Mahmoud Khalil described by former colleague at UK office for Syria as well liked and extensively vetted
A detained Columbia University graduate threatened with deportation after the Trump administration claimed he poses a risk to US foreign policy is a former employee of the British government who was extensively vetted before working at the embassy in Beirut.
Mahmoud Khalil, a recent graduate from a Columbia University master’s programme, was arrested at home on 9 March as he returned with his wife from a dinner to break their fast during the Muslim holy month of Ramadan.
(March 12, 2025 / JNS) -- Jesse Furman, a U.S. district judge in Manhattan, said on Wednesday that the government must allow Mahmoud Khalil’s lawyers to speak to him privately on the phone and gave prosecutors and lawyers for the anti-Israel former Columbia University graduates until Friday to tell him in writing when they plan to file written arguments, the Associated Press reported. Read More
En 2021, It Takes Two de Josef Fares et du studio Hazelight devenait le jeu de l’année de par son histoire et son gameplay axé sur la coopération. Quatre ans plus tard, et avec un budget doublé, le papa de Brothers : A Tale of Two Sons et A Way Out nous propose une nouvelle aventure palpitante à vivre en duo : Split Fiction. Est-ce le digne successeur du jeu de l’année 2021 ou une suite peu originale ? Il est temps de découvrir les scénarios farfelus de nos deux nouveaux protagonistes avec une petite touche d’humilité.
Plutôt Fantasy ou Science-fiction ?
À la sortie de It Takes Two, les joueurs et joueuses ont eu l’occasion de plonger dans l’histoire d’un couple en crise avant que celui-ci ne soit transporté dans une aventure épique de réconciliation amoureuse. Suivant alors le charismatique Docteur Hakim, l’histoire marquera les esprits avec son gameplay forçant la coopération entre les joueurs. Souhaitant renouveler cette expérience, le studio Hazelight revient avec Split Fiction. Au revoir le couple, place à deux écrivaines aux styles et aux caractères bien différents. Split Fiction prend ainsi place dans un monde dans lequel une société dirigée par un inventeur du nom de Raders propose à des écrivains en difficulté de les éditer. Petite subtilité tout de même, cette même société possède une machine permettant aux écrivains de se plonger en stase dans un monde virtuel à l’image de leurs histoires. C’est alors que nous découvrons nos deux protagonistes : Mio Hudson et Zoé Foster. Là où la première s’intéresse fortement à la science-fiction bien mature, la seconde écrit de la fantasy un peu plus enfantine. Cherchant toutes deux un éditeur pour se faire un peu d’argent avec leurs aventures, elles acceptent le contrat avec Raders. Sauf que le moment venu, lors de la mise en stase dans la machine virtuelle, tout ne se passe pas comme prévu. Se retrouvant coincées ensemble dans la même simulation, Mio et Zoé croisent leurs histoires et leurs idées. Devant coopérer pour sortir de cette simulation détraquée, nos deux héroïnes parcourront les aventures de l’une et de l’autre à la recherche d’anomalies.
Les débuts des problèmes…
C’est ainsi que se déroule l’histoire de Split Fiction, alternant entre un monde de science-fiction et de fantasy. Bien évidemment, nos deux héroïnes devront apprendre à se faire confiance ainsi qu’à mieux comprendre les histoires de chacune, malgré les réticences de style. Et comme toute bonne histoire, celle-ci puise dans les bonnes idées de chacune, révélant des clins d’œil au cyberpunk pour l’une et des sensations de vivre dans l’univers de Tolkien pour l’autre. Hazelight dépeint ainsi les histoires de ses protagonistes de manière très archétypale, où l’une est plutôt froide et pragmatique avec son monde de science-fiction, tandis que l’autre est rêveuse et empreinte de naïveté avec sa fantasy. Peu original dans un premier temps, avec un scénario global relativement simple, c’est dans l’écriture de ses personnages et d’une double lecture que le titre brillera un peu plus. De plus, proposer une histoire simple avec des événements prévisibles n’est pas non plus une mauvaise chose, tant le gameplay de Split Fiction est ce que les joueurs cherchent auprès du studio. En changeant d’univers, cela offre plus d’opportunités de gameplay comme le fait de se transformer en marine de Halo ou encore de chevaucher des dragons. C’est sur ce point-là qu’il sera agréable de suivre une histoire simple, tant les découvertes de gameplay seront nombreuses, même si quelque peu redondantes. Ajoutez à cela des quêtes annexes proposant une boucle de gameplay spécifique tout en donnant la possibilité de développer le passif de nos héroïnes. Sur ces dernières, on en viendrait même à dire qu’il en manque deux ou trois tellement elles sont marquantes.
Bienvenu dans Total Recall !Un petit citron, ça vous tente ?
Finalement, on retrouve ce qui faisait la force de It Takes Two à l’époque, une écriture pouvant parler à n’importe qui. Avec un sujet assez similaire se basant sur deux personnalités que rien ne rapproche pouvant, in fine, trouver un terrain d’entente. Hazelight tend ainsi à montrer qu’avec un but commun, mais aussi un peu de compassion, nous pouvons passer outre nos différences pour apprendre à s’entendre, voire à s’apprécier. Une ode à l’ouverture de soi qui fonctionne plutôt bien malgré quelques maladresses en cours de route. Au-delà d’une bonne morale, les moments que procureront les aventures proposées, mais aussi les nombreux Easter Eggs marqueront à coup sûr vos soirées. En effet, Split Fiction regorge de références cinématographiques mais aussi d’hommages vidéoludiques. Il est plaisant de découvrir des références à Tron, Blade Runner ou encore Dune pour les films. Et côté jeu vidéo, nous pouvons citer Assassin’s Creed, Zelda et même Halo ou encore Shadow of the Colossus. Ainsi, là où Split Fiction traite d’une fiction scindée, le titre nous rassemble à travers une passion commune : la culture. À l’image de Mio et Zoé, ces nombreuses références nous invitent au dialogue, à communiquer pour mieux apprendre à se connaître et avancer dans ses nombreux niveaux de manière plus sereine.
À deux, la vie n’est plus que plus drôle
Spécialisé dans le genre du jeu forçant la coopération, Split Fiction ne déroge pas à la règle et nous propose une aventure axée sur l’entraide. Toutefois, là où It Takes Two pouvait se jouer avec quelqu’un n’ayant pas vraiment l’habitude des jeux vidéo, Split Fiction s’adresse un peu plus aux amateurs du genre. En effet, avec des énigmes moins complexes, le titre se focalise avant tout sur de la plateforme au timing quelque peu rapide. Un novice du genre aura alors des difficultés à suivre la cadence d’un partenaire plus à l’aise avec ce type de niveau. Mais c’est aussi ce qui fait la force de Split Fiction. Proposant un gameplay au service de la narration, chaque monde de nos personnages sera adapté à leur imaginaire. Là où la science-fiction proposera des moments de tension et d’action, la fantasy proposera plus de réflexion et de contemplation. Plus qu’un simple jeu de plateforme, l’aventure de Split Fiction nous offre des phases allant de la course-poursuite endiablée à celle d’un jeu de tir à la troisième personne. Toutefois, le studio n’en oublie pas son inspiration principale et offre ainsi la possibilité d’effectuer des doubles sauts ou encore des dashs pour atteindre des plateformes éloignées. Ajoutez à cela la créativité des développeurs qui mettront à rude épreuve votre adaptation avec des niveaux transformant la gravité de votre personnage ou encore sa forme physique. Et vous obtenez ainsi un jeu unique aux nombreuses possibilités qui arrivera à toujours vous surprendre.
