sont même absentes des étals cette année, d'ailleurs.

Un HDD externe WD.

Dans le cas des disques durs externes, la hausse n'est pas aussi récente, mais les prix restent assez élevés. Les modèles de 5 To en 2,5 pouces, qui ont parfois été vendus sous les 100 € ces dernières années, sont au mieux aux environs de 125 €. Et dans les disques durs externes de grande capacité, les promotions sont rares. Là encore, les prix sont assez élevés avec des prix qui dépassent 20 € le téraoctet, sauf à de rares exceptions, comme ce modèle de 18 To à 324 €.

Au delà du prix des composants vendus à la pièce, le prix des ordinateurs complets devrait lui aussi augmenter. Pour le moment, les fabricants qui ont des contrats annuels arrivent à peu près à temporiser les coûts élevés (pour les plus gros), mais le résultat devrait être le même à moyen terme : la hausse semble inévitable.


  1. Qui est vraiment devenu une fête commerci…  ↩︎

Amazon annonce que Leo (ex Kuiper), son concurrent de Starlink, va atteindre 1 Gb/s

25 novembre 2025 à 16:15

Le service Amazon Leo (anciennement projet Kuiper) est une constellation de satellites en orbites basses, comme Starlink, qui va permettre de se connecter à Internet partout sur la planète. Et Amazon a de grands projets pour sa solution. La première brique de l'offre est dédiée aux entreprises et elle permet selon Amazon d'atteindre 1 Gb/s en réception et 400 Mb/s en émission, des débits dignes de la fibre optique.

Amazon Leo.

L'antenne Leo Ultra a été développée en interne et Amazon met en avant d'excellentes performances. Pour le moment, le service est en test dans une sorte de bêta privée, avec un accès plus large prévu en 2026. Le problème principal vient du nombre de satellites : il n'y en a qu'environ 150 en orbite pour le moment, et Amazon compte en envoyer un peu plus de 3 200. Comme pour Starlink, ils sont dans des orbites assez basses (590, 610 et 630 km), ce qui doit permettre d'obtenir une latence assez faible. En théorie, elle peut descendre aux alentours de 8 ms pour la partie liée à la transmission, sans évidemment prendre en compte la latence entre la station de base et le monde extérieur. Starlink, actuellement, permet d'obtenir une latence de l'ordre de 40 ms, ce qui est suffisant pour de nombreux usages.

Une antenne sur le toit d'un immeuble. Image Amazon.

Amazon met en avant une connexion directe à son service AWS pour les entreprises, et Leo est probablement une bonne solution de repli en cas de soucis. La société met aussi en avant des connexions chiffrées et sûres, un avantage par rapport à certaines offres d'anciennes générations dans lesquelles les liaisons peuvent être interceptées.

Les trois antennes. Image Amazon.

L'antenne Leo Ultra semble assez imposante (de l'ordre de 50 x 75 cm) mais une antenne Pro plus petite (28 cm de côté) permettra d'atteindre environ 400 Mb/s) et la Nano (18 cm de côté) pourra atteindre 100 Mb/s. Reste que pour le moment, avec seulement 150 satellites, la couverture est a priori très limitée. Amazon ne donne pas de détails sur ce point, mais elle va évidemment s'étendre avec le temps et l'envoi de centaines d'autres satellites, qui rejoindront ceux de Starlink et de OneWeb (Eutelsat).

Starlink à l

Starlink à l'essai : tout ce qu'il faut savoir sur cette connexion par satellite d'un genre nouveau

Amazon annonce que Leo (ex Kuiper), son concurrent de Starlink, va atteindre 1 Gb/s

25 novembre 2025 à 16:15

Le service Amazon Leo (anciennement projet Kuiper) est une constellation de satellites en orbites basses, comme Starlink, qui va permettre de se connecter à Internet partout sur la planète. Et Amazon a de grands projets pour sa solution. La première brique de l'offre est dédiée aux entreprises et elle permet selon Amazon d'atteindre 1 Gb/s en réception et 400 Mb/s en émission, des débits dignes de la fibre optique.

Amazon Leo.

