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Reçu aujourd’hui — 17 décembre 2025 MacG.co

Warner Bros. Discovery refuse encore une fois l’offre de Paramount et confirme sa préférence pour Netflix

17 décembre 2025 à 17:44

Dernier rebondissement dans la vente de Warner Bros. Discovery : l’offre publique d’achat hostile de Paramount publiée le 8 décembre est aujourd’hui officiellement refusée par l’entreprise américaine, qui réitère par la même occasion son choix de la proposition de Netflix. Le refus du jour s’adresse en réalité aux actionnaires. Ce sont eux qui auront le dernier mot avant une éventuelle intervention des autorités chargées d’examiner l’opération au regard des enjeux de concurrence. Malgré tout, c’est mauvais signe pour Paramount et une bonne nouvelle pour le numéro un mondial du streaming, qui devrait bien pouvoir récupérer le prestigieux studio hollywoodien et surtout tous ses contenus.

Netflix en bonne passe de l’emporter, tandis que l’offre de Paramount s’efface derrière le château d’eau des studios Warner Bros, tout un programme. Image iGeneration, photo de base Silas Lundquist sur Unsplash.

Pour rappel, Warner Bros. Discovery est à vendre et si Apple a semblé un temps intéressée d’après la rumeur, c’est Netflix qui a finalement présenté une offre validée par le vendeur. L’entreprise voulait acheter le studio Warner Bros et tout son contenu, ainsi que HBO et son catalogue de séries pour 82,7 milliards de dollars. Sa proposition ne contient pas les chaînes de télévision, dont CNN, qui devaient être vendues avant la fin de l’opération.

Netflix achète les studios, films et séries de Warner Bros. et HBO pour 82,7 milliards de dollars

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Cette offre ayant été acceptée par Warner Bros. Discovery, on pensait l’affaire terminée, du moins en attendant le volet politique. C’est alors que Paramount Skydance a relancé son offre, la sixième apprend-t-on aujourd’hui, pour récupérer le lot. Comptant sur la fortune et l’influence auprès du gouvernement américain actuel de la famille Ellison, Paramount proposait une somme légèrement plus élevée et un achat uniquement en argent, alors que Netflix compte en partie sur ses actions.

Paramount ne lâche pas l’affaire et propose une offre d’achat hostile pour récupérer Warner Bros

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Le communiqué de presse du jour est pourtant sans équivoque. Le conseil d’administration a voté à l’unanimité pour rejeter l’offre publique d’achat de Paramount, jugeant qu’elle n’était « pas dans le meilleur intérêt de Warner Bros. Discovery ni de ses actionnaires ». Ce sont ces derniers qui sont visés par l’argumentaire déployé par la suite, qui met notamment en avant l’absence de garanties suffisantes que la famille Ellison financera l’opération ou encore les frais de 2,8 milliards de dollars qui sont déjà prévus si l’entreprise mettait un terme aux négociations en cours avec Netflix.

Même sur la partie concurrence, qui pouvait sembler donner un avantage à l’offre de Paramount, le conseil d’administration juge les deux propositions équivalentes et ajoute même que le choix de Netflix sera la meilleure garantie d’un maintien de la concurrence à Hollywood. Quoi qu’il en soit, le choix du géant du streaming semble bien établi du côté de Warner Bros. Discovery. Reste maintenant à savoir comment cela se passera auprès des autorités de la concurrence et du Président américain, qui a déjà fait part de son intérêt pour le dossier.

Aperçu du PowerBug, un chargeur mural Qi2 malin pour l’iPhone dans la cuisine

17 décembre 2025 à 17:10

Le PowerBug est un chargeur 2-en-1 pas comme les autres. Prenant le forme d’un gros galet, il peut alimenter simultanément un appareil via un câble et un iPhone en recharge magnétique MagSafe/Qi2. Pensé pour être branché sur des prises facilement accessibles, il dispose en effet d’une surface plane intégrant des aimants capables de maintenir un iPhone en suspension. L’accessoire de Twelve South a rapidement trouvé sa place chez moi.

Twelve South PowerBug. Image iGeneration.

Vendu 59,95 € en blanc ou en noir, le PowerBug est tout en plastique, mais il jouit néanmoins d’une bonne fabrication. Gare toutefois à la version blanche, qui risque vite de perdre sa superbe à proximité de casseroles. Le galet mesure 60 x 60 x 29,18 mm, ce qui le rend légèrement plus large que l’orifice circulaire des prises électriques.

Il est donc conçu pour être branché sur une prise visible, typiquement celles intégrées aux plans de travail de cuisine — c’est justement là où je l’ai installé principalement. Il peut aussi trouver sa place dans une salle de bain, sur une prise en hauteur près d’un lavabo.

Twelve South PowerBug. Image iGeneration.

En approchant l’iPhone, celui-ci se fixe immédiatement sur le PowerBug par magnétisme. La recharge en MagSafe/Qi2 monte jusqu’à 15 W. Les iPhone 16 et 17 peuvent encaisser davantage, mais cette limite paraît raisonnable, surtout quand on voit que certains chargeurs 25 W embarquent un ventilateur pour refroidir.

Le port USB-C permet de recharger un second appareil à l’aide d’un câble (non fourni). Utilisé seul, il délivre jusqu’à 35 W (20 V / 1,75 A), suffisant pour recharger rapidement n’importe quel appareil mobile ou même, plus lentement, un MacBook Air. Lorsque les deux systèmes de charge sont sollicités en même temps, le port USB-C se limite à 20 W et la recharge sans fil à 15 W, pour une puissance totale de 35 W. D’après mes essais, le PowerBug chauffe peu, même à pleine charge, ce qui est un bon point.

Avec un iPhone 17 Pro aimanté en orientation portrait. Image iGeneration.
Avec un iPhone 17 Pro aimanté en orientation paysage. Image iGeneration.

À condition de disposer d’une prise bien placée et libre, ce chargeur se révèle pratique. Il évite notamment que l’iPhone traîne sur le plan de travail, tout en le rechargeant et en le gardant bien visible. En orientation paysage — si l’espace le permet — il est même possible de profiter du mode En veille.

La fixation magnétique est solide, l’iPhone ne risque pas de tomber. Mon seul reproche concerne l’équilibre de l’ensemble. Le poids du smartphone fait légèrement basculer le PowerBug vers l’avant. Le chargeur ne menace pas de chuter, mais l’inclinaison de l’écran n’est pas idéale, celui-ci pointant un peu vers le bas. Ce n’est pas gênant pour un coup d’œil rapide, mais moins confortable pour regarder une longue vidéo — un usage qui n’est sans doute pas sa vocation première.

Le poids de l’iPhone fait pencher le PowerBug légèrement vers l’avant. Image iGeneration.

Le produit de Twelve South a un concurrent très similaire. Le Zens Wireless Charging Adapter est plus carré et son port USB-C est limité à 18 W, mais il coûte un peu moins cher. Il est vendu en temps normal 49,99 €. La version noire est actuellement en promotion à 35,17 € sur Amazon.

Voitures : « pragmatique », l’Union européenne abandonne la fin du thermique et cède le passage à la Chine

17 décembre 2025 à 16:30

La Commission européenne a officialisé l’abandon d’une mesure qui prévoyait l’interdiction de la vente de voitures thermiques à partir de 2035. Le communiqué de presse insiste sur le pragmatisme de cette décision, demandée par de nombreux constructeurs en retard sur l’électrification et soutenue par quelques pays, Allemagne en tête. Pour autant, si le nouveau compromis qui devra être voté par les pays de l’Union européenne soulagera peut-être l’industrie locale à court terme, il va aussi probablement ouvrir un boulevard pour les constructeurs chinois, malgré les garde-fous mis en place.

Une ID.3 en sortie de la chaîne de production de Zwickau, une usine dédiée exclusivement à la production de voitures électriques depuis 2019. Image Volkswagen/MacGeneration.

L’interdiction de la vente de nouveaux véhicules thermiques à partir de 2035 était l’une des idées phares du Pacte vert européen, un texte présenté à toute fin de 2019 pour mener l’Union européenne sur la voie de la neutralité carbone à l’horizon 2050. Dans une décennie, seules les voitures neuves exclusivement électriques devaient pouvoir être vendues sur le continent, excluant non seulement le thermique pur, mais aussi les hybrides. Cela fait toutefois plusieurs années maintenant que les constructeurs automobiles européens, pourtant tous engagés dans la transition vers l’électrique, réclament au minimum un report, voire une annulation de cette interdiction totale.

