À une époque, la mode chez certains développeurs était de proposer des versions mobiles de jeux qui avaient eu du succès sur les PC. Electronic Arts a longtemps choisi cette voie et a notamment proposé deux variantes de sa licence phare (Les Sims) sur les iPhone et autres smartphones Android. Une des deux versions — Les Sims Mobile — vient de disparaître des magasins en ligne et devrait être supprimée totalement dans quelques mois, le 20 janvier 2026.
C'est la fête avant la fin. Image Electronic Arts.
Les Sims Mobile a été lancé en 2018 et c'était une mélange entre Les Sims FreePlay (sur mobiles) et Les Sims 4 (sur PC et Mac). Le jeu a reçu de nombreuses mises à jour au fil du temps, mais Electronic Arts a annoncé le 20 octobre 2025 que le jeu allait mourir en janvier 2026. Il n'est plus disponible dans les magasins en ligne depuis le 21 octobre 2025, mais il reste possible de le récupérer — et d'y jouer — si vous aviez obtenu le jeu avant cette date.
Dans une page dédiée, Electronic Arts explique qu'il est conseillé d'utiliser tout votre argent virtuel avant le 6 janvier 2026. En effet, il ne peut pas être remboursé et — dans un dernier baroud d'honneur — les développeurs débloqueront tout le contenu du jeu pour quelques jours, ce qui rendra l'argent inutile et permettra à tous les joueurs restants de profiter totalement du jeu. La fermeture, elle, est prévue pour le 20 janvier. Après cette date, le jeu sera totalement inutilisable, faute de serveurs.
En août dernier, nous vous rapportions que l'opérateur Bouygues Telecom s'était fait pirater, et que les données de six millions de clients étaient dans la nature. Des malandrins ont visiblement mis la main sur la base de données, qui contient des informations comme l'IBAN, des informations sur le type de contrat mais aussi des coordonnées personnelles (nom, prénom, adresse, numéro de téléphone et email).
C'est Nicolas, un de nos lecteurs, qui nous a prévenus. Abonné chez Bouygues Telecom, il avait pris la précaution d'employer un alias pour l'adresse email choisie pour les communications avec son opérateur, ce qui lui permet de supposer que le message (qui contient des données personnelles) vient de la fuite de données en question. La tentative d'arnaque est assez efficace, et le temps des messages bourrés de fôtes d'orthaugraffe et de formulations rares dans nos contrées semble donc révolu. Si vous avez été touché par la fuite de données, méfiez-vous.
Le message reçu par Nicolas (nous abons effacé les données personnelles).
Un alias pour les services importants
Il existe une solution simple mais méconnue pour créer un alias qui va vous permettre d'identifier dans certains cas la source d'une arnaque ou tout simplement de vérifier si un fournisseur quelconque vend vos données. Au lieu de mettre votre adresse email dans sa forme classique (adresse@domaine.com par exemple), il suffit de mettre adresse+service@domaine.com (par exemple adresse+bouygues@domaine.com dans le cas présent). Les messages arriveront bien sur la boîte adresse@domaine.com, mais la ligne liée au destinataire (vous) affichera l'adresse complète, avec les informations qui vous permettront peut-être d'identifier la source des messages.
En août dernier, nous vous rapportions que l'opérateur Bouygues Telecom s'était fait pirater, et que les données de six millions de clients étaient dans la nature. Des malandrins ont visiblement mis la main sur la base de données, qui contient des informations comme l'IBAN, des informations sur le type de contrat mais aussi des coordonnées personnelles (nom, prénom, adresse, numéro de téléphone et email).
C'est Nicolas, un de nos lecteurs, qui nous a prévenus. Abonné chez Bouygues Telecom, il avait pris la précaution d'employer un alias pour l'adresse email choisie pour les communications avec son opérateur, ce qui lui permet de supposer que le message (qui contient des données personnelles) vient de la fuite de données en question. La tentative d'arnaque est assez efficace, et le temps des messages bourrés de fôtes d'orthaugraffe et de formulations rares dans nos contrées semble donc révolu. Si vous avez été touché par la fuite de données, méfiez-vous.
Le message reçu par Nicolas (nous abons effacé les données personnelles).
Un alias pour les services importants
Il existe une solution simple mais méconnue pour créer un alias qui va vous permettre d'identifier dans certains cas la source d'une arnaque ou tout simplement de vérifier si un fournisseur quelconque vend vos données. Au lieu de mettre votre adresse email dans sa forme classique (adresse@domaine.com par exemple), il suffit de mettre adresse+service@domaine.com (par exemple adresse+bouygues@domaine.com dans le cas présent). Les messages arriveront bien sur la boîte adresse@domaine.com, mais la ligne liée au destinataire (vous) affichera l'adresse complète, avec les informations qui vous permettront peut-être d'identifier la source des messages.
Nous en avons parlé dans le test du MacBook Pro M5, le nouveau système sur puce d'Apple augmente encore la fréquence des cœurs de son processeur. Les cœurs P (performants) peuvent maintenant atteindre 4,6 GHz (100 MHz de plus que les meilleures puces M4) et les cœurs E (basse consommation) dépassent maintenant 3 GHz.
Le tableau d'Howard Oakley, avec les différentes puces Apple.
