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Les jeux PlayStation Plus Extra / Premium annoncés pour juin 2025 avec le nouveau titre du studio derrière Alan Wake
Alors que les Days of Play 2025 viennent de s’achever, Sony enchaîne au niveau de sa communication en annonçant les sorties PlayStation Plus pour les abonnés Extra et Premium. En ce mois de juin 2025, on retiendra surtout l’arrivée du nouveau jeu multijoueur développé par Remedy Entertainment, le studio derrière Alan Wake, Max Payne et Control.
La mi-juin approche à grands pas et il est déjà l’heure pour PlayStation d’annoncer les jeux qui arriveront dans le catalogue Extra et Premium des abonnés au service PS Plus la semaine prochaine. Ainsi, on retrouvera notamment le jeu multijoueur FBC: Firebreak développé par Remedy Entertainment. FPS coopératif jouable jusqu’à trois joueurs, inutile de vous dire que cette production est très attendue par de nombreux fans du studio. Parmi les autres titres, on retiendra l’arrivée d’un JRPG sorti en fin d’année dernière mais également le dernier Battlefield en date.
Sans plus tarder, voici le calendrier complet des sorties PlayStation Plus pour ce mois de juin 2025 à destination des abonnés Extra & Premium :
La liste des jeux PlayStation Plus Extra & Premium de juin 2025
- Battlefield 2042 (PS5/PS4)
- Eiyuden Chronicle: Hundred Heroes (PS5/PS4)
- Endless Dungeon (PS5/PS4)
- FBC: Firebreak (PS5)
- Five Nights at Freddy’s: Help Wanted 2 (PS5)
- The Hunter: Call of the Wild (PS4)
- Train Sim World 5 (PS5/PS4)
- We Love Katamari Reroll + Royal Reverie (PS5/PS4)
La liste des jeux PlayStation Plus Premium & Classiques de juin 2025
- Deus Ex: The Conspiracy (PS5/PS4)
Et si vous ne savez toujours pas quelle offre PlayStation Plus est faite pour vous, nous avons justement un guide qui vous permettra de choisir l’abonnement PS Plus le plus approprié à vos envies et besoins.
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Hollow Knight: Silksong ajoute la PS4 et la Switch 2 dans sa dernière mise à jour de site
Comme toujours, Hollow Knight: Silksong fut absent des conférences de cette année mise à part une brève apparition lors de la présentation de l’Asus Rog de chez Xbox. Pour autant, le titre semble toujours devoir sortir cette année et la mise à jour récente du site internet semble confirmer cela. Fait intéressant, deux nouvelles icônes de consoles viennent s’ajouter pour le plus grand plaisir des fans.
Faisant partie des plus grandes arlésiennes du jeu vidéo, Hollow Knight: Silksong est le prochain jeu du studio Team Cherry à devoir sortir prochainement. Pour autant, le titre connait de nombreux reports sans forcément préciser de date ou encore donner des nouvelles à la communauté. Qu’à cela ne tienne, cette dernière reste très attentive à chacun des mouvements des développeurs, à tel point qu’une simple petite mise à jour sur le site internet du jeu n’est pas passée inaperçue.
En effet, le site internet de Hollow Knight: Silksong a reçu un changement au niveau des icônes de plate-forme où le titre sera jouable. Désormais, deux nouvelles icônes viennent s’ajouter à la liste de support déjà présente. L’icône de la Playstation fait son apparition, accompagnée de celle de la Nintendo Switch 2.
The official Silksong website has been updated to add the Switch 2 logo and PS4 logo for supported systems. This is the first update on the official site in years. pic.twitter.com/3Wnst8BRAB
— Primacon (@primacon_) June 10, 2025
Ajoutez à cela les récentes mises à jour de la page Steam ainsi que l’apparition du titre lors de la conférence Xbox Showcase de 2025, et vous obtenez l’un des jeux les plus attendus de cette année. Pour rappel, le directeur marketing Matthew Griffin a déclaré que le jeu viendrait un peu avant la saison des vacances, soit avant Noël, et non pas avec la sortie du ROG Xbox Ally comme beaucoup le pensaient.
Pour autant, nous n’avons pas encore de réelle date de sortie, mise à part que Hollow Knight: Silkson sortira en 2025 sur PlayStation 4, PlayStation 5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 1 et 2 ainsi que sur PC.
