mas est un outil en ligne de commandes, utilisable exclusivement depuis une session de terminal, qui existe depuis bien des années. Son rôle est de contrôler le Mac App Store, la boutique d’apps de macOS, en permettant d’installer ou de mettre à jour ses apps depuis le terminal, ce qui est très utile dans des scripts. Par exemple, si vous voulez automatiser l’installation de macOS et retrouver toutes vos apps favorites sans les installer à la main depuis l’interface prévue par Apple, mas peut grandement vous aider, comme je l’avais détaillé il y a quelques années.
mas 4 en action sur mon Mac Studio sous macOS 26. Image MacGeneration.
C’est un outil pratique, mais un outil officieux. En effet, ce n’est pas Apple qui développe mas et le propose dans macOS, il s’agit d’un travail indépendant mené sur GitHub puisque le projet est aussi open-source. La conséquence, c’est que chaque mise à jour du système dédié aux Mac peut casser la ligne de commande et c’est régulièrement ce qui est arrivé depuis sa première version, qui remonte à plus de dix ans maintenant. Le développeur original de l’outil a cédé la main à plusieurs successeurs et Ross Goldberg est le plus actif depuis à peu près un an.
Après avoir mis à jour la ligne de commande de façon mineure, il s’est lancé dans un gros chantier de réécriture qui a abouti à la sortie de deux mises à jour majeures, presque coup sur coup. La version 4 de mas est distribuée depuis hier et accessible via Homebrew depuis quelques heures seulement et elle restaure la majorité des commandes, en particulier celles qui servent à installer les apps. Pour fonctionner de nouveau, elles ont nécessité l’obtention de privilèges administrateur via la commande sudo, mais vous n’avez pas à vous en soucier. Quand c’est nécessaire, mas vous demandera automatiquement le mot de passe de la session ou bien d’autoriser la demande avec Touch ID si vous avez correctement configuré votre terminal.
J’ai pu le tester sur mon Mac, mas permet bien de chercher les apps en attente de mises à jour avec mas outdated, puis d’installer ces nouvelles versions avec mas update ou alors de mettre à jour uniquement une app en ajoutant un identifiant à la suite. La recherche d’une app fonctionne toujours avec mas search puis un nom, mas get peut installer une nouvelle app gratuite tandis que mas install télécharge une app déjà associée à votre compte. L’achat d’une app payante se fera comme toujours dans le Mac App Store, Apple ne permet pas de faire autrement.
Les différentes commandes proposées par mas. Image MacGeneration.
Si vous voulez installer mas, le mieux est de passer par un gestionnaire de paquets, que ce soit Homebrew (brew install mas) ou MacPorts (sudo port install mas). Il faut macOS 10.15 au minimum pour les versions distribuées par ce biais, des explications plus complètes sont disponibles sur la page GitHub du projet pour les systèmes plus anciens.
mas est un outil en ligne de commandes, utilisable exclusivement depuis une session de terminal, qui existe depuis bien des années. Son rôle est de contrôler le Mac App Store, la boutique d’apps de macOS, en permettant d’installer ou de mettre à jour ses apps depuis le terminal, ce qui est très utile dans des scripts. Par exemple, si vous voulez automatiser l’installation de macOS et retrouver toutes vos apps favorites sans les installer à la main depuis l’interface prévue par Apple, mas peut grandement vous aider, comme je l’avais détaillé il y a quelques années.
mas 4 en action sur mon Mac Studio sous macOS 26. Image MacGeneration.
C’est un outil pratique, mais un outil officieux. En effet, ce n’est pas Apple qui développe mas et le propose dans macOS, il s’agit d’un travail indépendant mené sur GitHub puisque le projet est aussi open-source. La conséquence, c’est que chaque mise à jour du système dédié aux Mac peut casser la ligne de commande et c’est régulièrement ce qui est arrivé depuis sa première version, qui remonte à plus de dix ans maintenant. Le développeur original de l’outil a cédé la main à plusieurs successeurs et Ross Goldberg est le plus actif depuis à peu près un an.
Après avoir mis à jour la ligne de commande de façon mineure, il s’est lancé dans un gros chantier de réécriture qui a abouti à la sortie de deux mises à jour majeures, presque coup sur coup. La version 4 de mas est distribuée depuis hier et accessible via Homebrew depuis quelques heures seulement et elle restaure la majorité des commandes, en particulier celles qui servent à installer les apps. Pour fonctionner de nouveau, elles ont nécessité l’obtention de privilèges administrateur via la commande sudo, mais vous n’avez pas à vous en soucier. Quand c’est nécessaire, mas vous demandera automatiquement le mot de passe de la session ou bien d’autoriser la demande avec Touch ID si vous avez correctement configuré votre terminal.
J’ai pu le tester sur mon Mac, mas permet bien de chercher les apps en attente de mises à jour avec mas outdated, puis d’installer ces nouvelles versions avec mas update ou alors de mettre à jour uniquement une app en ajoutant un identifiant à la suite. La recherche d’une app fonctionne toujours avec mas search puis un nom, mas get peut installer une nouvelle app gratuite tandis que mas install télécharge une app déjà associée à votre compte. L’achat d’une app payante se fera comme toujours dans le Mac App Store, Apple ne permet pas de faire autrement.
Les différentes commandes proposées par mas. Image MacGeneration.
Si vous voulez installer mas, le mieux est de passer par un gestionnaire de paquets, que ce soit Homebrew (brew install mas) ou MacPorts (sudo port install mas). Il faut macOS 10.15 au minimum pour les versions distribuées par ce biais, des explications plus complètes sont disponibles sur la page GitHub du projet pour les systèmes plus anciens.
Apple mène souvent l’industrie toute entière, qui n’hésite jamais à reprendre les bonnes idées d’abord testées par l’iPhone. Face aux rumeurs que la Pomme allait sortir un modèle ultra-fin, les constructeurs chinois avaient commencé à préparer leurs propres versions… sauf que l’iPhone Air s’est avéré un échec commercial majeur, au point que sa production serait déjà quasiment à l’arrêt. Face à ce constat, DigiTimes indique que plusieurs fabricants chinois auraient finalement annulé leur clone, de Xiaomi à Oppo en passant par Vivo.
Image Apple/iGeneration.
Pour rappel, les rumeurs se suivent et se ressemblent depuis le lancement de l’iPhone Air. Alors que les 17 et surtout les 17 Pro se vendraient très bien, le téléphone fin d’Apple ne trouverait pas preneur. Jugé manifestement trop cher pour les compromis nécessaires, desservi sans doute par la Pomme qui a laissé entendre dans sa présentation que l’autonomie était pire qu’en réalité en l’associant à une batterie externe, il aurait eu tant de mal à se vendre que son concepteur aurait pris des mesures radicales. Sa production serait ainsi déjà à l’arrêt, du jamais vu si tôt après la commercialisation d’un nouveau modèle.
Face à cet échec commercial, Apple aurait décidé de retarder la sortie d’un successeur. En Chine, Xiaomi comptait apparemment sortir un modèle très proche de l’iPhone Air, une stratégie de copie que le géant chinois assume depuis bien des années. Ses plans auraient changé face aux déconvenues d’Apple sur ce segment, si bien que son propre modèle affiné aurait été finalement annulé avant même sa présentation.
Vivo pensait de son côté proposer un modèle milieu de gamme affiné, mais le constructeur aurait aussi choisi de modifier son calendrier et de ne plus se concentrer sur la finesse. Ces entreprises chinoises auraient même travaillé sur l’eSIM, notoirement rare dans leur pays, pour ces modèles affinés. Ce travail pourrait leur servir à d’autres téléphones plus classiques toutefois et peut-être que la carte SIM en plastique perdra finalement un petit peu de terrain en Chine.
Apple n’est pas la seule à n’avoir pas su séduire avec un smartphone plus fin, Samsung connaîtrait la même trajectoire avec son Galaxy S25 Edge. Pas de quoi inciter davantage ses voisins chinois à suivre la même voie…
Apple mène souvent l’industrie toute entière, qui n’hésite jamais à reprendre les bonnes idées d’abord testées par l’iPhone. Face aux rumeurs que la Pomme allait sortir un modèle ultra-fin, les constructeurs chinois avaient commencé à préparer leurs propres versions… sauf que l’iPhone Air s’est avéré un échec commercial majeur, au point que sa production serait déjà quasiment à l’arrêt. Face à ce constat, DigiTimes indique que plusieurs fabricants chinois auraient finalement annulé leur clone, de Xiaomi à Oppo en passant par Vivo.
Image Apple/iGeneration.
Pour rappel, les rumeurs se suivent et se ressemblent depuis le lancement de l’iPhone Air. Alors que les 17 et surtout les 17 Pro se vendraient très bien, le téléphone fin d’Apple ne trouverait pas preneur. Jugé manifestement trop cher pour les compromis nécessaires, desservi sans doute par la Pomme qui a laissé entendre dans sa présentation que l’autonomie était pire qu’en réalité en l’associant à une batterie externe, il aurait eu tant de mal à se vendre que son concepteur aurait pris des mesures radicales. Sa production serait ainsi déjà à l’arrêt, du jamais vu si tôt après la commercialisation d’un nouveau modèle.
