Si vous avez loupé le Black Friday — comment avez-vous fait ? —, Amazon propose une petite séance de rattrapage sur un produit essentiel pour de nombreux utilisateurs d’appareils Apple. Le station de charge Qi2 Belkin BoostCharge Pro 2-en-1 est en promotion à 99,99 € au lieu de 129 € pour une durée limitée. C’est son prix le plus bas depuis son lancement.
Pensée pour accompagner votre iPhone et votre Apple Watch partout, cette station recouverte de tissu est à la fois compacte (8,2 cm de côté pour 2,8 cm d’épaisseur) et pliable. Elle peut être utilisée à plat ou comme support, ce qui permet d’activer le mode En veille de l’iPhone.
Le chargeur Qi2 délivre jusqu’à 15 W pour les iPhone 12 ou ultérieur. Le petit galet est quant à lui compatible avec la recharge rapide des Apple Watch (à partir des Series 7) et il peut recharger certains boitiers d’AirPods (AirPods Pro 2/3 et AirPods 4 avec ANC). Belkin fournit un adaptateur secteur de 30 W ainsi qu’un câble USB-C.
Il y a d’autres chargeurs 2-en-1 dans le même esprit. Citons notamment le précurseur Butterfly SE de Twelve South (promo en cours à 69 € au lieu de 109 €) et le charmant Voyage de Native Union (99 €), tous deux vendus sans adaptateur secteur. Ces modèles sont encore plus compacts que celui de Belkin, mais leur position de support est moins stable.
La prochaine mise à jour de HELLDIVERS 2 devrait soulager les joueurs un peu à l’étroit sur leur ordinateur. Les créateurs de ce jeu pour Windows sorti début 2024 ont en effet annoncé un allègement à venir du poids des fichiers nécessaires pour faire tourner le jeu sur un PC. Le changement est radical, puisque le jeu va passer de 154 Go environ aujourd’hui à… 23 Go ! Cette réduction de 85 % de la taille devrait se faire avec un impact minimal sur les performances, a précisé l’éditeur.
Comment peut-on se passer de 130 Go de données installées jusque-là, sans ruiner un jeu vidéo ? C’est la même question, mais peut-être plus intéressante : comment peut-on distribuer un jeu de plus de 150 Go alors que 23 Go suffisaient ? La réponse est détaillée dans cet autre article publié par l’éditeur, qui explique en gros que le jeu avait été développé avec les disques durs et d’anciens préjugés en tête. Il y a quelques années, avant l’essor des SSD donc ça commence à remonter tout de même, il est vrai que charger des ressources graphiques demandait beaucoup de temps à cause des déplacements incessants de la tête de lecture des disques durs. Pour accélérer un jeu vidéo, il était préférable de dupliquer une ressource utilisée à plusieurs endroits, plutôt que de charger les données depuis toujours la même zone.
Si les disques durs n’ont pas totalement disparu, ils sont devenus minoritaires et ne concernent que 11 % des joueurs dans le cas de HELLDIVERS 2. Ce n’est pas anodin, mais surtout, les développeurs ont testé leur jeu en supprimant les ressources dupliquées et noté que la différence n’était pas aussi significative qu’ils le pensaient, même sur un disque dur.
Nous savons désormais que, contrairement à la majorité des jeux, la plus grande partie du temps de chargement dans HELLDIVERS 2 provient de la génération des niveaux plutôt que du chargement des ressources graphiques. Cette génération de niveaux s’exécute en parallèle du chargement des données depuis le disque et constitue le principal facteur qui détermine la durée du chargement. Nous savons maintenant que cela reste vrai même pour les utilisateurs équipés de disques durs mécaniques.
À l’arrivée, la version allégée demandera effectivement plus de temps de chargement, mais la différence dans le pire des cas ne sera que « de quelques secondes ». À défaut de proposer des chiffres plus précis, l’éditeur précise bien que ce pire des cas implique un disque dur, si bien que le changement devrait être imperceptible pour les utilisateurs de SSD. D’ailleurs, la version pour consoles de leur jeu a toujours pesé une vingtaine de giga-octets, puisque les consoles de dernière génération ont toutes abandonné les disques durs.
L’allègement de HELLDIVERS 2 prend la forme d’une bêta pour l’heure et il faut choisir d’y participer. Si tout va bien, cela devrait devenir la norme dans une future mise à jour, avec la possibilité de revenir aux ressources dupliquées pour les joueurs qui le souhaitent. Le développeur note toutefois que la différence à l’usage est si faible que seule la version allégée sera proposée à terme pour simplifier son travail.
Ça vous est peut-être déjà arrivé : vous recevez un appel d’une personne qui vous demande pourquoi vous l’avez contactée. Il ne s’agit pas d’un malandrin, mais bien de quelqu’un de bonne foi ayant reçu juste avant un coup de fil affichant… votre numéro. Vous avez été victime d’une usurpation de numéro. Alors que cette tromperie prend de l’ampleur, l’Arcep passe à l’action.
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Initialement, le régulateur des télécoms envisageait d’afficher « 99 99 99 99 99 » pour les appels potentiellement usurpés. Finalement, dans une décision publiée le 2 décembre, l’Arcep a changé son fusil d’épaule : ces appels apparaîtront désormais comme des appels masqués. La mesure cible les appels depuis l’international affichant un numéro mobile français qui n’a pas pu être authentifié.
En théorie, l’usurpation de numéros ne devrait pas être possible. Un mécanisme d’authentification du numéro d’appelant (MAN) existe depuis une loi de juillet 2020. Ce dispositif, aujourd’hui déployé chez tous les opérateurs français, les oblige à bloquer les appels non authentifiés et à transmettre les informations permettant d’identifier l’opérateur émetteur. Mais cette protection n’est pas efficace lorsque les appels viennent de l’étranger. Depuis le début de l’année, l’Arcep a reçu près de 18 000 signalements d’usurpation via sa plateforme d’alerte. D’où ce nouveau tour de vis.
À partir du 1er janvier 2026, un appel masqué pourra donc avoir deux significations : soit l’appelant a délibérément choisi de cacher son numéro1, soit l'appel n’a pas pu être authentifié pour des raisons techniques, ce qui peut indiquer une usurpation. Dans les deux cas, le numéro de l'appelant ne s’affichera donc pas.
Dans sa décision, l’Arcep annonce une autre mesure visant à mieux protéger les consommateurs. Les opérateurs devront respecter un délai d’au moins 45 jours avant de réaffecter un numéro résilié à leur initiative, par exemple lors de la fermeture d’une ligne cuivre. L’objectif est de laisser le temps à l’abonné concerné de récupérer son numéro avant qu’il ne soit attribué à quelqu’un d’autre.