Ils ont obtenu gain de cause et la Commission européenne est même allée plus loin que beaucoup ne le demandaient, en proposant qu’à compter de 2035, les émissions de CO₂ soient réduites de 90 % pour les nouveaux véhicules. On s’attendait à un assouplissement en incluant les hybrides aux voitures purement électriques, mais cette nouvelle version laisse la porte ouverte à la vente de véhicules sans batterie. Les 10 % d’émissions restantes devront être compensées par les constructeurs, qui pourront pour cela utiliser de l’acier bas carbone produit en Europe ou bien vendre des voitures qui roulent avec des biocarburants ou carburants de synthèse, supposés plus propres.

Les partisans de la mesure suggèrent qu’elle ne changera pas grand-chose et que la majorité des ventes de voitures neuves restera électrique. Ses opposants regrettent le recul face aux enjeux liés au dérèglement climatique et soulignent surtout que les constructeurs chinois vont pouvoir tirer leur épingle du jeu. L’industrie européenne devrait être favorisée par des incitations financières ou des obligations à faire appel à des acteurs locaux, mais l’avance technologique de la Chine est déjà si grande qu’à moins d’instaurer des taxes bien plus importantes qu’aujourd’hui, leur avantage devrait augmenter et non se réduire. Parmi les efforts annoncés par la Commission, on peut aussi évoquer des incitations destinées à favoriser l’émergence de voitures électriques plus petites et moins chères.

Les constructeurs européens vont-ils vraiment maintenir leurs efforts, sachant qu’ils n’auront plus à basculer toutes leurs ventes vers l’électrique dans dix ans ? On peut en douter, quand on sait qu’une partie d’entre eux ont déjà choisi de réduire leurs investissements sur les voitures à batterie, parfois au profit d’un retour du thermique. Porsche va modifier une plateforme imaginée au départ exclusivement pour l’électrique, afin d’ajouter des moteurs thermiques dans de futurs modèles. Mercedes-Benz a même annoncé la création d’une nouvelle plateforme thermique pour des camionnettes. Maintenant que l’objectif de 2035 est enterré, on peut supposer que d’autres fabricants suivront la même route en privilégiant une technologie qu’ils maîtrisent parfaitement et surtout qui est plus rentable.

La Dolphin Surf de BYD, photographiée devant le Colisée à Rome : le message est clair… Image BYD.

Pendant ce temps, la Chine investit toujours aussi massivement sur l’électrique et son propre marché commence à être saturé. Ses immenses moyens de production devront bien trouver un débouché et l’Europe est une cible évidente pour y vendre la production locale. Si les fabricants chinois n’ont pas été très agressifs sur le plan tarifaire jusque-là, cela pourrait aisément changer et leur offre pourrait être très compétitive. Pour ne rien arranger, ils ont aussi une offre hybride de plus en plus concurrentielle et la possibilité de vendre des voitures thermiques au-delà de 2035 pourrait bien, encore une fois, les arranger.

À court terme, les constructeurs européens vont pouvoir baisser leurs investissements et se concentrer sur le thermique qui est plus rentable. Tant mieux pour les emplois, même si cette stratégie immédiate risque de poser encore plus de problèmes à long terme, tant sur le plan environnemental que stratégique. La Chine est déjà inévitable quelque part, quand on pense que les acteurs européens comptent de plus en plus sur des partenaires dans le pays pour développer leurs propres voitures. C’est vrai pour Renault qui a pu créer sa nouvelle Twingo en un temps record grâce à la Chine, c’est aussi vrai pour le premium allemand. Mercedes a ainsi fait appel à Geely pour lui fournir le moteur thermique de la CLA hybride rechargeable.

Un géant historique du thermique allemand qui privilégie un moteur chinois, voilà un symbole fort. Rater la sortie de l’électrique est-elle vraiment la meilleure voie à suivre pour sauver l’industrie automobile européenne ? Réponse dans le courant de la prochaine décennie…

L’Apple Watch SE de dernière génération en promo dès 234 €

17 décembre 2025 à 15:43

Si vous cherchez encore un cadeau de Noël Apple pas trop cher, voici une offre intéressante. L’Apple Watch SE 3 est disponible dès 234 € sur Rakuten, avec Boulanger comme vendeur, au lieu de 269 € chez Apple. Elle est affichée à 249 €, mais le code « RAKUTEN15 » baisse son prix de 15 € supplémentaires.

En 40 mm, vous avez le choix entre le boîtier couleur lumière stellaire ou minuit. En 44 mm, la montre revient à 264 € au lieu de 299 €. Si vous voulez connecter la montre au réseau mobile (par exemple chez Free, chez qui c’est gratuit pour les abonnés 5G), la version cellulaire est en promo à 284 € en 40 mm et 314 € en 44 mm.

Apple Watch SE 3. Image WatchGeneration.

Malgré son statut de montre d’entrée de gamme, l’Apple Watch SE 3 est un accessoire très intéressant. Lancée en septembre, elle a gagné un écran toujours allumé, ce qui était le principal défaut des générations précédentes. La charge rapide a aussi fait son apparition, tout comme les nouveaux gestes permettant de sélectionner l’action principale ou de désactiver une alarme sans toucher l’écran.

Les notifications d’apnée du sommeil sont désormais de la partie, tout comme la détection de la température. Le verre est aussi plus résistant aux rayures. À ce prix là, c’est donc une très bonne montre connectée qui fera autant l’affaire pour les sportifs que pour ceux voulant garder un œil sur leurs notifications.

Test de l’Apple Watch SE 3 : la montre qui a tout compris

Test de l’Apple Watch SE 3 : la montre qui a tout compris

Courroucés par le DSA et le DMA, les États-Unis menacent des entreprises européennes

17 décembre 2025 à 15:11

Décidément, le DSA et le DMA restent en travers de la gorge des États-Unis. Dans un message publié sur X le 16 décembre, l’administration américaine a menacé l’Union européenne de représailles si elle ne revenait pas sur ses grandes régulations dans le domaine numérique.

Image White House

Ce n’est pas la première fois que la Maison-Blanche s’en prend aux lois européennes, mais le ton monte d’un cran. Cette fois, Washington agite explicitement la menace de mesures de rétorsion visant des entreprises européennes.

« Des entreprises européennes de services ont eu la possibilité d’opérer librement aux États-Unis depuis des décennies, profitant de l’accès à notre marché et à nos consommateurs », affirme le bureau du représentant américain au commerce. Une liste nominative est même donnée : Accenture, Amadeus, Capgemini, DHL, Mistral, Publicis, SAP, Siemens et Spotify. Autant de groupes qui pourraient faire l’objet de mesures coercitives, comme des taxes ou des restrictions, si l’Union européenne persistait dans sa voie, avertit l’administration Trump.

Mistral réalise environ 20 % de son chiffre d’affaires annuel récurrent sur le marché américain, soit près de 60 millions d’euros. Une proportion similaire pour le spécialiste des services numériques Capgemini. La part est plus importante chez le Suédois Spotify, dont 40 % des revenus proviennent des États-Unis.

La Maison-Blanche qualifie « d

La Maison-Blanche qualifie « d'extorsion économique » l’amende de l’UE infligée à Meta et Apple

Pour Washington, l’UE et certains États membres ont adopté une approche « discriminatoire », multipliant « procès, impôts, amendes et directives » à l’encontre des grandes entreprises américaines du numérique. Dernièrement, le réseau social X s’est vu infliger une amende de 120 millions d’euros pour son système de comptes vérifiés qui contrevient au DSA. Dans le cadre du DMA, Apple a de son côté été contrainte d’ouvrir l’écosystème iOS à la concurrence et a écopé d’une amende de 500 millions d’euros (dont elle a fait appel) pour ne pas avoir suffisamment permis aux développeurs de promouvoir des offres d’abonnement en dehors de l’App Store.

La Commission européenne a rejeté fermement ces accusations. « Comme nous l’avons expliqué à de nombreuses reprises, nos règles s’appliquent de manière égale et équitable à toutes les entreprises opérant dans l’UE, a défendu Thomas Regnier, porte-parole de l’exécutif européen. Nous continuerons à appliquer nos règles de façon équitable et sans discrimination. »

Les États-Unis préviennent que ces représailles pourraient s’étendre à d’autres pays adoptant une approche similaire à celle de l’Union européenne. Le Japon, qui vient de contraindre Apple à ouvrir iOS aux boutiques d’applications tierces, pourrait se sentir directement concerné.

iOS 26.2 peut brièvement faire clignoter l’écran à chaque notification

17 décembre 2025 à 14:36

iOS 26.2 a ajouté une nouvelle option d’accessibilité qui peut servir à tout le monde. Le système mobile d’Apple pouvait déjà activer le flash au dos des iPhone à chaque nouvelle notification, la mise à jour permet de faire clignoter brièvement l’écran lorsque cela arrive. Le paramètre, signalé par MacRumors est à retrouver dans les Réglages, puis « Accessibilité », « Audio et visuel » et enfin « Clignotement pour les alertes ». La nouvelle option est « Écran », qui peut remplacer la flash au dos ou s’ajouter à elle, selon vos préférences.