Howard Oakley a eu la bonne idée de compiler les fréquences des différentes puces Apple depuis la puce M1, ce qui permet de voir que la marque a bien profité d'un des leviers évidents pour augmenter les performances d'un processeur. Dans la première génération, les cœurs atteignaient 3,2 GHz (avec un minimum de 600 MHz) pour les cœurs P, et 2 GHz (avec un minimum de 600 MHz) pour les cœurs E. Avec le temps, la fréquence maximale des cœurs P a augmenté : 3,5 GHz avec les puces M2 (3,7 GHz sur les Max et Ultra), 4 GHz sur les M3, 4,5 GHz1 sur les M4 et 4,6 GHz sur la M5. Idem pour la fréquence maximale des cœurs E : 2,4 GHz sur les puces M2, 2,7 GHz sur les puces M3 (2,6 GHz sur les M3 Max et Ultra), 2,9 GHz sur les M4 (2,6 GHz sur les M4 Pro et Max) et 3 GHz sur la puce M5. En parallèle, la fréquence minimale a aussi un peu augmenté, comme son tableau le montre : on passe de 600 MHz (M1) à 1,3 GHz (M5) par exemple.
La fréquence maximale augmente, la minimale aussi. Image Howard Oakley.
Si cette montée en fréquence peut être vue comme un point négatif, une sorte de fuite en avant, ce n'est pas le cas. C'est une évolution logique et une solution parfaitement classique. Augmenter la fréquence permet d'améliorer les performances mécaniquement, avec des gains assez linéaires2, mais elle est aussi dépendante des choix de l'architecture. La façon dont sont organisées les unités et les pipeline ont un impact direct sur la fréquence maximale, qui est un choix de design. Un pipeline, de façon simplifiée, est l'équivalent d'une chaîne de montage dans une usine : les instructions à exécuter sont découpées en plusieurs étapes, ce qui permet d'optimiser le fonctionnement du processeur. La longueur du pipeline a un impact direct sur la fréquence (basiquement, plus il est long, plus la fréquence est élevée) mais demande une conception très optimisée.
Une fréquence élevée est donc un avantage dans la majorité des cas, et ne devient un problème que si elle est liée à une consommation trop élevée. Une fréquence élevée demande plus d'énergie qu'une fréquence faible (la relation entre les deux n'est pas linéaire) et une consommation trop élevée est un réel problème. Mais si la puce M5 a une consommation plus élevée que les puces précédentes (avec 28 W en pointe), nous sommes assez loin des valeurs obtenues chez Intel à une certaine époque : même en restant dans des gammes équivalentes, les Core i5 de 14e génération dans les variantes mobiles ont par exemple un TDP de base de 55 W (deux fois la valeur maximale d'Apple) et un TDP réel (accessible pendant quelques secondes) de 157 W.
Sur le MacBook Pro M5, la consommation maximale est en hausse. Image MacGeneration.
En l'état, les évolutions des puces d'Apple montrent une montée en fréquence logique et une augmentation graduelle de la consommation qui ne pose pas encore de soucis particuliers. Bien évidemment, il faudra surveiller les futures puces de la marque sur ce point.
4 464 MHz sur les puces M4, 4 512 MHz sur les M4 Pro et Max). ↩︎
Un point qui n'est évidemment valable que sur des architectures comparables. Au début des années 2000, Intel a tenté de monter en fréquence de façon très importante avec une architecture beaucoup moins efficace, en partant du principe que la fréquence allait compenser la différence. Le résultat, le Pentium 4, est globalement un échec. ↩︎
Nous en avons parlé dans le test du MacBook Pro M5, le nouveau système sur puce d'Apple augmente encore la fréquence des cœurs de son processeur. Les cœurs P (performants) peuvent maintenant atteindre 4,6 GHz (100 MHz de plus que les meilleures puces M4) et les cœurs E (basse consommation) dépassent maintenant 3 GHz.
Le tableau d'Howard Oakley, avec les différentes puces Apple.
Howard Oakley a eu la bonne idée de compiler les fréquences des différentes puces Apple depuis la puce M1, ce qui permet de voir que la marque a bien profité d'un des leviers évidents pour augmenter les performances d'un processeur. Dans la première génération, les cœurs atteignaient 3,2 GHz (avec un minimum de 600 MHz) pour les cœurs P, et 2 GHz (avec un minimum de 600 MHz) pour les cœurs E. Avec le temps, la fréquence maximale des cœurs P a augmenté : 3,5 GHz avec les puces M2 (3,7 GHz sur les Max et Ultra), 4 GHz sur les M3, 4,5 GHz1 sur les M4 et 4,6 GHz sur la M5. Idem pour la fréquence maximale des cœurs E : 2,4 GHz sur les puces M2, 2,7 GHz sur les puces M3 (2,6 GHz sur les M3 Max et Ultra), 2,9 GHz sur les M4 (2,6 GHz sur les M4 Pro et Max) et 3 GHz sur la puce M5. En parallèle, la fréquence minimale a aussi un peu augmenté, comme son tableau le montre : on passe de 600 MHz (M1) à 1,3 GHz (M5) par exemple.
La fréquence maximale augmente, la minimale aussi. Image Howard Oakley.
