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Sortie jeux : encore une grosse semaine avec 4 nouvelles pépites à découvrir au plus vite
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TEST | Ninja Gaiden 2 Black : Noir c’est Noir
Sorti à la surprise générale immédiatement après l’annonce de Ninja Gaiden 4, Ninja Gaiden 2 Black revisite l’aventure de Ryu Hayabusa avec des améliorations graphiques, un gameplay modernisé et quelques surprises inédites – du moins sur le papier. Mais cet opus peut-il encore rivaliser avec les standards d’aujourd’hui ?
Test réalisé sur PC grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur
Ninja Guedin
Ninja Gaiden 2 suit les aventures de Ryu Hayabusa dans sa quête pour empêcher un clan démoniaque de détruire le monde. L’histoire débute lorsque le clan de l’araignée noire, dirigé par une puissante alchimiste maléfique nommé Elizébet, vole une mystérieuse et dangereuse statue démoniaque. Cette statue a le pouvoir d’invoquer l’Archidémon, un être maléfique capable de plonger le monde dans le chaos. Ryu doit voyager à travers le monde, allant des villes modernes aux temples anciens, tout en affrontant des hordes d’ennemis, des monstres démoniaques et des boss redoutables. Son chemin est parsemé d’embûches et de défis, mais il peut compter sur son épée légendaire, la Dragon Sword, et d’autres armes dévastatrices pour réduire à néant ses adversaires.
Ninja Gaiden 2 Black se présente comme une fusion des meilleures caractéristiques des versions précédentes du jeu. S’appuyant sur la base de Ninja Gaiden Sigma 2 développé pour la PS3, il conserve les chapitres additionnels mettant en scène Momiji, Rachel et Ayane. Toutefois, cette nouvelle version réintègre également l’ultraviolence emblématique de la mouture originale sortie sur Xbox 360, offrant ainsi une expérience plus brutale et fidèle aux origines de la saga. En plus de cet équilibre entre les deux éditions, Ninja Gaiden 2 Black propose des améliorations visuelles notables ainsi que du contenu inédit et de nouveaux modes de jeu, enrichissant encore davantage l’expérience des joueurs.
Un gameplay toujours affûté comme une lame ?
Manette en main, Ninja Gaiden 2 Black conserve toute sa profondeur et sa nervosité, des éléments qui en ont fait un classique du genre. Les combats restent intenses et techniques grâce à la présence de nombreux combos variant selon l’arme équipée. La diversité de l’arsenal de Ryu Hayabusa, enrichi par quelques nouvelles armes dans cette version, offre des possibilités stratégiques intéressantes, chaque arme ayant son propre style et ses forces contre des types d’ennemis bien particuliers. Le système de démembrement des ennemis issu de la version Xbox 360 signe son grand retour dans cette mouture Black, rendant chaque affrontement viscéral et chaque finisher gratifiant.
Toutefois, cette exigence peut rapidement se transformer en frustration, notamment pour les nouveaux joueurs ou ceux qui ne sont pas familiers avec le style punitif de la série. Malgré l’ajout d’un nouveau mode de difficulté Héros, pensé pour les néophytes, Ninja Gaiden 2 Black reste impitoyable, et les pics de difficulté parfois mal dosés peuvent décourager les moins persévérants. Mais là où ce remaster devient problématique, c’est dans la gestion de la caméra, surtout en combat, ou dans des situations où les ennemis attaquent hors-champ ou dans des espaces restreints, ce qui peut ruiner certains affrontements autrement intenses. L’IA ennemie, bien qu’améliorée, conserve des comportements agaçants, notamment avec des attaques répétées ou des projectiles incessants, rendant certaines séquences particulièrement frustrantes.
Certains éléments emblématiques de la version Xbox 360 sont absents, au désarroi des fans qui auraient pu espérer obtenir ici la version ultime. Certains niveaux ou segments de gameplay originaux paraissent légèrement condensés ou simplifiés, tout comme certaines techniques liées aux armes à distances, comme l’arc ou le canon, qui ont tout bonnement disparues.