Face à cet échec commercial, Apple aurait décidé de retarder la sortie d’un successeur. En Chine, Xiaomi comptait apparemment sortir un modèle très proche de l’iPhone Air, une stratégie de copie que le géant chinois assume depuis bien des années. Ses plans auraient changé face aux déconvenues d’Apple sur ce segment, si bien que son propre modèle affiné aurait été finalement annulé avant même sa présentation.
Vivo pensait de son côté proposer un modèle milieu de gamme affiné, mais le constructeur aurait aussi choisi de modifier son calendrier et de ne plus se concentrer sur la finesse. Ces entreprises chinoises auraient même travaillé sur l’eSIM, notoirement rare dans leur pays, pour ces modèles affinés. Ce travail pourrait leur servir à d’autres téléphones plus classiques toutefois et peut-être que la carte SIM en plastique perdra finalement un petit peu de terrain en Chine.
Apple n’est pas la seule à n’avoir pas su séduire avec un smartphone plus fin, Samsung connaîtrait la même trajectoire avec son Galaxy S25 Edge. Pas de quoi inciter davantage ses voisins chinois à suivre la même voie…
L’accès distant à un serveur Plex est officiellement une fonctionnalité payante depuis le printemps 2025. Néanmoins, les créateurs du media-center n’avaient pas mis en place les mesures techniques pour limiter cet accès distant pour les utilisateurs qui ne payaient pas… du moins, jusque-là. Comme expliqué le 20 novembre dans les forums officiels du projet, l’app Plex destinée aux Roku a été mise à jour pour bloquer tout accès distant aux utilisateurs qui ne sont pas abonnés à l’une des deux offres payantes. Ce qui tombe bien, avec le Black Friday, le Plex Pass est actuellement en promotion à -40 % sur les trois formules proposées.
Image Plex/MacGeneration.
Les utilisateurs de Plex sur Roku, surtout nombreux outre-Atlantique, seront les premiers à devoir réellement payer avec un changement effectif dès cette semaine. Pour tous les autres, cela viendra progressivement en 2026 et les développeurs préviennent que tout le monde sera concerné, comme c’était prévu. Quelle que soit la variante de l’app Plex utilisée, y compris sur iPhone ou Apple TV, et même pour ceux qui utilisent l’API pour accéder aux contenus depuis une autre app. Typiquement, si vous utilisez Infuse avec un accès distant à votre serveur Plex, vous devrez également payer à partir de 2026.
L’accès distant est réservé aux abonnés au Plex Pass ou bien à ceux qui optent pour l’abonnement dédié à la fonctionnalité, nommé « Remote Watch Pass ». Ce dernier est facturé 2 € par mois ou 20 € par an et il n’apporte que cette fonction, sans toutes les autres du Plex Pass historique (gestion de la musique, analyse des introductions et génériques des films et séries, téléchargement local de contenus, etc.). À l’occasion du Black Friday, le prix de ce dernier est réduit de 40 %, ce qui est valable tant sur l’abonnement que l’achat unique.
En effet, le Plex Pass qui inclut l’accès distant est proposé soit en abonnement à 6 € par mois (3,6 € le premier mois pendant la promo) ou bien à 60 € par an (36 € la première année), soit en achat unique facturé 138 € pendant le Black Friday, au lieu de 230. C’est sans doute cette formule qui est la plus intéressante si vous voulez bénéficier de toutes les fonctionnalités associées à l’offre.
Rappelons pour finir que seul l’accès distant est concerné par le changement, la lecture sur le réseau local avec Plex reste entièrement gratuite. Si vous avez installé le serveur sur votre NAS et que vous voulez regarder un contenu depuis l’Apple TV, par exemple, vous n’aurez pas besoin de payer quoi que ce soit, comme d’habitude.
L’accès distant à un serveur Plex est officiellement une fonctionnalité payante depuis le printemps 2025. Néanmoins, les créateurs du media-center n’avaient pas mis en place les mesures techniques pour limiter cet accès distant pour les utilisateurs qui ne payaient pas… du moins, jusque-là. Comme expliqué le 20 novembre dans les forums officiels du projet, l’app Plex destinée aux Roku a été mise à jour pour bloquer tout accès distant aux utilisateurs qui ne sont pas abonnés à l’une des deux offres payantes. Ce qui tombe bien, avec le Black Friday, le Plex Pass est actuellement en promotion à -40 % sur les trois formules proposées.
Image Plex/MacGeneration.
Les utilisateurs de Plex sur Roku, surtout nombreux outre-Atlantique, seront les premiers à devoir réellement payer avec un changement effectif dès cette semaine. Pour tous les autres, cela viendra progressivement en 2026 et les développeurs préviennent que tout le monde sera concerné, comme c’était prévu. Quelle que soit la variante de l’app Plex utilisée, y compris sur iPhone ou Apple TV, et même pour ceux qui utilisent l’API pour accéder aux contenus depuis une autre app. Typiquement, si vous utilisez Infuse avec un accès distant à votre serveur Plex, vous devrez également payer à partir de 2026.
L’accès distant est réservé aux abonnés au Plex Pass ou bien à ceux qui optent pour l’abonnement dédié à la fonctionnalité, nommé « Remote Watch Pass ». Ce dernier est facturé 2 € par mois ou 20 € par an et il n’apporte que cette fonction, sans toutes les autres du Plex Pass historique (gestion de la musique, analyse des introductions et génériques des films et séries, téléchargement local de contenus, etc.). À l’occasion du Black Friday, le prix de ce dernier est réduit de 40 %, ce qui est valable tant sur l’abonnement que l’achat unique.
En effet, le Plex Pass qui inclut l’accès distant est proposé soit en abonnement à 6 € par mois (3,6 € le premier mois pendant la promo) ou bien à 60 € par an (36 € la première année), soit en achat unique facturé 138 € pendant le Black Friday, au lieu de 230. C’est sans doute cette formule qui est la plus intéressante si vous voulez bénéficier de toutes les fonctionnalités associées à l’offre.
Rappelons pour finir que seul l’accès distant est concerné par le changement, la lecture sur le réseau local avec Plex reste entièrement gratuite. Si vous avez installé le serveur sur votre NAS et que vous voulez regarder un contenu depuis l’Apple TV, par exemple, vous n’aurez pas besoin de payer quoi que ce soit, comme d’habitude.
C’est désormais une tradition bien établie : Apple a fait réaliser une longue vidéo pour les fêtes de fin d’année. C’est une publicité naturellement, comme le tournage réalisé entièrement avec des iPhone 17 Pro le rappelle bien, mais c’est aussi l’occasion de proposer un petit court-métrage mignon. Cette année, un promeneur fait tomber son iPhone dans une forêt enneigée et un raton-laveur (oui) le récupère pour enregistrer une chanson avec tous ses amis de la forêt, avec une bonne dose d’humour et un joli message pour finir : l’amitié est un cadeau.
Les animaux ont été animés par des marionnettistes entièrement en bleu, comme le montre cette vidéo de making-of diffusée en même temps. C’est aussi l’occasion de rappeler à quel point l’iPhone 17 Pro est excellent avec son zoom 8x, même si la vidéo reste intéressante pour voir comment on crée un décor de cinéma, des marionnettes et tout ce qui va avec. Tout le monde peut réaliser des publicités avec un iPhone, note le réalisateur, même s’il faudra aussi prévoir un grand décor, quelques dizaines de personnes pour gérer le tout et du matériel professionnel pour encadrer le smartphone si on veut obtenir ce résultat.
Apple indique que la chanson de sa vidéo s’inspire de « Friends », un titre de Flight of the Conchords sorti en 2013. Pas question de plagiat ici.
C’est désormais une tradition bien établie : Apple a fait réaliser une longue vidéo pour les fêtes de fin d’année. C’est une publicité naturellement, comme le tournage réalisé entièrement avec des iPhone 17 Pro le rappelle bien, mais c’est aussi l’occasion de proposer un petit court-métrage mignon. Cette année, un promeneur fait tomber son iPhone dans une forêt enneigée et un raton-laveur (oui) le récupère pour enregistrer une chanson avec tous ses amis de la forêt, avec une bonne dose d’humour et un joli message pour finir : l’amitié est un cadeau.
Les animaux ont été animés par des marionnettistes entièrement en bleu, comme le montre cette vidéo de making-of diffusée en même temps. C’est aussi l’occasion de rappeler à quel point l’iPhone 17 Pro est excellent avec son zoom 8x, même si la vidéo reste intéressante pour voir comment on crée un décor de cinéma, des marionnettes et tout ce qui va avec. Tout le monde peut réaliser des publicités avec un iPhone, note le réalisateur, même s’il faudra aussi prévoir un grand décor, quelques dizaines de personnes pour gérer le tout et du matériel professionnel pour encadrer le smartphone si on veut obtenir ce résultat.
Apple indique que la chanson de sa vidéo s’inspire de « Friends », un titre de Flight of the Conchords sorti en 2013. Pas question de plagiat ici.