Si cette montée en fréquence peut être vue comme un point négatif, une sorte de fuite en avant, ce n'est pas le cas. C'est une évolution logique et une solution parfaitement classique. Augmenter la fréquence permet d'améliorer les performances mécaniquement, avec des gains assez linéaires2, mais elle est aussi dépendante des choix de l'architecture. La façon dont sont organisées les unités et les pipeline ont un impact direct sur la fréquence maximale, qui est un choix de design. Un pipeline, de façon simplifiée, est l'équivalent d'une chaîne de montage dans une usine : les instructions à exécuter sont découpées en plusieurs étapes, ce qui permet d'optimiser le fonctionnement du processeur. La longueur du pipeline a un impact direct sur la fréquence (basiquement, plus il est long, plus la fréquence est élevée) mais demande une conception très optimisée.
Une fréquence élevée est donc un avantage dans la majorité des cas, et ne devient un problème que si elle est liée à une consommation trop élevée. Une fréquence élevée demande plus d'énergie qu'une fréquence faible (la relation entre les deux n'est pas linéaire) et une consommation trop élevée est un réel problème. Mais si la puce M5 a une consommation plus élevée que les puces précédentes (avec 28 W en pointe), nous sommes assez loin des valeurs obtenues chez Intel à une certaine époque : même en restant dans des gammes équivalentes, les Core i5 de 14e génération dans les variantes mobiles ont par exemple un TDP de base de 55 W (deux fois la valeur maximale d'Apple) et un TDP réel (accessible pendant quelques secondes) de 157 W.
Sur le MacBook Pro M5, la consommation maximale est en hausse. Image MacGeneration.
En l'état, les évolutions des puces d'Apple montrent une montée en fréquence logique et une augmentation graduelle de la consommation qui ne pose pas encore de soucis particuliers. Bien évidemment, il faudra surveiller les futures puces de la marque sur ce point.
4 464 MHz sur les puces M4, 4 512 MHz sur les M4 Pro et Max). ↩︎
Un point qui n'est évidemment valable que sur des architectures comparables. Au début des années 2000, Intel a tenté de monter en fréquence de façon très importante avec une architecture beaucoup moins efficace, en partant du principe que la fréquence allait compenser la différence. Le résultat, le Pentium 4, est globalement un échec. ↩︎
Vous en avez assez d'entendre parler de la 5G ? Mauvaise nouvelle, les innovations liées à la 6G, la prochaine génération de réseaux mobiles, commencent à arriver. Dans une annonce commune, Nokia, Ericsson et l'institut Fraunhofer (notamment à l'origine du MP3) viennent d'annoncer le développement d'un nouveau codec pour la vidéo, dans la lignée des H.264, H.265 et H.266.
Il a été soumis aux groupes qui standardisent les codecs vidéo : ITU-T Video Coding Experts Group, qui s'occupe des codecs vidéo pour l'Union internationale des télécommunications et ISO/IEC Moving Picture Experts Group, qui gère les normes MPEG. Ce codec, prévu pour une finalisation vers 2029/2030, pourrait devenir le H.267 et offrir — c'est la règle — une compression plus efficace avec une qualité d'image équivalente aux codecs actuels, sans augmenter de façon significative la complexité.
Le logo officiel de la 6G.
Les codecs de type H.26x sont très liés aux télécommunications et ont eu dans certains cas beaucoup de succès. Le H.261 a été pensé pour l'ISDN (RNIS en France), le H.262 (MPEG-2) a été employé dans les DVD et dans les débuts de la télévision numérique, et le H.264 (AVC) et H.265 (HEVC) sont toujours très employés dans la distribution de la vidéo en ligne (plateformes de streaming, YouTube, etc.) et de la télévision (comme la TNT en France), en plus des Blu-ray (H.264) et Blu-ray Ultra HD (H.265). Le dernier codec en date, le H.266 (VVC) n'a pas eu autant de succès : l'AV1, un codec open source qui n'impose pas le paiement d'une redevance, a pris le pas dans ce domaine, notamment sur les plateformes de streaming.
Le logo officiel du H.266, ou VVC.
En l'état, les différentscommuniqués n'indiquent pas explicitement que le codec pourrait devenir le H.267, même si c'est assez évident dans l'absolu, étant donné la continuité dans la numérotation et les liens entre les télécommunications et les codecs de cette famille. Reste que ce codec n'est évidemment pas le seul en embuscade pour devenir le prochain standard de facto, l'AV2 est en développement et les annonces donnent évidemment les mêmes arguments, qui reviennent systématiquement pour chaque annonce de codecs.
Vous en avez assez d'entendre parler de la 5G ? Mauvaise nouvelle, les innovations liées à la 6G, la prochaine génération de réseaux mobiles, commencent à arriver. Dans une annonce commune, Nokia, Ericsson et l'institut Fraunhofer (notamment à l'origine du MP3) viennent d'annoncer le développement d'un nouveau codec pour la vidéo, dans la lignée des H.264, H.265 et H.266.
Il a été soumis aux groupes qui standardisent les codecs vidéo : ITU-T Video Coding Experts Group, qui s'occupe des codecs vidéo pour l'Union internationale des télécommunications et ISO/IEC Moving Picture Experts Group, qui gère les normes MPEG. Ce codec, prévu pour une finalisation vers 2029/2030, pourrait devenir le H.267 et offrir — c'est la règle — une compression plus efficace avec une qualité d'image équivalente aux codecs actuels, sans augmenter de façon significative la complexité.
Le logo officiel de la 6G.