Paint it Black
Ninja Gaiden 2 Black tente de tirer pleinement parti des capacités des consoles modernes en adoptant l’Unreal Engine 5. Ce qui saute majoritairement aux yeux, c’est bien évidemment les nouveaux modèles 3D des différents personnages, ainsi que la gestion des sources lumineuses offerte par ce nouveau moteur. Pour une raison qui nous échappe, Team Ninja a jugée bon, pas forcément pour le meilleur, de modifier les fenêtres temporelles de certains environnements, à l’instar du second niveau, de nuit avec des lueurs orangées dans l’original, se retrouve en plein jour dans ce Ninja Gaiden 2 Black.
Si le passage à ce moteur moderne permet d’embellir grandement ce titre vieux de 17 ans, le résultat est malheureusement inégal. Ninja Gaiden 2 Black fait sensation à des moments bien particuliers, comme la fin du jeu affichant des effets et des couleurs sublimes, mais n’est pas à l’abris d’une ribambelle de points noirs qui viennent gâcher l’expérience, comme un level design ancré dans une structure linéaire datée et des cinématiques stricto sensu repris du jeu de base avec un polish minimum. On note par moments des ralentissements inattendus dans les combats les plus intenses. Ces baisses de performances, bien que peu nombreuses, sont d’autant plus frustrantes que notre configuration dépasse aisément celle préconisée par la Team Ninja sur la page Steam du jeu. Pour information, le jeu a tourné sur un ordinateur possédant une carte graphique NVIDIA RTX 4070, un processeur i5-14500, le tout accompagné de 32 Go de RAM. Malgré notre arsenal, Ninja Gaiden 2 Black s’est permis de chuter sous les 60 FPS, et ce, même lors de certaines cinématiques, comme l’attaque du Colisée de Venise en hélicoptère, où la cutscene passe sous la barre des 25 FPS. Il est à noter que, bien que Ninja Gaiden 2 Black offre la possibilité de jouer à 120 FPS, nous arrivions difficilement aux alentours des 90 FPS, avec une instabilité permanente.
Cerise sur le gâteau, le jeu pèse pas moins de 80 Go sur PC pour une expérience ultra-linéaire et pouvant se terminer entre 8 et 10 heures selon la difficulté adoptée et votre degré d’aisance avec le titre. Était-il bien judicieux de passer ce remaster sur un moteur Unreal Engine 5 visiblement encore mal maîtrisé ? Pas sûr. Avec ce remaster, nous aurions pu espérer voir les éléments issus du Ninja Gaiden 2 original intégrés à ce portage. Hélas, il n’en est rien. Ninja Gaiden 2 Black souffre de plusieurs absences notables par rapport aux versions précédentes. Les Tests of Valor, le mode Survie et le mode Nouvelle Partie+ (NG+) sont absents, empêchant une rejouabilité plus flexible. Certains costumes originaux et armes à distance de Ryu ont disparu, bien qu’ils soient encore dans les fichiers du jeu à en croire les retours de la communauté ayant jeté un coup d’œil dans ces derniers, tandis que le mode Mission en Équipe a été modifié pour inclure un partenaire contrôlé par l’IA, contrairement à l’expérience online d’origine. De plus, certains points d’apparitions des ennemis restent étrangement vides, et la fonctionnalité Ninja Run de la version Vita a été retirée sans raison claire. Ces omissions, bien qu’elles n’altèrent pas totalement l’expérience, donnent une impression d’incomplétude pour les fans de la série, ce qui finit par nous faire questionner grandement l’intérêt de ce remaster.
Verdict : 6/10
Ninja Gaiden 2 Black fait figure de réédition un peu facile, histoire de faire un petit billet en attendant Ninja Gaiden 4 prévu pour la fin de l’année. Malheureusement, le titre ne parviendra pas à satisfaire les attentes des puristes. Il tente de compenser ses manquements en offrant une esthétique plus raffinée et en réintroduisant le gore de l’épisode sorti originellement sur Xbox 360. Cependant, cette nouvelle itération déçoit : elle ne récupère pas tout le contenu de la version Xbox et en oublie même une partie de celui de Ninja Gaiden 2 Sigma. Pire encore, elle conserve les problèmes hérités des versions précédentes, notamment une caméra souvent problématique qui gâche certains combats et séquences de plateforme, ainsi que des pics de difficulté parfois absurdes, même en mode Normal. À cela s’ajoutent des soucis d’optimisation, avec des chutes de framerate notables lors de séquences particulièrement intenses. Si Ninja Gaiden 2 Black peut constituer une alternative correcte pour les nouveaux venus souhaitant découvrir la série avant l’arrivée du quatrième opus, il n’est pas recommandé aux fans de la première heure, qui y verront une énième sous-version de l’opus Xbox 360, version de réfèrence encore à ce jour pour les inconditionnels.
