Satechi, une société spécialisée dans les accessoires, propose un nouveau modèle de hub USB-C très compact parfait pour les nomades : c'est un hub USB-C 7-en-1 qui est compatible MagSafe. Il est vendu normalement 60 €, mais un coupon à cocher permet de descendre à 49 €. Chez certains clients, il est même possible de gagner encore 20 % (la page vous indiquera si vous êtes éligibles), ce qui fait baisser le prix à 37 €.
Le hub USB-C. Image Satechi.
Le petit boîtier circulaire de 6,5 cm de diamètre pèse 68 grammes et est compatible MagSafe, ce qui lui permet de se fixer magnétiquement au dos d'un iPhone. Il intègre un câble USB-C enroulable, une entrée USB-C pour un chargeur USB-C (100 W), deux prises USB-A à 5 Gb/s, une prise RJ45 à 1 Gb/s, une sortie HDMI capable de fonctionner en 4K à 60 Hz et un double lecteur de cartes (SD et microSD) en UHS-I (104 Mo/s). Il coche donc beaucoup de cases : si vous êtes en réunion, dans la famille ou en déplacement en général, ce sont les points qui peuvent manquer sur un Mac, un iPhone ou un iPad.
Un sous-traitant chinois d’Apple a été victime d’une grosse cyberattaque. DigiTimes rapporte que celle-ci pourrait avoir compromis des informations sensibles relatives aux chaînes de production de la Pomme. Des données de fabrication liées à Apple pourraient également avoir été touchées.
L’ampleur de l’attaque et des données récupérées restent flous. Le problème aurait été résolu et des évaluations internes seraient en cours afin de déterminer si l’incident a entraîné des pertes ou des perturbations. Le nom de l'entreprise ciblée n'a pas été divulgué.
Selon DigiTimes, les gros clients comme Apple lancent généralement des évaluations internes dans la foulée afin de déterminer la gravité de l’accident et de connaître le type et le volume des données exposées. L’objectif est de savoir si les mesures de sécurité prises par le fournisseur sont suffisantes. D’après une source de la chaîne d’approvisionnement citée par le média, Apple accorde une importance particulière à la confidentialité et au contrôle des opérations. Ni Cupertino, ni le sous-traitant concerné n’ont confirmé l’incident.
En temps normal, les clients peuvent pousser leurs partenaires à renforcer leurs défenses plutôt que de déplacer immédiatement la production. Si réallouer la production vers un autre assembleur peut sembler être une bonne option, cela n’a rien d’un simple coup de tampon : il faut ajuster les capacités et réorganiser des lignes, ce qui coûte cher et prend du temps.
Ce type d’incident peut être grave sur le long terme. En 2021, un groupe de pirates avait infiltré les serveurs du sous-traitant taïwanais Quanta, produisant des portables et l'Apple Watch. Le groupe avait publié des documents confirmant le retour du MagSafe et du HDMI sur le MacBook Pro. Il a finalement été démantelé début 2022.
Si vous avez connu le début des années 2000, avant l'avènement des smartphones, vous avez peut-être joué à des jeux en Java sur votre téléphone. À l'époque, il était en effet possible de télécharger (souvent en 2G ou en 3G) des jeux (qui étaient parfois préinstallés) sur les téléphones. Ils ne faisaient pas appel directement au matériel, mais passaient par une technologie un peu oubliée depuis : Java ME (pour Micro Edition). Elle permettait de créer des applications portables d'un appareil à une autre, avec uniquement quelques ajustements nécessaires pour adapter le jeu à l'écran du téléphone ou à son clavier.
Un jeu en Java ME sur un téléphone Sony Ericsson et sa manette. Image iGeneration.
L'app JarPlay, qui vient de sortir, permet de retrouver cette ambiance sur un iPhone. Elle est gratuite et permet de lancer des fichiers .jar, qui seront donc émulés pour fonctionner sur l'iPhone. Le résultat va évidemment dépendre des jeux, mais il y a pas mal de réglages au moment de l'importation pour adapter le jeu au téléphone qu'il ciblait au départ. L'app prend en charge les manettes et peut afficher différents modèles de clavier, car — rappelez-vous —, il fallait souvent utiliser le pavé numérique pour vous déplacer. La version gratuite se limite à deux jeux, si vous voulez en importer plus (et ajouter quelques fioritures visuelles), il faudra débourser 4 €.
Deux styles de claviers.
Nous avons testé rapidement avec un jeu pour un vieux Sony Ericsson, et il a fonctionné directement. La seule contrainte est évidemment de se souvenir des touches employées à l'époque et d'accepter des graphismes pixellisés (les écrans étaient généralement au mieux en 320 x 240 et souvent en 176 x 144 ou même en 160 x 120). Et à l'époque, les développeurs ne visaient évidemment pas les 60 images/s, mais espéraient simplement que le jeu dépasse la dizaine d'images/s, pour une impression de fluidité assez aléatoire. Il ne reste plus qu'à fouiller vos vieux disques durs pour retrouver les fichiers téléchargés et envoyés en Bluetooth dans votre téléphone (en 2025, il faut passer par AirDrop ou le cloud). Attention tout de même, la compatibilité reste assez aléatoire, mais c'est un problème lié à la technologie elle-même : de nombreux jeux profitaient de fonctions matérielles précises qui ne sont pas nécessairement émulées.
Vous ne portez pas d’Apple Watch, mais aimeriez bien avoir un gadget pour suivre votre santé ? La Helio Ring d’Amazfit pourrait vous intéresser. Cet accessoire embarquant différents capteurs pour un suivi discret est affiché à seulement 99,90 € chez Amazon. Une solide ristourne sur ce produit lancé à 299,90 € en juin 2024.
Image Amazfit
L’Helio Ring est une bague pouvant analyser votre fréquence cardiaque, votre respiration ou encore votre température corporelle. Elle peut surveiller différents aspects de votre santé, du stress au sommeil en passant par vos émotions. Elle fonctionne avec l’application Zepp (anciennement Amazfit), qui prend en charge HealthKit.
La bague est fabriquée en alliage de titane, pèse moins de 4 g et ne fait qu’environ 2,6 mm d’épaisseur. Elle est présentée comme étanche à 10 ATM (jusqu’à 100 m) et se recharge sans fil via un petit dock, avec une charge complète donnée pour 1h40. L’autonomie annoncée est de quatre jours.
L’accessoire se destine également aux sportifs étant donné qu’il analyse la VO2Max. Il peut prodiguer des conseils sur la charge d'entraînement ou les effets de vos séances sportives. La bague peut se synchroniser avec Strava ainsi que d’autres apps du genre.
Plusieurs tailles sont disponibles sur Amazon. Un guide présent sur la fiche vous permet de savoir laquelle vous correspondra grâce à une ficelle et une règle. Notons qu’un abonnement est proposé afin de débloquer des fonctions d’IA ou des conseils pour son sommeil.
Si les écrans 5K ont pendant longtemps été assez rares, la tendance s’inverse. LG a récemment dévoilé un trio de dalles 5K et 5K2K pensées pour les joueurs. Les produits sont variés, avec des écrans allant de 27" à 52".
Image LG
Le LG UltraGear Evo GM9 (27GM950B) est sans doute le plus intéressant pour un utilisateur de Mac étant donné qu’il s’agit d’un 5K 27", soit la même chose qu’un Studio Display. Il a cependant comme atout d’être Mini-LED, à la manière de l’écran des MacBook Pro. De quoi obtenir une meilleure luminosité (un pic à 1 250 nits !) et des contrastes bien plus fins.
LG UltraGear Evo GM9. Image LG
Le moniteur étant pensé pour les joueurs, il est possible de passer d’une 5K 165 Hz à de la QHD 330 Hz. Il a de quoi intriguer : LG s’occupe des dalles du Pro Display XDR, et planche sans doute sur la révision du Studio Display que l’on s’attend à découvrir en début d’année prochaine.