Pour limiter les appels indésirables sur votre iPhone, nous venons justement de publier un guide comprenant plusieurs conseils importants :
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Apple a procédé récemment à une refonte majeure de son programme de chasse aux bugs (Bug Bounty). Si la Pomme a annoncé vouloir doubler la récompense maximale pour certaines attaques très sophistiquées — pouvant désormais atteindre le jackpot de 2 millions de dollars —, cette générosité en façade cache une réalité plus contrastée. Dans sa dernière mise à jour, Cupertino a opéré des coupes sombres sur des catégories spécifiques, ce qui passe très mal auprès de la communauté des chercheurs.
C’est une lecture à deux vitesses de la sécurité qui semble se dessiner. D'un côté, Apple veut blinder ses forteresses les plus critiques ; de l'autre, elle semble considérer que certaines failles macOS ne valent plus leur pesant d'or.
C'est Csaba Fitzl, figure incontournable de la recherche en sécurité sur macOS, qui a tiré la sonnette d'alarme sur LinkedIn. Les chiffres qu'il avance ont de quoi refroidir les ardeurs des chasseurs de bugs les plus motivés. Apple a opéré des coupes franches dans ses grilles tarifaires, divisant parfois les primes par six pour des vulnérabilités pourtant courantes.
TCC et Sandbox : les parents pauvres
L'exemple le plus frappant concerne le contournement des protections TCC (Transparency, Consent, and Control), ce garde-fou essentiel qui gère l'accès de vos applications aux données sensibles (caméra, micro, fichiers). Jusqu'à présent, une telle découverte pouvait rapporter plus de 30 000 $. Avec la nouvelle grille ? Le chèque fond à 5 000 $.
Même constat douloureux pour les failles permettant de s'évader de la sandbox de macOS : la prime a été divisée par deux pour tomber, elle aussi, à 5 000 $. Pour Fitzl, le message envoyé par Cupertino est désastreux : « On a l'impression qu'Apple admet ne pas pouvoir corriger ce bazar et ne s'en soucie plus, ou du moins n'est plus disposée à payer pour cela. »
Le risque du marché gris
En dévaluant ainsi la recherche sur les failles de confidentialité "locales", Apple prend un risque calculé mais dangereux : celui de voir ces vulnérabilités, au lieu d'être rapportées proprement via le programme officiel, finir vendues au plus offrant sur le marché noir ou gris. Des entreprises spécialisées dans l'espionnage ou des acteurs malveillants pourraient se montrer bien plus généreux que les 5 000 $ promis par Apple.
Cependant, il serait injuste de dire qu'Apple ferme le robinet partout. La stratégie semble être un rééquilibrage vers les menaces les plus critiques.
Jusqu'à 2 millions pour l'élite
Pour contrebalancer ces baisses, Apple a sorti l'artillerie lourde sur le haut du spectre. La firme a annoncé en octobre qu’elle allait doubler la récompense maximale pour certains problèmes jugés très sophistiqués. Concrètement, si vous trouvez une faille critique touchant au noyau la prime peut désormais grimper jusqu'à 2 millions de dollars. Apple est également particulièrement généreuse en cas de découverte d’une faille relative à son architecture Private Cloud Compute.
Apple cherche visiblement à attirer les meilleurs talents sur les failles qui pourraient compromettre l'intégrité totale de ses systèmes, quitte à moins payer pour les bugs qui ne touchent "que" la confidentialité de l'utilisateur devant son écran.
Pour sa défense, Apple a récemment annoncé que son carnet de chèques a beaucoup chauffé ces dernières années. Le constructeur affirme avoir distribué plus de 35 millions de dollars à plus de 800 chercheurs depuis le lancement du programme public en 2020.
Google aussi s’essaie au résumé des titres d’articles par IA. The Verge a remarqué que certains articles affichés dans Google Discover avec des titres générés par IA différents de ceux des publications originales. Comme cela avait été le cas avec Apple Intelligence, certains sont trompeurs, voire carrément erronés.
Deux exemples de titres incompréhensibles ou erronés repérés par The Verge
Sur un autre registre, le moteur de recherche affirme que « les cartes graphiques AMD surpassent celles de Nvidia » d’une manière laissant penser qu’AMD a présenté un nouveau modèle surpuissant. La réalité est moins intéressante : il s’agit simplement de l’histoire d’un revendeur allemand ayant réussi à vendre plus de cartes AMD que Nvidia en une semaine. D’autres titres sont simplement sans queue ni tête et ne permettent pas de vraiment comprendre de quoi il retourne.
Google ajoute à ces titres un résumé de l’article par IA. Tout cela est accompagné d’une mention « Généré par une IA qui peut commettre des erreurs » n’apparaissant cependant que si l’internaute appuie sur le bouton « Voir plus ». Il peut donc penser que le titre bancal vient du journaliste, sans suspecter Google. L’entreprise a indiqué à The Verge qu’il s’agissait d’une simple expérimentation déployée auprès d’une poignée d’utilisateurs de Discover.
Tout cela rappelle évidemment le couac d’Apple Intelligence, qui peut résumer les notifications des messages comme des titres de presse. La technologie a été fortement critiquée pour sa capacité à générer de fausses nouvelles ou à s’emmêler les pinceaux pour donner des résumés incompréhensibles. La fonction a rapidement été bridée avant de revenir il y a peu sur iOS 26.1. Apple permet désormais de ne pas résumer les apps d’actualité.
La petite expérience de Google est plus grave, l’entreprise étant connue pour être hostile aux médias : elle s’est par exemple vue infliger une amende de 500 millions d’euros pour non-respect du droit voisin en 2021. Il semblerait que cela soit la raison pour laquelle les utilisateurs français soient privés des AI Overviews, ces réponses par IA dans le moteur de recherche. Si un tel système de résumé de titres pourrait plaire à certain, il devrait également en énerver plus d’un, obligé d’aller chercher comment le désactiver.
On se moque quotidiennement des faiblesses de Siri, mais associé aux AirPods, il lui arrive parfois de sauver des vies ! C’est une histoire qui a fait le tour de la presse australienne. Un adolescent a basculé alors qu’il atteignait le sommet de la montagne. La chute, d’une cinquantaine de mètres, l’a projeté dans une zone de végétation dense où il s’est retrouvé coincé et blessé.
« Sans ses AirPods, l’histoire aurait été tout autre »
Son téléphone a visiblement mal encaissé la chute et n’était plus à portée immédiate. Autant dire que l’histoire était assez mal engagée. Mais le jeune homme a joué son va-tout en utilisant ses AirPods : manifestement, la connexion avec l’iPhone a tenu, ce qui lui a permis de prévenir sa mère d’appeler les secours.
Grâce à cela, il a pu être localisé rapidement et les secours sont intervenus en hélicoptère. Sans localisation précise, l’intervention aurait été beaucoup plus compliquée, compte tenu de la végétation. « S’il n’avait pas eu ses AirPods, l’histoire aurait sans doute été toute autre. On a vraiment eu de la chance de pouvoir le retrouver », a déclaré un secouriste.
Voilà un cas de plus qui viendra enrichir la collection d’histoires relayées par Tim Cook montrant comment les produits Apple peuvent contribuer à sauver des vies.