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TEST Date Everything! – un dating simulator aussi bizarre qu’attachant
Si vous n’avez toujours pas trouvé la perle rare du dating simulator, peut-être que Date Everything! est celui qu’il vous faut. Édité par Team17 et réalisé par la brillante société Sassy Chap Games, Date Everything!, ce nouveau simulateur de rencontres en mode bac à sable, vous plonge dans un univers coloré et déjanté avec près de 100 protagonistes hauts en couleur attendant d’être découverts. Mélangeant humour anglais, esthétique éclatante et sujets sensibles, Date Everything! ne se contente pas de proposer une histoire niaise : il est bien plus que ce qu’il semble être à la surface. Étant un genre parfois compliqué à appréhender, vaut-il vraiment le détour ?
Test réalisé sur Nintendo Switch grâce à une version numérique fournie par l’éditeur
Quand votre salon devient votre application de rencontres
Date Everything! commence de manière étonnamment sobre avec le début d’une journée de travail ordinaire au sein de Valdivian, en tant qu’employé au service après-vente. Malheureusement, cela ne se passe pas comme prévu, car dès le premier jour, nous sommes immédiatement licenciés, l’entreprise ayant décidé de remplacer sa main-d’œuvre par de l’intelligence artificielle. Heureusement pour nous, notre vie change immédiatement pour le mieux lorsqu’un mystérieux ami en ligne nous offre une paire de Dateviators, des lunettes magiques qui vont totalement changer la manière de voir notre environnement. En effet, ces dernières nous permettent de voir tout ce qui se trouve dans notre maison comme des Dateables, des objets à apparence humaine.
De manière plus concrète, tous les objets potentiels, Dateables, de votre maison peuvent désormais être des humains lorsque vous portez ces lunettes. Cependant, qui dit simulateurs de rencontres, dits des humains avec des sentiments, une personnalité et surtout une histoire. Des humains qui, bien sûr, peuvent mener à de l’amitié, de la romance ou de la haine. Toute l’attention de ce titre se focalise donc sur la rencontre de ce beau monde au sein même de votre propre intérieur.

Votre mission sera simple : explorez votre maison et rencontrez les 100 personnages qui s’y trouvent. 100 protagonistes au sein de votre maison, allant de votre canapé à votre téléphone, mais aussi à ce qu’il s’y trouve à l’intérieur ou vos cauchemars. Au fil du temps, vous pourriez développer une relation avec chacun d’eux. Et si vos échanges vont suffisamment loin, vous aurez même l’opportunité de les rendre humains de manière permanente et, par conséquent, de ne plus avoir besoin de lunettes. Cela implique aussi qu’ils puissent partir définitivement de votre foyer pour vivre pleinement leurs vies ou rester à vos côtés. Le tout dépendra de vos choix, de vos réponses et de la nature de votre relation avec chacun. Pour mener à bien cette aventure, le dialogue sera votre meilleur allié.
Le jeu étant intégralement en anglais, une bonne maîtrise de la langue est nécessaire, d’autant plus que certains dialogues regorgent de jeux de mots pointus ou d’humour absurde ; entre autres, une blague sur des composants électroniques ou un tapis de course viking, pour ne citer qu’eux. Comptez une bonne trentaine d’heures de jeu pour découvrir l’ensemble des interactions et des dénouements possibles dans cette histoire plus que rocambolesque.
100 objets et moi
Comme tout dating simulator qui se respecte, le public visé est plutôt de niche. Le genre, très particulier, est capable d’en dérouter plus d’un, malgré l’histoire plus qu’originale. Ici, nous faisons face à un gameplay réduit au strict minimum, à mi-chemin entre le visual novel et l’exploration narrative : les dialogues sont au cœur de l’expérience. Toutefois, au contraire des visual novels, aucun historique des échanges ni d’option d’ajustement de la vitesse de lecture ne seront présents via une interface dédiée. À la place, vous disposez d’un Data-ex, un équivalent de Pokédex pour suivre les histoires de chacun, l’avancement dans la découverte des protagonistes et la relation que vous avez avec ces derniers.
À cela s’ajoute un système de SPECS, des traits de personnalité que l’on développe au fil des interactions. Ces SPECS influencent directement la qualité des dialogues avec les objets de notre maison. Selon notre degré d’humour, d’empathie ou d’intuition, nous pouvons débloquer certaines réponses ou établir des liens plus profonds avec certains personnages. Souvent, ces dialogues supplémentaires permettent toujours d’avancer de manière positive dans le jeu.

En parallèle, le jeu regorge de collectables à découvrir : entre objets cachés, souvenirs à collectionner pendant les différentes conversations et easter eggs sur les personnages, les plus curieux auront de quoi s’occuper pendant de nombreuses heures. Le Data-Ex les recense également, ce qui permet de suivre votre complétion à tout moment. Une autre fonctionnalité plutôt appréciable dans le titre repose dans le système d’indices. Comme il n’est pas évident de trouver seul les 100 personnages dans une aussi grande maison, des rumeurs peuvent ainsi être débloquées lors de discussions avec les différents personnages, comme avec Maggie, la loupe ou Phoenicia, le téléphone. La notion d’indice peut être à double tranchant : soit ils sont limpides, soit vous vous retrouverez bloqué sans savoir que faire pendant de nombreuses heures.
