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"C'était horriblement douloureux" : le PDG de 11 bit (Frostpunk) revient sur l'annulation de Project 8

Par :Kyujilo
21 avril 2025 Ă  12:01
Fin 2024, 11 Bit Studios, le dĂ©veloppeur polonais derriĂšre This War of Mine et Frostpunk, a annulĂ© Project 8, un jeu d'action-aventure narratif en dĂ©veloppement depuis 2018, ce qui avait entrainĂ© une vague de licenciements en interne. PrzemysƂaw MarszaƂ, PDG de 11 bit est revenu publiquement sur cette annulation et ses consĂ©quences.

Days Gone Remastered : un point sur les améliorations graphiques prévues

Par :Goufixx
21 avril 2025 Ă  11:59

Quelques jours avant sa sortie sur PS5 et PC, de nouvelles informations ont Ă©tĂ© dĂ©voilĂ©es concernant Days Gone Remastered, notamment sur sa partie technique. Que vous soyez sur PS5, PS5 Pro ou PC, de nombreuses amĂ©liorations sont prĂ©vues, mais pas toutes seront de sortie immĂ©diatement puisque des mises Ă  jour sont d’ores et dĂ©jĂ  prĂ©vues.

Si vous apprĂ©ciez dĂ©gommer du zombie Ă  tout bout de champ tout en vous baladant sur une moto dans un grand monde ouvert, Days Gone est le jeu qu’il vous faut. Ce dernier revient dans une version ultime sur PS5 et PC le 25 avril prochain et nous connaissons les premiers Ă©lĂ©ments techniques. On retrouvera des amĂ©liorations concernant les Ă©clairages et de nouveaux effets d’occlusion ambiante sans oublier une amĂ©lioration de la tonalitĂ© des couleurs avec des effets lumineux plus prĂ©cis pour le ciel et le soleil.

Par ailleurs, les modes graphiques ont Ă©tĂ© dĂ©taillĂ©s sur PS5 et PS5 Pro et malheureusement, aucun mode plafonnĂ© Ă  120 FPS n’est prĂ©vu. Un patch arrivera aprĂšs la sortie du jeu pour ajouter un mode Balanced proposant du 40 FPS et une rĂ©solution entre le mode Performance et QualitĂ©. Voici toutes les informations connues Ă  ce jour :

PS5 Pro

  • Performance : 1800p/60 FPS
  • QualitĂ© : 2880p (5K)/30 FPS
  • AmĂ©liorĂ© : 1584p/60 FPS avec PSSR

PS5

  • Performance : 1440p/60FPS
  • QualitĂ© : 4K native /30FPS

Pour rappel, Days Gone Remastered sera disponible sur PS5 et PC.

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Star Wars Outlaws se posera sur Nintendo Switch 2 début septembre, la date de sortie est connue

Par :Goufixx
21 avril 2025 Ă  11:40

AprĂšs une sortie trĂšs compliquĂ©e sur les consoles de derniĂšre gĂ©nĂ©ration et PC avec un bashing comme pas permis, Star Wars Outlaws a Ă©tĂ© annoncĂ© sur Nintendo Switch 2 trĂšs briĂšvement lors du dernier Nintendo Direct. L’éditeur français a de nouveau communiquĂ© sur ce portage qui se dote dĂ©sormais d’une date de sortie quelques mois aprĂšs la sortie de la console.

On savait que la version Nintendo Switch 2 de Star Wars Outlaws ne serait pas disponible au lancement de la Nintendo Switch 2, mais nous attendions avec impatience la date de sortie de ce projet. L’éditeur français a calĂ© cette sortie au 4 septembre 2025. Reste dĂ©sormais Ă  savoir comment tournera le jeu sur la prochaine console de Nintendo, et si sortie physique il y a, s’agira-t-il d’une cartouche de jeu complĂšte ou d’une carte clĂ© de jeu ?

En attendant, une courte et nouvelle bande-annonce a été diffusée par Ubisoft pour illustrer ce portage sur Nintendo Switch 2 :

En attendant, Star Wars Outlaws est disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC.

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Le prix de Marathon ne serait que de 40€

21 avril 2025 Ă  09:04

Il y a quelques jours dĂ©jĂ , Bungie nous prĂ©sentait enfin du gameplay de Marathon, son futur renouveau d’une icĂŽne des annĂ©es 90. Avec un accueil plutĂŽt mitigĂ©, dĂ©voilant un gameplay exigeant dans un univers colorĂ©, la question du systĂšme de financement fut posĂ©e. Bungie a Ă©tĂ© clair, Marathon sera payant, mais pas autant que nous le pensions.

Aujourd’hui, les jeux solo tablent sur des prix assez Ă©levĂ©s allant de 60  € jusqu’à 80  €. De ce fait, quand Bungie a annoncĂ© que Marathon ne serait pas un free-to-play, beaucoup de joueurs ont craint l’annonce de prix. En effet, difficile pour un nouveau titre, mĂȘme si celui-ci porte en lui l’aura d’un gros univers marquant des annĂ©es 90, de se faire une place dans le monde des extractions shooter durable.

C’est dans un rĂ©cent rapport de Forbes que Paul Tassi, rĂ©dacteur sur ce mĂ©dia, aurait affirmĂ© que le prix de Marathon s’approcherait davantage de ce qu’a proposĂ© Helldivers 2 Ă  sa sortie. Ainsi, celui-ci serait de 40  € et non de 70  €, prix amenĂ© par de nombreuses rumeurs. Dans ce mĂȘme rapport, Paul revient sur ce choix de Bungie de proposer un titre payant plutĂŽt que gratuit. D’aprĂšs lui, et malgrĂ© les plaintes, Bungie ne peut tout simplement pas se permettre de sortir un titre gratuit Ă  l’heure actuelle. Mais l’idĂ©e n’est pas totalement fermĂ©e, elle n’est seulement pas Ă  l’ordre du jour.

En plus d’une annonce d’un potentiel prix, Bungie a annoncĂ© une alpha fermĂ©e le 23 avril et faisant office de test technique avant le lancement. L’idĂ©e Ă©tant de limiter le nombre de joueurs afin que les choses ne se cassent pas totalement. Pour faire preuve d’une totale transparence et pour rassurer les fans, cette alpha ne sera pas sujette Ă  des NDA. C’est-Ă -dire que les testeurs pourront diffuser du gameplay aussi bien en live que sur YouTube, mais aussi donner leur avis sur les rĂ©seaux sociaux.

Quand l’alpha se terminera, Bungie aurait prĂ©vu une possible bĂȘta ouverte en aoĂ»t, juste avant le lancement du titre le 23 septembre 2025. Il ne reste donc plus qu’à attendre les premiers retours pour se faire une vĂ©ritable idĂ©e de ce tout nouveau venu des extractions shooter.

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TEST Fatal Fury: City of the Wolves – La meute est de sortie

21 avril 2025 Ă  09:00

Le retour d’une lĂ©gende approche Ă  grands pas. Plus de deux dĂ©cennies aprĂšs le dernier opus majeur, Fatal Fury: City of the Wolves marque le grand come-back d’une franchise emblĂ©matique du jeu de combat. Alors que la concurrence fait rage sur la scĂšne du jeu de combat, SNK saura-t-il imposer la franchise Fatal Fury Ă  nouveau dans l’arĂšne ? En attendant sa sortie imminente, voici notre avis sur ce que le jeu a dans le ventre.

Test rĂ©alisĂ© sur PC Ă  l’aide d’une copie envoyĂ©e par l’éditeur.

Hey, come on, come on!

