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Reçu aujourd’hui — 12 décembre 2025

Promos : les caméras de surveillance reviennent à leur prix du Black Friday

12 décembre 2025 à 11:00

On pensait l'avalanche du Black Friday terminée et les tarifs repartis à la hausse pour de bon, mais c’était sans compter sur la valse hésitante des étiquettes. Après une brève remontée post-événement, les prix de nombreuses références en domotique ont fait le yoyo pour revenir, à l'euro près, à leur niveau promotionnel de la semaine dernière. Si vous aviez raté le coche pour équiper votre logement, c’est une seconde chance inespérée (et sans doute temporaire) pour installer des caméras, qu’elles soient couplées à une sonnette ou à un projecteur.

Image iGeneration.

La sonnette vidéo Aqara joue les prolongations

Vous cherchez une sonnette vidéo capable de s’intégrer nativement à l'app Maison ? Celle d’Aqara reste indéniablement la meilleure option du marché et, contre toute attente, elle est revenue à son tarif plancher : 95 € au lieu des 130 € habituels. L'offre s'applique aussi bien à la version noire qu'à la grise. Pour ce prix, vous obtenez une sonnette hybride : elle s'alimente via votre ancienne installation filaire (12 ou 24V) ou via six piles AA pour du 100 % sans fil. Le carillon, à placer à l'intérieur, fait le pont avec votre Wi-Fi et assure la compatibilité HomeKit.

C’est d'ailleurs là tout l'intérêt : l’accessoire gère la vidéo sécurisée HomeKit (HKSV), stockant les flux directement sur les serveurs d’iCloud. Petit rappel technique : c'est pertinent surtout si vous la câblez, transformant la sonnette en véritable caméra de surveillance 24/7. Sur piles, il sera préférable de la configurer pour qu’elle se réveille uniquement quand on sonne à la porte.

Test de la sonnette vidéo G410 d’Aqara : toujours sur piles, mais avec un meilleur angle

Test de la sonnette vidéo G410 d’Aqara : toujours sur piles, mais avec un meilleur angle

Ce modèle enterre la génération précédente grâce à un capteur nettement plus performant. Aqara a aussi eu la bonne idée d'ajouter le protocole RTSP, ouvrant la porte aux enregistreurs réseau (NVR) ou à Home Assistant, à condition de l'alimenter électriquement. Bonus non négligeable : le carillon agit comme un hub Zigbee et même comme routeur de bordure Thread pour vos accessoires Matter.

Si la sonnette n’est pas encore compatible avec Matter, cela pourrait changer via une mise à jour 1.5, même si, soyons honnêtes, pour un utilisateur de l'écosystème Apple, la compatibilité HomeKit actuelle se suffit à elle-même.

Matter 1.5 fait enfin entrer les caméras dans la domotique standard

Matter 1.5 fait enfin entrer les caméras dans la domotique standard

Caméras d'intérieur : retour aux prix cassés

Pour l'intérieur, la Caméra E1 d’Aqara refait surface à un tarif très agressif : 41 € au lieu de 55. On retrouve ici son meilleur prix historique. Connectée en Wi-Fi et totalement intégrée à Maison, elle propose aussi un slot SD pour le stockage local ou le transfert vers un NAS. Le cloud du fabricant reste une option, mais on apprécie de ne pas y être forcé.

Image iGeneration

Son atout majeur reste sa motorisation 360° et son suivi de mouvement par IA locale. Attention toutefois, le pilotage de la caméra ne se fait que via l'app Aqara, Apple n'ayant pas prévu cela dans Maison. Le capteur 2K est solide, et c'est une solution que j'utilise personnellement pour surveiller un chat indécis qui change de spot toutes les heures.

Aqara E1, une nouvelle caméra HomeKit avec vue 360° moins chère que la G3

Aqara E1, une nouvelle caméra HomeKit avec vue 360° moins chère que la G3

Si la motorisation vous semble superflue, la récente G100 bénéficie elle aussi d'un retour de promo : 35 € au lieu de 40. Capteur 2K, petit projecteur pour la vision nocturne couleur, et certification IP65 qui permet, si besoin, de la mettre dehors. Comme sa grande sœur, elle gère le combo carte SD, NAS et RTSP.

Surveillance extérieure : la G5 redevient une bonne affaire

Transition toute trouvée vers l'extérieur : la caméra G5 d’Aqara est de nouveau en promotion. Si vous voulez du matériel fiable dans l'app Maison, c'est le modèle que Nicolas recommande actuellement. Les tarifs sont revenus à ceux du Black Friday : 135 € au lieu de 180 pour le modèle Wi-Fi (alim USB), et 150 € au lieu de 200 pour la version Ethernet, idéale si vous avez un switch PoE.

Image iGeneration

C’est le modèle filaire qui tourne chez moi depuis le début de l'année. Seul bémol relevé lors de mon test : l'absence d'infrarouges, compensée par un projecteur qui s'active au moindre mouvement, même dans le noir complet. Le capteur 4 mégapixels délivre une image très propre et la flexibilité est totale : HKSV, RTSP, microSD, cloud... rien ne manque.

Test de la caméra G5 Pro d’Aqara : une vidéosurveillance convaincante pour l’extérieur

Test de la caméra G5 Pro d’Aqara : une vidéosurveillance convaincante pour l’extérieur

Enfin, pour remplacer un luminaire extérieur existant (220V), l’Eve Outdoor Cam est affichée à 180 € au lieu de 245. On n'est pas tout à fait au plus bas historique, mais le prix a de nouveau chuté ces dernières heures. C'est une alternative sérieuse pour les puristes de HomeKit qui cherchent une solution 2-en-1 avec projecteur puissant.

Promos : les caméras de surveillance reviennent à leur prix du Black Friday

12 décembre 2025 à 11:00

On pensait l'avalanche du Black Friday terminée et les tarifs repartis à la hausse pour de bon, mais c’était sans compter sur la valse hésitante des étiquettes. Après une brève remontée post-événement, les prix de nombreuses références en domotique ont fait le yoyo pour revenir, à l'euro près, à leur niveau promotionnel de la semaine dernière. Si vous aviez raté le coche pour équiper votre logement, c’est une seconde chance inespérée (et sans doute temporaire) pour installer des caméras, qu’elles soient couplées à une sonnette ou à un projecteur.

Image iGeneration.

La sonnette vidéo Aqara joue les prolongations

Vous cherchez une sonnette vidéo capable de s’intégrer nativement à l'app Maison ? Celle d’Aqara reste indéniablement la meilleure option du marché et, contre toute attente, elle est revenue à son tarif plancher : 95 € au lieu des 130 € habituels. L'offre s'applique aussi bien à la version noire qu'à la grise. Pour ce prix, vous obtenez une sonnette hybride : elle s'alimente via votre ancienne installation filaire (12 ou 24V) ou via six piles AA pour du 100 % sans fil. Le carillon, à placer à l'intérieur, fait le pont avec votre Wi-Fi et assure la compatibilité HomeKit.

C’est d'ailleurs là tout l'intérêt : l’accessoire gère la vidéo sécurisée HomeKit (HKSV), stockant les flux directement sur les serveurs d’iCloud. Petit rappel technique : c'est pertinent surtout si vous la câblez, transformant la sonnette en véritable caméra de surveillance 24/7. Sur piles, il sera préférable de la configurer pour qu’elle se réveille uniquement quand on sonne à la porte.

Test de la sonnette vidéo G410 d’Aqara : toujours sur piles, mais avec un meilleur angle

Test de la sonnette vidéo G410 d’Aqara : toujours sur piles, mais avec un meilleur angle

Ce modèle enterre la génération précédente grâce à un capteur nettement plus performant. Aqara a aussi eu la bonne idée d'ajouter le protocole RTSP, ouvrant la porte aux enregistreurs réseau (NVR) ou à Home Assistant, à condition de l'alimenter électriquement. Bonus non négligeable : le carillon agit comme un hub Zigbee et même comme routeur de bordure Thread pour vos accessoires Matter.

Si la sonnette n’est pas encore compatible avec Matter, cela pourrait changer via une mise à jour 1.5, même si, soyons honnêtes, pour un utilisateur de l'écosystème Apple, la compatibilité HomeKit actuelle se suffit à elle-même.

Matter 1.5 fait enfin entrer les caméras dans la domotique standard

Matter 1.5 fait enfin entrer les caméras dans la domotique standard

Caméras d'intérieur : retour aux prix cassés

Pour l'intérieur, la Caméra E1 d’Aqara refait surface à un tarif très agressif : 41 € au lieu de 55. On retrouve ici son meilleur prix historique. Connectée en Wi-Fi et totalement intégrée à Maison, elle propose aussi un slot SD pour le stockage local ou le transfert vers un NAS. Le cloud du fabricant reste une option, mais on apprécie de ne pas y être forcé.