Côté ergonomie, le menu est simplissime, pour nous rappeler que le genre sert avant tout l’histoire plutôt qu’un gameplay révolutionnaire, mais parfois un peu trop. Exit l’utilisation d’innombrables touches, ici le minimalisme fait foi. Quelques actions pour équiper vos lunettes, pour interagir avec l’environnement comme ouvrir les volets ou une porte, pour tenter de draguer un objet et vous obtiendrez l’ensemble des actions disponibles au cours d’une journée. Chaque journée est découpée en 5 actions, du matin au soir, avant que vous ne retrouviez le sommeil – ou le lit Betty, pour les intimes. Tous les personnages n’accepteront peut-être pas de vous parler dès le réveil ou certains vous demanderont de venir plutôt le lundi ou le vendredi. À vous de choisir de manière précise votre parcours pour avancer correctement dans le jeu et d’obtenir une fin pour chacun entre amour, amitié ou haine. Ces trois statuts sont débloqués à force de nombreuses interactions et de nombreuses petites missions à effectuer pour chacun, cela se résume souvent à aller parler à un autre protagoniste pour x raisons.

Là où brille Date Everything! est dans la direction artistique, la bande-son et la richesse de son écriture. Le chara design des personnages est bluffant. Chaque personnage est immédiatement reconnaissable et cohérent avec l’objet qu’il représente, même sans connaître sa version « réelle » dans la maison. Le jeu mêle exploration en 3D et phases de dialogues en 2D, avec quelques animations et effets visuels pas des moindres. Cela donne une impression de vie face aux mouvements de chaque personnage sans tomber dans le grotesque. Tout est finement dosé, proposant une expérience la plus humaine possible. La bande-son ajoute à cela une expérience encore plus complète. Chaque personnage dispose de sa propre bande-son. Le tout est sublimé par un voice acting de qualité, entièrement doublé en anglais pour chacun des protagonistes rencontrés. Et le travail est colossal de ce côté-ci au vu du nombre de personnages à doubler, ainsi que de la quantité de dialogues.

Mais ce qui étonne le plus dans un univers aussi coloré, c’est la maturité des thèmes abordés. On pourrait croire Date Everything! se contente de jouer avec uniquement les codes de l’amour ou de la haine, mais certains protagonistes vont nous plonger dans des histoires profondes,qui peuvent toucher chacun d’entre nous. Parfois même des récits peut-être un peu trop sensibles, comme le sujet de la mort, du sexe, des violences domestiques ou des relations toxiques, pour ne citer qu’eux. Et le jeu prend ces sujets au sérieux : Skylar, nos lunettes magiques nous demanderont en première interaction si nous acceptons d’être exposés à ce genre de sujet. Cette décision pourra toujours être changée en cours de route dans nos paramètres. Si nous ne souhaitons pas poursuivre cette interaction, nous finirons par choisir simplement notre relation avec le protagoniste en question, évitant tout blocage dans le jeu. Une idée bien amenée pour des âmes plutôt sensibles, proposant une expérience libre, inclusive et modulable. Le jeu se veut aussi inclusif avec des personnages LGBTQIA+, ouverts à tous les esprits, que ce soit dans le corps, dans l’esprit, dans les orientations sexuelles. Certains personnages ne cherchent aucunement l’amour et chercheront uniquement à obtenir une amitié sincère. À vous de comprendre leurs attentes, de choisir les bons mots et de tisser les liens qui vous semblent justes.
L’amour ne fait pas tout
L’histoire est donc centrale pour le genre du dating simulator. On a pourtant une recette parfaite avec tous les éléments cités précédemment. Cependant, il est astucieux de contrebalancer tout ça. Date Everything! souffre de plusieurs problèmes techniques pouvant entacher l’expérience. L’un des défauts les plus marquants concerne les ralentissements fréquents, notamment lors de séquences impliquant plusieurs personnages en même temps où le lancement même du jeu. Cela va même jusqu’à des crashs en fin d’interaction. Heureusement, le jeu propose un système de sauvegarde automatique et manuelle conséquent, qui limite la frustration.
À cela s’ajoute une interface peu intuitive, où les objectifs sont peu indiqués dans le Data-Ex. Certains joueurs peuvent être bloqués dans l’avancement de l’histoire d’un personnage, se sentant perdu ou ne sachant que faire pour débloquer l’interaction suivante. Cela aurait pu être un point positif d’exploration forcée et de réflexion accrue si cela n’était pas amplifié par un manque d’outils pratiques : aucun historique de conversations, aucune possibilité d’accélérer le texte ou de régler la vitesse de défilement, ce qui est regrettable pour un jeu aussi verbeux.