Voici ce que cela donne sur un iPhone 16 Pro sous iOS 26.2 :

Une notification sur l’écran verrouillé avec le clignotement de l’écran activé. Image iGeneration.

L’effet est subtil dans une pièce lumineuse, alors pour vous permettre de mieux voir ce qui se passe, voici le même iPhone sans l’option ajoutée par iOS 26.2 :

Une alerte reçue sans la nouvelle option pour faire clignoter l’écran. Image iGeneration.

Dans les deux configurations, l’écran verrouillé s’active lors de la réception de l’alerte. Avec le paramètre d’accessibilité actif, on note la luminosité supplémentaire au niveau de l’heure et cela peut en effet servir à mieux attirer l’attention dans le coin de l’œil. Vous pouvez tester la fonctionnalité, en la restreignant au mode silence ou en la gardant en permanence. Une autre option permet aussi de (dés)activer la fonctionnalité quand l’iPhone est verrouillé, à vous de voir si cela vous convient mieux.

Image iGeneration.

Pour finir, notons que le clignotement de l’écran ne sera actif que lorsque la dalle elle-même est allumée. Si votre iPhone n’a pas d’écran toujours allumé, il ne pourra pas bénéficier de la fonctionnalité. Si c’est le cas, toutes les situations où l’écran toujours allumé est désactivé, que ce soit en activant le mode économie d’énergie ou encore avec le mode de concentration sommeil, entraîneront aussi la suppression du clignotement. Une bonne idée pour éviter de se faire réveiller en pleine nuit par l’écran de son iPhone…

Votre Mac mérite mieux : 3 écrans parfaits pour attaquer la nouvelle année !

17 décembre 2025 à 14:15

En vérité, ce Mac Apple Silicon, vous n’avez aucune raison de le changer. Il est rapide, performant, endurant et sans doute bon pour le service pendant de nombreuses années, on ne va pas se mentir.

En revanche, si vous voulez attaquer 2026 de la meilleure des façons, l'idéal est de lui offrir un écran de qualité. Que vous ayez un ordinateur portable ou de bureau, la 4K est tout simplement le minimum aujourd'hui. Il fut une époque où certains Mac avaient du mal à gérer la 4K, mais c’était avant l'arrivée des puces Apple Silicon.

Alors, pour vous aider, on vous a fait une petite sélection pour tous les budgets et tous les usages.

Le problème quand on veut acheter un écran, c’est qu’on se retrouve assez vite désemparé. Entre l’écran premier prix à moins de 100 € et l’écran 6K d’Apple à 5500 €, on se perd vite dans un domaine où les acronymes sont nombreux.

EW3290U : un écran 4K pensé pour un usage familial

Dans le cadre d’une utilisation familiale, le BenQ EW3290U sort vraiment du lot. Là où la plupart des moniteurs offrent un son médiocre, celui-ci intègre un système audio complet avec woofer pour en prendre plein les oreilles.

Côté image, on est sur du très sérieux : une dalle 4K de 31,5 pouces (80 cm) lumineuse, affichant 1,07 milliard de couleurs. C’est superbe, mais prévoyez un bureau assez grand pour l'accueillir !

Côté connectique, c’est le sans-faute pour l’écosystème Apple. Son port USB-C avec Power Delivery (65W) permet de connecter et recharger votre MacBook avec un seul et unique câble. Fini la jungle de fils sur le bureau ! Et pour le reste de la famille (consoles, box TV), il est paré avec 2 ports HDMI et un DisplayPort, sans oublier un hub USB pour brancher clavier et souris.

L'ergonomie est pensée pour tous avec un pied entièrement réglable (hauteur, inclinaison, pivot) et des bords fins élégants. De plus, BenQ n'oublie pas la santé visuelle : le capteur de luminosité ambiante et la technologie Low Blue Light protègeront vos yeux lors des longues sessions.

En résumé, ce modèle incarne parfaitement la volonté de la marque de concilier plaisir et simplicité. Si vous cherchez un moniteur capable de tout faire — du télétravail au divertissement — c’est sans doute l'une des meilleures options pour accompagner votre Mac au quotidien.

Je découvre le EW3290U en promotion à 451 € (au lieu de 500 €)

Les deux meilleurs compagnons pour votre MacBook

Il y a une raison pour laquelle on apprécie les moniteurs BenQ : ce sont les seuls à commercialiser des écrans véritablement pensés pour les Mac. Avec les moniteurs de la gamme MA, vous pouvez utiliser — sans avoir à recourir à la moindre bidouille — les commandes natives de votre clavier Apple pour régler le son et la luminosité de l’écran. C’est un confort dont on ne peut plus se passer une fois qu’on y a goûté.

La gamme se décline en deux modèles frères : le MA270U (27 pouces) et le MA320U (32 pouces). Si la base est commune — une superbe dalle 4K UHD avec le revêtement « Nano Matte » anti-reflets — les fiches techniques diffèrent légèrement pour s'adapter aux exigences de chacun.

Le MA270U

Le MA270U est déjà un excellent élève avec 400 nits de luminosité, un contraste de 1200:1 et une couverture de 95 % de l'espace couleur P3. Mais le grand frère, le MA320U, va encore plus loin : il grimpe à 500 nits, pousse le contraste à 1300:1 et affiche 97 % du spectre P3. Dans les deux cas, la calibration est faite pour qu'il n'y ait aucune différence de teinte entre votre MacBook et le moniteur.

Côté connectique, c'est une véritable station d'accueil. On y trouve deux ports HDMI, mais surtout un hub USB-C ultra-complet. Le port principal gère l'affichage et la recharge de votre Mac jusqu'à 90W (suffisant même pour les gros MacBook Pro), tandis qu'un second port USB-C de 15W permet de charger votre iPhone ou iPad en parallèle.

A l’arrière : une connectique complète !

Le choix entre les deux est donc avant tout une affaire de goût et d'espace. Si vous cherchez un format standard compact, le 27 pouces est idéal. Si vous voulez plus d'immersion et un écran encore plus lumineux pour vos montages, le 32 pouces s'impose. Quoi qu'il en soit, le tour de force de BenQ est de proposer cette expérience premium à un prix qui reste très modéré par rapport aux solutions de la Pomme. Le MA270U ne dépasse pas les 500 € alors que le MA320U s’achète 599 €.

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BenQ PD2730S : Retrouvez enfin la finesse de l'iMac 5K

Certains possesseurs d’iMac notamment ont pris le goût de travailler avec des écrans 5K. Quand on s’est habitué à ce luxe, il est bien difficile de revenir en arrière, il faut bien l’avouer. Il y a quelque temps encore, c’était un luxe qui pouvait coûter très cher. Heureusement, le moniteur PD2730S change complètement la donne.

Ici, on ne parle pas de compromis : c’est un vrai écran 5K (5120 x 2880 px). Sur une diagonale de 27 pouces, cela offre une densité de pixels (218 ppp) identique à celle des écrans Apple. La netteté est chirurgicale, les textes sont parfaitement lisses et l’espace de travail est gigantesque. C’est littéralement la qualité « Retina » que vous attendiez, mais avec une dalle mate pour éviter les reflets qui transforment souvent les écrans brillants en miroirs.

Mais le PD2730S ne se contente pas d'afficher beaucoup de pixels, il les affiche bien. Conçu pour les graphistes et les créatifs exigeants, il embarque la technologie IPS Black, offrant un taux de contraste de 2000:1. C’est deux fois plus profond qu’un écran IPS standard, garantissant des noirs intenses et des couleurs vibrantes. D’ailleurs, la fidélité est au rendez-vous dès la sortie du carton avec une couverture de 98 % de l’espace P3 et une calibration d'usine certifiée.

Enfin, c’est une machine de guerre côté connectivité. Son port Thunderbolt 4 délivre 90W de puissance pour recharger votre MacBook Pro tout en transférant les données à une vitesse folle. Petit bonus qui fait la différence au quotidien : il est livré avec le Hotkey Puck G3, une petite molette déportée très pratique pour régler la luminosité ou changer de mode colorimétrique sans avoir à tâtonner derrière l’écran. Bref, c’est le choix des pros qui veulent la qualité 5K sans payer le "prix fort" habituel.

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Pourquoi commander directement sur la boutique BenQ ?

Si l'un de ces modèles vous a tapé dans l'œil, passer par la boutique officielle est sans doute la stratégie la plus sûre pour bien terminer l'année. D'abord parce que c'est le moment idéal pour votre portefeuille : vous profitez de tarifs promotionnels exclusifs jusqu'au 31 décembre.