Image iGeneration

Son atout majeur reste sa motorisation 360° et son suivi de mouvement par IA locale. Attention toutefois, le pilotage de la caméra ne se fait que via l'app Aqara, Apple n'ayant pas prévu cela dans Maison. Le capteur 2K est solide, et c'est une solution que j'utilise personnellement pour surveiller un chat indécis qui change de spot toutes les heures.

Aqara E1, une nouvelle caméra HomeKit avec vue 360° moins chère que la G3

Aqara E1, une nouvelle caméra HomeKit avec vue 360° moins chère que la G3

Si la motorisation vous semble superflue, la récente G100 bénéficie elle aussi d'un retour de promo : 35 € au lieu de 40. Capteur 2K, petit projecteur pour la vision nocturne couleur, et certification IP65 qui permet, si besoin, de la mettre dehors. Comme sa grande sœur, elle gère le combo carte SD, NAS et RTSP.

Surveillance extérieure : la G5 redevient une bonne affaire

Transition toute trouvée vers l'extérieur : la caméra G5 d’Aqara est de nouveau en promotion. Si vous voulez du matériel fiable dans l'app Maison, c'est le modèle que Nicolas recommande actuellement. Les tarifs sont revenus à ceux du Black Friday : 135 € au lieu de 180 pour le modèle Wi-Fi (alim USB), et 150 € au lieu de 200 pour la version Ethernet, idéale si vous avez un switch PoE.

Image iGeneration

C’est le modèle filaire qui tourne chez moi depuis le début de l'année. Seul bémol relevé lors de mon test : l'absence d'infrarouges, compensée par un projecteur qui s'active au moindre mouvement, même dans le noir complet. Le capteur 4 mégapixels délivre une image très propre et la flexibilité est totale : HKSV, RTSP, microSD, cloud... rien ne manque.

Test de la caméra G5 Pro d’Aqara : une vidéosurveillance convaincante pour l’extérieur

Test de la caméra G5 Pro d’Aqara : une vidéosurveillance convaincante pour l’extérieur

Enfin, pour remplacer un luminaire extérieur existant (220V), l’Eve Outdoor Cam est affichée à 180 € au lieu de 245. On n'est pas tout à fait au plus bas historique, mais le prix a de nouveau chuté ces dernières heures. C'est une alternative sérieuse pour les puristes de HomeKit qui cherchent une solution 2-en-1 avec projecteur puissant.

Déstockage de bracelets Apple à partir de 15 € !

12 décembre 2025 à 09:22

C’est la période idéale pour étoffer sa collection de bracelets Apple Watch. C’est également une très bonne idée cadeau.

Quoi qu’il en soit, le site e-commerce Ploonk casse les prix sur un grand nombre de bracelets pour Apple Watch. Avant toute chose, précisons que les bracelets mis en avant sont présentés comme des Produis Apple d’origine. D’autre part, dans la réalité, les prix annoncés ci-dessous peuvent être minorés de 15 % supplémentaires si vous entrez le code XMAS15 lors de la commande.

Parmi les produits mis en avant, il y a un grand nombre de bracelets Boucle Unique. Entre les tailles, les modèles pour Apple Watch et les couleurs, les références sont très nombreuses. En fonction des générations, ces bracelets sont vendus soit 14,99 € ( ce qui correspond à une réduction de 35 € sur le prix public.) soit 19,99 € pour les modèles les plus récents.

Encore plus intéressant, Ploonk propose des bracelets Solo tressé pour Apple Watch pour 24,99 €. Là encore, vous disposez d’un large choix : couleurs, taille, dimension du cadran… Vous trouverez forcément votre bonheur et ferez des économies. Sur l’Apple Store, ces mêmes bracelets sont vendus 99 € !

Des bracelets pour l’Apple Watch Ultra à -50 %

Ploonk fait également de belles offres sur les bracelets pour Apple Watch Ultra. On trouve certains bracelets boucle Trail à 49,99 €, soit une remise de 50 % ! Autre bracelet phare de l’Apple Watch Ultra : le bracelet Alpine Loop proposé à 69,99 € au lieu de 99,99 €. Enfin, le bracelet Ocean est vendu 79,99 €, soit une remise de 30 €.

Parmi les autres modèles en promotions, on trouve :

Pour finir deux choses :

  • vous pouvez obtenir 15 % de réduction supplémentaire en saisissant le code XMAS15
  • si vous voulez consulter l’ensemble des bracelets Apple en promo, nous vous conseillons de consulter cette page !

Déstockage de bracelets Apple à partir de 15 € !

12 décembre 2025 à 09:22

C’est la période idéale pour étoffer sa collection de bracelets Apple Watch. C’est également une très bonne idée cadeau.

Quoi qu’il en soit, le site e-commerce Ploonk casse les prix sur un grand nombre de bracelets pour Apple Watch. Avant toute chose, précisons que les bracelets mis en avant sont présentés comme des Produis Apple d’origine. D’autre part, dans la réalité, les prix annoncés ci-dessous peuvent être minorés de 15 % supplémentaires si vous entrez le code XMAS15 lors de la commande.

Parmi les produits mis en avant, il y a un grand nombre de bracelets Boucle Unique. Entre les tailles, les modèles pour Apple Watch et les couleurs, les références sont très nombreuses. En fonction des générations, ces bracelets sont vendus soit 14,99 € ( ce qui correspond à une réduction de 35 € sur le prix public.) soit 19,99 € pour les modèles les plus récents.

Encore plus intéressant, Ploonk propose des bracelets Solo tressé pour Apple Watch pour 24,99 €. Là encore, vous disposez d’un large choix : couleurs, taille, dimension du cadran… Vous trouverez forcément votre bonheur et ferez des économies. Sur l’Apple Store, ces mêmes bracelets sont vendus 99 € !

Des bracelets pour l’Apple Watch Ultra à -50 %

Ploonk fait également de belles offres sur les bracelets pour Apple Watch Ultra. On trouve certains bracelets boucle Trail à 49,99 €, soit une remise de 50 % ! Autre bracelet phare de l’Apple Watch Ultra : le bracelet Alpine Loop proposé à 69,99 € au lieu de 99,99 €. Enfin, le bracelet Ocean est vendu 79,99 €, soit une remise de 30 €.

Parmi les autres modèles en promotions, on trouve :

Pour finir deux choses :

  • vous pouvez obtenir 15 % de réduction supplémentaire en saisissant le code XMAS15
  • si vous voulez consulter l’ensemble des bracelets Apple en promo, nous vous conseillons de consulter cette page !

NordVPN veut nettoyer vos courriels des liens malveillants

12 décembre 2025 à 08:39

Le VPN ne suffit plus. C’est du moins le message que semble vouloir faire passer NordVPN, qui continue d’étoffer sa « suite de sécurité » bien au-delà du simple tunnel chiffré. Le service vient d’ajouter une nouvelle corde à son arc : une protection contre le hameçonnage directement intégrée à votre navigateur.

Si vous avez l'habitude de consulter vos courriels via un webmail (Gmail, Outlook.com, etc.) sur macOS ou Windows, vous pourriez voir apparaître de nouveaux avertissements. Cette nouvelle fonctionnalité, qui s'inscrit dans le module Protection Anti-menaces Pro, se charge d'analyser à la volée les liens contenus dans vos messages.

L'idée est assez simple : couper l'herbe sous le pied aux campagnes de phishing qui jouent souvent sur l'urgence ou la curiosité. Concrètement, dès qu'un courriel est ouvert dans le navigateur, l'outil scanne les URL visibles. Si un lien pointe vers une destination connue pour héberger des malwares ou une page d'hameçonnage, NordVPN affiche une bannière d'alerte en haut du message et appose un bouclier rouge explicite à côté du lien incriminé.

Domininkas Virbickas, directeur produit chez NordVPN, présente cela comme une « couche de défense proactive » censée intervenir avant même le clic fatidique. C'est une approche qui n'est pas sans rappeler celle des extensions de sécurité ou des filtres natifs des navigateurs, mais intégrée ici dans l'écosystème de l'application.

Une analyse locale, ou presque

Qui dit analyse de courriels dit forcément inquiétude pour la vie privée. Sur ce point, l’éditeur lituanien se veut rassurant. L'outil a été conçu pour se concentrer uniquement sur les liens, sans analyser le contenu textuel de vos correspondances.

De plus, NordVPN assure que le processus est géré localement sur la machine de l'utilisateur « chaque fois que cela est possible ». Lorsque l'analyse nécessite une vérification côté serveur (pour consulter une base de réputation à jour), seules les métadonnées minimales du lien sont envoyées, promet l'entreprise.

Image : Nordvpn
Image : Nordvpn

Une protection réservée aux formules avancées

Attention toutefois, cette nouveauté n’est pas incluse dans l'offre de base. Comme souvent avec les ajouts récents (blocage de publicités, détection de malwares), la protection des courriels est réservée aux abonnés disposant du module Protection Anti-menaces Pro, ce qui implique généralement de souscrire aux formules « Avancé » (3,89 € par mois) ou « Ultime » (6,39 € par mois).