Les codecs de type H.26x sont très liés aux télécommunications et ont eu dans certains cas beaucoup de succès. Le H.261 a été pensé pour l'ISDN (RNIS en France), le H.262 (MPEG-2) a été employé dans les DVD et dans les débuts de la télévision numérique, et le H.264 (AVC) et H.265 (HEVC) sont toujours très employés dans la distribution de la vidéo en ligne (plateformes de streaming, YouTube, etc.) et de la télévision (comme la TNT en France), en plus des Blu-ray (H.264) et Blu-ray Ultra HD (H.265). Le dernier codec en date, le H.266 (VVC) n'a pas eu autant de succès : l'AV1, un codec open source qui n'impose pas le paiement d'une redevance, a pris le pas dans ce domaine, notamment sur les plateformes de streaming.
Le logo officiel du H.266, ou VVC.
En l'état, les différentscommuniqués n'indiquent pas explicitement que le codec pourrait devenir le H.267, même si c'est assez évident dans l'absolu, étant donné la continuité dans la numérotation et les liens entre les télécommunications et les codecs de cette famille. Reste que ce codec n'est évidemment pas le seul en embuscade pour devenir le prochain standard de facto, l'AV2 est en développement et les annonces donnent évidemment les mêmes arguments, qui reviennent systématiquement pour chaque annonce de codecs.
Vous n'aviez pas assez de navigateurs sur votre PC ? Après Atlas (OpenAI) et Comet (Perplexity), voici Samsung Internet Browser. La société coréenne a en effet porté son navigateur Android sous Windows, et il arrive en bêta.
Un navigateur synchronisé avec un smartphone. Image Samsung.
Samsung Internet Browser est pour le moment disponible en bêta, uniquement si vous avez un compte Samsung américain (États-Unis) ou coréen (au Sud). Contrairement à OpenAI qui a d'abord sorti Atlas sur Mac, Samsung s'attaque directement à Windows : il nécessite Windows 10 (à jour) ou Windows 11.
Ce navigateur basé sur Chromium (comme la majorité du marché) va surtout permettre à Samsung d'étendre son écosystème, en proposant des fonctions qui existent depuis des années avec Safari : la synchronisation des signets, de l'historique de navigation ou des mots de passe entre un smartphone Samsung et un PC sous Windows. Des fonctions qui existent en partie déjà avec Chrome, mais à travers une extension dédiée. Il contient évidemment de l'IA à travers Galaxy AI. L'intégration n'est pas aussi avancée que celles des fournisseurs de chatbot, Galaxy AI va surtout permettre de traduire les pages web (comme la majorité des navigateurs) ou résumer le contenu des pages.
L'icône de cette bêta. Image Samsung.
Samsung indique que la bêta devrait s'ouvrir à d'autres pays dans le futur, et la marque pourrait même proposer son navigateur sous macOS ou Linux dans le futur, qui sait. On s'attendrait presque à un retour de Safari sous Windows…
Vous n'aviez pas assez de navigateurs sur votre PC ? Après Atlas (OpenAI) et Comet (Perplexity), voici Samsung Internet Browser. La société coréenne a en effet porté son navigateur Android sous Windows, et il arrive en bêta.
Un navigateur synchronisé avec un smartphone. Image Samsung.
Samsung Internet Browser est pour le moment disponible en bêta, uniquement si vous avez un compte Samsung américain (États-Unis) ou coréen (au Sud). Contrairement à OpenAI qui a d'abord sorti Atlas sur Mac, Samsung s'attaque directement à Windows : il nécessite Windows 10 (à jour) ou Windows 11.
Ce navigateur basé sur Chromium (comme la majorité du marché) va surtout permettre à Samsung d'étendre son écosystème, en proposant des fonctions qui existent depuis des années avec Safari : la synchronisation des signets, de l'historique de navigation ou des mots de passe entre un smartphone Samsung et un PC sous Windows. Des fonctions qui existent en partie déjà avec Chrome, mais à travers une extension dédiée. Il contient évidemment de l'IA à travers Galaxy AI. L'intégration n'est pas aussi avancée que celles des fournisseurs de chatbot, Galaxy AI va surtout permettre de traduire les pages web (comme la majorité des navigateurs) ou résumer le contenu des pages.
L'icône de cette bêta. Image Samsung.
Samsung indique que la bêta devrait s'ouvrir à d'autres pays dans le futur, et la marque pourrait même proposer son navigateur sous macOS ou Linux dans le futur, qui sait. On s'attendrait presque à un retour de Safari sous Windows…
Avec l'arrivée des puces Apple Silicon, les développeurs ont remis au goût du jour un type de fichiers qui avait peu à peu disparu : les Universal Binary. Cette technologie Apple, issue de NeXTSTEP, permet d'intégrer plusieurs exécutables dans un même fichier. Une application peut donc fonctionner (par exemple) sur les Mac équipés d'une puce Apple et sur ceux qui utilisent une puce Intel. Mais saviez-vous qu'il est possible d'en mettre bien d'autres ?
Cette application fonctionne aussi bien sur un Mac mini M4 Pro sous macOS Tahoe que sur un PowerBook G4 sous Mac OS X Leopard.
Sans aller vers des fichiers construits expressément pour en intégrer plusieurs (cet exemple sur GitHub fonctionne sur huit architectures différentes), quelques programmes encore mis à jour en 2025 contiennent des exécutables pour les puces Apple (ARM64), les puces Intel (x86 32 bits et x86 64 bits) et même les PowerPC (généralement en 32 bits). Nous avons trouvé deux exemples récemment : XLD, un programme qui permet de convertir des fichiers audio, et SD Memory Card Formatter, l'outil officiel qui permet de formater des cartes SD avec les bons paramètres.