Ensuite, pour la logistique, BenQ ne fait pas les choses à moitié. La livraison est gratuite et l’expédition est assurée rapidement par UPS, avec un suivi en ligne complet pour savoir exactement quand votre précieux colis arrivera à bon port. Enfin, et c'est peut-être le plus important pour un tel investissement : vous bénéficiez de la garantie 30 jours « satisfait ou remboursé ». Vous pouvez donc installer l'écran, le tester en conditions réelles chez vous et, si le charme n'opère pas, le renvoyer tout simplement. C’est le zéro risque absolu.

Enfin, sachez qu’il s’agit d’une sélection. Nous vous invitons à consulter le site de BenQ pour découvrir la gamme complète de moniteurs BenQ. Il y a forcément un écran qui vous correspond.

Je découvre la gamme de moniteurs BenQ

ChatGPT fait demi-tour : fin du routage automatique des modèles pour la majorité des utilisateurs

17 décembre 2025 à 13:10

Le 11 décembre, OpenAI a opéré un changement discret mais important dans le fonctionnement de ChatGPT. Pour les utilisateurs sans abonnement et ceux abonnés à la formule Go (non disponible en France), le service ne redirige plus automatiquement les questions complexes vers le modèle Thinking, qui « réfléchit » plus longtemps afin de fournir des réponses plus élaborées.

Le choix du modèle sur ChatGPT avec un abonnement Plus (notez au passage que l’app Mac est passée au Liquid Glass). Image MacGeneration.

Un petit rappel des faits s’impose. L’été dernier, concomitamment au lancement de GPT-5, OpenAI a voulu simplifier l’expérience en introduisant un mécanisme de routage automatique vers le modèle jugé le plus approprié. La question posée est simple ? C’est le modèle de base (nommé maintenant « Instant ») qui s’en occupe. La question est complexe ? Elle est alors confiée à GPT-5.x Thinking, un modèle à raisonnement reposant sur une « chaîne de pensée » pour affiner ses réponses.

Ce routage automatique a été supprimé récemment pour les utilisateurs « gratuits » et Go. Ils peuvent toujours recourir à Thinking, mais doivent désormais le sélectionner manuellement dans les options de ChatGPT.

Plusieurs raisons expliquent ce revirement. Le routage automatique a logiquement fait exploser l’usage des modèles de raisonnement, qui sont plus chers à faire tourner. Peu après le lancement, Sam Altman avait indiqué que leur utilisation était passée de moins de 1 % à 7 % chez les utilisateurs gratuits. OpenAI avait anticipé cette hausse, mais son pari ne s’est pas révélé payant. Alors que l’entreprise espérait que cette nouveauté renforce l’attrait du service, l’effet inverse s’est produit. Selon Wired, le routage a eu un impact négatif sur le nombre d’utilisateurs actifs quotidiens, beaucoup n’appréciant pas d’attendre plus longtemps pour obtenir une réponse.

Un porte-parole d’OpenAI a expliqué à Wired que, d’après les retours des utilisateurs, les abonnés Free et Go préféraient rester sur le modèle par défaut, tout en conservant la possibilité de basculer ponctuellement vers un modèle à raisonnement. Dont acte, le routage a été supprimé pour eux, permettant au passage des économies au spécialiste de l’IA. OpenAI justifie son retour en arrière en soulignant aussi qu’Instant peut désormais prendre un peu plus de temps pour répondre, afin de se positionner comme une solution intermédiaire.

Pour les abonnés Plus et Pro, en revanche, rien ne change : le routage automatique reste activé par défaut via le réglage Auto. Il est toujours possible de privilégier Instant ou Thinking manuellement, selon ses préférences et ses requêtes.

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GPT Image 1.5 : ChatGPT rattrape enfin Nano Banana sur la retouche d’images

17 décembre 2025 à 11:47

OpenAI ne veut vraiment pas que Google finisse l’année en tête. Après avoir lancé GPT-5.2 pour contrer Gemini 3, l’entreprise de Sam Altman s’attaque à l’épatant Nano Banana avec GPT Image 1.5. Dès à présent intégré à ChatGPT, ce nouveau modèle de génération d’images promet un meilleur respect des instructions, des retouches plus précises et des créations jusqu’à quatre fois plus rapides.

La nouvelle section Images de ChatGPT qui accompagne le lancement du nouveau modèle spécialisé. Image MacGeneration.

Jusqu’ici, le générateur d’OpenAI avait tendance à recréer les images dans leur ensemble, en prenant parfois de larges libertés avec les consignes, même lorsqu’on demandait des modifications mineures. De son côté, le modèle Nano Banana de Google, lancé cet été et intégré à Gemini, avait marqué un progrès spectaculaire en se concentrant uniquement sur les éléments demandés.

C’est précisément sur ce terrain qu’OpenAI entend combler son retard. Selon l’entreprise, GPT Image 1.5 respecte bien mieux l’intention de l’utilisateur lors des modifications d’images importées, jusque dans les détails, en ne touchant qu’aux éléments ciblés. OpenAI affirme aussi avoir progressé sur le rendu du texte, avec une meilleure gestion des inscriptions petites et denses.

Nous avons mis les deux concurrents face à face (sur les captures suivantes, ChatGPT est à gauche, Gemini à droite). Premier constat : Gemini s’est montré systématiquement (beaucoup) plus rapide que ChatGPT pour effectuer les retouches, même quand on dispose d’un abonnement payant à ce dernier.

Sur le résultat final, en revanche, les écarts sont plus nuancés. L’ajout d’une pleine lune a été correctement réalisé par les deux, mais Gemini s’est distingué avec un rendu plus réaliste grâce à un léger halo autour de l’astre.

ChatGPT / Gemini. Prompt : « ajoute une pleine lune dans le ciel en haut à droite ». Image MacGeneration.

Pour l’ajout d’une péniche sur l’eau, les deux modèles ont répondu correctement à la première consigne. En revanche, sur un second élément, la différence est nette : ChatGPT a bien intégré Footix sur la terrasse du bateau (avec un texte toutefois approximatif sur son torse), tandis que Gemini a généré une mascotte de poulet seulement vaguement ressemblante.

ChatGPT / Gemini. Prompt : « ajoute une péniche qui navigue sur l'eau, en bas à gauche, avec la mascotte Footix sur sa terrasse ». Image MacGeneration.

Enfin, concernant la modification d’un visage d’une personne (en cire), ChatGPT s’en est mieux sorti, en intégrant plus fidèlement la crête, le tatouage et les yeux rouges demandés. En somme, il n’y a pas de vainqueur évident : selon les situations, l’un ou l’autre modèle peut se montrer plus pertinent. Mieux vaut donc essayer les deux, que ce soit pour s’amuser ou pour des retouches plus sérieuses.

ChatGPT / Gemini. Prompt : « ajoute une crête de punk, un tatouage "FORT BOYARD" sur son front avec une écriture gothique et fait lui des yeux rouges ». Image MacGeneration.

Le nouveau modèle ChatGPT Images est déployé dès aujourd’hui pour tous les utilisateurs de ChatGPT et de l’API sur toutes les plateformes. Il est compatible avec l’ensemble des modèles, sans réglage particulier à effectuer.

Pour marquer le coup, OpenAI inaugure un nouvel espace dédié aux images dans ChatGPT. Accessible depuis la barre latérale de l’application mobile et sur le web, il permet d'explorer ses images générées et comprend des suggestions pour en créer de nouvelles.

OpenAI, un géant aux pieds d’argile face au retour en force de Google

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Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

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Les nouveaux accessoires connectés d’IKEA peuvent combiner Thread et Zigbee

17 décembre 2025 à 11:38

La nouvelle gamme de produits domotique conçue par IKEA et qui sortira officiellement début 2026, même si on peut déjà la trouver en partie dans les magasins, est pensée pour Matter. Au lieu du Zigbee exploité précédemment par le fabricant de meubles, c’est ainsi le protocole matériel Thread qui est utilisé, ce qui permettra de relier ces produits directement à Maison d’Apple ou tout autre écosystème compatible avec le standard. Néanmoins, ces produits sont aussi capables de fonctionner en Zigbee et on sait maintenant pourquoi, grâce au site spécialisé matter-smarthome qui a ouvert la nouvelle télécommande.

On peut associer une nouvelle télécommande IKEA en Thread à une ancienne ampoule Zigbee, preuve que les deux protocoles sont gérés. Image matter-smarthome.

Pour rappel, Zigbee et Thread sont deux standards matériels (à ne pas confondre avec Matter, qui définit le logiciel) assez proches et on peut dire que le second est un successeur du premier. Ils reposent tous deux sur les mêmes ondes radio et fonctionnent dans les grandes lignes de la même manière, avec un réseau maillé qui s’appuie sur les périphériques alimentés en permanence pour étendre sa couverture. Ce sont deux technologies radio qui consomment peu d’énergie et sont à cet égard parfaitement adaptés à la domotique.