C’est impossible de le rater si vous êtes abonné au plus gros service de streaming au monde : la cinquième et dernière saison de Stranger Things est désormais partiellement disponible, avec les quatre premiers épisodes qui sont distribués depuis cette nuit. Une sortie très attendue, pour ce qui reste l’une des séries les plus populaires du service et cela s’est ressenti. Juste après la mise à disposition des épisodes, qui a eu lieu vers 2 heures du matin en France, Netflix a été en panne pendant quelques minutes, comme le souligne notamment Variety.
La page d’accueil de l’app tvOS de Netflix ne laisse aucune place au doute : Stranger Things est de retour. Image iGeneration.
La panne n’a pas duré très longtemps, même si les avis divergent selon les sources. Variety parle de cinq minutes pendant lesquelles le service a été totalement inaccessible, tandis que The Wrap évoque plutôt 20 minutes. Peu importe la durée exacte, le service a rapidement réussi à reprendre du service et la majorité d’entre nous n’aura probablement rien aperçu, puisque cela a eu lieu en plein cœur de la nuit pour les Européens. Netflix est accessible normalement au moment où j’écris ces lignes, alors vous pouvez découvrir ces premiers épisodes pendant la pause déjeuner.
Malgré tout, c’est très rare que Netflix soit en panne et son infrastructure est parfaitement calibrée pour tenir le choc, alors même qu’il compte plusieurs centaines de millions d’abonnés dans le monde entier. Ainsi, cette brève coupure est un bon indicateur de l’importance du service et aussi un signe de l’attrait exercé par Stranger Things.
On n’a pas encore les chiffres, mais ils devraient être excellents et il ne fait guère de doute que la série occupera le devant de la scène pendant plusieurs semaines. Comme toujours, la sortie d’une nouvelle saison devrait relancer les lectures de tous les épisodes depuis la première qui remonte à juillet 2016. Pour l’heure, Stranger Things est à la troisième place du top 10 français et j’imagine que son arrivée sur la première marche du podium n’est qu’une affaire d’heures.
Comme le service aime bien le faire avec ses créations les plus attendues, la diffusion de la cinquième saison de Stranger Things se fera malheureusement en trois fois. Après les quatre premiers épisodes diffusés aujourd’hui, il faudra attendre un mois pour voir les trois suivants, diffusés le 26 décembre 2025. L’ultime épisode de la série, la conclusion qui sera certainement épique, devra même attendre le 1er janvier 2026. Bonne chance pour éviter les divulgâchages d’ici là !
C’est impossible de le rater si vous êtes abonné au plus gros service de streaming au monde : la cinquième et dernière saison de Stranger Things est désormais partiellement disponible, avec les quatre premiers épisodes qui sont distribués depuis cette nuit. Une sortie très attendue, pour ce qui reste l’une des séries les plus populaires du service et cela s’est ressenti. Juste après la mise à disposition des épisodes, qui a eu lieu vers 2 heures du matin en France, Netflix a été en panne pendant quelques minutes, comme le souligne notamment Variety.
La page d’accueil de l’app tvOS de Netflix ne laisse aucune place au doute : Stranger Things est de retour. Image iGeneration.
La panne n’a pas duré très longtemps, même si les avis divergent selon les sources. Variety parle de cinq minutes pendant lesquelles le service a été totalement inaccessible, tandis que The Wrap évoque plutôt 20 minutes. Peu importe la durée exacte, le service a rapidement réussi à reprendre du service et la majorité d’entre nous n’aura probablement rien aperçu, puisque cela a eu lieu en plein cœur de la nuit pour les Européens. Netflix est accessible normalement au moment où j’écris ces lignes, alors vous pouvez découvrir ces premiers épisodes pendant la pause déjeuner.
Malgré tout, c’est très rare que Netflix soit en panne et son infrastructure est parfaitement calibrée pour tenir le choc, alors même qu’il compte plusieurs centaines de millions d’abonnés dans le monde entier. Ainsi, cette brève coupure est un bon indicateur de l’importance du service et aussi un signe de l’attrait exercé par Stranger Things.
On n’a pas encore les chiffres, mais ils devraient être excellents et il ne fait guère de doute que la série occupera le devant de la scène pendant plusieurs semaines. Comme toujours, la sortie d’une nouvelle saison devrait relancer les lectures de tous les épisodes depuis la première qui remonte à juillet 2016. Pour l’heure, Stranger Things est à la troisième place du top 10 français et j’imagine que son arrivée sur la première marche du podium n’est qu’une affaire d’heures.
Comme le service aime bien le faire avec ses créations les plus attendues, la diffusion de la cinquième saison de Stranger Things se fera malheureusement en trois fois. Après les quatre premiers épisodes diffusés aujourd’hui, il faudra attendre un mois pour voir les trois suivants, diffusés le 26 décembre 2025. L’ultime épisode de la série, la conclusion qui sera certainement épique, devra même attendre le 1er janvier 2026. Bonne chance pour éviter les divulgâchages d’ici là !
Password Utility (10 $) est une nouvelle app proposée par Twocanoes, un éditeur de solutions logicielles spécialisées dans la gestion de parcs de Mac. Justement, ce nouvel utilitaire se destine avant tout à simplifier l’accès distant aux ordinateurs d’Apple, même si on peut aussi l’exploiter sur son propre Mac. Pour faire simple, Password Utility fait en sorte que l’on n’ait jamais besoin de saisir le mot de passe de la session, ni au démarrage, ni pendant l’utilisation de macOS, sans compromettre pour autant la sécurité du système.
Vidéo Twocanoes.
Concrètement, Password Utility réunit plusieurs composants qui permettent d’éliminer la saisie de mot de passe sous macOS. L’un se charge de déverrouiller FileVault au prochain redémarrage, un point clé pour contrôler à distance un Mac. En temps normal, cette brique de macOS qui chiffre le stockage de l’ordinateur s’active dans les premières secondes du démarrage et demande à l’utilisateur de saisir le mot de passe de sa session. Si ce n’est pas un problème quand on a la machine sous les yeux, cela bloque toute possibilité d’accéder à l’ordinateur depuis une session distante et sans accès physique au Mac.
Sous le capot, l’utilitaire ne désactive pas FileVault, il utilise la fonctionnalité prévue par Apple depuis bien des années pour stocker temporairement une copie chiffrée et sécurisée du mot de passe. Cette copie sera utilisée au prochain démarrage, avant d’être supprimée par sécurité. C’est pourquoi Password Utility doit tourner en permanence à l’arrière-plan pour réactiver le dispositif après chaque démarrage.
L’utilitaire de Twocanoes peut aussi prendre en charge les « Smart Cards », ces clés d’authentification branchées sur le Mac qui permettent de se passer du mot de passe notamment au démarrage. À la place, macOS demande un code numérique à six chiffres pour déverrouiller la clé et autoriser le démarrage en toute sécurité.
Pendant l’utilisation de macOS, une copie du mot de passe de votre session est stockée de manière sécurisée dans le trousseau et Password Utility peut la récupérer à tout moment pour l’ajouter au presse-papier. Si vous tombez sur une boîte de dialogue qui demande un mot de passe, l’app proposera de vous identifier avec Touch ID pour récupérer l’information, la glisser dans le presse-papier du système et vous permettant de coller l’élément dans la foulée. Trente secondes plus tard, le presse-papier de macOS sera vidé par sécurité. Il y a toujours le risque qu’une app tierce lise l’information entre temps, c’est un compromis à accepter pour se passer pleinement de la saisie d’un mot de passe.
Les réglages de Password Utility permettent d’activer ou désactiver ses différentes fonctionnalités. Image Twocanoes/MacGeneration.
Enfin, l’app de Twocanoes configure le terminal pour que les commandes avec sudo appellent Touch ID au lieu de demander de saisir le mot de passe. Apple ne le fait pas par défaut, alors même que macOS le gère depuis des années. Vous pouvez aussi le faire vous-même, en suivant ces instructions rappelées dans ce précédent article.
Toutes les fonctions de Password Utility peuvent être (dés)activées selon les besoins et son concepteur a prévu tout le nécessaire pour un déploiement sur un parc de Mac grâce à MDM. L’éditeur annonce le vendre à 10 $ (8,6 € HT) par machine et par an, même si la page principale ne permet pas pour le moment d’acheter l’utilitaire, ni même de le télécharger bizarrement (on trouve encore le lien à cette adresse). Twocanoes précise qu’un Mac Apple Silicon sous macOS 15 au minimum est nécessaire.
Password Utility (10 $) est une nouvelle app proposée par Twocanoes, un éditeur de solutions logicielles spécialisées dans la gestion de parcs de Mac. Justement, ce nouvel utilitaire se destine avant tout à simplifier l’accès distant aux ordinateurs d’Apple, même si on peut aussi l’exploiter sur son propre Mac. Pour faire simple, Password Utility fait en sorte que l’on n’ait jamais besoin de saisir le mot de passe de la session, ni au démarrage, ni pendant l’utilisation de macOS, sans compromettre pour autant la sécurité du système.
Vidéo Twocanoes.