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TEST | Ninja Gaiden 2 Black : Noir c’est Noir
Sorti à la surprise générale immédiatement après l’annonce de Ninja Gaiden 4, Ninja Gaiden 2 Black revisite l’aventure de Ryu Hayabusa avec des améliorations graphiques, un gameplay modernisé et quelques surprises inédites – du moins sur le papier. Mais cet opus peut-il encore rivaliser avec les standards d’aujourd’hui ?
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Ninja Guedin
Ninja Gaiden 2 suit les aventures de Ryu Hayabusa dans sa quête pour empêcher un clan démoniaque de détruire le monde. L’histoire débute lorsque le clan de l’araignée noire, dirigé par une puissante alchimiste maléfique nommé Elizébet, vole une mystérieuse et dangereuse statue démoniaque. Cette statue a le pouvoir d’invoquer l’Archidémon, un être maléfique capable de plonger le monde dans le chaos. Ryu doit voyager à travers le monde, allant des villes modernes aux temples anciens, tout en affrontant des hordes d’ennemis, des monstres démoniaques et des boss redoutables. Son chemin est parsemé d’embûches et de défis, mais il peut compter sur son épée légendaire, la Dragon Sword, et d’autres armes dévastatrices pour réduire à néant ses adversaires.
Ninja Gaiden 2 Black se présente comme une fusion des meilleures caractéristiques des versions précédentes du jeu. S’appuyant sur la base de Ninja Gaiden Sigma 2 développé pour la PS3, il conserve les chapitres additionnels mettant en scène Momiji, Rachel et Ayane. Toutefois, cette nouvelle version réintègre également l’ultraviolence emblématique de la mouture originale sortie sur Xbox 360, offrant ainsi une expérience plus brutale et fidèle aux origines de la saga. En plus de cet équilibre entre les deux éditions, Ninja Gaiden 2 Black propose des améliorations visuelles notables ainsi que du contenu inédit et de nouveaux modes de jeu, enrichissant encore davantage l’expérience des joueurs.
Un gameplay toujours affûté comme une lame ?
Manette en main, Ninja Gaiden 2 Black conserve toute sa profondeur et sa nervosité, des éléments qui en ont fait un classique du genre. Les combats restent intenses et techniques grâce à la présence de nombreux combos variant selon l’arme équipée. La diversité de l’arsenal de Ryu Hayabusa, enrichi par quelques nouvelles armes dans cette version, offre des possibilités stratégiques intéressantes, chaque arme ayant son propre style et ses forces contre des types d’ennemis bien particuliers. Le système de démembrement des ennemis issu de la version Xbox 360 signe son grand retour dans cette mouture Black, rendant chaque affrontement viscéral et chaque finisher gratifiant.
Toutefois, cette exigence peut rapidement se transformer en frustration, notamment pour les nouveaux joueurs ou ceux qui ne sont pas familiers avec le style punitif de la série. Malgré l’ajout d’un nouveau mode de difficulté Héros, pensé pour les néophytes, Ninja Gaiden 2 Black reste impitoyable, et les pics de difficulté parfois mal dosés peuvent décourager les moins persévérants. Mais là où ce remaster devient problématique, c’est dans la gestion de la caméra, surtout en combat, ou dans des situations où les ennemis attaquent hors-champ ou dans des espaces restreints, ce qui peut ruiner certains affrontements autrement intenses. L’IA ennemie, bien qu’améliorée, conserve des comportements agaçants, notamment avec des attaques répétées ou des projectiles incessants, rendant certaines séquences particulièrement frustrantes.
Certains éléments emblématiques de la version Xbox 360 sont absents, au désarroi des fans qui auraient pu espérer obtenir ici la version ultime. Certains niveaux ou segments de gameplay originaux paraissent légèrement condensés ou simplifiés, tout comme certaines techniques liées aux armes à distances, comme l’arc ou le canon, qui ont tout bonnement disparues.