Tout savoir sur Thread, le nouveau protocole de domotique poussé par Apple

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Cette proximité permet d’utiliser le même matériel pour Zigbee et Thread. C’est une option de plus en plus courante dans la domotique, avec différentes approches. Chez Aqara, on choisit entre les deux technologies en modifiant le firmware des appareils depuis l’app du fabricant. Chez Hue, les nouvelles ampoules gèrent les deux protocoles en parallèle au déballage et désactivent celui qui ne sert pas quand on choisit un type de connexion.

Test de l’interrupteur connecté H2 EU d’Aqara : un vrai déclic pour la domotique

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Test de l’ampoule Hue Essential : la qualité Hue dans une ampoule Matter à 15 €

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Et chez IKEA alors ? Si la nouvelle gamme est présentée uniquement sous la forme d’accessoires Matter par le biais de Thread, il y a une petite originalité : ces produits sont aussi compatibles avec les accessoires TRÅDFRI, l’ancienne génération domotique qui reposait sur du Zigbee. En particulier, on peut lier une télécommande BILRESA (Thread) à une ampoule TRÅDFRI (Zigbee), ce qui confirme que les deux standards sont bien gérés, même si le spécialiste des boulettes ne le met pas en avant.

En ouvrant la télécommande en question, nos confrères de matter-smarthome ont noté la présence d’une puce du fabricant américain Qorvo qui peut effectivement prendre en charge Zigbee, Thread et même le Bluetooth utilisé pour la connexion initiale. Grâce à elle, les accessoires IKEA de nouvelle génération peuvent contrôler un périphérique Zigbee ou être reliés à un écosystème Matter par le biais de Thread. L’ancienne technologie radio est alors désactivée, ce qui est un choix d’IKEA toutefois, pas une limite matérielle. La puce QPG6200L peut en effet générer et maintenir trois réseaux Zigbee ou Thread en parallèle, y compris en optant pour des canaux différents pour éviter les conflits. Mieux, elle peut le faire avec une seule antenne, ce qui limite les coûts et simplifie son utilisation.

La puce Qorvo intégrée à une télécommande IKEA. Image matter-smarthome.

De fait, IKEA pourrait aller plus loin en connectant sa nouvelle génération de domotique via Thread tout en maintenant une connexion en Zigbee. Cela permettrait d’avoir à la fois un lien direct entre une télécommande et une ampoule, tout en utilisant les boutons dans le cadre de la domotique, par exemple pour des automatisations plus avancées. Autre avantage, les accessoires alimentés en permanence, comme une prise ou une ampoule, pourraient faire office de routeurs pour les deux protocoles et ainsi étendre les réseaux maillés Zigbee et Thread en même temps. Cela se ferait sans perturber leur fonctionnement normal et sans nécessiter de configuration spécifique.

On ne sait pas si IKEA compte activer cette possibilité dans ses produits. Quoi qu’il en soit, cette puce offre le meilleur des deux mondes : une compatibilité maintenue avec Zigbee pour ceux qui ont déjà un écosystème avec cette norme, tout en offrant la possibilité de passer à l’option plus moderne avec Thread. Le tout, en améliorant la portée des deux réseaux en toute transparence.

L’iPhone 18 Pro aura-t-il vraiment un poinçon dans un coin, comme les (anciens) smartphones Android ?

17 décembre 2025 à 10:16

L’iPhone 18 Pro ressemblera-t-il à un smartphone Android, au moins de face ? La question commence sérieusement à se poser. Les rumeurs insistent depuis plusieurs mois sur l’intégration sous l’écran des capteurs nécessaires à Face ID. En conséquence, la Dynamic Island devrait changer de forme, mais pas forcément disparaitre, car la caméra avant serait, elle, toujours visible.

Le camouflage de la caméra frontale n’interviendrait en effet qu’à partir de l’iPhone 2027, surnommé pour l’instant iPhone 20. Pour en revenir à l’iPhone 18 Pro, sa caméra sera-t-elle centrée, comme le nez au milieu du visage ? Apparemment non. Dans ses multiples révélations sur les futurs smartphones d’Apple, The Information affirme que ce composant sera déplacé dans le coin supérieur gauche de l’écran.

Le poinçon en haut à gauche des OnePlus 8 et 8 Pro. Image iGeneration.

Autrement dit, l’iPhone 18 Pro pourrait avoir un poinçon en haut à gauche, à l’image des smartphones Android. Enfin, des anciens smartphones Android, car ce positionnement est plutôt passé de mode. Depuis quelques années, la grande majorité des modèles de Google, Samsung et autres Xiaomi ont une caméra frontale centrée. L’écran interne de l’iPhone Fold serait lui aussi percé en haut à gauche par une caméra.

Cette rumeur a de quoi surprendre, car elle suppose une réorganisation importante de la barre d’état d’iOS, ou du moins un gros changement d’habitude. L’heure ne serait plus nécessairement calée à gauche, et les icônes de réseau et de batterie tout à droite, ces éléments pourraient être rapprochés. À moins qu’Apple ne prépare un nouveau tour de passe-passe mêlant le logiciel et le matériel, comme elle l’avait fait avec la Dynamic Island qui avait créé la surprise en son temps ?

Dans tous les cas, même si l’iPhone 18 Pro devait avoir un poinçon, il conserverait bien Face ID, un système de reconnaissance facial que n’ont quasiment jamais connu les smartphones Android.

De l’iPhone 17e à l’iPhone 20 : les secrets de huit futurs iPhone révélés

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Soundcore Space One Pro : le casque qui bat les AirPods Max en promo à 130 €

17 décembre 2025 à 09:54

Il y a encore quelques semaines, ce casque vous était peut-être inconnu, mais depuis il s'est fait un nom : le Soundcore Space One Pro d'Anker est arrivé en tête d'un comparatif devant de nombreux casques Premium, dont les AirPods Max.

Qualité audio : les AirPods Max battus par un casque à moins de 200 €

Qualité audio : les AirPods Max battus par un casque à moins de 200 €

Ce modèle est vendu en temps normal 200 €. Actuellement, il est proposé 130 €. C'est environ quatre fois moins cher que les AirPods Max.

Si ses qualités audio ont surpris le panel d'ingénieurs du son sélectionné par Wired, ce n'est pas le seul mérite de cet appareil. Ce casque dispose d'un système de réduction de bruit actif, offre la prise en charge du codec audio haute résolution LDAC pour une meilleure qualité sans fil, affiche une autonomie de 60 heures, dispose d'un système de recharge rapide, et embarque six microphones pour des appels clairs. Le casque en lui-même est pliable et dispose de nombreux réglages pour rendre son port le plus confortable possible.

À ce prix, vous avez le choix de la couleur : noir ou blanc crème.

Si vous cherchez du matériel premier prix, sachez que Soundcore propose des équivalents d'AirPods à 17 €, une enceinte Bluetooth portative à 39 € ou encore un casque classique à 29 €.

SoundCore a également dans son catalogue les Soundcore Liberty 4 Pro à 96 €. Ces écouteurs ont un positionnement similaire aux AirPods Pro. À noter que leur boitier dispose d'un petit écran vous donnant l'information sur l'autonomie des écouteurs. Enfin, si vous cherchez des écouteurs pour le sport, vous avez le choix entre les soundcore AeroFit 2 à 80 € et les Soundcore Sport X20 à 63 €.

Apple confirme : la batterie du MacBook Pro M5 peut bien être remplacée seule

17 décembre 2025 à 09:28

Apple a bien facilité la procédure pour remplacer la batterie sur le MacBook Pro M5 sorti en octobre dernier. Comme iFixit l’avait noté dans son démontage, la conception interne de l’ordinateur a été revue avec notamment comme objectif de simplifier l’accès à la batterie et ainsi de pouvoir faire un échange sans retirer d’autres éléments. La conséquence de ce changement est la vente du composant seul sur le site Self Service Repair géré par Apple.

Retrait des modules de la batterie du MacBook Pro M5 dans le guide fourni par le constructeur. Image Apple.

La batterie officielle est vendue 238,26 €, même si vous ne paierez que 216,74 € si vous renvoyez l’ancienne batterie à Apple pour la recycler. Le processus à suivre est expliqué dans ce guide fourni par le constructeur, qui détaille chaque étape et suggère d’utiliser une presse et une protection en plastique pour optimiser l’installation et reproduire les gestes pratiqués en Apple Store. Il faudra ainsi ajouter environ 60 € à la note, sachant que l’on peut aussi louer du matériel dédié pendant une semaine, un service facturé 55 €.