Des niveaux aérien avec une prise en main un peu complexe.
Comme précisé juste au-dessus, le studio arrive à trouver les bons moments pour nous mettre sous tension et d’autres pour nous procurer un sentiment d’apaisement. Alternant des phases tendues où nous devons empêcher un soleil d’imploser ou encore faire face à une mafia avec celle de devoir sauver des petits chats magiques. Autre point intéressant à noter, Hazelight semble s’être fortement amusé à explorer les styles. Pouvant transformer la perspective du monde pour nous forcer à jouer avec une vue isométrique ou alors sur un plateformer à l’horizontale. Ou encore, pouvant altérer l’esthétique même du monde en nous offrant un passage entièrement réalisé au crayon de bois. Tout est fait pour que vous ne lâchiez pas la manette avant d’avoir fini le titre. Pour clôturer chaque chapitre, combat de boss oblige. Même si ces derniers seront un peu inégaux dans leur move set, pouvant passer d’un combat très facile à très complexe, ils marqueront tous les esprits d’une manière ou d’une autre. Que ce soit dans leurs designs ou encore dans leurs interactions, nous avons apprécié les dialogues parfaitement écrits, le tout composé avec une VF de très bonne facture. Malheureusement, et malgré ses nombreuses qualités, un petit défaut subsiste.
Des décors de fantasy vraiment magnifiquesUn cran au dessus de la science fiction
Ayant adoré l’obligation de cohésion dans It Takes Two, Split Fiction se concentre avant tout sur la découverte. En effet, nous avons trouvé que peu de niveaux offraient réellement de difficulté de réflexion, malgré les compétences intéressantes offertes à nos héroïnes. Nous nous sommes ainsi retrouvés à terminer des niveaux assez rapidement, sans même avoir dû réfléchir plus que de mesure pour clôturer notre aventure. Même si l’ensemble du jeu traite de cela et qu’il faudra toujours user des compétences de l’une pour faire avancer l’autre, la réflexion n’a pas été extrêmement poussée et nous nous sommes rarement posés pour réellement outrepasser une difficulté. Ce qui est un peu dommage pour un jeu de cette trempe. Toutefois, les quelques moments où cela a été le cas nous ont marqués, à l’exemple d’une phase ressemblant à un flipper ou encore à l’approche de la fin du titre. Cette simplification des énigmes se traduit aussi par la difficulté générale du titre. Split Fiction ne se veut absolument pas punitif. Lorsque vous ratez quelque chose, il sera toujours facile d’y revenir dans l’immédiat sans devoir recommencer le niveau. De même, il arrivera parfois que le jeu place directement votre personnage à l’endroit souhaité pour ne pas vous frustrer davantage. Couplé à cela, la possibilité d’accessibilité poussée et de réglage pour chacun des personnages, Hazelight propose une aventure adaptable aux besoins de chacun. L’objectif étant d’offrir un bon moment avec votre partenaire, plus que des moments de dispute sur un passage compliqué.
Mettre en image l’imaginaire
Tournant sous l’Unreal Engine 5, devenant doucement une norme dans la sphère vidéoludique, Split Fiction nous a époustouflés par ses magnifiques décors. Que ce soit du côté de la science-fiction avec des jeux de lumières vraiment intéressants à la végétation des mondes de la fantasy parfois pharaoniques. Couplé à cela une excellente optimisation sur console, faisant tourner le jeu à 60 fps et sans aucun bug à déplorer hors ceux que nous avons provoqués intentionnellement, Split Fiction brille par sa technique. Certains diront tout de même que les personnages sont un peu plats, manquent de détails et de réalisme, mais cela colle parfaitement au style graphique du studio. Cette fluidité sur console, étonnante par moment, est possible aussi de par la construction de ses niveaux. Alors qu’It Takes Two offrait des niveaux semi-ouverts, Split Fiction fait le choix de niveaux plus linéaires permettant de ne pas avoir à charger trop d’éléments. Ainsi, l’ensemble des niveaux sont soigneusement travaillés, avec des jeux de lumières excellents ou encore un travail de texture dessiné à la main des plus satisfaisantes. De plus, en optant pour ce type de gameplay, Hazelight se permet de jouer sur des effets de grandeur et de profondeur dans certains niveaux spécifiques. Cela permet ainsi aux joueurs de s’immerger complètement dans l’univers proposé tout en le rendant crédible aux yeux de tous.
Les décors sont magnifiques ! Et les développeurs le savent très bien.
En plus de décors époustouflants nous ayant décroché la mâchoire par moment, la bande-son qui accompagne notre aventure n’est pas à oublier. Celle-ci s’adapte à merveille aux différents univers proposés. On pourra toutefois regretter le manque de thème marquant et véritablement impactant. Malgré cela, le titre s’en sort à merveille d’un point de vue sonore avec un sound design aux petits oignons et un travail de doublage parfaitement réussi aussi bien en VO qu’en VF. Nos personnages auront ainsi des interactions plutôt naturelles que nous avons apprécié de suivre tout au long de leur aventure. Une aventure bien dosée, proposant une durée de vie de 10h environ pour les joueurs adeptes du genre. Comptez néanmoins un peu plus si vous avez des difficultés sur les plateformers ou alors que vous souhaitez découvrir l’ensemble des quelques trophées disponibles.
Au-delà de la fiction
Au-delà de nous proposer une histoire sympathique sous couvert de critique sur l’utilisation de machines pour copier des artistes talentueux, Split Fiction se permet d’inclure deux histoires touchantes à travers les personnages de Mio et Zoé. En effet, le studio Hazelight ne s’est pas contenté d’une seule histoire mais bien de trois bien distinctes. Celle des scénaristes cherchant à contrer un éditeur corrompu, celle de Mio et ses difficultés financières et celle de Zoé avec son traumatisme d’enfance. Le fait d’avoir choisi cette voie permet d’amener une certaine compassion, mais aussi une morale à un titre qui, de base, n’en proposait pas forcément. Là où le titre précédent prônait l’importance de la communication dans un couple, où nous découvrons les histoires de nos deux protagonistes, Split Fiction prône l’acceptation de ses démons pour mieux avancer, tout en se faisant aider par une personne extérieure.
Parfois, il suffit d’un plaisir simple pour être heureux.
Véritable thérapie, Split Fiction se destine aussi aux personnes cherchant un peu de réconfort dans des moments difficiles. Celles-ci se reconnaîtront dans les caractères de nos deux personnages où l’une est renfermée car souhaitant garder ses problèmes, tandis que l’autre est extravertie pour se mentir à elle-même. Sans vouloir spoiler, la fin propose aussi une sous-lecture avec un véritable moment d’humilité de la part des développeurs. Espérant que les joueurs ayant tenu jusqu’au bout auront apprécié le titre autant qu’ils ont apprécié le faire. Tout en gardant cette peur de ne pas réitérer l’exploit de 2021. Hazelight a réussi à nous captiver et nous offre une nouvelle fois une merveilleuse aventure.