Paint it Black
Ninja Gaiden 2 Black tente de tirer pleinement parti des capacités des consoles modernes en adoptant l’Unreal Engine 5. Ce qui saute majoritairement aux yeux, c’est bien évidemment les nouveaux modèles 3D des différents personnages, ainsi que la gestion des sources lumineuses offerte par ce nouveau moteur. Pour une raison qui nous échappe, Team Ninja a jugée bon, pas forcément pour le meilleur, de modifier les fenêtres temporelles de certains environnements, à l’instar du second niveau, de nuit avec des lueurs orangées dans l’original, se retrouve en plein jour dans ce Ninja Gaiden 2 Black.
Si le passage à ce moteur moderne permet d’embellir grandement ce titre vieux de 17 ans, le résultat est malheureusement inégal. Ninja Gaiden 2 Black fait sensation à des moments bien particuliers, comme la fin du jeu affichant des effets et des couleurs sublimes, mais n’est pas à l’abris d’une ribambelle de points noirs qui viennent gâcher l’expérience, comme un level design ancré dans une structure linéaire datée et des cinématiques stricto sensu repris du jeu de base avec un polish minimum. On note par moments des ralentissements inattendus dans les combats les plus intenses. Ces baisses de performances, bien que peu nombreuses, sont d’autant plus frustrantes que notre configuration dépasse aisément celle préconisée par la Team Ninja sur la page Steam du jeu. Pour information, le jeu a tourné sur un ordinateur possédant une carte graphique NVIDIA RTX 4070, un processeur i5-14500, le tout accompagné de 32 Go de RAM. Malgré notre arsenal, Ninja Gaiden 2 Black s’est permis de chuter sous les 60 FPS, et ce, même lors de certaines cinématiques, comme l’attaque du Colisée de Venise en hélicoptère, où la cutscene passe sous la barre des 25 FPS. Il est à noter que, bien que Ninja Gaiden 2 Black offre la possibilité de jouer à 120 FPS, nous arrivions difficilement aux alentours des 90 FPS, avec une instabilité permanente.
Cerise sur le gâteau, le jeu pèse pas moins de 80 Go sur PC pour une expérience ultra-linéaire et pouvant se terminer entre 8 et 10 heures selon la difficulté adoptée et votre degré d’aisance avec le titre. Était-il bien judicieux de passer ce remaster sur un moteur Unreal Engine 5 visiblement encore mal maîtrisé ? Pas sûr. Avec ce remaster, nous aurions pu espérer voir les éléments issus du Ninja Gaiden 2 original intégrés à ce portage. Hélas, il n’en est rien. Ninja Gaiden 2 Black souffre de plusieurs absences notables par rapport aux versions précédentes. Les Tests of Valor, le mode Survie et le mode Nouvelle Partie+ (NG+) sont absents, empêchant une rejouabilité plus flexible. Certains costumes originaux et armes à distance de Ryu ont disparu, bien qu’ils soient encore dans les fichiers du jeu à en croire les retours de la communauté ayant jeté un coup d’œil dans ces derniers, tandis que le mode Mission en Équipe a été modifié pour inclure un partenaire contrôlé par l’IA, contrairement à l’expérience online d’origine. De plus, certains points d’apparitions des ennemis restent étrangement vides, et la fonctionnalité Ninja Run de la version Vita a été retirée sans raison claire. Ces omissions, bien qu’elles n’altèrent pas totalement l’expérience, donnent une impression d’incomplétude pour les fans de la série, ce qui finit par nous faire questionner grandement l’intérêt de ce remaster.