Il faut également noter une limitation technique d'importance : fonctionnant via le navigateur, cette protection ne vous sera d'aucun secours si vous utilisez un client mail natif comme Mail.app sur votre Mac ou Outlook sur PC. C'est une solution pensée pour le web, qui complète les outils existants mais ne remplace pas (encore ?) la vigilance de l'utilisateur. Si ce type de solutions est intéressante sur le papier, il serait grand temps qu’Apple se penche sur le sujet et renforce son arsenal de sécurité dans le domaine.

NordVPN veut nettoyer vos courriels des liens malveillants

12 décembre 2025 à 08:39

Le VPN ne suffit plus. C’est du moins le message que semble vouloir faire passer NordVPN, qui continue d’étoffer sa « suite de sécurité » bien au-delà du simple tunnel chiffré. Le service vient d’ajouter une nouvelle corde à son arc : une protection contre le hameçonnage directement intégrée à votre navigateur.

Si vous avez l'habitude de consulter vos courriels via un webmail (Gmail, Outlook.com, etc.) sur macOS ou Windows, vous pourriez voir apparaître de nouveaux avertissements. Cette nouvelle fonctionnalité, qui s'inscrit dans le module Protection Anti-menaces Pro, se charge d'analyser à la volée les liens contenus dans vos messages.

L'idée est assez simple : couper l'herbe sous le pied aux campagnes de phishing qui jouent souvent sur l'urgence ou la curiosité. Concrètement, dès qu'un courriel est ouvert dans le navigateur, l'outil scanne les URL visibles. Si un lien pointe vers une destination connue pour héberger des malwares ou une page d'hameçonnage, NordVPN affiche une bannière d'alerte en haut du message et appose un bouclier rouge explicite à côté du lien incriminé.

Domininkas Virbickas, directeur produit chez NordVPN, présente cela comme une « couche de défense proactive » censée intervenir avant même le clic fatidique. C'est une approche qui n'est pas sans rappeler celle des extensions de sécurité ou des filtres natifs des navigateurs, mais intégrée ici dans l'écosystème de l'application.

Une analyse locale, ou presque

Qui dit analyse de courriels dit forcément inquiétude pour la vie privée. Sur ce point, l’éditeur lituanien se veut rassurant. L'outil a été conçu pour se concentrer uniquement sur les liens, sans analyser le contenu textuel de vos correspondances.

De plus, NordVPN assure que le processus est géré localement sur la machine de l'utilisateur « chaque fois que cela est possible ». Lorsque l'analyse nécessite une vérification côté serveur (pour consulter une base de réputation à jour), seules les métadonnées minimales du lien sont envoyées, promet l'entreprise.

Image : Nordvpn
Image : Nordvpn

Une protection réservée aux formules avancées

Attention toutefois, cette nouveauté n’est pas incluse dans l'offre de base. Comme souvent avec les ajouts récents (blocage de publicités, détection de malwares), la protection des courriels est réservée aux abonnés disposant du module Protection Anti-menaces Pro, ce qui implique généralement de souscrire aux formules « Avancé » (3,89 € par mois) ou « Ultime » (6,39 € par mois).

Il faut également noter une limitation technique d'importance : fonctionnant via le navigateur, cette protection ne vous sera d'aucun secours si vous utilisez un client mail natif comme Mail.app sur votre Mac ou Outlook sur PC. C'est une solution pensée pour le web, qui complète les outils existants mais ne remplace pas (encore ?) la vigilance de l'utilisateur. Si ce type de solutions est intéressante sur le papier, il serait grand temps qu’Apple se penche sur le sujet et renforce son arsenal de sécurité dans le domaine.

Le Time célèbre les bâtisseurs de l’IA, Apple absente de la photo

12 décembre 2025 à 07:30

Qui allait bien pouvoir succéder à Donald Trump ? Le magazine Time a rendu son verdict ce jeudi. Après avoir couronné le président élu en 2024, l'hebdomadaire américain a choisi de ne pas distinguer un seul visage, mais un mouvement tout entier. Pour 2025, ce sont les « architectes de l’intelligence artificielle » qui raflent la mise.

Les huit visages de la révolution

Pour incarner cette distinction prestigieuse, le Time a sélectionné huit figures incontournables qui façonnent actuellement notre futur technologique. Ce n'est pas un classement, mais plutôt un tour de table des puissances actuelles de la Silicon Valley (et au-delà) :

  • Sam Altman (OpenAI) : le visage le plus public de l'IA générative.
  • Jensen Huang (Nvidia) : l'homme qui fournit les « pelles et les pioches » de cette ruée vers l'or avec ses puces graphiques.
  • Elon Musk (xAI) : le patron de Tesla et X, qui tente de rattraper le peloton avec Grok.
  • Mark Zuckerberg (Meta) : qui a investi des dizaines de milliards de dollars afin de batir une super intelligence.
  • Demis Hassabis (Google DeepMind) : le cerveau derrière les avancées de Google.
  • Dario Amodei (Anthropic) : le rival éthique d'OpenAI.
  • Lisa Su (AMD) : l'autre géante des semi-conducteurs.
  • Fei-Fei Li (Université Stanford) : seule universitaire du groupe, souvent surnommée la « marraine de l’IA ».

Un chantier à ciel ouvert

Pour illustrer ce choix, le magazine propose deux couvertures. La première, conceptuelle, montre les lettres « AI » enserrées dans des échafaudages, symbolisant une technologie encore en pleine construction.

Image : Time

La seconde est plus marquante : un photomontage mettant en scène ces huit personnalités assises sur une poutre métallique, suspendues au-dessus du vide. C’est une référence visuelle directe et assumée à la célèbre photographie de 1932, « Lunch atop a Skyscraper », montrant des ouvriers bâtissant le Rockefeller Center. Le message est limpide : ces dirigeants sont les ouvriers du XXIe siècle, en train de bâtir l'infrastructure sur laquelle reposera le monde de demain.

Charles Clyde Ebbets
Image : Time

Selon le Time, 2025 marque un point de bascule. C'est l'année où « tout le potentiel de l’intelligence artificielle s’est révélé au grand jour » et où le retour en arrière est devenu impossible. Ils sont récompensés pour avoir transformé le présent, redessiné le paysage de l'information et lancé l'un des plus grands projets d'infrastructure de tous les temps.

Apple n'est pas invitée à la fête

La liste est impressionnante, mais pour l'observateur averti, une absence saute aux yeux : celle de Tim Cook. Les dirigeants d’Apple pourront toujours se consoler en notant que d’autres grands groupes, comme Microsoft1 et Amazon, manquent aussi à l'appel.

Il faut reconnaître que le bilan 2025 d’Apple en matière d’IA n’est pas glorieux. La marque à la pomme s’est plus fait remarquer pour ses problèmes de personnel dans sa division IA et les déboires de Siri que pour les avancées d’Apple Intelligence.

Reste que la montée en puissance de l’IA ne fait que commencer et que le marathon est loin d’être fini. Si certains ont tendance à oublier Apple, ce n’est pas le cas de Sam Altman qui voit en Cupertino son principal rival. Car pour lui, la bataille ultime se jouera au niveau du matériel !

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple


  1. On rappellera que Microsoft entretient des liens très étroits avec OpenAI.  ↩︎

Le Time célèbre les bâtisseurs de l’IA, Apple absente de la photo

12 décembre 2025 à 07:30

Qui allait bien pouvoir succéder à Donald Trump ? Le magazine Time a rendu son verdict ce jeudi. Après avoir couronné le président élu en 2024, l'hebdomadaire américain a choisi de ne pas distinguer un seul visage, mais un mouvement tout entier. Pour 2025, ce sont les « architectes de l’intelligence artificielle » qui raflent la mise.

Les huit visages de la révolution

Pour incarner cette distinction prestigieuse, le Time a sélectionné huit figures incontournables qui façonnent actuellement notre futur technologique. Ce n'est pas un classement, mais plutôt un tour de table des puissances actuelles de la Silicon Valley (et au-delà) :

  • Sam Altman (OpenAI) : le visage le plus public de l'IA générative.
  • Jensen Huang (Nvidia) : l'homme qui fournit les « pelles et les pioches » de cette ruée vers l'or avec ses puces graphiques.
  • Elon Musk (xAI) : le patron de Tesla et X, qui tente de rattraper le peloton avec Grok.
  • Mark Zuckerberg (Meta) : qui a investi des dizaines de milliards de dollars afin de batir une super intelligence.
  • Demis Hassabis (Google DeepMind) : le cerveau derrière les avancées de Google.
  • Dario Amodei (Anthropic) : le rival éthique d'OpenAI.
  • Lisa Su (AMD) : l'autre géante des semi-conducteurs.
  • Fei-Fei Li (Université Stanford) : seule universitaire du groupe, souvent surnommée la « marraine de l’IA ».

Un chantier à ciel ouvert

Pour illustrer ce choix, le magazine propose deux couvertures. La première, conceptuelle, montre les lettres « AI » enserrées dans des échafaudages, symbolisant une technologie encore en pleine construction.