L'antenne Leo Ultra a été développée en interne et Amazon met en avant d'excellentes performances. Pour le moment, le service est en test dans une sorte de bêta privée, avec un accès plus large prévu en 2026. Le problème principal vient du nombre de satellites : il n'y en a qu'environ 150 en orbite pour le moment, et Amazon compte en envoyer un peu plus de 3 200. Comme pour Starlink, ils sont dans des orbites assez basses (590, 610 et 630 km), ce qui doit permettre d'obtenir une latence assez faible. En théorie, elle peut descendre aux alentours de 8 ms pour la partie liée à la transmission, sans évidemment prendre en compte la latence entre la station de base et le monde extérieur. Starlink, actuellement, permet d'obtenir une latence de l'ordre de 40 ms, ce qui est suffisant pour de nombreux usages.

Une antenne sur le toit d'un immeuble. Image Amazon.

Amazon met en avant une connexion directe à son service AWS pour les entreprises, et Leo est probablement une bonne solution de repli en cas de soucis. La société met aussi en avant des connexions chiffrées et sûres, un avantage par rapport à certaines offres d'anciennes générations dans lesquelles les liaisons peuvent être interceptées.

Les trois antennes. Image Amazon.

L'antenne Leo Ultra semble assez imposante (de l'ordre de 50 x 75 cm) mais une antenne Pro plus petite (28 cm de côté) permettra d'atteindre environ 400 Mb/s) et la Nano (18 cm de côté) pourra atteindre 100 Mb/s. Reste que pour le moment, avec seulement 150 satellites, la couverture est a priori très limitée. Amazon ne donne pas de détails sur ce point, mais elle va évidemment s'étendre avec le temps et l'envoi de centaines d'autres satellites, qui rejoindront ceux de Starlink et de OneWeb (Eutelsat).

Starlink à l

Starlink à l'essai : tout ce qu'il faut savoir sur cette connexion par satellite d'un genre nouveau

Black Friday : des promotions sur les stations d'accueil et hub pour Mac mini M4 (dont une en forme de Mac Pro)

25 novembre 2025 à 15:15

Le Mac mini M4 est un ordinateur de bureau vraiment surprenant et très performant, mais il a un petit défaut : il manque un peu d'entrées/sorties. Si vous n'avez pas d'USB-C, point de salut, ou presque. Les accessoiristes l'ont bien compris et ils proposent donc des stations d'accueil pour la petite machine. Et elles sont en promotion pour le Black Friday.

La station Ugreen.

Chez Ugreen, la version que nous avons testée est en promotion à 65 € au lieu de 100 €. Elle propose cinq prises USB-A (à différents débits), deux prises USB-C, une prise USB-C pour une alimentation optionnelle, un lecteur de cartes (SD et microSD) et un emplacement M.2 pour un SSD, à 10 Gb/s. C'est un bon compromis si vous branchez un écran en HDMI ou en USB-C. Sa variante est à 60 € au lieu de 100 €, avec une connectique un peu différente ; quatre USB-A, une prise USB-C, un lecteur de cartes (SD et microSD), une sortie casque un peu inutile et une sortie vidéo DisplayPort. Ce modèle intègre aussi l'emplacement M.2 mais nécessite deux prises USB-C sur le Mac.

Test de deux stations d’accueil pour Mac mini M4, pour retrouver l’USB-A et plus encore

Test de deux stations d’accueil pour Mac mini M4, pour retrouver l’USB-A et plus encore

Chez Satechi, la station d'accueil pour Mac mini M4 est à 84 € (88 € avec un coupon à cocher) au lieu de 120 €. Elle propose une connectique un peu plus légère : deux prises USB-A (10 Gb/s), une prise USB-A 2.0, un emplacement M.2 (10 Gb/s) et un lecteur de cartes SD rapide (UHS-II). Le fond de la station est découpé pour un accès facile au bouton du Mac. Dans un autre genre, Seatchi propose aussi son boîtier USB4 pour 81 € (85 € avec un coupon à cocher). Il se place sur le dessus du Mac mini M4 et intègre un emplacement M.2 pour un SSD. Le débit est plus élevé que dans les autres : 40 Gb/s (3,6 Go/s en pratique). Enfin, la station d'accueil pour Mac mini d'ancienne génération (du 2018 au M2) et Mac Studio est à 74 € au lieu de 120 € (78 € avec un coupon à cocher). Elle intègre un emplacement M.2 pour un SSD (10 Gb/s), trois prises USB-A, une prise USB-C, une prise jack en face avant et un double lecteur de cartes (SD et microSD).

La station Satechi.