Verdict
Après un succès avec It Takes Two, Hazelight nous propose sa toute nouvelle aventure avec Split Fiction et réitère cette magie de la coopération tout en améliorant sa technique. Split Fiction est donc la petite pépite de ce mois de mars que nous vous conseillons absolument de tester avec un compagnon de voyage. Entre une histoire à plusieurs lectures, des décors magnifiques et un gameplay intelligent, le titre du studio suédois marquera à coup sûr les esprits des joueurs ayant terminé cette magnifique aventure. On regrettera toutefois quelques maladresses d’écriture, des niveaux de difficulté peu équilibrés ou encore le manque d’originalité sur certaines mécaniques de gameplay reprises de son prédécesseur. Mais ces quelques défauts n’entachent en rien la qualité globale du titre tant l’ensemble fonctionne à merveille et saura ravir les joueurs du dimanche.
En 2021, It Takes Two de Josef Fares et du studio Hazelight devenait le jeu de l’année de par son histoire et son gameplay axé sur la coopération. Quatre ans plus tard, et avec un budget doublé, le papa de Brothers : A Tale of Two Sons et A Way Out nous propose une nouvelle aventure palpitante à vivre en duo : Split Fiction. Est-ce le digne successeur du jeu de l’année 2021 ou une suite peu originale ? Il est temps de découvrir les scénarios farfelus de nos deux nouveaux protagonistes avec une petite touche d’humilité.
Plutôt Fantasy ou Science-fiction ?
À la sortie de It Takes Two, les joueurs et joueuses ont eu l’occasion de plonger dans l’histoire d’un couple en crise avant que celui-ci ne soit transporté dans une aventure épique de réconciliation amoureuse. Suivant alors le charismatique Docteur Hakim, l’histoire marquera les esprits avec son gameplay forçant la coopération entre les joueurs. Souhaitant renouveler cette expérience, le studio Hazelight revient avec Split Fiction. Au revoir le couple, place à deux écrivaines aux styles et aux caractères bien différents. Split Fiction prend ainsi place dans un monde dans lequel une société dirigée par un inventeur du nom de Raders propose à des écrivains en difficulté de les éditer. Petite subtilité tout de même, cette même société possède une machine permettant aux écrivains de se plonger en stase dans un monde virtuel à l’image de leurs histoires. C’est alors que nous découvrons nos deux protagonistes : Mio Hudson et Zoé Foster. Là où la première s’intéresse fortement à la science-fiction bien mature, la seconde écrit de la fantasy un peu plus enfantine. Cherchant toutes deux un éditeur pour se faire un peu d’argent avec leurs aventures, elles acceptent le contrat avec Raders. Sauf que le moment venu, lors de la mise en stase dans la machine virtuelle, tout ne se passe pas comme prévu. Se retrouvant coincées ensemble dans la même simulation, Mio et Zoé croisent leurs histoires et leurs idées. Devant coopérer pour sortir de cette simulation détraquée, nos deux héroïnes parcourront les aventures de l’une et de l’autre à la recherche d’anomalies.
Les débuts des problèmes…
C’est ainsi que se déroule l’histoire de Split Fiction, alternant entre un monde de science-fiction et de fantasy. Bien évidemment, nos deux héroïnes devront apprendre à se faire confiance ainsi qu’à mieux comprendre les histoires de chacune, malgré les réticences de style. Et comme toute bonne histoire, celle-ci puise dans les bonnes idées de chacune, révélant des clins d’œil au cyberpunk pour l’une et des sensations de vivre dans l’univers de Tolkien pour l’autre. Hazelight dépeint ainsi les histoires de ses protagonistes de manière très archétypale, où l’une est plutôt froide et pragmatique avec son monde de science-fiction, tandis que l’autre est rêveuse et empreinte de naïveté avec sa fantasy. Peu original dans un premier temps, avec un scénario global relativement simple, c’est dans l’écriture de ses personnages et d’une double lecture que le titre brillera un peu plus. De plus, proposer une histoire simple avec des événements prévisibles n’est pas non plus une mauvaise chose, tant le gameplay de Split Fiction est ce que les joueurs cherchent auprès du studio. En changeant d’univers, cela offre plus d’opportunités de gameplay comme le fait de se transformer en marine de Halo ou encore de chevaucher des dragons. C’est sur ce point-là qu’il sera agréable de suivre une histoire simple, tant les découvertes de gameplay seront nombreuses, même si quelque peu redondantes. Ajoutez à cela des quêtes annexes proposant une boucle de gameplay spécifique tout en donnant la possibilité de développer le passif de nos héroïnes. Sur ces dernières, on en viendrait même à dire qu’il en manque deux ou trois tellement elles sont marquantes.
Bienvenu dans Total Recall !Un petit citron, ça vous tente ?
Finalement, on retrouve ce qui faisait la force de It Takes Two à l’époque, une écriture pouvant parler à n’importe qui. Avec un sujet assez similaire se basant sur deux personnalités que rien ne rapproche pouvant, in fine, trouver un terrain d’entente. Hazelight tend ainsi à montrer qu’avec un but commun, mais aussi un peu de compassion, nous pouvons passer outre nos différences pour apprendre à s’entendre, voire à s’apprécier. Une ode à l’ouverture de soi qui fonctionne plutôt bien malgré quelques maladresses en cours de route. Au-delà d’une bonne morale, les moments que procureront les aventures proposées, mais aussi les nombreux Easter Eggs marqueront à coup sûr vos soirées. En effet, Split Fiction regorge de références cinématographiques mais aussi d’hommages vidéoludiques. Il est plaisant de découvrir des références à Tron, Blade Runner ou encore Dune pour les films. Et côté jeu vidéo, nous pouvons citer Assassin’s Creed, Zelda et même Halo ou encore Shadow of the Colossus. Ainsi, là où Split Fiction traite d’une fiction scindée, le titre nous rassemble à travers une passion commune : la culture. À l’image de Mio et Zoé, ces nombreuses références nous invitent au dialogue, à communiquer pour mieux apprendre à se connaître et avancer dans ses nombreux niveaux de manière plus sereine.