Image : Time

La seconde est plus marquante : un photomontage mettant en scène ces huit personnalités assises sur une poutre métallique, suspendues au-dessus du vide. C’est une référence visuelle directe et assumée à la célèbre photographie de 1932, « Lunch atop a Skyscraper », montrant des ouvriers bâtissant le Rockefeller Center. Le message est limpide : ces dirigeants sont les ouvriers du XXIe siècle, en train de bâtir l'infrastructure sur laquelle reposera le monde de demain.

Charles Clyde Ebbets
Image : Time

Selon le Time, 2025 marque un point de bascule. C'est l'année où « tout le potentiel de l’intelligence artificielle s’est révélé au grand jour » et où le retour en arrière est devenu impossible. Ils sont récompensés pour avoir transformé le présent, redessiné le paysage de l'information et lancé l'un des plus grands projets d'infrastructure de tous les temps.

Apple n'est pas invitée à la fête

La liste est impressionnante, mais pour l'observateur averti, une absence saute aux yeux : celle de Tim Cook. Les dirigeants d’Apple pourront toujours se consoler en notant que d’autres grands groupes, comme Microsoft1 et Amazon, manquent aussi à l'appel.

Il faut reconnaître que le bilan 2025 d’Apple en matière d’IA n’est pas glorieux. La marque à la pomme s’est plus fait remarquer pour ses problèmes de personnel dans sa division IA et les déboires de Siri que pour les avancées d’Apple Intelligence.

Reste que la montée en puissance de l’IA ne fait que commencer et que le marathon est loin d’être fini. Si certains ont tendance à oublier Apple, ce n’est pas le cas de Sam Altman qui voit en Cupertino son principal rival. Car pour lui, la bataille ultime se jouera au niveau du matériel !

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple


  1. On rappellera que Microsoft entretient des liens très étroits avec OpenAI.  ↩︎

Santé : le potentiel inexploité de l'Apple Watch se dévoile grâce à l'IA

12 décembre 2025 à 07:00

On pourrait croire que l'Apple Watch a atteint un plafond de verre. Avec ses capteurs d'oxygène, son ECG et ses notifications de rythme irrégulier, la montre d'Apple semble avoir fait le tour de la question. Pourtant, une nouvelle étude menée par des chercheurs du MIT et d'Empirical Health vient de prouver le contraire : le matériel actuel est capable de bien plus, à condition de savoir l'écouter. Mais attention, entre une réussite en laboratoire et une fonction activée sur votre poignet, le fossé reste immense.

C'est un refrain bien connu des habitués de la rumeur : on attend toujours le "prochain capteur miracle" (glycémie, tension) pour justifier l'achat d’une nouvelle Apple Watch. Et si la révolution n'était pas matérielle, mais algorithmique ?

C'est la thèse de l'étude JETS (Joint Embedding Time Series), présentée récemment à la conférence NeurIPS. En analysant 3 millions de jours de données d'Apple Watch, les chercheurs ont réussi à prédire des pathologies complexes sans ajouter le moindre composant électronique à la montre.

L’IA pour combler les trous

Le problème des montres connectées, c'est l'irrégularité. Batterie vide, montre oubliée sur la table de nuit... les données sont pleines de "trous". Pour les combler, les chercheurs ont adapté une architecture d'IA chère à Yann LeCun (Meta), appelée JEPA.

L'idée est géniale de simplicité : au lieu d'essayer de "deviner" la fréquence cardiaque exacte à un moment où vous ne portiez pas la montre, le modèle essaie de comprendre le contexte physiologique global grâce aux données environnantes (sommeil, activité précédente). Le modèle apprend à "parler" le langage du corps humain avant même d'essayer de poser un diagnostic.

Des résultats surprenants : du cœur... aux substances

Une fois entraîné, le modèle JETS a été testé sur sa capacité à détecter des conditions médicales. Les scores sont impressionnants :

  • 86,8 % pour l'hypertension artérielle ;

  • 81 % pour le syndrome de fatigue chronique ;

  • 86,8 % pour la dysfonction sinusale;

  • 91 % pour l'abus d'opioïdes;

  • L'étude va même plus loin en explorant des territoires que l'on pensait hors de portée d'un simple capteur au poignet. Le modèle a montré des capacités de détection pour des conditions systémiques complexes comme le Covid long.

Pourquoi ce n'est pas pour demain matin

Si ces chiffres (80-86 %) semblent excellents, il faut garder la tête froide. C'est ici que la différence entre "recherche académique" et "produit Apple" se joue.

Les chercheurs utilisent une métrique appelée AUROC (Area Under the Receiver Operating Characteristic). Pour faire simple, c'est une note qui dit : "Si je prends une personne malade et une personne saine, est-ce que l'IA arrive à classer la malade 'plus haut' que la saine ?". Avec 86 %, la réponse est "souvent oui".

Mais dans la vraie vie, ce n'est pas suffisant pour une mise en production. Imaginez une maladie qui touche 1 % de la population. Si l'algorithme se trompe "juste un peu", il va inonder des millions d'utilisateurs sains de fausses alertes anxiogènes. Pour une étude, un faux positif est une statistique. Pour Apple, c'est un client paniqué aux urgences pour rien, et un potentiel procès.

C'est toute la difficulté de la médecine prédictive grand public : il ne suffit pas d'avoir "plutôt raison". Il faut une spécificité quasi parfaite pour ne pas transformer l'Apple Watch en générateur d'hypocondrie.

Cette étude est une preuve de concept fascinante. Elle montre que nos montres actuelles sont sous-exploitées et que des mises à jour logicielles pourraient théoriquement débloquer des fonctions de santé avancées. Mais ne retenez pas votre souffle : entre un papier de recherche au MIT et une keynote de Tim Cook annonçant la détection du Covid long, il y a encore des années de validation clinique et de régulation.

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

12 décembre 2025 à 06:30

Décidément, Macworld est tombé sur une mine d’or. Le site américain enchaîne les révélations sur les futurs produits Apple, donnant un aperçu alléchant de la feuille de route du constructeur. Après les AirTags 2, le HomePod mini 2, l’iPad 2026 et le prochain Studio Display, voilà que la publication dévoile de nouvelles informations sur le très attendu Home Hub, cet appareil qui est un croisement entre l’iPad et le HomePod.

Apple travaillerait sur un hub domotique intelligent qui miserait largement sur la nouvelle version, bien plus puissante, de Siri attendue l'année prochaine. Cet appareil fait l'objet de rumeurs récurrentes depuis plus de deux ans, mais une fuite récente et détaillée dans le code d’iOS 26 vient apporter un éclairage nouveau et confirmer l'essentiel des attentes.

HomePod mini 2 et AirTag 2 dans le code d’iOS 26, avec un aperçu des nouveautés

HomePod mini 2 et AirTag 2 dans le code d’iOS 26, avec un aperçu des nouveautés

A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?

A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

Un centre de commande dopé à l’IA et à Face ID

Le point le plus parlant concerne l’identification. Le HomePad embarquerait une caméra, limitée à du 1080p, et surtout Face ID. Pas seulement pour déverrouiller l’appareil, mais aussi pour reconnaître la personne dans la pièce. 

Dans la foulée, Apple préparerait une bascule automatique de profil : en clair, l’écran et les réponses s’adapteraient à la personne qui interagit avec l’appareil, avec des outils internes déjà utilisés pour mesurer la fiabilité du système.

Autre confirmation logique : le HomePad miserait sur Apple Intelligence et le nouveau Siri. Et si le calendrier se vérifie, l’appareil arriverait au moment où l’assistant d’Apple serait prêt, via iOS 26.4, avec une fenêtre évoquée autour de mars ou avril.

Côté matériel, les rumeurs décrivent un écran carré d’environ sept pouces, accompagné d’un socle haut-parleur optionnel. L’image qui se dessine est assez claire : un petit écran domestique, posé sur un meuble, plus « présent » qu’un iPad qu’on trimballe, mais plus interactif qu’un HomePod.

Amazon Echo Hub. Image Amazon

J229 : un accessoire mystérieux qui sent la caméra de sécurité

Macworld dit aussi avoir repéré un second produit, identifié comme J229. Cette fois, il ne s’agirait pas d’un appareil autonome, mais d’un accessoire doté de plusieurs capteurs, capable de détecter des sons d’alarme et de capturer des images. Difficile de ne pas y voir une pièce d’un futur kit de sécurité domestique, possiblement une caméra conçue pour compléter le HomePad. 

Un timing qui colle avec la fin du « hub iPad »

Petit détail qui rend l’ensemble encore plus crédible : Apple a repoussé, mais maintient, la fin du support de l’iPad comme hub principal de la maison connectée, avec une échéance fixée au 10 février 2026. Autrement dit, pile le genre de vide produit qu’un HomePad pourrait venir combler au printemps. 

