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Reçu aujourd’hui — 1 septembre 2025Insert Coin

HELL IS US – Test PS5

1 septembre 2025 à 09:57

Si la guerre est ce qui se rapproche le plus de l’enfer sur terre c’est qu’elle abrite le pire des démons : l’Homme. Dans un pays isolé, ravagé par un conflit fratricide, découvrez les secrets de votre passé et affrontez une énigmatique calamité.

Voici le pitch de Hell is Us, dernier-né des studios Rogue Factor et l’éditeur Nacon. Ce jeu d’action/aventure à la 3ème personne nous met dans la peau de Rémi (un Vigil), accompagné de son drone KAPI, dans l’exploration d’un monde dévasté et peuplé d’étranges créatures…

Pas de carte ni d’indicateur de quête… le jeu nous propose de suivre notre instinct (et une boussole quand même…) et cela donne une expérience riche en découverte. L’exploration est au cœur du jeu et on pourrait presque parler de jeu d’enquête tant il faut trouver des indices, lire des documents, trouver des clefs ou autres objets à combiner, rencontrer des PNJ, etc…

C’est une expérience unique qui vous attend, vous donnant les clés pour faire vos propres choix et explorer suivant vos ressentis, grâce à une écriture et un level design bien sentis. On fait certes certains allers et retours mais c’est toujours judicieux.

Hell is Us n’en reste pas moins un jeu où l’action est présente avec de fréquentes confrontations aux monstres blancs étranges appelés les Hollow Walkers et leur lumière mystique (Hazes). Et pour s’en sortir on a droit à un arsenal complet et évolutifs avec des épées, lances et haches souvent impressionnantes par leur taille et leurs effets (armes lymbiques). Notre drone nous aidera aussi beaucoup dans ces combats et il faudra toujours bien veiller à utiliser la bonne arme sur le bon ennemi selon des effets liés aux émotions… terreur, extase, rage, chagrin… Une belle idée de gameplay mais qui s’inscrit aussi judicieusement dans l’esprit de l’intrigue…

Comme le dit Jonathan Jacques-Belletête, le directeur créatif de Rogue Factor, le thème central de Hell is Us est le fait que la violence humaine est un cycle perpétuel largement alimenté par les émotions et les passions humaines.

Ainsi, vous l’aurez compris, comme l’homme peut être un loup pour l’homme, l’intrigue de Hell is Us ne repose pas que sur l’affrontement d’un ennemi surnaturel… il y a un message bien plus profond que je vous laisse découvrir si vous décidez de vous lancer dans l’aventure…

Grahiquement, Rogue Factor a fait un sacré bon boulot avec des environnements détaillés et variés avec des effets de brumes ou de lumières plutôt efficaces. La musique est elle aussi de qualité, omniprésente et ajoute à l’ambiance mystérieuse du jeu. Le bestiaire est assez étonnant au niveau du design avec des créatures parfois dotées de formes étonnantes… La direction artistique est pas mal du tout.

La difficulté augmente doucement dans le jeu avec des accès plus difficiles à franchir (il faut souvent la bonne clé, actionner le bon mécanisme, trouver pour cela le bon objet… et du coup parcourir des zones déjà traversées) mais aussi des ennemis plus nombreux et plus vicieux aussi. Les confrontations deviennent alors un peu plus techniques et dépendront de la bonne évolution de votre personnage et son équipement.

Hell is Us est une belle surprise. On y incarne un personnage qui, comme nous, découvre et subit un peu le monde qui l’entoure. Oscillant entre action et exploration, Hell is Us est finalement, surtout un jeu d’aventure ou l’enquête est perpétuelle et ça donne beaucoup de corps eu titre n’en déplaise à ceux qui espérait un jeu bourrin. Ce n’est pas le cas. L’intrigue se déroule, découverte après découverte pour nous tenir en haleine de nombreuses heures. Un coup de cœur à découvrir dès ce 4 septembre sur PC, PS5 et Xbox Series.

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SPACE ADVENTURE COBRA: The Awakening – Test PS5

1 septembre 2025 à 09:34

Une chose est sûre, Microids voue clairement un amour assumé pour les vieilles gloires animées des années 70 et 80, du moyen Goldorak au bugué Tintin en passant par le sympa Les Schtroumpfs. Et pour prolonger l’été, c’est Cobra qui débarque, confié au studio français Magic Pockets. Sur le papier, on nous vend un Metroidvania. Reste à savoir si la mission est accomplie…

L’HISTOIRE DU JEU

Space Adventure Cobra: The Awakening, comme son nom l’indique prend place aux débuts du célèbre pirate. Même si comme moi vous n’aviez pas connu le dessin animé diffusé chez Dorothée ou que vous étiez trop jeune à l’époque, pas de panique : le jeu prend soin de bien remettre en place toute l’intrigue de l’anime. Mêlant extraits originaux et scènes de dialogue, le jeu nous propulse direct dans l’univers. Par contre désolé de vous décevoir mais la VF a entièrement été refaite, et… ce n’est pas choquant, les comédiens ont fait un travail de qualité.

LE GAMEPLAY

Mettons les points sur les virgules tout de suite : non, Cobra n’est pas un Metroidvania, mais un bon vieux side-scroller 2D à l’ancienne. Le concept est simple : des ennemis qui pullulent sur votre chemin vous allez devoir tous les détruire. Grâce à vos attaques à distance, tir simple, chargé, spécial vous avez aussi la possibilité d’attaquer au corps à corps. Plus simple, basique mais en réalité ça fait le travail et c’est assez instinctif dés le début du jeu.

Le jeu tente aussi de glisser une dose de plate-forme… mais là, ça coince. Les sauts de Cobra manquent cruellement de précision et le résultat est décevant, vous allez passer votre temps à rater, râler et abandonner. Heureusement, les séquences d’action et de tir sont plutôt réussies mais répétitives.

Graphiquement, un jeu à la bourre…

Avant de râler davantage, remettons aussi les choses dans leur contexte, le jeu est développé par une petite équipe, sans les moyens colossaux des gros studios… Mais soyons honnêtes : visuellement et techniquement, on se prend une bonne claque… de retard. On parle d’un gap d’au moins une bonne dizaine d’années.

Au bout d’une heure de jeu, on s’ennuie, et mise à part quelques décors sympathiques, il n’y a pas la claque, le style de l’animé et du manga et les animations sont beaucoup trop rigides, ce n’est pas à l’image de l’œuvre culte de Buichi Terasawa, la seule valeur ajoutée sera de (re)découvrir les extraits de l’animé.

LES +

Un re-doublage très réussi
Les scènes d’action efficaces
Le respect de l’animé
Les extraits choisis

LES –

Les graphismes
Animations figées et vieillottes
Phases de plate-forme
Que le jeu est répétitif…
Boss long à battre sans aucun challenge


Bon, inutile de faire les surpris, on s’attendait à ce que Cobra ne soit pas une dinguerie, cela aurait pu être un bon jeu, c’est un titre médiocre. Destiné aux personnes ayant connu l’animé et le manga, il n’y a pas vraiment de challenge et vous allez vite tourner en rond. Les décors restent jolis à regarder mais le titre à trop de retard. Ce n’est pas le pire jeu du monde mais il reste en dessous de la moyenne. Dommage.

Test réalisé par Aurélien

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Reçu avant avant-hierInsert Coin

ROBOCOP: UNFINISHED BUSINESS – Test PS5

28 août 2025 à 10:20

Alors qu’en 2023, Robocop Rogue City avait ravi les fans du film de Paul Verhoeven (1987) mais un peu moins les gamers aguerris, voici que Nacon sort ce qui n’est ni un DLC, ni vraiment une suite, mais un stand alone intitulé Robocop Unfinished Business

On est toujours dans la peau de Alex Murphy alias RoboCop au cœur de Old Detroit et particulièrement l’OmniTower. Le commissariat a été pillée et l’OmniTower est prise par des mercenaires motivés… Forcément, on envoie RoboCop mettre de l’ordre dans tout cela avec une ambiance scénaristique digne des bons vieux films des années 80.

Des cinématiques rythme une progression assez directe pour qu’on profite d’un fond d’intrigue mais l’action reste assez primaire et on retrouve ce gameplay assez lent et rigide, en tous cas, plutôt old-school.

Auto-9 en main, Robocop bénéficie toujours de capacités accrues avec des systèmes de bouclier, de visée, de ralentis de l’action… des actions secondaires qui sont toujours dispos mais doivent se recharger. On jongle alors entre toutes ses possibilités ainsi qu’au choix d’armes variées, on peut en effet prendre celles des ennemis à terre ou bien par exemple s’approprier de lourdes mitrailleuses pour un moment.

Avec quelques améliorations sur le Auto-9, quelques nouvelles armes et des ennemis un peu nouveaux par rapport à Rogue City, ce nouvel opus n’apporte pas de réelles innovations et c’est bien dommage. D’autant plus que le jeu, techniquement, est pas si mal avec de bonnes sensations visuelles, ce système d’enquête par scan toujours intéressant et surtout des confrontations toujours musclées et souvent explosives…

On apprécie aussi, pour les fans, ces PNJ qui vous lance des quiz sur l’univers de Robocop…

Ce stand alone à moins de 30€ permet de s’amuser un peu plus avec Robocop pour une petite dizaine d’heure. Les fans apprécieront cette rallonge même s’ils attendront sans doute que les développeurs aillent un peu plus loin dans la nouveauté lors d’un éventuel prochain opus. Ce Unifinished Business reste, néanmoins, un autre bel hommage à ce personnage culte des années 80.