Autre point qui pourrait rebuter une partie du public francophone : Date Everything! est entièrement en anglais, et son écriture repose énormément sur des jeux de mots ou des tournures parfois complexes. Quelque chose qui passera inaperçu pour des amoureux de la langue de Shakespeare, mais peut devenir un obstacle pour les autres, notamment lorsqu’une mauvaise interprétation d’une réplique influence une relation ou la fin de cette dernière. On pensera à Cam, l’ordinateur qui nous aura parlé de composants électroniques de manière un peu trop pointue à notre goût. Fort heureusement, cette exigence linguistique est portée par un voice acting exceptionnel, qui reste l’un des plus grands atouts du titre.
Chaque personnage dispose d’une voix propre, avec une interprétation parfaite, drôle et touchante selon le ton du dialogue. Et parmi les doubleurs les plus marquants, on retrouve Neil Newbon, la voix d’Astarion dans Baldur’s Gate 3, qui signe ici encore une performance remarquable en prenant le rôle de notre séchoir à linge. Nous pouvons aussi citer la voix de Daisuke Tsuji, qui prête autant la voix à Daisuke, notre vaisselle, qu’à Jin Sakai, protagoniste principal de Ghost of Tsushima. Le casting vocal impressionne par sa variété : une tâche colossale au vu du nombre de protagonistes, même ceux qui ont eu l’idée du jeu, Ray Chase et Robbie Daymond, deux acteurs chevronnés, font partie du casting des voix. Il ne fait aucun doute que ce doublage de qualité contribue grandement à l’immersion.

Verdict
Date Everything! est une très bonne découverte pour cet été. Aussi bien inattendu que réussi, c’est un véritable ovni vidéoludique, aussi loufoque qu’ambitieux, qui bouscule les codes du dating simulator en mettant en scène une centaine de personnages, une écriture aussi touchante qu’absurde et un voice acting aux petits oignons. Vous arrachant un sourire d’un côté, vous surprenant de l’autre, Date Everything! vous fera passer par de nombreux sentiments. Attention cependant aux sujets sensibles qui pourront en rebuter plus d’un, un jeu axé à un public adulte qui acceptera les sujets complexes. Si vous êtes curieux, patient, à l’aise avec l’anglais et amateur d’expériences narratives atypiques, vous pourriez bien tomber amoureux… de votre sèche-linge, de votre plaid ou de votre salle de sport. Et honnêtement ? Ce serait totalement normal et on ne vous jugera pas.
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[PC Gaming Show] Den of Wolves est le PAYDAY du futur
Lors du PC Gaming Show, les développeurs du studio 10 Chambers ont apporté quelques détails sur leur prochain jeu : Den of Wolves. Ils le disent sans détours, ils voulaient tout simplement faire PAYDAY dans le futur. Ils expliquent ce choix comme une façon d’imaginer tout un tas de nouveaux outils et méthodes, qui n’auraient pas collé avec un thème réaliste, ce qui les avait un peu frustrés sur leurs deux premiers jeux. Ils ont aussi tenu à créer un univers cohérent, avec une grande cité dystopique qui participe à l’ambiance cyberpunk. Du côté du gameplay, on aura évidemment des séquences d’infiltration et d’autres de pure action si on se fait griller, mais il y aura également des sortes d’intermèdes avec les dives, des « braquages neuraux » permettant de se plonger dans la psyché d’une cible pour en extraire des informations cruciales. Les développeurs expliquent que ça leur permet de faire varier le gameplay, avec notamment des phases de plateforme avec du parkour, et surtout des environnements complètement différents. Cela pourrait être une forêt, un temple, une banlieue, ou tout simplement un endroit parfaitement abstrait, mais toujours avec un aspect un peu onirique ou cauchemardesque.
On peut également voir pas mal de gunfights, et on est plutôt confiants de ce côté-là. Leur dernier jeu, GTFO, était très bon sur cet aspect. Enfin, l’équipe nous parle du retour des masques. À la rédac, on s’en fiche un peu, mais ça semble être vachement important pour les jeux de braquage en coop, car les devs de PAYDAY 3 (aucun lien, c’est développé par Starbreeze) avaient la même paraphilie. Bon, si ça leur permet d’assouvir leurs fantasmes et de mettre en place des microtransactions au passage, qui sommes-nous pour juger ?