Orico, un autre fabricant habitué des accessoires, a trois modèles en promotion. La première station est à 60 € et se place sous le Mac mini M4. Elle propose deux USB-C, trois USB)A, un lecteur de cartes SD et microSD, une prise Ethernet 2,5 Gb/s (le Mac mini se limite à 1 Gb/s par défaut) et une entrée micro et une sortie casque. Contrairement aux autres, il n'y a pas d'emplacement M.2. La seconde est à 67 € au lieu de 100 €, et place le Mac mini M4 sur la tranche. Elle propose trois prises USB-A, un lecteur de cartes SD et microSD, une prise USB-C, une entrée USB-C, une sortie HDMI et une prise RJ45 (1 Gb/s, un peu inutile). Il y a aussi un emplacement M.2 sous la base.

Le Mac mini est placé sur la tranche. Image Orinoco.

La dernière est plus sur le Design que le côté pratique, avec un boîtier en forme de (mini) Mac Pro. Elle est à 97 € au lieu de 120 €. La connectique est plus réduite : un lecteur de cartes microSD et SD, deux prises USB-A et un emplacement M.2 pour un SSD.

Un pseudo Mac Pro. Image Orinoco.

Black Friday : des promotions sur les stations d'accueil et hub pour Mac mini M4 (dont une en forme de Mac Pro)

25 novembre 2025 à 15:15

Le Mac mini M4 est un ordinateur de bureau vraiment surprenant et très performant, mais il a un petit défaut : il manque un peu d'entrées/sorties. Si vous n'avez pas d'USB-C, point de salut, ou presque. Les accessoiristes l'ont bien compris et ils proposent donc des stations d'accueil pour la petite machine. Et elles sont en promotion pour le Black Friday.

La station Ugreen.

Chez Ugreen, la version que nous avons testée est en promotion à 65 € au lieu de 100 €. Elle propose cinq prises USB-A (à différents débits), deux prises USB-C, une prise USB-C pour une alimentation optionnelle, un lecteur de cartes (SD et microSD) et un emplacement M.2 pour un SSD, à 10 Gb/s. C'est un bon compromis si vous branchez un écran en HDMI ou en USB-C. Sa variante est à 60 € au lieu de 100 €, avec une connectique un peu différente ; quatre USB-A, une prise USB-C, un lecteur de cartes (SD et microSD), une sortie casque un peu inutile et une sortie vidéo DisplayPort. Ce modèle intègre aussi l'emplacement M.2 mais nécessite deux prises USB-C sur le Mac.

Test de deux stations d’accueil pour Mac mini M4, pour retrouver l’USB-A et plus encore

Test de deux stations d’accueil pour Mac mini M4, pour retrouver l’USB-A et plus encore

Chez Satechi, la station d'accueil pour Mac mini M4 est à 84 € (88 € avec un coupon à cocher) au lieu de 120 €. Elle propose une connectique un peu plus légère : deux prises USB-A (10 Gb/s), une prise USB-A 2.0, un emplacement M.2 (10 Gb/s) et un lecteur de cartes SD rapide (UHS-II). Le fond de la station est découpé pour un accès facile au bouton du Mac. Dans un autre genre, Seatchi propose aussi son boîtier USB4 pour 81 € (85 € avec un coupon à cocher). Il se place sur le dessus du Mac mini M4 et intègre un emplacement M.2 pour un SSD. Le débit est plus élevé que dans les autres : 40 Gb/s (3,6 Go/s en pratique). Enfin, la station d'accueil pour Mac mini d'ancienne génération (du 2018 au M2) et Mac Studio est à 74 € au lieu de 120 € (78 € avec un coupon à cocher). Elle intègre un emplacement M.2 pour un SSD (10 Gb/s), trois prises USB-A, une prise USB-C, une prise jack en face avant et un double lecteur de cartes (SD et microSD).

La station Satechi.

Orico, un autre fabricant habitué des accessoires, a trois modèles en promotion. La première station est à 60 € et se place sous le Mac mini M4. Elle propose deux USB-C, trois USB)A, un lecteur de cartes SD et microSD, une prise Ethernet 2,5 Gb/s (le Mac mini se limite à 1 Gb/s par défaut) et une entrée micro et une sortie casque. Contrairement aux autres, il n'y a pas d'emplacement M.2. La seconde est à 67 € au lieu de 100 €, et place le Mac mini M4 sur la tranche. Elle propose trois prises USB-A, un lecteur de cartes SD et microSD, une prise USB-C, une entrée USB-C, une sortie HDMI et une prise RJ45 (1 Gb/s, un peu inutile). Il y a aussi un emplacement M.2 sous la base.