À deux, la vie n’est plus que plus drôle
Spécialisé dans le genre du jeu forçant la coopération, Split Fiction ne déroge pas à la règle et nous propose une aventure axée sur l’entraide. Toutefois, là où It Takes Two pouvait se jouer avec quelqu’un n’ayant pas vraiment l’habitude des jeux vidéo, Split Fiction s’adresse un peu plus aux amateurs du genre. En effet, avec des énigmes moins complexes, le titre se focalise avant tout sur de la plateforme au timing quelque peu rapide. Un novice du genre aura alors des difficultés à suivre la cadence d’un partenaire plus à l’aise avec ce type de niveau. Mais c’est aussi ce qui fait la force de Split Fiction. Proposant un gameplay au service de la narration, chaque monde de nos personnages sera adapté à leur imaginaire. Là où la science-fiction proposera des moments de tension et d’action, la fantasy proposera plus de réflexion et de contemplation. Plus qu’un simple jeu de plateforme, l’aventure de Split Fiction nous offre des phases allant de la course-poursuite endiablée à celle d’un jeu de tir à la troisième personne. Toutefois, le studio n’en oublie pas son inspiration principale et offre ainsi la possibilité d’effectuer des doubles sauts ou encore des dashs pour atteindre des plateformes éloignées. Ajoutez à cela la créativité des développeurs qui mettront à rude épreuve votre adaptation avec des niveaux transformant la gravité de votre personnage ou encore sa forme physique. Et vous obtenez ainsi un jeu unique aux nombreuses possibilités qui arrivera à toujours vous surprendre.
Des niveaux aérien avec une prise en main un peu complexe.
Comme précisé juste au-dessus, le studio arrive à trouver les bons moments pour nous mettre sous tension et d’autres pour nous procurer un sentiment d’apaisement. Alternant des phases tendues où nous devons empêcher un soleil d’imploser ou encore faire face à une mafia avec celle de devoir sauver des petits chats magiques. Autre point intéressant à noter, Hazelight semble s’être fortement amusé à explorer les styles. Pouvant transformer la perspective du monde pour nous forcer à jouer avec une vue isométrique ou alors sur un plateformer à l’horizontale. Ou encore, pouvant altérer l’esthétique même du monde en nous offrant un passage entièrement réalisé au crayon de bois. Tout est fait pour que vous ne lâchiez pas la manette avant d’avoir fini le titre. Pour clôturer chaque chapitre, combat de boss oblige. Même si ces derniers seront un peu inégaux dans leur move set, pouvant passer d’un combat très facile à très complexe, ils marqueront tous les esprits d’une manière ou d’une autre. Que ce soit dans leurs designs ou encore dans leurs interactions, nous avons apprécié les dialogues parfaitement écrits, le tout composé avec une VF de très bonne facture. Malheureusement, et malgré ses nombreuses qualités, un petit défaut subsiste.
Des décors de fantasy vraiment magnifiquesUn cran au dessus de la science fiction
Ayant adoré l’obligation de cohésion dans It Takes Two, Split Fiction se concentre avant tout sur la découverte. En effet, nous avons trouvé que peu de niveaux offraient réellement de difficulté de réflexion, malgré les compétences intéressantes offertes à nos héroïnes. Nous nous sommes ainsi retrouvés à terminer des niveaux assez rapidement, sans même avoir dû réfléchir plus que de mesure pour clôturer notre aventure. Même si l’ensemble du jeu traite de cela et qu’il faudra toujours user des compétences de l’une pour faire avancer l’autre, la réflexion n’a pas été extrêmement poussée et nous nous sommes rarement posés pour réellement outrepasser une difficulté. Ce qui est un peu dommage pour un jeu de cette trempe. Toutefois, les quelques moments où cela a été le cas nous ont marqués, à l’exemple d’une phase ressemblant à un flipper ou encore à l’approche de la fin du titre. Cette simplification des énigmes se traduit aussi par la difficulté générale du titre. Split Fiction ne se veut absolument pas punitif. Lorsque vous ratez quelque chose, il sera toujours facile d’y revenir dans l’immédiat sans devoir recommencer le niveau. De même, il arrivera parfois que le jeu place directement votre personnage à l’endroit souhaité pour ne pas vous frustrer davantage. Couplé à cela, la possibilité d’accessibilité poussée et de réglage pour chacun des personnages, Hazelight propose une aventure adaptable aux besoins de chacun. L’objectif étant d’offrir un bon moment avec votre partenaire, plus que des moments de dispute sur un passage compliqué.
Mettre en image l’imaginaire
Tournant sous l’Unreal Engine 5, devenant doucement une norme dans la sphère vidéoludique, Split Fiction nous a époustouflés par ses magnifiques décors. Que ce soit du côté de la science-fiction avec des jeux de lumières vraiment intéressants à la végétation des mondes de la fantasy parfois pharaoniques. Couplé à cela une excellente optimisation sur console, faisant tourner le jeu à 60 fps et sans aucun bug à déplorer hors ceux que nous avons provoqués intentionnellement, Split Fiction brille par sa technique. Certains diront tout de même que les personnages sont un peu plats, manquent de détails et de réalisme, mais cela colle parfaitement au style graphique du studio. Cette fluidité sur console, étonnante par moment, est possible aussi de par la construction de ses niveaux. Alors qu’It Takes Two offrait des niveaux semi-ouverts, Split Fiction fait le choix de niveaux plus linéaires permettant de ne pas avoir à charger trop d’éléments. Ainsi, l’ensemble des niveaux sont soigneusement travaillés, avec des jeux de lumières excellents ou encore un travail de texture dessiné à la main des plus satisfaisantes. De plus, en optant pour ce type de gameplay, Hazelight se permet de jouer sur des effets de grandeur et de profondeur dans certains niveaux spécifiques. Cela permet ainsi aux joueurs de s’immerger complètement dans l’univers proposé tout en le rendant crédible aux yeux de tous.
Les décors sont magnifiques ! Et les développeurs le savent très bien.
En plus de décors époustouflants nous ayant décroché la mâchoire par moment, la bande-son qui accompagne notre aventure n’est pas à oublier. Celle-ci s’adapte à merveille aux différents univers proposés. On pourra toutefois regretter le manque de thème marquant et véritablement impactant. Malgré cela, le titre s’en sort à merveille d’un point de vue sonore avec un sound design aux petits oignons et un travail de doublage parfaitement réussi aussi bien en VO qu’en VF. Nos personnages auront ainsi des interactions plutôt naturelles que nous avons apprécié de suivre tout au long de leur aventure. Une aventure bien dosée, proposant une durée de vie de 10h environ pour les joueurs adeptes du genre. Comptez néanmoins un peu plus si vous avez des difficultés sur les plateformers ou alors que vous souhaitez découvrir l’ensemble des quelques trophées disponibles.
Au-delà de la fiction
Au-delà de nous proposer une histoire sympathique sous couvert de critique sur l’utilisation de machines pour copier des artistes talentueux, Split Fiction se permet d’inclure deux histoires touchantes à travers les personnages de Mio et Zoé. En effet, le studio Hazelight ne s’est pas contenté d’une seule histoire mais bien de trois bien distinctes. Celle des scénaristes cherchant à contrer un éditeur corrompu, celle de Mio et ses difficultés financières et celle de Zoé avec son traumatisme d’enfance. Le fait d’avoir choisi cette voie permet d’amener une certaine compassion, mais aussi une morale à un titre qui, de base, n’en proposait pas forcément. Là où le titre précédent prônait l’importance de la communication dans un couple, où nous découvrons les histoires de nos deux protagonistes, Split Fiction prône l’acceptation de ses démons pour mieux avancer, tout en se faisant aider par une personne extérieure.