Concrètement, Password Utility réunit plusieurs composants qui permettent d’éliminer la saisie de mot de passe sous macOS. L’un se charge de déverrouiller FileVault au prochain redémarrage, un point clé pour contrôler à distance un Mac. En temps normal, cette brique de macOS qui chiffre le stockage de l’ordinateur s’active dans les premières secondes du démarrage et demande à l’utilisateur de saisir le mot de passe de sa session. Si ce n’est pas un problème quand on a la machine sous les yeux, cela bloque toute possibilité d’accéder à l’ordinateur depuis une session distante et sans accès physique au Mac.
Sous le capot, l’utilitaire ne désactive pas FileVault, il utilise la fonctionnalité prévue par Apple depuis bien des années pour stocker temporairement une copie chiffrée et sécurisée du mot de passe. Cette copie sera utilisée au prochain démarrage, avant d’être supprimée par sécurité. C’est pourquoi Password Utility doit tourner en permanence à l’arrière-plan pour réactiver le dispositif après chaque démarrage.
L’utilitaire de Twocanoes peut aussi prendre en charge les « Smart Cards », ces clés d’authentification branchées sur le Mac qui permettent de se passer du mot de passe notamment au démarrage. À la place, macOS demande un code numérique à six chiffres pour déverrouiller la clé et autoriser le démarrage en toute sécurité.
Pendant l’utilisation de macOS, une copie du mot de passe de votre session est stockée de manière sécurisée dans le trousseau et Password Utility peut la récupérer à tout moment pour l’ajouter au presse-papier. Si vous tombez sur une boîte de dialogue qui demande un mot de passe, l’app proposera de vous identifier avec Touch ID pour récupérer l’information, la glisser dans le presse-papier du système et vous permettant de coller l’élément dans la foulée. Trente secondes plus tard, le presse-papier de macOS sera vidé par sécurité. Il y a toujours le risque qu’une app tierce lise l’information entre temps, c’est un compromis à accepter pour se passer pleinement de la saisie d’un mot de passe.
Les réglages de Password Utility permettent d’activer ou désactiver ses différentes fonctionnalités. Image Twocanoes/MacGeneration.
Enfin, l’app de Twocanoes configure le terminal pour que les commandes avec sudo appellent Touch ID au lieu de demander de saisir le mot de passe. Apple ne le fait pas par défaut, alors même que macOS le gère depuis des années. Vous pouvez aussi le faire vous-même, en suivant ces instructions rappelées dans ce précédent article.
Toutes les fonctions de Password Utility peuvent être (dés)activées selon les besoins et son concepteur a prévu tout le nécessaire pour un déploiement sur un parc de Mac grâce à MDM. L’éditeur annonce le vendre à 10 $ (8,6 € HT) par machine et par an, même si la page principale ne permet pas pour le moment d’acheter l’utilitaire, ni même de le télécharger bizarrement (on trouve encore le lien à cette adresse). Twocanoes précise qu’un Mac Apple Silicon sous macOS 15 au minimum est nécessaire.
Vous cherchez un purificateur d’air ? Celui de SwitchBot, qui présente l’intérêt d’être compatible avec le standard de domotique Matter et ainsi de pouvoir trouver place dans Maison d’Apple, est en promotion dans le cadre du Black Friday. Les deux variantes du produit sont vendus autour de deux fois moins que leur prix de base, même s’ils étaient régulièrement affichés à un tarif inférieur ces derniers mois. Comptez 114 € au lieu de 140 (240 € au départ) pour la variante de base et 160 € au lieu d’environ 200 (lancement à 340 €) pour le modèle avec la petite table et son chargeur à induction intégré.
Image iGeneration.
Les deux produits sont très similaires, la seule différence est la partie haute, au-dessus de la demi-sphère qui accueille une veilleuse dans les deux cas. Sur le produit entrée de gamme, on n’a qu’une toute petite surface qui surmonte la zone, tandis que le modèle plus cher intègre une tablette de 42 cm de long sur 29 de large. Toute la technique, les filtres inclus, la connexion ou encore le capteur inclus de qualité de l’aide, est strictement identique entre les deux, alors le choix se fera uniquement sur des questions esthétiques ou de place disponible.
J’utilise le produit depuis près d’un an pour surveiller l’air de ma maison à la campagne et parfois absorber les particules identifiées par les capteurs du purificateur d’air. Nous n’avons pas trop de pollution par ici, même si les travaux peuvent entraîner une accélération du ventilateur inclus, preuve qu’il fonctionne correctement. La compatibilité avec Matter m’a permis de l’intégrer à la domotique, via Home Assistant dans mon cas, notamment pour l’éteindre entièrement pendant la nuit, ce qui est utile pour le garder dans une chambre.
À noter que la connexion avec Matter se fait directement, par le biais du Wi-Fi. Il faudra aussi obligatoirement passer par l’app du fabricant pour la configuration initiale et aussi pour utiliser toutes ses fonctionnalités. Un an après, la situation n’a d’ailleurs pas évolué malheureusement, on reste plus limité du côté de la domotique et on ne peut toujours pas accéder à la mesure numérique de la qualité de l’air (concentration des particules PM2,5), ni gérer l’éclairage inclus. C’est un petit peu décevant, mais cela n’enlève rien aux qualités du produit en tant que purificateur d’air.
Vous cherchez un purificateur d’air ? Celui de SwitchBot, qui présente l’intérêt d’être compatible avec le standard de domotique Matter et ainsi de pouvoir trouver place dans Maison d’Apple, est en promotion dans le cadre du Black Friday. Les deux variantes du produit sont vendus autour de deux fois moins que leur prix de base, même s’ils étaient régulièrement affichés à un tarif inférieur ces derniers mois. Comptez 114 € au lieu de 140 (240 € au départ) pour la variante de base et 160 € au lieu d’environ 200 (lancement à 340 €) pour le modèle avec la petite table et son chargeur à induction intégré.
Image iGeneration.
Les deux produits sont très similaires, la seule différence est la partie haute, au-dessus de la demi-sphère qui accueille une veilleuse dans les deux cas. Sur le produit entrée de gamme, on n’a qu’une toute petite surface qui surmonte la zone, tandis que le modèle plus cher intègre une tablette de 42 cm de long sur 29 de large. Toute la technique, les filtres inclus, la connexion ou encore le capteur inclus de qualité de l’aide, est strictement identique entre les deux, alors le choix se fera uniquement sur des questions esthétiques ou de place disponible.
J’utilise le produit depuis près d’un an pour surveiller l’air de ma maison à la campagne et parfois absorber les particules identifiées par les capteurs du purificateur d’air. Nous n’avons pas trop de pollution par ici, même si les travaux peuvent entraîner une accélération du ventilateur inclus, preuve qu’il fonctionne correctement. La compatibilité avec Matter m’a permis de l’intégrer à la domotique, via Home Assistant dans mon cas, notamment pour l’éteindre entièrement pendant la nuit, ce qui est utile pour le garder dans une chambre.
À noter que la connexion avec Matter se fait directement, par le biais du Wi-Fi. Il faudra aussi obligatoirement passer par l’app du fabricant pour la configuration initiale et aussi pour utiliser toutes ses fonctionnalités. Un an après, la situation n’a d’ailleurs pas évolué malheureusement, on reste plus limité du côté de la domotique et on ne peut toujours pas accéder à la mesure numérique de la qualité de l’air (concentration des particules PM2,5), ni gérer l’éclairage inclus. C’est un petit peu décevant, mais cela n’enlève rien aux qualités du produit en tant que purificateur d’air.
C’est tout un symbole : les ventes excellentes d’iPhone 17 devraient remettre Apple à la tête des ventes mondiales de smartphones en 2025, près de quinze ans après avoir cédé sa première place à Samsung. Comme Bloomberg le rappelle, la Pomme n’était plus sur la première marché du podium depuis 2011. Son rival coréen avait alors pris de l’avance grâce à ce que l’on appelait encore les « phablets », des smartphones plus grands qu’Apple a longtemps refusé de vendre, ce qui lui avait coûté quelques précieux points de parts de marché.
Image iGeneration.
En 2025, la situation semble sur le point de s’inverser à nouveau. Les smartphones se sont très bien vendus dans le monde entier, si bien que l’on s’attend à une augmentation globale de 3,3 %. Cette dynamique devrait profiter aux deux ennemis de toujours, mais plus à Apple qui pourrait finir l’année avec 10 % de croissance, qu’à Samsung qui pourrait se contenter d’une hausse de 4,6 % « seulement ». C’est en réalité très bien pour les deux entreprises, même si l’écart devrait permettre à la firme de Tim Cook de reprendre l’avantage.
On s’attend ainsi à ce que l’iPhone représente cette année 19,4 % de parts de marché mondiales sur le smartphone, devant les appareils vendus par Samsung. Les analystes estiment que 2025 ne devrait pas être une exception et au contraire, ils s’attendent à ce qu’Apple conserve la première place dans les années à venir et même jusqu’en 2029. Les rumeurs qui suggèrent l’arrivée d’un smartphone pliant, puis d’un tout nouveau modèle pour les 20 ans de l’iPhone, alimentent en partie cette hypothèse. L’autre volet, c’est le renouvellement du parc existant, sachant que les clients d’Apple sont très fidèles à la marque.
En attendant, l’iPhone 17 et en particulier les deux 17 Pro en haut de la gamme, connaissent manifestement un franc succès. Tous les indicateurs sont excellents depuis leur sortie en septembre et rien ne semble arrêter Apple sur ce marché.