Verdict : 6/10
Ninja Gaiden 2 Black fait figure de réédition un peu facile, histoire de faire un petit billet en attendant Ninja Gaiden 4 prévu pour la fin de l’année. Malheureusement, le titre ne parviendra pas à satisfaire les attentes des puristes. Il tente de compenser ses manquements en offrant une esthétique plus raffinée et en réintroduisant le gore de l’épisode sorti originellement sur Xbox 360. Cependant, cette nouvelle itération déçoit : elle ne récupère pas tout le contenu de la version Xbox et en oublie même une partie de celui de Ninja Gaiden 2 Sigma. Pire encore, elle conserve les problèmes hérités des versions précédentes, notamment une caméra souvent problématique qui gâche certains combats et séquences de plateforme, ainsi que des pics de difficulté parfois absurdes, même en mode Normal. À cela s’ajoutent des soucis d’optimisation, avec des chutes de framerate notables lors de séquences particulièrement intenses. Si Ninja Gaiden 2 Black peut constituer une alternative correcte pour les nouveaux venus souhaitant découvrir la série avant l’arrivée du quatrième opus, il n’est pas recommandé aux fans de la première heure, qui y verront une énième sous-version de l’opus Xbox 360, version de réfèrence encore à ce jour pour les inconditionnels.
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TEST | Orcs Must Die! Deathtrap – Un retour explosif
Après Orcs Must Die! 3 paru en 2021, la licence Orcs Must Die revient avec un tout nouvel opus : Deathtrap, sur PC, Xbox Series X et PS5. Développé par Robot Entertainment, un studio indépendant fort d’une dizaine d’années d’expertise dans le zigouillage d’orcs, Orcs Must Die! Deathtrap est un Tower Defense en vue TPS dans lequel il vous faudra protéger des failles dimensionnelles contre une invasion d’orcs et de démons en tous genres. À coups de clé à molette magique, de tromblon, ou bien de pièges grossiers et sadiques, tous les moyens sont bons pour défendre les failles.
Test réalisé sur PC à l’aide d’une copie numérique envoyée par l’éditeur
Pas de chichis
Le jeu commence par une cinématique d’introduction dans laquelle on découvre (ou redécouvre, pour les vétérans de la licence) nos mages écoutant un conseil de guerre. Ce dernier révèle que les Orcs se cherchent un nouveau chef de guerre après que vous, valeureux héros, avez défait le précédent leader maléfique. Les affreux généraux ont alors entamé une parade de coq dans laquelle ils cherchent à démontrer leur toute-puissance pour élire leur suprême leader. Il faut donc calmer leurs ardeurs et tuer le mal à sa racine en éliminant les généraux.
Simple, basique. Bien que la cinématique soit en anglais sans sous-titres par défaut, ce qui d’ailleurs est une constante dans le jeu puisque, outre l’interface, les dialogues ne sont ni sous-titrés, ni traduits, on peut malgré tout facilement comprendre les enjeux. Dans la licence Orcs Must Die! les méchants affreux cherchent à passer les failles, des passages dimensionnels empreints de magies pour se rendre de l’autre côté. Orcs Must Die! Deathtrap reprend les mécaniques bien connues de ses prédécesseurs et ajoute un soupçon de nouveauté bienvenue, comme le multijoueur jusqu’à 4 joueurs sublimé par Unreal Engine 5. Rassurez-vous, il n’est pas nécessaire d’avoir joué aux précédents titres pour profiter de ce nouvel opus, c’est d’ailleurs notre cas. En effet, des vidéos tutoriels sont disponibles dans le hub central expliquant tous les rudiments du jeu. Plutôt malin, les vétérans n’auront pas à se farcir des tutoriels obligatoires, tandis que les néophytes pourront prendre en main, sans mal et pas-à-pas, les concepts et les mécaniques.
Le hub central prend la forme d’une forteresse, une grande place forte dans laquelle se trouve une vaste aire d’entraînement pour tester les différentes capacités des mages de guerre ainsi que divers marchands et PNJs. Elle fera également office de hub multijoueur et proposera, entre deux missions, d’acheter de nouveaux pièges, d’améliorer son équipement, ses fils de destinés ou d’améliorer son arbre de compétences avec des crânes durement acquis.
Les héros à prendre en main sont au nombre de six au début du jeu et ont tous un gameplay foncièrement différent. Allant de l’ours druide se battant au corps à corps, à l’assassin chat, en passant par la magicienne, jusqu’au tireur compulsif avec une arbalète magique dont la cadence ferait rougir de jalousie les armes de guerre traditionnelles, il y en a pour tous les goûts. Nous n’avons pas eu l’occasion de trouver de session multijoueur durant ce test, donc nous ignorons s’il est possible de prendre plusieurs héros simultanément. Nous avons cependant remarqué qu’il était tout à fait possible de jouer à Orc Must Die! Deathtrap en solitaire, cela n’affecte en rien le fun et la difficulté.