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GEARS OF WAR: RELOADED – Test PS5

26 août 2025 à 17:00

Oui oui, il faut s’y faire, Gears of War est désormais jouable sur une PlayStation 5. Exclu incontournable de la Xbox depuis sa sortie initiale en 2006, la saga Gears of War a eu plusieurs suites mais ici, c’est le premier opus qui revient sur Xbox et donc sur PS5 et PC avec Gears of War: Reloaded

Après Gears of War Ultimate Edition qui proposait déjà, en 2015, un lifting plutôt conséquent au jeu, ce Reloaded apporte lui aussi quelques agréments notables…

D’abord, le jeu est optimisé pour Xbox Series, PC et PS5. Il est cross-play et cross-progression et notez qu’il est dispo dès aujourd’hui dans le Game Pass. Pour les joueurs Xbox qui possèdent GOW Ultimate Edition, cette amélioration Reloaded est gratuite.

Entièrement remasterisé en 4K, avec prise en charge jusqu’à 120 images par seconde, c’est donc, on peut le dire, la version ultime du jeu qui a lancé la série. Notez que tous les contenus téléchargeables sortis après le lancement seront accessibles gratuitement, dont un acte bonus pour la campagne, l’ensemble des cartes et modes multijoueur ainsi qu’une large sélection de personnages et d’éléments cosmétiques classiques à débloquer via la progression du jeu.

Gears of War revient donc aujourd’hui dans une version repensée pour les plateformes modernes, avec des performances et des graphismes largement améliorés. The Coalition en collaboration avec Sumo Interactive et Disbelief, a fait du bon boulot.

Vous le savezn c’est un jeu qui a été conçu pour être joué à plusieurs, que ce soit en local ou en ligne. La campagne se joue en coop à deux joueurs, tandis que le mode multijoueur compétitif permet à 8 joueurs de s’affronter.

Résolution 4K, 60FPS en campagne, 120FPS en multi, HDR, Dolby Vision, Dolby Atmos, Audio Spatial 3D, VVR, aucun écran de chargement pendant la campagne, etc… Le jeu est désormais à la pointe de la technologie.

Bien sûr, on sent bien que c’est un jeu qui est sorti en 2006 et ça se ressent par une certaine lourdeur dans l’action où il faut souvent attendre ses coéquipiers, attendre qu’une cinématique se déclenche. L’ensemble manque de fluidité par rapport aux titres actuels. Aussi, même si le jeu a l’époque était une pépite niveau gameplay, on peut ressentir un côté pataud dans le déplacement des personnages. En même temps ils ont de lourdes armures… Aussi, le système de couverture, plutôt précurseur à l’époque, est un peu dépassé et on peut parfois râler dans certaines situations, aussi au niveau du corps à corps.

Notez néanmoins que le jeu propose différents contrôles pour ceux qui préfèreront l’approche d’origine ou bien une approche un peu plus moderne.

En solo ou en multi, le jeu reste très agréable visuellement avec une ambiance qu’on aime toujours autant et du bon jeu d’action bourrin qui ne fait pas dans la dentelle. Les nostalgiques valideront se retour lifté tandis que les néophytes pourront découvrir dans de bonnes conditions un jeu incontournable de l’histoire de la Xbox et du jeu vidéo en général.

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GROUNDED 2 – Test PC

26 août 2025 à 09:14

Grounded 2 est enfin disponible sur Xbox et PC en accès anticipé. Cela va ravir les fans de jeux de survie et si vous avez aimé le premier épisode vous ne serez pas déçu de cette suite. Grounded 2 propose la suite des aventures de ces enfants qui avaient été miniaturisés par un scientifique complètement fou. Vous allez pouvoir explorer un nouveau jardin et tenter de survivre pour percer les mystères de cette sombre affaire. 

Un jeu toujours aussi solide ! 

Grounded 2 est un jeu de survie plutôt accessible et qui reste une très bonne porte d’entrée pour tous les novices du genre. Au début du jeu, vous allez pouvoir moduler votre expérience pour rendre la survie plus ou moins difficile. Personnellement j’ai opté pour le mode facile pour me familiariser avec les nouvelles mécaniques et boss de ce nouvel épisode. 

L’environnement de Grounded 2 change un peu car vous allez pouvoir explorer un jardin public. Cela permet d’avoir un monde plus grand que le premier épisode qui se déroulait dans une arrière-cour. Le monde foisonne de vie et mon expérience sur PC était optimale. Le jeu est très joli et le système de journée marche très bien car il vous oblige à répartir vos tâches et missions selon les circonstances. 

La possibilité d’apprivoiser des insectes pour nous assister dans notre quotidien est un très bon ajout de gameplay. Vous allez pouvoir les utiliser comme monture, les utiliser comme transport de marchandise et même vous aider en combat contre les boss du jeu. Cela n’est pas négligeable car la faune locale est assez hostile et les combats sont devenus un peu plus difficiles. Les insectes se battent très bien et il vous faudra un bon arsenal pour en arriver à bout. 

A noter que les différents outils ou intéractions pour crafter et récolter des ressources ont été entièrement revus. Grounded 2 propose une meilleure ergonomie dans son système de jeu et c’est très plaisant manette en main. Le jeu est toujours en cours de développement mais pas d’inquiétude car la traduction française du titre est déjà disponible. Sur mes différentes sessions de jeux je n’ai pas rencontré de bug et le titre continue de recevoir des patchs et mises à jour intéressantes. Une annonce a été faite il y’a peu, vous allez pouvoir affronter un nouveau type de boss : une tarentule terrifiante. 

Grounded 2 est très plaisant à jouer et mérite d’être découvert par plus de monde. Son accessibilité et son gameplay plus ergonomique rendent le titre très plaisant à jouer.  Son univers et sa direction artistique cartoonesque lui permettent de se hisser dans les meilleures exclusivités chez Xbox. Une feuille de route est déjà disponible en ligne pour permettre aux fans ou aux nouveaux joueurs d’être informés concernant les futures mises à jour, patchs et fonctionnalités bientôt disponibles. Tentez l’aventure à plusieurs si vous êtes phobiques des insectes ou partez à l’aventure et découvrez votre jardin sous un nouvel angle.

Test réalisé par Pierre

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LEICA Q3 – Test photo (au Maroc!)

21 août 2025 à 17:42

Dernier modèle de la gamme compacts experts de Leica, le Q3 est sorti il y a quelques temps maintenant mais reste dans le haut du panier quand on parle d’excellence photographique pour pro ou amateur (dans sa catégorie en tous cas). Nous l’avons testé tout l’été et voici notre avis d’utilisateur amateur…

On reconnait la ligne pure du design à la Leica avec ce modèle qui n’est pas des plus compact mais qui reste un modèle facile à trimballer. En effet, son objectif est fixe mais reste suffisamment petit pour entrer facilement dans un sac ou l’avoir autour du cou sans que cela pèse trop (743gr). Plein format 60 megapixels pour cet objectif Summilux 28mm.

Parlons de ce qui fâche de suite, le Leica Q3 n’est pas un appareil pour toutes les bourses. Comptez en effet près de 6000€ pour acquérir ce petit bijou. Le Leica Q3 c’est d’abord une affaire de finition exemplaire (boitier métallique et revêtement cuir) et de qualité d’image top niveau. La Rolls des compacts…

L’ergonomie de l’appareil est bonne malgré son design simpliste. Mais les commandes restent assez limité. Pas de molette pour les modes P, A, S et M par exemple mais une molette pour la vitesse. L’ouverture se règle directement sur l’objectif. On trouve aussi trois boutons paramétrables.

S’ajoute à cela tout de même un bel écran tactile inclinable (mais qui aurait pu l’être davantage…). Le viseur électronique OLED est très lumineux et pratique.

C’est un appareil idéal pour la photo de rue ou de voyage avec une étanchéité IP52. Ainsi paré contre la pluie et la poussière. Nous l’avons d’ailleurs trimballé pendant 15 jours aux quatre coins du Maroc de l’océan au désert du Sahara…

Notez que l’utilisation de l’application Leica sur smartphone est très pratique pour balancer ses photos. Concernant la carte SD son emplacement sur le Q3 est assez mal placé car si vous fixez un pied par exemple son accès est impossible…

Cette focal 28mm ouvrant à f/1.7 (notez qu’un Q3 en 45mm existe aussi désormais) combinée au capteur de 60 Mpx permet des possibilités de recadrage étonnantes. Le nouveau processeur Maestro IV fait des prouesses et l’autofocus est redoutable. Il permet notamment une reconnaissance rapide des sujets tels que personnes ou animaux avec un suivi qui permet de garder la netteté à chaque mouvement. Génial. Mais attention, dans certaines situations le logiciel peut perdre un peu les pédales et se focaliser sur un objet proche. Tout dépendra de la luminosité et de la complexité de la scène.

NOTRE REPORTAGE PHOTOS AU MAROC AVEC LE LEICA Q3

La qualité d’image du Leica Q3 est superbe. Les fichiers RAW proposent un haut niveau de détails et permettent des recadrages. Pour info, la plage de sensibilité native va de 100 à 100 000 ISO avec des fichiers RAW exploitables jusqu’à plus de 12 800 ISO! Notons aussi que le capteur de 60 Mpx permet au Q3 de proposer des focales 35, 50, 75 et 90mm en recadrant directement sur le capteur. Mais personnellement je n’ai quasiment jamais utilisé se système de zoom numérique… car le piqué du 28mm f/1.7. peut faire des merveilles sur des grands formats que l’on pourra recadrer aisément ensuite. Pour info, la bague Macro est sur l’objectif et facile à activer.

Nous avons peu exploité cette partie mais la prise de vidéo propose tout de même de la 8K à 30 i/s en interne (4K jusqu’à 60 i/s).

