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NBA 2K26 : la date de sortie serait déjà connue avec une sortie confirmée sur Nintendo Switch 2
Selon la très fiable source Dealabs Magazine et son célèbre dénicheur de bons plans, billbil-kun, nous apprenons la date de sortie de NBA 2K26 — mais ce n’est pas tout ! En effet, une version Nintendo Switch 2 serait bien prévue dès le lancement, et cette nouvelle itération marquerait un tournant pour la franchise, puisque la PS4 et la Xbox One ne seraient pas concernées par ce nouvel épisode.
Petit coup de tonnerre ! Alors que les studios s’efforcent chaque année de proposer leurs titres phares sur PS4 et Xbox One, en plus des consoles de la génération actuelle, NBA 2K26 amorcerait un changement d’ère. En effet, le jeu ne serait pas disponible sur PS4 et Xbox One, si l’on en croit les informations de Dealabs Magazine. Mais ce n’est pas tout : la version Nintendo Switch 2 sortirait en même temps que les autres supports, tandis que la version actuelle de la Nintendo Switch resterait également d’actualité.
Toutes les éditions devraient être proposées au prix de 79,99 €, à l’exception de la version Nintendo Switch, qui serait vendue 69,99 €. Une date de sortie a également été évoquée : notez bien dans vos agendas le vendredi 5 septembre 2025.
En attendant, NBA 2K25 est toujours disponible sur PS5, Xbox Series X|S, PS4, Xbox One, Nintendo Switch et PC.
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Du changement pour le workshop de l’excellent Witchfire
Régulièrement, les développeurs du très bon Witchfire publient des posts sur leur site officiel, soit pour expliquer leurs méthodes de développement, soit pour détailler les futurs changements dans l’accès anticipé de leur jeu. Le 18 juin dernier, ils nous ont partagé quelques images d’une nouvelle région, The Blighted Town, qui devrait arriver avec la version 1.0, si l’on a bien compris. Mais l’information la plus importante de l’article concerne le workshop, l’endroit où l’on peut lancer des recherches pour débloquer des armes, de l’équipement et des sorts. Jusqu’à présent, c’était un peu de la loterie : on choisissait une entrée, comme les « armes légères » par exemple, et une fois la recherche terminée, on découvrait l’objet débloqué. Les développeurs expliquent qu’on pourra bientôt directement sélectionner l’élément que l’on veut obtenir. En effet, ils veulent redonner plus de contrôle au joueur, et enlever cet aspect « machine à sous », même si ça avait son intérêt ludique. Ils pensent que malgré tout, on aura envie de faire chacune des recherches pour tout expérimenter.

Même si cette modification peut sembler mineure, il s’avère finalement que ce nouveau système modifie sensiblement l’approche globale du jeu. Cela enlève un peu d’aléatoire qui n’était pas forcément apprécié par tout le monde. Cette décision nous montre que les devs de The Astronauts ne sont pas figés avec leurs systèmes, et que l’accès anticipé est un vrai moyen d’expérimenter des concepts et de les affiner. On ne cesse de le répéter, mais Witchfire est réellement exceptionnel, que ce soit en termes de sensations de jeu, de direction artistique ou d’optimisation, alors qu’il n’est même pas encore en version finale.
Si vous voulez plus de précisions sur ce Workshop 2.0, vous pouvez aller faire un tour sur l’article dédié du site officiel, en attendant une prochaine mise à jour, que l’équipe promet plus garnie en contenu.
Pour l’instant, la version 1.0 de Witchfire est prévue pour le début de l’année 2026. Mais vous pouvez déjà profiter de l’accès anticipé – sans doute le meilleur depuis 2023 – pour 40 € sur Steam ou Epic Games Store.
Votre super shotgun sera beau comme un camion avec la mise à jour de Doom: The Dark Ages
La semaine dernière, la nouvelle mise à jour de Doom: The Dark Ages a été déployée pour vous permettre de profiter du Path Tracing et du Benchmark mode. Ainsi, les plus fortunés d’entre vous peuvent profiter d’environnements et de cinématiques plus détaillés, avec une meilleure gestion des lumières via le Ray Reconstruction. Pour ce faire, Bethesda recommande une configuration dotée de la nouvelle génération GeForce RTX 5080 et RTX 5090, si vous espérez profiter du 1440p, voire de la 4K. Sinon, si vous faites partie des gueux incapables d’aller au-delà du 1080p, une GeForce RTX 4070 est requise à minima pour bénéficier de cette fonctionnalité. Pour en savoir davantage, vous pouvez consulter le billet de blog Steam.