La commande `file` permet de vérifier la liste des architectures compatibles.
Le premier est compatible avec le x86 32 bits (i386), le x86 64 bits (x86_64), les processeurs PowerPC 32 bits (ppc) et les puces Apple (arm64). Le second se limite aux PowerPC G4 et G5 en 32 bits (ppc_7400). Nous avons même vérifié si cette compatibilité n'était pas un oubli et ce n'est pas le cas : les deux logiciels fonctionnent bien sur un PowerBook G4 sous Mac OS X Leopard, même si l'installeur de SD Memory Card Formatter n'est pas compatible directement.
La même app sous Mac OS X Leopard.La dernière version de XLD sous Mac OS X Leopard.
Ces deux exemples montrent donc que si de plus en plus d'applications abandonnent la compatibilité avec les puces Intel, ce n'est pas une fatalité. Bien évidemment, cette compatibilité a un revers : pour garder une compatibilité avec les PowerPC, les applications doivent se contenter des API disponibles avec Mac OS X Leopard, un système d'exploitation sorti en 2007 et remplacé par Mac OS X Snow Leopard en 2009.
Avec l'arrivée des puces Apple Silicon, les développeurs ont remis au goût du jour un type de fichiers qui avait peu à peu disparu : les Universal Binary. Cette technologie Apple, issue de NeXTSTEP, permet d'intégrer plusieurs exécutables dans un même fichier. Une application peut donc fonctionner (par exemple) sur les Mac équipés d'une puce Apple et sur ceux qui utilisent une puce Intel. Mais saviez-vous qu'il est possible d'en mettre bien d'autres ?
Cette application fonctionne aussi bien sur un Mac mini M4 Pro sous macOS Tahoe que sur un PowerBook G4 sous Mac OS X Leopard.
Sans aller vers des fichiers construits expressément pour en intégrer plusieurs (cet exemple sur GitHub fonctionne sur huit architectures différentes), quelques programmes encore mis à jour en 2025 contiennent des exécutables pour les puces Apple (ARM64), les puces Intel (x86 32 bits et x86 64 bits) et même les PowerPC (généralement en 32 bits). Nous avons trouvé deux exemples récemment : XLD, un programme qui permet de convertir des fichiers audio, et SD Memory Card Formatter, l'outil officiel qui permet de formater des cartes SD avec les bons paramètres.
La commande `file` permet de vérifier la liste des architectures compatibles.
Le premier est compatible avec le x86 32 bits (i386), le x86 64 bits (x86_64), les processeurs PowerPC 32 bits (ppc) et les puces Apple (arm64). Le second se limite aux PowerPC G4 et G5 en 32 bits (ppc_7400). Nous avons même vérifié si cette compatibilité n'était pas un oubli et ce n'est pas le cas : les deux logiciels fonctionnent bien sur un PowerBook G4 sous Mac OS X Leopard, même si l'installeur de SD Memory Card Formatter n'est pas compatible directement.
La même app sous Mac OS X Leopard.La dernière version de XLD sous Mac OS X Leopard.
Ces deux exemples montrent donc que si de plus en plus d'applications abandonnent la compatibilité avec les puces Intel, ce n'est pas une fatalité. Bien évidemment, cette compatibilité a un revers : pour garder une compatibilité avec les PowerPC, les applications doivent se contenter des API disponibles avec Mac OS X Leopard, un système d'exploitation sorti en 2007 et remplacé par Mac OS X Snow Leopard en 2009.
Mise à jour le 28 octobre à 17 h : Samsung a commencé à afficher des pubs sur certains frigos. Les réclames n’apparaissent pour le moment qu’aux États-Unis et prennent la forme d’un nouveau widget sur les modèles 21 et 32". Un quart de l’espace est dédié à de la publicité… ce qui passe mal auprès des clients ayant déboursé dans les 2 000 $ pour un frigo.
Image Samsung
Samsung se contente pour l’instant de promouvoir ses propres produits comme des filtres à eau ou des services, mais l’entreprise vise à s’ouvrir à d’autres marques sur le long terme. Les réclames peuvent être désactivées, ce qui supprime au passage le widget et ses différentes informations (calendrier, météo…).
Article original : Dans la longue liste des objets connectés raillés par les personnes qui trouvent ça ridicule, les réfrigérateurs sont en bonne place. Et Samsung vient d'avoir une idée qui ne va pas améliorer la perception de ces derniers : la dernière mise à jour en date, au moins aux États-Unis, ajoute de la publicité sur l'écran.
Le message pris en photo sur un écran. Image Reddit.
Le loup a été levé sur Reddit, et une vidéo sur Instagram montre la liste des nouveautés de cette mise à jour Smart Forward. Elle indique ceci « To enhance our service and offer additional content to users, advertisements will be displayed on the Cover
Screen for the Weather, Color, and Daily Board themes. The Cover Screen for the Art and Gallery themes will
not display advertisements. », soit « Pour améliorer notre service et offrir du contenu supplémentaire aux utilisateurs, des publicités seront affichées (…) ». En clair, Samsung, la petite entreprise dans le besoin, doit afficher des publicités sur des appareils vendus plusieurs milliers d'euros pour continuer à les prendre en charge. C'est un peu sarcastique, évidemment, mais le mouvement semble passer assez mal auprès des utilisateurs.