Cela reste une opération relativement coûteuse, mais le MacBook Pro M5 fait tellement mieux que ses prédécesseurs. Pour le modèle M4, par exemple, Apple ne vend pas la batterie seule, il faut remplacer tout le boitier supérieur et ainsi changer entièrement le clavier, juste pour changer la batterie. Cette pièce est vendue à un tout autre prix (604,7 € ou 503,76 € en renvoyant l’ancienne) et l’intervention sera nettement plus longue et complexe, comme on peut l’imaginer.

Le changement est ainsi une excellente nouvelle pour la durée de vie de l’ordinateur, qui pourra bénéficier d’une batterie neuve dans quelques années sans problème. Une évolution positive, que l’on espère retrouver rapidement dans tous les ordinateurs portables pommés. La prochaine étape pourrait être le passage sur une fixation électrochimique, comme sur les iPhone récents, ce qui simplifierait encore davantage le retrait de l’ancienne batterie.

Apple a revu la conception interne du MacBook Pro M5 pour légèrement simplifier les réparations

Apple a revu la conception interne du MacBook Pro M5 pour légèrement simplifier les réparations

Un cadeau qui sert vraiment : Office 2021 pour Mac à 44,99 € pour Noël

17 décembre 2025 à 09:05

Trouver un cadeau de Noël à la fois utile et pas hors de prix, c’est souvent plus compliqué que prévu. Sauf quand on tombe sur une promo qui coche toutes les cases : quelque chose de concret, qui sert vraiment, et qui ne finit pas au fond d’un tiroir dès janvier.

Avec les ventes Godeal24 de Noël, Microsoft Office Home & Business 2021 pour Mac est affiché à 44,99 € (au lieu de 249 €). L’intérêt, c’est que l’on parle d’une licence à vie : pas d’abonnement, pas de renouvellement, pas de « petit prélèvement » qui revient tous les mois.

Word, Excel, PowerPoint… les indispensables, version Mac

Il n’y a pas de fatalité : les utilisateurs Mac ne sont pas condamnés à vivre sans Office. Cette édition Home & Business 2021 embarque les classiques : Word pour écrire, Excel pour les tableaux (et les budgets), PowerPoint pour les présentations, ainsi qu’Outlook pour les mails. Bref, une boîte à outils qui colle aussi bien à un usage pro qu’aux études ou à la maison.

Autre point pratique : après l’achat, la livraison est annoncée comme immédiate, avec téléchargement dans la foulée. Et si besoin, un support client est inclus pour se débrouiller en cas de pépin.

Et si vous êtes plutôt PC (personne n’est parfait)

La promo ne s’arrête pas au Mac : si vous cherchez plutôt une licence Windows, MS Office Professional 2021 pour Windows est aussi proposé en licence à vie, à 30,25 € (au lieu de 249 €). Au final, si l’idée est d’offrir un cadeau vraiment utilisé — et qui ne se transforme pas en abonnement de plus — c’est typiquement le genre de bon plan qui a du sens.

Meilleures offres sur MS Office!

Clés Windows authentiques et à vie à partir de 6 € !

Obtenez votre pack économique avec 62 % de réduction (code promo MAC62)

Chez Godeal24, on trouve des licences Microsoft à prix réduits, mais aussi des solutions de sécurité et divers outils informatiques pour équiper son Mac ou son PC sans y laisser un rein.

Le principe est simple : tout se fait en livraison numérique. Une fois l’achat validé, le logiciel est envoyé par e-mail dans la foulée, ce qui évite l’attente et les complications. Le site met aussi en avant sa réputation sur Trustpilot, avec 98 % d’avis “Excellent”, de quoi rassurer au moment de passer commande.

Enfin, Godeal24 annonce un support technique 24 h/24 et 7 j/7 ainsi qu’un service après-vente à vie. Contact : service@godeal24.com

Studio Dock Pro : l'écran qui transforme le Mac mini M4 en iMac 27

17 décembre 2025 à 08:53

Cachez ce Mac mini M4 que je ne saurais voir ! Si le petit ordinateur d’Apple ne prend pas beaucoup de place, c’est visiblement encore trop pour certains. Avec le Studio Dock Pro, ses créateurs cherchent ni plus ni moins à ressusciter l’iMac 27 pouces.

Le projet, porté par l'entreprise Vexltech sur Kickstarter, repose sur une idée séduisante pour qui pleure encore la disparition du tout-en-un grand format d'Apple : un moniteur dont le pied est conçu pour avaler littéralement le Mac mini. Le résultat est un système tout-en-un qui, avouons-le, lorgne très fortement sur le design du Studio Display.

Une dalle 5K qui a de l'allure

Sur le papier, le Studio Dock Pro ne manque pas d'arguments. Il s'articule autour d'une dalle IPS de 27 pouces affichant une définition 5K de 5 120 x 2 880 pixels. La luminosité grimpe jusqu'à 800 nits et l'écran couvre 99 % de l'espace colorimétrique DCI-P3. Seule petite ombre au tableau pour les joueurs, la fréquence de rafraîchissement reste bloquée à 60 Hz. Le pied permet également une utilisation à la verticale.

Notez qu'une version "Mini" est aussi proposée : un petit écran 4K de 15,6 pouces, mais ici, le Mac mini reste à l'extérieur, logé dans un dock séparé.

Taillé exclusivement pour le M4

Attention toutefois, ce châssis est fait sur mesure. Les versions Standard et Premium du Studio Dock Pro sont spécifiquement moulées pour accueillir le Mac mini M4. Les modèles précédents (M1, M2), plus larges, ne rentreront pas. L'ordinateur se glisse à la verticale par l'arrière du pied, et sa connectique vient s'interfacer directement avec l'écran.

C'est là que Vexltech tente de se démarquer. La version Premium prend en charge le Thunderbolt 5, tandis que le modèle standard se contente de l'USB 3.2 Gen2 (10 Gb/s). Le modèle haut de gamme ajoute également un port Ethernet 2,5 Gb/s et un lecteur de cartes SD. Pour le reste, on retrouve sur les deux modèles deux ports USB-A et un USB-C (10 Gb/s) situés dans la base du pied pour un accès facile, ainsi qu'un emplacement pour SSD M.2, transformant l'écran en hub de stockage externe.

Patience (et prudence) de rigueur

Comme toujours avec Kickstarter, il ne s'agit pas d'un achat en magasin. C'est le premier projet de Vexltech, ce qui incite à la prudence. Côté tarifs, le ticket d'entrée est fixé à 600 $ pour la version standard et 700 $ pour la version Premium. La version "Mini" de 15 pouces débute à 200 $.

Mais le véritable prix à payer pourrait être celui de la patience : la livraison n'est pas prévue avant mars 2026. D'ici là, le Mac mini M5 aura peut-être déjà pointé le bout de son nez, rendant potentiellement l'accessoire obsolète avant même son arrivée sur votre bureau.

Sherlocké avant d’être né, l'utilitaire LightBuddy veut illuminer vos appels vidéo

17 décembre 2025 à 08:26

L’utilisation d’un anneau lumineux (ring light) est désormais monnaie courante chez les forçats de la visioconférence. C’est un accessoire abordable, pratique et qui améliore grandement le rendu vidéo. Mais cela prend de la place… D’où la bonne idée d’Apple d’en créer une version virtuelle dans macOS 26.2. Figurez-vous que celle-ci a déjà de la concurrence : LightBuddy se veut une alternative plus aboutie. Mais parler de « sherlocking » au sens strict serait ici inexact, car la genèse du projet remonte à plus loin.

Éclairage des bords : coup d

Éclairage des bords : coup d'œil sur l'anneau lumineux de macOS 26.2

Un « sherlocking » en guise de validation

Tout est parti d’un agacement familier pour le développeur Gui Rambo. Fatigué de devoir installer et désinstaller son éclairage physique à chaque appel pour éviter les ombres disgracieuses causées par l'éclairage de son bureau, il a réalisé qu’il avait déjà une gigantesque source lumineuse programmable sous les yeux : son écran. Un prototype bricolé à la va-vite sous Xcode au milieu de l’été avait permis de valider le concept, avant d'être aussitôt remisé au placard, son auteur jugeant l'idée finalement assez médiocre et indigne d'être commercialisée.

C’est là que l’ironie du sort intervient. En découvrant qu’Apple intégrait une fonction quasi identique, « Edge Light », dans la bêta de novembre, Rambo n'a pas vu rouge, mais y a vu une validation inespérée. Ce « sherlocking » d'un projet fantôme l'a convaincu que l'idée avait finalement un vrai potentiel commercial. Pariant sur le fait que l'implémentation de la Pomme se contenterait du minimum syndical, il a décidé de dépoussiérer son code pour offrir davantage d'options de personnalisation, prouvant que l'arrivée d'une fonction native est parfois le meilleur stimulant pour les développeurs tiers.