Franchise culte des annĂ©es 90, Fatal Fury a Ă©tĂ© l’une des pierres angulaires de l’ñge d’or du jeu de combat en arcade. NĂ©e sur Neo Geo, elle a introduit des personnages devenus iconiques comme Terry Bogard, Mai Shiranui ou Geese Howard, tout en posant les bases de ce qui deviendrait plus tard The King of Fighters. Le dernier opus majeur, Garou: Mark of the Wolves, sorti en 1999, avait laissĂ© une empreinte durable grĂące Ă  sa rĂ©alisation soignĂ©e et son gameplay affĂ»tĂ©. Depuis ? Silence radio pendant plus de 25 ans, malgrĂ© la popularitĂ© continue de certains personnages dans d’autres licences.

C’est pas beau tout ce petit monde là ?

L’annonce de Fatal Fury: City of the Wolves en 2022, suivie d’un premier trailer en 2023, a donc Ă©tĂ© un petit Ă©vĂ©nement pour les amateurs de versus fighting. DĂ©veloppĂ© par SNK avec le moteur Unreal Engine (le mĂȘme que The King of Fighters XV), ce nouvel opus reprend l’hĂ©ritage direct de Garou, poursuivant les Ă©vĂšnements instaurĂ©s deux dĂ©cennies auparavant. Le style cel shading moderne confĂšre au jeu une identitĂ© visuelle forte, entre respect du matĂ©riau d’origine et fraĂźcheur contemporaine. Le projet est nĂ© d’une volontĂ© assumĂ©e de faire renaĂźtre la sĂ©rie avec ambition, en s’appuyant sur le savoir-faire accumulĂ© par SNK depuis sa rĂ©surrection en 2016. Entre hommage nostalgique et nouvel Ă©lan, City of the Wolves veut redonner Ă  Fatal Fury la place qu’elle mĂ©rite dans le paysage du jeu de combat actuel.

Sous la direction de Yasuyuki Oda, producteur emblĂ©matique ayant dĂ©jĂ  orchestrĂ© la renaissance de The King of Fighters, le projet est portĂ© par une vĂ©ritable volontĂ© de concilier tradition et modernitĂ©. Oda a plusieurs fois soulignĂ© l’importance de Fatal Fury: City of the Wolves pour SNK, le dĂ©crivant comme un « tournant majeur Â» pour l’éditeur. Parmi les nouveautĂ©s, on note l’introduction du systĂšme REV (Rev System), qui promet d’offrir plus de dynamisme et de crĂ©ativitĂ© dans les combats, sans pour autant sacrifier la profondeur stratĂ©gique.

L’hĂ©ritage fait sang neuf

Fatal Fury: City of the Wolves dĂ©marre avec un roster qui fait le pont entre les icĂŽnes de la sĂ©rie et de nouveaux visages. Du cĂŽtĂ© des vĂ©tĂ©rans, Terry Bogard, Rock Howard, Hotaru Futaba ou encore Tizoc rĂ©pondent prĂ©sents, tous retravaillĂ©s avec soin pour coller Ă  la nouvelle direction artistique et aux mĂ©caniques modernisĂ©es. Mais SNK ne se contente pas de recycler : de nouveaux personnages font leur entrĂ©e, comme Preecha, une combattante spĂ©cialisĂ©e en Muay ou encore Vox Reaper, un personnage Ă  l’esthĂ©tique sombre et disciple spirituel de Grant, antagoniste majeur de Garou: Mark of the Wolves. Autre surprise, et pour le moins intriguant, Cristiano Ronaldo et le DJ Salvatore Ganacci sont tous deux prĂ©sents comme personnages jouables ! Bien que la rumeur du footballeur portugais comme combattant avait Ă©tĂ© particuliĂšrement insistante ces derniers mois, personnes n’y croyait vraiment, et pourtant !

Les dames se déchainent

Si la sĂ©lection de dĂ©part ravira de nombreux fans, quelques absences notables viennent ternir le tableau. La prĂ©sence de ces deux invitĂ©s empĂȘche nĂ©anmoins Fatal Fury: City of the Wolves de rĂ©unir l’intĂ©gralitĂ© du casting de Garou: Mark of the Wolves. Les absents les plus remarquĂ©s sont Kim Jae Hoon, l’un des fils de Kim Kaphwan, ainsi que Freeman, personnage mystĂ©rieux au airs edgy et rappelant un certain Iori dans sa variation dite « Griffe ».

Le premier season pass, dĂ©jĂ  annoncĂ©, comprendra cinq personnages additionnels, dont certains visages familiers issus de l’univers Fatal Fury/KOF (Andy Bogard, Joe Higashi et Mr. Big), mais aussi des invitĂ©s en la prĂ©sence de Ken et Chun-Li de Street Fighter pour rendre la pareille Ă  Capcom qui compte Terry et Mai dans son roster. SNK a prĂ©cisĂ© vouloir alimenter le jeu sur le long terme avec du contenu rĂ©gulier, tout en Ă©coutant les attentes de la communautĂ© compĂ©titive. Ce modĂšle en saison s’inscrit clairement dans une logique post-KOF XV, visant Ă  garder le jeu vivant Ă  travers des mises Ă  jour d’équilibrages et des ajouts de contenu.

Ce REV bleu

CĂŽtĂ© gameplay, City of the Wolves hĂ©rite de plusieurs mĂ©caniques de Garou: Mark of the Wolves, notamment le S.P.G, grandement inspirĂ© du TOP System, qui permet au joueur de choisir une zone dans sa barre de vie oĂč il bĂ©nĂ©ficiera d’un boost temporaire en attaque et d’un accĂšs Ă  des coups spĂ©ciaux supplĂ©mentaires, notamment la possibilitĂ© d’effectuer un Rev Blow et un Hidden Gear si les ressources le permettent. Ce systĂšme stratĂ©gique, qui pousse Ă  prendre des risques calculĂ©s, est de retour dans une version modernisĂ©e, plus lisible et intĂ©grĂ©e au rythme actuel du versus fighting.

Le S.P.G. remplace le TOP System de Garou: Mark of the Wolves

La grande nouveautĂ© vient du REV System, un ensemble de mĂ©caniques unifiant les options offensives et dĂ©fensives autour d’une jauge centrale. Il regroupe plusieurs mĂ©caniques — Rev Blow, Rev Guard, Rev Arts — toutes liĂ©es Ă  une jauge unique, le REV Meter. Ce dernier se remplit Ă  chaque action spĂ©ciale ou dĂ©fensive et, une fois surchargĂ©, entre en surchauffe, limitant drastiquement les possibilitĂ©s du joueur
 et ouvrant une fenĂȘtre dangereuse pour l’adversaire.

C’est lĂ  que le bĂąt blesse. Si l’idĂ©e de punir un joueur trop gourmand ou trop dĂ©fensif peut sembler juste, la gestion actuelle du REV Meter pose question. En effet, il suffit que l’adversaire enchaĂźne les pressions sur garde pour faire monter la jauge de l’autre joueur, le poussant malgrĂ© lui vers la surchauffe — sans mĂȘme avoir abusĂ© de ses propres options. Une fois en surchauffe, non seulement les Rev Arts deviennent inaccessibles, mais la barre de garde devient vulnĂ©rable, exposant le joueur Ă  un guard crush brutal. L’intention est claire : favoriser l’agressivitĂ©, maintenir la tension
 mais le sentiment de contrĂŽle en prend un coup.

Ce dĂ©sĂ©quilibre se double d’un buffer d’input assez raide, qui ne pardonne pas les approximations, mĂȘme pour des links simples. Cela accentue la sensation de rigiditĂ© dans un jeu qui se veut pourtant nerveux. À vouloir s’inspirer du Drive System de Street Fighter 6 — avec son propre systĂšme de gestion de ressources et de surchauffe — SNK semble avoir cherchĂ© Ă  Ă©viter le plagiat direct, quitte Ă  introduire des mĂ©caniques qui manquent encore de finesse dans leur implĂ©mentation. Le rĂ©sultat est un gameplay au potentiel indĂ©niable, mais dont les fondations doivent encore ĂȘtre affinĂ©es pour que le systĂšme REV tienne ses promesses sans frustrer.