Le Leica Q3 est clairement un des meilleurs compacts experts à ce jour. Au-dela de son design propre à Leica et sa qualité de fabrication, il propose un autofocus amélioré plutôt redoutable et une qualité d’image exemplaire. Il peut convenir aux amateurs comme aux plus avertis des photographes avec un aspect plutôt polyvalent. Peut-être un poil lourd/encombrant pour un compact il a néanmoins tout pour plaire… si on a le budget… 6000€ pour rappel…

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MAFIA: THE OLD COUNTRY – Test Xbox Series X

21 août 2025 à 15:51

C’est en 2002 que sortait le premier Mafia (The City of Lost Heaven) avec des suites toujours bonnes mais sans plus. Le GTA-like mafieux revient donc cette année avec The Old Country. Peut-être moins ouvert qu’on aurait pu l’imaginer, le jeu nous plonge avec élégance dans la Sicile du début du XXème siècle…

D’abord dans la chaleur des mines de soufre, on incarne le jeune Enzo Favara qui va entrer dans une famille de mafieux (les Torrisi) et gravir les échelons… Le jeu mise alors beaucoup sur l’histoire et les relations entre les personnages avec un jeu un peu plus dirigiste et restreint mais avec une dimension cinématographique plutôt convaincante.

Le moteur Unreal Engine 5 fait des prouesses ici avec un jeu magnifique visuellement notamment par ses paysages et ses ambiances lumineuses. L’ambiance ensoleillée est bien là et la Sicile nous ouvre ses bras même si, en dehors des missions, il n’y a pas grand chose à y voir…

Comme d’habitude, ce Mafia nous permet de jouer de diverses manières que ce soit en infiltration ou en action, à pied, en voiture ou à cheval (nouveauté bienvenue)… On peut d’ailleurs se frotter à des courses de chevaux ou de voiture et c’est assez fun. On pourra customiser son canasson mais aussi disposer, dans son garage, de différentes voitures plus ou moins maniable/rapide.

Si visuellement c’est riche et plaisant, côté sonore c’est moins immersif avec une musique anecdotique et discrète et des effets sonores très en retrait également… un peu dommage. On dira que c’est lié au réalisme de l’époque.

Niveau gameplay on retrouve l’esprit des premiers Mafia et aussi, malheureusement, un côté old-school qui freinera certain. On profite de combats aux couteaux plutôt bien sentis avec une technique à apprivoiser selon les ennemis mais cela devient assez redondant au fil du jeu. Au-delà de cela on est dans des phases d’infiltration assez classique et limitée et des moment de shoot agréables mais assez linéaires aussi. Red Dead Redemption 2 reste encore bien au-dessus à ce niveau là… Pourtant, on profite d’un arsenal assez complet du fusil à canon scié à la carabine de précision avec possibilité d’user de grenades, etc..

On trouve néanmoins quelques actions sympathiques comme le fait de lancer des lampes à huile pour incendier ses assaillants…

Même si les ennemis ont des statuts parfois différents avec quelques boss plus retords, globalement l’IA est moyenne et rend notre progression assez plate sans grands moments même dans les plus intenses des confrontations. Malgré tout, le rythme du jeu varie les plaisirs entre infiltration, gunfights, poursuites à cheval ou en auto, etc.. L’aventure est courte mais assez intense et c’est, plus que le gameplay, grâce à l’histoire et la qualité des personnages rencontrés. On ressent bien cette ambiance de clans mafieux qui se protègent ou se déchirent du début à la fin. Que ce soit par les cinématiques mais aussi part les dialogues in-game, la mise en scène du jeu est plutôt bien sentie. Notez que le jeu est doublé en VF mais dispo aussi en anglais ou en sicilien!

Mafia The Old Country est prometteur dès les premières minutes mais s’essouffle vite, la faut à un gameplay qui ne décolle jamais et une aventure malheureusement bien courte (une douzaine d’heure). De plus, il n’y a pas des masses de missions annexes. Le jeu est moins ouvert qu’on l’aurait souhaité mais bénéficie en revanche d’une réalisation qui n’a pas à rougir face à la concurrence. L’immersion dans la Sicile du début du XXème siècle est bien là. Un nouveau Mafia qui ravira les casual gamers amateurs d’aventure narrative avec un gameplay varié et accessible. On veut désormais que Hangar 13 aille plus loin dans ses intentions pour un éventuel futur opus…

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REALME GT7 – Test

19 août 2025 à 08:36

Nous avons passé l’été avec le Realme GT 7 un des dernier smartphone de la marque chinoise qui mise sur un appareil puissant et abordable.

En effet, aux environs des 600€ (selon boutiques et stockages…) le GT7 est moins cher que les modèles haut de gamme de la concurrence mais en apportant néanmoins une qualité certaine et des fonctionnalités nombreuses.

Autonomie, photo, puce, IA… le GT7 en a dans le ventre. Avec son design sobre et une structure solide aux belles finitions (dos en graphène), il propose un écran Amoled de 6,78 pouces (90% de la façade) et un taux de rafraichissement jusqu’à 120Hz. Sa luminosité d’écran est excellente (6000 nits). Notons qu’il dispose de la certification IP69 pour une résistance à l’eau jusqu’à 2 m de profondeur pendant 30 minutes et une forte résistance contre les jets d’eau.

Disposant du Wi-Fi 7 et du Bluetooth 5.4, le Realme GT 7 est équipé de la puce MediaTek Dimensity 9400e couplée à 8 ou 12 Go de RAM selon les versions. Le smartphone tourne sous Android 15 (avec surcouche Realme UI 6.0). Il dispose également d’un assistant AI et IA Gemini.

La photo est un des point fort du GT7 avec un triple capteur photo et zoom numérique x5 : un capteur principal Sony IMX906 de 50 Mpx, un capteur secondaire OmniVision OV08D10 couplé à un objectif ultra grand-angle sans autofocus et enfin un capteur Samsung JN5 de 50 Mpx.

On peut ainsi faire pas mal de belles photos en jouant avec la profondeur de champs mais sur certains aspects, selon les modes utilisés, on est parfois un peu trop « aidé » par le numérique et ça se voit sur les clichés. Par exemple, on trouve le mode mode AI Landscape+, qui permet d’améliorer la netteté des photos, en corrigeant notamment les effets atmosphériques gênants ou les contre-jour. L’idée est bonne mais dans la plupart des cas les photos manquent de naturel. Grâce à l’IA intégrée on profite aussi de retouches automatiques (suppression d’éléments, etc..). C’est plutôt efficace et on profite de différents outils pour arriver à nos fins. Le mode Haute Résolution permet quand à lui de recarder ses photos pour, par exemple, capturer de petites choses de loin… Exemple, cette jolie coccinelle :

En vidéo, le smartphone est capable de filmer en 8K 30p et en 4K 60p (Dolby Vision ou HDR10+) ce qui est un bel atout. On a même un mode 4K selfie…

Autre atout du Realme GT 7, son autonomie, avec une batterie de 7000 mAh. Grosse batterie donc mais pourtant, le smartphone reste relativement léger. Une belle prouesse de la part de Realme. Aussi, la charge rapide 120W est bluffante (50% de batterie en 15mn, 100% en 40mn).

Avec son excellent rapport qualité/prix, le Realme GT7 est complet et polyvalent avec une belle autonomie et une recharge rapide efficace. Son IA est bien intégrée pour nos recherches ainsi que pour les modes photos. Notez qu’une collab avec Aston Martin est disponible. Sinon, on le trouve en 2 coloris.

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DEMON SLAYER Kimetsu No Yaiba The Hinokami Chronicles 2 – Test PS5

18 août 2025 à 17:25

Si vous êtes fans d’animation japonaise et que vous aimez le jeu vidéo, vous n’avez pas dû louper la sortie du premier opus du jeu Demon Slayer. Ce premier titre reprenait les histoires de Tanjiro et de ses amis jusqu’au film “le train de l’infini”. Le jeu a rencontré un petit succès malgré ses quelques défauts.  

Aujourd’hui, nous avons pu mettre la main sur le deuxième opus de cette licence et il corrige quelques lacunes de son prédécesseur. 

Un bien meilleur jeu ! 

Demon Slayer Kimetsu No Yaiba The Hinokami Chronicles 2 est bien meilleur que le premier jeu sorti en 2021. Il offre plus de contenu et beaucoup plus de personnages jouables. Ce deuxième épisode permet de vivre la suite des aventures de Tanjiro et vous invite à vivre les arcs suivants : le quartier des plaisirs et le village des forgerons. 

Le mode de jeu “Histoire” est plus riche et offre plus de diversité dans son gameplay. Vous allez pouvoir vous battre contre les différents démons et lunes supérieures du manga mais aussi participer à des jeux de rythmes, des sessions de beat’em all et réaliser quelques quêtes annexes. Demon Slayer The Hinokami Chronicles 2 propose un scénario un peu moins linéaire que le premier opus. Cela est une très bonne idée car cela nous permet de profiter un peu plus de son univers. La réalisation est toujours très fidèle à l’animé et j’ai pris une claque tout au long de mes différentes sessions de jeu. 

Il vous sera indispensable de jouer au mode histoire pour débloquer tous les personnages, les terrains et autres cosmétiques disponibles. Ce deuxième épisode vous permet de jouer quarante-deux personnages contre une vingtaine pour le premier opus. Le jeu propose pas mal de cosmétiques pour habiller nos personnages favoris et si vous souhaitez débloquer d’autres éléments de personnalisation il vous faudra récolter des ressources dans le mode multijoueur. Si vous avez acheté la version deluxe, vous allez pouvoir profiter de tenues exclusives pour Rengoku et Tengen. Le mode histoire propose une durée de vie conséquente pour un jeu de versus fighting car il vous faudra environ 8 heures de jeu pour en venir à bout. 

Le mode multijoueur local et en ligne reste solide et j’ai pris énormément de plaisir à jouer contre des adversaires du monde entier. Demon Slayer The Hinokami Chronicles 2 permet de réaliser plus de combos et d’attaques spéciales que le premier titre. Cela reste très plaisant manette en main et cela me rappelle les jeux Naruto qui permettent de réaliser de nombreuses combinaisons. Concernant les autres modes de jeu, vous allez pouvoir jouer à un mode infini et tester vos performances et limites. Vous pourrez aussi revivre les combats iconiques de l’animé pour obtenir des personnages exclusifs. Le jeu va proposer à l’avenir de nouveaux personnages jouables grâce à des nouveaux DLC et ça c’est chouette !