À la rédac, on a testé tout à fond avec une RTX 4090, et la framegen x2 est obligatoire : sans, le GPU ne délivre qu’une moyenne de 50 FPS. Heureusement, avec le Reflex+Boost, c’est tout à fait jouable, même en cauchemar. Pensez tout de même à baisser un peu les options dans les niveaux les plus avancés, au cas où…
Conclusion, n’hésitez pas à investir dans une nouvelle carte graphique et à lire le test de notre expert Estyaah par la même occasion. Si vous n’avez toujours pas cédé à l’appel du massacre de démons à cause du prix trop infernal, sachez que notre partenaire Gamesplanet propose 10 % de réduction, soit la version normale à 72 € et l’édition premium à 99 €. Si ça vous intéresse, on vous encourage d’ailleurs à jeter un œil du côté de Gamesplanet US, il paraît que c’est encore moins cher. Le jeu est également disponible sur le Xbox Game Pass.
L’extraction shooter Active Matter pourrait ne pas être nul
La semaine dernière, l’influenceur tarx a partagé son retour sur les playtests d’Active Matter, un extraction shooter que l’on avait découvert en novembre 2024. La particularité du jeu, c’est qu’il propose un univers un peu inspiré de la fondation SCP, avec des anomalies gravitationnelles et des monstres éthérés. Côté gameplay, cela reprend le schéma classique du genre : on s’équipe dans sa base, on choisit des missions, puis on part en raid en solo ou en équipe. Il faudra ensuite survivre en récupérant des babioles et en tuant des IA ou des joueurs, puis s’extraire pour rentrer à la base.
Si rien ne semble très original, le YouTuber indique que les mécaniques fonctionnent très bien, et qu’il a particulièrement apprécié les échanges PvP. Il regrette cependant que les monstres soient de vraies éponges à balles, et que par conséquent, toute l’équipe passe 80 % du temps à repack leurs chargeurs, ce qui casse complètement le rythme. C’est assurément un gros point noir, mais facilement améliorable. On peut voir dans sa vidéo que la direction artistique a l’air plutôt réussie, et apparemment, les performances sont déjà très bonnes, chose assez rare dans un projet qui n’est pas encore en phase d’accès anticipé. L’influenceur trouve que la présence d’anomalies gravitationnelles apporte un peu de variété, et on doit avouer que c’est peut-être la seule chose qui attise notre curiosité.
Pour l’instant, Active Matter est annoncé pour 2025, sans plus de précision. Si vous n’êtes pas déjà lassé des extractions shooter, l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
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TEST Dune: Awakening – Les vers l’adorent
Et si Paul Atréides n’était jamais né ? C’est dans une chronologie alternative fidèle à l’univers de Frank Herbert que Dune: Awakening prend place. Sur le papier, c’est un MMO qui se déroule sur Arrakis avec ses dangers, ses terres arides et ses vers géants. Mais, dans les faits, c’est un peu plus complexe que cela. Découvrons ce qui se cache derrière ce plat très épicé.
Test réalisé sur PC grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur
Arrakis, nous voilà
Développé et édité par le studio norvégien Funcom, à qui l’on doit notamment un autre MMO très connu : Conan Exiles, Dune: Awakening avait été annoncé lors de la Gamescom 2022, soit quelques mois seulement après la sortie du film éponyme, acclamé par la critique et figurant parmi les succès du box-office de son époque. La période était idéale pour annoncer un jeu dans le même univers, profitant de l’engouement suscité par le film. L’aspect MMO pouvait toutefois surprendre de prime abord. En effet, proposer un MMO paraissait soit terriblement ambitieux – tant il est difficile de respecter les codes et le lore de l’univers (de nombreux scénaristes s’étant cassé les dents à tenter de l’adapter au cinéma) – soit terriblement décevant si le jeu n’en respectait rien. Avec Funcom aux commandes et fort de son expérience, nul doute que le studio trouverait un équilibre pour contenter tout le monde. Et c’est ce qu’il a fait.