L’échec de plus en plus évident de l’iPhone Air ne vient pas entacher ce bilan. Au contraire, il semble pousser les ventes vers le haut de gamme, ce qui fait bien les affaires de l’entreprise. Ses résultats financiers pour le dernier trimestre de 2025 s’annoncent encore plus excellents que d’habitude…
C’est tout un symbole : les ventes excellentes d’iPhone 17 devraient remettre Apple à la tête des ventes mondiales de smartphones en 2025, près de quinze ans après avoir cédé sa première place à Samsung. Comme Bloomberg le rappelle, la Pomme n’était plus sur la première marché du podium depuis 2011. Son rival coréen avait alors pris de l’avance grâce à ce que l’on appelait encore les « phablets », des smartphones plus grands qu’Apple a longtemps refusé de vendre, ce qui lui avait coûté quelques précieux points de parts de marché.
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En 2025, la situation semble sur le point de s’inverser à nouveau. Les smartphones se sont très bien vendus dans le monde entier, si bien que l’on s’attend à une augmentation globale de 3,3 %. Cette dynamique devrait profiter aux deux ennemis de toujours, mais plus à Apple qui pourrait finir l’année avec 10 % de croissance, qu’à Samsung qui pourrait se contenter d’une hausse de 4,6 % « seulement ». C’est en réalité très bien pour les deux entreprises, même si l’écart devrait permettre à la firme de Tim Cook de reprendre l’avantage.
On s’attend ainsi à ce que l’iPhone représente cette année 19,4 % de parts de marché mondiales sur le smartphone, devant les appareils vendus par Samsung. Les analystes estiment que 2025 ne devrait pas être une exception et au contraire, ils s’attendent à ce qu’Apple conserve la première place dans les années à venir et même jusqu’en 2029. Les rumeurs qui suggèrent l’arrivée d’un smartphone pliant, puis d’un tout nouveau modèle pour les 20 ans de l’iPhone, alimentent en partie cette hypothèse. L’autre volet, c’est le renouvellement du parc existant, sachant que les clients d’Apple sont très fidèles à la marque.
En attendant, l’iPhone 17 et en particulier les deux 17 Pro en haut de la gamme, connaissent manifestement un franc succès. Tous les indicateurs sont excellents depuis leur sortie en septembre et rien ne semble arrêter Apple sur ce marché.
L’échec de plus en plus évident de l’iPhone Air ne vient pas entacher ce bilan. Au contraire, il semble pousser les ventes vers le haut de gamme, ce qui fait bien les affaires de l’entreprise. Ses résultats financiers pour le dernier trimestre de 2025 s’annoncent encore plus excellents que d’habitude…
Bonne nouvelle pour l’électrification du parc de véhicules particuliers en France : le dispositif actuel d’aides à l’acquisition d’une voiture électrique sera reconduit en 2026 et même amélioré. C’est ce que le ministre de l’Économie Roland Lescure a annoncé ce matin au micro de France Inter, en indiquant qu’« on prolonge le bonus automobile l'année prochaine » et en ajoutant qu’il « sera même augmenté : si vous achetez un véhicule électrique fait en France, fait en Europe, vous avez jusqu'à 5 700 euros de primes ». Tant mieux pour les futurs clients, même si la complexité de ce dispositif rend la déclaration plus opaque.
Image MacGeneration.
Le ministre parle encore de « bonus automobile », preuve que ce nom reste ancré alors que le dispositif a changé. En effet, il ne s’agit plus du bonus écologique que l’État français a financé pendant des années grâce au malus appliqué sur les voitures thermiques les plus polluantes. Depuis l’été dernier, on parle d’un « coup de pouce véhicules particuliers électriques », un changement de nom qui trahit une nouvelle philosophie sous-jacente. Les différents gouvernements successifs d’Emmanuel Macron ont tous cherché à réduire le budget de l’État et c’est pourquoi les aides sur l’achat d’une voiture électrique sont passées sous la responsabilité d’acteurs privés. En effet, ce sont les Certificats d’économie d’énergie (CEE) qui servent désormais à aider les ménages français.
Ces CEE sont payés par les fournisseurs d’énergie pour compenser la pollution de ce qu’ils produisent et vendent. On parle d’énergie au sens large, cela concerne autant les entreprises qui distribuent de l’essence destinée aux véhicules que celles qui fournissent du fioul pour le chauffage, en passant par tous les pétroliers qui commercialisent les matières premières. Tous ces acteurs privés sont contraints par l’État français de financer la transition écologique des ménages, ce qui a longtemps consisté en des aides à la rénovation. Si vous changez une vieille chaudière au fioul par une pompe à chaleur, les CEE permettront d’adoucir la facture. De même, la rénovation globale d’une maison mal isolée peut être couverte en partie par ces aides.
Depuis l’été, les CEE concernent aussi la mobilité avec le financement d’une partie des voitures électriques. Néanmoins, ce n’est pas aussi simple et systématique que l’ancien bonus écologique, qui s’appliquait à l’origine à tous les ménages et à toutes les voitures à batterie. Le gouvernement a choisi de cibler en priorité les ménages les moins aisés, ce qui est parfaitement logique, mais aussi d’éliminer du dispositif les voitures électriques qui ne sont pas produites en Europe. Cette mesure protectionniste qui ne porte pas ce nom, même si elle vise clairement à limiter l’arrivée des constructeurs chinois, complique la situation et oblige l’Ademe à calculer un « éco-score » selon de nombreux critères.
Si cela ne suffisait pas, le montant du coup de pouce varie aussi selon la provenance de la batterie, avec un bonus supplémentaire pour les véhicules équipés d’une batterie produite en Europe. Ces voitures sont encore très rares et cela ne dépend pas seulement d’une marque, pas même d’un modèle, mais bien souvent d’une variante précise d’un modèle. Chez Renault par exemple, seule la Scenic E-Tech avec la grosse batterie de 87 kWh est éligible d’après le constructeur, alors même qu’il a bien d’autres modèles à son catalogue qui sont produits en France.
La liste des voitures Renault éligibles à la prime coup de pouce, avec le montant maximal pour chaque modèle. Notez la spécificité pour la Scenic, en bas à gauche. Capture site Renault, image MacGeneration.
Ce n’est pas fini ! La somme indiquée par l’État est le minimum prévu par le dispositif, le montant exact varie d’un constructeur à l’autre, car chaque entreprise va signer des accords spécifiques avec des fournisseurs d’énergie. Si le coup de pouce actuel monte officiellement à 4 200 € pour les ménages modestes, vous aurez 4 770 € en commandant chez Renault, alors que Tesla ne vous donnera que le montant requis sur la Model Y produite à Berlin et qui est ainsi éligible.
Ceci posé, qu’a annoncé exactement Roland Lescure ? Que le dispositif ne s’arrêtera pas au 31 décembre 2025 comme c’était prévu lors de sa création en juin dernier, ça c’est très clair. En revanche, le passage à 5 700 € concerne probablement les voitures électriques à moins de 47 000 €, de moins de 2,4 tonnes, produites en Europe et dont la batterie est également européenne, uniquement pour les ménages les plus modestes. C’est une situation exceptionnelle qui ne touchera que très peu de dossiers et on ne sait pas si la somme payée par la majorité, 3 100 € aujourd’hui, sera modifiée.
Il faudra attendre l’officialisation de l’extension du dispositif pour avoir tous les détails. Quoi qu’il en soit, si vous pensiez devoir vous dépêcher de signer le bon de commande avant la fin de l’année, sachez que vous avez du temps pour réfléchir. Ce coup de pouce payé par des entreprises semble bien parti pour durer.
Bonne nouvelle pour l’électrification du parc de véhicules particuliers en France : le dispositif actuel d’aides à l’acquisition d’une voiture électrique sera reconduit en 2026 et même amélioré. C’est ce que le ministre de l’Économie Roland Lescure a annoncé ce matin au micro de France Inter, en indiquant qu’« on prolonge le bonus automobile l'année prochaine » et en ajoutant qu’il « sera même augmenté : si vous achetez un véhicule électrique fait en France, fait en Europe, vous avez jusqu'à 5 700 euros de primes ». Tant mieux pour les futurs clients, même si la complexité de ce dispositif rend la déclaration plus opaque.
Image MacGeneration.
Le ministre parle encore de « bonus automobile », preuve que ce nom reste ancré alors que le dispositif a changé. En effet, il ne s’agit plus du bonus écologique que l’État français a financé pendant des années grâce au malus appliqué sur les voitures thermiques les plus polluantes. Depuis l’été dernier, on parle d’un « coup de pouce véhicules particuliers électriques », un changement de nom qui trahit une nouvelle philosophie sous-jacente. Les différents gouvernements successifs d’Emmanuel Macron ont tous cherché à réduire le budget de l’État et c’est pourquoi les aides sur l’achat d’une voiture électrique sont passées sous la responsabilité d’acteurs privés. En effet, ce sont les Certificats d’économie d’énergie (CEE) qui servent désormais à aider les ménages français.