Quand l’Apple Watch détecte une chute…
Un randonneur du Colorado doit pour sa part une fière chandelle à son Apple Watch. Alors qu’il progressait sur une arête de montagne près de Father Dyer Peak, Phong Le a chuté après qu’un gros rocher s’est dérobé sous lui. Pire : son bonnet a glissé sur ses yeux, le rendant quasiment aveugle pendant la chute et le laissant rebondir sur les rochers sans pouvoir se protéger.
Hiker Phong après sa chute / Image : Phong Le/Outside
Une fois immobilisé, c’est son Apple Watch Ultra 3 qui a pris le relais. La détection de chute s’est déclenchée et, malgré des douleurs vives aux poignets, il a pu valider l’appel d’urgence. Son iPhone, miraculeusement intact, a pris le relais pour assurer la communication pendant près d’une heure avec les secours, qui lui ont indiqué comment rejoindre un terrain plus sûr. Trois heures plus tard, l’équipe de secours parvenait jusqu’à lui.
Le randonneur s’en sort avec des blessures relativement légères : coupures, contusions, deux poignets foulés, mais aucun os cassé. Il reste prudent sur l’idée que la montre lui a « sauvé la vie », mais reconnaît qu’elle a largement facilité et accéléré l’intervention. Une chose est sûre : il ne partira plus en montagne sans son Apple Watch. Reste qu’il n’est pas certain de vouloir s’aventurer de si tôt sur ce type de terrain.
Les voitures électriques ont le vent en poupe. Si c’est un bon point pour la qualité de l’air, ça l’est moins pour certaines recettes du gouvernement : les taxes sur les carburants servant à financer les routes vont logiquement diminuer. Face à ce problème, le Royaume-Uni vient de présenter une nouvelle taxe visant les voitures électriques et hybrides. Elle sera mise en place à partir d’avril 2028.
Une Jaguar 100 % électrique. Image Jaguar
Le gouvernement britannique a récemment présenté son nouveau budget mentionnant directement les voitures électriques. L’idée est de continuer à pousser la transition vers cette nouvelle forme de mobilité via une allocation supplémentaire de 1,3 milliard de livres sterling. 100 millions seront alloués aux infrastructures de recharge. Cette stratégie devrait continuer jusqu’en 2030, date à laquelle le pays veut interdire la vente de voitures thermiques.
Le revers de la médaille, c’est que tout cela va fortement diminuer les recettes liées aux taxes sur le carburant. « Tous les véhicules contribuent à la congestion et à l'usure des routes », rappelle le gouvernement. Si « les conducteurs de véhicules à essence et diesel paient une taxe sur les carburants à la pompe afin de contribuer équitablement », le gouvernement a bien remarqué que les conducteurs de véhicules électriques ne payaient actuellement pas de taxe équivalente.
Image Mini
Pour compenser, le gouvernement va donc mettre en place une nouvelle taxe kilométrique pour les voitures électriques et hybrides rechargeables. L’idée reste de laisser les véhicules électriques plus intéressants sans surpénaliser les hybrides, qui paient déjà la taxe habituelle à la pompe. La nouvelle taxe sera donc de 3 pence par mile pour les voitures 100 % électriques, et de 1,5 pence par mile pour les hybrides rechargeables. « Lorsque la taxe entrera en vigueur en avril 2028, un conducteur moyen de véhicule électrique paiera environ 240 £ par an, soit 20 £ par mois », explique le gouvernement.
Les autres types de véhicules comme les fourgonnettes, les bus, les motos, les autocars et les poids lourds, ne seront pas concernés par la taxe lors de son introduction. Il faut dire que la transition vers le tout électrique est actuellement moins avancée pour ces types de véhicules. Le gouvernement ne sait pas encore comment comptabiliser les kilomètres, mais veut « protéger la vie privée » des automobilistes. Il précise qu’il ne sera pas nécessaire d’installer un traceur sur sa voiture ou de déclarer la date des kilomètres effectués. Le Royaume-Uni n’est pas le seul à envisager une telle taxe, la Suisse envisageant également un système similaire.
Image Fastned
Avec la voiture électrique, les habitudes changent. La Bretagne va accueillir sa première station-service sans essence dès l’année prochaine. Implantée à St Yvi le long de la Route Nationale 165, on y trouvera six bornes ultrarapides de 400 kW. Elle sera mise sur pied par Fastned, un spécialiste européen de la recharge électrique.
Canal+ s'apprête visiblement à serrer la vis sur le partage de compte. Comme l’a noté le fouineur @anael_tw sur X, la plateforme a récemment revu ses conditions d’utilisation. Elle déclare que l’utilisation du compte doit désormais rester « à tout moment strictement privé et au sein du même foyer ». L’utilisation était jusqu’à présent possible dans le « cercle familial » (sous-entendu même à distance), ce qui laisse à penser qu’il va y avoir du changement.
Le changement est mentionné pour les offres souscrites après le 14 janvier 2025. Il semble bien y avoir anguille sous roche : contacté par BFM, Canal+ a déclaré ne pas vouloir faire de commentaire. On attend maintenant de voir à quoi ressemblera cette nouvelle politique, et si la plateforme envisage de proposer un système de compte supplémentaire payant pour les invités à la manière de Netflix.
Les conditions d’utilisation indiquent qu’un contrôle des adresses IP est possible pour surveiller le partage. Elles stipulent également que « toute monétisation des droits sur l'Abonnement et/ou des connexions simultanées auxquelles l'Abonnement donne droit est interdite ». Une ligne qui semble viser les plateformes de partage comme Spliiit.
La nouvelle risque de mal passer, d’autant plus que Canal a souvent joué de sa tolérance côté partage de compte face à la concurrence. Elle a par exemple réalisé des pubs s’en amusant avec le slogan « le plus simple pour partager ses codes Canal+, c'est d'en avoir ». Elle a aussi publié des affiches sur lesquelles des personnages de programmes incitent à « donner ses codes Canal+ Series ».
Avec ce changement, Canal+ suit la tendance. Netflix a commencé à chasser les comptes partagés en 2022, ce qui lui a permis d’engranger des millions de nouveaux abonnés. HBO Max s’y est également mis en 2024, la même année que Disney+.
L’iPhone Air a été présenté en même temps qu’un nouveau modèle de batterie MagSafe qui lui est réservée. Cet accessoire a gagné hier un nouveau firmware, passant de la version 8A351 à la 8B25. Or, cette mise à jour a été quasi immédiatement retirée par Cupertino. Elle était répertoriée sous le numéro 99.0 dans les Réglages, quand l’actuel micrologiciel est le 91.0.
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Apple n’indique pas ce qu’apportait ce nouveau firmware. On peut imaginer qu’il améliorait les performances d’une manière ou d’une autre, ou bien qu’il résolvait de potentiels bugs. Difficile de savoir quand elle reviendra et les raisons de son retrait. Il s’agissait de la deuxième mise à jour publiée pour cet accessoire depuis son lancement en septembre.