LG UltraGear Evo GX9. Image LG
De son côté, le LG UltraGear Evo GX9 (39GX950B) est un moniteur 39 pouces OLED incurvé 5K2K. Il conserve la hauteur d’un 32", avec plus de place à l’horizontale. Il peut également passer de 5K/165Hz à de la Wide Full HD/330Hz. LG insiste sur le fait qu’il s’agit d’une dalle Tandem OLED (comme les derniers iPad Pro) et sur la courbure 1500R.
LG UltraGear Evo G9. Image LG
Enfin, le LG UltraGear Evo G9 (52G930B) est présenté comme le plus grand moniteur 5K2K au monde étant donné qu’il fait 52". Il est rafraîchi à 240 Hz, ce qui devrait plaire au joueur. Il est incurvé (courbure 1000R) pour plus d’immersion et au format 12:9 s’étalant à l’horizontale. Ces moniteurs font la part belle à l’IA grâce à un système d’upscaling, certains pouvant optimiser les scènes ou le son via des algorithmes. Ils seront présentés au CES, mais aucun prix n’a été donné pour le moment.
On a tous ça quelque part sur un disque dur : des vidéos de vacances pixelisées, des clips de mariage flous, des enregistrements d'anniversaire où tout le monde ressemble à une tache beige. Ces souvenirs qu'on garde précieusement mais qu'on n'ose plus regarder tellement la qualité fait mal aux yeux.
MacXVideo AI débarque en promo de Noël avec une promesse simple : transformer ces reliques numériques en quelque chose de présentable, sans devenir ingénieur en traitement vidéo.
L'IA qui redonne vie à ce qu'on croyait perdu
Le principe est assez direct. On balance une vidéo molle filmée avec un téléphone de 2012, et l'intelligence artificielle fait son boulot de restauration. L'upscaling monte jusqu'en 4K pour la vidéo, 10K pour les photos. Pas juste un agrandissement bête et méchant qui étire les pixels comme de la pâte à pizza, non. Les algorithmes ont été entraînés sur des millions d'images HD et 4K pour reconstruire les détails manquants, lisser les artefacts de compression, enlever le bruit numérique qui transforme les ciels nocturnes en bouillie grise.
La stabilisation vidéo rattrape les tremblements de caméra qui donnent la nausée. L'interpolation de frames ajoute des images intermédiaires pour passer de 24 à 60, 120 ou même 480 ips si l'envie vous prend de transformer votre barbecue familial en séquence au ralenti digne d'un film de Zack Snyder. La restauration faciale corrige les flous, lisse la peau, fait ressortir les expressions qu'on avait oubliées. Et pour les nostalgiques qui ont des cartons de photos en noir et blanc, la colorisation automatique leur redonne des teintes réalistes sans passer trois heures sur Photoshop.
La version 3.10 fraîchement sortie ajoute même du traitement audio : débruitage IA pour enlever le souffle du micro, séparation vocale pour isoler les voix des instruments. Pratique quand on veut récupérer le discours de mariage sans le brouhaha ambiant !
Un couteau suisse qui refuse de facturer à l'abonnement
Au-delà de l'IA clinquante, MacXVideo AI embarque toute la panoplie classique qu'on attend d'une suite vidéo sérieuse. La conversion gère 370 formats en entrée, 420 en sortie. MP4, MKV, MOV, AVI, tout ce qui traîne dans vos dossiers passe à la moulinette avec des préréglages pour chaque appareil. iPhone, iPad, télé connectée, console de jeu, chacun son optimisation.
Le compresseur redessiné dans cette dernière mouture réduit le poids des fichiers jusqu'à 90 % sans massacrer la qualité visuelle. Utile quand on doit envoyer une vidéo par mail ou libérer de l'espace sur un SSD de 256 Go qui hurle famine depuis trois ans. Le téléchargement en ligne aspire des vidéos, des playlists entières, des chaînes complètes depuis plus de 1 000 sites. YouTube, Vimeo, Dailymotion, tout y passe avec extraction audio en MP3 ou WAV au choix.
L'enregistreur d'écran capture jusqu'en 4K à 60 ips, avec ou sans webcam en incrustation. Chrome key pour enlever le fond vert. L'éditeur permet de découper, recadrer, fusionner, ajouter sous-titres et watermarks sans ouvrir quinze logiciels différents. Bref, tout ce qui manque cruellement à Final Cut ou Premiere pour les tâches basiques qu'on répète cent fois par semaine.
MacXVideo AI fonctionne en licence perpétuelle : on achète une fois, on l'a pour la vie avec les mises à jour incluses.
L'accélération GPU qui change tout
Ce qui différencie vraiment MacXVideo AI de la concurrence, c'est son moteur CineAI avec accélération matérielle de niveau 3. Les développeurs de MacXDVD bossent sur l'optimisation GPU depuis 2015, et cela donne aujourd'hui des vitesses de traitement jusqu'à 47 fois supérieures aux logiciels qui tournent uniquement sur CPU.
Concrètement, on peut upscaler une vidéo de 10 minutes en 4K pendant qu'on se fait un café, pas pendant qu'on va faire les courses. Le logiciel propose deux modes pour la super-résolution vidéo : rapide pour du partage sur les réseaux sociaux, haute qualité pour une projection sur grand écran sans avoir honte.
Trois bonus qui ne servent pas juste à faire joli
L'offre de Noël inclut trois applications supplémentaires qui dépassent le statut de gadgets promotionnels. MacX MediaTrans gère les transferts entre iPhone, iPad et Mac sans passer par iTunes. Aiarty Image Matting découpe les sujets de leurs arrière-plans avec une précision chirurgicale. MobiKin Eraser efface définitivement les données d'un appareil iOS avant de le revendre.
Le tout pour une somme ridicule comparée aux prix individuels qui totalisent plus de 100 € normalement.
Une promo qui ne va pas s'éterniser
MacXVideo AI passe à 35,95 € HT (soit 43,14 € TTC) au lieu de 79,95 € pour une licence à vie sur un Mac. La version familiale qui couvre trois à cinq ordinateurs tombe à 59,95 € contre 145,95 € habituellement. L'offre reste active pendant les fêtes de fin d'année mais disparaîtra dès que janvier pointera son nez.
Les créateurs de MacXVideo AI travaillent sur ce logiciel depuis 2011, quand il s'appelait encore MacX Video Converter Pro. Quinze ans de versions pour passer du statut de simple convertisseur à celui de suite complète de post-production accessible.
Pour ceux qui ont des téraoctets de souvenirs numériques qui prennent la poussière faute de qualité convenable, ou qui cherchent une alternative sérieuse aux abonnements mensuels qui plombent le budget, l'offre mérite qu'on y jette un œil avant que les prix ne reprennent l'ascenseur !
Vous avez reçu une Apple Watch pour Noël, et donc vous avez envie de lui offrir quelques accessoires pour modifier son esthétique ou pour vous accompagner pendant le sport. Voici notre liste des accessoires indispensables pour votre montre Apple.
Image Apple.
Les bracelets
Chez Apple, vous trouverez de nombreux bracelets. Le classique, le Sport, existe en plusieurs couleurs et tailles, et c'est la base (pour 50 €). Dans le même genre, et peut-être parfois plus pratique, il y a le Boucle Sport et son scratch, qui est aussi décliné en plusieurs couleurs et tailles. Attention, les variantes Nike et les modèles Boucle unique et Boucle unique tressée ne se trouvent pas chez tous les revendeurs. Ce n'est pas une exclusivité d'Apple dans l'absolu, mais comme il y a plusieurs tailles, la logistique compliquée effraye certains revendeurs.