Au-delà du minimum syndical

Là où la fonction native d’Apple impose ses habituelles barrières à l’entrée (macOS 26.2 et une puce Apple Silicon obligatoires), LightBuddy joue la carte de l'ouverture. L’utilitaire tourne encore sur les Mac Intel et se contente de macOS Sonoma (14.0), permettant à ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas faire la mise à jour de profiter de l'éclairage.

L'application s'affranchit également des contraintes matérielles : elle fonctionne sur n'importe quel moniteur tiers et gère le multi-écran. On peut ainsi transformer l'écran d'un MacBook posé sur le côté en source de lumière secondaire pour déboucher les ombres, ou simplement activer l'éclairage manuellement sans que cela soit lié à l'activation de la webcam.

Sur le plan technique, Gui Rambo propose quelques raffinements bienvenus pour les utilisateurs exigeants. On retient surtout la prise en charge du HDR, qui permet de pousser la luminosité du cadre lumineux bien au-delà du reste de l'interface. Si la plupart des utilisateurs s'en tiendront au réglage de la température de couleur, l'application permet aussi de choisir n'importe quelle teinte, du vert au rose. Le développeur promet d'ailleurs d'enrichir sa copie rapidement, notamment avec le support des Raccourcis et une compensation automatique de l'affichage True Tone.

LightBuddy est distribué sous la forme d'un shareware vendu 4,99 €. Cela reste moins cher qu’un véritable anneau lumineux.

ChatGPT pourrait bientôt créer vos playlists Apple Music

17 décembre 2025 à 07:08

ChatGPT pourrait bientôt créer vos playlists Apple Music Alors qu’ils sont appelés à devenir rivaux — dixit Sam Altman —, Apple et OpenAI collaborent pourtant étroitement. Après l'intégration à venir dans Siri, le prochain terrain d'entente pourrait être Apple Music. C'est du moins ce que laisse penser un post de Fidji Simo, la directrice générale des applications d’OpenAI. Seul souci : la mention du service d’Apple a été discrètement retirée entre-temps.

La patronne des apps vend la mèche

Dans un billet publié sur Substack, Fidji Simo évoquait l'arrivée imminente d'un répertoire d'applications plus vaste pour le chatbot. Celle qui est désormais CEO of Applications chez OpenAI (après avoir dirigé Instacart) y listait noir sur blanc Apple Music parmi les partenaires attendus.

Si la mention a disparu depuis, le signal est fort. OpenAI semble vouloir transformer ChatGPT en véritable hub de services, où l'utilisateur n'a plus qu'à demander pour obtenir, sans jongler entre les apps.

Le DJ, c'est l'IA

Concrètement, si cette fonction voit le jour, elle devrait fonctionner sur le même modèle que l'intégration actuelle de Spotify. Le principe est d'une simplicité biblique : vous mentionnez l'application dans votre prompt, vous expliquez ce que vous voulez écouter, et l'IA s'occupe du reste.

IA : Spotify crée des playlists à partir de prompts

IA : Spotify crée des playlists à partir de prompts

Fini la recherche manuelle laborieuse. ChatGPT pourrait trier, sélectionner et ordonner les morceaux pour générer une liste de lecture prête à l'emploi dans Apple Music. L'intérêt réside surtout dans la compréhension du contexte : vous pourrez décrire une ambiance, une bande originale vague ou un vibe dont vous avez un souvenir flou, et laisser l'algorithme affiner la recherche bien plus vite que vous ne l'auriez fait à la main.

Reste une inconnue : le calendrier. La suppression de la référence à Apple Music suggère que l'annonce était peut-être prématurée, mais la direction est claire. ChatGPT veut devenir l'interface de commande, laissant à votre application de musique le simple rôle de lecteur. Mais sur le papier, est-ce que cela ne devrait pas être le rôle de Siri de faire tout ça ? Sam Altman n’a peut-être pas tort…

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

Wi-Fi : Apple garderait sa puce N1 pour ses produits premium

17 décembre 2025 à 06:50

La puce N1 ne serait pas déployée aussi rapidement que certains l’espéraient dans les prochains produits Apple. MacRumors, notamment, imaginait qu’elle se retrouverait au cœur d’une bonne partie du catalogue dès l’an prochain, à commencer par le HomePod mini 2. Sauf que les dernières fuites du moment racontent une autre histoire. De quoi doucher les espoirs de ceux qui misaient sur une adoption « rapide » du Wi-Fi 7 sur tous les produits Apple.

Un macOS kernel debug kit distribué par Apple plus tôt cette année contiendrait des références à plusieurs appareils à venir, dont le HomePod mini 2. Dans le code associé à ce modèle, on trouve la mention d’un système sans-fil baptisé « Sunrise », qui correspondrait au nom interne des puces Wi-Fi/Bluetooth fournies par MediaTek.

À l’inverse, la N1 est visiblement identifiée sous un autre nom dans les systèmes internes d’Apple : « Centauri ».

Le HomePod mini 2 resterait chez MediaTek

Si l’on se fie à cette mention « Sunrise », le HomePod mini 2 ne profiterait donc pas de la N1. Un scénario qui contredit certaines rumeurs précédentes : Mark Gurman avait par le passé évoqué l’arrivée de la N1 à la fois dans l’Apple TV et le HomePod mini.

Autrement dit, soit Apple a revu ses plans entre temps, soit la N1 ne sera pas un remplacement immédiat et systématique des solutions de partenaires sur toute la gamme.

Une N1 réservée aux produits « premium » ?

La lecture la plus logique, à ce stade, c’est qu’Apple garderait sa puce réseau maison pour des produits plus ambitieux, tout en continuant à s’appuyer sur du matériel MediaTek sur l’entrée de gamme (au moins temporairement). Dans ce scénario, le HomePod mini 2 ne serait pas un cas isolé : l’iPhone 17e, l’iPad 12 et même un MacBook A18 Pro sont eux aussi attendus avec des puces MediaTek plutôt qu’avec la N1.

Introduite avec les iPhone 17, la N1 est le premier chip réseau conçu en interne par Apple. Elle prend en charge le Bluetooth 6, le Wi-Fi 7 et Thread. Et comme souvent quand Apple maîtrise un composant clé, la promesse est double : une intégration plus fine avec le matériel et le logiciel… et à la clé, de meilleurs gains d’efficacité et de fiabilité.

Pour les utilisateurs, l’adoption rapide de la puce N1 était synonyme d’une adoption rapide du Wi-Fi 7. Malheureusement, cela ne semble pas être le cas.

Un nouveau défi pour les utilisateurs d'Apple Watch en janvier 2026 : Ring in the New Year

16 décembre 2025 à 23:00

Comme chaque année, Apple va proposer un petit défi aux utilisateurs de l'Apple Watch, Ring in the New Year. Et comme chaque année, les autocollants qu'il va être possible d'obtenir sont apparus un peu avant l'annonce par Apple. Pour 2026, comme les années précédentes, il faudra simplement remplir vos anneaux pendant sept jours consécutifs pendant le mois de janvier.

Pour ceux qui n'ont pas d'Apple Watch, le premier (Bouger) mesure vos mouvements sur la journée, avec une valeur en kilocalories. Le second (M'entraîner) nécessite de lancer une activité, par exemple dans l'app Exercices (l'Apple Watch peut le détecter automatiquement dans certains cas). Et le troisième, Me lever, est normalement suffisamment clair pour ne pas nécessiter d'explications. Voici les différents stickers à obtenir.

Reçu hier — 16 décembre 2025 MacG.co

N'espérez pas acheter de SSD à bon prix chez Kingston : la société annonce que ça va être de pire en pire

16 décembre 2025 à 22:00

Si la RAMpocalypse touche essentiellement la mémoire vive pour le moment, un autre type de mémoire est aussi touché : la mémoire flash. Après Crucial, que Micron a décidé de fermer, et Transcend — qui a annoncé ne plus recevoir de mémoire flash —, c'est au tour d'un autre grand acteur du domaine de communiquer, Kingston.

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Cameron Crandall, responsable d'une des divisions dédiées aux SSD, a annoncé dans un podcast que les prix allaient encore largement augmenter pendant les trente prochains jours. Il a expliqué que le prix de la mémoire a augmenté de 246 % depuis le premier trimestre 2025 et que 70 % de cette hausse date des deux derniers mois.

Un SSD Kingston.

Dans les étals, les SSD de 1 To dépassent allègrement les 120 € actuellement, quand il était possible de trouver des modèles de 2 To à moins de 100 € il y a environ un an. Et compte tenu du décalage entre la hausse de la mémoire flash et celle des produits finis, les augmentations dans les prochaines semaines, une fois les anciens stocks vides, devraient être encore plus brutales.