L’installation d’une telle mise à jour n’est pas des plus pratique, car Apple ne propose pas de moyen simple pour cela sur iOS. Le plus sûr est sans doute de brancher la batterie à un Mac. Vous pouvez sinon laisser votre iPhone sur la batterie pendant quelque temps et croiser les doigts. Le numéro de version peut être trouvé dans les Réglages, onglet Informations, puis tout en bas « iPhone Air MagSafe Battery ».
Cette batterie Magsafe est malheureusement réservée à l’iPhone Air. Pensée spécifiquement pour le nouveau smartphone ultra-fin, elle embarque… une batterie d’iPhone Air. Vendue 115 €, elle permet de récupérer jusqu’à 65 % d’autonomie supplémentaire.
L’accessoire fonctionne bien au quotidien, mais on peut regretter qu’Apple n’ait pas essayé d’en faire plus avec le concept. De nombreuses batteries tierces proposent par exemple une petite béquille pour regarder une vidéo en s’en servant, et ont l’avantage d’être compatibles avec la majorité des téléphones. La batterie de l’iPhone Air garde pour principal atout sa finesse qui la rend facile à oublier au fond d’un sac.
À chacun son tour. Quelques semaines après GPT-5.1, Gemini 3 et Opus 4.5, Mistral AI accouche d’une nouvelle famille de modèles d’intelligence artificielle. Mistral Large 3 représente le nec plus ultra avec un total de 675 milliards de paramètres. En pratique, le modèle est découpé en « experts » mobilisant 41 milliards de paramètres chacun. Sa fenêtre de contexte atteint 256 000 tokens, ce qui permet de lui faire ingérer d’un seul coup une grande quantité de données.
Multimodal, Mistral Large 3 vise les usages courants : analyse de documents, programmation, assistance personnelle, etc. Contrairement à Gemini ou GPT, c’est un modèle ouvert, publié sous licence Apache 2.0, librement modifiable et utilisable. Son créateur l’oppose ainsi à d’autres modèles de cette catégorie, notamment DeepSeek V3.1. Sans surprise, les benchmarks sélectionnés placent la techno française en tête dans la plupart des scénarios.
Graphique Mistral AI
GPT-OSS, le modèle ouvert d’OpenAI qui compte jusqu’à 120 milliards de paramètres, ne fait pas partie des comparaisons pour une raison précise : il s’agit d’un modèle de raisonnement, qui traite chaque question via une « chaîne de pensée » censée produire de meilleures réponses. Une variante de Mistral Large 3 dédiée au raisonnement est promise pour bientôt.
Mistral Large 3 sera intégré prochainement à Le Chat, l’interface conversationnelle de l’éditeur, et il est déjà disponible sur plusieurs plateformes, dont Hugging Face. Le modèle demandant une puissance de calcul et une quantité de mémoire que seuls des serveurs peuvent offrir, Mistral propose aussi des versions condensées capables de tourner sur des machines grand public.
Ministral 3-3B sur un MacBook Air M1. Image MacGeneration.
C’est la série Ministral 3, disponible en trois tailles (3 milliards, 8 milliards ou 14 milliards de paramètres) et en trois variantes : Base (pré-entraîné), Instruct (optimisé pour le chat) et Reasoning (pour les problèmes complexes). Le spécialiste de l’IA assure que cette nouvelle génération offre le meilleur rapport coût/performance parmi les modèles ouverts. Sur un MacBook Air M1, dans LM Studio, Ministral 3-3B en quantization 4 bits occupe un peu moins de 3 Go de RAM et la génération s’effectue à environ 22 tokens par seconde.
Apple appuie un peu plus fort sur la pédale pour encourager les utilisateurs restés sur iOS 18 à passer à iOS 26. Depuis le lancement d’iOS 26 en septembre, les détenteurs d’un iPhone 11 ou ultérieur se voient proposer deux choix dans les réglages : découvrir iOS 26 et son interface Liquid Glass, ou poursuivre encore quelque temps sur iOS 18.
Jusqu’à récemment, iOS 18 occupait la place principale, tandis qu’iOS 26 apparaissait en bas de page. Mais comme l’a remarqué MacRumors, Apple a inversé l’ordre récemment : iOS 26 est désormais affiché en grand et iOS 18 relégué en plus petit.
Suggestions actuelles de mises à jour sur un iPhone 12 mini resté sur iOS 18. Image iGeneration.
C’est la stratégie habituelle de la Pomme : au fur et à mesure que la dernière version majeure gagne en stabilité, elle est davantage mise en avant. Rien ne vous empêche de rester pour l’instant sur le cycle d’iOS 18 si vous le préférez. La version 18.7.2, publiée début novembre, a d’ailleurs bouché des failles.
Mais tôt ou tard, si votre iPhone est compatible avec iOS 26, seules les mises à jour de ce système vous seront proposées. Cela pourrait d’ailleurs arriver dès iOS 26.2, qui devrait être finalisé dans les prochaines semaines — cela s’était passé ainsi avec iOS 16.2 et iOS 15. Les iPhone XS et XS Max qui sont, eux, « bloqués » sur iOS 18, continueront de recevoir des mises à jour d’iOS 18 exclusivement dédiées à la sécurité pendant encore quelques années.
Côté iPad, d’après nos constatations sur un iPad mini 5 resté sur iPadOS 18, iPadOS 26 est toujours affiché en second choix pour l’instant.
Suggestions de mises à jour sur un iPad mini 5 resté sur iPadOS 18. Image iGeneration
Et si ChatGPT pouvait exploiter les données de l’application Santé préinstallée sur votre iPhone ? C’est ce que suggère une découverte de MacRumors. La dernière version de l’app iOS de ChatGPT contient une image de l’icône de Santé avec un nom de fichier laissant supposer une connexion possible entre les deux.
L’app d’OpenAI pourrait puiser dans plusieurs catégories, comme l’activité physique, le sommeil, la respiration ou encore l’audition. On imagine qu’en donnant accès à ces informations très complètes, on pourrait ensuite demander au robot des analyses ou des conseils précis sur sa condition physique.
Santé va-t-elle bientôt rejoindre la liste des apps dans lesquelles ChatGPT peut puiser ? Image iGeneration.
Pour l’heure, cette intégration n’est pas disponible. Si OpenAI confirme un jour cette nouveauté, il reviendrait à chaque utilisateur d’autoriser ou non l’accès de ChatGPT à des données aussi sensibles. Les intégrations déjà possibles avec d’autres services se configurent dans Paramètres > Applis et connecteurs.
Une telle évolution ne serait en tout cas pas surprenante : les questions liées à la santé figurent parmi les demandes les plus fréquentes et OpenAI pourrait être tenté d’offrir des recommandations ultra-personnalisées basées sur des données fiables. Et sur le plan technique, l’éditeur soignant particulièrement ses apps iOS et macOS, une intégration avec Santé s’inscrirait dans une continuité logique.