Enfin, si vous avez reçu une Apple Watch Ultra, il y a quelques bracelets spécifiques à ce modèle, même si beaucoup de modèles s'adaptent bien dessus. La boucle Trail, la boucle Alpine et le bracelet Ocean ciblent cette version de la montre. Et le milanais a été adapté à la version pour baroudeur, avec du titane. Petite astuce si vous voulez payer un peu moins cher, le site Ploonk vend d'anciennes collections de bracelets Apple avec de très belles réductions.
Apple n'est pas la seule société à proposer des bracelets, et vous pouvez évidemment aller au moins cher… ou vous tourner vers Nomad. Nous avons testé quelquesbracelets de la société et ils sont de bonne qualité. Ils sont en vente chez Band Band.
Nomad propose des bracelets fluorescents. Image WatchGeneration.
Les accessoires pour le sport
Les Apple Watch sont capables de se connecter à d'autres accessoires, pour améliorer les résultats sur certaines mesures ou pour ajouter de nouveaux capteurs. La base est la ceinture cardiaque, comme chez Garmin avec les HRM-200 et HRM-600. Les ceintures de ce type sont nativement compatibles avec l'Apple Watch et envoient les données en Bluetooth, qui sont ajoutées à Santé.
Un capteur compatible avec la natation. Image Polar.
Dans la même veine, il faut le rappeler, certains écouteurs peuvent aussi aider l'Apple Watch. C'est une des nouveautés des AirPods Pro 3 mais c'est aussi disponible sur les Powerbeats Pro 2 par exemple.
Nous en avons déjà parlé, l'Apple Watch peut aussi se connecter nativement à des capteurs de vitesse, de cadence et même de puissance si vous êtes un amateur de vélo. Les prix varient mais les capteurs de cadence ou de vitesse (certains font les deux) ne sont pas très onéreux et pratiques. Wahoo propose des produits efficaces pour une quarantaine d'euros et il est même possible d'en profiter avec Apple Fitness+.
Un capteur de cadence. Image Wahoo.
Les protections
Les montres d'Apple sont relativement solides, mais elles n'apprécient pas pour autant un coin de table, une grosse chute ou un mur en crépis. Si vous avez peur pour votre montre, il existe des protections. Chez Rhinoshield, il y a des bumper pour les Series 10 et 11, mais ils existent aussi pour d'autres modèles. Chez Spigen, vous trouverez des verres de protection ou des protections, encore une fois pour tous les modèles.
Une protection. Image Rhinoshield.
Les accessoires pour la recharge
La base est évidemment le chargeur Apple, mais il n'est pas très portable. Belkin ou Satechi proposent des modèles très compacts, qui peuvent même se connecter directement à un iPhone ou un iPad en USB-C.
Le chargeur compact de Satechi.
Pour les nomades, il y a des chargeurs portables combinés, comme chez Satechi, qui ressemblent à un ancien modèle Apple. Dans un format différent, Ugreen propose une batterie externe qui intègre un chargeur d'Apple Watch, une idée intéressante.
La batterie d'Ugreen.
Le dernier accessoire pratique pour la charge est évidemment une station. Elago propose de nombreux modèles qui nécessitent le chargeur Apple, avec différents design. Enfin, de nombreuses stations de charge Qi2 intègrent un chargeur Apple Watch en parallèle des bobines pour iPhone et AirPods. Nous avons sélectionné un modèle Ugreen Qi2 25 W, mais il en existe de nombreux autres.
Un support en forme de Macintosh. Image Elago.
Nous pouvons terminer par rappeler une chose : une Apple Watch cellulaire (ou une version classique sur laquelle vous avez envoyé de la musique) peut servir de lecteur pour la musique et se connecter directement à des écouteurs Bluetooth, comme les AirPods 4. L'avantage des modèles Apple dans ce cas précis, c'est qu'ils sont automatiquement jumelés avec votre montre, alors que vous devrez manuellement appairer les modèles des autres marques.
Garmin s’apprêterait à lancer la détection des ronflements avec une méthode de détection assez innovante. Au lieu de simplement se fier au son capté par le micro de la montre, l’entreprise voudrait mêler bruit et fréquence cardiaque afin de s'assurer que c'est bien le porteur qui ronfle, et pas sa moitié. De quoi aider à mieux identifier ce problème pouvant mener à des réveils fréquents pendant la nuit, réduisant la qualité du sommeil.
Image Pexels/MacGeneration
En pratique, Garmin commencerait par enregistrer le son émis pendant la nuit à l'aide du micro intégré à la montre ou au smartphone jumelé. La sensibilité du micro pourrait être ajustée à la volée pour obtenir une captation plus détaillée. Ce flux est ensuite filtré afin d'isoler les éventuels ronflements.
En parallèle, l'appareil analyse les signaux provenant du capteur optique au poignet, surveillant en temps réel la fréquence cardiaque et la variabilité respiratoire. Elle compare ensuite tout cela avec l'audio : si les données correspondent, cela signifie qu’il y a un réel ronflement du porteur. La montre marque alors les données comme valides et les ajoute aux mesures de sommeil de l'utilisateur. Des informations supplémentaires comme la température de la peau ou les données de mouvement peuvent permettre d'affiner encore davantage le signal.
Le porteur aurait ainsi droit à un bilan chaque matin, les informations liées au ronflement apparaissant dans le rapport de sommeil. Elles se trouveraient au côté de données liées, comme les phases de sommeil, la « batterie corporelle » ou la fréquence respiratoire.
La théorie est rapportée par le site Gadgets & Wearables et n’a pas été confirmée pour le moment par Garmin. Le concept est intéressant : l’utilisateur serait ainsi sûr que le ronflement capté est bien le sien et pas celui d'une autre personne. Une bonne gestion des algorithmes pourrait permettre d’optimiser la batterie, et pourquoi pas de déléguer l’enregistrement au micro d’un smartphone si celui de la montre est sous un coussin.
Souvenez-vous : quelques jours avant Noël, un groupe d’activistes annonçait avoir aspiré la quasi-totalité de la base de données de Spotify, qu’elle voulait rendre accessible à tous à des fins d’archivage. Spotify a riposté et donné quelques détails à The Record. L’entreprise suédoise a ainsi « identifié et désactivé les comptes d'utilisateurs malveillants qui se livraient à du scraping (extraction) illégal ».
Image MacGeneration
Les pirates ont réalisé un sacré casse, récupérant un peu moins de 300 To de données. Selon eux, le lot comprend des fichiers audio et une base de métadonnées, avec 256 millions d’entrées et 186 millions de codes ISRC uniques utilisés pour identifier les enregistrements musicaux.
« Nous avons mis en place de nouvelles mesures de protection contre ce type d'attaques contre le droit d’auteur et surveillons activement tout comportement suspect », a déclaré un porte-parole à The Record. « Depuis le premier jour, nous soutenons la communauté artistique dans sa lutte contre le piratage et collaborons activement avec nos partenaires industriels afin de protéger les créateurs et de défendre leurs droits », ajoute-t-il.
Spotify a également indiqué qu’elle ne considérait pas cette attaque comme un « hack » à proprement parler. Les malandrins ont simplement streamé la musique de la plateforme pendant plusieurs mois tout en l’enregistrant. Ils ne sont pas passés par des comptes d’entreprises, mais par de simples comptes classiques. Spotify affirme ne pas avoir été contacté avant la publication des dossiers.
Le casse a été revendiqué par Anna’s Archive, une bibliothèque fantôme créée dans la foulée de la fermeture de Z-Library en 2022. Les fichiers volés vont de 2007 jusqu’à juillet 2025. On peut y trouver 86 millions de fichiers musicaux qui représentent environ 99,6 % de toutes les écoutes sur Spotify. Un autre fichier plus petit contient les 10 000 chansons les plus populaires.
