Pour son remake, Steins;Gate Re:Boot aura droit à une fin inédite







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Google teste actuellement une disposition verticale des onglets dans la version Canary de Chrome. Cette fonctionnalité, déjà présente chez la concurrence comme Edge ou Vivaldi, permet d'optimiser l'affichage sur les écrans larges. Accessible via un simple clic droit, elle promet de réorganiser votre navigation en déportant la barre sur le côté gauche.
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Les notices de médicaments se dématérialisent. L’Agence nationale de sécurité du médicament a annoncé que plus de 500 boîtes de médicaments allaient embarquer un QR Code pour accéder à leur notice numérique dans le cadre d'un essai à grande échelle. Cette phase pilote a débuté depuis plusieurs semaines et va durer 2 ans afin d’évaluer l’intérêt et l’accessibilité de la mesure, pour les patients comme pour les professionnels de santé.
Un code QR imprimé sur la boîte permet donc d’accéder facilement à une e-notice hébergée sur la Base de données publique des médicaments. L’idée est de proposer une transition douce, avec une version papier qui reste présente dans la boîte des pilules vendues en pharmacies. Certaines d’entre elles ont été supprimées à l’hôpital pour tester une numérisation totale, ce qui s’explique par le fait que les personnes hospitalisées ont rarement accès aux notices papier.
Si la dématérialisation a des désavantages évidents pour certains profils (personnes âgées, en situation de handicap), elle a aussi plusieurs atouts. En plus d’une réduction de l’empreinte écologique des médicaments, elles peuvent être mises à jour à distance pour refléter les dernières données disponibles. Elles peuvent également être enrichies de vidéos ou de contenus additionnels (informations de sécurité, dossiers thématiques…).
Sur les 500 médicaments concernés par cette phase de test, 420 sont distribués à l’hôpital. On y trouve des anticancéreux, des médicaments de thérapie génique et cellulaire, des antibiotiques, des antihypertenseurs, etc. Les 170 autres vendus en pharmacie sont des statines, des vaccins et différentes formes de paracétamol.
Le but de ce test est de recueillir des informations sur l’accessibilité et l’intérêt perçu des e-notices. Deux enquêtes vont être menées à mi-parcours, tandis qu’un questionnaire de satisfaction va être mis en place. Un bilan sera ensuite tiré en lien avec les associations de patients, les professionnels de santé et les industriels. La France n’est pas forcément précurseur dans le domaine, la Commission européenne encourageant la transition vers des notices électroniques. De nombreux pays comme la Belgique ou l’Espagne les expérimentent également.
Les utilisateurs d’iPhone et de smartphone peuvent depuis longtemps consulter des notices numériques grâce à des apps impliquant de scanner le datamatrix présent sur toutes les boîtes. C’est par exemple le cas de Medico, mais aussi de l’app Notices médicaments qui se base sur le contenu des notices mis à disposition par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé.
Dans un procès qui oppose Meta à plusieurs districts scolaires états-uniens, l’entreprise de Mark Zuckerberg voit remonter l’évocation de recherches internes non rendues publiques montrant que les personnes qui ont cessé d’utiliser Facebook sont devenues moins déprimées et moins anxieuses.
Depuis 2022, Meta fait face à une plainte de plusieurs districts scolaires états-uniens concernant l’addiction des adolescents aux réseaux sociaux et qui accusent l’entreprise de proposer « des produits défectueux ».
Selon un des documents produits lors de ce procès, Meta aurait arrêté des travaux de recherches internes montrant des preuves de causalité entre l’utilisation du réseau social et la santé mentale de ses utilisateurs, explique Reuters.
Fin 2019, l’entreprise a mis en place, selon ce document [PDF], ce qu’elle a nommé le « Projet Mercury » : un travail en collaboration avec l’entreprise de sondage Nielsen sur les effets liés au fait de « désactiver » Facebook. « Les personnes qui ont cessé d’utiliser Facebook pendant une semaine ont déclaré ressentir moins de dépression, d’anxiété, de solitude et de comparaison sociale » montrent des tests pilotes de cette étude.