Le cas de Kingston est par ailleurs le même que celui de nombreux fabricants : la société, contrairement à Samsung, Crucial ou Sandisk, ne produit pas sa propre mémoire et dépend de ses fournisseurs, qui ont décidé de vendre leurs produits aux sociétés qui installent des centres de données pour l'IA.

Apple tente d'imposer iOS 26 sur les iPhone compatibles, même si iOS 18.7.3 est disponible

16 décembre 2025 à 21:30

Apple joue un drôle de jeu avec iOS 18.7.3, la dernière version en date d'iOS 18. Si elle est proposée automatiquement sur les iPhone compatibles avec iOS 18 mais pas iOS 26 — iPhone XS, iPhone XS Max, iPhone XR —, ce n'est pas le cas sur les autres appareils selon nos constatations. Sur un iPhone 11 encore sous iOS 18.7.2, la seule version proposée était la 26.2.

Sans activer les mises à jour bêta, vous ne verrez qu'iOS 26.2.

Mais, car il y a une petite astuce, cette version existe bel et bien pour les appareils compatibles avec iOS 18. Il faut vous rendre dans Réglages > Général > Mise à jour logicielle et choisir iOS 18 Developer Beta dans Mise à jour bêta. Une fois cette petite manipulation effectuée, vous devriez pouvoir installer la version finale d'iOS 18.7.3.

Selon nos essais, la version installée sur un iPhone 11 a la même version de build (22H217) que la version finale.

La version est la même que celle de la version finale.

Bug ou volonté de forcer iOS 26 ?

Une question se pose évidemment : est-ce un bug ou un choix d'Apple ? Techniquement, c'est la version RC (Release Candidate) qui est installée de cette manière. C'est une version de test qui est dans le cas présent identique à la version finale (ce n'est pas toujours le cas).

Deux hypothèses existent. La première, c'est qu'un bug de dernière minute empêche Apple de proposer la version finale sur certains modèles. La seconde, c'est que c'est intentionnel, pour forcer les réfractaires à passer à Liquid Glass et iOS 26. La seconde est probablement la plus crédible : iOS 18.7.3 est bien proposé sur les iPhone qui n'acceptent pas iOS 26 et la version RC est toujours disponible pour les autres. S'il y avait un bug bloquant, Apple ne la proposerait plus.

iOS : Apple cherche toujours à forcer les mises à jour automatiques

iOS : Apple cherche toujours à forcer les mises à jour automatiques

Rappelons enfin que quelle que soit votre préférence, la mise à jour est importante : elle corrige des failles dans divers composants du système. Au passage, la page de présentation des corrections de sécurité tend à prouver que l'absence sur les iPhone compatibles avec iOS 26 est intentionnelle : elle liste uniquement les trois iPhone compatibles, sans ajouter le « and later » présent pour les iPad.

Guide de Noël : des chargeurs à foison pour ne plus faire le coup de la panne

16 décembre 2025 à 20:50

On a tous un ami qui « ne veut pas d’accessoires », mais qui vit branché à 12% de batterie, un câble douteux coincé entre deux coussins de canapé. Spoiler : cet ami s’est fait plaisir cette année, et a acheté un iPhone 17, 17 Pro ou même un iPhone Air. Et c’est peut‑être vous, qui sait ?

Chargeur MagSafe / Qi2 25 W : le nouveau socle

Avec la série 17, la charge sans fil cesse d’être un plan B mollasson pour devenir le mode par défaut crédible, grâce au Qi2 et à la montée à 25 W. Posé sur un chargeur magnétique certifié, l’iPhone se cale tout seul, exploite la pleine puissance, et enclenche les interfaces type StandBy sans gymnastique de placement.

Il est tout beau tout tressé, mais un peu cher, des alternatives existent. Image Apple.

C’est le cadeau « tech mais simple » par excellence : le galet magnétique ne prend pas beaucoup de place, n’est pas excessivement cher, et convient pour la plupart des iPhone récents. Apple propose le sien (49,00 €), mais d’autres sont disponibles moins cher et sont tout aussi compatibles, la norme Qi2 aidant, comme celui de Ugreen (32,99 €).

Batterie externe MagSafe 10 000 mAh

En mobilité, la batterie externe MagSafe 10 000 mAh prend le relais. Aimantée au dos de l’iPhone 17 Pro, elle suit les lignes du téléphone, laisse le port USB‑C accessible et évite le duo peu élégant câble tordu + poche déformée. Avec cette capacité, navigation, photos, partage de connexion et streaming s’enchaînent sans anxiété de fin de journée.

Ugreen fait une batterie qui viendra se cacher derrière votre iPhone 17 Pro. Image Ugreen.

En voyage, en salon professionnel ou simplement lors d’une journée bien chargée, cette batterie joue le rôle d’assurance discrète, permettant d’utiliser le 17 Pro comme un véritable outil de travail plutôt que comme un objet à ménager. Comme souvent, ce sont les mêmes qui s’y collent : Ugreen (26,78 €) est présent, tout comme Anker (49,99 €). D’autres marques plus obscures peuvent être à tarif encore plus faible, mais cette batterie pouvant être amenée à voyager avec vous en avion, être joueur n’est pas forcément le meilleur pari dans ce domaine.

Anker commercialise de nouvelles batteries externes compactes et un chargeur avec câble rétractable

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De nombreuses compagnies dont Air France-KLM interdisent l’usage des batteries externes

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Station de charge Qi2 2‑en‑1 / 3‑en‑1

Au domicile ou au bureau, la station de charge Qi2 change d’échelle : elle organise l’espace autant qu’elle alimente les appareils. En version 2‑en‑1 ou 3‑en‑1, elle accueille l’iPhone 17 Pro, des AirPods et éventuellement une Apple Watch sur un seul socle relié à un unique adaptateur.

Compacte, la station 3 en 1 de voyage de Belkin sera très pratique en voyage. Image Belkin.

Sur la table de nuit aussi, c’est bien pratique : on se débarrasse des câbles enchevêtrés et l’iPhone devient horloge, cadre photo ou panneau domotique pendant la charge. Pour qui possède une bonne partie de l’écosystème Apple, une station 3 en 1 ressemble moins à un gadget qu’à une pièce centrale du quotidien. Belkin est un incontournable du domaine, avec la BoostCharge 3 en 1 (59,98 €), mais aussi une version plus compacte de voyage bien utile, à peine de la taille d’une batterie externe, l’UltraCharge 3 en 1 Qi2 (89,99 €). Bien moins cher, Keepro propose une station 3 en 1 pliable à prix réduit (31,99 €), même si elle est moins compacte que celle de Belkin.

Test de la station Belkin UltraCharge Pro 25 W : l’air des chargeurs Qi2 ventilés pour iPhone démarre

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Chargeur secteur USB‑C multi‑ports

Dernier maillon souvent sous‑estimé : le bloc secteur. L’iPhone 17 Pro est livré avec un câble USB‑C, mais sans adaptateur, alors que beaucoup utilisent encore d’anciens chargeurs 5 ou 10 W. Un chargeur compact USB‑C multi‑ports, capable de délivrer suffisamment de puissance pour l’iPhone, la station Qi2 et éventuellement un iPad ou un MacBook, simplifie considérablement l’infrastructure.

Gadget mais indispensable : l’afficheur qui donne la puissance instantanée sur chaque port, et la température du chargeur. Image Anker.

Une collection de briques disparates se transforme en une seule alimentation cohérente, alignée sur les usages modernes. Ce n’est peut‑être pas l’accessoire le plus spectaculaire, mais c’est souvent celui qui améliore le plus silencieusement la vie numérique au quotidien. Ugreen, encore eux, proposent le Nexode 100 W (47,99 €), de quoi brancher un MacBook Air, voire un MacBook Pro à la consommation légère en même temps qu’un iPhone et une Apple Watch. Gros consommateur ? La marque propose une version 160 W (62,99 €) dans le même format. Fan des lumières et autres écrans partout ? Anker propose le Zolo 140 W (69,99 €), muni de trois ports USB-C, un port USB-A, et un écran indiquant la puissance instantanée consommée sur chaque port, et la température de l’adaptateur.

Anker lance cinq nouveaux chargeurs particulièrement puissants, jusqu’à 250 W

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L’appareil portable sans batterie n’étant pas encore arrivé, les chargeurs restent un indispensable au quotidien. Ceux-ci ayant atteint un palier de maturité avec la démocratisation de la technologie GaN (nitrure de Gallium), autant en profiter en s’équiper sur du long terme, avec des marques reconnues pour leur qualité. Une fois fait, un chargeur pourra faire plusieurs générations d’iPhone sans souci !

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