Demon Slayer Kimetsu No Yaiba The Hinokami Chronicles 2 est un excellent jeu pour tous les fans de la licence. Le jeu propose un contenu plus dense que le premier épisode et permet de profiter pleinement de son univers. Les développeurs ont corrigé quelques défauts concernant le gameplay mais cela reste assez léger en comparaison des autres jeux de versus fighting du marché. Le mode multijoueur est solide et permet d’allonger la durée de vie du jeu grâce à une communauté active de joueurs. Personnellement j’ai adoré découvrir ce nouvel épisode et c’est un gros coups de coeur pour cette année 2025. 

Test réalisé par Pierre

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ATM GAMING – 3 jeux pour l’été!

11 août 2025 à 17:10

Voici 3 idées de jeux de société pour les journées sur la plage ou le soir au camping! 3 jeux édités par ATM Gaming (Juduku, Speed Bac, Pigeon Pigeon…).

Pili Pili

Un jeu de plis épicé, stratégique et drôle, pour adultes et ados dès 8 ans. Vous pariez sur le nombre de plis que vous pensez remporter tout en vous adaptant à des missions qui viendront changer les règles à chaque tour. Parier à l’aveugle, échanger des cartes… toutes ces variantes font le piment du jeu et on ne s’ennuie jamais! C’est notre coup de cœur de l’été!

50/50

Le quiz où chaque question est un coup de poker : deux réponses, une seule est vraie. Une chance sur deux à chaque fois ! Un principe simple mais efficace qui nous met souvent dans le doute face à des questions (et des choix de réponses) toujours bien trouvées. Efficace surtout à 3 joueurs et plus idéalement.

Play Hit 2010–2025

Un jeu musical en équipe autour des plus grands hits des années 2010 et 2020. Quatre rounds : blind test, karaoké, quiz… Parfait pour les apéros et les soirées entre amis ou en famille. Après le succès de la version 90–2000 sortie en début d’année apporte du neuf niveau musique pour contenter les plus jeunes!

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SENUA’S SAGA HELLBLADE 2 Enhanced – Test PS5

8 août 2025 à 09:04

Il y a un peu plus d’un an, Senua’s Saga: Hellblade II sortait sur Xbox Series, propulsé par Microsoft et le studio Ninja Theory à qui on devait déjà le premier opus (Hellblade: Senua’s Sacrifice) en 2017. On retrouve donc le personnage tourmenté qu’est Senua dans une version PS5 « Enhanced »…

C’est le 12 août prochain que sortira donc cette version PS5 avec quelques ajouts notables qui seront aussi proposés aux versions Xbox et PC par le biais d’une mise à jour gratuite. Les joueurs PS5 pourront donc se procurer l’Édition Standard à 49,99€, qui comprend le jeu Senua’s Saga: Hellblade II mais également une Édition Deluxe à 69,99€ qui inclut, en plus du jeu de base, Hellblade: Senua’s Sacrifice, optimisé pour la PS5. Cette édition contient aussi la bande originale de Hellblade: Senua’s Sacrifice, ce qui en fait un excellent pack découverte pour celles et ceux d’entre vous qui découvrent la franchise sur PlayStation. Pour les joueurs possédant déjà la version PlayStation 4 de Hellblade: Senua’s Sacrifice, la mise à niveau vers la version PlayStation 5 est gratuite.

Pour rappel, Senua’s Saga: Hellblade II est une expérience cinématographique immersive et narrative qui nous guide sur le chemin de Senua et toutes les voix qu’elle a dans sa tête… Alors que le jeu est, graphiquement, plus que jamais magnifique, l’immersion sonore est elle aussi à la pointe… Avec le nouveau Mode Performance, une option permet de jouer en 60 FPS (option non disponible sur Xbox Series S), pour une fluidité accrue, notamment lors des combats et des séquences rapides. Sur PC, on trouvera un préréglage « Très élevé » qui pousse encore plus loin la fidélité graphique. Sur PS5, la technologie MetaHuman d’Epic Games fait des merveilles en ce qui concerne le réalisme des visages des acteurs ainsi que les mouvements des vêtements ou des cheveux.

La Corruption de Hellblade: Senua’s Sacrifice fait son retour dans ce mode de jeu optionnel, offrant un défi supplémentaire à Senua dans sa quête à travers l’Islande. La Corruption progresse à chaque échec, et si elle atteint la tête de Senua, sa quête prend fin et toute votre progression est perdue.

Une version améliorée du mode Photo est disponible, avec de nombreux réglages supplémentaires et un nouvel onglet « Mouvement » pour la capture vidéo cinématographique personnalisée.

On trouve aussi plus de 4 heures de commentaires exclusifs qui explorent les choix artistiques et créatifs ayant façonné le jeu. Témoignages de l’équipe artistique, des acteurs, des collaborateurs spécialisés dans la représentation de la psychose, ainsi que des membres de l’équipe de développement.

Pour rappel, dans cette suite de Hellblade: Senua’s Sacrifice, Senua revient dans un voyage de survie violent à travers les mythes et les tourments de I’Islande viking. Bien décidée à sauver les victimes de la tyrannie, Senua doit se battre pour vaincre les ténèbres du monde, mais aussi sa propre noirceur.

On est donc toujours dans un jeu d’action/aventure qui mise sur l’ambiance, l’immersion… avec des ressentis par le visuel mais aussi par l’ambiance sonore. C’est réaliste, parfois malaisant, c’est à ne pas mettre entre toutes les mains mais c’est un jeu sombre qui, par une approche plutôt imaginaire, traite d’un sujet psychologique réel. Et c’est vachement bien mis en scène.

Cependant, la progression est encore très dirigiste, scriptée et trop courte. Les gamers chevronnés resteront vite sur leur faim tandis que des casual gamers y trouveront sans doute leur compte avec un jeu accessible qui mise sur l’ambiance, l’histoire et l’immersion plus que le challenge.

Petit bémol sur la VOST qui, même si elle est très bonne, peu nuire à cette immersion sonore quand on ne maitrise pas l’anglais. Une VF de qualité aurait été un bel atout pour les joueurs français.

Le moteur Unreal Engine 5 fait des merveille pour sans doute le plus beau jeu de ces dernières années avec des paysages nordiques emprunts d’un réalisme étonnant et des ambiances incroyables. De même, on l’a déjà dit, la modélisation des personnages et leurs expressions ajoutent à un réalisme saisissant.

On sent que Ninja Theory confirme en appliquant sa patte jusqu’à proposer un format 2,9:1 (avec bandes noires du coup en 16:9…) qui accentue l’effet cinématographique.

Nous voilà donc dans la peau de Senua, personnage tourmenté qui, après avoir vécu déjà pas mal de choses pas cool dans le premier opus, revient pour sauver les victimes de la tyrannie ambiante. Elle est toujours victime quand à elle de sa psychose et de ces voix qui l’accompagne. Mais tout cela prend part au gameplay et à l’immersion avec des séquences de combats ou bien de puzzles qui jouent avec les visions, les voix, les ombres…

Si le jeu est dirigiste, les combats restent de grande qualité. Ils sont suffisamment techniques pour garder un intérêt tout au long du jeu mais sont surtout très réalistes. Le cadrage, la mise en scène, tout est parfaitement amené pour des confrontations qui respirent le sang et la sueur. C’est quasiment toujours du un contre un mais tout cela est parfaitement chorégraphié pour apporter du naturel à la progression lors de ces affrontements. Notez que le jeu propose plusieurs modes de difficulté sur cet aspect notamment.

Senua’s Saga : Hellblade II arrive donc sur PS5 avec quelques améliorations plutôt subtiles mais qui sublime encore davantage un jeu incontournable. Si on peut lui reprocher sa linéarité et sa courte durée avec également l’absence d’une VF qui aurait été la bienvenue dans un jeu bavard qui mise beaucoup sur les voix, c’est certainement le jeu le plus impressionnant graphiquement à ce jour et son intrigue est suffisamment prenante pour nous tenir en haleine, tout en s’appuyant sur un sujet psychologique réel qui est ainsi mis en lumière et c’est une bonne chose. Bravo à Ninja Theory encore une fois.

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MIRAGE: MIRACLE QUEST – RPG frenchy!

5 août 2025 à 16:00

Toe Bean Club, un tout nouveau studio indépendant français basé à Strasbourg, a dévoilé aujourd’hui une première bande-annonce pour Mirage: Miracle Quest. Ce titre est une vision moderne du RPG classique au tour par tour, mêlant stratégie et univers magique. Le projet a été créé par une équipe d’artistes expérimentés qui ont travaillé à la fois sur des films d’animation (Sony Pictures Animation, Remembers) et des jeux vidéo (Classics F5, Astra Logica), et sortira sur PC.

Dans un univers rétro peint à la main, les joueurs exploreront Andafy, un continent façonné par les cultures et l’esthétique vibrantes de Madagascar, de la France et du Japon. Ils incarneront Mirage, une jeune exorciste dont la vie tranquille est bouleversée lorsqu’une créature mystérieuse ravage sa ville natale, murmurant le nom de sa grand-mère dans son dernier souffle. Rejointe par un groupe d’alliés attachants, Mirage se lance dans une quête périlleuse pour embrasser son véritable pouvoir et dévoiler les secrets les plus sombres de la région.

Mirage: Miracle Quest modernise le combat classique des RPG au tour par tour avec des mécanismes de construction de deck, permettant aux joueurs de personnaliser leur style de jeu, de créer de puissantes synergies et d’aborder chaque combat avec une nouvelle stratégie.

Les joueurs affronteront des ennemis redoutables et guideront des esprits tourmentés vers la paix, tout en explorant un monde regorgeant de défis et de merveilles. En chemin, ils noueront des relations avec leurs alliés et se fraieront un chemin pour devenir de véritables exorcistes, tout en combattant les forces obscures qui menacent de conquérir le monde !