Mais quelle mouche a encore piqué Elon Musk ? Alors que le constructeur semble se pencher sur le support de CarPlay, une autre technologie d’Apple pourrait être prochainement prise en charge par Tesla. Il s’agit de clés de voiture (Car Key).
Jusqu’ici, Tesla faisait cavalier seul avec sa propre solution de "clé sur smartphone". Mais la donne est en train de changer, et le salut pourrait venir... de Chine.
Le détour par HarmonyOS
C’est en fouillant dans les entrailles de la version 4.52.0 de l’application Tesla que le site Not a Tesla App a mis la main sur le morceau. Le code contient plusieurs références explicites à « Harmony Wallet Key Cards ». Pour les non-initiés, il s’agit du portefeuille numérique de Huawei.
Pourquoi est-ce important ? Parce que c’est un pivot stratégique. Jusqu’à présent, la "Phone Key" de Tesla reposait sur une connexion Bluetooth entre l'auto et l'application tournant en arrière-plan. En s'ouvrant au portefeuille de Huawei, Tesla accepte de déléguer la gestion de la clé au système d'exploitation et à ses composants sécurisés. Et l'on sait que Tesla utilise souvent le marché chinois comme laboratoire avant de déployer ses nouveautés à l'échelle mondiale.
Sécurité renforcée et "mode réserve"
Si l’implémentation actuelle vise le système de Huawei, la passerelle vers l'Apple Wallet est techniquement toute proche. Pour l'utilisateur, le gain est immédiat :
Fiabilité accrue : Plus besoin de s'assurer que l'application Tesla tourne bien en tâche de fond.
Express Mode : Déverrouiller sa Model 3 d'un simple geste, sans même avoir à utiliser Face ID ou un code.
La panne sèche évitée : Grâce à la puce NFC, à l'UWB et à la gestion de l'énergie de l'iPhone, la clé peut fonctionner même si le téléphone n'a plus assez de batterie pour s'allumer.
La pression de la concurrence
Si Tesla finit par céder, ce n'est pas seulement par bonté d'âme. La concurrence commence à sérieusement s'organiser sur le terrain de l'intégration logicielle "native".
Rivian a récemment sauté le pas avec sa mise à jour 2025.46, offrant le support des clés numériques Apple et Google. Porsche, Toyota et même General Motors (pourtant fâché avec CarPlay) semblent suivre le même chemin. Pour Tesla, qui se targue d'offrir la meilleure expérience logicielle du marché, faire l'impasse sur une fonction aussi pratique que Car Key devenait de plus en plus difficile à justifier.
CarPlay bientôt sur Tesla ? Image générée par IA
Pour Apple, le constat est assez paradoxal. Alors que les constructeurs font bloc ou presque contre CarPlay Ultra pour garder jalousement la main sur leurs écrans et leurs précieuses données, ils semblent se résoudre à lui confier les clés du véhicule. Cupertino n'a peut-être pas encore conquis tous les tableaux de bord, mais la marque à la pomme est bien partie pour devenir le trousseau universel de l'industrie automobile.
À n’en pas douter, l’iPhone Fold devrait être la star de la rubrique Rumeurs pendant les longs mois à venir. Certains ont déjà commencé à mettre les petits plats dans les grands pour imaginer ce que nous réserve Cupertino.
Alors qu’il entretient des relations toujours aussi électriques avec la Pomme, Jon Prosser a publié une vidéo particulièrement soignée mettant en scène les différentes fonctionnalités de ce futur iPhone, attendu pour le début de l'année 2026. L’occasion de faire le point sur une fiche technique qui commence sérieusement à se muscler.
Le grand défi des smartphones pliants reste cette fameuse pliure qui barre l'écran au niveau de la charnière. Là où la concurrence a fini par s'en accommoder, Apple aurait passé des années à chercher la parade. Comme d’autres, Prosser, affirme que Cupertino a trouvé la solution et proposera un écran de 7,8 pouces parfaitement lisse, sans aucune trace de "cicatrice" au centre. Une prouesse qui, si elle se confirme, placerait d'emblée l'iPhone Fold loin devant ses rivaux sur le terrain du design.
Image : Prosser / FPT
Un iPad mini dans la poche
Côté format, Apple aurait tranché pour un design « livre ». Refermé, l'appareil ressemblerait à un iPhone classique avec un écran externe de 5,5 pouces et une épaisseur contenue de 9 mm. Mais c’est une fois ouvert que la bête impressionne : la dalle de 7,8 pouces (quasiment la diagonale d’un iPad mini) s’accompagne d’une finesse record de seulement 4,5 mm. Pour capturer l'instant, l’appareil embarquerait un total de quatre capteurs photo, dont un sur la face externe et un autre dissimulé sur la dalle interne.
Le sacrifice de Face ID
Dans la rubrique des choix techniques inattendus, l'iPhone Fold pourrait marquer la fin d'un règne : celui de Face ID. Faute de place dans un châssis aussi fin ou par souci d'ergonomie, Apple ressusciterait Touch ID. Le capteur d'empreintes serait logé directement dans le bouton d'allumage, lui-même déporté sur la tranche supérieure de l'appareil. Un retour aux sources qui rappelle l’ergonomie de l'iPad Air, mais qui risque de faire grincer quelques dents chez les habitués de la reconnaissance faciale.
Modem « maison » et autonomie sous surveillance
À l’intérieur, Apple poursuivrait sa quête d'indépendance avec l’intégration de son modem de deuxième génération, le C2. Plus économe en énergie, il serait épaulé par des batteries haute densité pour tenter d'offrir une autonomie digne de ce nom à ce modèle qui devrait donner un coup de vieux à l’ensemble de la gamme.
Évidemment, la nouveauté se paiera au prix fort. La facture pourrait s’envoler entre 2 000 et 2 500 dollars. À ce prix-là, l'iPhone Fold ne sera pas seulement un smartphone, mais un luxueux laboratoire technologique réservé aux plus fortunés.
Dans trois jours, c’est le grand retour des bonnes résolutions, et ce pour un mois au moins. Votre Apple Watch vous a peut-être déjà toqué au poignet pour vous avertir qu’elle vous proposera, comme chaque année, un petit trophée si vous complétez vos anneaux sept jours de suite.
Cette année, Apple va un peu plus loin et propose un challenge similaire aux utilisateurs de Strava. La Pomme invite les membres du réseau social à réaliser trois entraînements par semaine, dans la discipline de leur choix, du 1er au 31 janvier.
Capture d’écran : Strava
Si vous remplissez la mission, vous repartirez là encore avec un badge numérique, mais surtout avec la possibilité de tester gratuitement Apple Fitness+ pendant trois mois.
De nombreuses marques organisent régulièrement des concours de ce genre sur Strava pour draguer les sportifs. Si l'initiative n’a rien d’exceptionnel en soi, c’est sans doute une première pour Apple sur cette plateforme. Quoi qu’il en soit, cela confirme le rapprochement opéré par les deux sociétés depuis plusieurs mois.
Apple utilise de plus en plus Strava comme levier promotionnel pour Fitness+. Par le passé, des offres d'essai de deux ou trois mois avaient déjà été glissées dans le flux des utilisateurs. De son côté, Strava semble enfin prendre l’Apple Watch au sérieux : son application a été revue en profondeur en septembre, intégrant enfin le support (presque) inespéré des segments en direct. Au fond, ce rapprochement n'est que pur bon sens : l’Apple Watch est la montre la plus utilisée sur le réseau.
Malgré un design minimaliste, le nouveau Mac mini M4 est devenu un vrai terrain de jeu pour les accessoiristes. Spigen l'a bien compris et commercialise un support qui devrait plaire aux amateurs des premiers iMac.