L'app Personal Safety de Google, qui permet notamment d'afficher les numéros de contact d'urgence ou des informations médicales, pourrait gagner une nouvelle fonction : l'affichage de l'IMEI. Et même si ce n'est pas évident au premier abord, c'est une fonction de sécurité intéressante dans certains cas.
iOS peut afficher la fiche médicale ou les contacts d'urgence.
L'IMEI (International Mobile Equipment Identity) est un identifiant normalement unique attribué à un téléphone. C'est ce qu'utilisent les opérateurs pour identifier un appareil sur le réseau, mais aussi pour bloquer un appareil indiqué comme volé : en empêchant l'IMEI lié à un appareil d'accéder au réseau, il est inutilisable.
Une fonction de sécurité
Il peut donc sembler étonnant de vouloir afficher ce numéro directement sur l'écran d'accueil, mais cette idée a du sens. Une demande d'ajout de fonctionnalité, en février 2025, explique bien le problème : dans certains cas, les forces de l'ordre demandent le mot de passe d'un appareil pour « vérifier si l'appareil n'a pas été volé ». C'est parfois un prétexte pour accéder à un appareil, sans autres raisons valables.
Le résultat. Image Android Authority
En affichant l'IMEI sur l'écran d'accueil sans déverrouiller le smartphone (le principe même de l'app Personal Safety), il serait donc possible de protéger (un peu) la vie privée des utilisateurs. En effet, grâce à l'IMEI il est possible de vérifier facilement si un appareil a été volé et donc éviter de donner son mot de passe pour ce prétexte. C'est un compromis qui semble intéressant, surtout en prenant en compte que même si l'IMEI est unique, vous prenez peu de risques en le divulguant. En théorie, une personne malveillante pourrait bien tenter de bloquer votre appareil, mais cette tâche demanderait d'autres données personnelles plus sensibles. Et pour les malandrins qui veulent suivre un appareil (par exemple), il y a des moyens plus efficaces pour récupérer l'IMEI d'un appareil que d'aller lire cette valeur sur le smartphone lui-même.
Reste à voir si Google va vraiment intégrer cette fonction, comme le suggère Android Authority : Google a au départ refusé la demande, en mettant en avant les risques.
Comme chaque mois, en plus de tous nos contenus en accès libre sur MacGeneration, iGeneration et WatchGeneration, les abonnés au Club iGen ont profité en novembre de nombreux articles exclusifs. Faute de nouveaux Mac ce mois-ci — nous avons testé le MacBook Pro M5 dès fin octobre —, nous nous sommes rabattus sur… Windows 10.
Pierre a signé une série complète consacrée à la fin de ce système d’exploitation. À travers quatre articles, celui qui fut un temps rédacteur en chef de Canard PC Hardware — vous comprenez pourquoi c’est lui qui s’occupe de Windows à MacG — revient sur la transition chaotique vers Windows 11 et donne des pistes pour s’y retrouver malgré tout.
N’allez pas croire que cette série concerne uniquement les utilisateurs de ces grosses tours RGB ou de ces encombrants ordinateurs portables qu’on appelle des PC. La fin de Windows 10 concerne aussi les utilisateurs de Mac qui utilisent Boot Camp ou une machine virtuelle pour jouer ou utiliser des logiciels spécifiques. Et puis cet abandon est une bonne occasion pour les pécéistes de basculer sur macOS.
Rassurez-vous, nous n’avons pas passé tout notre temps sur Windows. Nous avons continué l’exploration de macOS Tahoe et forcé Félix à utiliser une tablette sous iPadOS 26 à la place de son Mac :
En parlant de Mac, l’architecture Apple Silicon a soufflé sa cinquième bougie, l’occasion de dresser un petit bilan logiciel et un retour d’expérience personnel sur le MacBook Air M1 :
Côté tests, le mois a été particulièrement riche, entre la fameuse iPhone Pocket, les nouvelles ampoules Hue Essential très attendues et d'autres produits intéressants :
Pour les membres du Club iGen, le mois de décembre a débuté avec un aperçu en exclusivité du nouveau player de Canal+ sur Apple TV et il va se poursuivre avec d’autres articles qui valent tout autant le détour.
Samsung vient d'annoncer un nouveau SSD externe, le T7 Resurrected. Sur le papier, c'est l'équivalent du modèle T7 déjà en vente, mais avec un petit plus : un peu de green washing. Le SSD n'est pas vert, mais l'aluminium utilisé pour le boîtier est annoncé comme 100 % recyclé. Selon Samsung, le métal provient des chutes de la production des smartphones de la gamme Galaxy et il est argenté pour éviter d'employer des produits chimiques pour anodiser la coque.
Le même, en gris et en aluminium recyclé. Image Samsung.
Pour le reste, c'est un SSD assez classique : une interface USB-C à 10 Gb/s qui permet des débits de l'ordre de 1 Go/s, un poids de 72 grammes et un chiffrement matériel en AES avec une clé de 256 bits. Il existe avec une capacité de 1 To, 2 To ou 4 To et Samsung le vend déjà pour 135, 205 et 405 €. Des prix un peu élevés, mais les fabricants ont souvent tendance à afficher des tarifs plus hauts que les revendeurs. Le T7 classique se trouve par exemple pour un peu plus de 115 €.
Le T7 nouvelle génération.
Comme souvent avec les SSD externes, le type de mémoire flash n'est pas annoncé, ni la capacité du cache pSLC ou les performances en dehors du cache.
Comme chaque début décembre vient le moment d’acheter un paquet de papillotes et de découvrir sa rétrospective musicale. Eh oui, le Replay 2025 d’Apple Music est désormais disponible. Vous pouvez le consulter sur le web, à l’adresse replay.music.apple.com, mais aussi directement dans l’app Musique, ce qui est plus confortable. Le Replay 2024 était aussi accessible dans l'app, mais il ne s'agissait que d'une vue web : cette fois, on a une vraie intégration native.
Cette rétrospective met en lumière vos artistes, albums, morceaux et playlists les plus écoutés sur l’ensemble de l’année comme mois par mois. Apple Music y ajoute également vos genres de prédilection et les « récompenses » virtuelles obtenues au fil des écoutes. Le service attribue en effet des trophées symboliques lorsque vous franchissez certains caps, comme 5 000 minutes d’écoute ou 250 artistes découverts. Vous pouvez partager votre Replay sous forme d’image ou de vidéo, dans des formats adaptés aux réseaux sociaux.
Si vous utilisez un autre service de streaming, pas de jaloux : Deezer a lancé hier son My Deezer Year, tandis que Spotify devrait très bientôt lancer son fameux Wrapped.