La date de sortie du jeu sera annoncée prochainement. En attendant, les joueurs peuvent ajouter le jeu à leur liste de souhaits Steam et suivre les développeurs sur X, TikTok, Instagram, Bluesky, LinkedIn et se rendre sur le site officiel pour plus de détails.

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L’ART DE LA TRAQUE – Test Enquêtes

1 août 2025 à 10:33

Si vous êtes lecteur régulier du blog, vous savez sans doute qu’on aime bien les enquêtes… Après le Tueur au Tarot ou Woodlock University, Detective Box propose un pack de 3 enquêtes intitulé L’art de la traque… que nous avons donc testé avec plaisir…

On retrouve avec bonheur ce concept d’enquêtes à la maison avec des documents physiques et numériques et, plus que jamais, une scénarisation mis en place par de nombreuses vidéos réalisées avec des comédiens. Tout s’articule autour du site de l’enquête et donc des documents papier et autres objets disponibles dans la boite du jeu…

L’art de la traque regroupe 3 enquêtes distinctes :

Ciao Bella (difficulté 2,5/5 – durée 2h30)

La Horde a encore frappé. 5 millions d’euros ont été dérobés à l’un des plus grands casinos de Monaco…

La Bête de Beaurecueil (difficulté 3/5 – durée 3h)

Madeleine et Pierre Valentin n’ont plus de nouvelles de leur fille. Notre seul piste : sa localisation dans les Alpes…

La Grande Illusion (difficulté 3,5/5 – durée 3h30)

Un colis a été livré à l’Agence: une boîte énigmatique, des coupures de presse de 1947 et le carnet d’un magicien accusé du meurtre de son assistante…

3 enquêtes très différentes par leur ambiance et par leur approche. Si Ciao Bella est plutôt un huit clos dans le casino, La Bête de Beaurecueil nous emmène en rando… alors que la Grande Illustion joue davantage avec nos méninges et nous transporte dans le passé…

Dans tous les cas, les mécaniques de jeu sont toujours renouvelées avec des énigmes, des casses-têtes ou bien des rapports à étudier. On trouve aussi parfois des photos ou bien des coupures de presse à bien analyser. Certains objets ajoutent à l’immersion et son parfois utiles à la résolution de certains éléments. Certaines enquêtes s’orientent davantage sur le côté numérique et pas mal de choses seront à analyser sur l’ordinateur avec beaucoup de vidéos ou bandes sonores par exemple.

Aussi, pour La Bête de Beaurecueil par exemple, même si nous disposons d’une carte des lieux en physique, nous devons aussi utiliser Google Maps pour trouver des lieux qui existent réellement et c’est ce genre de détails qui font que ces enquêtes sont si prenantes.

Difficile de vous en dire davantage sans vous gâcher la surprise. Mais sachez que chaque aventure vous tiendra en haleine du début à la fin. Le temps passe s’en qu’on s’en rende compte et c’est encore mieux à 3 ou 4 personnes pour recouper les infos et les idées. A réserver cependant aux plus de 14 ans dû à la difficulté tout de même parfois et aussi l’ambiance (La Bête de Beaurecueil notamment).

Encore de belles enquêtes proposées par Detective Box. On est jamais déçu! Notez que chacune de ces 3 enquêtes peut être commandée séparément. Pour le pack complet L’art de la Traque comptez 96€ tout de même mais pour au total près de 10h de jeu à plusieurs c’est très honnête d’autant plus que le matériel fourni, qu’il soit physique ou virtuel, est de grande qualité. On ressent le travail qui se cache derrière l’élaboration de chaque enquête…

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DEATH STRANDING 2 – Test PS5

29 juillet 2025 à 10:13

Après un premier opus, sorti en 2019, aussi marquant que déroutant, Death Stranding revient, toujours sous la baguette de Hideo Kojima et avec Sam Porter Bridges, coursier téméraire, toujours campé par l’acteur Norman Reedus… Death Stranding 2: On the Beach nous propose de poursuivre l’histoire commencée avec toujours cette ambiance futuro-fantastique dans de vastes et splendides étendues de nature…


Idéalement, il faut avoir fait le premier opus pour se lancer dans celui-ci, néanmoins, on nous propose un récapitulatif complet avant de démarrer la partie. Près d’un an après les évènements du premier épisode, Sam Porter Bridges semble un peu au bout de sa vie mais il va reprendre du service via notamment Fragile (Léa Seydoux) avec la lourde tâche de raccorder l’Australie au réseau chiral…

Le jeu commence réellement avec Sam, assis au sommet d’une zone rocheuse, avec BB (Bridge Baby) l’enfant qui a donc quelque-peu grandi. Il est toujours nécessaire de veiller sur lui et on s’en rend compte dès qu’on se lève pour rejoindre notre abri. Plus que jamais, la topographie est réaliste… Sam prend de la vitesse dans les descentes, on doit donc le ralentir, éviter les éboulements, etc… Et d’ailleurs on comprend vite que l’hostilité des lieux est à son top avec des séismes qui provoquent des chutes de rochers au loin… séismes, tempêtes de sable, incendies et la fameuse pluie qui accélère le vieillissement…


Le jeu reste ancré dans son principe d’exploration avec des trajets sur de longues distances. Il est toujours primordiale de préparer son trajet, choisir judicieusement ses points de passages mais aussi bien sûr son équipement et la charge portée par Sam. Tout cela reste assez technique mais un peu plus abordable aux différents types de joueurs par rapport au premier épisode.

Plus que jamais, les décors sont magnifiques et surprenants de réalisme. On prend une claque dès les premiers instants et on est souvent étonnés par des environnements changeants, notamment par le climat ou le moment de la journée. Magnifique. La PS5 est enfin utilisée à sa juste valeur.


Contemplatif, le jeu reste néanmoins riche par son histoire et ses personnages. Et si Sam a la plupart du temps pour but de livrer des équipements d’un point A à un point B, il y une véritable intrigue prenante qui s’articule de manière homogène avec un gameplay qui, lui aussi se veut un peu plus varié et dynamique qu’en 2019. L’action tranche avec des moments plus calmes même si on évolue la plupart du temps en infiltration dans les zones ennemis (c’est recommandé en tous cas).

Death Standing 2 est une évolution du Death Standing 1 mais contrairement à ce dernier il apporte moins de surprise. En effet, en 2019, le jeu était marquant par son originalité et les rebondissements de son scénario. Ici, l’intrigue reste riche et pleine de surprise mais disons qu’on est déjà habitué au concept. Le jeu se veut en tous cas plus accessible. On est un peu plus accompagné, ce qui ravira les casual gamers mais ce qui pourrait aussi frustrer les joueurs aguerris de la première heure.

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RUNE FACTORY GUARDIANS OF AZUMA – Test Nintendo Switch 2

28 juillet 2025 à 10:57

La Nintendo Switch 2 cartonne et nous avons pu continuer nos tests sur les jeux des éditeurs tiers. A cette occasion nous avons eu l’opportunité de tester la version Nintendo Switch 2 de Rune Factory Guardians of Azuma et c’est plutôt chouette. Le jeu est disponible en dématérialisé ou en physique mais aussi en version Nintendo Switch 1, si vous n’avez pas encore craqué pour la dernière console de Nintendo. 

Un jeu parfait pour l’été !

Rune Factory Guardians of Azuma est un jeu parfait pour l’été car il vous invite à voyager dans différents mondes pour aider votre prochain, éviter la destruction, aider les divinités et retrouver les trésors sacrés. Rune Factory est un spin-off des jeux Haverst Moon qui mélangent jeu d’action, de gestion et de jeu narratif. J’ai beaucoup aimé découvrir cet épisode qui se focalise principalement sur l’action et un peu moins sur l’aspect gestion du village. Vous incarnerez un personnage masculin ou féminin qui est complètement amnésique et qui se retrouve perdu dans un village. A votre réveil, vous allez participer aux différentes tâches du village et rencontrer ses habitants. Le jeu vous pousse rapidement à vous battre contre des créatures pour terminer certaines quêtes et découvrir les zones autour du village. Un peu plus tard, vous allez rencontrer Lenny, une mignonne créature capable de se transformer en dragon. Ce dernier, vous connaît très bien et vous révèle que vous êtes un danseur tellurique. Malheureusement vos souvenirs sont encore très flous mais le pouvoir qui sommeil en vous s’éveille. Vous allez pouvoir sauver les terres dévastées et aider les divinités qui y vivent en redonnant vie à certaines zones mortes. C’est ainsi que vous allez partir en quête d’aider tous les dieux de cette planète pour sauver le monde. 

Le gameplay de Rune Factory Guardians of Azuma est très sympa et facile d’accès. Concernant les combats, vous allez pouvoir choisir différents types d’armes pour s’adapter à votre style de jeu. Côté difficulté, le jeu reste très simple et les combats de boss ne sont pas très difficile. Beaucoup de quêtes annexes sont présentes pour récolter des ressources et vous aider à développer votre village. Dans chaque lieu, vous aurez une zone aménageable pour vous permettre de cultiver vos terres, donner du travail aux habitants et créer des commerces pour favoriser le marché. Au début du jeu, il vous faudra farmer vous même les ressources mais petit à petit vous allez pouvoir automatiser le système de récolte grâce aux habitants qui travaillent pour vous. Cependant il vous faudra gérer votre argent car tout travail mérite salaire et il vous faudra payer vos employés pour maintenir une bonne cohésion. Il vous faudra embaucher des habitants pour augmenter vos profits mais il faudra faire attention à vos dépenses. Le jeu est découpé en zones semi-ouvertes et réparties en plusieurs mondes. Vous allez pouvoir passer de village en village à dos de dragon pour retrouver vos amis ou découvrir une nouvelle aventure. 

Pour conclure, Rune Factory Guardians of Azuma est un excellent jeu qui mélange jeu d’action et cozy games à la perfection. Le jeu propose une bonne narration dans un univers japonais qui vous invite au voyage. Le jeu est accessible et permet à un large public de découvrir cette licence. Le système de combat reste plutôt classique mais permet à de nombreux joueurs d’y prendre plaisir. La personnalisation reste assez sommaire mais l’aspect gestion du titre est assez addictif. Rune Factory Guardians of Azuma est pour moi un jeu à découvrir cet été !

