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Reçu hier — 21 novembre 2025 MacG.co

« Far West » des réseaux sociaux selon Macron : le constat est là, mais quelles solutions concrètes ?

21 novembre 2025 à 22:00

Emmanuel Macron a remis une pièce dans la machine en dénonçant une nouvelle fois le « far-west » des réseaux sociaux. L’expression n’est pas nouvelle, la préoccupation non plus, mais elle revient dans un contexte où l’espace numérique continue d’évoluer à une vitesse que la politique peine à suivre. Entre ingérences, désinformation et protection des mineurs, le Président veut afficher une fermeté retrouvée. Reste que le numérique d’aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec l’Internet des années 2010 : les problèmes ne se situent plus seulement dans les contenus, mais profondément dans la mécanique des plateformes elles-mêmes.

L’un des principaux soucis, c’est que c’est le pays de l’homme de droite qui détient les clés pour faire plier les réseaux sociaux. L’homme de gauche ne pourra rien faire sans. Image domaine public.

C’est là que le discours présidentiel semble marquer le pas. Parler de « loi du plus fort » et de dérives incontrôlées a une force symbolique, mais réduit un écosystème extraordinairement complexe à un western de série B. Les grandes plateformes ne fonctionnent plus comme des places publiques avec quelques énergumènes à maîtriser ; ce sont des usines à données, propulsées par des algorithmes qui optimisent avant tout l’attention, parfois au détriment du bon sens. À ce niveau-là, ce n’est pas un shérif qu’il faut, mais une équipe d’ingénieurs capables de comprendre ce qui se passe dans les entrailles du monstre.

La question de la désinformation illustre parfaitement ce décalage. Macron y voit un défi démocratique majeur, ce qu’il est, mais il le présente encore comme un problème de contenus nuisibles circulant librement. La réalité est plus sournoise : la désinformation est devenue une conséquence structurelle du modèle même des plateformes. Quand un système de recommandation valorise la provocation parce qu’elle génère plus de temps d’écran, quand la modération repose pour l’essentiel sur des filtres automatisés dont personne — pas même leurs concepteurs — ne maîtrise totalement les effets secondaires, on ne peut pas espérer régler le problème avec un simple serrage de vis réglementaire. Ce serait comme demander à une plateforme vidéo de moins promouvoir le sensationnalisme tout en conservant un modèle publicitaire qui en dépend. Le cœur du système pousse dans une direction ; la politique lui demande d’aller dans l’autre.

Le Président revient aussi sur la protection des mineurs et la fameuse « majorité numérique ». Là encore, l’intention est difficile à critiquer. Mais l’efficacité réelle reste sujette à caution. Les plateformes ont inventé depuis longtemps l’art de la contournabilité : inscription via comptes tiers, accès par VPN, serveurs privés, tout concourt à rendre ces garde-fous largement théoriques. La vraie dépendance, celle qui joue sur la dopamine et les boucles de recommandation, ne disparaît pas parce qu’on fixe une limite d’âge. Et d’ailleurs, elle ne concerne pas seulement les adolescents ; les adultes s’y font happer avec la même facilité.

Si l’Europe est petite face à des géants comme les USA ou la Chine, la France seule est encore plus petite. Image France Diplomatie, CC0.

Au chapitre de la souveraineté numérique, le discours affiche de l’ambition, mais les matériaux manquent. L’idée de reprendre le contrôle sur les géants du numérique revient régulièrement, mais sans politique industrielle cohérente derrière. L’Europe fabrique peu de matériel, n’opère pas de grandes plateformes sociales, ne possède pas d’alternative solide aux infrastructures publicitaires américaines, et accuse encore un retard notable sur les LLM destinés au grand public. On peut toujours imaginer une Europe pesant réellement sur le numérique mondial, mais le chemin pour y parvenir n’est jamais évoqué concrètement dans ces interventions politiques.

Ce qui frappe, au final, c’est le décalage entre la gravité du constat — réel — et la nature des réponses proposées, qui donnent parfois l’impression de s’attaquer aux symptômes plutôt qu’à l’architecture de fond. Le débat public est saturé, les campagnes électorales sont parasitées, la polarisation augmente : tout cela est vrai. Mais il devient difficile de prétendre résoudre ces dynamiques sans toucher aux mécanismes qui les fabriquent, à savoir les modèles de recommandation, les algorithmes d’amplification ou les systèmes de modération automatisée.