Au-delĂ  du REV System et de la gestion perfectible de ses ressources, Fatal Fury: City of the Wolves souffre Ă©galement de choix de design qui complexifient inutilement l’expĂ©rience, notamment autour des systĂšmes de Brake et de Feint. Ces mĂ©caniques, hĂ©ritĂ©es de Garou: Mark of the Wolves, sont censĂ©es permettre aux joueurs avancĂ©s d’interrompre certaines attaques ou d’exĂ©cuter de fausses animations pour piĂ©ger l’adversaire. Sur le principe, elles enrichissent le gameplay en ajoutant une couche de mind game. Mais dans les faits, leurs manipulations sont tout sauf intuitives.

Le mode Défis vous offre le strict minimum.

Les commandes de Brake et de Feint reposent sur des combinaisons de touches distinctes et souvent inconfortables, demandant des enchaĂźnements peu naturels qui fatiguent rapidement les mains — surtout sur sessions prolongĂ©es. Une question se pose alors : pourquoi ne pas avoir unifiĂ© leur exĂ©cution, en laissant au contexte (attaque en cours ou timing) le soin de dĂ©finir l’action dĂ©clenchĂ©e ? Ce choix aurait non seulement fluidifiĂ© la prise en main, mais aussi permis une meilleure lisibilitĂ© pour les nouveaux venus comme pour les vĂ©tĂ©rans. En l’état, on se retrouve avec deux systĂšmes proches sur le papier, mais dont l’accĂšs semble inutilement contraignant.

Ce problĂšme s’ajoute Ă  une autre dĂ©cision surprenante : l’introduction d’un cinquiĂšme bouton dĂ©diĂ© au REV Guard et Ă  l’activation du Hidden Gear quand le contexte s’y prĂȘte. Alors que les quatre boutons traditionnels suffisent largement Ă  couvrir les besoins de gameplay, l’ajout de cette touche spĂ©cifique — la touche Rev — soulĂšve des interrogations. Son rĂŽle semble redondant, puisque toutes ses actions pourraient ĂȘtre exĂ©cutĂ©es via des combinaisons classiques. On a l’impression que cette touche a Ă©tĂ© ajoutĂ©e pour marquer le systĂšme REV sans rĂ©elle nĂ©cessitĂ©, au prix d’un bouton de plus Ă  mapper et Ă  gĂ©rer
 pour un gain fonctionnel assez limitĂ©.

Entre charme old school et limites modernes

Visuellement, Fatal Fury: City of the Wolves affiche une direction artistique assumĂ©e, portĂ©e par un style cel-shading Ă  mi-chemin entre le manga et l’animĂ©, qui colle bien Ă  l’identitĂ© de la saga de SNK. Certains designs et effets de coups sont franchement rĂ©ussis, et le jeu a du caractĂšre
 mais il faut bien admettre que l’exĂ©cution technique reste en retrait par rapport aux standards actuels du genre. Quand on compare Ă  des productions comme Guilty Gear Strive ou Street Fighter 6, City of the Wolves semble parfois figĂ© dans le passĂ©. Les animations, en particulier, manquent souvent de fluiditĂ©, ce qui accentue une sensation de raideur dĂ©jĂ  ressentie dans le gameplay. Certains mouvements paraissent abrupts, et les transitions entre les attaques manquent de liant, ce qui nuit Ă  l’impact visuel comme au plaisir des combos.

Oubliez les cutscenes animĂ©es et autres CGI, Fatal Fury: CotW prĂ©fĂšre les images fixes Ă  l’ancienne.

Mais lĂ  oĂč la dĂ©ception est encore plus marquĂ©e, c’est du cĂŽtĂ© de la bande-son. Garou: Mark of the Wolves avait laissĂ© un souvenir impĂ©rissable avec ses thĂšmes mĂ©morables, Ă  commencer par celui de Rock Howard, au chorus clairement inspirĂ© de Children de Robert Miles — un plagiat ? Peut-ĂȘtre. Mais un plagiat de qualitĂ©. Ici, City of the Wolves tente bien de rejouer la carte nostalgique avec quelques rĂ©orchestrations de thĂšmes issus de Garou, mais celles-ci manquent cruellement d’inspiration. Quant aux nouvelles compositions, elles s’avĂšrent insipides, voire anecdotiques, Ă  tel point qu’on peine Ă  s’en souvenir aprĂšs quelques matchs. Mention (peu) honorable au thĂšme du training stage, dont la mĂ©lodie gĂ©nĂ©rique Ă©voque plus une publicitĂ© de cafĂ© tiĂšde qu’un champ de bataille pour futurs champions.

Un contenu trĂšs classique

CĂŽtĂ© contenu, Fatal Fury: City of the Wolves reste dans une offre trĂšs classique, voire minimaliste, pour un jeu de combat censĂ© marquer le grand retour d’une sĂ©rie culte. En solo, on retrouve les modes attendus : Arcade, Training, un tutoriel de base, et un mode Missions qui se divise en trois variantes — DĂ©fis personnages, Survie et Contre-la-montre. Des ajouts bienvenus, mais qui manquent cruellement de gĂ©nĂ©rositĂ© : les dĂ©fis sont peu nombreux, peu inspirĂ©s, et surtout n’explorent pas vraiment la profondeur du systĂšme de jeu, ce qui est regrettable, surtout pour les nouveaux venus qui cherchent Ă  s’initier.

Le mode Episodes of South Town est d’un ennui et d’une austĂ©ritĂ© sans nom.

Le soi-disant mode histoire, baptisĂ© Episodes of South Town (EOST), se veut plus ambitieux avec une composante RPG : le joueur progresse sur une carte de South Town dĂ©coupĂ©e en trois zones, enchaĂźnant des combats Ă  objectifs variĂ©s. Sur le papier, ça intrigue. En pratique, l’ensemble est d’une platitude confondante. Les affrontements sont mous, les variations d’objectif anecdotiques, et surtout les histoires sont d’un ennui abyssal. Pire encore : aucune cinĂ©matique, aucun doublage, juste des boĂźtes de texte fades et impersonnelles — un comble, quand le mode arcade propose, lui, des dialogues doublĂ©s et quelques bribes de mise en scĂšne. Un cruel dĂ©sĂ©quilibre qui illustre un certain manque d’ambition narrative.

Du cĂŽtĂ© du multijoueur, on retrouve les standards : Versus local, matchs en ligne en casual, ranked ou salons privĂ©s. À noter Ă©galement la prĂ©sence d’un Clone Mode, dans lequel une IA adaptative Ă  la Tekken 8 apprend des styles de jeu pour les rĂ©pliquer — un ajout prometteur sur le papier, mais que nous n’avons pas pu tester, les serveurs n’étant pas encore accessibles au moment du test. On peut toutefois s’attendre Ă  une expĂ©rience similaire Ă  celle offerte durant la seconde phase de bĂȘta ouverte, qui, sans ĂȘtre rĂ©volutionnaire, avait le mĂ©rite d’ĂȘtre stable et fonctionnelle.

Vous pouvez créer vos propres couleurs pour vos personnages favoris
Apprends à t’ouvrir la main avec Marco Rodrigues !

Enfin, quelques options annexes comme le Color Edit et le Jukebox viennent Ă©toffer l’interface, mais ne suffisent pas Ă  compenser l’impression globale d’un contenu de lancement squelettique. Pour un retour attendu depuis 25 ans, City of the Wolves donne parfois l’impression de jouer la prudence Ă  outrance, au lieu de livrer un package digne de son hĂ©ritage.