Parfois, il suffit d’un plaisir simple pour être heureux.
Véritable thérapie, Split Fiction se destine aussi aux personnes cherchant un peu de réconfort dans des moments difficiles. Celles-ci se reconnaîtront dans les caractères de nos deux personnages où l’une est renfermée car souhaitant garder ses problèmes, tandis que l’autre est extravertie pour se mentir à elle-même. Sans vouloir spoiler, la fin propose aussi une sous-lecture avec un véritable moment d’humilité de la part des développeurs. Espérant que les joueurs ayant tenu jusqu’au bout auront apprécié le titre autant qu’ils ont apprécié le faire. Tout en gardant cette peur de ne pas réitérer l’exploit de 2021. Hazelight a réussi à nous captiver et nous offre une nouvelle fois une merveilleuse aventure.
Verdict
Après un succès avec It Takes Two, Hazelight nous propose sa toute nouvelle aventure avec Split Fiction et réitère cette magie de la coopération tout en améliorant sa technique. Split Fiction est donc la petite pépite de ce mois de mars que nous vous conseillons absolument de tester avec un compagnon de voyage. Entre une histoire à plusieurs lectures, des décors magnifiques et un gameplay intelligent, le titre du studio suédois marquera à coup sûr les esprits des joueurs ayant terminé cette magnifique aventure. On regrettera toutefois quelques maladresses d’écriture, des niveaux de difficulté peu équilibrés ou encore le manque d’originalité sur certaines mécaniques de gameplay reprises de son prédécesseur. Mais ces quelques défauts n’entachent en rien la qualité globale du titre tant l’ensemble fonctionne à merveille et saura ravir les joueurs du dimanche.
Tax-exempt special interest groups like lobbyists and non-profits are exercising power with little democratic oversight
The repression that began under the Biden administration has accelerated under Trump. Mahmoud Khalil’s detention by federal agents – reportedly Immigration and Customs Enforcement officers – despite his legal, permanent resident status will probably have its intended effect. People will speak up less; their fear of the irreversible harm meted out by a vengeful state is justified. Now we are all left to contend with the wreckage of the first amendment to the US constitution, which used to guarantee the right to speech in this country.
Responsibility for the erosion of our rights is attributable – in part – to the bipartisan embrace of the non-governmental, non-profit sector. That’s because from the 1940s onward, the federal government has ceded much state authority to philanthropies and non-profits. Those groups, in turn, have acted to craft policy – everything from how to develop equitable housing or the benefits of inoculating children to ensuring that speech targeting Israel is punishable by law.
Mahmoud Khalil, one of the ringleaders of anti-Israel protests at Columbia University last year, will remain in ICE custody for now following a hearing in a Manhattan federal court on Wednesday.
Avec une très grande autonomie et stable à piloter, la Segway GT3 E nous a néanmoins procuré des sensations mitigées lors d’une première prise en main, mais son prix contenu devrait assurément séduire.
Avec une très grande autonomie et stable à piloter, la Segway GT3 E nous a néanmoins procuré des sensations mitigées lors d’une première prise en main, mais son prix contenu devrait assurément séduire.
Après avoir eu l’occasion d’avoir entre les mains le petit micro Capsule Mini signé NZXT, nous passons aujourd’hui à l’étape supérieure avec le tout nouveau Capsule Elite de la marque. NZXT nous promet ici des indicateurs LED afin de connaître en un clin d’œil l’état de notre micro sans oublier toutes les options disponibles dans le logiciel. Ce Capsule Elite est disponible dès à présent pour le prix MSRP de $89,99 mais on le trouve en réalité pas dans nos boutiques françaises à l’heure d’aujourd’hui.
Bref, que vaut ce Capsule Elite signé NZXT ? Réponse dans ce test !
Déballage
Ce micro arrive emballé dans une boîte aux couleurs de NZXT, c’est-à-dire blanc et violet. La plupart du matériel de la marque arrive dans des boîtes de ces couleurs. Ici, on retrouve un visuel du Capsule Elite, dans son coloris blanc. Bien entendu, nous retrouverons davantage d’informations sur le micro en lui-même que nous préciserons un peu plus bas.
À l’ouverture de la boîte, le micro est disposé sur une mousse en plastique protectrice. Tous les accessoires seront disponibles en dessous de cette dernière. Globalement, on ne retrouvera pas grand chose dans cette boîte, hormis le micro, le support métallique et enfin le câble USB-C vers USB-A.
Caractéristiques techniques
ULTRA-HAUTE RÉSOLUTION : la profondeur de 24 bits et la fréquence d’échantillonnage de 192 kHz reproduisent votre voix avec une précision et des détails exceptionnels.
VOIX RICHE ET RÉSONANTE : une grande capsule avec une large plage active capture les basses fréquences et les nuances subtiles de votre voix pour un son naturel et bien plein.
OPTIMISÉ POUR LA PAROLE : la directivité cardioïde isole votre voix des bruits de fond, tandis que le filtre anti-pop intégré garantit un son clair et pur.
SON PERSONNALISABLE : réglez avec précision l’égalisation, la suppression du bruit, le contrôle du micro et bien plus encore grâce au logiciel NZXT CAM optimisé par DTS.
INDICATEURS LED : la barre lumineuse en façade affiche l’état de la sourdine et les niveaux de gain du microphone et de volume du casque.
Première installation
Pour la première mise en place de ce micro, il n’y aura pas grand chose à savoir. Effectivement, on va installer le micro sur son support et venir le brancher à notre PC. En parallèle, vous pourrez télécharger le logiciel NZXT CAM qui vous permettra de personnaliser le Capsule Elite.
Esthétisme et design
Visuellement parlant, on est ici sur un très joli micro. Nous n’avons clairement pas l’impression d’avoir un gadget comme parfois ça peut être le cas. Le Capsule Elite est aussi lourd et bien fini. En plus de cela, les boutons semblent qualitatifs, ils demandent une certaine « pression » à l’usage qui renforce certainement cet effet de qualité. Aujourd’hui, nous testons le modèle blanc mais sachez qu’il existe aussi en noir. À titre personnel, je trouve que le blanc apporte un peu de fraîcheur sur un bureau, souvent sombre. D’ailleurs, si vous aimez les périphériques blancs, n’hésitez pas à consulter mon test de la souris Lift Elite Wireless ainsi que de son tapis blanc ou encore le casque Corsair HS80 Max Wireless.
Sur ce micro, on va retrouver deux rappels de la marque : NZXT, une au dessus, gravée simplement dans le plastique tandis qu’un second trône dans le bas. Lui est aussi gravé mais bénéficie d’un traitement gris brillant.
À l’arrière, à l’instar du Capsule Mini, nous avons le droit à des sortes d’alvéoles bien qu’une petite nouveauté réside dans la présence de LED RGB sur la première ligne du haut. Ce n’est pas forcément la fonctionnalité la plus utile du monde mais ça vient apporter un peu de couleurs si vous le souhaitez.