Ce boîtier ne se contente pas de surélever la petite machine d'Apple. Il adopte ce look translucide si caractéristique de l'iMac G3. Au-delà du clin d'œil, Spigen apporte une réponse concrète à une problématique récurrente : l'accumulation de poussière. Le support intègre un filtre en PVC conçu pour protéger les entrées d'air du Mac mini. L'idée est de préserver les performances de refroidissement de la puce M4 sur le long terme avec un look original.
Le point fort réside dans la simplicité de l'entretien. Le filtre en maille est totalement indépendant du boîtier : il suffit de le retirer et de le rincer à l’eau claire pour redonner un coup de propre à votre installation. Autre avantage de ce support : le bouton d’alimentation devient plus accessible.
Pour s'assurer que le précieux carré d'aluminium ne se fasse pas la malle au moindre branchement de câble, Spigen a doté son support de coussinets en silicone antidérapants. Le Mac mini reste ainsi parfaitement ancré sur le bureau. Le Spigen Classic C1 est disponible en deux couleurs : bondi blue et orange. Prix : 29 €.
Pour les amateurs de cohérence visuelle, l’accessoire s’accorde d'ailleurs parfaitement avec la série C1 de la marque, qui décline déjà cette esthétique rétro sur d'autres produits.
Les clients voulant acheter une Apple Watch ont l’embarras du choix : gris, argent, noir, or… Un choix qui peut être difficile pour un produit qui est autant un gadget tech qu’un accessoire de mode !
Des Apple Watch dans différentes finitions. Image WatchGeneration
Changer de finition peut être une simple question de cohérence pour continuer à utiliser les mêmes bracelets et garder un style identique. Après tout, c’est un accessoire que l’on va porter à son poignet plusieurs années, et les fans d'Apple ont déjà sans doute un tiroir à bracelets bien rempli.
Cela peut aussi être une occasion de faire évoluer légèrement son look : passer d’une teinte claire à une couleur plus sombre ne donne pas du tout la même présence au poignet, et Apple fait parfois évoluer ses coloris au fil des générations. À la rédaction, certains restent fidèles au même combo boîtier/bracelet depuis des années là où d’autres ont tendance à avoir envie de changement après quelques temps.
Et vous, changez-vous de finition d'Apple Watch à l'achat d'un nouveau modèle ?
Les fêtes de fin d'année, c'est toujours le moment où tout dérape côté stockage. Entre les vidéos 4K de mamie qui a soufflé ses bougies, la configuration du nouvel iPhone 17 qui trônait sous le sapin et l'installation musclée d'iOS 26, l'alerte « Stockage saturé » n'était jamais bien loin.
Apple ne jure que par son abonnement iCloud, mais soyons honnêtes : beaucoup d'entre nous cherchent une solution plus rapide, plus concrète, et surtout qui garde nos fichiers bien au chaud sur nos propres machines.
Reprendre le contrôle de ses données, localement
DearMob iPhone Manager bouleverse la donne en remettant la souveraineté numérique entre vos mains. Fini la dépendance au cloud et les synchronisations interminables. Ici, tout se passe en local, à vitesse grand V, sans passer par les serveurs d'Apple. L'interface unique remplace le chaos de Finder et iTunes, et s'adapte parfaitement à iOS 26 comme à toute la gamme iPhone 17. C'est du « local first » assumé, que vous migriez vers un nouveau téléphone ou que vous archiviez des années de souvenirs.
Des sauvegardes intelligentes qui ne vous obligent pas à tout prendre
Là où les sauvegardes officielles d'Apple fonctionnent en mode « tout ou rien », DearMob vous laisse choisir.
Vous pouvez exporter seulement certains albums photo, archiver les messages d'une période précise, ou sauvegarder uniquement ce qui compte vraiment, sans dupliquer l'intégralité de votre appareil. Mieux encore : restaurer vos données ne nécessite aucune réinitialisation d'usine. Et si le stockage de votre Mac commence à crier famine, vous pouvez rediriger vos sauvegardes vers un SSD externe sans sourciller.
Vos photos transitent sans compression destructrice
La gestion photo fonctionne dans les deux sens. Vous transférez vos fichiers entre iPhone et Mac en conservant leur résolution d'origine, qu'il s'agisse de ProRAW ou de HEIC. Pas de compromis sur la qualité, pas de compression sauvage qui massacre vos clichés. L'organisation se fait en quelques clics : tri par date, par album, ou selon vos propres dossiers personnalisés. C'est fluide, c'est cohérent, et ça respecte votre travail.
Vidéos 4K et musique haute résolution sans accroc
DearMob digère la 4K et l'audio haute définition sans broncher. Le logiciel convertit automatiquement les formats incompatibles à la volée, et peut même retirer les DRM des anciens achats musicaux qui traînent dans votre bibliothèque. Les vitesses de transfert sont taillées pour les grosses collections, en évitant les blocages de synchronisation qui plombent régulièrement Finder.
Gérer bien plus que des photos et des chansons
Au-delà du multimédia, DearMob s'occupe de tout le reste : contacts, SMS, calendriers, podcasts. Vous pouvez même transformer votre iPhone en clé USB pour stocker n'importe quel type de fichier. Aucun frais caché pour les outils de conversion ou le retrait de DRM, tout est inclus dans le package. C'est une solution complète qui ne vous lâche pas en plein milieu du chemin.
Sécurité et confidentialité au premier plan
La vie privée n'est pas un argument marketing ici, c'est le cœur du système. Toutes vos données restent sur vos machines, avec la possibilité d'activer un chiffrement si vous le souhaitez. Côté performances, les chiffres parlent d'eux-mêmes : DearMob transfère 100 photos 4K en environ 8 secondes, et une vidéo d'1 Go en moins d'une minute. C'est du solide.
À qui s'adresse vraiment cet outil ?
Créateurs de contenu qui ont besoin de décharger rapidement leurs fichiers, personnes soucieuses de leur vie privée qui ne veulent pas confier leurs données au cloud, ou simplement ceux qui jonglent avec plusieurs appareils et cherchent une solution centralisée : DearMob convient à tous ces profils. Une comparaison claire entre la version gratuite et la version complète permet de voir exactement ce que chaque édition propose.
Une prise en main immédiate
L'installation se fait en un éclair sur Mac comme sur Windows. Branchez votre iPhone en USB (ou passez en Wi-Fi une fois le jumelage effectué), et naviguez dans une interface épurée. Aucune compétence technique n'est requise pour lancer vos premières sauvegardes ou vos premiers transferts. Tout est pensé pour aller droit au but.
Une offre de fin d'année qui mérite réflexion
En cette période de fêtes, la licence à vie coûte seulement 29,95 €. Pas d'abonnement, pas de coûts cachés, juste un paiement unique pour un accès permanent, toutes les mises à jour futures et un support prioritaire. Vous gardez le contrôle total de votre iPhone, sans dépendre d'un service tiers qui pourrait changer ses conditions demain matin.
Vous avez reçu un iPhone à Noël ? Quelle chance ! Pour en profiter pleinement et éviter les mauvaises surprises, voici une sélection d’accessoires pour le protéger et le recharger.
Image iGeneration
Une protection adaptée
Après le déballage de l’iPhone, la première étape consiste souvent à le protéger des petits accidents du quotidien. Apple propose différentes coques, mais on ne les recommande pas plus que ça : celles en silicone sont fragiles et celles en plastique sont chères. La nouvelle coque TechWoven pour iPhone 17 Pro se distingue tout de même avec une texture originale qui peut plaire et une résistance qui semble correcte.
Quelle que soit la marque que vous choisissez, assurez-vous que la coque est compatible MagSafe pour profiter du magnétisme de votre iPhone. Il y a un cas spécial : l’iPhone 16e n’a pas d’aimants… mais des coques peuvent lui en apporter.
Coque Spigen Ultra Hybrid MagFit pour iPhone 16e. Image iGeneration.