La croisade présidentielle a le mérite de remettre le sujet sur la table. Mais si l’on veut sortir du « far-west », il faudra peut-être accepter que le vrai travail se situe très loin des tribunes politiques, dans les logs, les datasets et les architectures des systèmes qui façonnent — bien plus qu’un discours — ce que voient des millions de citoyens chaque jour.

TeamGroup présente un SSD externe avec bouton d’autodestruction. Si si.

21 novembre 2025 à 21:00

Vous avez des envies irrépressibles de vous prendre pour un agent secret ? Ou mieux, vous en êtes un, transportant des fichiers confidentiels de Londres à New York, en passant par Moscou (sacré détour au passage) ? TeamGroup a le SSD qu’il vous faut, afin de parer à toute éventualité.

Si la marque ne vous dira pas grand chose, c’est pourtant dans le plus grand silence l’un des plus gros fournisseurs de mémoire dans le monde : créée en 1997 à Taïwan, elle fait partie des dix plus grandes entreprises du domaine. Elle a divisé ses activités en trois groupes distincts, avec TeamGroup pour le grand public, T-Force pour les gamers, et T-Create pour les objets un peu plus exotiques. C’est cette dernière division qui nous intéresse aujourd’hui.

Vous avez peur pour vos données ? TeamGroup lance un SSD qui peut s

Vous avez peur pour vos données ? TeamGroup lance un SSD qui peut s'autodétruire

L’objet du délit est un SSD externe d’un type un peu particulier, qui vient compléter celui interne qu’on a déjà vu en juillet : il est doté d’un bouton qui, une fois appuyé, va détruire de manière irrémédiable les données présentes sur les puces de mémoire. La méthode est radicale, et irréversible : si le bouton est pressé alors que le SSD est branché à un ordinateur, le mécanisme en place va s’assurer de la destruction de toute la puce, supprimant définitivement les données présentes, et transformant le SSD en joli presse-papier.

Le souci d’un SSD externe, contrairement à son pendant interne, reste qu’un bouton... ça s’appuie par mégarde, surtout si le boîtier se balade dans un sac. Pour éviter toute manipulation malencontreuse, le mécanisme de destruction n’opère que s’il est branché à un ordinateur. De plus, pour pouvoir enclencher la mise à mort de la puce mémoire, il faut non seulement enfoncer le bouton avec une certaine force, mais aussi le glisser vers le haut.

Disponible dans quelques semaines en version 256 GB, 512 GB, 1 TB ou 2 TB, l’entreprise n’a pas encore indiqué les tarifs auxquels elle compte placer ses SSD pour James Bond et autres Ethan Hunt en herbe. Reste que le P35S n’est pas un SSD externe que l’on peut conseiller à tout le monde : avec une telle tentation placée en plein milieu du boîtier, le risque est grand de voir un bambin, un collègue un peu taquin, ou une personne curieuse appuyer sur le bouton...

Un boîtier en carbone pour Apple Watch, pour lui donner l’air d’une grande

21 novembre 2025 à 20:30

Vous en avez marre du design de votre Apple Watch ? Ou vos amis en soirée vous ont fait comprendre que « pas assez cher, mon fils » ? La société suédoise Golden Concept a probablement la solution pour vous : le boîtier Crown Sport Carbon, qui vient métamorphoser une Apple Watch Series 10 ou 11 en chrono sportif.

Tout en noir, le boîtier est plutôt bien dessiné. Image Golden Concept.

Comme son nom l’indique, la Crown Sport Carbon est entièrement en... carbone (on suit, au fond !). Utilisant de la fibre de carbone en couches compressées les unes au-dessus des autres, elles permettent non seulement une solidité assez surprenante pour le poids, mais en plus lui donnent un design unique, chaque couche dessinant des courbes spécifiques à chaque pièce.

Afin de mimer au mieux un chrono classique, le boîtier est muni d’une couronne et de deux poussoirs. Si le design est ainsi respecté, ce n’est pas pour autant que chaque élément a une fonction spécifique : la couronne transmet bien les mouvements et le clic à la couronne d’origine de l’Apple Watch, mais les poussoirs bien qu’au nombre de deux ont la même fonction que l’on appuie sur celui du haut ou celui du bas, l’Apple Watch n’ayant qu’un seul bouton en plus de la couronne. L’idée ici est de proposer un design classique, plus que d’avoir une utilité parfaite.