Verdict

Fatal Fury: City of the Wolves signe un retour Ă  la fois audacieux — de la part de SNK qui relance une sĂ©rie laissĂ©e en sommeil depuis 26 ans — et frustrant d’une licence mythique. Si l’ambition est palpable, entre un nouveau systĂšme REV prometteur, un casting bien Ă©quilibrĂ© et une direction artistique marquĂ©e, l’exĂ©cution laisse un goĂ»t d’inachevĂ©. RigiditĂ© du gameplay, dĂ©cisions de design discutables, contenu solo anĂ©mique et technique perfectible ternissent une formule qui mĂ©ritait mieux pour marquer les esprits. Un bon geste toutefois : le premier Season Pass est offert pour toute prĂ©commande jusqu’au 23 avril, un petit coup de pouce bienvenu pour accompagner les dĂ©buts du jeu. Il nous tarde dĂ©sormais de voir la rĂ©ponse de la communautĂ© et, surtout, si SNK saura entretenir l’intĂ©rĂȘt sur la durĂ©e, un dĂ©fi de taille, tant ses jeux peinent souvent Ă  rester vivants hors d’Asie et d’AmĂ©rique Latine.

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Assassin's Creed Shadows sur Switch 2, ça se confirme

21 avril 2025 Ă  07:12
La page d'accueil du site PEGI affiche en permanence les jeux les plus recherchés dans sa base de données. Or, vous l'avez en mille : Assassin's Creed Shadows en fait partie, et sont affichées comme plateformes compatibles la PS5, la Xbox Series X/S, le PC et... la Nintendo Switch 2.

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Ultime bafouille - inZOI a un gros défaut qui lui fera du tort sur le long terme

Par :meakaya
20 avril 2025 Ă  20:01
inZOI est l’une des curiositĂ©s du moment. Attendu depuis un moment, le simulateur de vie corĂ©en a suscitĂ© un engouement certain qui le hisse, encore aujourd’hui, parmi les jeux Steam les plus vendus. Mais est-ce que l’intĂ©rĂȘt pour le jeu va durer assez pour installer inZOI au rang d’incontournable du genre dans les annĂ©es Ă  venir ? J’en doute
 Et pour une raison prĂ©cise : inZOI n’est pas assez accessible.

PROJECT WRAITH devient WRAITH OPS et dévoile du gameplay

Par :Loulou
20 avril 2025 Ă  16:36

AprĂšs une vidĂ©o plutĂŽt encourageante en fĂ©vrier dernier, Grassrootz, le studio derriĂšre le dĂ©veloppement de PROJECT WRAITH, a Ă©tĂ© conviĂ© au Galaxies Gaming Showcase 2025. Durant l’évĂ©nement, un nouveau trailer a Ă©tĂ© diffusĂ© pour rappeler que le nom de leur jeu est devenu officiellement WRAITH OPS et montrer du gameplay dynamique Ă  la Call of des annĂ©es 2010. En effet, l’action a l’air plutĂŽt rapide et nerveuse, avec un gunplay qui s’est largement amĂ©liorĂ©. Il faut dire que l’on Ă©tait pas spĂ©cialement emballĂ© par la proposition des devs, mais force est de constater que WRAITH OPS pourrait ĂȘtre une expĂ©rience intĂ©ressante au final.

Également, suite la mise Ă  jour de la page Steam, on apprend un peu plus sur le synopsis du jeu, Ă  savoir que vous devrez choisir entre deux factions (Aegis Industries et Volga Battalion) ayant pour objectif retrouver et rĂ©cupĂ©rer les vestiges du mystĂ©rieux Project Wraith. Outre le customisation d’équipements et les quatre modes de jeu vus et revus, il est mentionnĂ© un systĂšme mĂ©tĂ©orologique dynamique et de dĂ©gĂąts rĂ©alistes pour rĂ©compenser le skill.

Les devs ont initialement prĂ©vu une sortie pour 2025, mais la page Steam du jeu n’en fait nullement mention. En attendant plus de prĂ©cisions sur la date de sortie du jeu, vous pouvez ajouter WRAITH OPS Ă  votre liste de souhaits Steam, si vous ĂȘtes emballĂ©.

Le créateur de Devil May Cry revient sur l'influence de la saga sur Bayonetta

20 avril 2025 Ă  15:12
Véritable ponte du jeu vidéo, le CV d'Hideki Kamiya est assez monstrueux. On lui doit Resident Evil 2, mais aussi la création d'un paquet de licences cultes dont Devil May Cry, qui sera reprise dÚs le second épisode par Hideaki Itsuno. Les deux ex-membres de Capcom ont pu échanger quelques mots doux lors de la Game Creators Conference 2025.

Jamais sorti, ce jeu Mario sur le Virtual Boy de Nintendo refait une apparition surprise

20 avril 2025 Ă  13:09
Nintendo a connu quelques flops parmi ses nombreuses propositions, parmi lesquels se trouvent le Virutal Boy : étrangement avant-gardiste, ce casque 3D à enfiler directement sur sa caboche proposait des jeux inédits avec un affichage stéréoscopique, tout en noir et rouge (ambiance). Lancé en 1995 et abandonné en 1996, il s'agit officiellement de la console la moins vendue de l'histoire de la firme
 mais elle devait pourtant accueillir un jeu Mario inédit. { "@context": "http:\/\/schema.org", "@type": "ImageObject", "contentUrl": "https:\/\/cdn.gamekult.com\/images\/news\/30\/3050863318\/jamais-sorti-ce-jeu-mario-sur-le-virtual-boy-de-nintendo-revient-d-entre-les-morts-32935bd3.jpg", "thumbnailUrl": "https:\/\/cdn.gamekult.com\/optim\/images\/news\/30\/3050863318\/jamais-sorti-ce-jeu-mario-sur-le-virtual-boy-de-nintendo-revient-d-entre-les-morts-32935bd3__283_159.jpg", "datePublished": "2025-04-18T16:06:19+02:00", "name": "", "description": "" }

COVENANT, le FPS soulslike coop et PVP, revient avec une nouvelle bande-annonce

Par :Loulou
20 avril 2025 Ă  10:54

DĂ©couvert en fin d’annĂ©e derniĂšre, COVENANT, dĂ©veloppĂ© par le studio Legion composĂ© d’anciens devs ayant travaillĂ© sur les licences telles qu’Apex Legends, Call of Duty, HaloDestinyBattlefield, et mĂȘme DOOM, refait parler de lui Ă  l’occasion du Galaxies Gaming Showcase 2025. Dans ce nouveau trailer, on y voit surtout un succession de panoramiques des divers environnements que nous pourrons explorer, et quelques extraits de gameplay. Dans cet univers sombre, vous incarnerez un messenger, un ange guerrier envoyĂ© par les Composers pour dĂ©couvrir la vĂ©ritĂ© derriĂšre la disparition de l’un des vĂŽtres, Malach, et d’une entitĂ© nommĂ©e la Creation.

En sa qualitĂ© de soulslike, la difficultĂ© sera relevĂ©e avec des ennemis et des boss aux coups dĂ©vastateurs. Vous risquez donc de mourir un nombre incalculable de fois si vous ĂȘtes nĂ©ophyte dans ce genre de jeu. Pour les autres, ce sera une partie de « plaisir Â» jusqu’à atteindre la satisfaction orgasmique d’avoir dĂ©boĂźtĂ© un boss. La direction artistique est toujours trĂšs marquĂ©e dark fantasy et semble plutĂŽt pas mal, espĂ©rons qu’autant d’attention sera portĂ©e au gunfeel.

Le dĂ©veloppement de COVENANT ayant Ă  peine dĂ©butĂ©, aucune date de sortie n’est prĂ©vue pour le moment. En attendant de nouvelles news, vous pouvez l’ajouter Ă  votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

PlayStation : jugĂ© trop "fou", Shuhei Yoshida n'a jamais Ă©tĂ© nommĂ© Ă  la tĂȘte de Sony Interactive Entertainment

20 avril 2025 Ă  11:01
Game File a organisé une session de questions-réponses entre développeurs et autres acteurs du secteur vidéoludique. Un panel plutÎt prestigieux qui comportait notamment Gilles Langourieux, PDG de Virtuos, qui s'est empressé de poser une question à Shuhei Yoshida, ancien ponte de PlayStation.