Pour une solution simple et peu coûteuse, les coques basiques d’Elago font le travail. Vendues une quinzaine d’euros et disponibles en plusieurs coloris, elles conviendront aussi bien aux budgets serrés qu’à un usage ponctuel.
Dans un autre genre, Spigen propose des coques transparentes à moins de 20 €, idéales pour préserver le design de l’iPhone, même si les aimants au dos forment forcément une figure.
Pour une excellente protection, on fait confiance aux coques Otterbox. Elles sont un peu plus imposantes et plus chères que les autres, mais elles protègent vraiment bien l’iPhone et sont elles-mêmes très résistantes.
Vous cherchez plutôt une coque chic ? Dans le cuir, Nomad et Mujjo ont fait leurs preuves. Les modèles de Native Union ont elles aussi un look plus recherché que les autres. On apprécie également celles de Peak Design, qui proposent en plus un système de fixation propriétaire très solide.
Coques Nomad
Les plus téméraires pourront se passer de coque, mais dans ce cas-là une protection d’écran peut être utile. Une vitre discrète évite les rayures causées par des clés ou le contact répété avec une table. Apple propose l’installation d’un verre Belkin à partir de 40 €, pose comprise. Il est toutefois possible de dépenser beaucoup moins en installant soi-même une protection : Spigen propose par exemple un kit très simple à poser, autour de 20 € avec deux verres.
Une assurance est une autre forme de protection qui peut s’avérer très utile. Avant de regarder ce qu’Apple propose, vérifiez déjà vos assurances (habitation, bancaire…) pour voir si votre iPhone n’est pas couvert d’une manière ou d’une autre. Si vos contrats existants ne sont pas assez protecteurs, alors jetez un œil à AppleCare+. L'assurance d’Apple couvre un nombre illimité d’incidents relevant de dommages accidentels (franchise de 29 € pour les dégâts affectant l’écran ou le dos et de 99 € pour tout autre type de dégâts).
Un adaptateur secteur
Apple ne fournit plus de chargeur avec ses téléphones depuis plusieurs années. Si vous n'avez toujours pas d’adaptateur secteur USB-C, Apple vend le sien de 20 W à 25 €. Pour une recharge aussi rapide que possible, préférez un modèle 30 W. Celui d'Apple est assez cher (45 €) et pas très compact.
Un chargeur Anker 30 W à gauche et son équivalent chez Apple à droite. Image MacGeneration.
Vous pouvez facilement faire des économies sur cet accessoire en choisissant un modèle d’une autre marque, mais ne choisissez pas n’importe quoi non plus. Attention en particulier aux adaptateurs secteurs vendus une poignée d’euros sur Temu ou une autre place de marché. S’ils sont si abordables, c’est qu’il y a une raison : ils sont de piètre qualité et peuvent être dangereux.
Nous vous recommandons des marques qui ont fait leurs preuves depuis plusieurs années, parmi lesquelles Belkin, Anker, Ugreen ou Amazon Basics.
Concernant les câbles, pour la recharge, il n’y a pas de critère particulier à vérifier. Le choix s’effectue en fonction de la longueur ou du revêtement. On peut conseiller ce pack de deux câbles USB-C Belkin de 1 mètre à environ 17 € ou ce pack de deux câble Anker tressés autour de 12 €.
Si vous avez un iPhone Pro USB-C, vous voudrez peut-être tirer parti de sa connexion USB à 10 Gb/s. Dans ce cas-là, il faut un câble au moins USB 3, comme ce modèle Amazon Basics carrément USB4 à 13 € environ.
Un chargeur sans fil
Vous avez reçu un iPhone 16 ou un iPhone 17 et souhaitez profiter de la recharge sans fil la plus rapide possible ? Comme vous le savez peut-être, tous ces modèles — à l’exception de l’iPhone 16e — prennent en charge la recharge par induction jusqu’à 25 W. Un an après l’arrivée du chargeur MagSafe 25 W d’Apple (49 €), les alternatives tierces compatibles Qi2 à 25 W commencent à se multiplier.
Le chargeur MagSafe 25 W collé à un iPhone 16. Image iGeneration.
Chez Belkin, la station UltraCharge 2-en-1 (iPhone + AirPods) est à 60 €. Elle intègre également une prise USB-C latérale pour alimenter un troisième appareil via un câble. La puissance étant limitée à 5 W, cette sortie conviendra surtout à de petits périphériques, comme une Apple Watch. La station est pliable, ce qui la rend facile à glisser dans un sac pour les déplacements. Un adaptateur secteur de 45 W et un câble USB-C de 1,5 m sont fournis. La déclinaison 3-en-1, avec un module dédié à l’Apple Watch, est quant à elle affichée à 89 €.
Si vous préférez un chargeur destiné à rester en permanence sur un bureau ou une table de chevet, il existe également des stations fixes plus imposantes :
Ces produits embarquent un ventilateur chargé de refroidir l’iPhone pendant la recharge afin de maintenir plus longtemps la puissance maximale. D’après notre essai avec le chargeur Belkin UltraCharge Pro et un iPhone 17 Pro, le gain en vitesse de charge reste toutefois limité. En revanche, le bruit généré par le ventilateur devient vite gênant, en particulier la nuit. C’est pourquoi ces modèles sont tous équipés d’un interrupteur permettant de désactiver la ventilation.
Nous en parlons régulièrement, les malandrins qui tentent d'installer des logiciels malveillants passent par des techniques de plus en plus tordues, avec parfois de faux logiciels mis en ligne sur GitHub. La dernière arnaque en ligne sur laquelle nous sommes tombés est encore plus vicieuse : elle passe par un faux post de blog sur Medium (attention, ce lien est une arnaque) qui promet quelque chose d'extraordinaire. Ici il s'agit d'une méthode pour activer un prétendu pilote Apple pour la prise en charge du NTFS. Le post est bien fait, vend un peu du rêve et propose une ligne de commande pour « activer » le pilote en question (on le répète : c'est une arnaque).
Emojis, liste à puces, explications, la page est plutôt bien faite pour vous arnaquer.
Je suis tombé sur ce lien ce matin, partagé sur un forum par une personne qui s'interrogeait sur la réalité de la chose. Et en voyant la ligne de commande, qui est une ligne à taper encodée en base64. C'est un point qui doit faire réagir directement : le base64 est souvent employé pour cacher la fonction réelle d'une commande. Un passage dans un décodeur en ligne m'a permis de voir que la ligne en question tente d'installer un programme depuis une adresse peu engageante. Je ne suis pas allé beaucoup plus loin : une commande qui doit « activer » une fonction ne doit pas aller télécharger un programme en cachant sa source, et donc c'est plus que probablement un logiciel malveillant. Le fichier téléchargé est d'ailleurs lui aussi encodé en base64, pour tenter de cacher son fonctionnement.
Dans tous les cas, devant un post de blog qui promet quelque chose de trop beau pour être vrai, méfiez-vous : c'est souvent trop beau pour être vrai. Et si vous devez taper une ligne de commande, nous vous conseillons de tenter de comprendre ce qu'elle fait, ou de vérifier si d'autres personnes parlent de cette commande précise, pour éviter de vous faire arnaquer.
Le papier cadeau à peine déchiré, l'iPhone 17 encore chaud dans vos mains, et déjà l'envie irrépressible de tout configurer. Mais avant de vous précipiter sur l'App Store ou de synchroniser vos comptes, il y a un geste que trop peu de gens font spontanément...
...Installer un VPN ! Pas par paranoïa excessive, mais simplement parce que c'est devenu aussi indispensable que de verrouiller son téléphone avec un code.
La belle promesse d'Apple... et ses limites bien réelles
Apple aime rappeler que la confidentialité est gravée dans l'ADN de ses produits. Et c'est vrai, en partie. Votre iPhone chiffre vos données, impose des règles strictes aux applications, et limite le traçage publicitaire. Seulement voilà, dès que vous vous connectez à internet, vous sortez de l'écosystème protecteur de Cupertino. Votre fournisseur d'accès, les sites que vous visitez, les applications que vous utilisez : tous peuvent tracer votre activité, collecter vos habitudes de navigation, et dresser un portrait numérique étonnamment précis de votre personne.