Le Mac mini est placé sur la tranche. Image Orinoco.

La dernière est plus sur le Design que le côté pratique, avec un boîtier en forme de (mini) Mac Pro. Elle est à 97 € au lieu de 120 €. La connectique est plus réduite : un lecteur de cartes microSD et SD, deux prises USB-A et un emplacement M.2 pour un SSD.

Un pseudo Mac Pro. Image Orinoco.

Apple a supprimé la série Traqués (The Hunt) car ce serait un plagiat

25 novembre 2025 à 12:05

Il y a quelques jours, Apple a totalement fait disparaître la série Apple TV The Hunt (Traqués), façon 1984. Les bandes-annonces, communiqués et pages dédiées à la série française avec Mélanie Laurent et Benoît Magimel ont disparu, avec des erreurs 404 en pagaille. Elle devait pourtant être mise en ligne à partir du 3 décembre 2025, et cette disparition était donc assez étonnante. Selon le spécialiste des médias Clément Garin, Apple a une bonne raison : la série serait un plagiat.

Apple fait totalement disparaître Traqués (The Hunt), une série française, de son service Apple TV

Apple fait totalement disparaître Traqués (The Hunt), une série française, de son service Apple TV

Il explique que Cédric Anger, le réalisateur, créateur et scénariste, aurait omis d'indiquer que la série — un thriller — était en réalité une adaptation d'un roman de Douglas Fairbairn, publié en 1973. Shoot a d'ailleurs été traduit à l'époque (en 1974) sous le nom La Traque. La série, tournée en France en 2024, reprend visiblement la structure du roman, avec un groupe d'amis qui part chasser et se fait attaquer par un autre groupe de chasseurs. Lors de cette attaque, une des personnes est blessée, mais le groupe décide de ne rien dire et reprend sa vie. Ensuite, dans la série comme dans le livre selon Clément Garin, ils se sentent traqués et observés. Le roman a par ailleurs été porté à l'écran en 1976.

Traqués. Image Apple.

Le spécialiste des médias indique que les acteurs n'ont pas le droit de parler de la série, et qu'Apple et Gaumont (qui a produit la série, et qui a visiblement aussi tenté de supprimer toutes traces de cette dernière) envisagent une action en justice contre le réalisateur.

Apple a supprimé la série Traqués (The Hunt) car ce serait un plagiat

25 novembre 2025 à 12:05

Il y a quelques jours, Apple a totalement fait disparaître la série Apple TV The Hunt (Traqués), façon 1984. Les bandes-annonces, communiqués et pages dédiées à la série française avec Mélanie Laurent et Benoît Magimel ont disparu, avec des erreurs 404 en pagaille. Elle devait pourtant être mise en ligne à partir du 3 décembre 2025, et cette disparition était donc assez étonnante. Selon le spécialiste des médias Clément Garin, Apple a une bonne raison : la série serait un plagiat.

Apple fait totalement disparaître Traqués (The Hunt), une série française, de son service Apple TV

Apple fait totalement disparaître Traqués (The Hunt), une série française, de son service Apple TV

Il explique que Cédric Anger, le réalisateur, créateur et scénariste, aurait omis d'indiquer que la série — un thriller — était en réalité une adaptation d'un roman de Douglas Fairbairn, publié en 1973. Shoot a d'ailleurs été traduit à l'époque (en 1974) sous le nom La Traque. La série, tournée en France en 2024, reprend visiblement la structure du roman, avec un groupe d'amis qui part chasser et se fait attaquer par un autre groupe de chasseurs. Lors de cette attaque, une des personnes est blessée, mais le groupe décide de ne rien dire et reprend sa vie. Ensuite, dans la série comme dans le livre selon Clément Garin, ils se sentent traqués et observés. Le roman a par ailleurs été porté à l'écran en 1976.

Traqués. Image Apple.

Le spécialiste des médias indique que les acteurs n'ont pas le droit de parler de la série, et qu'Apple et Gaumont (qui a produit la série, et qui a visiblement aussi tenté de supprimer toutes traces de cette dernière) envisagent une action en justice contre le réalisateur.