Leçon de team building dans la derniÚre bande-annonce FBC: Firebreak

Par :Loulou
20 avril 2025 Ă  10:46

InvitĂ© au Galaxies Gaming Showcase 2025, le studio Remedy Entertainment a profitĂ© de l’occasion pour dĂ©voiler une nouvelle bande-annonce de FBC: Firebreak, un FPS coopĂ©ratif se dĂ©roulant dans l’univers du jeu Control. Bien que vous pourrez jouer seul (si vos amis sont des boulets), il est question ici de rappeler l’importance de la synergie d’une Ă©quipe. Par exemple, l’un des joueurs pourra utiliser son arme pour libĂ©rer son coĂ©quipier de l’emprise de post-it ou d’une masse rose envahissante, voire Ă©teindre des feux. Il est Ă©galement intĂ©ressant de constater que l’on pourra interagir avec l’environnement meurtrier (blizzard, radiation, piĂšges en tout genre
), que ce soit en tirant dans le sprinkler ou en profitant des flammes Ă©manant d’énormes ventilos.

Vous l’aurez compris, trouvez vite des amis pour former une Ă©quipe au risque que la situation dĂ©gĂ©nĂšre vite. Sinon, FBC: Firebreak est toujours prĂ©vu pour l’étĂ© 2025 et si vous souhaitez en apprendre davantage, un live dispensĂ© par les devs est programmĂ© pour le 24 avril.

En attendant de nouvelles infos, vous pouvez ajouter FBC: Firebreak Ă  votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store, s’il vous intĂ©resse. Il sera aussi disponible dans le Xbox Game Pass.

Un trailer, mais toujours pas de date pour le puzzle-game ChromaGun 2: Dye Hard

Par :Loulou
20 avril 2025 Ă  10:42

À l’occasion du Galaxies Gaming Showcase 2025, Pixel Maniacs, le studio derriĂšre ChromaGun et sa suite ChromaGun 2: Dye Hard, a dĂ©voilĂ© un court trailer mĂ©langeant gameplay et cinĂ©matiques avec une touche d’humour. Contrairement au premier Ă©pisode, le studio a dĂ©sormais l’appui de l’éditeur PM Studios et il sera toujours question d’un puzzle game, dont les Ă©nigmes se rĂ©soudront avec un pistolet tirant des balles de peintures. À la rĂ©dac, durant le Steam Neo Fest de fĂ©vrier dernier, on avait bien apprĂ©ciĂ© la dĂ©mo qui est d’ailleurs toujours disponible depuis la page Steam du jeu, si vous souhaitez occuper votre temps libre du week-end de PĂąques.

Hormis cela, la bande-annonce ne nous apprend pas grand chose et on aurait pu penser qu’une date de sortie serait rĂ©vĂ©lĂ©e. Rappelant fortement la franchise Portal, la direction artistique du jeu a l’air plutĂŽt originale surtout lors de l’exploration des mondes parallĂšles. Quant au gameplay, il semble trĂšs intĂ©ressant avec la rĂ©solution d’énigmes plus tordues les unes que les autres.

PrĂ©vu pour courant 2025 et attendant l’annonce d’une date de sortie, vous pouvez toujours ajouter ChromaGun 2: Dye Hard Ă  votre liste de souhaits Steam et jouer Ă  la dĂ©mo, si vous ĂȘtes intĂ©ressĂ©.

OMG OMG OMG ! Nouveau scam en vue avec Scary Cargo

Par :Estyaah
20 avril 2025 Ă  10:34

Il y a quelques jours, le trailer de Scary Cargo est apparu sur la toile, avec un titre de vidĂ©o plutĂŽt Ă©vocateur : « Gameplay Reveal Â». Mais si cette vidĂ©o recĂšle la moindre once de gameplay, alors je suis le pape. Ce n’est qu’une cinĂ©matique de bout en bout, avec de prĂ©tendus joueurs simulant une partie et criant « OH MY GOD Â» toutes les 4,4 secondes en moyenne (on a comptĂ©). Parce qu’en plus, n’allez pas imaginer que le concept est original : c’est uniquement un rip-off de Lethal Company ou R.E.P.O. Si quelques observateurs ne sont pas dupes, la plupart des messages sous la vidĂ©o sont dĂ©solants de stupiditĂ©. Ils s’extasient sur le fait que le jeu fait peur ou que c’est beau, et ont l’air trĂšs impatients de jeter leur argent au premier dĂ©veloppeur solo opportuniste. D’aprĂšs les messages sur Steam, il semblerait qu’il soit Chinois, mais mĂȘme son pseudo sur la fiche Steam est louche : il a choisi le nom d’un homme d’affaires turc.

Depuis qu’il a rĂ©vĂ©lĂ© son « jeu Â», plus de 21 000 personnes l’ont wishlistĂ©, ce qui nous conforte dans l’idĂ©e que l’humanitĂ© est vouĂ©e Ă  sa perte. Le problĂšme, c’est qu’il est maintenant motivĂ© Ă  rĂ©ellement faire son machin pourri. Croisons les doigts pour qu’il ne fasse pas d’accĂšs anticipĂ©, ou pire, de campagne Kickstarter.

Ultime bafouille - Pourquoi les jeux vidĂ©o pour enfants sont si mauvais (et pourquoi c’est grave)

Par :Kyujilo
20 avril 2025 Ă  08:01
Il suffit d’assister Ă  une discussion Ă  propos d'un film d’animation paresseux, un jeu vidĂ©o mal torchĂ© ou une sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e conçue Ă  la va-vite pour entendre cette phrase, devenue le joker de la mĂ©diocritĂ© : « C’est nul, mais bon, c’est pour les enfants ». Elle tombe comme une sentence, censĂ©e clore le dĂ©bat. Comme si l’enfance justifiait le bĂąclage. Comme si l’immaturitĂ© supposĂ©e des jeunes publics autorisait Ă  leur servir des rĂ©cits plats, des visuels gĂ©nĂ©riques et des mĂ©caniques de jeu au rabais. C’est un rĂ©flexe culturel inquiĂ©tant, profondĂ©ment enracinĂ©. Et c’est un problĂšme.

Nouveau jeu : Star Wars Zero Company

Par :CBL
20 avril 2025 Ă  01:55
Cela fait quelques annĂ©es qu'on sait que Respawn et Bit Reactor bossent sur un jeu de stratĂ©gie dans l'univers de Star Wars et le titre vient d'ĂȘtre dĂ©voilĂ©. Star Wars Zero Company vous mettra dans la peau de la Zero Company, la version Star Wars de la A-Team / Suicide Squad / Thunderbolts en pleine Guerre des clones. Si vous zappez les deux premiĂšres minutes de la vidĂ©o de prĂ©sentation ultra-gĂ©nĂ©rique, vous pouvez apercevoir du gameplay, Ă  savoir un clone de XCOM. Entre les...

index.feed.received.before_yesterday3.1 đŸŽČ Jeux

L’étrange immersive & walking sim Militsioner nous montre 10 minutes de gameplay

Par :Estyaah
19 avril 2025 Ă  21:28

Cela fait maintenant quatre ans que l’on suit le dĂ©veloppement de Militsioner, un jeu Ă  la frontiĂšre entre le walking sim et l’immersive sim. La semaine derniĂšre, les dĂ©veloppeurs ont partagĂ©, via IGN, une sĂ©quence presque ininterrompue d’une dizaine de minutes pour nous montrer quelques possibilitĂ©s d’interactions. Pour rappel, le but du jeu est de fuir une petite ville des pays de l’Est, placĂ©e sous la surveillance d’un policier gĂ©ant. A priori, son humeur influera sur l’environnement et nos capacitĂ©s d’action, et il faudra donc discuter avec lui pour qu’il soit dans les meilleures dispositions possibles.