Dans tous les cas, on est quand même plutôt impatients de se plonger dans Den of Wolves. Mais pour l’instant, la date de sortie n’a pas encore été annoncée. En attendant, si vous êtes aussi intéressés que nous, n’hésitez pas à l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
TEST Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard, que vaut la version Switch 2 ?
TEST Stellar Blade – Un atterrissage en demi-teinte sur PC
Sorti initialement sur PS5 le 26 avril 2024, Stellar Blade s’apprête à faire son entrée sur PC ce jeudi 12 juin. Cette version s’accompagne de nouveaux éléments cosmétiques, d’un DLC crossover avec Goddess of Victory: NIKKE, ainsi que d’un affrontement inédit contre un boss spécial. À noter toutefois que l’ensemble de ce contenu sera également disponible, au même moment, pour les joueurs PS5. Très attendu par une partie du public PC restée jusque-là à l’écart de cette exclusivité console, ce portage du jeu phare de Shift Up tient-il toutes ses promesses ? Voici notre verdict.
Testé sur PC grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur
Retour vers le Futur
Avant d’aborder en détail les spécificités techniques de la version PC de Stellar Blade, il nous paraît essentiel de revenir sur notre expérience initiale avec le jeu sur PS5. Lors de sa sortie, Stellar Blade nous avait immédiatement séduits par la nervosité de son gameplay, à mi-chemin entre un Action RPG et un Souls-like plus accessible. Les mécaniques de combat reposaient sur un savant équilibre entre réflexes, gestion de la parade et enchaînements dynamiques, le tout soutenu par une excellente sensation de réactivité à la manette. Ce qui nous avait aussi marqués, c’était la volonté du studio de rendre l’expérience accessible au plus grand nombre grâce à un mode Histoire allégé, sans pour autant dénaturer la philosophie de base du jeu.

D’un point de vue esthétique, la direction artistique s’est révélée l’un des piliers majeurs de notre immersion. Les environnements post-apocalyptiques, bien que parfois un peu redondants, dégageaient une identité visuelle forte, entre ruines futuristes et zones naturelles reprises par la végétation. Le design des personnages, et celui d’Eve en particulier, affichait une ambition rare, soutenue par des animations d’une grande finesse et une animation capillaire presque hypnotisante. Techniquement, la PS5 proposait plusieurs modes graphiques (Performance, Résolution, Équilibré), chacun offrant un compromis pertinent selon les priorités du joueur, avec une fluidité globale très stable, notamment en mode 60 fps. Mention spéciale également à la bande-son, éclectique, mais cohérente, ainsi qu’au doublage coréen qui contribuait à ancrer davantage l’univers du jeu dans son identité d’origine.
En revanche, malgré toutes ses qualités, Stellar Blade n’était pas exempt de défauts. L’exploration souffrait de temps en temps d’un certain classicisme, avec des zones semi-ouvertes qui manquaient de surprises sur la longueur. Si le jeu proposait quelques puzzles légers et séquences d’infiltration ou de plateformes pour varier le rythme, ceux-ci restaient assez en surface. Enfin, la structure narrative, bien que lisible et rythmée, ne brisait pas les codes du genre. Néanmoins, avec une durée de vie oscillant entre 15 et 20 heures en ligne droite et un système de progression suffisamment gratifiant, le jeu posait les bases solides d’une franchise prometteuse. Notre attente de la version PC s’est donc construite sur ces fondations : voir si cette itération pourrait gommer certains points techniques tout en sublimant l’expérience grâce à la puissance et à la flexibilité du support.
Une optimisation discutable
Disponible désormais sur PC, Stellar Blade bénéficie d’un portage qui vise à tirer parti de la flexibilité et de la puissance des configurations modernes. Premier constat encourageant : le travail de Shift Up ne s’est pas limité à une simple transposition de la version PS5, mais propose une large palette d’options graphiques et de personnalisations avancées. Résolution dynamique, support du 21:9 (ultra wide), fréquence d’images débloquée, et compatibilité native avec les technologies DLSS 4 (NVIDIA) et FSR 3 (AMD) permettent au jeu de s’adapter à de nombreuses configurations, des PC gaming de milieu de gamme aux machines les plus haut de gamme.

Si Stellar Blade affiche de belles promesses techniques sur PC, force est de constater que le portage souffre encore de nombreux écueils en matière d’optimisation. Sur notre configuration de test – équipée d’une RTX 4070, d’un Intel Core i5-14500 et de 32 Go de RAM – nous avons rapidement constaté que le jeu se révélait anormalement gourmand, même en 1440p. Malgré une machine considérée aujourd’hui comme milieu/haut de gamme, il nous a été impossible de maintenir un framerate stable au-delà des 60 fps, sans devoir effectuer de concessions sensibles sur la qualité visuelle. Même avec le DLSS activé et en réduisant certaines options comme les ombres ou la qualité des textures, des saccades se font régulièrement sentir, notamment dans les environnements plus ouverts ou densément peuplés d’effets visuels. Le problème peut être contourné en jouant un peu avec les options du jeu, mais il est regrettable que l’expérience ne soit pas au rendez-vous avec les pré-réglages intégrés.