Comme dans tout MMORPG, l’aventure débute par la création de personnage : simple et sans fioritures, l’outil couvre les bases essentielles sans pousser à l’excès les caractéristiques. On peut ainsi créer un avatar qui nous convient sans compromis, ni impression de travail bâclé. L’étape la plus marquante reste le choix du passé, allant de simple roturier à ancien noble, en passant par les enseignements reçus — vos compétences de départ, qui influenceront les dialogues et les options disponibles. Plus tard dans l’aventure, le joueur pourra débloquer d’autres compétences issues d’arbres différents, et ainsi façonner un personnage sur mesure, polyvalent, en combinant plusieurs spécialisations. Le choix du passé et de la classe ne fige donc pas le joueur, et c’est un très bon point. Les compétences s’améliorent auprès d’entraîneurs, avec une grande richesse de builds, notamment grâce aux cinq voies d’évolution : Planétologue, Bene Gesserit, Soldat, Maître d’armes, Mentat – chacune disposant de trois arbres distincts.

Dans Dune: Awakening, Arrakis est ravagée par la guerre entre les Atréides et les Harkonnen. C’est en tant qu’agent du Bene Gesserit que vous êtes envoyé sur cette planète désertique, avec pour mission de percer le mystère de la disparition des Fremen. Enfin, débarquer est un bien grand mot, puisque le vaisseau s’écrase en plein désert, forçant le joueur à entamer l’aventure sans équipement. Si cela a le mérite d’introduire les mécaniques de survie du jeu, les premières heures sont laborieuses. L’univers prend beaucoup (trop) de temps à s’installer, contraignant le joueur à assimiler les bases : établir un campement, fabriquer ses premiers équipements, fouiller les épaves, les usines et les stations de test (véritables petits donjons aux biomes variés), pour enfin construire ses premiers véhicules. Ce n’est qu’à l’issue de ce long tutoriel déguisé que le jeu révèle son véritable potentiel et c’est vraiment dommage puisque de nombreux joueurs, moins patients, pourraient dès le début du jeu laisser tomber tant les premières heures de jeu sont peu valorisantes.
Une fois ce cap franchi, le rythme s’accélère : le jeu pousse à collecter des matériaux rares, à fabriquer des armements puissants, des bases plus élaborées… pour enfin nous plonger dans le cœur narratif du jeu. Le joueur est alors confronté à des dilemmes moraux en pleine guerre entre les Atréides et les Harkonnen. Bien que l’histoire soit bien écrite et captivante, il est regrettable qu’elle ne se dévoile réellement que tardivement.
Techniquement, le jeu n’est pas très exigeant, car l’IA laisse grandement à désirer et les combats manquent de dynamisme. Le corps-à-corps est mou, les tirs sont prévisibles et les IA ne sont pas très malignes quand il s’agit de débusquer le joueur. Les combats contre des ennemis équipés de boucliers introduisent toutefois un brin de stratégie puisqu’il faut effectuer des tirs concentrés ou des attaques puissantes et lentes pour faire tomber les boucliers. Les phases de tir, quant à elles, sont bien plus convaincantes. Les compétences apportent un peu de profondeur aux combats puisqu’en fonction des choix du joueur, celui-ci peut bénéficier de véritables atouts tactiques : grenades gravitationnelles, leurre, mine, etc. Cependant, il n’est pas rare d’y laisser sa peau en cas de surnombre et d’erreur de calcul face à un adversaire trop puissant. En cas de mort, le joueur revient à la vie sans équipement. Pour le récupérer, il devra se rendre sur son cadavre pour le récupérer, mais attention ; les joueurs aussi pourront le piller. Le jeu permet de créer des balises de sauvegarde, un item qui peut être déposé un peu partout pour faciliter les retours au combat.