C'est là qu'intervient le VPN. Pas comme un gadget technique réservé aux initiés, mais comme une couche de protection supplémentaire qui fait exactement ce qu'Apple ne peut pas faire : masquer votre empreinte numérique au-delà de votre appareil. NordVPN chiffre l'intégralité de votre connexion internet et remplace votre adresse IP réelle par celle de l'un de ses serveurs répartis dans 111 pays. Résultat : personne ne sait plus réellement où vous êtes ni ce que vous faites en ligne.
Le WiFi public, ce piège à données personnelles
Premier réflexe avec un iPhone flambant neuf : le connecter au WiFi du café, de l'aéroport ou de l'hôtel. Normal, on veut éviter de grignoter son forfait data. Mais ces réseaux publics sont de véritables passoires. N'importe qui avec un minimum de connaissances techniques peut intercepter les données qui transitent sur ces connexions non sécurisées. Mots de passe, informations bancaires, messages privés : tout peut être capté.
Avec un VPN activé, le problème disparaît. Même sur le WiFi le plus douteux, vos données circulent dans un tunnel chiffré que personne ne peut percer. Vous pouvez commander votre café tout en consultant vos comptes bancaires, répondre à vos emails professionnels ou réserver vos prochaines vacances sans avoir à vous demander qui pourrait regarder par-dessus votre épaule numérique.
Débloquer le monde depuis votre écran
Changement radical de perspective : votre iPhone ne vous donne plus accès à internet tel qu'il existe réellement, mais à une version géographiquement filtrée. Les plateformes de streaming, les services de jeux en ligne, même certains sites d'actualité adaptent leur contenu selon votre localisation. Parfois, ils bloquent carrément l'accès.
Prenons Battlefield 6 ou Call of Duty: Black Ops 7. Certaines fonctionnalités, certains modes de jeu ou même des serveurs entiers peuvent être inaccessibles depuis votre région. Avec NordVPN, vous choisissez simplement le pays depuis lequel vous voulez apparaître, et hop, les portes s'ouvrent. Idem pour Aion 2, où les joueurs européens peuvent vouloir rejoindre des serveurs coréens pour profiter de contenus exclusifs ou d'une communauté différente.
Et puis il y a cette petite astuce que beaucoup connaissent déjà : YouTube Premium coûte une fortune en France, mais devient ridiculement abordable si vous vous connectez via l'Albanie. Même principe pour Gemini Pro de Google, dont les tarifs varient considérablement selon les marchés. Légal ? Oui, puisque vous ne faites rien d'interdit, vous profitez simplement de conditions tarifaires différentes.
L'intelligence artificielle qui surveille vos arrières
La formule Ultime de NordVPN intègre une fonctionnalité qui fait froid dans le dos quand on comprend son utilité : le dark web monitoring. Ce système scanne en permanence les recoins obscurs d'internet à la recherche de vos informations personnelles. Si votre adresse email, votre numéro de téléphone ou vos identifiants apparaissent dans une fuite de données ou sont vendus sur des forums clandestins, vous recevez une alerte immédiate.
Parce que le problème, avec les fuites de données, c'est qu'on ne les découvre souvent que des mois après le piratage. Votre mot de passe circule déjà, votre compte a peut-être été compromis, et vous n'en savez rien. Avec cette surveillance active, vous pouvez réagir rapidement, changer vos accès, sécuriser vos comptes avant que les dégâts ne soient irréversibles.
Un écosystème complet pour sécuriser toute votre vie numérique
NordVPN ne se limite plus au simple tunnel chiffré. L'offre Plus intègre NordPass, un gestionnaire de mots de passe qui fait exactement ce que vous devriez faire depuis longtemps : créer et stocker des mots de passe uniques et ultra-robustes pour chacun de vos comptes. Fini les variations hasardeuses du prénom de votre chat suivi de votre année de naissance. NordPass génère des combinaisons impossibles à deviner et les synchronise automatiquement entre tous vos appareils.
La formule Ultime va encore plus loin en ajoutant NordLocker, un coffre-fort numérique qui chiffre vos fichiers sensibles. Photos intimes, documents administratifs, contrats professionnels : tout ce que vous ne voudriez pas voir fuiter se retrouve dans un espace hermétiquement protégé. Et cerise sur le gâteau, une assurance cyber qui couvre jusqu'à 5000 € en cas d'usurpation d'identité ou de fraude en ligne.
Des tarifs qui tombent à pic pour les bonnes résolutions
Justement, parlons prix. NordVPN propose actuellement des remises massives qui font passer la pilule de la cybersécurité avec une douceur inattendue. Chaque formule bénéficie d'une réduction de 74% et offre trois mois supplémentaires, portant l'engagement total à 27 mois au lieu de 24.
Formule Basique : 2,99 €/mois, soit 80,73 € au total pour 27 mois de protection VPN complète
Formule Plus (NordVPN + NordPass) : 3,89 €/mois, soit 105,03 € pour sécuriser aussi vos mots de passe
Formule Ultime (NordVPN + NordPass + NordLocker + Assurance Cyber) : 6,39 €/mois, soit 172,53 € pour l'arsenal complet de cybersécurité
Moins cher qu'un mois de forfait mobile premium pour la formule de base, et même l'offre la plus complète reste inférieure au prix d'un iPhone reconditionné. Le rapport qualité-prix devient difficilement contestable.
Une installation qui prend moins de temps qu'un café
L'avantage d'iOS, c'est que tout reste simple. Une fois l'application téléchargée depuis l'App Store, la configuration tient en quelques tapotements d'écran. Vous choisissez votre formule, créez votre compte, et le VPN se connecte automatiquement au meilleur serveur disponible. Vous pouvez aussi sélectionner manuellement le pays depuis lequel vous voulez apparaître, activer la connexion automatique à chaque démarrage de votre iPhone, ou paramétrer des exceptions pour certaines applications.
NordVPN autorise jusqu'à dix appareils simultanés sur un seul compte. Votre iPhone, votre iPad, votre Mac, peut-être même l'iPhone de votre conjoint et les tablettes des enfants : tout le monde profite de la même protection sans devoir multiplier les abonnements.
Protégez votre iPhone dès aujourd'hui
Votre nouvel iPhone mérite mieux qu'une protection minimaliste. Entre les données personnelles qu'il contient, les connexions risquées qu'il établit et les contenus géographiquement verrouillés auxquels vous pourriez accéder, un VPN devient rapidement indispensable. Profitez des promotions actuelles de NordVPN et offrez à votre appareil flambant neuf la sécurité qu'il attend. Les trois mois supplémentaires offerts vous laissent largement le temps de mesurer l'impact concret d'une navigation vraiment protégée.
Si vous avez trouvé un iPad sous le sapin, vous avez été gâté. Reste une question : le père Noël a-t-il aussi pensé aux accessoires ? Si ce n’est pas le cas, voici quelques conseils pour protéger votre iPad et, au passage, lui ajouter quelques fonctionnalités bien pratiques.
Une coque de protection
Une coque est presque indispensable. Elle permet évidemment de protéger la tablette des chocs et des rayures, mais fait aussi très souvent office de support pour maintenir l’iPad incliné, que ce soit pour regarder une vidéo ou taper du texte.
Smart Folio. Image iGeneration.