Logiciel
Comme vous le verrez avec la capture d’écran ci-dessous, le logiciel NZXT CAM n’est pas difficile à prendre en main. On y trouvera un premier onglet où nous allons pouvoir paramétrer les effets lumineux présents à l’arrière du micro. De plus, c’est aussi ici qu’on pourra intervenir sur les paramètres du volume du Capsule Elite. Un deuxième onglet « voice equalizer » est là pour accéder à l’égaliseur. On dispose aussi d’un enregistrement pour vérifier la tonalité de notre voix en fonction de la configuration effectuée à cet endroit.
Pour finir avec les paramètres, si vous êtes un « pro » du son, vous pourrez voir des options complémentaires. Néanmoins, si vous n’êtes pas à l’aise avec ce monde, n’y touchez probablement pas !
Rendu
Avec le Capsule Elite, j’ai constaté que le son du micro était très bon. Il semblerait qu’il ai un meilleur rendu que le Capsule Mini que j’utilisais jusqu’à présent. D’après mes clients en formation que j’avais en visio-conférence, ils m’ont indiqué que le son semblait plus clair. En plus de cela, il y avait moins de coupures ou de bruits parasites. Je pense notamment au clavier mécanique de mon conjoint ou même le mien lorsque j’écris. Malheureusement, je ne suis pas une spécialiste du son, je ne pourrai donc pas aller en détail sur les paramétrages possibles mais on pourra aller bien plus loin qu’avec le Capsule Mini où à l’époque on ne pouvait absolument rien changer.
Conclusion
Nous arrivons au terme de ce test du Capsule Elite de NZXT, alors qu’en avons-nous pensé ?
Ici, nous retrouvons un micro qui est particulièrement esthétique et qualitatif. Il est lourd et ses détails sont soignés. En plus de cela, son coloris blanc vient rajouter de la luminosité sur un bureau, habituellement sombre. Malgré tout, NZXT propose aussi des couleurs avec une bande de quelques LED RGB à l’arrière du Capsule Elite. C’est esthétique, j’aime beaucoup. Elles sont bien entendu personnalisables avec le logiciel (on peut les retirer si vous n’aimez pas), sans oublier la modification des paramètres si besoin.
Au quotidien, il fait clairement ce pourquoi il est fait. Le son est bon et de qualité, il semblerait même légèrement meilleur que le Capsule Mini que j’avais testé il y a quelques temps en arrière.
Ce Capsule Elite de NZXT est normalement disponible au prix MSRP de $89,99 mais dans les faits, il n’est pas encore trouvable dans nos boutiques françaises.
Après avoir eu l’occasion d’avoir entre les mains le petit micro Capsule Mini signé NZXT, nous passons aujourd’hui à l’étape supérieure avec le tout nouveau Capsule Elite de la marque. NZXT nous promet ici des indicateurs LED afin de connaître en un clin d’œil l’état de notre micro sans oublier toutes les options disponibles dans le logiciel. Ce Capsule Elite est disponible dès à présent pour le prix MSRP de $89,99 mais on le trouve en réalité pas dans nos boutiques françaises à l’heure d’aujourd’hui.
Bref, que vaut ce Capsule Elite signé NZXT ? Réponse dans ce test !
Déballage
Ce micro arrive emballé dans une boîte aux couleurs de NZXT, c’est-à-dire blanc et violet. La plupart du matériel de la marque arrive dans des boîtes de ces couleurs. Ici, on retrouve un visuel du Capsule Elite, dans son coloris blanc. Bien entendu, nous retrouverons davantage d’informations sur le micro en lui-même que nous préciserons un peu plus bas.
À l’ouverture de la boîte, le micro est disposé sur une mousse en plastique protectrice. Tous les accessoires seront disponibles en dessous de cette dernière. Globalement, on ne retrouvera pas grand chose dans cette boîte, hormis le micro, le support métallique et enfin le câble USB-C vers USB-A.
Caractéristiques techniques
ULTRA-HAUTE RÉSOLUTION : la profondeur de 24 bits et la fréquence d’échantillonnage de 192 kHz reproduisent votre voix avec une précision et des détails exceptionnels.
VOIX RICHE ET RÉSONANTE : une grande capsule avec une large plage active capture les basses fréquences et les nuances subtiles de votre voix pour un son naturel et bien plein.
OPTIMISÉ POUR LA PAROLE : la directivité cardioïde isole votre voix des bruits de fond, tandis que le filtre anti-pop intégré garantit un son clair et pur.
SON PERSONNALISABLE : réglez avec précision l’égalisation, la suppression du bruit, le contrôle du micro et bien plus encore grâce au logiciel NZXT CAM optimisé par DTS.
INDICATEURS LED : la barre lumineuse en façade affiche l’état de la sourdine et les niveaux de gain du microphone et de volume du casque.
Première installation
Pour la première mise en place de ce micro, il n’y aura pas grand chose à savoir. Effectivement, on va installer le micro sur son support et venir le brancher à notre PC. En parallèle, vous pourrez télécharger le logiciel NZXT CAM qui vous permettra de personnaliser le Capsule Elite.
Esthétisme et design
Visuellement parlant, on est ici sur un très joli micro. Nous n’avons clairement pas l’impression d’avoir un gadget comme parfois ça peut être le cas. Le Capsule Elite est aussi lourd et bien fini. En plus de cela, les boutons semblent qualitatifs, ils demandent une certaine « pression » à l’usage qui renforce certainement cet effet de qualité. Aujourd’hui, nous testons le modèle blanc mais sachez qu’il existe aussi en noir. À titre personnel, je trouve que le blanc apporte un peu de fraîcheur sur un bureau, souvent sombre. D’ailleurs, si vous aimez les périphériques blancs, n’hésitez pas à consulter mon test de la souris Lift Elite Wireless ainsi que de son tapis blanc ou encore le casque Corsair HS80 Max Wireless.
Sur ce micro, on va retrouver deux rappels de la marque : NZXT, une au dessus, gravée simplement dans le plastique tandis qu’un second trône dans le bas. Lui est aussi gravé mais bénéficie d’un traitement gris brillant.
À l’arrière, à l’instar du Capsule Mini, nous avons le droit à des sortes d’alvéoles bien qu’une petite nouveauté réside dans la présence de LED RGB sur la première ligne du haut. Ce n’est pas forcément la fonctionnalité la plus utile du monde mais ça vient apporter un peu de couleurs si vous le souhaitez.
Logiciel
Comme vous le verrez avec la capture d’écran ci-dessous, le logiciel NZXT CAM n’est pas difficile à prendre en main. On y trouvera un premier onglet où nous allons pouvoir paramétrer les effets lumineux présents à l’arrière du micro. De plus, c’est aussi ici qu’on pourra intervenir sur les paramètres du volume du Capsule Elite. Un deuxième onglet « voice equalizer » est là pour accéder à l’égaliseur. On dispose aussi d’un enregistrement pour vérifier la tonalité de notre voix en fonction de la configuration effectuée à cet endroit.
Pour finir avec les paramètres, si vous êtes un « pro » du son, vous pourrez voir des options complémentaires. Néanmoins, si vous n’êtes pas à l’aise avec ce monde, n’y touchez probablement pas !