La couronne sert de verrou pour la lunette, qui s’ouvre pour déposer l’Apple Watch dans le boîtier. Image Golden Concept.

La couronne a une seconde fonction, bien pratique : si elle est tirée par l’utilisateur, elle ouvre alors la lunette qui pivote alors sur un axe latéral, permettant de glisser l’Apple Watch dans le boîtier. Les fonctions d’origine de la montre sont respectées, le fond laissant passer les capteurs de l’Apple Watch sur le poignet.

Bon, c’est bien beau, mais combien ? Pour pouvoir se la jouer jet-set dans les soirées de l’ambassadeur avec une « simple » Apple Watch, ou tout simplement par envie de changement, il va falloir sortir les billets : à 800 € le boîtier, sans compter le bracelet si vous voulez prendre la complète avec un bracelet métal en PVD noir du plus bel effet, l’emballage finit par coûter plus cher que la montre elle-même... mais quand on aime, on ne compte pas. Non ?

iFixit se penche sur la prise USB-C imprimée en 3D de l'iPhone Air

21 novembre 2025 à 19:17

Dans un communiqué laudatif d'Apple sur la technologie d'Apple mise en place pour la fabrication des Apple Watch, on apprenait que le module qui contient la prise USB-C de l'iPhone Air est imprimé en 3D. iFixit en a profité pour se pencher sur le sujet. Ou plus exactement, pour publier sur le sujet, car le communiqué d'Apple a confirmé leur analyse.

La pièce, au centre. Image iFixit.

Dans l'article, iFixit explique donc que la prise USB-C (au sens large, le module de connexion) est imprimée en 3D, à partir de poudre de titane et avec un procédé additif : la pièce se compose de différentes couches de titane. Ils rappellent ce qu'Apple indique par ailleurs : cette solution réduit les déchets par rapport à la technique classique, qui consiste à forger le métal. C'est donc intéressant d'un point de vue économique et écologique.

Le titane, zoomé. Image iFixit.

Une vue au microscope de la pièce montre une structure assez étonnante, qui ressemble aux maillons d'une chaîne. Nos confrères indiquent que c'est le résultat de l'usage de plusieurs lasers par Apple, et que la technique a notamment été employée pour ajouter des propriétés antibactériennes au titane dans des prothèses. Ce n'est pas le cas ici (ni a priori sur les Apple Watch) : les maillons de 30 µm sont trop gros.

Le cas du titane d'Apple

Apple parle de titane de qualité aérospatiale sur son site, mais ce n'est pas une spécification réellement employée dans l'industrie. L'alliage employé par Apple est selon eux du Ti-6Al-4V qui n'est habituellement pas employé dans le domaine spatial. Un expert indique que sa composition suggère qu'Apple récupère les déchets de sa propre production et ajoute du ferrochrome pour produire l'alliage employé pour l'impression 3D, qui est donc 100 % recyclé.

Les avantages selon Apple. Image Apple.

Nos confrères, spécialisés dans le domaine de la réparation, pointent une chose : Apple met en avant l'impression 3D, mais ce n'est pas celle à laquelle vous pensez. La solution d'Apple n'est pas là pour permettre à une personne d'imprimer ses pièces en 3D, Apple ne fournit pas les plans et la technologie est totalement différente de ce qu'une personne peut avoir chez elle. C'est une prouesse technique intéressante, mais elle ne change rien à la réparabilité des iPhone.

Une ode à l

Une ode à l'impression 3D des boîtiers d'Apple Watch en titane

Grosses réductions sur les aspirateurs robots de Dreame, avec la compatibilité Matter en vue

21 novembre 2025 à 18:58

Comme tous les autres fabricants d’aspirateurs robots, Dreame fait des réductions significatives sur ses produits à l’occasion du Black Friday. La marque chinoise s’est rapidement fait une place sur le marché avec des appareils performants proposés à des tarifs compétitifs.

Preuve en est avec le Dreame L40s Pro Ultra (oui, les noms des aspirateurs, c’est quelque chose). Actuellement en promotion à 584 € (- 17 %), le prix le plus bas à ce jour, il aspire et lave très bien, y compris dans les coins. Il navigue d’autant mieux dans la maison qu’il peut franchir les obstacles faisant jusqu’à 4 cm. Pour couronner le tout, il jouit d’une autonomie confortable et d’un entretien simplifié. Il a été noté 5/5 par nos confrères des Numériques.