Au-delà de ces performances fluctuantes, certaines textures héritées de la version PS5 demeurent étonnamment floues ou baveuses, ce qui tranche avec le niveau de détail attendu sur PC. Il ne s’agit pas ici d’un défaut isolé, mais bien d’un constat récurrent dans certains environnements ou sur des éléments de décor secondaires. Ces aspérités visuelles rappellent que le jeu reste à la base une production console et que le lifting PC, bien que réel, ne va pas toujours jusqu’au bout des choses.

Enfin, nous avons rencontré un crash système au cours de notre session de test. Si cet incident isolé ne permet pas de tirer une conclusion définitive sur la stabilité du jeu dans toutes les configurations, il soulève tout de même une inquiétude, d’autant plus qu’à l’heure actuelle, nous ne savons pas avec certitude si ces problèmes seront corrigés via un patch Day One, ou s’ils risquent de persister dans le temps. En l’état, malgré ses atouts techniques et ses options de personnalisation poussées, ce portage PC manque clairement de finition et laisse une impression mitigée chez les joueurs attentifs à la stabilité et à la performance.
Verdict
En l’état, difficile de recommander l’achat de cette version PC de Stellar Blade à ceux qui possèdent déjà le jeu sur PS5. Le portage souffre d’une optimisation perfectible. D’autant que le contenu additionnel proposé est également disponible sur console, ne justifiant donc pas à lui seul un second achat. Pour les nouveaux venus en revanche, l’aventure vaut toujours le détour grâce à son gameplay nerveux et à son univers accrocheur, mais il peut être judicieux d’attendre que Shift Up corrige les défauts majeurs du portage avant de se lancer pleinement. Une bonne base, mais encore trop instable pour briller pleinement sur PC.
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[PC Gaming Show] VOID/BREAKER sortira en accès anticipé le 20 août
Stubby Games, le studio à l’origine de The Entropy Centre, avait récemment dévoilé son nouveau projet, un FPS roguelite nommé VOID/BREAKER. Dans ce dernier, vous devrez lutter contre une IA hostile et son armée de robots dans un environnement destructible. Pour ce faire, vous pourrez personnaliser vos armes et avoir accès à différentes capacités. Durant le PC Gaming Show, le dev solo a profité de l’occasion pour annoncer la sortie en accès anticipé le 20 août prochain et une démo qui est désormais disponible pour le Steam Néo Fest.
De plus, des nofragés nous ont déjà rapporté que le démo était plutôt bonne et ont également souligné que la destruction environnementale était très bien foutue. Quant au gameplay, celui-ci a l’air toujours aussi nerveux et rapide.
VOID/BREAKER sortira donc en accès anticipé le 20 août. En attendant, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam et essayer la démo pour vous faire votre propre avis.
[PC Gaming Show] Militsioner, l’immersive sim surréaliste, lance bientôt ses playtests
Appuyé désormais par l’éditeur Critical Reflex, le studio TALLBOYS profite du PC Gaming Show pour annoncer l’ouverture prochaine des playtests de Militsioner. Pour rappel, ce jeu vous mettra dans la peau d’un individu essayant par tous les moyens de s’enfuir d’une ville. Malheureusement, cette tâche s’avérera plus ardue que prévue, car un policier géant guettera le moindre de vos mouvements pour vous empêcher de partir. De plus, vos diverses interactions influeront sur votre relation avec le policier qui pourra vous avoir à la bonne ou au contraire, vous arrêtera pour vos méfaits. Enfin, en sa qualité d’immersive sim, plusieurs scénarios s’offriront à vous pour mener à bien votre évasion.
Si vous êtes intéressé, vous pouvez ajouter Militsioner à votre liste de souhaits Steam et vous inscrire aux playtests depuis la page du jeu.
[PC Gaming Show] Rien de nouveau pour The Last Caretaker : c’est toujours un jeu de survie
Parmi les nombreuses annonces du PC Gaming Show, on a pu redécouvrir The Last Caretaker, un jeu d’action-aventure avec un aspect survie. La majorité de l’aventure se déroulera au beau milieu d’un océan qui s’étend dans toutes les directions. Cette étendue d’eau sera parsemée de ruines à explorer. Vous incarnez un robot qui aura pour mission de réparer et de réactiver un complexe capable d’envoyer le reste des embryons humains dans l’espace pour la sauvegarde de l’humanité.