Les PC ARM posent autant de soucis à Linux que les Mac Apple Silicon

25 novembre 2025 à 11:40

Si les distributions GNU/Linux sont très courantes sur les cartes de développement, comme les Raspberry Pi et tous les produits du même type, les ordinateurs portables et de bureau, eux, résistent. Dans le monde Apple, Asahi Linux est un projet intéressant, mais qui reste singulièrement limité : il ne fonctionne pas sur les puces M3 à M5, par exemple. Et dans les PC, c'est visiblement un peu la même chose : si les puces Snapdragon X de Qualcomm fonctionnent bien avec Windows, ce n'est visiblement pas trop le cas avec les distributions GNU/Linux.

Le prototype de Tuxedo Computers, abandonné. Image Tuxedo.

La société Tuxedo Computers, qui avait annoncé un PC portable équipé d'un système sur puce Snapdragon X Elite en juin 2024, a abandonné ses travaux. Un prototype équipé de la version Elite du système sur puce (douze cœurs), de 32 Go de RAM et d'un écran de 14 pouces avait été montré, mais il n'a visiblement pas convaincu.

Dans un communiqué, la société explique que malgré les efforts des développeurs, l'autonomie sous GNU/Linux est significativement plus faible que sous Windows. De plus, la gestion du firmware empêche les mises à jour simple, ainsi que le contrôle du ventilateur. Ils indiquent aussi que la virtualisation est compliquée sur la puce, et que les débits en USB4 sont moins élevés qu'attendu. Enfin, l'accélération vidéo passe visiblement par des API qui limitent la compatibilité dans de nombreux cas.

Ils expliquent donc que le PC en question serait arrivé trop tard — les puces Snapdragon X2 ont été annoncées et devraient arriver début 2026 — et avec trop de contraintes.

Les Snapdragon X2 Elite et Extreme ressemblent à un M4 Pro, mais à 5 GHz

Les Snapdragon X2 Elite et Extreme ressemblent à un M4 Pro, mais à 5 GHz

Ils concluent tout de même en expliquant que la puce Snapdragon X2 Elite est en cours d'évaluation et que si les résultats sont bons sous GNU/Linux, il devrait être possible de réutiliser une partie du travail effectué sur la première génération. Mais le constat reste assez amer tout de même, et Qualcomm n'aide visiblement pas plus le monde du libre qu'Apple.

Les PC ARM posent autant de soucis à Linux que les Mac Apple Silicon

25 novembre 2025 à 11:40

Si les distributions GNU/Linux sont très courantes sur les cartes de développement, comme les Raspberry Pi et tous les produits du même type, les ordinateurs portables et de bureau, eux, résistent. Dans le monde Apple, Asahi Linux est un projet intéressant, mais qui reste singulièrement limité : il ne fonctionne pas sur les puces M3 à M5, par exemple. Et dans les PC, c'est visiblement un peu la même chose : si les puces Snapdragon X de Qualcomm fonctionnent bien avec Windows, ce n'est visiblement pas trop le cas avec les distributions GNU/Linux.

Le prototype de Tuxedo Computers, abandonné. Image Tuxedo.

La société Tuxedo Computers, qui avait annoncé un PC portable équipé d'un système sur puce Snapdragon X Elite en juin 2024, a abandonné ses travaux. Un prototype équipé de la version Elite du système sur puce (douze cœurs), de 32 Go de RAM et d'un écran de 14 pouces avait été montré, mais il n'a visiblement pas convaincu.

Dans un communiqué, la société explique que malgré les efforts des développeurs, l'autonomie sous GNU/Linux est significativement plus faible que sous Windows. De plus, la gestion du firmware empêche les mises à jour simple, ainsi que le contrôle du ventilateur. Ils indiquent aussi que la virtualisation est compliquée sur la puce, et que les débits en USB4 sont moins élevés qu'attendu. Enfin, l'accélération vidéo passe visiblement par des API qui limitent la compatibilité dans de nombreux cas.

Ils expliquent donc que le PC en question serait arrivé trop tard — les puces Snapdragon X2 ont été annoncées et devraient arriver début 2026 — et avec trop de contraintes.

Les Snapdragon X2 Elite et Extreme ressemblent à un M4 Pro, mais à 5 GHz

Les Snapdragon X2 Elite et Extreme ressemblent à un M4 Pro, mais à 5 GHz

Ils concluent tout de même en expliquant que la puce Snapdragon X2 Elite est en cours d'évaluation et que si les résultats sont bons sous GNU/Linux, il devrait être possible de réutiliser une partie du travail effectué sur la première génération. Mais le constat reste assez amer tout de même, et Qualcomm n'aide visiblement pas plus le monde du libre qu'Apple.

