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TEST Hirogami : Un petit bourrage de papier
La culture japonaise est de plus en plus représentée dans la sphère vidéoludique, à l’image d’Assassin’s Creed Shadows, de la série des Yakuza ou encore du prochain Ghost of Yotei. Mettant surtout en avant l’image du Japon à travers différentes époques, on en oublierait presque les petits détails qui en font toute sa richesse. Pour remédier à cela, Bandai Namco et GYAAR Studio ont décidé de nous proposer un plateformer plutôt original sur l’art du pliage de papier : l’origami. Une aventure joliment emballée, mais qui peine à nous offrir un voyage réellement palpitant.
Test réalisé sur PS5 à l’aide d’une copie envoyée par l’éditeur
Une histoire tenant sur… un bout de papier
Avec son esthétique centrée sur l’art du pliage pour donner vie à des figures et des animaux, Hirogami nous propose moins une grande fresque narrative qu’une expérience « cozy », tranquille, sans prise de tête. Cette orientation se ressent dans la trame principale, qui peut se résumer ainsi : le joueur incarne Hiro, un guerrier déchu au lourd passé, souhaitant se racheter en sauvant un village frappé par un étrange fléau. Malheureusement pour lui, tous les pouvoirs qui faisaient de lui un héros ont disparu. À nous de les retrouver dans ce monde de papier, tout en essayant de comprendre ce qui se cache derrière cette mystérieuse épidémie numérique. Le scénario n’est donc ni des plus palpitants, ni des plus complexes, mais cela permet à n’importe qui de suivre l’histoire – même les plus jeunes – sans se prendre la tête.

Pourtant, à travers ce récit léger, se dessinent des personnages assez attachants. Certains, comme un tatou ou même un gorille, vous offriront de nouvelles compétences bien utiles pour progresser. En plus de Hiro, un autre personnage accompagne notre protagoniste et joue le rôle d’interrogateur sur son passé. Un petit artifice qui évite d’oublier la raison pour laquelle notre héros a perdu ses capacités et pourquoi il semble douter de lui alors qu’un immense pouvoir lui est promis. Car oui, sans ces petites interventions, on en oublierait presque le « pourquoi » de l’histoire. Certaines zones d’ombre subsistent néanmoins : la présence d’une des armes les plus puissantes de l’univers ou encore notre lien particulier avec la divinité locale, la grue, restent inexpliqués.
Même si l’absence de profondeur scénaristique peut paraître dommage, elle découle sans doute de la volonté de faire de Hirogami un titre reposant. Une intention qui paraît toutefois un peu contradictoire lorsqu’on se confronte à son gameplay parfois lourd et pataud, le tout dans une perspective qui rappelle certains vieux classiques comme Crash Bandicoot.
Tout est une question de perspective
Avec une histoire assez simpliste, on s’attendrait presque à un gameplay qui suive cette logique. Pourtant, même si les mécaniques ne semblent pas complexes, Hirogami cache bien son jeu et peut vite devenir difficile pour celles et ceux ayant du mal à percevoir la profondeur. En effet, au-delà des contrôles respectant les bases d’un plateformer 3D – saut, double saut et attaque -, c’est surtout le choix d’une caméra fixe suivant le personnage qui marque. Une proposition intéressante, permettant aux développeurs de diriger notre regard exactement là où ils le souhaitent, avec des angles spécifiques selon les situations : plongée, contre-plongée, vue aérienne… L’idée fonctionne bien, notamment lors de petites cinématiques présentant le terrain ou encore à la résolution d’un niveau via l’activation d’un sanctuaire. Mais voilà, ce choix amène un premier hic : la maniabilité de Hiro.

En plus de vouloir déplacer cette caméra, notre premier réflexe reste d’appuyer sur toutes les touches, et indirectement celui du saut. Et c’est dès cette première action que l’on comprend que les phases de plateformes corsées risquent d’être compliquées. Hiro a, malheureusement, un saut lourd. Les sauts sont lents, n’offrent pas réellement la possibilité de se repositionner en l’air, ce qui rend chaque phase un peu technique, frustrante à certains moments. N’attendez pas non plus un dash salvateur pour corriger un mauvais calcul : Hiro ne possède que la faculté de se transformer en feuille de papier pour planer légèrement. En revanche, d’autres compétences viendront contrebalancer ces défauts, qu’il s’agisse de la vitesse ou du saut.
L’une des principales mécaniques de gameplay d’Hirogami repose sur son système de transformations. Origami oblige, Hiro peut se métamorphoser en trois animaux, chacun apportant une nouvelle manière de jouer : le tatou, capable de rouler et de briser des caisses ; la grenouille, qui saute plus haut tout en crachant de la salive ; et enfin le gorille, qui s’agrippe aux lianes et fracasse tout sur son passage. Comme dans l’art du pliage, il faudra maîtriser ces formes pour réussir les niveaux et s’extirper de situations parfois délicates. On regrettera cependant l’effet « patinoire » lors des changements de transformation, qui nous a fait rater plus d’un atterrissage.