Rendu
Avec le Capsule Elite, j’ai constaté que le son du micro était très bon. Il semblerait qu’il ai un meilleur rendu que le Capsule Mini que j’utilisais jusqu’à présent. D’après mes clients en formation que j’avais en visio-conférence, ils m’ont indiqué que le son semblait plus clair. En plus de cela, il y avait moins de coupures ou de bruits parasites. Je pense notamment au clavier mécanique de mon conjoint ou même le mien lorsque j’écris. Malheureusement, je ne suis pas une spécialiste du son, je ne pourrai donc pas aller en détail sur les paramétrages possibles mais on pourra aller bien plus loin qu’avec le Capsule Mini où à l’époque on ne pouvait absolument rien changer.
Conclusion
Nous arrivons au terme de ce test du Capsule Elite de NZXT, alors qu’en avons-nous pensé ?
Ici, nous retrouvons un micro qui est particulièrement esthétique et qualitatif. Il est lourd et ses détails sont soignés. En plus de cela, son coloris blanc vient rajouter de la luminosité sur un bureau, habituellement sombre. Malgré tout, NZXT propose aussi des couleurs avec une bande de quelques LED RGB à l’arrière du Capsule Elite. C’est esthétique, j’aime beaucoup. Elles sont bien entendu personnalisables avec le logiciel (on peut les retirer si vous n’aimez pas), sans oublier la modification des paramètres si besoin.
Au quotidien, il fait clairement ce pourquoi il est fait. Le son est bon et de qualité, il semblerait même légèrement meilleur que le Capsule Mini que j’avais testé il y a quelques temps en arrière.
Ce Capsule Elite de NZXT est normalement disponible au prix MSRP de $89,99 mais dans les faits, il n’est pas encore trouvable dans nos boutiques françaises.
The Trump administration is not interested in combating antisemitism. It just wants to silence its opponents instead
On Saturday night, agents of the Department of Homeland Security arrested and detained the Columbia University graduate Mahmoud Khalil. He is still in Ice custody in a remote Louisiana lockup known for extreme human rights violations, from denial of food and water to medical “care” verging on torture.
Khalil, a Palestinian Syrian, emerged as a leader in Columbia’s Gaza solidarity encampment last year and a level-headed negotiator with university officials on behalf of the student protesters. Married to a US citizen, he holds a green card. Neither his American wife, who is eight months pregnant, nor his lawyers were warned of the arrest or told where he would be held.
Après une première partie de carrière pour le moins discrète, la Citroën ë-C4 se refait une beauté. Avec un style assagi et des prix en baisse, cette voiture électrique mérite d'être redécouverte. Nous avons testé cette rivale de la Renault Mégane E-Tech, voici notre avis.
Même design, même écran, même logiciel, même prix. L’iPad Air édition 2024 est presque en tous points identique à la génération précédente. Seule nouveauté marquante : il carbure à la puce M3.
Après une première partie de carrière pour le moins discrète, la Citroën ë-C4 se refait une beauté. Avec un style assagi et des prix en baisse, cette voiture électrique mérite d'être redécouverte. Nous avons testé cette rivale de la Renault Mégane E-Tech, voici notre avis.
Même design, même écran, même logiciel, même prix. L’iPad Air édition 2025 est presque en tous points identique à la génération précédente. Seule nouveauté marquante : il carbure à la puce M3.
Le kit solaire Zendure SolarFlow 800 annonce être capable de produire et stocker de l'électricité grâce au soleil avec une déperdition minimale. Promesse tenue ?
Le kit solaire Zendure SolarFlow 800 annonce être capable de produire et stocker de l'électricité grâce au soleil avec une déperdition minimale. Promesse tenue ?
Key figure in pro-Palestinian campus protests arrested by Ice known for kindness and skill for de-escalation
Mahmoud Khalil, the recent Columbia University graduate who was detained by Ice on Saturday night, was linked by Donald Trump, without evidence, to “pro-terrorist, anti-Semitic, anti-American activity”. But for those who know him, Khalil was a student, a steady negotiator and a leader whose activism placed him at the center of a national movement for Palestinian solidarity.
Khalil, a Palestinian green card holder who is currently in immigration detention in Louisiana, was a lead negotiator for Columbia University Apartheid Divest (CUAD), a role that thrust him into the spotlight during the pro-Palestinian encampment protests last spring – long before his high-profile arrest. He gained a reputation among fellow protesters as a principled and strategic organizer, earning praise for his ability to de-escalate tense situations.
Even in Canada’s smaller communities, the cost of constantly policing anti-Israel demonstrations continues to take seven-figure sums from local police budgets. Read More
Présenté au MWC 2025 aux côtés du Phone (3a), le Phone (3a) Pro de Nothing est à Android ce que l’iPhone 16e est à Apple. Le bon rapport techno-prix en plus. Nous l’avons testé.
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Voilà deux mois que nous testons la Garmin fēnix 8 dans sa version avec écran MIP, dite Solar. Ses quelques nouveautés suffiront-elles à expliquer les 250 euros de différence avec la Garmin fēnix 7 Pro ?
Le dos de la montre // Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Bon là je téléphone alors que j'aurai pu directement parler dans la montre // Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Cela ne se voit pas, mais ces nouveaux boutons sont moins agréables à utiliser // Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Je n'ai pas de photo de plongée, donc je vous remontre les boutons // Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
La cartographie de la fēnix 8 Solar // Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Séance de côtes : comparaison de mesures de fréquence cardiaque entre la Garmin fēnix 8 Solar et une ceinture cardiofréquencemètre (référence) // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Footing actif : comparaison de mesures de fréquence cardiaque entre la Garmin fēnix 8 Solar et une ceinture cardiofréquencemètre (référence) // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
De toute le catalogue de Xiaomi, le Redmi Note 14 Pro+ 5G est le téléphone de « la polyvalence ultime ». Il serait même un smartphone « AI conique » ! C’est ce que nous allons vérifier dans ce test.
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À 1 199 euros (ou 1 099 euros en remise étudiante), le nouveau MacBook Air est moins cher que son prédécesseur, malgré plusieurs évolutions bienvenues. À ce prix, Apple propose le meilleur rapport qualité-prix du marché. Aucun constructeur n'offre autant d'autonomie et de performances dans un design aussi raffiné.
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Hyundai débarque sur le marché européen avec l’Inster, une mini-électrique au style atypique. Fun à regarder, est-elle aussi convaincante à conduire ? On l’a testée sous une météo loin d’être idéale.
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Commercialisé à partir de 2 499 euros, le Mac Studio est un ordinateur de bureau à destination des créatifs, en quête d'une très grande puissance de calcul. Le modèle testé par Numerama, avec la puce M3 Ultra, 256 Go de RAM et 4 To de stockage, coûte 10 124 euros. La meilleure configuration atteint les 17 624 euros.