Dans cette sĂ©quence, on dĂ©couvre qu’on sera guidĂ© dans nos actions, grĂące Ă  une sorte d’arborescence indiquant les chemins possibles. Cela met bien en valeur l’aspect immersive sim, avec des choix vraiment diffĂ©rents pour atteindre les objectifs. On Ă©tait dĂ©jĂ  enthousiastes avec les prĂ©cĂ©dentes prĂ©sentations, cette derniĂšre ne fait que conforter notre sentiment. Visuellement, c’est trĂšs correct, mais le framerate est un peu limite, ce qui laisse craindre une optimisation pas encore au top. D’un autre cĂŽtĂ©, aucune date de sortie n’a encore Ă©tĂ© annoncĂ©e, ils ont peut-ĂȘtre encore le temps de se pencher dessus. Par contre, Militsioner a maintenant un Ă©diteur : c’est Critical Reflex, le mĂȘme que pour les walking sim horrifiques THRESHOLD et Mouthwashing, notamment.

En attendant d’avoir une fenĂȘtre de sortie, vous pouvez toujours ajouter Militsioner Ă  votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intĂ©resse.

TEST Mandragora: Whispers of the Witch Tree – La nouvelle rĂ©fĂ©rence de la Dark Fantasy

19 avril 2025 Ă  21:26

Mandragora: Whispers of the Witch Tree est ce qu’on pourrait appeler le metroidvania souls-like de la saison. Le jeu reprend une formule maintenant classique : un gameplay dynamique, des mĂ©caniques de game design inspirĂ©es par les jeux de FromSoftware et une exploration horizontale dans un monde sombre destinĂ© Ă  la dĂ©chĂ©ance. Mandragora rĂ©utilise une recette qui fonctionne, mais avec un charme nouveau qui lui est propre, donnant ce sentiment d’une Ɠuvre Ă  la fois rassurante et innovante.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree, produit par Primal Game Studio, est Ă  la base un projet Kickstarter ayant eu son petit succĂšs avec plus 270 000 $ rĂ©coltĂ©s pour 5 000 contributeurs. La promesse Ă©tait de crĂ©er un titre combinant plusieurs Ă©lĂ©ments d’Ɠuvres bien connues : l’exploration d’un Castlevania, les mĂ©caniques de combats de Dark Souls, la richesse narrative de The Witcher et la beautĂ© graphique de Ori and the Will of the Wisps. Ainsi, Mandragora: Whispers of the Witch Tree assume fortement ses rĂ©fĂ©rences et s’en inspire avec justesse pour ĂȘtre une Ɠuvre brillante malgrĂ© quelques dĂ©fauts.

Le cri d’un univers à l’agonie

Son monde se nomme Faeldumm et il se meurt. Les monstres ont envahi la majoritĂ© des rĂ©gions et seules quelques citĂ©s et villages parviennent Ă  survivre au milieu des tĂ©nĂšbres, repoussant les attaques sauvages grĂące Ă  des murs Ă©pais et des combattants endurcis. Les puissants de ce monde contiennent ce chaos en entretenant l’espoir et l’obĂ©issance du peuple. Ils pointent du doigt les entitĂ©s responsables de la dĂ©chĂ©ance de cet univers : les sorciĂšres, crĂ©atures cruelles et profanes qui souillent l’ordre du monde.

Un monde autrefois magnifique qu’il faut protĂ©ger

Dans tout ceci nous incarnons un inquisiteur, un orphelin ayant survĂ©cu grĂące Ă  ses dons magiques, Ă©levĂ© pour servir le puissant prĂȘtre-roi. Afin de lui arracher ses sombres secrets, notre maĂźtre nous ordonne d’aller capturer une sorciĂšre. Évidemment, notre mission ne se dĂ©roulera pas comme prĂ©vu. Une mystĂ©rieuse voix fait son apparition pour nous guider
 qui sait si ses paroles sont des mensonges qui servent Ă  condamner le monde ou des vĂ©ritĂ©s salvatrices, oubliĂ©es depuis bien trop longtemps ?

Dans un premier temps, il convient de dire que Mandragora porte trĂšs bien son titre de Souls-like, on y retrouve des mĂ©caniques qui appartiennent au genre et surtout, un univers qui souhaite nous Ă©chapper et qui s’interprĂšte. Le monde est cohĂ©rent, avec une narration agrĂ©able sans pour autant ĂȘtre trop cryptique. Un habile mĂ©lange des genres, entre le mystĂ©rieux du souls-like et le direct d’un RPG classique, qui permet d’apprĂ©cier une histoire efficace et franche, tout en soulevant des pointes de mystĂšre de temps en temps.

Concernant l’écriture du titre, elle se rĂ©vĂšle assez simple, mais permet d’avoir une aventure aussi humaine qu’épique. Certains choix que l’on peut faire durant les dialogues permettent de dĂ©bloquer diffĂ©rentes fins, mais cela n’est pas toujours Ă©vident Ă  distinguer. Si les textes des PNJ sont bien Ă©crits, ceux des joueurs, en revanche, manquent cruellement de finesse, voire comportent des erreurs de vocabulaire. Certaines phrases n’ont tout simplement pas de sens et risquent de dĂ©clencher des avancĂ©es vers des fins que l’on ne souhaite pas forcĂ©ment par manque de comprĂ©hension. Heureusement, notre personnage parle peu et cette impression s’oublie vite quand on le compare avec le reste.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree recrutement du cuisinier
Les PNJ sont de sacrés personnages

En effet, on se plaĂźt Ă  discuter avec chaque PNJ, qui bĂ©nĂ©ficient tous d’un excellent doublage anglais et d’une bonne Ă©criture. Leurs comportements sont assez rĂ©alistes et correspondent Ă  comment des personnes peuvent agir dans un univers sombre et oppressant, avec quelques touches d’humour, preuve de la rĂ©silience humaine. Il est d’ailleurs trĂšs plaisant de remarquer l’utilisation d’expressions, de chansons populaires ou encore de subtiles rĂ©fĂ©rences d’Internet faisant partie de la culture française. Une chouette attention de la part des traducteurs qui fait sourire. Chaque rencontre est un plaisir pour les oreilles et l’occasion de retrouver un peu d’humanitĂ©, pour le meilleur comme pour le pire.

Mortel, mais de toute beauté

Mais avant son histoire, ce qui est saisissant dans Mandragora, c’est sa direction artistique. Le jeu tourne sous le moteur Unreal Engine qui exploite Ă  merveille les graphismes en 2.5D. Les modĂšles des bĂątiments et des personnages sont simples, mais cela leur permet de rester la plupart du temps lisibles et comprĂ©hensibles, surtout quand de nombreux ennemis sont prĂ©sents Ă  l’écran ou que des effets de particules se superposent. On peut souligner l’utilisation d’un filtre donnant un effet de flou gaussien, appuyant l’ambiance onirique des lieux et donnant lieux Ă  de superbes jeux de lumiĂšres

Dans l’ensemble, le jeu gĂšre avec efficacitĂ© ses dĂ©cors, en proposant des visuels magnifiques en arriĂšre-plan qui montrent la richesse des environnements que l’on parcourt, tels que des moulins parmi les champs, les bois embrumĂ©s d’un marĂ©cage ou des Ă©tendues d’eau scintillantes dans le soleil couchant. Chaque zone possĂšde un vĂ©cu qui est retranscrit par une narration environnementale maĂźtrisĂ©e. Il est un peu dommage que la profondeur de champ ne serve pas Ă  montrer des Ă©vĂ©nements de l’histoire, comme la prĂ©sence d’un boss ou des dĂ©placements de monstres, Ă  l’image de certains metroidvania.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree ambiance environnement
Des dĂ©cors Ă  l’ambiance rĂ©ussie

En revanche, les illustrations des cinĂ©matiques et des personnages sont particuliĂšrement bluffantes. Elles utilisent ce qui est appelĂ© un style pictural, ressemblant ainsi Ă  de vĂ©ritables peintures avec de lĂ©gĂšres animations, changeantes en fonction de l’humeur du PNJ reprĂ©sentĂ©. On se surprend souvent Ă  contempler un visage pourtant peu agrĂ©able, mais saisissant de vie, unique Ă  cet art brut. Cela fait beaucoup penser au style du studio Vanilla Ware, qui utilise une animation semblable pour certaines de ses illustrations, mais avec un aspect plus rĂ©aliste et occidental.