Apple repousse la fin de l’ancienne architecture HomeKit à février 2026

Apple repousse la fin de l’ancienne architecture HomeKit à février 2026

Santé : le potentiel inexploité de l'Apple Watch se dévoile grâce à l'IA

12 décembre 2025 à 07:00

On pourrait croire que l'Apple Watch a atteint un plafond de verre. Avec ses capteurs d'oxygène, son ECG et ses notifications de rythme irrégulier, la montre d'Apple semble avoir fait le tour de la question. Pourtant, une nouvelle étude menée par des chercheurs du MIT et d'Empirical Health vient de prouver le contraire : le matériel actuel est capable de bien plus, à condition de savoir l'écouter. Mais attention, entre une réussite en laboratoire et une fonction activée sur votre poignet, le fossé reste immense.

C'est un refrain bien connu des habitués de la rumeur : on attend toujours le "prochain capteur miracle" (glycémie, tension) pour justifier l'achat d’une nouvelle Apple Watch. Et si la révolution n'était pas matérielle, mais algorithmique ?

C'est la thèse de l'étude JETS (Joint Embedding Time Series), présentée récemment à la conférence NeurIPS. En analysant 3 millions de jours de données d'Apple Watch, les chercheurs ont réussi à prédire des pathologies complexes sans ajouter le moindre composant électronique à la montre.

L’IA pour combler les trous

Le problème des montres connectées, c'est l'irrégularité. Batterie vide, montre oubliée sur la table de nuit... les données sont pleines de "trous". Pour les combler, les chercheurs ont adapté une architecture d'IA chère à Yann LeCun (Meta), appelée JEPA.

L'idée est géniale de simplicité : au lieu d'essayer de "deviner" la fréquence cardiaque exacte à un moment où vous ne portiez pas la montre, le modèle essaie de comprendre le contexte physiologique global grâce aux données environnantes (sommeil, activité précédente). Le modèle apprend à "parler" le langage du corps humain avant même d'essayer de poser un diagnostic.

Des résultats surprenants : du cœur... aux substances

Une fois entraîné, le modèle JETS a été testé sur sa capacité à détecter des conditions médicales. Les scores sont impressionnants :

  • 86,8 % pour l'hypertension artérielle ;

  • 81 % pour le syndrome de fatigue chronique ;

  • 86,8 % pour la dysfonction sinusale;

  • 91 % pour l'abus d'opioïdes;

  • L'étude va même plus loin en explorant des territoires que l'on pensait hors de portée d'un simple capteur au poignet. Le modèle a montré des capacités de détection pour des conditions systémiques complexes comme le Covid long.

Pourquoi ce n'est pas pour demain matin

Si ces chiffres (80-86 %) semblent excellents, il faut garder la tête froide. C'est ici que la différence entre "recherche académique" et "produit Apple" se joue.

Les chercheurs utilisent une métrique appelée AUROC (Area Under the Receiver Operating Characteristic). Pour faire simple, c'est une note qui dit : "Si je prends une personne malade et une personne saine, est-ce que l'IA arrive à classer la malade 'plus haut' que la saine ?". Avec 86 %, la réponse est "souvent oui".

Mais dans la vraie vie, ce n'est pas suffisant pour une mise en production. Imaginez une maladie qui touche 1 % de la population. Si l'algorithme se trompe "juste un peu", il va inonder des millions d'utilisateurs sains de fausses alertes anxiogènes. Pour une étude, un faux positif est une statistique. Pour Apple, c'est un client paniqué aux urgences pour rien, et un potentiel procès.

C'est toute la difficulté de la médecine prédictive grand public : il ne suffit pas d'avoir "plutôt raison". Il faut une spécificité quasi parfaite pour ne pas transformer l'Apple Watch en générateur d'hypocondrie.

Cette étude est une preuve de concept fascinante. Elle montre que nos montres actuelles sont sous-exploitées et que des mises à jour logicielles pourraient théoriquement débloquer des fonctions de santé avancées. Mais ne retenez pas votre souffle : entre un papier de recherche au MIT et une keynote de Tim Cook annonçant la détection du Covid long, il y a encore des années de validation clinique et de régulation.

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

12 décembre 2025 à 06:30

Décidément, Macworld est tombé sur une mine d’or. Le site américain enchaîne les révélations sur les futurs produits Apple, donnant un aperçu alléchant de la feuille de route du constructeur. Après les AirTags 2, le HomePod mini 2, l’iPad 2026 et le prochain Studio Display, voilà que la publication dévoile de nouvelles informations sur le très attendu Home Hub, cet appareil qui est un croisement entre l’iPad et le HomePod.

Apple travaillerait sur un hub domotique intelligent qui miserait largement sur la nouvelle version, bien plus puissante, de Siri attendue l'année prochaine. Cet appareil fait l'objet de rumeurs récurrentes depuis plus de deux ans, mais une fuite récente et détaillée dans le code d’iOS 26 vient apporter un éclairage nouveau et confirmer l'essentiel des attentes.

HomePod mini 2 et AirTag 2 dans le code d’iOS 26, avec un aperçu des nouveautés

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A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?

A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

Un centre de commande dopé à l’IA et à Face ID

Le point le plus parlant concerne l’identification. Le HomePad embarquerait une caméra, limitée à du 1080p, et surtout Face ID. Pas seulement pour déverrouiller l’appareil, mais aussi pour reconnaître la personne dans la pièce. 

Dans la foulée, Apple préparerait une bascule automatique de profil : en clair, l’écran et les réponses s’adapteraient à la personne qui interagit avec l’appareil, avec des outils internes déjà utilisés pour mesurer la fiabilité du système.

Autre confirmation logique : le HomePad miserait sur Apple Intelligence et le nouveau Siri. Et si le calendrier se vérifie, l’appareil arriverait au moment où l’assistant d’Apple serait prêt, via iOS 26.4, avec une fenêtre évoquée autour de mars ou avril.

Côté matériel, les rumeurs décrivent un écran carré d’environ sept pouces, accompagné d’un socle haut-parleur optionnel. L’image qui se dessine est assez claire : un petit écran domestique, posé sur un meuble, plus « présent » qu’un iPad qu’on trimballe, mais plus interactif qu’un HomePod.

Amazon Echo Hub. Image Amazon

J229 : un accessoire mystérieux qui sent la caméra de sécurité

Macworld dit aussi avoir repéré un second produit, identifié comme J229. Cette fois, il ne s’agirait pas d’un appareil autonome, mais d’un accessoire doté de plusieurs capteurs, capable de détecter des sons d’alarme et de capturer des images. Difficile de ne pas y voir une pièce d’un futur kit de sécurité domestique, possiblement une caméra conçue pour compléter le HomePad. 

Un timing qui colle avec la fin du « hub iPad »

Petit détail qui rend l’ensemble encore plus crédible : Apple a repoussé, mais maintient, la fin du support de l’iPad comme hub principal de la maison connectée, avec une échéance fixée au 10 février 2026. Autrement dit, pile le genre de vide produit qu’un HomePad pourrait venir combler au printemps. 

Apple repousse la fin de l’ancienne architecture HomeKit à février 2026

Apple repousse la fin de l’ancienne architecture HomeKit à février 2026

Reçu hier — 11 décembre 2025

Casques audio : la valse des étiquettes reprend de plus belle

11 décembre 2025 à 17:16

Si vous avez raté le coche du Black Friday, tout n'est pas perdu. Après une remontée mécanique des tarifs post-vendredi noir, les constructeurs jouent au yo-yo et proposent de nouveau des remises intéressantes sur une large sélection de casques.

C'est le moment de s'équiper si vous cherchez à isoler vos oreilles du bruit ambiant ou simplement à profiter d'une meilleure qualité sonore sans payer le prix fort (et souvent injustifié) du lancement. Tour d'horizon des meilleures offres du moment.

Anker : l'alternative abordable

Soundcore, la division audio d'Anker, continue de presser les prix vers le bas tout en offrant des fiches techniques solides.

Beats : l'écosystème Apple à prix doux

La filiale d'Apple propose des tarifs bien plus agressifs que sur l'Apple Store. L'intégration avec iOS est parfaite, sans pour autant fermer la porte à Android. Si les prix sont agressifs, ils le sont toutefois un poil moins que lors du Black Friday.

  • Beats Studio Pro : successeur spirituel du Studio 3, ce casque offre l'audio spatial et l'USB-C Lossless. Nous avions apprécié sa polyvalence lors de notre test. Il est proposé à 199 €, soit une réduction de 50 % !
  • Beats Solo 4 : Si l'absence de réduction de bruit active n'est pas rédhibitoire pour vous, ce modèle supra-auriculaire devient une excellente affaire à 120 € au lieu de 230 €. À ce tarif, ses défauts de jeunesse s'effacent largement.

Sony et Bose : les valeurs sûres

Du côté des références historiques de la réduction de bruit, les prix fondent également.

Sonos : l’outsider

Sonos Ace, le tout premier casque de Sonos, que nous avons testé en juin, bénéficie d'une belle remise. Le modèle blanc est toujours proposé à 299 €, soit une remise de 150 € sur le prix public. Le modèle noir est pour sa part en rupture de stock.