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Alors que nous avions testé en novembre dernier, le Ryzen 7 9800X3D, AMD lance officiellement ce jour, deux nouveaux processeurs, les AMD Ryzen 9 9900X3D et Ryzen 9 9950X3D. Le modèle 9800X3D reste pour nous, le meilleur processeur gaming du moment, il sera donc intéressant de voir comment vont se comporter ces deux nouveaux processeurs. […]
Alors que nous avions testé en novembre dernier, le Ryzen 7 9800X3D, AMD lance officiellement ce jour, deux nouveaux processeurs, les AMD Ryzen 9 9900X3D et Ryzen 9 9950X3D. Le modèle 9800X3D reste pour nous, le meilleur processeur gaming du moment, il sera donc intéressant de voir comment vont se comporter ces deux nouveaux processeurs. […]
De son côté, la marque be quiet! renouvèle donc sa série de ventirads entrée de gamme occupée par la série Pure Rock. Ainsi, nous avons donc reçu un exemplaire du Pure Rock 3 Black, un nouveau dissipateur destiné aux budgets plus modestes. Sera-t-il à la hauteur pour refroidir votre CPU ? Fonctionnera-t-il en silence ? […]
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Prometteuse sur le papier, la trottinette électrique Ninebot F3 Pro E nous a fait forte impression lors des premiers kilomètres. Stable, confortable, puissante et sans gros défaut : voici nos premières impressions.
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Devenue de plus en plus populaire au fil du temps, la franchise Monster Hunter est devenue un sacré atout dans la manche de Capcom, au point de venir chatouiller de grosses IP comme Resident Evil. Chaque sortie est généralement synonyme de succès et à l’heure où ces lignes sont écrites, les 8 millions d’exemplaires de Wilds vendus en trois jours vont clairement en ce sens.
Accueillant aussi bien les nouveaux joueurs à bras ouverts que les vétérans de la saga, ce nouveau Monster Hunter avait pour mission de concilier les deux mondes en offrant une expérience accessible sans pour autant dénaturer la profondeur et le charme de la licence, sept années après World.
INFORMATIONS GENERALES
Disponible depuis le 28 février 2025 sur PC, Xbox Series et PlayStation 5.
Tarif de lancement : 79.99€ prix éditeur.
Version testée : PS5, via un code fourni par l’éditeur.
Monster Hunter Wilds | Trailer d’annonce
La première chose qui peut frapper dans Monster Hunter WIlds est le soin apporté à son histoire. Car si le scénario n’a jamais été l’attrait principal de la franchise, il est toujours agréable de constater que Capcom a mis du cœur à l’ouvrage pour immerger le joueur du mieux possible dans cet univers.
Que ce soit dans les dialogues ou la mise en scène, l’histoire se laisse en effet agréablement parcourir, magnifiée par des cinématiques de qualité. Et même si les aventures de notre chasseur ne sont au final qu’un prétexte pour aller casser de la grosse bêbête, elles ont au moins le mérite d’être un minimum scénarisées. Un bon point pour les joueurs découvrant la licence, qui auront une plus grande facilité pour se plonger dans l’univers.
L’immersion est d’autant plus réussie qu’il est possible d’interagir avec de nombreux PNJ entre deux chasses. Que ce soit pour récupérer des éléments, des matériaux, des provisions ou bien encore se forger une armure, notre héros sera entouré de tout un tas de personnages bien sympathiques (sauf toi Nata) qui donneront le change lors de différents dialogues.
Et si la quête principale n’est au final qu’un immense tutoriel présentant tout doucement les différents éléments de gameplay, la richesse de Monster Hunter Wilds s’ouvre avec le endgame (soit environ après 20 heures).
Monster Hunter Wilds | Trailer de lancement
Et là, les vétérans de la licence seront servis. Car s’il est possible d’atteindre le générique de fin sans trop de heurts, le endgame est une autre paire de manches et c’est bien là que les choses sérieuses commencent réellement.
Concrètement, après avoir parcouru les différents biomes et chassé toutes les créatures lors de la quête principale du jeu, des versions plus boostées feront alors leur apparition sur la carte, ainsi que de nouveaux monstres, bien plus féroces. Mais avec également de meilleures récompenses à la clé.
Les coutumiers de la franchise retrouveront vite leurs habitudes et le craft aura une place centrale afin de pouvoir se forger des armes et armures de plus en plus puissantes, l’objectif final étant de ne plus être la proie mais le prédateur ultime. Les nouveaux venus quant à eux, auront toutes les cartes en mains pour progresser à leur rythme et en découvrant ce que le jeu a à offrir car les nombreux conseils prodigués par le titre permettent de savoir ou concentrer ses efforts quand on semble perdu.
Mais l’un des principaux attraits de Monster Hunter est sa coop’. Bien que le système d’amis et de groupe relié soit assez indigeste (comme l’interface générale et les différents menus du jeu au passage), la chasse à plusieurs a un côté très grisant. Ainsi, il est possible de former une escouade de quatre chasseurs (le cross play est d’ailleurs de la partie) et de partir traquer de la bestiole, qui généralement ne fait pas long feu si chacun maîtrise bien son arme et son build.
Mais il est tout à fait possible de parcourir le titre en solo et de se faire aider par des joueurs présents dans le même lobby ou bien par des PNJ diantrement efficaces. Quoi qu’il en soit, tout le monde trouvera son bonheur, car la richesse de Monster Hunter demeure sa principale force.
Ce qui nous a plu dans Monster Hunter Wilds :
Une histoire qui fait office de tutoriel, bien mise en scène et qui présente les différents éléments de gameplay au fur et à mesure jusqu’au endgame.
De l’accessibilité, tout en proposant un challenge correct.
14 armes pour varier les plaisirs, et différents éléments pour builder comme on le souhaite.
Le mode focus, qui permet d’ajouter une touche de stratégie durant les affrontements.
Des biomes très jolis à parcourir. L’exploration est très fluide et plaisante, les Seikret (montures) sont véloces et tout terrain.
Le bestiaire relativement bien fourni et qui s’étoffera avec les prochaines MAJ.
La coopération jusqu’à quatre joueurs, avec du cross-play très fonctionnel au menu.
Ce qui nous a moins convaincu dans Monster Hunter Wilds :
L’interface utilisateur lourde et indigeste. Il y’a trop de menus et de sous-menus. Les raccourcis sont une plaie à paramétrer, on met parfois trop de (précieuses) secondes à vouloir faire ce que l’on veut.
Techniquement, il y’a quelque problèmes d’affichage. Le RE Engine fait des merveilles en zone étroite mais en zone ouverte, l’effet wahou disparait vite. C’est joli sans plus.
Même si l’histoire est sympa à suivre, elle demeure classique.
Il faut un certain temps d’adaptation dans le gameplay, et certaines actions sont parfois encore trop approximatives.
Devoir payer avec de l’argent réel pour se procurer des coupons de modification du personnage. Prenez donc le temps de bien créer votre héros comme vous le souhaitez en début de partie.
Note et conclusion : 16/20
Monster Hunter Wilds est une excellente porte d’entrée dans la saga de Capcom. Avec sa liberté d’exploration et d’expérimentation, son gameplay relativement solide et sa coopération bien fichue, ce nouvel opus prouve une fois de plus que la licence a encore de beaux jours devant elle. Reste une interface utilisateur archaïque et une technique pas toujours au top qui peuvent ternir le tableau, mais globalement le jeu est une franche réussite.