Avec un nom aussi évocateur, le Fléau sera bien sûr notre principal ennemi, et il placera sur notre chemin de petites anomalies plus ou moins gênantes. Certaines sont inoffensives, d’autres agressives – fonçant sur nous ou tirant à distance -, tandis que d’autres encore prennent possession d’animaux et reprennent nos propres capacités. Mais pas de panique : en plus de ses transformations, Hiro dispose d’un éventail magique capable d’asséner de puissants coups une fois chargé. Les combats alternent entre arènes et zones ouvertes, sans jamais représenter une véritable difficulté dans les premiers chapitres. Encore une fois, votre principal adversaire ne sera pas les monstres… mais la caméra, qui vous empêchera de repérer certains ennemis bien cachés.
Avec une durée de vie d’environ cinq heures, réparties sur une dizaine de chapitres, Hirogami se laisse jouer, sans pour autant être une véritable claque en termes de prise en main. Mais ce serait oublier ses décors chatoyants et son habillage sonore, qui réussissent à apaiser après un saut raté.
De belles feuilles de Canson
Difficile de ne pas penser à Tearaway, sorti en novembre 2013 sur PlayStation 4. En effet, Hirogami pioche dans les idées de ce que Media Molecule proposait déjà, tout en se les appropriant pour offrir un monde de papier riche et convaincant. Ne vous attendez pas à y voir un bestiaire immense ni une distance d’affichage incroyable : Hirogami construit son univers sur une base simple de puzzles et de plateforming, enrichie de couleurs vives et d’une bande-son japonaise mettant à l’honneur les instruments traditionnels. Origami oblige, l’ensemble des décors est constitué de papier : rochers, arbres, champignons… tout y passe, sauf quelques effets de particules comme la lave ou l’eau. Le rendu visuel, agrémenté d’un effet de bokeh sur les arrière-plans, donne une agréable impression de miniaturisation.

Un choix esthétique est assumé jusqu’à la carte principale, qui fait office de hub à la manière d’un Mario, regroupant tous les chapitres. Hiro et ses compagnons y parcourent un livre posé sur une table, renforçant cette impression de maquette miniature. Parfois, ce sont de petites cinématiques qui mettent les décors en valeur, et d’autres fois des illustrations lors de la libération des boss du Fléau. Quant aux musiques, elles se révèlent agréables lorsqu’on tend l’oreille, mais restent assez oubliables en jeu. Dommage, car elles offrent de belles partitions pendant l’exploration. Au final, on retiendra une technique solide, sans bug visuel, servie par un effet « stop motion » plaisant, sans pour autant atteindre des sommets.
Verdict
Hirogami nous propose une histoire facile d’accès, un temps de jeu raisonnable et un univers visuellement agréable. Partant avec de solides arguments, le titre trébuche toutefois sur un gameplay rigide, que ce soit dans ses sauts lourds ou dans ses combats un peu fades. Mais le véritable point noir reste sa caméra fixe, qui impose parfois des angles de vue peu compréhensibles, en particulier lors de sauts complexes. Malgré cela, on se retrouve face à un univers de papier charmant et inventif. Sa simplicité de prise en main et sa clarté en font un jeu idéal à partager en famille, sans se prendre la tête. Proposé à un tarif accessible de 29,99 €, Hirogami sera disponible le 3 septembre 2025 sur PlayStation 5 et PC.
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Initialement prévu pour le 3 septembre, soit demain, StreumOn Studio a malheureusement décidé de décaler la sortie de DAIMON BLADES au 6 octobre. Si on a hâte de s’essayer à ce first person slasher en coop, on est presque content de ce report puisque, dans son post sur Bluesky, le studio français explique que suite aux playtests entamés après l’annonce à la Gamescom 2025, des problèmes liés au networking ont été identifiés. On apprécie leur volonté de lancer un jeu qui marche, plutôt qu’un truc tout cassé.
Rendez-vous donc le 6 octobre, et en attendant, vous pouvez ajouter DAIMON BLADES à votre liste de souhaits sur Steam.
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TEST Helldivers 2 : notre avis sur le jeu coop explosif pour sauver la démocractie, maintenant disponible sur Xbox Series X|S
Après un suivi remarquable depuis sa sortie en février 2024 sur PS5 et PC, Helldivers 2 arrive enfin sur Xbox Series X|S. La démocratie a besoin de vous et recrute désormais au-delà de ses sphères habituelles, avec une sortie sur la console de Microsoft. Hormis la série MLB The Show, il s’agit du premier jeu édité par Sony à paraître sur Xbox Series X|S — un événement notable dans l’industrie vidéoludique. Nous nous sommes relancés dans la guerre avec des amis et les sensations de jeu sont toujours au rendez-vous.
Test réalisé sur Xbox Series X grâce à une version numérique fournie par l’éditeur
Comme un air de Starship Troopers
La Direction des Ressources Humaines de la Fédération de la Super-Terre a du travail pour cette rentrée. Après des campagnes de recrutement massives destinées aux joueurs PS5 et PC, elle s’attelle désormais à un nouveau profil de joueur : ceux disposant d’une Xbox Series X|S. Comme d’habitude, une séance d’entraînement sera nécessaire en amont pour bien maîtriser les nombreuses possibilités de gameplay offertes par le jeu. Sprinter, sauter, se soigner, tirer, demander du soutien — qu’il soit matériel ou explosif — sont autant de commandes de base qui nécessitent de l’entraînement et plusieurs parties pour trouver le bon équilibre et disposer du bon équipement. Et quand tout cela est porté par un ton léger et un humour second degré appréciable, que demander de plus ?