Il est regrettable que la carte n’ait pas bĂ©nĂ©ficiĂ© de la mĂȘme attention graphique. Son apparence est bien trop simple quand on la compare avec les illustrations, ce qui casse l’immersion. Ce choix peut s’expliquer par le fait qu’elle montre toutes les ressources Ă  collecter et certains obstacles dĂ©couverts, ce qui pourrait devenir illisible. On aurait quand mĂȘme bien apprĂ©ciĂ© un entre-deux entre le style Ă©purĂ© et l’imagerie gĂ©nĂ©rale.

C’est en tout cas un rĂŽle que remplit parfaitement la bande-son. Mandragora possĂšde une ambiance sonore qui nous plonge parfaitement dans son univers sombre en proposant des thĂšmes reprĂ©sentant la mĂ©lancolie des lieux ou l’hostilitĂ© qui s’en dĂ©gage, auxquels s’ajoutent les sons d’ambiance propres aux niveaux ainsi que ceux que produisent les ennemis au loin : insultes, grondements ou raclements, par exemple. Cela nous fait d’autant plus remarquer les rares et vĂ©ritables musiques du jeu qui possĂšdent une atmosphĂšre chargĂ©e de mystĂšre.

Patience et puissance

Comme mentionnĂ© plus haut, Mandragora: Whispers of the Witch Tree est Ă  la fois un souls-like et un metroidvania, avec des notions de difficultĂ©s propres Ă  ces deux genres. La prise en main du gameplay est rapide, mais il faut constamment faire preuve de prudence, d’attention et de mĂ©thode. Le jeu propose de nombreux moyens pour que le joueur puisse accomplir sa quĂȘte, que ce soit en gĂ©rant son Ă©quipement avec les marchands recrutables ou en se renforçant grĂące aux impressionnants arbres de compĂ©tences.

Ces derniers, au nombre de 6, constituent le cƓur du gameplay du jeu et peuvent se comparer Ă  des classes connues des RPG, comme le paladin, le druide ou l’assassin. Les premiers niveaux servent Ă  se familiariser avec une seule de ces spĂ©cialitĂ©s, avant de dĂ©bloquer les autres aprĂšs quelques heures de jeu une fois niveau 25. Mandragora possĂšde un systĂšme avec un fort potentiel de combinaisons de capacitĂ©s.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree Arbre de compétences
Un arbre de compétences bien fourni, mais qui reste simple

Si les arbres de compĂ©tences semblent compliquĂ©s, ils sont pourtant trĂšs simples. Chaque classe ne possĂšde en rĂ©alitĂ© que 16 capacitĂ©s passives que l’on peut dĂ©bloquer ; les autres cercles reprĂ©sentent des gains de caractĂ©ristiques. Il est possible de privilĂ©gier diffĂ©rents chemins en fonction de son style et de mettre en place des synergies de compĂ©tences pour des effets dĂ©vastateurs.

Les sorts et capacitĂ©s actives, quant Ă  eux, ne se dĂ©bloquent qu’à mesure que vous progressez dans l’aventure, que ce soit en vainquant des ennemis, en les achetant auprĂšs de marchands ou dans des coffres cachĂ©s. Ce qui peut se rĂ©vĂ©ler frustrant si jamais votre cheminement vous emmĂšne loin des sorts spĂ©cifiques Ă  votre choix de dĂ©part. D’autant plus que certains ennemis peuvent se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre de sĂ©rieux obstacles dans votre exploration de Faeldumm.

Sur le mĂȘme sujet, il faudra environ une bonne cinquantaine d’heures pour terminer Mandragora: Whispers of the Witch Tree, sans pour autant pousser l’exploration Ă  fond. La plupart des amĂ©liorations de dĂ©placement se dĂ©couvrent Ă  partir d’une dizaine d’heures, en suivant la quĂȘte principale et elles se rĂ©vĂšlent vite indispensables pour tous bon explorateur. En effet, Le jeu possĂšde de nombreuses plateformes oĂč il est difficile de se dĂ©placer, les ennemis peuvent attaquer en nombre ou profiter d’une position avantageuse oĂč une mauvaise esquive peut conduire Ă  une chute mortelle.

Des affrontements éreintants

Comme le dit Primal Game Studio, Mandragora n’est pas un jeu de combat oĂč il est possible d’échanger des sĂ©ries de coups avec vos ennemis sans broncher. Ils sont bien trop nombreux, voire rĂ©sistants. La stratĂ©gie est de mise et il faudra anticiper leurs attaques pour s’en sortir. Évidemment, cela se rĂ©vĂšle essentiel contre tous les boss, qui seront souvent de formidables adversaires qu’il faudra prendre le temps de bien analyser pour leur survivre. MĂȘme si la plupart peuvent se montrer assez simples, ils possĂšdent gĂ©nĂ©ralement une attaque difficile Ă  comprendre et capable de faire fondre la barre de vie, imposant un pic de difficultĂ© inattendu au milieu d’un combat et jouant avec votre santĂ© mentale.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree Combat contre un boss
Certains combats demandent de dépasser ses limites avec finesse

Surtout si on prend en compte le fait que, Ă  notre goĂ»t, la plupart des ennemis possĂšdent bien trop de points de vie. Cela concerne aussi bien les boss qui peuvent se rĂ©vĂ©ler assez Ă©puisants, que les monstres de base. Heureusement, Mandragora en est conscient et propose de rĂ©duire certains paramĂštres, comme les dĂ©gĂąts subis par le joueur, les coĂ»ts d’endurance ou la santĂ© des ennemis jusqu’à 70 % de leur montant initial. Ce qui nous parait correct pour une bonne expĂ©rience de jeu.

On pourrait rĂ©torquer qu’il est possible de foncer Ă  travers les hordes de monstres pour Ă©viter de perdre du temps ou des ressources, mais cela est sans compter les rĂ©compenses lĂąchĂ©es Ă  leurs morts : de l’essence pour monter de niveau, de l’or pour les marchands et des matĂ©riaux pour fabriquer vos Ă©quipements. Et vu l’importance de la fabrication dans ce jeu, il vaut mieux possĂ©der le plus de ressources possible.

S’équiper pour briller

Mandragora: Whispers of the Witch Tree fait la part belle aux marchands, bien plus que ne le font les autres titres du genre. Ils sont un Ă©lĂ©ment essentiel dans la progression du personnage et permettent de grandement faciliter la survie, que cela soit en fabriquant des armes, des armures, des potions ou pour l’enchantement. La rĂ©colte est une nĂ©cessitĂ© dans ce jeu.

L’introduction des marchands se fait en douceur et rĂ©compense naturellement l’exploration. Presque la totalitĂ© d’entre eux sont optionnelles et demandent de faire preuve de curiositĂ© pour les recruter, que ce soit en leur parlant dans les villages, en accomplissant des quĂȘtes ou en les sauvant de griffes de monstres. Chaque marchand est une belle rencontre qui apporte son lot de mystĂšre et lĂ  possibilitĂ© de se renforcer, Ă  condition d’investir dans son activitĂ©.

Et oui
 malheureusement le commerce et l’artisanat ne sont pas des activitĂ©s faciles ni florissantes dans ce monde, vos compagnons vont bien vous le faire comprendre. Les commerces possĂšdent un systĂšme de niveau qu’il faut faire progresser, que ce soit en fabriquant des objets ou en donnant des diagrammes, sortes de parchemins trouvables un peu partout. Plus un marchand possĂšde une activitĂ© de haut niveau, plus il proposera des Ă©quipements de qualitĂ© et rĂ©duira ses prix. D’oĂč la furieuse nĂ©cessitĂ© de rĂ©colter le plus de matĂ©riaux possible, que cela soit sur des monstres ou en les rĂ©coltant dans l’environnement.