Test réalisé par Pierre

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TAINTED GRAIL : Fall of Avalon – Test PC

28 juillet 2025 à 09:26

Tainted Grail : Fall of Avalon est un action RPG développé par les polonais de Awaken Realms. Il s’agit de l’adaptation du jeu de plateau du même nom qui a, semble-t-il, connu un petit succès. Il reprend la base des légendes Arthuriennes mais à la sauce dark-fantasy. Un monde en perdition peuplé de monstres, de bandits et de factions. Une “darksoulisation” qui n’est pas pour me déplaire. J’avais l’œil sur le titre depuis un moment. Autant dire que je me suis frotté les mains en découvrant une clé Steam dans ma boîte mail.

Je suis donc parti arpenter les terres d’Avalon. Car il est de mon devoir de vous présenter les jeux dont personne ne parle. Si mes débuts ont été compliqués, j’ai eu le déclic au bout de quelques heures. Car Tainted Grail se veut l’héritier direct de Skyrim, Dragon Age, et New Vegas. Rien que ça.

Tainted Grail : un monde riche et oppressant

Comme dans Oblivion, on se réveille dans une geôle. Sauf que cette introduction est plus proche de Dark Souls, car l’île est ravagée par la Mort Rouge. Ici tout le monde est malade, et la prison se révèle être un camp d’extermination pour les personnes infectées. Un mystérieux étranger nous aide à sortir de la cellule. Il va maintenant falloir combattre les gardes et s’enfuir. 

Si l’introduction est classique, on découvre néanmoins la plus grande force du jeu. Son univers. Car s’il se base sur les légendes du roi Arthur, Tainted Grail a choisi de noircir le ton tout en restant cryptique. Une tendance directement hérité des Souls. On croise néanmoins quelques noms vaguement familiers (Camelot, Caradoc et Merlin). Mais malgré tout, l’exposition reste extrêmement vague. J’ai été rapidement séduit par ce monde mystérieux qui invite à l’exploration.  

Une immersion réussie dans Avalon

Techniquement, le jeu est dans la norme, même si l’optimisation pourrait être améliorée. On sent d’ailleurs la volonté de proposer un titre visuellement compétitif. On râlera sur une image un peu floue et sur une synchronisation labiale aux fraises. A tel point qu’il aurait été préférable que personne n’ouvre la bouche. Le titre accuse d’ailleurs quelques chutes de framerate ainsi que des crashs intempestifs. Mais rien n’est vraiment handicapant. 

La direction artistique est une grande réussite. Je m’attendais à arpenter un monde de fantasy un peu banal. Il n’en est rien. Le monde baigne dans une brume quasi constante. De gigantesques mains semblent sculptées dans la roche. Les bâtiments alternent entre style médiéval et romain. Il se dégage une ambiance unique entre The Witcher et Elden Ring, et c’est un excellent point. 

Le sound design n’est pas en reste. Le doublage Anglais est réalisé avec conviction et les effets sonores sont tout à fait convaincants. La musique se veut tantôt orchestrale et mélancolique, tantôt primitive et sauvage dans la veine de Wardruna ou Heilung.  

Pot-pourri de fantasy 

Après avoir choisi sa classe, et bouclé le tutoriel, on est lâché dans la première zone du jeu. Et c’est là qu’on prend peu à peu conscience de la richesse du titre. On gagne de l’expérience en réalisant des quêtes via des PNJ. On monte de niveau à des feu de camps où l’on peut aussi parler avec le spectre du roi Arthur. On peut fabriquer des armes et des armures. On peut les améliorer. On peut faire de l’alchimie, et même de la cuisine. Et, miracle, tout cela est d’une simplicité enfantine. L’interface est parfaitement lisible, les menus sont clairs et jolis. Les arbres de compétences sont pertinents et proposent de véritables bonus. Certains développeurs feraient bien d’en prendre de la graine… 

J’ai une légende à écrire

Comble du comble, les dialogues et les quêtes sont plutôt bien écrits. Et présentent régulièrement des twists inattendues qui viennent briser une monotonie apparente. En d’autres termes, elles sont plus complexes qu’il n’y paraît. Si le lore est riche et cohérent, l’écriture sait se montrer au niveau. On n’a pas non plus pléthore de choix, mais ils sont suffisamment significatifs pour qu’on ai l’impression d’influer sur l’univers. 

Le scénario dévoile rapidement un lien entre le joueur et le roi Arthur. L’esprit du défunt monarque amnésique nous collera au basques tel un Silverhand médiéval. Il est notre boussole, notre guide, dans un monde en perdition. Un monde découpé en zones de tailles moyennes, interconnectées, comme pouvait l’être STALKER. On remarquera par contre qu’entrer dans n’importe quel bâtiment se fera via un temps de chargement. C’est un peu surprenant en 2025, mais on sera plus permissif qu’avec le nouvel Oblivion. Ou Starfield. Oui, je tire à balles réelles sur Bethesda. 

Tainted Grail pioche un peu partout, c’est vrai. Mais il le fait au service de son univers, et sans fausse note.

Arthur ! C’est la guerre ! 

Le titre se joue à la première personne. On peut parer et bloquer avec un bouclier. On a également un bouton de dash. C’est très classique, et j’ai décidé de faire un mage de guerre. J’aime avoir une armure lourde et balancer des sorts. Libre à vous de vous spécialiser dans la furtivité, ou encore de jouer les barbares avec des armes à deux mains. 

Dans sa difficulté moyenne, Tainted Grail se veut relativement punitif. Et je dois bien avouer que j’ai ragé pendant mes premières heures de jeu. Sauf qu’au bout d’un petit moment, j’ai compris où Tainted Grail voulait m’emmener. Ici, farmer ne sert à rien. Votre expérience  viendra de l’achèvement des quêtes. Une excuse en or pour explorer et parler à tout le monde. 

Il faudra bien sûr penser à son build, car chaque point investi rendra votre personnage plus fort. Je suis passé du stade de lavette à celui de grosbill en l’espace de deux niveaux. Tout ça grâce à une compétence qui m’octroie 15% de dégâts supplémentaires lorsque je porte un bouclier. J’ai donc ensuite choisi un bonus pour les armes à une main. Ce qui a suffit à inverser la balance. Il est donc primordial d’avoir un personnage le plus optimisé possible, et plutôt spécialisé. En revanche, on notera quelques petits problèmes d’équilibrage. Car j’irai même jusqu’à qualifier certains combats d’injustes… Ou alors je suis juste mauvais. Mais si vous êtes comme moi, pas de panique ! Vous pouvez ajuster la difficulté dans les options !

Tainted Grail dégouline de charme, même s’ il demande un temps d’adaptation. C’est un action RPG à l’ancienne, un peu rugueux, mais parfaitement conscient de ce qu’il est. Il mise tout sur son ambiance et sa richesse. Le titre est une vraie surprise, comme on aimerait en voir plus. Un diamant brut que les fans de Skyrim et les déçus d’Avowed auraient tort de bouder…

Test réalisé par Florian

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BLACK DESERT – Test PS5

28 juillet 2025 à 09:01

Black Desert est un MMORPG sud-coréen disponible sur PC et console de salon. Le jeu est toujours très populaire et le studio qui développe ce titre, s’occupe également d’une nouvelle IP : Crimson Desert. Ce MMORPG propose une aventure dans un univers fantastique avec de nombreuses classes jouables et un gameplay nerveux. Cependant la version Playstation 4 et Xbox One était un peu vieillissante pour nos consoles actuelles. Pearl Abyss avait annoncé développer une version Next-Gen et c’est ainsi que nous avons eu l’occasion de jouer à ce portage. 

Une version avec peu de nouveautés

Nous avons eu l’opportunité de tester la version Playstation 5 de Black Desert et les nouveautés sont assez légères. Les graphismes sur un écran 4k ont du mal à s’afficher sur un écran adéquat et il vous faudra vous contenter du 1080p. Malheureusement côté textures, le jeu reste assez flou et c’est assez dommage que cette nouvelle version ne propose pas une amélioration sur ses graphismes. J’ai préféré jouer sur un écran Full HD que sur mon écran 4K pour éviter d’avoir des images trop pixelisées. Cependant, c’est très agréable de jouer au jeu dans de bonnes conditions avec un 60 FPS constant. Cela permet de profiter d’une fluidité dans n’importe quelle situation et c’est très agréable pendant les phases de combats. 

Cette version Next-Gen de Black Desert apporte aussi une nouvelle mise à jour avec l’ajout d’une classe : Deadeye. J’ai pu la tester et son gameplay est très sympa manette en main. Vous allez pouvoir jouer une classe qui s’inspire des cow-boys, ce qui permet d’avoir un arsenal différent des autres classes. La fantasy s’efface contre des armes à feu et vous permet de vous déchaîner sur les vagues de monstres qui vous entourent. Personnellement j’ai beaucoup aimé la jouer et c’est toujours chouette d’avoir de la nouveauté sur un jeu en ligne. 

Autre ajout de cette mise à jour: une nouvelle zone du nom de Ulukita. Cette nouvelle région a été développée avec du hardware actuel et permet de mettre en valeur les performances des consoles next-gen. 

Black Desert version Next-Gen est une bonne idée mais n’apporte pas beaucoup de nouveautés.  J’espère qu’il y aura des ajouts pour améliorer les textures du jeu pour s’adapter à nos écrans. Toutefois le studio chargé du développement du jeu fait un travail considérable pour maintenir son jeu grâce à l’ajout de classes et de régions pour apporter du nouveaux contenus aux fans de la licence. Cette version permet à Black Desert d’avoir un avenir et de lui permettre de continuer à exister.