Le Replay 2025 ne le montre pas, mais Apple Music a connu de belles améliorations avec iOS 26 : on peut désormais épingler des contenus pour y accéder rapidement ; AutoMix enchaîne les morceaux de manière fluide ; certaines pochettes s’animent sur l’écran verrouillé de l’iPhone ; et pour les fans de karaoké, des traductions et des prononciations sont affichées pour les paroles de certaines chansons. Tous les détails dans les articles suivants :
De temps en temps, Apple résiste à des demandes gouvernementales1. L'Inde vient en effet d'imposer l'app Sanchar Saathi à tous les fabricants de smartphones, mais Apple a refusé. Cette app de sécurité permet aux Indiens de s'identifier de façon sécurisée (sans pseudonymat), et elle peut aussi détecter les appels frauduleux ou bloquer un appareil en fonction de son IMEI. Sur le papier, c'est une bonne idée, mais pas quand le gouvernement demande qu'elle soit préinstallée sur tous les appareils.
Montage iGeneration.
Selon Reuters, le pays souhaiterait aussi que les fabricants de smartphones empêchent sa désactivation… alors que le même gouvernement explique que les citoyens seront parfaitement libres de ne pas l'activer ou de la désinstaller. Dans les faits, certains craignent que le gouvernement nationaliste de Narendra Modi profite de cette application pour accéder aux données des 730 millions de smartphones indiens.
Sanchar Saathi
La réponse d'Apple est visiblement assez courte : « Apple ne peut pas faire ça. Point. » Les raisons mises en avant sont évidemment liées à la vie privée et à la sécurité, mais il y a une autre raison, officieuse. Depuis le lancement de l'iPhone, il y a 18 ans, Apple a toujours refusé de préinstaller les applications des opérateurs, et laisser un gouvernement imposer une app serait un dangereux précédent. Même dans des cas compliqués comme celui de l'Europe, les App Store alternatifs ne sont pas préinstallés, et si Apple propose de choisir un autre navigateur que Safari au premier lancement, les concurrents ne sont pas installés par défaut.
Il n'y a plus qu'à attendre la réponse de l'Inde, qui a donné 90 jours aux fabricants pour se conformer à la demande. Car si le pays menace de bannir les iPhone, peut-être que la réaction d'Apple sera différente.
Bon, surtout quand la demande ne vient pas des États-Unis ou de la Chine. ↩︎
Décembre approche à grands pas et avec lui, l'éternelle question : qu'est-ce qu'on offre cette année ? Cultura sort l'artillerie lourde pour les fêtes avec une sélection qui ratisse large.
Des idées pour tous les profils, tous les budgets, et surtout, tous les goûts. De quoi éviter le cadeau générique qui finira au fond d'un placard !
L'événement Noël Cultura : le grand rendez-vous des fêtes
L'événement Noël de Cultura transforme les magasins en véritables cavernes d'Ali Baba. On y trouve de tout : des livres bien sûr, mais aussi des jeux de société pour animer les réveillons, des loisirs créatifs pour les âmes artistiques, de la papeterie haut de gamme, des produits high-tech et même de la déco pour habiller la maison.
L'avantage, c'est la diversité. On peut composer son panier-cadeau en piochant dans plusieurs univers. Un beau livre de cuisine, une liseuse pour dévorer des romans dans le train, un kit pour se mettre à l'aquarelle, quelques bougies parfumées, des AirPods pour les fans d'Apple. Tout se trouve au même endroit, ce qui facilite grandement la vie quand on a quinze personnes à gâter.
Les présentations de Noël chez Cultura méritent le détour. Les produits sont mis en scène, regroupés par thème ou par type de destinataire. Ça donne des idées quand on arrive les mains dans les poches sans savoir par où commencer.
Cadeaux pour adultes : sortir des sentiers battus
Les idées cadeaux adultes de Cultura cassent la routine du parfum-et-coffret-de-chocolats. On entre dans des territoires plus personnels, plus réfléchis.
Pour les passionnés de lecture, les beaux livres illustrés font toujours leur petit effet. Photographie, gastronomie, voyage, art : il existe un ouvrage magnifique pour chaque centre d'intérêt. Le genre de livre qu'on pose sur sa table basse et qu'on feuillette régulièrement, contrairement au roman qu'on lit une fois puis qu'on range.
Les amateurs de culture geek ne sont pas en reste. Mangas, comics, artbooks, figurines de collection : Cultura joue à fond cette carte-là. On peut même composer des coffrets thématiques autour d'un univers particulier, que ce soit Star Wars, Marvel ou l'univers du manga japonais.
Côté loisirs créatifs, l'offre explose. Aquarelle, calligraphie, scrapbooking, origami, tricot : de quoi occuper les dimanches pluvieux ou simplement offrir une activité relaxante à quelqu'un qui court partout toute la semaine. Les kits complets permettent de débuter sans avoir à chercher le matériel soi-même.
Pour ceux qui préfèrent l'expérience au matériel, les jeux de société adultes connaissent un âge d'or. Stratégie, enquête, coopération, ambiance : il existe désormais des jeux sophistiqués bien loin du Monopoly familial. Parfait pour animer les soirées entre amis ou les réveillons qui s'éternissent agréablement.
Le rayon high-tech regorge de trouvailles pour mélomanes et amateurs de son. L'enceinte portable Sony ULT Field 3, disponible en blanc ou en noir à 149,99 € au lieu de 199,99 €, délivre une puissance impressionnante. Autonomie solide, résistance aux éclaboussures : elle accompagne aussi bien les soirées à la maison que les sorties en extérieur.
Le casque Bluetooth JBL Tune 670NC, affiché à 59,99 € au lieu de 99,99 €, constitue une excellente affaire. Réduction de bruit active, confort prolongé, qualité JBL : ce casque devient vite indispensable pour les trajets quotidiens ou les sessions de télétravail où la concentration prime.
Pour les nostalgiques du vinyle ou ceux qui veulent s'y mettre, la platine vinyle Sony PS-LX310BT à 199,99 € au lieu de 299,99 € représente un cadeau qui fait mouche. Cette platine automatique facilite la vie avec sa connectivité Bluetooth et sa prise en main intuitive. Le retour du vinyle n'est plus une mode passagère mais une réalité bien ancrée.
Et bien sûr, tout l'univers Apple pour les inconditionnels de la marque : AirPods, Apple Watch, chargeurs MagSafe, coques et protections. L'écosystème californien occupe une belle place dans les rayons tech de Cultura.
Liseuses : le cadeau qui transforme les habitudes de lecture
Les liseuses représentent probablement l'un des cadeaux les plus pertinents pour un lecteur régulier. Pas pour remplacer le livre papier, mais pour le compléter intelligemment.
Le principal atout d'une liseuse, c'est la légèreté. Transporter trois pavés de 600 pages en vacances devient impraticable. Avec une liseuse, on emporte toute sa bibliothèque dans 200 grammes. Les trajets quotidiens deviennent aussi plus agréables : un appareil fin glisse facilement dans un sac, contrairement à un gros roman qui pèse lourd et s'abîme.
Cultura propose plusieurs modèles Vivlio adaptés à tous les budgets. La Vivlio One, en offre de lancement à 84,99 € au lieu de 89,99 €, constitue le point d'entrée idéal. Six pouces, écran sobre, lecture sans fioritures : elle fait exactement ce qu'on lui demande. Pour ceux qui découvrent les liseuses, c'est largement suffisant.