Dreame L40s Pro Ultra

Le Dreame X50 Ultra Complete est, lui, en promotion à 899 € (- 17 %), là aussi un prix jamais vu. C’est essentiellement une version plus puissante en matière d’aspiration (20 000 Pa contre 19 000) et plus endurante (4,5 h contre 3,5). Et il est capable de franchir des obstacles jusqu’à 6 cm.

Dreame X50 Ultra Complete

On peut également relever le Dreame Aqua10 Ultra Roller, au tarif record de 999 € (- 23 %). Ce modèle-là se démarque par une puissance d’aspiration encore plus élevée (30 000 Pa) et un rouleau de lavage unique (qui se relève automatiquement quand nécessaire) à la place de serpillières rotatives. De plus, sa station très complète simplifie l’entretien. Il a été noté 4/5 chez nos confrères.

Dreame Aqua10 Ultra Roller

Dreame a promis une mise à jour ajoutant la prise en charge de Matter pour ces aspirateurs. Cela signifie qu’à terme il sera possible de les intégrer dans l’application Maison d’Apple, pour les commander avec Siri ou les inclure dans des automatisations. En attendant, le contrôle se fait via l’app du fabricant.

Comment les aspirateurs robots Matter prennent leurs quartiers dans la Maison d’Apple

Comment les aspirateurs robots Matter prennent leurs quartiers dans la Maison d’Apple

Black Friday : les très bons produits de Sonos sont en promo, dont le casque Ace à un prix jamais vu

21 novembre 2025 à 18:00

Les principaux produits de Sonos sont en promotion durant le Black Friday, notamment le casque Ace au tarif record de 299 €. Il avait été lancé mi-2024 à 499 €, avant de voir son prix légèrement raboté faute de succès commercial. Mais 299 €, c’est une première et cela le rend très intéressant.

Sonos Ace. Image Sonos.

Car le Sonos Ace est un excellent casque, qui dispose d’une bonne qualité de fabrication, d’une autonomie confortable, d’un son chaleureux et d’une réduction de bruit active efficace. Les détenteurs d’une barre de son Sonos peuvent en plus transférer très simplement l’audio vers lui. Plus d’infos dans notre test :

Test du casque Sonos Ace : tout vient à point à qui sait entendre

Test du casque Sonos Ace : tout vient à point à qui sait entendre

Ce produit est en promotion à 299 € un peu partout : Amazon, Fnac, Boulanger, boutique Sonos… Notez qu’en ce moment la Fnac offre 10 € en cagnotte à ses adhérents tous les 100 € d’achat.

Enceintes

Nous apprécions de manière générale les enceintes et barres de son Sonos car elles offrent une très bonne qualité sonore, un fonctionnement multiroom simple et une compatibilité avec AirPlay 2 — et Spotify Connect, ça compte aussi.

Lancé il y a deux ans à 279 €, la Sonos Era 100 est à seulement 189 € durant le Black Friday. Il s’agit d’une des meilleures enceintes connectées du marché. Sa qualité audio est excellente et l’effet stéréo a été amélioré par rapport à la précédente Sonos One.

Sonos Era 100. Image Sonos.

L’application du fabricant (qui intègre de nombreux services musicaux, dont Apple Music) est pratique quand on a des enceintes Sonos disséminées dans les quatre coins de la maison, mais elle n’est pas indispensable pour autant. On peut très bien diffuser de la musique en AirPlay 2, Spotify Connect ou même en Bluetooth. Cette dernière option est surtout utile pour les invités qui n’ont pas le code Wi-Fi du domicile.

La Era 100 accepte un bon vieux branchement filaire : son port USB-C est pensé pour recevoir un adaptateur jack 3,5 mm. On a aussi la possibilité de la commander vocalement grâce à Alexa ou la fonction maison Sonos Voice Control. L’enceinte peut s’utiliser individuellement, en couple pour de la vraie stéréo ou bien encore au sein d’une configuration home cinema avec d’autres produits Sonos.

Test de la Sonos Era 100 : la petite One a bien grandi

Test de la Sonos Era 100 : la petite One a bien grandi

La Era 300 est le modèle au-dessus, apportant beaucoup plus de puissance et une compatibilité avec l’audio spatial d'Apple Music. Elle est en promotion à 390 € au lieu de 499 €.