Test réalisé par Pierre

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STELLAR BLADE – Test PC (+DLC)

1 juillet 2025 à 07:41

Stellar Blade est l’une des nouvelles exclusivités phare de PlayStation et s’offre un portage sur PC. La génération PlayStation 5 et Xbox Series X n’est pas terminée mais seuls quelques jeux ont marqué les esprits des joueurs. Stellar Blade en fait partie et reste pour moi le jeu d’action et d’aventure à découvrir si vous possédez une PS5 ou maintenant un PC Gaming. 

L’ultime version enfin disponible !

La version PC de Stellar Blade est disponible depuis le 11 Juin et nous avons eu l’occasion de la tester. J’étais assez conquis par la version PlayStation 5 mais ce portage permet au jeu d’être plus fluide, plus joli et plus spectaculaire. Manette en main le jeu est toujours aussi propre et ne souffre d’aucun crash contrairement à Marvel’s Spider-Man 2 qui a connu un portage compliqué. 

Une très bonne nouvelle pour les joueurs PC qui profitent du catalogue PlayStation plus rapidement que d’habitude. Si l’aventure vous tente, n’hésitez pas car Stellar Blade propose un univers de science-fiction incroyable et le studio qui s’occupe du développement est très généreux en contenus. La version PC de Stellar Blade permet de profiter de tout son contenu grâce à une édition ultime qui regroupe les deux DLC. Vous allez pouvoir profiter du DLC Nier Automata et de Nikke Goddess of Victory en même temps. Si vous avez précommandé le jeu, vous allez pouvoir obtenir une tenue exclusive pour Eve. L’arrivée de Stellar Blade sur PC permet aussi de profiter du jeu en japonais et ça c’est vraiment cool !

Stellar Blade propose une aventure toujours aussi captivante grâce à une durée de vie assez conséquente et d’un scénario maîtrisé. Le scénario vous invite à vivre les aventures d’une jeune femme appelée Eve qui s’écrasera sur la Terre après une attaque extraterrestre. Dès vos premières minutes de jeu, vous allez devoir vous battre pour survivre et échapper à vos ravisseurs. Malheureusement l’une de vos amies meurt après l’attaque d’un boss mais vous serez sauvé par un humain. Vous comprendrez que les extraterrestres sont appelés Naytiba et que votre devoir est de percer les mystères autour de la matriarche et de la disparition des humains sur Terre. Stellar Blade est un jeu difficile et reprend les codes des Souls Like à la perfection. Il vous faudra parer les attaques ennemies pour pouvoir leur infliger énormément de dégâts.

Le DLC de Nier Automata était déjà sorti sur PlayStation 5 mais la sortie de la version PC a permis de faire revenir la communauté sur le titre grâce à l’ajout du DLC Nikke Goddess Of Victory. Cette collaboration est normale car le studio Shift Up est à l’origine de ces 2 jeux ( Stellar Blade et Nikke). Tout comme le premier DLC, vous allez pouvoir participer à diverses quêtes pour obtenir des skins pour Eve et de nouvelles coiffures. Si vous jouez aussi à Nikke vous allez pouvoir obtenir un code à usage unique pour obtenir des items importants à utiliser sur la boutique de ce jeu mobile. Un ajout toujours sympa à découvrir qui permet de relancer de l’intérêt pour Stellar Blade.

Le portage PC de Stellar Blade n’a quasi aucun défaut. Le jeu est solide et je n’ai jamais eu aucun crash. Cette édition ultime permet aux nouveaux joueurs de découvrir ce titre dans les meilleures conditions possibles. Le DLC Nikke Goddess Of Victory est super chouette car il vous permet d’habiller Eve avec de nouvelles tenues. Le Studio a bien compris le fan service autour de Eve et l’utilise à la perfection. J’ai très hâte de découvrir les prochaines créations du studio car le plaisir de rejouer à la version PC était toujours présent. Je vous recommande chaudement cette version qui est à mes yeux la meilleure.

Test réalisé par Pierre

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INSTABLE – Jeu d’apéro!

27 juin 2025 à 08:58

Il fait chaud, c’est l’été… les apéros sont de retour et quoi de mieux que de les animer avec un petit jeu d’ambiance. Gigamic propose justement Instable, le nouveau jeu d’ambiance aussi simple qu’addictif. Grâce à sa base magnétique ingénieuse, transformez n’importe quelle bouteille en un champ de bataille d’équilibre et de stratégie.

Le principe ? Fixez la base magnétique sur une bouteille, puis empilez les cartes à tour de rôle. Chaque joueur tente de se débarrasser de ses cartes sans faire tomber la structure. Mais attention : plus la pile monte, plus la tension grimpe… et la gravité finit toujours par gagner !

Attention à ne pas jouer en plein vent ce n’est pas l’idéal, mais sinon, rien n’empêche de s’amuser facilement avec n’importe quelle bouteille (en verre c’est quand même plus stable). On prend vite le pli dans ce jeu d’équilibre en plaçant les cartes de couleurs aux endroits appropriés pour que la structure ne tombe pas et, qu’idéalement, ça gêne le joueurs suivant. Le jeu contient des petites jetons en carton qu’on peur caler entre la bouteille et la zone magnétique afin que celle-ci soit encore moins « collée » au support pour ainsi proposer une difficulté supérieure. Tout l’édifice peut tomber bien plus facilement…

Simple, efficace, fun et coloré, Instable (ou Cards VS Gravity) est un jeu d’ambiance parfait pour les soirées estivales en famille ou entre amis, lors de l’apéro (ou pas). Il suffit d’une bouteille (privilégier le sans alcool 🙂 ) pour lancer les hostilités! Plus d’infos ici.

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LUSH X DRAGONS

26 juin 2025 à 14:07

Pour célébrer la sortie récente de l’adaptation en prise de vues réelles du film DreamWorks Dragons par Universal Pictures,la marque de cosmétiques Lush s’associe une nouvelle fois à Universal Products & Experiences pour lancer une gamme de produits digne des Vikings et des dragons !

Nous avons eu la chance de recevoir et tester ces produits. La marque a vraiment mis les bouchées doubles pour créer des produits originaux dans les catégories bain, douche, savon, parfum, cheveux/barbe et accessoires. Avec des senteurs captivantes et des inspirations tirées des personnages emblématiques, préparez-vous à apporter un peu de la joie de Beurk à votre routine matinale !

On trouve donc Krokmou en bombe de bain (7,50€), la hache d’Astrid en pain moussant (15€), le gel douche Monstrous Nightmare (13,50€ à 28€), le savon Queue de Krokmou (7€), le peigne pour cheveux et barbe Gobber’s Comb (13€), l’huile pour cheveux et barbe Chief Stoick (23€) et le spray corporel Hiccup (45€). Des produits de grande qualité, forts de l’expérience et des convictions de la marque Lush!

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ONIMUSHA 2 Samurai’s Destiny – Test Xbox Series X

23 juin 2025 à 11:17

Le prochain jeu de la licence Onimusha a été annoncé il y’a quelques temps lors d’une conférence Xbox mais en attendant sa sortie en 2026, nous avons eu l’occasion de tester une version remastered du deuxième épisode. Onimusha 2 Samurai’s Destiny est sorti initialement sur Playstation 2 en 2002 et c’est en 2025 qu’une version moderne du titre est sortie sur Playstation, Xbox, Switch et PC. 

Du rétro-gaming !

Onimusha 2 Samurai’s Destiny n’est pas proposé comme un remake mais un remastered avec quelques ajouts et bonus pour les fans de la série. Cette nouvelle version n’apporte rien graphiquement et le jeu reste quasi identique à la version Playstation 2. Toutefois, vous aurez la possibilité de jouer en 16/9 avec des textures HD sur un écran moderne et c’est plutôt sympa pour la découverte. 

Si vous êtes à la recherche de votre dose de rétro-gaming, ce jeu d’action est fait peut-être pour vous. La version 2025 est plus accessible grâce à l’ajout d’un mode facile et d’un mode hardcore pour les joueurs qui recherchent du challenge. Quelques mini-jeux sont disponibles dès le menu principal pour satisfaire les fans et vous aurez la possibilité de sélectionner quelques costumes pour votre personnage et rendre votre aventure plus personnelle. 

Onimusha 2 Samurai’s Destiny vous plonge dans un japon féodal dans lequel vous incarnez Jubei Yagyu, un samurai de renom qui découvre son village natal en feu et en ruines. Vous allez faire la rencontre de survivants qui vous expliquent que le seigneur Nobunaga est le coupable de cette attaque. Dans une quête de vengeance, vous allez parcourir différentes zones pour récupérer plusieurs orbes et devenir plus puissant. Vous ferez la rencontre de plusieurs personnages qui vous aideront dans votre aventure, citons par exemple : Ekei, Magoichi et la belle Oyu. Le jeu propose un système de relation bien caché car il vous faudra offrir des cadeaux à certains personnages pour qu’ils interviennent dans vos missions. Une bonne idée qu’il ne faudra pas oublier d’utiliser car leur aide est assez précieuse lors des combats de boss qui peuvent être assez difficiles.

Onimusha 2 : Samurai’s Destiny vous permet de voyager à travers un Japon rural et découvrir les mythes et les légendes japonaises. Vous allez combattre des démons avec des armes aux pouvoirs mystiques et découvrir la sublime direction artistique en pré-rendu de l’époque. Côté gameplay, le jeu est assez rustique et les déplacements peuvent être assez durs si vous n’avez pas connu les premiers Résident Evil en caméra fixe. Pour ma part, j’ai beaucoup aimé découvrir la version moderne d’un des classiques de la Playstation 2 et je vous le recommande si vous ne l’avez jamais fait. 

Onimusha 2 version 2025 est un bon jeu pour tous les amateurs de rétro-gaming. Une édition plus moderne qui apporte quelques petites nouveautés même si j’aurais aimé avoir un lifting côté graphisme. L’ajout du mode facile est très appréciable pour profiter d’une première découverte et le mode infernal permet aux fans d’attendre sagement le prochain épisode. L’univers d’Onimusha est assez unique et mérite d’être découvert au moins une fois.