La Vivlio Light à 129,99 € ajoute le rétroéclairage, ce qui change radicalement l'expérience. On lit le soir sans allumer la lampe de chevet, on consulte quelques pages dans le noir sans réveiller personne. Ce modèle affiche déjà 61 avis positifs, signe que le public adhère.
Les lecteurs plus exigeants se tourneront vers la Vivlio Light Zen à 109,99 € pour un format six pouces compact, ou vers la Vivlio Light HD Color à 179,99 € qui introduit la couleur. Cette dernière révolutionne la lecture de bandes dessinées et de mangas sur liseuse. Fini le noir et blanc, les planches s'affichent dans leurs teintes d'origine.
Pour les gros lecteurs qui veulent le nec plus ultra, les modèles Inkpad proposent des écrans de 7,8 pouces. La Vivlio Inkpad 4 à 259,99 € ou la Vivlio InkPad Color 3 à 299,99 € offrent un confort de lecture qui se rapproche du livre papier grand format. Soixante avis positifs pour l'Inkpad 4 témoignent de sa fiabilité.
Cultura propose systématiquement des housses de protection à 17,99 €, disponibles en plusieurs coloris. Une housse prolonge considérablement la durée de vie de la liseuse en protégeant l'écran des rayures et des chocs. L'offre groupée "liseuse plus housse moins 20 €" rend l'ensemble encore plus attractif.
L'autonomie de ces liseuses atteint plusieurs semaines, même en lisant intensivement. On oublie le stress de la batterie qui lâche au moment crucial de l'intrigue. Et contrairement à une tablette, la liseuse n'envoie pas de notifications, n'affiche pas de publicités, ne propose pas de scrolls infinis sur les réseaux sociaux. Elle fait une chose, et elle la fait bien : donner à lire.
Pour ceux qui hésitent encore, sachez que la plupart des liseuses permettent d'emprunter des livres numériques en bibliothèque gratuitement. L'investissement initial se rentabilise rapidement quand on dévore deux livres par semaine.
Casques audio, enceintes Bluetooth, accessoires pour smartphones et tablettes, objets connectés, produits Apple : le rayon high-tech de Cultura se densifie d'année en année. On y trouve aussi bien des produits d'entrée de gamme pour les budgets serrés que des références premium pour les technophiles exigeants.
Ces promotions tombent à point nommé pour ceux qui veulent éviter la ruée de décembre. Les stocks sont encore fournis, les délais de livraison raisonnables, et on peut prendre le temps de comparer tranquillement sans stress. Certaines références populaires disparaissent vite des rayons en pleine période de fêtes. Anticiper devient une stratégie payante.
Pourquoi acheter chez Cultura ?
Au-delà du catalogue, Cultura mise sur l'expérience d'achat. Les conseillers connaissent leurs produits et peuvent orienter selon les goûts du destinataire. Difficile de faire ce choix en ligne sans un minimum d'expertise. On peut toucher, feuilleter, tester avant d'acheter. Vérifier le confort de port d'un casque, le poids d'une liseuse, manipuler un jeu de société pour en évaluer la complexité.
Le programme de fidélité permet d'accumuler des points sur chaque achat, réutilisables ensuite pour réduire la facture. Quand on fait tous ses cadeaux de Noël au même endroit, ça finit par compter sérieusement. Les emballages cadeaux proposés en magasin évitent aussi cette corvée du papier cadeau maison qui ressemble invariablement à un paquet fait par un enfant de cinq ans.
Le retrait en magasin combine les avantages de l'achat en ligne et du magasin physique. On commande tranquillement depuis son canapé, on récupère rapidement sans attendre la livraison, et on évite les files d'attente aux caisses.
Composer son panier de Noël
Cette année, pas besoin de se creuser la tête pendant des heures. Cultura a déjà fait le tri dans chaque univers. Reste à choisir selon les personnes à gâter !
L'avantage de Cultura, c'est justement cette capacité à satisfaire tous les profils sous un même toit. Du technophile au créatif manuel, du lecteur assidu au mélomane passionné, chacun trouve son bonheur. Et on évite de multiplier les enseignes, les commandes, les retraits.
Pour une réception garantie avant Noël, Cultura assure les livraisons jusqu'au 24 décembre selon le mode de transport sélectionné. Pensez à vérifier les dates limites de commande propres à chaque transporteur lors de votre achat !
Il y a un peu plus d’un an, Apple dévoilait l’Apple Watch Series 10, une montre plus élégante pour deux raisons : son boîtier était affiné et elle était proposée dans une nouvelle finition brillante, le noir de jais. Le métal utilisé est le même que sur les autres finitions d’entrée de gamme, mais l’aluminium est ici poli, ce qui lui confère un aspect brillant. Un an après, comment ce modèle a-t-il vieilli ?
L'Apple Watch Series 10 noir de jais telle que présentée par Apple.
La question de la durabilité se pose, car peu de temps après sa commercialisation, des acheteurs ont signalé l’apparition de micro-rayures. En fait, cette finition remémore forcément l’iPhone 7 jet black (noir de jais, donc), connu à la fois pour son aspect chic et pour sa sensibilité aux traces de doigts comme aux marques superficielles.
Un utilisateur a récemment rapporté sur Reddit que sa Series 10 présentait des signes de « corrosion » et qu’Apple lui avait proposé un échange gratuit. D’autres témoignages font état d’un revêtement qui peut s’écailler.
Une Series 10 noir de jais qui s’écaille. Image justinmeijernl (Reddit).
Si ces cas existent, il ne faut pas en faire une généralité. En réponse à ces témoignages malheureux, d’autres clients affirment au contraire que leur montre est restée impeccable. C’est également notre constat : notre Series 10 noir de jais, utilisée depuis sa sortie, n’a pas bougé.
Entre l’iPhone 7 et cette Apple Watch, Apple a revu sa copie : la finition brillante du téléphone était le résultat d’un procédé d’anodisation et de polissage en sept étapes, tandis que le boîtier de la montre passe par un processus en trente étapes.
L’Apple Watch Series 10 de MacGeneration, toujours intacte un an après. Image WatchGeneration.
L’Apple Watch Series 10 noir de jais est peut-être plus sensible que les autres finitions en aluminium, mais elle semble moins fragile que l’iPhone 7 en son temps. D’ailleurs, Apple a reconduit cette finition spéciale sur la Series 11, preuve d’une certaine confiance. L’iPhone 8 n’a, lui, jamais connu le jet black.
Si vous possédez une Series 10 ou une Series 11 noir de jais, quel est l’état de votre montre aujourd’hui ?