Ces CEE sont payés par les fournisseurs d’énergie pour compenser la pollution de ce qu’ils produisent et vendent. On parle d’énergie au sens large, cela concerne autant les entreprises qui distribuent de l’essence destinée aux véhicules que celles qui fournissent du fioul pour le chauffage, en passant par tous les pétroliers qui commercialisent les matières premières. Tous ces acteurs privés sont contraints par l’État français de financer la transition écologique des ménages, ce qui a longtemps consisté en des aides à la rénovation. Si vous changez une vieille chaudière au fioul par une pompe à chaleur, les CEE permettront d’adoucir la facture. De même, la rénovation globale d’une maison mal isolée peut être couverte en partie par ces aides.
Depuis l’été, les CEE concernent aussi la mobilité avec le financement d’une partie des voitures électriques. Néanmoins, ce n’est pas aussi simple et systématique que l’ancien bonus écologique, qui s’appliquait à l’origine à tous les ménages et à toutes les voitures à batterie. Le gouvernement a choisi de cibler en priorité les ménages les moins aisés, ce qui est parfaitement logique, mais aussi d’éliminer du dispositif les voitures électriques qui ne sont pas produites en Europe. Cette mesure protectionniste qui ne porte pas ce nom, même si elle vise clairement à limiter l’arrivée des constructeurs chinois, complique la situation et oblige l’Ademe à calculer un « éco-score » selon de nombreux critères.
Si cela ne suffisait pas, le montant du coup de pouce varie aussi selon la provenance de la batterie, avec un bonus supplémentaire pour les véhicules équipés d’une batterie produite en Europe. Ces voitures sont encore très rares et cela ne dépend pas seulement d’une marque, pas même d’un modèle, mais bien souvent d’une variante précise d’un modèle. Chez Renault par exemple, seule la Scenic E-Tech avec la grosse batterie de 87 kWh est éligible d’après le constructeur, alors même qu’il a bien d’autres modèles à son catalogue qui sont produits en France.
La liste des voitures Renault éligibles à la prime coup de pouce, avec le montant maximal pour chaque modèle. Notez la spécificité pour la Scenic, en bas à gauche. Capture site Renault, image MacGeneration.
Ce n’est pas fini ! La somme indiquée par l’État est le minimum prévu par le dispositif, le montant exact varie d’un constructeur à l’autre, car chaque entreprise va signer des accords spécifiques avec des fournisseurs d’énergie. Si le coup de pouce actuel monte officiellement à 4 200 € pour les ménages modestes, vous aurez 4 770 € en commandant chez Renault, alors que Tesla ne vous donnera que le montant requis sur la Model Y produite à Berlin et qui est ainsi éligible.
Ceci posé, qu’a annoncé exactement Roland Lescure ? Que le dispositif ne s’arrêtera pas au 31 décembre 2025 comme c’était prévu lors de sa création en juin dernier, ça c’est très clair. En revanche, le passage à 5 700 € concerne probablement les voitures électriques à moins de 47 000 €, de moins de 2,4 tonnes, produites en Europe et dont la batterie est également européenne, uniquement pour les ménages les plus modestes. C’est une situation exceptionnelle qui ne touchera que très peu de dossiers et on ne sait pas si la somme payée par la majorité, 3 100 € aujourd’hui, sera modifiée.
Il faudra attendre l’officialisation de l’extension du dispositif pour avoir tous les détails. Quoi qu’il en soit, si vous pensiez devoir vous dépêcher de signer le bon de commande avant la fin de l’année, sachez que vous avez du temps pour réfléchir. Ce coup de pouce payé par des entreprises semble bien parti pour durer.
Vous cherchez une solution pour accéder à vos services de streaming favoris sur un téléviseur, sans compter sur le système d’exploitation de l’écran et sans trop dépenser ? Les promotions du Black Friday permettent de faire de bonnes affaires sur les Fire TV d’Amazon, des clés HDMI qui offrent grosso modo les mêmes fonctions que l’Apple TV, pour une fraction du prix. La preuve, la Fire TV Stick 4K Select est sortie récemment et elle est déjà en promo à 20 € au lieu de 55, une réduction de pas moins de 64 % !
Image iGeneration.
Pour ce prix, vous aurez un appareil capable de diffuser une vidéo 4K HDR10+ et du son multicanal, la base pour les téléviseurs récents. Elle se connecte au réseau local en Wi-Fi et propose tous les grands services de streaming : Netflix, Disney+, Canal+, Apple TV ou encore Prime Video, évidemment. Sous le capot, c’est le nouveau système d’exploitation Vega OS qui tourne, même si cela ne se voit pas nécessairement.
Dans son test, mon collègue Pierre regrettait la fermeture associée à ce choix qui permet surtout à Amazon de ne plus dépendre de Google comme sur les autres modèles. Mais il jugeait le produit à son prix de base, on sera moins exigeant à 20 € et c’est une bonne option si vous cherchez un équipement pour un téléviseur secondaire.
Si c’est pour votre téléviseur principal, mieux vaut dépenser à peine plus pour acheter la Fire TV Stick 4K, actuellement en promotion à 30 € au lieu de 70. Pour 10 € de plus, on revient à Android et on gagne surtout les codecs Dolby Vision pour la vidéo HDR et Dolby Atmos pour le son immersif, qui sont souvent les seuls proposés par les services de streaming. On peut aussi compter sur du Wi-Fi 6 plus rapide, même si c’est sans doute moins significatif.
Si vous voulez vraiment dépenser plus, la Fire TV Stick 4K Max est à 47 € au lieu de 80, avec en échange des composants plus puissants, tant du côté du processeur ARM que du Wi-Fi qui passe au 6E. Pour la majorité des usages, cela ne fera pas une différence énorme, mais ce n’est pas beaucoup plus cher non plus. Et si vous voulez le meilleur de ce qu’Amazon propose, le Fire TV Cube est actuellement à 110 € au lieu de 160. On abandonne alors le format clé HDMI au profit, vous l’aurez deviné, d’un cube, ce qui permet notamment de bénéficier d’une prise Ethernet en plus du Wi-Fi 6E.
Image Amazon.
C’est aussi une enceinte Alexa complète, avec haut-parleurs et microphones intégrés, et ses composants sont les meilleurs de la gamme actuelle. Cela reste nettement moins cher que l’Apple TV, actuellement affichée avec une toute petite promo à 160 € au lieu de 169.
Vous cherchez une solution pour accéder à vos services de streaming favoris sur un téléviseur, sans compter sur le système d’exploitation de l’écran et sans trop dépenser ? Les promotions du Black Friday permettent de faire de bonnes affaires sur les Fire TV d’Amazon, des clés HDMI qui offrent grosso modo les mêmes fonctions que l’Apple TV, pour une fraction du prix. La preuve, la Fire TV Stick 4K Select est sortie récemment et elle est déjà en promo à 20 € au lieu de 55, une réduction de pas moins de 64 % !
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Pour ce prix, vous aurez un appareil capable de diffuser une vidéo 4K HDR10+ et du son multicanal, la base pour les téléviseurs récents. Elle se connecte au réseau local en Wi-Fi et propose tous les grands services de streaming : Netflix, Disney+, Canal+, Apple TV ou encore Prime Video, évidemment. Sous le capot, c’est le nouveau système d’exploitation Vega OS qui tourne, même si cela ne se voit pas nécessairement.
Dans son test, mon collègue Pierre regrettait la fermeture associée à ce choix qui permet surtout à Amazon de ne plus dépendre de Google comme sur les autres modèles. Mais il jugeait le produit à son prix de base, on sera moins exigeant à 20 € et c’est une bonne option si vous cherchez un équipement pour un téléviseur secondaire.
Si c’est pour votre téléviseur principal, mieux vaut dépenser à peine plus pour acheter la Fire TV Stick 4K, actuellement en promotion à 30 € au lieu de 70. Pour 10 € de plus, on revient à Android et on gagne surtout les codecs Dolby Vision pour la vidéo HDR et Dolby Atmos pour le son immersif, qui sont souvent les seuls proposés par les services de streaming. On peut aussi compter sur du Wi-Fi 6 plus rapide, même si c’est sans doute moins significatif.
Si vous voulez vraiment dépenser plus, la Fire TV Stick 4K Max est à 47 € au lieu de 80, avec en échange des composants plus puissants, tant du côté du processeur ARM que du Wi-Fi qui passe au 6E. Pour la majorité des usages, cela ne fera pas une différence énorme, mais ce n’est pas beaucoup plus cher non plus. Et si vous voulez le meilleur de ce qu’Amazon propose, le Fire TV Cube est actuellement à 110 € au lieu de 160. On abandonne alors le format clé HDMI au profit, vous l’aurez deviné, d’un cube, ce qui permet notamment de bénéficier d’une prise Ethernet en plus du Wi-Fi 6E.
Image Amazon.
C’est aussi une enceinte Alexa complète, avec haut-parleurs et microphones intégrés, et ses composants sont les meilleurs de la gamme actuelle. Cela reste nettement moins cher que l’Apple TV, actuellement affichée avec une toute petite promo à 160 € au lieu de 169.