Test réalisé par Pierre

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ERIKSHOLM: The Stolen Dream – Preview PC

20 juin 2025 à 08:16

Eriksholm nous plonge dans une ville en pleine effervescence industrielle. Une période charnière que l’on ne visite virtuellement que par le prisme de Londres. Eriksholm, lui, s’inspire de la Scandinavie du XIXe siècle par le biais de cette ville fictive. Vous y incarnez Hannah, une jeune fille des rues à la recherche de son frère Herman. 

Urbanisme, infiltration et narration 

Développé par les suédois de River End Games, le titre se pose comme l’héritier de l’infiltration isométrique. Un genre popularisé par Commando et Desperados, et qui a connu son petit succès au début des années 2000. 

Prévu pour juillet 2025, j’ai eu l’occasion de tester deux niveaux de ce jeu pour le moins intriguant. Voici ce que j’ai à en dire…  

Un gameplay vintage mais efficace

Le cœur du jeu repose donc sur l’infiltration. Il faut se cacher dans l’ombre, éviter les patrouilles, glisser entre les murs d’un véritable labyrinthe urbain. L’ambiance évoque des classiques tels que Dishonored ou Thief.

La sarbacane, arme non létale, permet d’endormir silencieusement les ennemis. Il faut penser à cacher les corps pour ne pas alerter les autres. L’exploration est récompensée par des lettres et documents, enrichissant l’exposition et dévoilant les rouages du monde d’Eriksholm. 

Tout est très classique et sent bon le rétro, pour le meilleur comme pour le pire. Il n’y a qu’assez peu d’interactions possibles avec l’univers, et le tout semble assez scripté. On appuie sur le levier qui sert à abaisser la passerelle, on passe par un soupirail, on grimpe à une échelle. 

C’est simple, direct, et sans fioriture. Il ne manquerait plus qu’une excellente histoire pour que la pilule passe…

Un univers riche et immersif

On sent en revanche que les ambitions d’Eriksholm se situent au niveau de l’immersion et de la narration. L’histoire semble principalement centrée sur la disparition d’Herman, le frère de Hannah. Elle s’inscrit dans un monde où les enfants des rues vivent de petits larcins tout en échappant à la police. Le contexte de révolution industrielle n’est pas qu’un décor. Il semble nourrir le propos du jeu, qui se veut entre critique sociale et récit initiatique. Les adolescents en fuite symbolisent une génération brisée, coincée entre rêve et survie. On sent venir le plot Dickensien, avec ses classes populaires oppressés par la violence d’une élite déconnectée. Le joueur sera-t-il le catalyseur d’une révolution ?

Si j’ai à peine goûté son univers, je suis curieux de voir quel genre d’histoire Eriksholm va me raconter. Et quel est donc ce rêve volé qui fait office de titre? Tant de questions… 

Un travail d’orfèvre

Visuellement, le jeu impressionne. Porté par l’Unreal Engine, il affiche de superbes environnements qui fourmillent de détails. On prend un réel plaisir à visiter et à contempler chaque tableau. 

Les cinématiques sont magnifiquement animées et mises en scène. Les personnages présentent des expressions faciales comme on aimerait en voir plus souvent ! C’est bien simple, la dernière fois que j’ai vu un truc aussi convaincant, c’était L.A. Noire. Quel jeu ce fut…

Le doublage anglais est quant à lui d’excellente facture. On sent le travail de véritables comédiens car chaque mot sonne juste. 

Eriksholm : The Stolen Dream semble vouloir être un jeu d’infiltration narratif. Mais il est surtout magnifié par une direction artistique forte et une ambiance unique. Si le gameplay paraît classique, c’est l’univers et le ton qui me séduisent avant tout ! On est donc face à un titre plein de promesses. Reste à voir s’il saura confirmer ces bonnes impressions… 

Rendez-vous en juillet !

Test réalisé par Florian

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REMATCH – Test PC

19 juin 2025 à 14:07

Passer d’un jeu de baston avec l’excellent SIFU à un jeu de foot type arcade, il n’y a donc qu’un pas… Les français de Sloclap proposent cette expérience avec Rematch. Imaginez un jeu de foot arcade avec la vibe Rocket League mais avec des crampons!… Le titre débarque aujourd’hui et on a pu s’y frotter ces derniers jours, on vous donne nos impressions…

Ce jeu de foot est bien évidemment multijoueurs, de 3V3, 4V4 ou 5V5. Donc comme ça on a le choix. Mais sa particularité c’est sa vision à la troisième personne et le contrôle d’un unique joueur. On sent que ce sont les têtes pensantes de Sifu qui sont aux commandes, avec un effet très cartoon, qui n’est pas pour déplaire sachant qu’en plus vous allez devoir créer votre personnage. Alors, je vous vois venir, on n’est pas sur un RPG, c’est très simpliste et on crée notre perso en très peu de temps.

UN GAMEPLAY QU’IL FAUT APPRIVOISER

Si comme moi, vous avez l’habitude de jouer à FC (ex-FIFA), oubliez tout ce que vous avez appris. Le contrôle de la balle est différent, il y a une réelle gestion de l’endurance, attention à ne pas être gourmand et au début vous allez manquer de nombreux tirs.

Malgré le type arcade, vous allez devoir prendre en considération beaucoup de valeurs, le pointeur qui vous fait viser le ballon, les passes. L’avantage d’un jeu multijoueurs, aucun match ne va se ressembler, vous allez tantôt tomber sur des joueurs collectifs et d’autres qu’ils veulent la jouer solo.

Avec cette configuration à prendre en compte, vous allez devoir vous adapter et attention que votre ego ne prenne pas le dessus… Et une chose assez intéressante, dès qu’un joueur va marquer, les postes vont tourner et vous allez à un moment donner jouer le gardien. Au moins chaque joueur.joueuse aura l’opportunité de marquer des buts.

LES +

Un jeu plus stratégique qu’il n’y paraît
Fun à jouer entre potes en ligne
Le fait de devoir jouer le gardien
Un gameplay adaptatif

LES –

La caméra
Répétitif avec le temps

Rematch pourrait prendre le même chemin que Rocket League mais pour le moment il est trop tôt pour le dire. Le jeu a de bonnes bases et il est surtout super FUN cependant il faudra un petit temps d’adaptation pour maîtriser comme il faut vos joueurs. Le jeu est dispo dès aujourd’hui au prix de 25 euros et Day 1 sur le Game Pass.

Test réalisé par Aurélien

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FAST FUSION – Test Nintendo Switch 2

19 juin 2025 à 09:10

Alors que Mario Kart World fait des ravages sur Nintendo Switch 2, et il faut bien dire qu’il est excellent, un autre jeu de course est sorti en même temps en exclu sur la console et c’est tout bonnement le « Wipeout » de la Switch 2… Voici Fast Fusion!

Le studio Shin’en nous propose donc son nouveau jeu de course futuriste et il faut rappeler que ce n’est pas nouveau pour eux. Ils ont en effet réalisé Fast RMX sur Switch ainsi que Fast Racing Neo sur Wii U par exemple. Ce Fast Fusion découle directement de ces jeux en apportant quelques nouveautés…

Entre Wipeout et F-Zero, ce Fast Fusion mise sur la course rapide, mais sans armes, avec par contre différents skills de pilotage. On traverse des circuits tortueux à bords de bolides anti-gravité rutilants et la vitesse est clairement au rendez-vous! Il faudra utiliser la piste à bon escient (sélection de couleurs) pour en tirer le meilleur parti et user de turbos et autres boost. Mais attention, s’il faut passer sur certains éléments positifs, il faut aussi éviter ceux qui vous stopperont net dans votre course. Le moindre écart d’ailleurs peut vite vous envoyer dans le décors dans une explosion spectaculaire… mais pour éviter cela on peut notamment profiter de sauts à tous moments.

Bien sûr, comme tous jeux de ce type, l’entrainement est primordial pour exceller en course. Mais le jeu reste accessible à tous dès les premiers tours de pistes. L’apprentissage se fait petit à petit sans trop de frustration.

Fast Fusion permet de glaner de l’argent en jeu pour débloquer des musiques (survitaminées!) Ou des véhicules. D’ailleurs, certains défis plus retords permettent de gagner davantage de pépettes si vous vous en sentez capables.

C’est indiqué dans son titre, Fast Fusion, propose une nouveauté en ce qui concerne ses vaisseaux (15 de base) à savoir un nouveau système qui permet de les fusionner entre eux. Ainsi, en combinant les caractéristiques de chaque bolide on peut obtenir 210 possibilités différentes! Cela reste assez anecdotique au final mais c’est plutôt une bonne idée qui permet de mettre un peu les mains dans le cambouis et de varier les plaisirs de conduite.

Concernant les circuits ils sont au nombre de 12 (on aurait aimé encore plus!) et manque un peu de variété mais, en même temps, on a jamais trop le temps de contempler le paysage…

Sorti sur Nintendo Switch 2, Fast Fusion s’est adapté à la nouvelle machine avec du 4K/60fps, du jeu en local (2 à 4 joueurs) (en 60fps et le fameux GameShare. Après, la qualité visuelle reste inégale selon le mode portable ou dock. Aussi, on pourra choisir un mode qualité mais en 30fps… Dans tous les cas, le jeu est assez propre et une mise à jour (Pure) prochaine va proposer une version plus net, sans upscaling comme c’est le cas pour le moment. Bien sûr, il faut posséder un écran 4K pour profiter des meilleurs visuels et de la meilleure définition.

Fast Fusion, n’est pas le jeu de course futuriste ultime mais poursuit une série qui fait toujours belle impression sur les consoles de Nintendo et pour environ 15 euros, on aurait tort de s’en passer. Shin’en fait toujours les choses bien, alliant vitesse, fluidité, musique, esthétisme sans en faire trop et en se concentrant sur l’essentiel, le plaisir de jouer. Et idéalement, à plusieurs!

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