Ce changement n'est pas totalement une surprise : en mai 2025, des rumeurs indiquaient déjà que Samsung travaillait sur ce sujet. Enfin, la liste des nouveautés de la mise à jour indique que Google Photo ne sera plus disponible, que le flux d'actualité « Morning Brief » ne sera plus mis à jour et que la reconnaissance automatisée des aliments présents dans le réfrigérateur va être arrêtée. Heureusement, la possibilité de voir l'intérieur de l'appareil via la caméra intégrée sur l'écran d'accueil reste possible.
Il y a quelques jours, nous vous parlions d'un Magic Keyboard de la rédaction, dont la batterie avait gonflé, au point de déformer la coque du clavier. Après avoir vu les images de mes collègues, j'ai eu l'idée de vérifier l'état de mon clavier, lui aussi branché dans un coin à un Mac mini. Et bien m'en a pris : la batterie avait aussi gonflé et déformé le clavier, de façon moins spectaculaire.
Le clavier, acheté au moment de la sortie (vers 2015). La batterie a gonflé et déformé la coque. Image MacGeneration.
Étant donné que le clavier était branché en permanence au Mac, je me suis demandé s'il serait capable de fonctionner sans sa batterie, et j'ai donc décidé de débrancher cette dernière pour le vérifier. Avant les quelques photos, commençons par un avertissement : prenez des précautions. Nous vous conseillons de préparer un seau rempli de sable ou un récipient en métal assez grand pour recevoir la batterie en cas de combustion. Pour démonter le clavier, nous avons suivi le démontage d'iFixit, publié à la sortie du clavier en 2015, mais sans utiliser d'outils pour chauffer le clavier, ni de lames. Deux précautions importantes dans le cas d'une batterie gonflée : si vous percez l'enveloppe de la batterie, les risques d'emballement thermique sont bien réels. C'est la raison pour laquelle nous vous conseillons un récipient en métal dans lequel vous pourrez placer la batterie le cas échéant, pour éviter un incendie. Dans tous les cas, nous vous déconseillons de vous lancer si vous n'êtes pas équipés pour éviter les problèmes, et nous déclinons toutes responsabilités : le démontage de ce clavier est à vos risques et périls.
La plaque sous le clavier n'est pas vissée, mais collée. Une carte en plastique dur, tirée d'un kit iFixit, a permis de la décoller. Nous avons commencé aux alentours de la partie gonflée, qui avait décollé le fond, et nous avons patiemment fait le tour du clavier. Image MacGeneration.Les nombreuses traces de colle sont bien visibles sous la plaque (en haut). Image iGeneration.L'étape suivante a été de débrancher la batterie, qui est reliée au circuit imprimé du clavier par une petite nappe. Il suffit de soulever le connecteur pour la déconnecter. Image MacGeneration.
À ce stade, j'ai pu répondre à la question initiale : le clavier fonctionne sans sa batterie. Une fois relié à un Mac (ou un iPad) avec un câble Lightning, il est parfaitement fonctionnel, même sans sa batterie. Il est même possible techniquement de le faire fonctionner sans fil dans une certaine mesure, s'il est alimenté en Lightning à travers un adaptateur secteur USB.
L'étape suivante était la plus dangereuse. Apple, en plus de coller la plaque à l’arrière du clavier, a aussi collé la batterie. Nous avons utilisé le même outil (une carte en plastique) et des médiators pour décoller la batterie gonflée, sans utiliser de chaleur. C'est une tâche un peu longue, qui nécessite de prendre des précautions pour éviter de percer l'enveloppe de la batterie. Image MacGeneration.La batterie d'une capacité d'un peu moins de 3 Wh était peu gonflée, mais le changement restait bien visible. Elle a terminé sa vie dans un bac à recyclage dédié aux déchets de ce type. Image MacGeneration.
Une fois la batterie décollée et recyclée, nous avons simplement remis la plaque collée en place et (re)branché le clavier au Mac mini.
Vous n'avez pas pu le rater, Apple a supprimé l'adaptateur secteur de la boîte des MacBook Pro M5 sortis récemment. C'est le premier Mac dans le cas, mais probablement pas le dernier : en dehors du fait que c'est un choix lié à une réglementation européenne, la marque a déjà adapté ses boîtes pour nos régions. Celle du MacBook Pro M5 est en effet plus fine que celle des modèles précédents et n'a pas d'emplacement pour un adaptateur secteur.
La boîte est clairement moins épaisse que celle d'un MacBook Air M3. Image MacGeneration.Le pictogramme sur la boîte indique bien l'absence d'adaptateur secteur. Image MacGeneration.Sous le Mac, le câble MagSafe et de la paperasse. Image MacGeneration.Il n'y a pas d'emplacement pour un adaptateur secteur sous les papiers. Image MacGeneration.
Dans la boîte d'un MacBook Air M3, il y a bien un emplacement pour un adaptateur secteur. Image MacGeneration.Dans la boîte du MacBook Pro M3, issue de notre test, il y avait un chargeur et des autocollants. Image MacGeneration.