Sur la page Steam du titre, le studio finlandais indépendant Channel37 explique que l’on va pouvoir explorer, créer, découvrir, etc. Putain ! Encore un jeu de survie ! On s’en doutait déjà un peu quand on a découvert cette vidéo lors du IGN Fan Fest 2025 en février dernier. Si ça vous intéresse, le Community Manager du studio nous montre du gameplay soporifique, après avoir joué pendant 1h45 à PowerWash Simulator, magnifique.
Pour le moment, aucune date de sortie n’a été annoncée, mais si vous avez l’âme d’un Kersauson et que vous aimez les jeux chiants, vous pouvez ajouter The Last Caretaker à votre liste de souhaits sur Steam.
[PC Gaming Show] Eclipsium, le walking sim horrifique, sortira cet automne
Pendant le PC Gaming Show, le studio Housefire a dévoilé que son walking sim horrifique nommé Eclipsium sortirait l’automne prochain. Dans ce monde en perdition, vous devrez traverser des décors plus étranges les uns que les autres, pour atteindre un cœur énigmatique et peut-être retrouver un être cher. L’ambiance se veut dérangeante au fur et à mesure que vous progresserez. À la rédac, on avait plutôt aimé la démo testée l’année dernière et certains d’entre nous semblent impatients de pouvoir mettre la main de dessus à sa sortie.
Si vous aimez les expériences hors du commun se déroulant dans des décors à l’esthétique des plus singulières, vous pouvez ajouter Eclipsium à votre liste de souhaits Steam, en attendant sa sortie cet automne.
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- TEST Disney Illusion Island Starring Mickey & Friends : une arrivée en fanfare sur PS5 pour Mickey et sa bande
TEST Disney Illusion Island Starring Mickey & Friends : une arrivée en fanfare sur PS5 pour Mickey et sa bande
Après une sortie sur Nintendo Switch à l’été 2023, Disney Illusion Island arrive enfin sur les autres plateformes et PC avec un nouveau nom pour l’occasion. Intitulé Disney Illusion Island Starring Mickey & Friends, cette nouvelle itération est en quelque sorte la version ultime du titre puisque cette dernière inclut le jeu de base ainsi que tous les DLC inclus jusqu’à ce jour. Après avoir terminé une seconde fois l’aventure, découvrez pourquoi ce portage est réussi, mais malheureusement pas encore un indispensable dans la bibliothèque des joueurs.
Testé sur PS5 Pro grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur
Le retour de Disney Illusion Island
Si vous êtes passés à côté de Disney Illusion Island sur Nintendo Switch, cette nouvelle version est l’occasion de mettre la main sur un titre agréable qui avait déjà des défauts assez évidents. Bien que nous reparlerons de tous les ajouts de cette nouvelle version dans le paragraphe suivant, ce portage sur PS5, Xbox Series X|S et PC garde les mêmes qualités, mais également les mêmes imperfections que le jeu d’origine. On y retrouve une direction artistique qui rappelle les grandes heures de la souris inventée par Walt Disney : à savoir des tableaux en 2D épurés, avec des animations de très grande qualité. Tout a été fait à la main et on ressent la passion que les développeurs avaient pour nous proposer une très belle réalisation d’ensemble.

Véritable metroidvania, le titre est tout de même nettement plus accessible que les cadors récents du genre. On pense notamment à Prince of Persia : The Lost Crown, mais grâce à ses nombreuses options d’accessibilité, il est possible d’avoir une expérience à la portée de tous. Ce Disney Illusion Island Starring Mickey & Friends propose plusieurs modes de difficulté au lancement de notre partie (il y a même un mode invincible), mais le tout reste bien trop accessible. Pour les habitués du genre, attendez-vous davantage à une promenade de santé qu’à un véritable challenge pour venir à bout du titre. Pour les enfants ou les néophytes du genre, il s’agit toutefois d’un très bon point d’entrée pour découvrir ce style de jeu qui ne plaira pas à tout le monde.