Test de la Sonos Era 300 : la première enceinte tierce compatible avec l’audio spatial sur Apple Music

Test de la Sonos Era 300 : la première enceinte tierce compatible avec l’audio spatial sur Apple Music

Sonos fait aussi des enceintes nomades, fonctionnant sur batterie, qui se connectent en Bluetooth ou en Wi-Fi — ce dernier mode permet une utilisation multiroom facile. Il y a la petite Roam 2 à 159 € (- 20 %) et la grosse Move 2 à 390 € (- 20 %).

Barres de son

Côté barres de sons, la compacte Sonos Ray est en promotion à 179 € (- 22 %). C’est là aussi un des prix les plus bas à ce jour. Elle convient très bien pour améliorer le son d’un petit téléviseur. Elle gère le PCM stéréo, le Dolby Digital 5.1 et le DTS Digital Surround.

Sonos Beam Gen 2. Image Sonos.

Pour une pièce plus grande et plus d’ampleur, la Sonos Beam Gen 2 est disponible à 369 € (- 25 %). Non seulement elle a plus de coffre que la Ray, mais elle prend en charge le Dolby Atmos. Pour les très grands salons, la Sonos Arc Ultra est à 799 € (- 19 %).

Et pour avoir un système home cinéma digne de ce nom, il y a le caisson de basse Sonos Sub Mini à 390 € (- 22 %) ou bien le grand modèle Sonos Sub 4 à 719 € (- 19 %).

Tous nos tests sont ici :

Test de la Sonos Ray : une barre de son petite mais vaillante

Test de la Sonos Ray : une barre de son petite mais vaillante

Test de la Sonos Beam (Gen 2) : un concentré de son en barre

Test de la Sonos Beam (Gen 2) : un concentré de son en barre

Test de la Sonos Arc Ultra : de l’ultra grand spectacle

Test de la Sonos Arc Ultra : de l’ultra grand spectacle

Des claviers pour iPad en promotion, moins onéreux que ceux d'Apple

21 novembre 2025 à 17:30

Pour le Black Friday, quelques claviers pour iPad sont en promotion, et ils sont bien moins chers que les Magic Keyboard d'Apple. Le premier est le Combo Touch de Logitech, pour les iPad Air 13 pouces (M2 et M3). Compte tenu du format, il devrait aussi fonctionner sur les iPad Pro 13 pouces M1 ou M2. Il est à 191 € en promotion au lieu de 260 €. Ce clavier se rabat sur l'écran et intègre un trackpad, très pratique. La version pour les iPad M2 et M3 ainsi que les iPad Air précédents est à 160 € au lieu de 230 €.

Le Combo Touch.

Toujours chez Logitech, le Combo Touch pour les iPad de 10e et 11e génération (l'actuel) est à 118 € au lieu de 180 €. Pour les iPad plus anciens (de la 7e à la 9e génération), il existe aussi un Combo Touch. Il n'est pas en promotion stricto sensu, mais Amazon le vend 140 €, contre 180 € en prix public. Pour les iPad 10 et 11, le Logitech Slim Folio — sans trackpad — est en promotion à 74 € au lieu de 120 €. Il suffit soit d'utiliser l'écran tactile, soit de connecter une souris Bluetooth.

Le Slim Folio.
Test du Logitech Combo Touch pour iPad Pro : un combo gagnant

Test du Logitech Combo Touch pour iPad Pro : un combo gagnant

Belkin a aussi sa version, qui est à 75 € au lieu de 110 € pour les iPad Air 10 et 11 pouces, avec un trackpad. La version pour les iPad 10 et 11 est à 81 €. Toujours chez Belkin, la copie du Magic Keyboard, avec un iPad qui flotte au-dessus du clavier, est à 120 € en promotion pour les iPad Pro M1 et M2 et les iPad Air M2 et M3 de 13 pouces. La variante pour les iPad Pro M4 et M5 est à 120 € aussi (13 pouces) et celle pour les iPad Pro M4 et M5 de 11 pouces est à 100 €. Enfin, celle pour les iPad 10 et 11 est à 95 €.

Chez Belkin.