AirPods Max : des promos bien plus modestes

Il est certain que de nombreux utilisateurs aimeraient qu’Apple propose des rabais similaires sur les AirPods Max à ceux qu’elle propose sur des écouteurs Beats. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Le casque d’Apple est proposé au prix de 497,10 € sur Amazon, soit une ristourne de 81,90 €. On peut gratter quelques euros supplémentaires en commandant sur Amazon Italie, mais on est loin des 50 % de réductions proposés sur le Beats Studio Pro.

Casques audio : la valse des étiquettes reprend de plus belle

11 décembre 2025 à 17:16

Si vous avez raté le coche du Black Friday, tout n'est pas perdu. Après une remontée mécanique des tarifs post-vendredi noir, les constructeurs jouent au yo-yo et proposent de nouveau des remises intéressantes sur une large sélection de casques.

C'est le moment de s'équiper si vous cherchez à isoler vos oreilles du bruit ambiant ou simplement à profiter d'une meilleure qualité sonore sans payer le prix fort (et souvent injustifié) du lancement. Tour d'horizon des meilleures offres du moment.

Anker : l'alternative abordable

Soundcore, la division audio d'Anker, continue de presser les prix vers le bas tout en offrant des fiches techniques solides.

Beats : l'écosystème Apple à prix doux

La filiale d'Apple propose des tarifs bien plus agressifs que sur l'Apple Store. L'intégration avec iOS est parfaite, sans pour autant fermer la porte à Android. Si les prix sont agressifs, ils le sont toutefois un poil moins que lors du Black Friday.

  • Beats Studio Pro : successeur spirituel du Studio 3, ce casque offre l'audio spatial et l'USB-C Lossless. Nous avions apprécié sa polyvalence lors de notre test. Il est proposé à 199 €, soit une réduction de 50 % !
  • Beats Solo 4 : Si l'absence de réduction de bruit active n'est pas rédhibitoire pour vous, ce modèle supra-auriculaire devient une excellente affaire à 120 € au lieu de 230 €. À ce tarif, ses défauts de jeunesse s'effacent largement.

Sony et Bose : les valeurs sûres

Du côté des références historiques de la réduction de bruit, les prix fondent également.

Sonos : l’outsider

Sonos Ace, le tout premier casque de Sonos, que nous avons testé en juin, bénéficie d'une belle remise. Le modèle blanc est toujours proposé à 299 €, soit une remise de 150 € sur le prix public. Le modèle noir est pour sa part en rupture de stock.

AirPods Max : des promos bien plus modestes

Il est certain que de nombreux utilisateurs aimeraient qu’Apple propose des rabais similaires sur les AirPods Max à ceux qu’elle propose sur des écouteurs Beats. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Le casque d’Apple est proposé au prix de 497,10 € sur Amazon, soit une ristourne de 81,90 €. On peut gratter quelques euros supplémentaires en commandant sur Amazon Italie, mais on est loin des 50 % de réductions proposés sur le Beats Studio Pro.

Pas d'écran, mais de l'IA : voici à quoi pourraient ressembler les premières lunettes d'Apple

11 décembre 2025 à 07:10

Alors que Meta pavane avec le succès de ses Ray-Ban et que Google avance ses pions, le chantier des lunettes connectées bat son plein dans le plus grand secret à Cupertino. Si les regards étaient jusqu'ici braqués sur la réalité augmentée pure et dure, Apple semble avoir ajusté le tir par pragmatisme. Les derniers échos laissent entendre une présentation en fin d'année prochaine, pour une commercialisation qui ne devrait pas intervenir avant le courant de l'année 2027. Surtout, la philosophie du produit s'éloignerait du Vision Pro pour proposer un objet plus accessible. Alors à quoi ressemblerait ces fameuses Apple Glasses ?

Vision Pro, Apple Glass, visionOS : Apple prépare un virage stratégique majeur

Vision Pro, Apple Glass, visionOS : Apple prépare un virage stratégique majeur

Concept imaginé à l’aide d’une IA

Un virage vers l'audio et l'IA

Si l'on en croit les informations qui circulent, Apple aurait décidé de remettre à plus tard ses ambitions de lunettes à réalité augmentée (les fameuses « Apple Glass » avec affichage tête haute). Le produit en préparation serait dépourvu d'écran. À la place, la Pomme miserait tout sur l'intelligence artificielle et l'audio. L'idée n'est plus de superposer des éléments virtuels au monde réel, mais d'offrir une assistance contextuelle invisible.

C'est un changement de cap notable : le Vision Pro et visionOS ont posé les fondations du calcul spatial, mais ces lunettes emprunteraient une voie plus légère. Elles s'appuieraient massivement sur Apple Intelligence et une version dopée aux stéroïdes de Siri pour interagir avec l'utilisateur via des haut-parleurs intégrés aux branches, rendant l'usage des AirPods optionnel, bien que compatible.

Une Apple Watch pour le visage ?

Sous le capot, ou plutôt dans la monture, Apple compte réutiliser son savoir-faire en matière de miniaturisation. L'appareil embarquerait une puce dérivée de la série « S » que l'on trouve actuellement dans l'Apple Watch. Ce choix technique trahit la priorité absolue des ingénieurs : l'efficacité énergétique. Il s'agit de tenir une journée entière sans transformer la monture en radiateur.

La production des SoC des lunettes connectées d’Apple lancée fin 2027

La production des SoC des lunettes connectées d’Apple lancée fin 2027

Cette puce aura la lourde tâche de piloter une série de caméras et de capteurs. Contrairement aux premières Google Glass qui se contentaient de filmer, les caméras des lunettes d'Apple serviront de « yeux » à l'intelligence artificielle. Grâce à la Visual Intelligence — déjà aperçue sur les iPhone 16 —, l'utilisateur pourra interroger Siri sur ce qu'il regarde, obtenir des traductions à la volée ou identifier des objets, le tout sans sortir son téléphone.

Le cordon ombilical de l'iPhone

Fidèle à sa stratégie d'écosystème, Apple ne concevrait pas ces lunettes comme un produit autonome. À l'instar des premières générations d'Apple Watch, elles fonctionneraient en symbiose avec l'iPhone, qui se chargerait d'une partie du traitement des données les plus lourdes. Ce délestage permet d'alléger la monture tout en conservant une puissance de calcul confortable.

L'aspect santé, cher à Tim Cook, ne serait pas oublié. Bloomberg rapporte qu'Apple explore l'intégration de capteurs biométriques capables de suivre certains indicateurs de santé, bien que les détails restent encore flous à ce stade. Enfin, parce qu'il s'agit d'un objet que l'on porte sur le visage, la technologie devra s'effacer derrière le style. Apple prévoirait de lancer plusieurs designs et montures différents dès le premier jour, traitant ce périphérique autant comme un accessoire de mode que comme un gadget technologique.

Concept imaginé à l’aide d’une IA

Si le calendrier se confirme, Apple arrivera bien après la bataille, laissant à Meta le soin d'essuyer les plâtres et d'éduquer le marché. Une stratégie du « not first, but best » (pas le premier, mais le meilleur) qui a souvent réussi à la firme, à condition que l'intégration logicielle soit, comme promis, irréprochable.

Pas d'écran, mais de l'IA : voici à quoi pourraient ressembler les premières lunettes d'Apple

11 décembre 2025 à 07:10

Alors que Meta pavane avec le succès de ses Ray-Ban et que Google avance ses pions, le chantier des lunettes connectées bat son plein dans le plus grand secret à Cupertino. Si les regards étaient jusqu'ici braqués sur la réalité augmentée pure et dure, Apple semble avoir ajusté le tir par pragmatisme. Les derniers échos laissent entendre une présentation en fin d'année prochaine, pour une commercialisation qui ne devrait pas intervenir avant le courant de l'année 2027. Surtout, la philosophie du produit s'éloignerait du Vision Pro pour proposer un objet plus accessible. Alors à quoi ressembleraient ces fameuses Apple Glasses ?

Vision Pro, Apple Glass, visionOS : Apple prépare un virage stratégique majeur

Vision Pro, Apple Glass, visionOS : Apple prépare un virage stratégique majeur

Concept imaginé à l’aide d’une IA

Un virage vers l'audio et l'IA

Si l'on en croit les informations qui circulent, Apple aurait décidé de remettre à plus tard ses ambitions de lunettes à réalité augmentée (les fameuses « Apple Glass » avec affichage tête haute). Le produit en préparation serait dépourvu d'écran. À la place, la Pomme miserait tout sur l'intelligence artificielle et l'audio. L'idée n'est plus de superposer des éléments virtuels au monde réel, mais d'offrir une assistance contextuelle invisible.

C'est un changement de cap notable : le Vision Pro et visionOS ont posé les fondations du calcul spatial, mais ces lunettes emprunteraient une voie plus légère. Elles s'appuieraient massivement sur Apple Intelligence et une version dopée aux stéroïdes de Siri pour interagir avec l'utilisateur via des haut-parleurs intégrés aux branches, rendant l'usage des AirPods optionnel, bien que compatible.

Une Apple Watch pour le visage ?