Dans le cadre du Black Friday, Adobe offre un accès gratuit d’un an à Photoshop… mais ce n’est pas aussi excitant que l’on aimerait. Il ne s’agit pas de la version complète du célèbre éditeur d’images, celle que l’on peut installer sur son Mac ou PC sous Windows. C’est en réalité la variante allégée pour tourner dans un navigateur web qui est concernée et encore, uniquement pour les utilisateurs de Chrome. En effet, c’est un partenariat entre Adobe et Google et l’idée est d’obtenir un an d’accès à Photoshop Web à condition d’installer l’extension Chrome dédiée.
Photoshop Web en action dans Chrome, activé gratuitement pendant un an sur mon compte Adobe. Image MacGeneration.
J’ai testé de mon côté et en effet, après avoir installé l’extension dans Chrome, j’ai bien eu accès à un abonnement gratuit d’un an. Précisons qu’un compte Adobe est indispensable ; j’en avais déjà un et j’aurais pu en créer un pour l’occasion si c’était nécessaire. Pas besoin en revanche de saisir un moyen de paiement, c’est le gros avantage : vous pouvez tester pendant 12 mois sans payer et avec l’assurance de ne pas être facturé automatiquement par la suite. Adobe espère vous convaincre dans l’intervalle, bien entendu, mais pour autant que je puisse en juger, c’est un essai réellement gratuit qui est proposé.
Reste qu’il s’agit uniquement de la version web de Photoshop, pas du logiciel complet. Selon les besoins, cela pourra suffire et j’étais étonné en testant rapidement la webapp de constater qu’elle est plus proche que je l’imaginais du « vrai » Photoshop. On retrouve vite ses marques grâce aux raccourcis clavier qui fonctionnent encore et le côté web ne gêne pas forcément, d’autant que cela fait bien longtemps que l’app d’Adobe a son propre univers graphique. Les outils de base pour recadrer, modifier la colorimétrie et retoucher les images sont bien là, tout comme ceux qui sont basés sur l’IA générative. Il lui manque toutefois de nombreuses fonctionnalités avancées : il n’y a rien pour dessiner ou gérer des vecteurs, il manque les filtres les plus complexes… bref, cela reste une app allégée.
Les professionnels feront mieux de se tourner vers l’app complète et le Black Friday est l’occasion de bénéficier de réductions intéressantes. L’abonnement d’un an au Creative Cloud Photographie, qui comprend Photoshop et Lightroom, est ainsi vendu moitié prix, soit 105 € la première année. D’autres offres sont également à tarif réduit, comme nous l’avions détaillé dans cet article.
Si vos besoins sont plus légers, Photoshop Web peut faire l’affaire et le service a l’avantage de tourner dans tous les navigateurs web, y compris sous Linux. Je l’ai vérifié d’ailleurs : s’il faut passer par Chrome pour activer l’abonnement gratuit d’un an, je peux ensuite l’utiliser sans problème dans Safari. L’offre sera proposée jusqu’au 8 décembre 2025 et il ne semble pas y avoir d’autres conditions, même si j’imagine qu’elle est réservée aux personnes qui n’ont pas encore accès à la webapp.
Dans le cadre du Black Friday, Adobe offre un accès gratuit d’un an à Photoshop… mais ce n’est pas aussi excitant que l’on aimerait. Il ne s’agit pas de la version complète du célèbre éditeur d’images, celle que l’on peut installer sur son Mac ou PC sous Windows. C’est en réalité la variante allégée pour tourner dans un navigateur web qui est concernée et encore, uniquement pour les utilisateurs de Chrome. En effet, c’est un partenariat entre Adobe et Google et l’idée est d’obtenir un an d’accès à Photoshop Web à condition d’installer l’extension Chrome dédiée.
Photoshop Web en action dans Chrome, activé gratuitement pendant un an sur mon compte Adobe. Image MacGeneration.
J’ai testé de mon côté et en effet, après avoir installé l’extension dans Chrome, j’ai bien eu accès à un abonnement gratuit d’un an. Précisons qu’un compte Adobe est indispensable ; j’en avais déjà un et j’aurais pu en créer un pour l’occasion si c’était nécessaire. Pas besoin en revanche de saisir un moyen de paiement, c’est le gros avantage : vous pouvez tester pendant 12 mois sans payer et avec l’assurance de ne pas être facturé automatiquement par la suite. Adobe espère vous convaincre dans l’intervalle, bien entendu, mais pour autant que je puisse en juger, c’est un essai réellement gratuit qui est proposé.
Reste qu’il s’agit uniquement de la version web de Photoshop, pas du logiciel complet. Selon les besoins, cela pourra suffire et j’étais étonné en testant rapidement la webapp de constater qu’elle est plus proche que je l’imaginais du « vrai » Photoshop. On retrouve vite ses marques grâce aux raccourcis clavier qui fonctionnent encore et le côté web ne gêne pas forcément, d’autant que cela fait bien longtemps que l’app d’Adobe a son propre univers graphique. Les outils de base pour recadrer, modifier la colorimétrie et retoucher les images sont bien là, tout comme ceux qui sont basés sur l’IA générative. Il lui manque toutefois de nombreuses fonctionnalités avancées : il n’y a rien pour dessiner ou gérer des vecteurs, il manque les filtres les plus complexes… bref, cela reste une app allégée.
Les professionnels feront mieux de se tourner vers l’app complète et le Black Friday est l’occasion de bénéficier de réductions intéressantes. L’abonnement d’un an au Creative Cloud Photographie, qui comprend Photoshop et Lightroom, est ainsi vendu moitié prix, soit 105 € la première année. D’autres offres sont également à tarif réduit, comme nous l’avions détaillé dans cet article.
Si vos besoins sont plus légers, Photoshop Web peut faire l’affaire et le service a l’avantage de tourner dans tous les navigateurs web, y compris sous Linux. Je l’ai vérifié d’ailleurs : s’il faut passer par Chrome pour activer l’abonnement gratuit d’un an, je peux ensuite l’utiliser sans problème dans Safari. L’offre sera proposée jusqu’au 8 décembre 2025 et il ne semble pas y avoir d’autres conditions, même si j’imagine qu’elle est réservée aux personnes qui n’ont pas encore accès à la webapp.
Même si ce n’est pas vraiment la saison pour penser à une installation solaire, le Black Friday qui se déroule toute la semaine est la bonne occasion pour s’équiper à prix réduit. Que vous cherchiez à acheter quelques panneaux solaires pour les installer sur un balcon ou dans le jardin ou que vous vouliez lisser votre consommation grâce à des batteries domestiques, voici les meilleures offres du moment.
La Solarbank 2 AC d’Anker. Image iGeneration.
Panneaux solaires
Pour bien commencer avec le solaire, le mieux reste d’acheter un panneau prêt à l’emploi qui vient se brancher sur une prise de votre logement. Il commencera à produire dès que le soleil passe l’horizon et alimentera dans la foulée vos équipements grâce au micro-onduleur fourni avec. J’ai testé le produit de Beem, un panneau solaire de 500 W qui est vendu en ce moment à 365 € au lieu de 429. Après un an et demi, il fonctionne toujours aussi bien, le support intégré est solide et je n’ai pour le moment aucune critique à formuler, surtout à ce prix vraiment bas sur le marché.
D’autres fabricants français ont des propositions similaires, comme Sunology qui réduit le prix de son kit PLAY2 avec une puissance similaire (460 Wc) de 100 €, soit 499 € au lieu de 599. Sa gamme permet aussi d’ajouter un petit peu de tampon avec la Play Max qui intègre une petite batterie et qui est vendue 599 € au lieu de 699.
On paie naturellement un petit peu plus cher pour le support fourni et déjà monté, ainsi que pour le boîtier sur la prise qui sert à mesurer la production et transmettre les données à une app maison. Cette intégration est toutefois un avantage précieux pour bien commencer. Si vous débutez, rappelons qu’il y a des règles à respecter en France, vous trouverez tous les détails dans cet article.
Le problème des panneaux solaires branchés directement sur le réseau électrique du logement, c’est que si vous ne consommez pas l’électricité produite à un moment donné, elle sera « perdue ». Pour être plus exacte, elle sera renvoyée sur le réseau public et consommée par vos voisins, mais ce n’est pas l’idéal pour rentabiliser un tel équipement. C’est pourquoi l’étape suivante consiste à ajouter des batteries domestiques qui vont stocker le surplus solaire typiquement en journée, pour les injecter dans le logement quand le soleil s’est couché, en soirée par exemple.
Une Solarbank 2 AC au-dessus de trois batteries supplémentaires, pour un stockage total de 6,4 kWh. Image iGeneration.
Anker dispose de toute une gamme de produits dans cette catégorie avec les appareils SOLIX que je teste également depuis plus d’un an. La Solarbank 2 AC est capable de gérer plusieurs panneaux et aussi de se recharger depuis le logement, ce qui est intéressant en hiver pour stocker de l’énergie pendant les heures creuses et limiter sa consommation pendant les heures pleines. Cette batterie de 1,6 kWh est actuellement vendue 899 € au lieu de 1 299 et vous pouvez la compléter avec des modules supplémentaires pour augmenter le stockage de 1,6 kWh à chaque fois. Comptez 699 € au lieu de 899 pour une batterie additionnelle, sachant que vous pouvez ajouter jusqu’à cinq modules pour un total de 9,6 kWh.