Ayant eu l’occasion de jouer une dizaine d’heures sur la version PS5, nous pouvons confirmer qu’Arrowhead Game Studios a fourni un travail conséquent, avec de nombreuses mises à jour venues enrichir un contenu de base initialement critiqué. Les joueurs Xbox découvrent donc Helldivers 2 dans une version bien plus fournie en contenu, avec plus d’une dizaine de mises à jour déjà déployées. Il n’y a pas à dire : le contenu proposé aujourd’hui vaut largement les 39,99 € demandés pour acquérir le titre. À condition, bien sûr, d’y jouer avec des amis — sans quoi le jeu perd une grande partie de son intérêt (nous y reviendrons dans la prochaine sous-partie). Le titre n’est pas disponible à sa sortie dans le Xbox Game Pass et la case achat est donc indispensable, mais un abonnement au service en ligne de Microsoft sera obligatoire pour jouer avec d’autres joueurs en ligne.
On retrouve ainsi tous les contenus sortis depuis plus d’un an, ainsi que l’ensemble des cosmétiques des précédentes campagnes. Bien évidemment, tout cela doit être débloqué via de la monnaie virtuelle, récupérable en enchaînant les missions. Vendu comme un jeu-service, il est également possible d’investir de l’argent réel pour obtenir des crédits in-game. Si vous souhaitez débloquer les skins de vos rêves, il est clairement recommandé d’investir dans le jeu – à moins d’être prêt à enchaîner des dizaines et des dizaines de parties pour accumuler la monnaie nécessaire.
La coopération, la base d’une bonne relation
Comme évoqué précédemment, Helldivers 2 n’est pas un jeu PvP, mais bien un PvE à quatre joueurs. Bien qu’il soit possible d’y jouer en solo, le jeu n’est clairement pas conçu pour cela, et certaines missions seront extrêmement difficiles, voire impossibles, à accomplir seul. La communication est essentielle, et le chat in-game joue un rôle clé pour assurer une parfaite coordination entre les membres de l’équipe. Ici, il n’est pas question de guerre entre amis ou ennemis, mais bien d’esprit d’équipe et de coopération.
Il faudra donc collaborer avec des amis ou d’autres joueurs en ligne pour affronter les nombreuses menaces qui tenteront de freiner votre soif de défendre la Démocratie. Lors de la sortie du jeu, les objectifs et les ennemis manquaient de variété, ce qui donnait une impression de redondance. Mais après plus d’un an de mises à jour successives, le titre propose désormais un bestiaire étoffé : robots, insectes, tanks, drones volants… Autant de menaces qui exigent une bonne lecture de la situation et le choix judicieux des armes pour les vaincre efficacement.