Sous le capot, ou plutôt dans la monture, Apple compte réutiliser son savoir-faire en matière de miniaturisation. L'appareil embarquerait une puce dérivée de la série « S » que l'on trouve actuellement dans l'Apple Watch. Ce choix technique trahit la priorité absolue des ingénieurs : l'efficacité énergétique. Il s'agit de tenir une journée entière sans transformer la monture en radiateur.

La production des SoC des lunettes connectées d’Apple lancée fin 2027

La production des SoC des lunettes connectées d’Apple lancée fin 2027

Cette puce aura la lourde tâche de piloter une série de caméras et de capteurs. Contrairement aux premières Google Glass qui se contentaient de filmer, les caméras des lunettes d'Apple serviront de « yeux » à l'intelligence artificielle. Grâce à la Visual Intelligence — déjà aperçue sur les iPhone 16 —, l'utilisateur pourra interroger Siri sur ce qu'il regarde, obtenir des traductions à la volée ou identifier des objets, le tout sans sortir son téléphone.

Le cordon ombilical de l'iPhone

Fidèle à sa stratégie d'écosystème, Apple ne concevrait pas ces lunettes comme un produit autonome. À l'instar des premières générations d'Apple Watch, elles fonctionneraient en symbiose avec l'iPhone, qui se chargerait d'une partie du traitement des données les plus lourdes. Ce délestage permet d'alléger la monture tout en conservant une puissance de calcul confortable.

L'aspect santé, cher à Tim Cook, ne serait pas oublié. Bloomberg rapporte qu'Apple explore l'intégration de capteurs biométriques capables de suivre certains indicateurs de santé, bien que les détails restent encore flous à ce stade. Enfin, parce qu'il s'agit d'un objet que l'on porte sur le visage, la technologie devra s'effacer derrière le style. Apple prévoirait de lancer plusieurs designs et montures différents dès le premier jour, traitant ce périphérique autant comme un accessoire de mode que comme un gadget technologique.

Concept imaginé à l’aide d’une IA

Si le calendrier se confirme, Apple arrivera bien après la bataille, laissant à Meta le soin d'essuyer les plâtres et d'éduquer le marché. Une stratégie du « not first, but best » (pas le premier, mais le meilleur) qui a souvent réussi à la firme, à condition que l'intégration logicielle soit, comme promis, irréprochable.

Free tease l’arrivée de l’Apple Watch : c'est imminent !

11 décembre 2025 à 06:34

C’est une question de jours (voire peut-être d’heures) avant que Free ne prenne en charge (enfin) l’Apple Watch. Sur son compte X, l’opérateur a publié cette photo accompagnée de cette courte phrase :

Si je regarde mon tel c'est pas pour savoir l'heure...

Sur la table, un iPhone est mis en évidence. Rappelons que la prise en charge de l’Apple Watch ne se limite pas à « offrir » la connexion cellulaire à celle-ci. Apple impose à ses partenaires de proposer sa gamme de toquantes en boutique. Selon nos sources, l'arrivée de la montre dans les rayons de l'opérateur n'est plus qu'une question de jours.

Free Mobile sur le point de gérer l’Apple Watch

Free Mobile sur le point de gérer l’Apple Watch

À vrai dire, il ne demeure plus qu’une seule inconnue dans cette affaire. Free va-t-il s’attaquer à la question du prix ? Ses concurrents facturent cette option 5 € par mois. C’est peu et beaucoup à la fois. Il y a sans doute de quoi malmener la concurrence, comme aime le faire Xavier Niel. Autre question en suspens : aura-t-on droit à de la 4G comme chez SFR ou à la 5G comme chez Orange ? L’avenir nous le dira.

Quoi qu’il en soit, Xavier Niel semble bien parti pour respecter l'une de ses promesses. En janvier dernier, il espérait gérer l’Apple Watch « cette année ». Il est encore dans les temps !

Free Mobile : l’eSIM sur Apple Watch « espérée » en 2025 par Xavier Niel

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Free tease l’arrivée de l’Apple Watch : c'est imminent !

11 décembre 2025 à 06:34

C’est une question de jours (voire peut-être d’heures) avant que Free ne prenne en charge (enfin) l’Apple Watch. Sur son compte X, l’opérateur a publié cette photo accompagnée de cette courte phrase :

Si je regarde mon tel c'est pas pour savoir l'heure...

Sur la table, un iPhone est mis en évidence. Rappelons que la prise en charge de l’Apple Watch ne se limite pas à « offrir » la connexion cellulaire à celle-ci. Apple impose à ses partenaires de proposer sa gamme de toquantes en boutique. Selon nos sources, l'arrivée de la montre dans les rayons de l'opérateur n'est plus qu'une question de jours.

Free Mobile sur le point de gérer l’Apple Watch

Free Mobile sur le point de gérer l’Apple Watch

À vrai dire, il ne demeure plus qu’une seule inconnue dans cette affaire. Free va-t-il s’attaquer à la question du prix ? Ses concurrents facturent cette option 5 € par mois. C’est peu et beaucoup à la fois. Il y a sans doute de quoi malmener la concurrence, comme aime le faire Xavier Niel. Autre question en suspens : aura-t-on droit à de la 4G comme chez SFR ou à la 5G comme chez Orange ? L’avenir nous le dira.

Quoi qu’il en soit, Xavier Niel semble bien parti pour respecter l'une de ses promesses. En janvier dernier, il espérait gérer l’Apple Watch « cette année ». Il est encore dans les temps !

Free Mobile : l’eSIM sur Apple Watch « espérée » en 2025 par Xavier Niel

Free Mobile : l’eSIM sur Apple Watch « espérée » en 2025 par Xavier Niel

A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?

11 décembre 2025 à 06:06

Dans le portrait-robot du prochain iPad d'entrée de gamme que nous dressions en début de semaine, nous évoquions le fait qu’il devrait très probablement inclure une puce A18, suffisante pour lui ouvrir les portes d’Apple Intelligence. Des documents internes obtenus par Macworld laissent pourtant entendre que la prochaine tablette d’Apple pourrait faire un saut de puce bien plus important et embarquer un SoC A19. Ce qui serait pour le moins surprenant, sachant que ce moteur vient tout juste de faire ses débuts il y a quelques mois dans l’iPhone 17.

Qu’attendre de l’iPad 2026 ?

Qu’attendre de l’iPad 2026 ?

Une rupture avec l'historique de la gamme

Si cette information venait à se confirmer, elle marquerait une rupture nette avec la stratégie habituelle de Cupertino pour sa tablette la plus abordable. Pour mémoire, l'iPad d'entrée de gamme n'a pas bénéficié d'une puce de "l'année en cours" depuis l'iPad 4. À l'époque, Apple concevait encore des puces "AX" spécifiques pour ses ardoises.

Depuis l'iPad 5 en 2017 (équipé de l'A9 de l'iPhone 6s), Apple a systématiquement recyclé des puces accusant une ou deux générations de retard sur les iPhone les plus récents. L'actuel iPad 11, sorti en mars dernier, tourne sur une A16, une puce étrennée par l'iPhone 14 Pro en 2022. Voir débarquer une puce A19 — le nec plus ultra actuel — dans un appareil à vocation économique semble donc économiquement peu viable pour Apple. Une puce A18, comme le suggéraient de précédentes trouvailles dans le code d'iOS, semblerait bien plus logique pour un lancement en 2026.

Image : Apple

La valse des identifiants

L'autre point qui incite à la prudence concerne les identifiants de modèles cités par le rapport. Macworld mentionne les noms de code J581 et J588 pour cette 12e génération d'iPad. Or, Apple a pour habitude d'utiliser des identifiants séquentiels (comme J581 et J582 pour les versions Wi-Fi et Cellulaire).

De précédentes fuites associaient l'A19 à un nouvel iPad mini (noms de code J510 et J511). Il n'est pas impossible qu'il y ait ici une confusion entre les gammes ou qu'Apple ait revu sa copie à la dernière minute, mais la prudence reste de mise.

iPad Air M4 et puce N1 : la suite logique

Si la partie concernant le processeur de l'iPad 12 laisse sceptique, le reste du rapport s'inscrit davantage dans la logique du calendrier d'Apple. Le site évoque en effet l'arrivée d'une puce M4 dans le prochain iPad Air. L'iPad Pro étant passé à la vitesse supérieure avec la M5, il est naturel que l'Air récupère la génération précédente, maintenant ainsi la hiérarchie des performances.

Enfin, l'ensemble de la gamme 2026 devrait adopter la puce réseau maison N1. Déjà présente dans les iPhone de cette année, cette puce combinant Wi-Fi et Bluetooth offre une meilleure efficacité énergétique que les solutions tierces utilisées jusqu'alors.

iPhone 17 : la puce Apple N1 propulse les performances Wi-Fi

iPhone 17 : la puce Apple N1 propulse les performances Wi-Fi

Il faudra sans doute attendre le début de l'année 2026 pour démêler le vrai du faux et voir si Apple a réellement décidé de transformer son iPad premier prix en bête de course. Par ailleurs, Macworld, peu habitué à l’exercice des rumeurs, s'est également penché hier sur le cas du prochain Studio Display. Au programme : 120 Hz, HDR et une puce A19. A suivre…

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?