La diversité de gameplay des héros est très agréable. Corps-à-corps bourrin, agilité, dégâts de zone, tireur d’élite, les mages de guerre permettent de varier les approches et les stratégies. De plus, chaque héros possède des compétences uniques qu’il sera possible d’améliorer grâce à un arbre de compétences. Celui-ci se divise en deux branches, celle unique aux héros et celle commune à tous les mages de guerre. Amélioration des dégâts des pièges, augmentation du nombre de points de vie, amélioration de la défense des failles, etc. L’arbre commun aura tendance à améliorer toutes les compétences universelles telles que les pièges, les pièces gagnées en partie ou encore, la santé des mages, tandis que l’arbre personnel améliorera quant à lui la cadence de tir d’un héros, ses dégâts ou son temps de rechargement de compétences uniques.
Des pièges à gogo
Comme le nom du jeu l’indique, les pièges constituent une composante essentielle à la défense des failles. Au plafond, au sol, sur les murs… Disposez-en partout pour qu’ils soient les plus mortels possible afin d’empêcher les orcs d’atteindre les failles. Le jeu octroie, par défaut, une quantité définie de pièges. Mais il est possible d’en acheter de nouveaux auprès d’un PNJ dans la forteresse. Plus vous remporterez de missions de défense de failles, plus vous collecterez de crânes. Le joueur peut par la suite dépenser ces mêmes crânes dans les boutiques pour améliorer les pièges, les fils de destinés et son arbre de compétences. Cette monnaie unique sert à toutes ces composantes, et il revient au joueur de la dépenser sciemment et avec efficacité, car sa collecte est fastidieuse. Les crânes sont donc à dépenser avec parcimonie.
Une autre des composantes essentielles au titre sont les barricades, qui bloquent ou contraignent les déplacements des orcs. Disponibles en nombre limité, elles permettent de bloquer des routes pour contraindre les orcs à emprunter certains axes stratégiques. Vous l’aurez compris, il faudra ensuite concentrer vos pièges et votre défense sur ces mêmes axes pour maximiser vos tueries. Attention toutefois à ne pas bloquer toutes les issues possibles, car dans de tels cas, les orcs n’auront pas d’autre choix que de détruire vos barricades et pourront ainsi arriver de tous les côtés. Tant que les orcs ont une solution d’accès à la faille, ils suivront docilement le chemin mortel que le joueur aura tracé. Pour aider le joueur à positionner ses défenses, des fantômes montrent les déplacements des troupes ennemies entre chaque vague et permettent au joueur d’adapter ses défenses. Très utile et particulièrement plaisante, cette mécanique limite les mauvaises surprises et les éventuelles déceptions associées. Nous nous sommes parfois surpris à passer plus de temps à positionner nos défenses qu’à défendre réellement. Et, il n’y a pas à dire, lorsque les défenses sont efficaces, c’est particulièrement grisant et machiavélique. Bien évidemment, il reste toujours une part d’aléa dans chaque vague, puisque tous les monstres ne se déplacent pas uniquement au sol et pourront passer outre vos défenses.
En effet, Orcs Must Die! Deathtrap dispose d’un grand bestiaire à la variété intéressante. Les monstres les plus communs, les orcs, se déplacent à pied et chercheront à atteindre la faille ou, éventuellement, à vous tabasser si vous vous trouvez à proximité. Tandis que d’autres existeront uniquement pour vous tuer et iront vous chasser jusque dans vos retranchements. Il est donc essentiel de s’adapter à chaque vague, car rien n’est jamais couru d’avance. Certains ennemis se soignent, d’autres tiennent le rôle de tank et protègent les autres monstres des attaques, tandis que d’autres pourront désactiver vos pièges. Par exemple, un élémentaire d’eau désactivera temporairement un sol incendiaire et permettra à toute une horde de le suivre sans prendre de dégâts. La dimension stratégique d’Orcs Must Die! Deathtrap est très agréable, puisqu’il est primordial d’anticiper et de trouver des synergies entre les pièges pour faire face à une majorité de situations, sans compter que de nouvelles portes s’ouvrent au fil des vagues, permettant aux orcs d’arriver depuis de nouveaux axes. Certaines cartes sont bien évidemment plus faciles que d’autres à défendre en fonction des pièges dont le joueur dispose et de la topographie. Mais, là encore, rien n’est jamais gagné, car des zones corrompues surgissent aléatoirement ici et là et contraignent le joueur dans la disposition de ses pièges. Ces aléas permettent de maintenir l’attrait du jeu et limitent la répétitivité puisqu’une mission n’est jamais réellement la même.