Anker a renouvelé depuis sa gamme avec les Solarbank 3 qui stockent plus d’énergie et améliorent la formule sur quelques autres points. Cette nouvelle génération est aussi en promotion, à 1 099 € au lieu de 1 299 pour l’unité de base qui intègre 2,68 kWh de batterie et 799 € au lieu de 899 pour les modules additionnels de même capacité. Quel que soit le modèle choisi, vous aurez besoin d’un compteur intelligent Anker pour savoir combien consomme votre logement et gérer finement l’énergie produite et injectée. Comptez 109,65 € au lieu de 129 pendant le Black Friday, même s’il sera parfois offert (c’est notamment le cas en ce moment avec la Solarbank 3).
Zendure est un fabricant spécialisé avec le même concept et ses produits SolarFlow sont également en promotion en ce moment. Chez Amazon, le kit avec le module de base Hyper 2000, une batterie de 1,9 kWh et quatre panneaux solaires pour un total de 1 720 W de production solaire théorique est vendu 911 € au lieu de 1 359 et c’est un bon moyen d’avoir une solution presque complète, il ne vous manquera plus qu’un compteur connecté et cela tombe bien, le Pro EM-50 de Shelly est lui aussi en promo, à 60 € au lieu de 89. J’utilise ces produits depuis environ un an, sans connexion solaire, mais tout fonctionne également très bien.
Sur son site, le fabricant a de nombreuses autres offres en promotion, dont ses produits de dernière génération, les Solarflow 2400. Leur grand avantage est de gérer une puissance de charge et décharge bien plus élevée, jusqu’à 2,4 kW dans les deux sens, ce qui peut couvrir des appareils qui consomment beaucoup comme du chauffage en hiver. Comptez 1 199 € au lieu de 1 798 pour un kit de base avec 2,88 kWh de stockage, 2 038 € au lieu de 2 997 pour un kit avec un module supplémentaire et 5,76 kWh de stockage ou même 5 394 € au lieu de 7 793 pour un stockage monstre de 17,28 kWh. De quoi couvrir les besoins quotidiens d’une bonne partie des logements.
L’Hyper 2000 sur une pile de quatre batteries Zendure. Image iGeneration.
Pour finir, Ecoflow a une gamme de batteries de stockage domestique et elles sont également en promotion. Comptez 713 € au lieu de 899 pour la Stream AC Pro, un module de base avec 1,92 kWh de stockage et une capacité de 1,2 kW dans les deux sens. Plusieurs kits sont également proposés selon les besoins, sachant que vous pouvez cumuler plusieurs éléments et les gérer ensemble dans l’app du fabricant. Pour les plus gros besoins, Ecoflow commercialise aussi la Stream Ultra qui améliore la puissance (2,8 kW en entrées solaires, 2,3 kW en sortie) et la capacité de base (3,84 kWh) et qui est vendue 1 399 € au lieu de 1 499. On pourra aussi ajouter quatre panneaux solaires pour un total de 2 000 W environ : comptez alors 1 969 € au lieu de 2 279.
Même si ce n’est pas vraiment la saison pour penser à une installation solaire, le Black Friday qui se déroule toute la semaine est la bonne occasion pour s’équiper à prix réduit. Que vous cherchiez à acheter quelques panneaux solaires pour les installer sur un balcon ou dans le jardin ou que vous vouliez lisser votre consommation grâce à des batteries domestiques, voici les meilleures offres du moment.
La Solarbank 2 AC d’Anker. Image iGeneration.
Panneaux solaires
Pour bien commencer avec le solaire, le mieux reste d’acheter un panneau prêt à l’emploi qui vient se brancher sur une prise de votre logement. Il commencera à produire dès que le soleil passe l’horizon et alimentera dans la foulée vos équipements grâce au micro-onduleur fourni avec. J’ai testé le produit de Beem, un panneau solaire de 500 W qui est vendu en ce moment à 365 € au lieu de 429. Après un an et demi, il fonctionne toujours aussi bien, le support intégré est solide et je n’ai pour le moment aucune critique à formuler, surtout à ce prix vraiment bas sur le marché.
D’autres fabricants français ont des propositions similaires, comme Sunology qui réduit le prix de son kit PLAY2 avec une puissance similaire (460 Wc) de 100 €, soit 499 € au lieu de 599. Sa gamme permet aussi d’ajouter un petit peu de tampon avec la Play Max qui intègre une petite batterie et qui est vendue 599 € au lieu de 699.
On paie naturellement un petit peu plus cher pour le support fourni et déjà monté, ainsi que pour le boîtier sur la prise qui sert à mesurer la production et transmettre les données à une app maison. Cette intégration est toutefois un avantage précieux pour bien commencer. Si vous débutez, rappelons qu’il y a des règles à respecter en France, vous trouverez tous les détails dans cet article.
Le problème des panneaux solaires branchés directement sur le réseau électrique du logement, c’est que si vous ne consommez pas l’électricité produite à un moment donné, elle sera « perdue ». Pour être plus exacte, elle sera renvoyée sur le réseau public et consommée par vos voisins, mais ce n’est pas l’idéal pour rentabiliser un tel équipement. C’est pourquoi l’étape suivante consiste à ajouter des batteries domestiques qui vont stocker le surplus solaire typiquement en journée, pour les injecter dans le logement quand le soleil s’est couché, en soirée par exemple.
Une Solarbank 2 AC au-dessus de trois batteries supplémentaires, pour un stockage total de 6,4 kWh. Image iGeneration.
Anker dispose de toute une gamme de produits dans cette catégorie avec les appareils SOLIX que je teste également depuis plus d’un an. La Solarbank 2 AC est capable de gérer plusieurs panneaux et aussi de se recharger depuis le logement, ce qui est intéressant en hiver pour stocker de l’énergie pendant les heures creuses et limiter sa consommation pendant les heures pleines. Cette batterie de 1,6 kWh est actuellement vendue 899 € au lieu de 1 299 et vous pouvez la compléter avec des modules supplémentaires pour augmenter le stockage de 1,6 kWh à chaque fois. Comptez 699 € au lieu de 899 pour une batterie additionnelle, sachant que vous pouvez ajouter jusqu’à cinq modules pour un total de 9,6 kWh.
Anker a renouvelé depuis sa gamme avec les Solarbank 3 qui stockent plus d’énergie et améliorent la formule sur quelques autres points. Cette nouvelle génération est aussi en promotion, à 1 099 € au lieu de 1 299 pour l’unité de base qui intègre 2,68 kWh de batterie et 799 € au lieu de 899 pour les modules additionnels de même capacité. Quel que soit le modèle choisi, vous aurez besoin d’un compteur intelligent Anker pour savoir combien consomme votre logement et gérer finement l’énergie produite et injectée. Comptez 109,65 € au lieu de 129 pendant le Black Friday, même s’il sera parfois offert (c’est notamment le cas en ce moment avec la Solarbank 3).
Zendure est un fabricant spécialisé avec le même concept et ses produits SolarFlow sont également en promotion en ce moment. Chez Amazon, le kit avec le module de base Hyper 2000, une batterie de 1,9 kWh et quatre panneaux solaires pour un total de 1 720 W de production solaire théorique est vendu 911 € au lieu de 1 359 et c’est un bon moyen d’avoir une solution presque complète, il ne vous manquera plus qu’un compteur connecté et cela tombe bien, le Pro EM-50 de Shelly est lui aussi en promo, à 60 € au lieu de 89. J’utilise ces produits depuis environ un an, sans connexion solaire, mais tout fonctionne également très bien.
Sur son site, le fabricant a de nombreuses autres offres en promotion, dont ses produits de dernière génération, les Solarflow 2400. Leur grand avantage est de gérer une puissance de charge et décharge bien plus élevée, jusqu’à 2,4 kW dans les deux sens, ce qui peut couvrir des appareils qui consomment beaucoup comme du chauffage en hiver. Comptez 1 199 € au lieu de 1 798 pour un kit de base avec 2,88 kWh de stockage, 2 038 € au lieu de 2 997 pour un kit avec un module supplémentaire et 5,76 kWh de stockage ou même 5 394 € au lieu de 7 793 pour un stockage monstre de 17,28 kWh. De quoi couvrir les besoins quotidiens d’une bonne partie des logements.
L’Hyper 2000 sur une pile de quatre batteries Zendure. Image iGeneration.
Pour finir, Ecoflow a une gamme de batteries de stockage domestique et elles sont également en promotion. Comptez 713 € au lieu de 899 pour la Stream AC Pro, un module de base avec 1,92 kWh de stockage et une capacité de 1,2 kW dans les deux sens. Plusieurs kits sont également proposés selon les besoins, sachant que vous pouvez cumuler plusieurs éléments et les gérer ensemble dans l’app du fabricant. Pour les plus gros besoins, Ecoflow commercialise aussi la Stream Ultra qui améliore la puissance (2,8 kW en entrées solaires, 2,3 kW en sortie) et la capacité de base (3,84 kWh) et qui est vendue 1 399 € au lieu de 1 499. On pourra aussi ajouter quatre panneaux solaires pour un total de 2 000 W environ : comptez alors 1 969 € au lieu de 2 279.