Entretenez un petit jardin chez votre alchimiste favorite

En soi, Mandragora: Whispers of the Witch Tree possĂšde une boucle de gameplay assez vertueuse, plus on explore, plus on est familier avec les adversaires sur lesquels on trouve de matĂ©riaux, plus il est possible de se crĂ©er un Ă©quipement puissant. De plus, on s’attache bien vite Ă  la personnalitĂ© de chacune de nos rencontres et on peut mĂȘme regretter qu’il n’y ait pas plus d’interactions entre eux pour dĂ©velopper un esprit de communautĂ©.

Verdict

MalgrĂ© quelques dĂ©fauts, Mandragora: Whispers of the Witch Tree s’est fait sa place parmi les rĂ©fĂ©rences du genre metroidvania souls-like. C’est un pari rĂ©ussi de la part des dĂ©veloppeurs de chez Primal Game Studio qui ont fait preuve aussi bien de passion que d’expertises. Il aurait Ă©tĂ© agrĂ©able que le jeu exploite bien plus de concepts, comme l’utilisation de l’arriĂšre-plan ou les interactions entre PNJ. Heureusement, la gestion des compĂ©tences avec les arbres de classes et la fabrication d’équipements constituent des mĂ©caniques de jeu qui s’apprĂ©cient grandement.
Si vous cherchez une bonne expĂ©rience d’exploration, dans un univers sombre et avec des combats intĂ©ressants, malgrĂ© quelques pics Ă©tranges de difficultĂ©, alors ce jeu trouvera sans problĂšme sa place dans votre collection.

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Preview : 2XKO : deuxiĂšme round avant le match final, voici notre seconde preview

Par :Cael
19 avril 2025 Ă  19:01
En aoĂ»t 2024, nous avions participĂ© Ă  l'Alpha Lab de 2XKO presque en catimini, en dĂ©gotant un code dans la grande loterie des participations organisĂ©e par Riot Games. Un coup de chance qui nous avait permis de dĂ©couvrir un jeu de combat 2v2 particuliĂšrement riche, mais certes loin d'ĂȘtre terminĂ©. Aujourd'hui, alors que l'Ă©diteur lance l'Alpha Lab 2, nous pouvons confirmer que nous sommes arrivĂ©s par l'entrĂ©e des artistes, la semaine derniĂšre, Ă  un gros Ă©vĂ©nement parisien oĂč nous avons pu tĂąter les nouveautĂ©s.

La dĂ©mo de Deadzone: Rogue n’est finalement pas si nulle et l’accĂšs anticipĂ© dĂ©butera le 29 avril

Par :Estyaah
19 avril 2025 Ă  18:09

On avait dĂ©couvert Deadzone: Rogue lors de la sortie de sa dĂ©mo en novembre dernier. Les dĂ©veloppeurs de Tribes 3: Rivals, nous proposaient une variante roguelite de son feu extraction shooter pourri Starsiege: Deadzone. Mais malgrĂ© un feeling correct, l’IA de merde et les niveaux un peu nuls ne nous avaient pas convaincus. MalgrĂ© tout, il y a une dizaine de jours, les crĂ©ateurs ont annoncĂ© la sortie de l’accĂšs anticipĂ© pour le 29 avril prochain. Mais une chose a retenu notre attention dans ce billet de blog : « fort de plus de 100 000 whishlists et d’une note de plus de 90 % Â». Comment est-ce possible pour une dĂ©mo aussi pourrave ? Les gens ont-ils toujours plus un goĂ»t de merde ?

Par dĂ©ontologie journalistique (promis, ce n’est pas une insulte), nous avons voulu vĂ©rifier si l’expĂ©rience avait Ă©tĂ© retravaillĂ©e. Surprise, c’est bien le cas. Alors oui, les ennemis sont toujours des putains de robots, mais ils sont maintenant beaucoup plus vifs, et il y a rapidement un certain challenge. Pareil pour les environnements : ce n’est toujours pas trĂšs inspirĂ©, mais ça fonctionne plutĂŽt bien au final. Et il semble que le feeling se soit Ă©galement lĂ©gĂšrement amĂ©liorĂ©, alors qu’il n’était dĂ©jĂ  pas trop mal. D’autre part, l’aspect roguelite avec les armes de diffĂ©rents niveaux de puissance et effets alĂ©atoires, associĂ©es Ă  des augmentations de capacitĂ©s temporaires, accroche immĂ©diatement. Enfin, cerise sur le gĂąteau, il apparaĂźt qu’il soit possible de jouer en coopĂ©ration. On n’irait pas jusqu’à dire que c’est un sans faute, mais force est de constater que c’est une bien meilleure expĂ©rience qu’il y a six mois. Et vu le nombre de wishlist, il est fort probable que le titre ait son petit succĂšs lors de sa sortie. Il sera proposĂ© Ă  20 € pendant deux semaines, puis Ă  25 €.

En attendant le 29 avril pour le lancement de l’accĂšs anticipĂ©, vous pouvez toujours tester la dĂ©mo de Deadzone: Rogue en vous rendant sur sa page Steam.

The Research – part one, la nouvelle mise à jour de Gloomwood est sortie

Par :Loulou
19 avril 2025 Ă  17:22

AprĂšs la sortie de la derniĂšre mise Ă  jour de dĂ©cembre 2024, les devs du jeu Gloomwood sont restĂ©s bien silencieux depuis, et ce n’est que dans le courant de la semaine que ces derniers ont publiĂ© un billet de blog Steam pour annoncer le dĂ©ploiement d’une nouvelle mise Ă  jour, The Research. DĂ©sormais, vous pouvez vous transformer en Goatman, Bat Barber ou Crowman,et bĂ©nĂ©ficier de leurs capacitĂ©s. Pour ce faire, il vous faut au prĂ©alable user de votre scie Ă  os sur le cadavre de ces crĂ©atures pour rĂ©cupĂ©rer les parties nĂ©cessaires Ă  la crĂ©ation d’un sĂ©rum. En dehors de ça, vous disposez Ă©galement d’un journal de bord rĂ©pertoriant moult informations (carte, recettes de sĂ©rum, Ă©tat de santé ).

Avec cette nouvelle mise Ă  jour, l’action prime davantage sur la discrĂ©tion et vous permet d’abattre avec moins de difficultĂ© vos ennemis. Il semblerait mĂȘme que vos semblables monstrueux vous rejoignent durant vos confrontations. Les devs ont d’ores et dĂ©jĂ  annoncĂ© que de nouvelles transformations arriveront plus tard, dont des crĂ©atures de plus petites tailles.

Actuellement, Gloomwood est toujours en accĂšs anticipĂ© et bĂ©nĂ©ficie d’une rĂ©duction de -25 % dans le cadre des Lovecraftians Days de Steam, soit un peu moins de 15 €, si vous ĂȘtes intĂ©ressĂ©.

Metal Gear : un concert symphonique d'exception aura lieu Ă  Londres en 2025

19 avril 2025 Ă  15:20
Décidément revenue d'entre les mortes, la saga Metal Gear accouchera bientÎt d'un remake trÚs attendu (ou redouté, on ne sait pas trop) tandis que les plans de Konami quant au futur de la série restent à déterminer. En tout cas, vous serez ravis d'apprendre qu'un concert inédit aura lieu dans la capitale anglaise
 et vous le serez d'autant plus si vous les moyens de vous rendre sur place.

Il vend des Switch piratées au Japon et écope d'une peine de prison avec sursis, une premiÚre du pays

19 avril 2025 Ă  12:54
On ne rigole pas avec Nintendo, surtout pas quand il s'agit de violer ses droits d'une quelconque maniÚre. L'entreprise vient de gagner son procÚs contre un Japonais de 58 ans qui avait vendu des Switch modifiées par ses soins, pour savoir si les gens pensaient de lui "qu'il était génial".

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