Le gameplay du titre évolue et se diversifie au fil de notre progression : on débloquera rapidement la possibilité du double saut, de sauter sur les murs ou encore de pouvoir utiliser l’air pour s’envoler grâce à nos outils. Le seul problème majeur réside dans la construction et la complexité des niveaux : le jeu manque d’un véritable challenge. Contrairement à un Rayman Legends, l’absence de possibilité de frapper nos ennemis est un point noir et donne finalement un faux rythme. On espère souvent que le titre réussira à mettre de côté son train de sénateur pour un gameplay plus nerveux, mais il n’en est rien jusqu’au générique de fin. On trouvera toujours sur notre route divers collectables qui vous donneront notamment de la vie supplémentaire ou de très beaux croquis à visionner depuis la galerie : une façon pertinente d’encourager le joueur dans sa chasse au 100 % et au trophée platine qui sera particulièrement coriace. En effet, pour récupérer l’un des derniers trophées or du jeu, il faudra finir le jeu d’une seule traite, sans mourir : dès que la mort vous atteindra – la sauvegarde sera purement et tout simplement effacée. La carte, elle, est bien détaillée : on retrouvera sans aucun problème les collectables manquants et les indications sont plutôt claires.

Avec son mode coopératif jusqu’à quatre joueurs, Disney Illusion Island est une aventure solo qui peut aussi se jouer intégralement avec des amis. Chacun peut choisir sa propre difficulté : les parents pourront avoir un challenge plus ardu que les enfants par exemple. En revanche, on regrettera toujours l’absence d’un mode coopératif en ligne avec uniquement la présence du jeu en local. Le titre tournant bien sur toutes les machines, dont la Nintendo Switch, nous aurions pu espérer la mise en place du cross-play pour profiter d’une expérience de jeu améliorée. Destiné avant tout aux plus jeunes et aux fans de la petite souris, le titre dispose d’un excellent doublage français lors des différentes cinématiques, mais on regrettera que les nombreux dialogues ne le soient pas toujours…
Une version survitaminée avec des ajouts pertinents
Reprenant les qualités mais également les défauts de Disney Illusion Island lors de sa sortie sur Nintendo Switch, ce Disney Illusion Island Starring Mickey & Friends offre également de nouvelles possibilités, et non des moindres sur PS5 et Xbox Series X. En effet, le titre dispose désormais d’une option 120 Hz dans les paramètres du jeu. Si votre moniteur est compatible avec ce taux de rafraîchissement, n’hésitez pas à l’activer pour disposer d’une bien meilleure fluidité avec une résolution 4K prise en charge. Il faut admettre que sur une belle télévision (un LG C2 lors de notre test), la qualité de la direction artistique et des animations est réellement mise en valeur.
Si le contenu pouvait paraître en retrait lors de la sortie du titre sur Nintendo Switch, c’est toujours le cas pour cette nouvelle version. Le titre inclut d’emblée tous les contenus additionnels et les mises à jour récentes, avec tout de même 4 h de durée de vie supplémentaire. Un effort conséquent quand on sait que nous avons bouclé le titre en moins de 6h sur ce second run, et qu’il nous faudrait environ 4h supplémentaires pour récupérer tous les collectables restants : la faute à une carte imposante avec assez peu de points de téléportation. Keeper Up, Mystère à Monoth et le tout nouveau C.A.S.H sont donc les nouvelles activités proposées gratuitement (c’est également le cas sur Nintendo Switch). Contre-la-montre, enquête mystérieuse et déterrage de pièces pour le grand Picsou sont au programme de ces contenus additionnels qui enrichissent la durée de vie d’un titre qui en avait vraiment besoin.
Pour conclure, il est temps de parler davantage de la distribution du titre chez nous, mais également de son prix de vente. Sachez tout d’abord que bien qu’elle soit déjà disponible outre-Atlantique, la version physique de ce Disney Illusion Island Starring Mickey & Friends arrivera sur PS5 et Xbox Series X|S le 27 juin 2025 en France. Si vous ne souhaitez pas attendre, le titre est achetable sur le PlayStation Store, le Microsoft Store et Steam depuis le 1er juin 2025. Contrairement à Nintendo et sa nouvelle politique tarifaire avec la sortie de la Nintendo Switch 2, Disney Illusion Island Starring Mickey & Friends sera vendu au même prix en édition physique ou numérique : 29,99 € seulement, un tarif accessible qui est plus en corrélation avec le contenu du jeu. Enfin, sachez que dans sa version physique, le jeu sera vendu avec tous les DLC et mises à jour passées dans le disque (pas de code de téléchargement à usage unique) et qu’un poster sera également inclus.
Verdict
Sans révolutionner le genre, ce Disney Illusion Island Starring Mickey & Friends est un titre agréable qui se parcourt rapidement sans grande difficulté. La présence de tous les DLC est un plus puisque nous avons droit à du contenu supplémentaire avec un peu plus de nervosité. Jouable en coopération jusqu’à quatre joueurs, le titre n’est toujours pas compatible avec les fonctionnalités en ligne. Si vous recherchez un metroidvania sans trop de challenge et qui ne vous prendra pas plus d’une quinzaine d’heures pour en voir le bout, il s’agit d’un jeu à mettre incontestablement dans votre wishlist.
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