Apple vient de mettre en ligne une nouvelle bande-annonce pour la série Pluribus, après une aguiche1 il y a deux semaines. Et ce qui frappe dans cette bande-annonce toujours un peu mystérieuse, ce n'est pas la mise en avant de Rhea Seehorn (vue dans Better Call Saul) mais bien le logo mis en avant dès les premières secondes : TV+.
Personne n'a eu le mémo ? Image Apple.
Visiblement, personne chez Sony (qui coproduit la série) ou chez Apple n'a été mis au courant que le nom Apple TV+ a été abandonné au profit du très confusant Apple TV. Et vous, allez-vous regarder la série Apple TV sur l'Apple TV de l'Apple TV dès le 7 novembre ?
Si les rumeurs sur un iPhone pliant sont nombreuses, ce n'est pas le seul appareil de ce type qu'Apple étudierait. Selon Bloomberg, Apple travaillerait sur une tablette pliante, avec un écran de 18 pouces.
La Huawei MateBook Fold serait un modèle pour Apple. Image Huawei.
Sous le nom de code J312, on retrouve un appareil qui n'aurait pas d'écran externe, mais uniquement un écran interne. C'est un choix différent de celui des smartphones pliants, qui combinent un écran interne dans un ratio proche du carré et un écran externe plus allongé, comme nos iPhone. L'appareil, une fois ouvert, serait de la taille d'un ordinateur portable de 13 pouces déployé. La différence principale viendrait évidemment du résultat : la tablette remplacerait le clavier et le trackpad de l'ordinateur portable par un écran tactile qui prendrait toute la surface disponible.
Selon nos confrères, l'appareil emploierait évidemment un écran OLED. La technologie, en dehors du fait d'offrir une excellente qualité d'image, permet de créer des écrans très fins, ce qui est important dans le cas des modèles pliants. Le poids de cet iPad XXL serait du même ordre que celui des MacBook Pro, avec 3,5 livres sur la balance (environ 1,6 kg). C'est nettement plus que les tablettes actuelles : même l'iPad Pro de 13 pouces est sous les 600 grammes.
Le modèle d'Apple serait un périphérique chinois qui existe déjà ; la MateBook Fold de chez Huawei. Avec son écran de 18 pouces pliant et son prix de 3 400 $ (en Chine uniquement), la tablette serait l'appareil le plus proche des prototypes d'Apple, selon les sources de Mark Gurman.
La question du prix et celle de la date de sortie sont évidemment au cœur des rumeurs. Pour le premier point, Bloomberg annonce un tarif de l'ordre de 3 000 $, ce qui devrait placer la tablette entre 3 000 et 3 500 € dans nos contrées, largement au-delà du prix des iPad Pro actuels. Pour la date de sortie, deux dates sont évoquées : 2028 si tout se passe bien, mais plus probablement début 2029 selon d'autres sources, tant les contraintes techniques sont importantes.
Les tests du nouveau MacBook Pro M5, qui doit arriver chez les premiers clients demain, viennent de tomber. Et comme pour les tests des iPad Pro M5, nos confrères sont généralement conquis, pour une bonne raison : le MacBook Pro M5 est un excellent Mac. Mais ce n'est pas une surprise et même parfois un reproche : le MacBook Pro M5 est un MacBook Pro M4 amélioré.
Le MacBook Pro. Image Les Numériques.
Numerama liste les petits changements : une puce M5 plus rapide, un SSD deux fois plus performant, un chargeur absent dans nos contrées et un prix en baisse (100 € de moins). Le principal reproche, qui est généralisé, est l'absence de Wi-Fi 7. Apple n'a pas intégré sa puce N1 et le Mac se contente du Wi-Fi 6E, ce qui fait dire ceci à nos confrères : « Un choix difficile à justifier pour une machine qui se veut à la pointe de la technologie. ».
Tom's Hardware, habitués aux tests techniques, montre que le SSD est réellement plus rapide, tant dans les tests théoriques que pratiques (environ 6 Go/s). De même, le CPU est nettement plus rapide que le M4, tout comme la partie graphique. L'antique Shadow of the Tomb Raider est jouable à pratiquement 60 images/s en 1200p et l'écran Mini LED est toujours aussi bon, avec une luminosité élevée que les écrans OLED de PC ne peuvent pas égaler. Ils remarquent tout de même, comme toujours depuis une bonne dizaine d'années, que le MacBook Pro ne peut pas être mis à jour, et que les options proposées par Apple sont onéreuses. L'autonomie est visiblement du même ordre (à quelques minutes près) que pour le modèle M4, et ils reprochent (eux aussi) l'absence de Wi-Fi 7.
Aux couleurs de la saison. Image Ars Technica.
Pour The Verge, la note est aussi positive, avec essentiellement deux reproches : c'est une mise à jour ennuyeuse et le coloris sombre (minuit) tend à récupérer un peu trop les traces de doigts. Pour le reste, les gains de performances de l'ordre de 15 à 20 % sont mis en avant, tout comme le SSD nettement plus rapide.
Image Tom's Hardware.
Chez les Numériques, le MacBook Pro a cinq étoiles, avec la mise en avant de la structure du Mac, toujours excellente, et la qualité de son écran et de ses haut-parleurs. Nos confrères notent tout de même que si les performances sont élevées, le MacBook Pro M5 semble un peu plus audible que sa variante M4, avec une hausse notable sur ce point. Comme chez d'autres, c'est l'absence de Wi-Fi 7 qui est mise en avant, un problème plus prégnant en France que dans d'autres pays car les fournisseurs d'accès mettent largement en avant la dernière version de la norme.