Dans les vieux Macintosh, une des causes de mort prématurée n'est pas un disque dur qui arrête de fonctionner ou la panne d'un composant, mais l'explosion de la pile ou (tout simplement) une pile qui coule. Dans de nombreux Macintosh, l'heure et les quelques données nécessaires pour démarrer correctement sont stockées dans une mémoire de type NVRAM. Pour garder les données, elle doit être alimentée, et c'est généralement une pile de type LS14250 (demi AA) qui est employée. Le problème, c'est que certains modèle peuvent littéralement exploser avec le temps (en expulsant des composés qui rongent ensuite la carte mère au passage) et que d'autres tendent à perdre des électrolytes, ce qui donne le même résultat.
Les dégâts d'une explosion. Image This Does Not Compute.
Une fois qu'une pile a coulé, la carte mère est souvent inutilisable, sauf si vous remarquez assez vite les dégâts. Heureusement, il existe une solution : remplacer la batterie d'origine par une simple pile CR2032. Ce type de pile a beaucoup moins tendance à couler, et elles se trouvent très facilement. Il existe quelques designopen source pour des adaptateurs, et Kero (spécialisé dans les composants pour les vieux Mac) a décidé d'améliorer les versions classiques. Sa version, qui va être proposé sur sa boutique en ligne, améliore trois points.
L'adaptateur. Image Kero.
Le principe reste le même : un petit circuit imprimé pensé pour s'insérer dans un emplacement dédié à une LS14250, avec un support pour une pile CR2032. Il a d'abord ajouté un emplacement optionnel pour un condensateur. Sur certains Macintosh II, la pile intervient dans le mécanisme qui permet d'allumer et d'éteindre le Mac sans passer par un interrupteur physique (soft power) et le condensateur stabilise ces modèles. La seconde amélioration est une finition avec des contacts dorés, qui améliorent les contacts (et c'est plus important que pour des câbles audio). La troisième est la possibilité d'installer des supports pour éloigner l'adaptateur de la carte mère et simplifier le changement de pile. Il faut noter que l'adaptateur peut être placé parallèlement à la carte mère ou perpendiculairement, et qu'un support imprimé en 3D existe pour bien fixer le tout.
Une ancienne version du design. Image MacGeneration.
Notons enfin, pour ceux qui connaissent les Macintosh, que les piles LS14250 utilisées habituellement ont une tension de 3,6 V alors que les CR2032 sont à 3,2 V au départ. Mais les circuits des Mac sont capables de fonctionner avec une tension qui descend jusqu'à 3 V, et c'est documenté chez Apple. Une pile CR2032 devrait fonctionner environ quatre à huit ans (en fonction de vos usages), contre une quinzaine d'années avec une pile classique… mais sans les risques d'explosion et de destruction de la carte mère.
Connaissez-vous Linus Sebastian ? Ce vidéaste canadien a lancé sa chaîne YouTube Linus Tech Tips il y a de longues années, et est devenu un spécialiste dans le domaine des nouvelles technologies. Et connaissez-vous Linus Torvalds ? Ce développeur finlandais a décidé, en 1991, de concevoir son propre système d'exploitation compatible UNIX, qu'il a nommé Linux. Et bien ces deux stars sont réunies dans une vidéo.
Le premier va en effet monter un PC pour le second, et le tester. La vidéo dure près d'une heure, et elle explique certains des choix de Linus (celui de Linux). Premièrement, il a évidemment besoin d'un processeur puissant, avec de nombreux cœurs pour s'occuper de la maintenance du noyau Linux. C'est un Threadripper 9960X qui a été choisi. Il s'agit d'un modèle doté de 24 cœurs (48 threads), l'équivalent professionnel des Ryzen. Ce n'est pas le plus puissant de la gamme, tout simplement car le but est d'avoir un PC à peu près discret en évitant les modèles dotés d'un TDP trop élevé. Pour la mémoire, Linus a imposé de la mémoire vive ECC, c'est-à-dire avec de la correction d'erreur. Il a une opinion très tranchée sur le sujet et considère que c'est très important pour éviter les erreurs, même si les causes ne sont pas nécessairement les rayons cosmiques. La mémoire ECC est plus onéreuse, mais pour compiler et tester le noyau Linux, encore une fois, c'est important.
Linus et Linus.
Le SSD est un modèle assez classique, un Samsung 9100 Pro de 2 To, tout comme le boîtier, un Fractal Design Torrent. La carte graphique est un modèle Intel Arc B580, pour une bonne raison1 : Intel a de bons pilotes et Linus veut brancher deux écrans 6K (dont l'Asus PA32QCV que nous avons testé). Pour le processeur, le système de refroidissement est un Noctua haut de gamme, équipé de deux ventilateurs et pensé pour le processeur AMD. Ils n'ont pas installé un système de refroidissement liquide, car Linus a peur de la fiabilité (et des fuites) mais — surtout — n'aime pas le bruit de gargouillis de certains watercooling.
En plus de montage du PC de Linus par Linus, vous verrez aussi des anecdotes sur Linus et vous apprendrez aussi quel système d'exploitation Linus utilise (on vous laisse deviner). Bon visionnage.
Non, ce n'est pas parce qu'il n'aime pas Nvidia (enfin, pas totalement). ↩︎
Alors que les achats de Noël ont commencé, Revolut déploie une nouvelle fonction de sécurité pour réduire les risques liés aux vols à l’arraché ou aux agressions. Partant du principe que certains malandrins tentent d’effectuer des virements lorsqu’ils arrivent à voler un téléphone déverrouillé, la banque en ligne introduit un « mode rue » qui ajoute une couche de protection quand on se trouve à l’extérieur.
Image Revolut
Une fois activé, ce mode permet de définir des lieux de confiance. En dehors de ces zones, le mode rue s’enclenche et impose une vérification d’identité supplémentaire pour les virements dépassant un certain montant, ainsi qu’un délai d’une heure. Pour activer cette nouveauté, plusieurs étapes sont nécessaires :
activer la Protection des avoirs dans la section Sécurité du profil ;
définir une limite de virement ;
activer le mode rue ;
puis définir les lieux de confiance.
À l’intérieur de ces lieux de confiance, les utilisateurs peuvent effectuer des virements au-delà de la limite fixée après une vérification d’identité qui est traitée immédiatement. En dehors de ces zones, en plus du contrôle d’identité initial, les virements sont retardés d’une heure et soumis à une vérification supplémentaire par selfie après ce délai d’une heure.
Ce mode rappelle une protection intégrée à iOS. Depuis iOS 17.3, il est possible d’activer la « Protection en cas de vol de l’appareil », qui empêche un forban d’effectuer certaines actions sensibles sur l’iPhone (utiliser des mots de passe enregistrés, désactiver le mode Perdu…) même s’il connaît le code de sa victime. Ce filet de sécurité s’active en bas de Réglages > Confidentialité et sécurité.
Revolut propose plusieurs offres, qui vont du compte gratuit avec plusieurs limitations (retraits gratuits dans la limite de 200 €/mois, par exemple) jusqu’à la formule Ultra à 55 €/mois incluant une carte plaquée platine, diverses assurances et d’autres services premium.