Les Smart Folio d’Apple sont un choix assez logique. Elles protègent à la fois l’écran et le dos de l’iPad, elles sont fines et légères, et elles se fixent simplement grâce à un système d’aimantation qui facilite leur retrait. Mais elles coûtent cher, avec des tarifs qui démarrent autour de 70 €. Heureusement, elles sont régulièrement en promotion sur Amazon :
Cela dit, on parle d’un accessoire relativement simple sur le plan technologique. Il est donc facile de trouver des alternatives bien moins chères. Amazon regorge de coques compatibles pour iPad, souvent issues de marques obscures. Parmi les modèles d’entrée de gamme, nous avons déjà eu de bonnes expériences avec les coques JETech. Disponibles pour iPad A16, iPad Air et iPad Pro, elles sont proposées autour d’une quinzaine d’euros.
Plus onéreuses que les modèles JETech, mais toujours bien plus abordables que celles d’Apple, les coques ESR se distinguent par des options de positionnement plus élaborées. Les gammes Shift et Flip offrent une plus grande polyvalence pour incliner la tablette, avec des prix généralement compris entre une vingtaine et une quarantaine d’euros.
Coque ESR pour iPad
Pour ceux qui préfèrent se passer d’une coque, la housse de transport reste une alternative simple, à l’image de ce qui existe pour les MacBook. L’offre est très large et les prix sont généralement contenus. Native Union propose toutefois une option plus premium avec la Stow Slim, déclinée pour les iPad de 11 et 13", qui intègre un compartiment de rangement supplémentaire à l’extérieur. Elle coûte une soixantaine d’euros.
Une protection qui fait clavier
iPadOS prend très bien en charge les claviers Bluetooth externes, qui deviennent rapidement indispensables dès lors que l’on écrit régulièrement. Les Magic Keyboard d’Apple jouissent d’une fabrication soignée, d’une protection efficace, d’un support d’écran bien pensé ainsi que d’un excellent clavier et trackpad intégrés. Mais la facture est très salée : 329 € pour l’iPad Air et 399 € pour l’iPad Pro. Le Magic Keyboard Folio destiné à l’iPad d’entrée de gamme, qui est conçu différemment, est à peine moins cher : 299 €.
Magic Keyboard pour iPad Air. Image iGeneration.
Heureusement, Logitech offre des alternatives intéressantes à des tarifs nettement plus accessibles. Ses Combo Touch peuvent même séduire davantage que les Magic Keyboard d’Apple grâce à leur clavier détachable, qui permet de conserver uniquement la protection de l’écran et d’alléger l’ensemble lors des déplacements.
Sinon, Belkin propose des accessoires très proches des Magic Keyboard, mais à environ moitié prix. Les iPad se fixent par aimants sur ces étuis-claviers. Les principales différences résident dans le fait que la connexion se fait via Bluetooth et non par le Smart Connector, et qu’aucun port USB-C n’est intégré pour recharger la tablette en même temps.
Cette année, Logitech a lancé le Flip Folio, un ensemble combinant un clavier Bluetooth et une coque de protection dotée d’un large berceau à l’arrière, qui maintient le clavier solidement en place grâce à des aimants pendant le transport. Il s’agit d’un clavier de bonne qualité, mais dépourvu de trackpad (voir notre test). Grâce aux touches Easy-Switch, le clavier peut être utilisé alternativement avec un iPad, un iPhone ou un Mac, le support permettant de placer l’iPad en format portrait et l’iPhone à côté.
Quand on parle de clavier, on pense aussi à la souris, car iPadOS dispose également d’un curseur similaire à celui du Mac. Clavier et souris se complètent parfaitement, surtout si l’iPad ne dispose pas de trackpad intégré et que l’on doit travailler longtemps. Dans ce contexte, n’importe quel modèle Bluetooth est compatible. La Magic Mouse blanche est disponible à 65 € sur Amazon au lieu de 85 € chez Apple.
Logitech M650. Image Logitech.
Logitech offre par ailleurs un large choix de modèles. Pour rester sur des souris faciles à transporter, on peut se tourner vers les Pebble très fines (promo à 19 €) ou la Signature M650 (promo à 26 €), un modèle standard agréable à utiliser.
Un stylet pour dessiner ou rédiger
Enfin, le stylet constitue un autre périphérique de pointage particulièrement utile. Il se montre tout aussi pratique pour le dessin et les croquis, offrant des fonctionnalités avancées pour le rendu des traits et le passage d’un outil à l’autre, mais aussi pour la rédaction, si l’on préfère écrire à la main directement sur l’écran.
Apple Pencil. Image iGeneration.
Les Apple Pencil sont les stylets les plus avancés. La version USB-C, compatible avec tous les iPad USB-C, est vendue 89 €. L’Apple Pencil Pro, qui jouit de fonctions supplémentaires (sensibilité à la pression, gestes, Localiser…), coûte quant à lui 139 € sur Amazon au lieu de 149 €.
Si vous n’avez pas besoin de fonctions évoluées ou que vous voulez mettre le stylet dans les mains d’un jeune enfant, on recommande le Logitech Crayon (promo en cours à 55 €).
Apple inclut un câble USB-C dans la boîte des iPad, mais plus d’adaptateur secteur. Un modèle d’au moins 15 W est recommandé pour recharger la tablette. Le choix est large, mais voici quelques suggestions, certains offrant plusieurs ports pour plus de flexibilité.
Par exemple, Anker propose un modèle compact à une seule prise USB-C de 20 W, idéal par sa taille réduite, autour de 15 €. Un autre modèle Anker monte jusqu’à 65 W (suffisant pour alimenter un MacBook) et dispose de deux ports USB-C et d’un port USB-A, vendu environ 35 €. Dans la même catégorie, Belkin propose un chargeur 45 W à deux ports à moins de 40 €.
Anker Nano II. Image Anker.
Les iPad Pro M5 sont les premières tablettes d’Apple à profiter de la recharge rapide, qui permet de retrouver 50 % de batterie en 30 minutes environ. Pour en profiter, la Pomme recommande un adaptateur secteur d’au moins 60 W. Sur ce créneau, on peut pointer vers l’Anker Nano II à 30 € environ ou bien ce Belkin à 100 W (64 €) pour recharger d’autres appareils en même temps.
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Émission très spéciale cette semaine. Comme l’année 2025 touche à sa fin, nous vous proposons un bilan des douze derniers mois d’Apple. Une année plutôt contrastée pour l’entreprise.
D’un côté, Apple ne s’est jamais aussi bien portée financièrement. Plusieurs records de chiffres d’affaires ont été battus et sa capitalisation boursière est plus impressionnante que jamais. Mais de l’autre, les départs s’enchaînent à un rythme effréné et des doutes persistent dans le domaine de l’intelligence artificielle. Voici quelques-uns des sujets que nous allons aborder dans cet épisode.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
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Avec tvOS 26.2, déployé en version finale mi-décembre, Apple a assoupli la gestion des profils sur l’Apple TV. Comme nous le rapportions durant la phase de bêta, il est désormais possible de créer des profils utilisateurs sans compte Apple. Ces profils ne permettent pas de télécharger de nouvelles apps, mais donnent accès à toutes celles déjà installées sur le boîtier.
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Cette nouvelle option est par exemple utile pour les invités qui séjournent plusieurs jours à la maison et qui n’ont pas les mêmes goûts que l’hôte. Cela évite de « polluer » les recommandations et l’historique de l’app Apple TV avec des programmes qui ne correspondent pas aux préférences habituelles du foyer.
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L’option peut également servir à créer un profil dédié à un enfant qui ne dispose pas encore de compte Apple. Des restrictions peuvent d’ailleurs être appliquées, avec des limites indépendantes pour films et les séries selon différentes tranches d’âge : Tout public, moins de 10 ans, - 12, - 16, autoriser tout.
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Dommage que les profils de tvOS soient boudés par les apps tierces. Celles-ci pourraient pourtant exploiter cette fonctionnalité pour basculer automatiquement d’un utilisateur à l’autre, mais quasiment aucune n’en tire parti.