Contrairement à d’autres MMO, nous avons trouvé que les quêtes étaient très engageantes. Les quêtes de Dune : Awakening sont loin des quêtes dites Fedex que les jeux du genre ont parfois l’habitude de proposer, ici, pas besoin d’aller tuer une dizaine d’ennemis en boucle pour pouvoir avancer dans l’histoire, et c’est véritablement appréciable puisque nous n’avons pas l’impression de perdre notre temps.
Un RPG plus qu’un MMO
Si Dune : Awakening se différencie tellement d’un MMO classique dans sa proposition et dans sa structure narrative, c’est peut-être parce qu’il tient davantage du RPG que du MMO. Bien que le titre soit jouable en groupes pour faciliter l’exploration, les donjons ou la construction. Ne vous attendez pas à croiser des hordes de joueurs durant vos sessions. Exit les villes bondées et les quêtes surchargées : l’aspect communautaire reste discret, voire effacé. Le jeu possède certes une dimension sociale intéressante, mais les rencontres avec d’autres joueurs sont rares avant l’endgame. Justement baptisé le Désert Profond, et qui est une zone PVP réservée aux joueurs les plus aguerris. Dans les villes, il est également possible d’acheter et de vendre des marchandises suivant un système d’offre et de demande influencé par la négoce des autres joueurs. Les traces de vie les plus visibles sont souvent les vestiges des bases d’autres joueurs éparpillées sur le territoire.

Il s’agit par ailleurs d’une mécanique vitale à la survie : les bases protègent des tempêtes, de la déshydratation et du soleil. Elles servent aussi de centres de fabrication et de stockage : armes, armures, accessoires, véhicules… tout y est entreposé et partageable au sein d’un groupe. La construction est simple à maîtriser et très efficace. Comme dans d’autres jeux de survie modernes, elle prend en compte la stabilité structurelle, empêchant les constructions irréalistes et défiants la gravité. Le système reste néanmoins assez permissif dans l’aménagement des espaces, des accès et des entrepôts.
Sans oublier les blueprints, qui permettent d’enregistrer la forme d’une base pour la dupliquer à l’infini – très utile dans un désert en constante mutation. Le jeu pousse naturellement le joueur à bâtir, puis à abandonner ses bases en fonction de ses déplacements. Plus tard dans l’aventure, ces bases deviennent de véritables complexes avec héliports et centres de traitement de l’épice. Heureusement, un système de bouclier protège les structures des aléas. En cas d’abandon, le générateur cesse d’être alimenté et la base devient vulnérable à toutes sortes de menaces.
Une planète impitoyable
Arrakis est hostile. Très hostile. Insolation, soif, tempêtes, vers des sables, PvP… le joueur se sent réellement vulnérable et c’est une très bonne chose, surtout en début de partie. Là où d’autres MMO promettent un monde sans pitié qui finalement ressemble à s’y méprendre à celui des Bisounours, Dune: Awakening tient parole. Rester trop longtemps exposé au soleil augmente la jauge d’insolation, entraînant à terme la déshydratation. La nuit, les troupes veillent au grain et cherchent à abattre quiconque rôde. Sans oublier la probabilité d’être avalé par les vers. La tension est constante et nous avons trouvé cela très fidèle à l’univers d’origine.

Sur le plan visuel aussi, Dune: Awakening s’appuie sur une direction artistique cohérente avec l’œuvre de Herbert. Le désert, les abris, les villes et les formations rocheuses sont bien réalisés. Les jeux de lumière sont réussis et la bande-son est immersive, bien qu’elle manque de diversité, elle n’est pas sans rappeler le travail qui avait été effectué sur les films. Mention spéciale pour les séquences avec les vers lorsqu’ils sont à proximité ou qu’ils fondent sur un autre joueur.
Verdict
Si les premières heures de Dune: Awakening peuvent sembler laborieuses, elles laissent rapidement place à une expérience riche et immersive, mêlant exploration, survie et construction. Malgré quelques lacunes techniques et une IA perfectible, le jeu parvient à capturer l’âme d’Arrakis et la tension permanente qui y règne. Cependant, le titre tient davantage du RPG que du MMO dans son rythme et sa structure, ce qui pourrait en décontenancer certains. Dune: Awakening s’adresse avant tout aux joueurs patients, désireux de s’immerger dans un monde riche, cohérent, mais aussi très chronophage.
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