Des températures un rien plus élevées que le modèle précédent. Image Les Numériques.
Enfin, Ars Technica loue les performances, tant sur la partie CPU que la partie GPU, mais note que la consommation est plus élevée. Alors que les puces précédentes restaient sous les 20 W, le nouveau système sur puce peut monter à 28 W dans certains cas, une valeur qui commence à être importante. Ils notent tout de même que le MacBook Pro est dans une position un peu inconfortable, entre des MacBook Air plus légers et performants dans l'absolu, et des MacBook Pro 14 et 16 pouces qui peuvent être plus performants. L'écran Mini LED (120 Hz) est pour eux l'argument le plus important face à un MacBook Air, et le Mac est un peu plus épais et lourd que des PC de la même catégorie.
Image the Verge.
Le point qui est aussi visible en creux, et parfois mis en avant vient de l'esthétique : le MacBook Pro M5 est identique au MacBook Pro M3 et même aux MacBook Pro M1 Pro de 2021. C'est un défaut qui n'en est pas nécessairement un car les choix d'Apple restent pertinents, mais pour ceux qui aiment la nouveauté pour la nouveauté, c'est un problème.
Nous vous proposerons bien évidemment un test de ce MacBook Pro M5 dès que possible, dès que notre exemplaire sera arrivé.
OpenAI, comme prévu, a annoncé son navigateur. Nommé Atlas, il débarque en exclusivité sous macOS dès aujourd'hui, uniquement pour les Mac Apple Silicon. C'est un navigateur basé sur Chromium (comme Chrome ou Edge) qui est compatible avec les extensions Chrome. OpenAI a annoncé des versions pour Windows, iOS et Android prochainement (Linux ne semble pas encore de la partie).
Atlas remplace Google par ChatGPT.
Une fois le navigateur téléchargé sur le site dédié, vous devrez vous connecter sur votre compte OpenAI, obligatoire ici. La seconde étape, optionnelle, est l'importation de vos données (par exemple celles de Safari, si vous utilisez le navigateur d'Apple). Atlas demande aussi la permission de mémoriser des informations sur votre navigation et présente un nouvel outil, nommé Cursor. OpenAI fait un peu le forceur avec une fenêtre qui propose de définir Atlas comme navigateur par défaut en échange de 7 jours gratuits d'une version payante de ChatGPT..
Au lancement.ChatGPT est évidemment intégré.Oubliez Safari.
L'interface elle-même est assez proche de celle de Chrome et de nombreux navigateurs, mais s'ouvre évidemment sur ChatGPT. Si vous avez l'habitude de Google (ou de n'importe quel autre moteur de recherches), c'est évidemment un changement assez radical. ChatGPT est globalement efficace selon nos premiers essais rapides, et l'intégration de l'assistant dans le navigateur est importante. Il propose par exemple une barre latérale Demander à ChatGPT qui affiche directement l'assistant avec quelques suggestions, comme un résumé d'un article.
ChatGPT peut vous résumer une page.
Si vous posez des questions sur une page, l'assistant peut vous proposer de la garder en mémoire, pour éventuellement revenir dessus plus tard. Il faut noter que dans certains cas, les résumés de ChatGPT sont plus longs que la page originale, ce qui est surprenant.
Vous verrez assez vite ce problème.
Le principal défaut de ce navigateur pour le moment est que vous allez probablement atteindre assez vite les limites de l'assistant sur sa dernière version en date (GPT-5) si vous ne payez pas un abonnement.
En 2024, un projet participatif avait permis le lancement du traqueur Bluetooth Slimca Here. Ce modèle en format carte de crédit avait l'avantage d'être très fin (du même ordre qu'une carte de paiement, vers 1,2 mm) tout en se rechargeant en USB-C. Un avantage évident quand ses concurrents passent par du Qi ou sont tout simplement jetables, sans possibilités de rechargement.
La première Slimca Here. Image igeneration.
Ses créateurs viennent de mettre en ligne un nouveau projet, pour le Slimca Here 2. Cette nouvelle carte reprend le même format très fin et légèrement pliable — un avantage dans un portefeuille — mais modifie deux choses. Premièrement, le traqueur est compatible avec le réseau d'Apple ou celui de Google, sur les smartphones Android. Comme toujours, chaque réseau est exclusif : la carte fonctionne uniquement avec un réseau à la fois. La seconde modification vient de la prise USB-C, très fine. Elle était derrière un cache facile à perdre sur la première version, elle semble être derrière un cache rétractable.
La nouvelle version se recharge toujours en USB-C. Image Slimca.
Le prix de lancement est de 25 € pendant la période de financement, ce qui est correct et cher à la fois, en fonction de vos besoins. Les cartes d'entrée de gamme, jetables, se trouvent facilement pour une grosse dizaine d'euros, mais la Slimca Here a l'avantage d'être rechargeable et très fine.
La première version est nettement plus fine que la moyenne. Image iGeneration.
Notons enfin que la société propose deux variantes un peu particulières. La première est une version sans décoration, très brute. La seconde est une carte intégrée dans un support MagSafe qui fait aussi office de porte-cartes. Là aussi, la structure est très brute. Les deux variantes sont des compléments pour l'achat d'une carte classique.
Une version modifiée fait office de support MagSafe. Image Slimca.