11 décembre 2025 à 06:06

Dans le portrait-robot du prochain iPad d'entrée de gamme que nous dressions en début de semaine, nous évoquions le fait qu’il devrait très probablement inclure une puce A18, suffisante pour lui ouvrir les portes d’Apple Intelligence. Des documents internes obtenus par Macworld laissent pourtant entendre que la prochaine tablette d’Apple pourrait faire un saut de puce bien plus important et embarquer un SoC A19. Ce qui serait pour le moins surprenant, sachant que ce moteur vient tout juste de faire ses débuts il y a quelques mois dans l’iPhone 17.

Qu’attendre de l’iPad 2026 ?

Qu’attendre de l’iPad 2026 ?

Une rupture avec l'historique de la gamme

Si cette information venait à se confirmer, elle marquerait une rupture nette avec la stratégie habituelle de Cupertino pour sa tablette la plus abordable. Pour mémoire, l'iPad d'entrée de gamme n'a pas bénéficié d'une puce de "l'année en cours" depuis l'iPad 4. À l'époque, Apple concevait encore des puces "AX" spécifiques pour ses ardoises.

Depuis l'iPad 5 en 2017 (équipé de l'A9 de l'iPhone 6s), Apple a systématiquement recyclé des puces accusant une ou deux générations de retard sur les iPhone les plus récents. L'actuel iPad 11, sorti en mars dernier, tourne sur une A16, une puce étrennée par l'iPhone 14 Pro en 2022. Voir débarquer une puce A19 — le nec plus ultra actuel — dans un appareil à vocation économique semble donc économiquement peu viable pour Apple. Une puce A18, comme le suggéraient de précédentes trouvailles dans le code d'iOS, semblerait bien plus logique pour un lancement en 2026.

Image : Apple

La valse des identifiants

L'autre point qui incite à la prudence concerne les identifiants de modèles cités par le rapport. Macworld mentionne les noms de code J581 et J588 pour cette 12e génération d'iPad. Or, Apple a pour habitude d'utiliser des identifiants séquentiels (comme J581 et J582 pour les versions Wi-Fi et Cellulaire).

De précédentes fuites associaient l'A19 à un nouvel iPad mini (noms de code J510 et J511). Il n'est pas impossible qu'il y ait ici une confusion entre les gammes ou qu'Apple ait revu sa copie à la dernière minute, mais la prudence reste de mise.

iPad Air M4 et puce N1 : la suite logique

Si la partie concernant le processeur de l'iPad 12 laisse sceptique, le reste du rapport s'inscrit davantage dans la logique du calendrier d'Apple. Le site évoque en effet l'arrivée d'une puce M4 dans le prochain iPad Air. L'iPad Pro étant passé à la vitesse supérieure avec la M5, il est naturel que l'Air récupère la génération précédente, maintenant ainsi la hiérarchie des performances.

Enfin, l'ensemble de la gamme 2026 devrait adopter la puce réseau maison N1. Déjà présente dans les iPhone de cette année, cette puce combinant Wi-Fi et Bluetooth offre une meilleure efficacité énergétique que les solutions tierces utilisées jusqu'alors.

iPhone 17 : la puce Apple N1 propulse les performances Wi-Fi

iPhone 17 : la puce Apple N1 propulse les performances Wi-Fi

Il faudra sans doute attendre le début de l'année 2026 pour démêler le vrai du faux et voir si Apple a réellement décidé de transformer son iPad premier prix en bête de course. Par ailleurs, Macworld, peu habitué à l’exercice des rumeurs, s'est également penché hier sur le cas du prochain Studio Display. Au programme : 120 Hz, HDR et une puce A19. A suivre…

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

Reçu avant avant-hier

Le détecteur de présence FP300 d’Aqara joue à cache-cache : de nouveau disponible, mais pour combien de temps ?

10 décembre 2025 à 16:48

C'est un vrai jeu du chat et de la souris. Après l'iPhone 17 et l'iPhone 17 Pro Max qui étaient tous deux difficiles à trouver jusqu'à la mi-novembre, le FP300 d'Aqara est sans doute le produit high-tech qui se fait le plus désirer en cette fin d'année. Il y a deux jours à peine, le produit était de nouveau en stock, avant de retomber en rupture au bout de quelques heures seulement.

Une disponibilité en pointillé

Victime de son succès lors de son lancement le mois dernier, le FP300 avait rapidement disparu des rayons, laissant bon nombre de personnes sur leur faim. Bonne nouvelle pour les retardataires (et les plus réactifs) : ce détecteur de présence nouvelle génération fait une timide réapparition.

Si vous aviez raté le coche en novembre ou lors du réassort éclair d'il y a deux jours, c’est le moment ou jamais. Le produit est affiché à son prix public de 49,99 €.

Une petite révolution sur piles

Pourquoi un tel engouement pour un simple capteur ? Pour rappel, le FP300 est une petite révolution dans le monde de la domotique grand public. C'est le tout premier accessoire à combiner la précision d'un radar à ondes millimétriques avec une alimentation sur piles (pour une autonomie annoncée d'un an).

Contrairement aux détecteurs de mouvements classiques (PIR) qui finissent par éteindre la lumière si vous restez immobile devant votre TV ou en lisant un livre, le FP300 détecte votre présence statique (via la respiration notamment) et maintient l'éclairage actif tant que vous êtes réellement dans la pièce.

Son autre atout majeur, c'est sa compatibilité Matter via Thread. Il s'intègre nativement dans l'app Maison d'Apple sans nécessiter le hub du constructeur, pour peu que vous disposiez d'un routeur de bordure comme un HomePod ou une Apple TV 4K. Comme nous l'avions noté dans notre test le mois dernier, c'est une excellente solution pour ceux qui veulent une détection fine dans des endroits dépourvus de prises électriques, comme un couloir ou des toilettes.

Test du FP300 d’Aqara, le premier détecteur de présence sur pile compatible avec Matter

Test du FP300 d’Aqara, le premier détecteur de présence sur pile compatible avec Matter

Vu la rapidité de la rupture de stock précédente, on ne saurait trop vous conseiller de ne pas traîner si ce produit vous intéresse pour compléter votre installation HomeKit. Amazon annonce désormais une livraison autour du 23 décembre.

Le détecteur de présence FP300 d’Aqara joue à cache-cache : de nouveau disponible, mais pour combien de temps ?

10 décembre 2025 à 16:48

C'est un vrai jeu du chat et de la souris. Après l'iPhone 17 et l'iPhone 17 Pro Max qui étaient tous deux difficiles à trouver jusqu'à la mi-novembre, le FP300 d'Aqara est sans doute le produit high-tech qui se fait le plus désirer en cette fin d'année. Il y a deux jours à peine, le produit était de nouveau en stock, avant de retomber en rupture au bout de quelques heures seulement.

Une disponibilité en pointillé

Victime de son succès lors de son lancement le mois dernier, le FP300 avait rapidement disparu des rayons, laissant bon nombre de personnes sur leur faim. Bonne nouvelle pour les retardataires (et les plus réactifs) : ce détecteur de présence nouvelle génération fait une timide réapparition.

Si vous aviez raté le coche en novembre ou lors du réassort éclair d'il y a deux jours, c’est le moment ou jamais. Le produit est affiché à son prix public de 49,99 €.

Une petite révolution sur piles

Pourquoi un tel engouement pour un simple capteur ? Pour rappel, le FP300 est une petite révolution dans le monde de la domotique grand public. C'est le tout premier accessoire à combiner la précision d'un radar à ondes millimétriques avec une alimentation sur piles (pour une autonomie annoncée d'un an).

Contrairement aux détecteurs de mouvements classiques (PIR) qui finissent par éteindre la lumière si vous restez immobile devant votre TV ou en lisant un livre, le FP300 détecte votre présence statique (via la respiration notamment) et maintient l'éclairage actif tant que vous êtes réellement dans la pièce.

Son autre atout majeur, c'est sa compatibilité Matter via Thread. Il s'intègre nativement dans l'app Maison d'Apple sans nécessiter le hub du constructeur, pour peu que vous disposiez d'un routeur de bordure comme un HomePod ou une Apple TV 4K. Comme nous l'avions noté dans notre test le mois dernier, c'est une excellente solution pour ceux qui veulent une détection fine dans des endroits dépourvus de prises électriques, comme un couloir ou des toilettes.

Test du FP300 d’Aqara, le premier détecteur de présence sur pile compatible avec Matter

Test du FP300 d’Aqara, le premier détecteur de présence sur pile compatible avec Matter

Vu la rapidité de la rupture de stock précédente, on ne saurait trop vous conseiller de ne pas traîner si ce produit vous intéresse pour compléter votre installation HomeKit. Amazon annonce désormais une livraison autour du 23 décembre.

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