« Mais au lieu d’aller plus loin ou de sonner l’alarme », affirment les avocats des districts scolaires, « Meta a suspendu le projet, affirmant que les commentaires des participants étaient biaisés par « le résultat du discours médiatique existant autour de l’entreprise » ».
En interne, cet arrêt a été critiqué par certains : « L’étude Nielsen montre effectivement un impact causal sur la comparaison sociale.
», a écrit un chercheur de Meta anonyme. Un autre employé s’inquiétait d’une éventuelle fuite de l’enterrement de ce projet : « Si les résultats sont mauvais et que nous ne les publions pas, mais qu’ils fuitent, cela ressemblera-t-il aux fabricants de tabac qui menaient des recherches, savaient que les cigarettes étaient nocives, mais gardaient cette information pour eux ? ». Et ils accusent Meta de ne pas avoir publié ces résultats : « À la place, Meta a menti au Congrès sur ce qu’elle savait », affirment-ils.
« Nous sommes en total désaccord avec ces allégations, qui s’appuient sur des citations choisies de manière sélective et des opinions erronées dans le but de présenter une image délibérément trompeuse », affirme le porte-parole de Meta, Andy Stone comme l’indique CNBC. Pour lui, le projet de l’étude était biaisé : « Il constatait que les personnes qui pensaient que l’utilisation de Facebook leur était néfaste se sentaient mieux lorsqu’elles cessaient de l’utiliser », affirme-t-il sur Bluesky, ajoutant que ça ne serait que la confirmation d’autres études démontrant le même effet. « Cela semble logique intuitivement, mais cela ne montre rien concernant l’effet réel de l’utilisation de la plateforme », défend-il.
Les documents sur lesquels s’appuient les avocats des districts scolaires ne sont pas publics. Reuters explique que l’entreprise a demandé à ce qu’ils soient enlevés du dossier, considérant que leur nature était trop générale et ne concernait pas ce que les plaignants chercher à prouver.
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La directive européenne NIS2 est toujours dans l’attente d’une transposition dans le droit français. Le projet de loi relatif à la résilience des infrastructures critiques et au renforcement de la cybersécurité a passé le cap du Sénat mais reste en attente d’un vote final.
Le mois dernier, Vincent Strubel rappelait aux Assises de la cybersécurité de Monaco que ce vote est « une étape indispensable et essentielle, mais ce n’est qu’une étape et pas la plus difficile ». Le plus dur, c’est la mise en œuvre et pour cela « il ne faut pas attendre » car « on sait tout ce qu’il faut faire », expliquait-il.
L’ANSSI avance et annonce l’ouverture d’un guichet de pré-enregistrement, ce qui constitue « la première brique de l’entrée en vigueur de NIS 2 et un premier pas pour les entités dans le respect de leurs obligations ». Comptez 5 à 10 minutes de procédure si vous avez déjà un compte Club SSI (obligatoire).

L’Agence rappelle que « l’ensemble des entités soumises au champ d’application de la directive a l’obligation de communiquer un certain nombre d’informations à l’autorité compétente (article 3 et article 27 de la directive) ». Le changement est important : de 600 entreprises environ concernées par NIS1, on passe à 15 000 avec NIS2.
« Ce pré-enregistrement permet aux entités de préparer leur enregistrement afin de bénéficier d’un enregistrement facilité lorsque la phase d’enregistrement obligatoire démarrera après publication des textes réglementaires associés au projet de loi Résilience », explique l’ANSSI.
Un simulateur permettant « d’obtenir une estimation du statut d’une entité, conformément aux textes actuellement en vigueur » est disponible à cette adresse. Bien évidemment, « le résultat est dépendant de l’exactitude des données fournies en entrée, ne dispense pas d’une analyse au vu des textes en vigueur et des circonstances propres à chaque entité. Les résultats du test sont strictement indicatifs, dans l’attente de l’adoption définitive des textes législatifs et réglementaires de transposition de la directive NIS 2 ».
Tous les détails se trouvent par ici, tandis que la pré-instription se fait par là.