Les objectifs, eux, restent relativement répétitifs : débloquer des codes d’accès sur deux sites, détruire une tour via un canon avant de fuir, défendre une zone ou saboter un élément clé de l’ennemi. Ce manque de renouvellement n’est pas rédhibitoire, car le gameplay compense largement par sa richesse. Parmi les éléments marquants : la perte des munitions restantes lors du rechargement, une endurance limitée, ou encore une jauge d’ennemis invisibles qui ajoutent une vraie tension. Pour faire face, vous disposerez d’un arsenal varié : armes primaires et secondaires, grenades, et de nombreux stratagèmes comme les frappes orbitales pour nettoyer la zone. Selon les objectifs, il est recommandé d’adapter votre build plutôt que de conserver le même équipement d’une mission à l’autre.
Le simple fait de jouer en équipe, avec une communication fluide et une ambiance épique, donne envie de relancer le jeu encore et encore. Attention toutefois : vos alliés peuvent vite devenir un poids si le tir allié est mal géré. Une frappe aérienne mal placée ou un ami qui se met devant vous au mauvais moment peut entraîner votre mort… et nécessiter une réapparition par l’un de vos coéquipiers.

Car dans Helldivers, le plaisir ne vient pas uniquement des objectifs, mais aussi de l’exploration minutieuse à la recherche de ressources et de munitions. Chaque combattant dispose de capacités spéciales, activées via une combinaison de touches. Sous pression, une mauvaise manipulation peut vous coûter cher. Et comme pour les capacités, la réapparition d’un coéquipier nécessite également une action manuelle de la part d’un allié.
Une version Xbox Series X passée au crible
Contrairement aux deux autres versions, la mouture Xbox Series X|S de Helldivers 2 est développée par Nixxes Software, une entreprise néerlandaise spécialisée dans les portages, rachetée par Sony en 2021. Connue pour ses adaptations sur PC – et désormais sur Xbox – Nixxes a récemment travaillé sur Ratchet & Clank: Rift Apart, Horizon Forbidden West: Complete Edition, The Last of Us Part II Remastered, Ghost of Tsushima: Director’s Cut, ainsi que les trois épisodes de Marvel’s Spider-Man. Chaque portage a été salué par la presse et les joueurs. Helldivers 2 ne fait pas exception, bien que des mises à jour d’optimisation soient encore attendues.

Sur Xbox Series X, deux modes graphiques sont proposés :
- Haute Performance : 1080p / 60 fps
- Qualité : 4K natif / 30 fps
Nous recommandons le mode Performance, bien qu’il souffre de ralentissements visibles, avec des pertes de 5 à 10 images par seconde lors de scènes visuellement chargées. À noter également : des effets de lumière et des textures légèrement moins aboutis que sur PS5, sans que la différence soit réellement gênante.
Bien entendu, on passe de la DualSense à la manette Xbox. Malgré l’absence des gâchettes adaptatives, les sensations de jeu restent excellentes, avec une prise en main réussie et des vibrations bien dosées. Comme mentionné précédemment, cette version Xbox prend en charge le cross-play avec les autres plateformes. Aucune création de compte intermédiaire n’est requise (pas d’association à un compte PlayStation), ce qui simplifie l’ajout d’amis via un système de code ami.

En revanche, cette absence de liaison avec un compte PlayStation empêche toute cross-progression. Vous recommencerez donc au niveau 1, et vos achats (skins, monnaie, etc.) réalisés sur d’autres supports ne seront pas transférés. Un point à considérer si vous êtes joueur PC et que vous envisagez de basculer vers la version Xbox. Enfin, les succès Xbox sont bien présents, avec des intitulés similaires à ceux des trophées PlayStation.
Verdict
Se replonger dans Helldivers 2 plus d’un an après sa sortie initiale est un véritable plaisir. Bien que le portage Xbox souffre encore de quelques problèmes de framerate, même en mode Qualité, on retrouve une expérience équivalente à celle proposée sur les autres plateformes. Il s’agit d’un TPS nerveux, où coopération et entente sont les maîtres-mots de la réussite. Indispensable pour un jeu principalement axé sur le multijoueur, le cross-play fonctionne parfaitement. En revanche, l’absence de cross-progression est regrettable : vous devrez recommencer depuis zéro, perdant ainsi tous vos achats in-game réalisés sur d’autres supports. En résumé, Helldivers 2 est un incontournable pour les joueurs Xbox, mais reste dispensable si vous avez déjà accumulé des dizaines d’heures de jeu sur une autre plateforme.

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