Deux adaptateurs AirPlay 2 en promotion pour le Black Friday, pour connecter de vieilles enceintes

25 novembre 2025 à 10:30

Pendant le vendredi noir, deux adaptateurs assez pratiques sont en promotion : ils permettent de connecter de vieilles enceintes grâce à AirPlay 2, la solution de diffusion sans fil d'Apple.

L'adaptateur Belkin.

Le premier est le Belkin SoundForm Connect, qui est en promotion à 60 € au lieu de 100 €. C'est un petit boîtier noir qui se relie en Wi-Fi à votre réseau (2,4 GHz ou 5 GHz). Il propose une compatibilité AirPlay 2 et deux sorties audio, à relier à l'entrée de vos enceintes ou de vos équipements. Il s'agit d'une sortie jack 3,5 mm analogique classique et d'une sortie numérique optique S/PDIF, en Toslink. Le boîtier s'alimente en USB-C, même s'il est livré avec un adaptateur secteur USB-A.

L'adaptateur Eve.

Le second est l'Eve Play, en promotion à 120 € au lieu de 150 €. Son prix peut se justifier par la connectique un peu plus complète. Il est Wi-Fi (dans la bande des 2,4 GHz et 5 GHz) mais intègre aussi une prise Ethernet, pour plus de stabilité. Pour les sorties, il propose des sorties analogiques en RCA (deux prises coaxiales séparées) et une double sortie numérique S/PDIF. La première est en optique avec une prise Toslink, la seconde en coaxiale.

N'oubliez pas l'AirPort Express

Si vous avez un vieux boîtier AirPort Express dans un tiroir — le modèle dont le format est celui de l'Apple TV —, n'oubliez pas qu'Apple avait mis à jour le boîtier pour amener AirPlay 2. L'appareil propose de l'Ethernet et du Wi-Fi dans la bande des 2,4 et 5 GHz, et une sortie jack 3,5 mm. Elle est analogique mais aussi numérique (optique) en Mini Toslink.

Les bornes AirPort Express dernière génération sont compatibles AirPlay 2

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Deux adaptateurs AirPlay 2 en promotion pour le Black Friday, pour connecter de vieilles enceintes

25 novembre 2025 à 10:30

Pendant le vendredi noir, deux adaptateurs assez pratiques sont en promotion : ils permettent de connecter de vieilles enceintes grâce à AirPlay 2, la solution de diffusion sans fil d'Apple.

L'adaptateur Belkin.

Le premier est le Belkin SoundForm Connect, qui est en promotion à 60 € au lieu de 100 €. C'est un petit boîtier noir qui se relie en Wi-Fi à votre réseau (2,4 GHz ou 5 GHz). Il propose une compatibilité AirPlay 2 et deux sorties audio, à relier à l'entrée de vos enceintes ou de vos équipements. Il s'agit d'une sortie jack 3,5 mm analogique classique et d'une sortie numérique optique S/PDIF, en Toslink. Le boîtier s'alimente en USB-C, même s'il est livré avec un adaptateur secteur USB-A.

L'adaptateur Eve.

Le second est l'Eve Play, en promotion à 120 € au lieu de 150 €. Son prix peut se justifier par la connectique un peu plus complète. Il est Wi-Fi (dans la bande des 2,4 GHz et 5 GHz) mais intègre aussi une prise Ethernet, pour plus de stabilité. Pour les sorties, il propose des sorties analogiques en RCA (deux prises coaxiales séparées) et une double sortie numérique S/PDIF. La première est en optique avec une prise Toslink, la seconde en coaxiale.

N'oubliez pas l'AirPort Express

Si vous avez un vieux boîtier AirPort Express dans un tiroir — le modèle dont le format est celui de l'Apple TV —, n'oubliez pas qu'Apple avait mis à jour le boîtier pour amener AirPlay 2. L'appareil propose de l'Ethernet et du Wi-Fi dans la bande des 2,4 et 5 GHz, et une sortie jack 3,5 mm. Elle est analogique mais aussi numérique (optique) en Mini Toslink.

Les bornes AirPort Express dernière génération sont compatibles AirPlay 2

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