Le déroulement du jeu est simple : choisir une mission depuis la forteresse, établir ses défenses, empêcher les orcs de passer à travers les failles pour ne pas faire tomber le compteur à zéro, gagner la mission et enfin, choisir si le joueur s’arrête là ou bien s’il parie de passer à la mission suivante. S’il choisit de poursuivre, alors il devra parier une partie de ses crânes gagnés. En cas de nouvelle victoire, il décuple ses gains, en cas de défaite, il perdra ses crânes pariés. Cette mécanique est particulièrement dure et injuste, puisqu’en une dizaine d’heures de jeu, nous n’avons pas réussi à amasser tant de crânes faute à celle-ci, limitant le développement de nos héros ainsi que l’amélioration des pièges. De plus, chaque mission possède un malus obligatoire dont héritent les missions suivantes. En d’autres termes, plus le joueur réalise de missions sans retourner à la forteresse, plus elles sont difficiles. Fort heureusement, il en va de même pour les bonus octroyés après chaque vague. Ces bonus sont appelés « fils de destinés » et peuvent prendre différentes formes : du bonus de dégâts de certains pièges au gain immédiat de nombreuses runes, permettant l’achat de pièges entre deux vagues, ou encore des points de failles supplémentaires. Certaines conditions permettent de débloquer de nouveaux fils de destinés comme le fait de tuer 1 000 types d’ennemis ou encore certains généraux.
Une technique sans faille
Dans la même lignée que ses prédécesseurs, Orcs Must Die! Deathtrap propose différentes cartes à l’ambiance fantasy. Nous pourrions nous attendre à découvrir des environnements aux allures de grandes forteresses, mais que nenni, l’ambiance générale est bien plus faste. Les gros blocs de pierre grise et les douves laissent la place à de grandes demeures hautement décorées. Les cartes peuvent se jouer dans différentes conditions : de jour, de nuit, sous la pluie et bien d’autres. Les éléments influencent par ailleurs les mobs et les pièges. Bien que tout cela soit très cohérent, on peut déplorer l’absence de bande originale véritablement marquante puisque outre le générique très métal du menu principal, les autres bandes originales sont, soit très répétitives, soit tout bonnement absentes. Dommage, cela aurait pu donner plus de caractère au titre qui n’en est, fort heureusement, pas dépourvu sur d’autres aspects. Enfin, nous n’avons pas rencontré de bugs spécifiques durant nos sessions de tests, outre quelques problèmes de traduction. Par ailleurs, le jeu permet aux joueurs de choisir entre un mode DLSS équilibré ou performance et, pour les joueurs PC, il est également possible de limiter le nombre de FPS.
Verdict : 7/10
Orcs Must Die! Deathtrap poursuit brillamment l’héritage de la licence avec un gameplay à la fois stratégique et jouissif, combinant un Tower Defense classique et des éléments de TPS. La diversité des héros, des pièges et des ennemis favorise une rejouabilité importante, tandis que les mécaniques comme les fils de destinés et le pari de crânes apportent tension et personnalisation aux différentes missions. Néanmoins, la progression peut paraître frustrante en raison du système punitif de pari et de la rareté des crânes. Malgré des choix artistiques et une ambiance cohérente, le jeu ne dispose pas réellement de bande originale, ce qui ampute le titre d’une dimension cognitive qui pourrait renforcer l’extase ressentie lors de l’extermination d’orcs. À jouer en solo ou à plusieurs, Orcs Must Die! Deathtrap est assurément un jeu fun et sans prise de tête qui saura contenter les joueurs occasionnels comme réguliers, pendant quelques minutes ou durant plusieurs heures d’affilée et le tout, à petit prix.
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