On peut aussi noter que le Magic Keyboard pour les iPad Air 11 pouces et les iPad Pro 11 pouces (avant les M4) est en promotion. Mais même dans ce cas, le prix reste élevé : 287 € au lieu de 350 €.

Qualité du réseau mobile : Orange domine à nouveau en 2025

21 novembre 2025 à 16:12

Le match du meilleur réseau mobile se joue à quatre opérateurs et à la fin, c’est Orange qui gagne. Pour la 15e année consécutive, l’opérateur historique arrive globalement en tête des mesures de qualité de service réalisées par l’ARCEP. Si les résultats de la campagne 2024 avaient été exceptionnellement décalés en raison d’une incohérence technique sur un point, les graphiques de 2025 sont dès à présent publiés.

Pour déterminer la qualité des réseaux des quatre opérateurs, l’ARCEP a mené plus d’un million de mesures entre juin et août dans tous les départements métropolitains. Bien qu’Orange domine l’ensemble du classement, il reste instructif d’observer, catégorie par catégorie, la manière dont chaque opérateur se défend.

Appels

Les appels en qualité parfaite, c’est-à-dire maintenus pendant deux minutes et sans perturbation audible, constituent le premier indicateur. Au niveau national, Orange atteint 91 %, devant Bouygues Telecom (88 %) et SFR (87 %), tandis que Free Mobile ferme la marche avec 84 %. Orange arrive également en tête dans les trois types de zones : denses, intermédiaires et rurales.

Taux de communications réussies deux minutes sans perturbations audibles par opérateur et par zone. Graphique ARCEP.

En 2025, une seconde application a été intégrée aux mesures afin de refléter les usages réels, en l’occurrence WhatsApp. Dans ce domaine, Orange atteint 82 %, Free 80 %, et SFR comme Bouygues 77 %.

Pour la réception d’un SMS en moins de dix secondes, les résultats sont très resserrés : Orange affiche 96 %, Bouygues 94 %, et SFR et Free 93 %.

Internet mobile

Pour évaluer la qualité d’internet mobile, le régulateur s’appuie sur trois seuils :

  • 3 Mbit/s : navigation web, usages peu exigeants ;
  • 8 Mbit/s : usages courants, notamment la vidéo ;
  • 30 Mbit/s : usages avancés, outils professionnels ou collaboratifs.

En zones denses, Bouygues Telecom se place en tête sur le seuil minimal de 3 Mbit/s et fait jeu égal avec Orange pour les seuils supérieurs de 8 et 30 Mbit/s. En zones intermédiaires et rurales, Orange devance ses concurrents sur les trois paliers.

Taux de mesures de débits descendants supérieurs aux seuils de 3 Mbit/s (gauche), 8 Mbit/s (centre) et 30 Mbits/s (droite) par opérateur et par zone (rurale, intermédiaire, dense). Graphique ARCEP.

Concernant les débits montants, en zones denses, Orange atteint 34 Mbit/s, devant Bouygues (27 Mbit/s), SFR (25 Mbit/s) puis Free (20 Mbit/s). En zones rurales, les débits montants moyens sont de 14 Mbit/s pour Orange, 11 Mbit/s pour SFR, 9 Mbit/s pour Bouygues et 8 Mbit/s pour Free.

En usage concret, pour regarder une vidéo en streaming, les résultats sont très bons pour tout le monde. En zones denses, Orange et Bouygues Telecom affichent 97 % de vidéos visionnées sans interruption notable, devant SFR (95 %) et Free Mobile (94 %).

Sur les axes de transport

Sur les routes, pour les appels réussis et maintenus pendant deux minutes, Orange affiche 95 %, devant Bouygues et SFR (94 %), puis Free (92 %). Dans les trains, les écarts se creusent : Orange atteint 74 % de communications maintenues dans les TGV, assez loin devant Free (61 %), puis Bouygues Telecom (58 %) et SFR (56 %).

Pour l’internet mobile le long des axes, Orange reste en tête : 90 % de pages web affichées en moins de cinq secondes, devant Free (87 %) et Bouygues et SFR (86 %). Dans les TGV, Orange conserve l’avantage : 70 % des pages se chargent en moins de cinq secondes, contre 63 % pour Free Mobile et SFR, ex aequo, et 61 % pour Bouygues Telecom.

Enfin, dans les métros, les quatre opérateurs affichent un très bon niveau de performance : Orange atteint 95 %, SFR et Bouygues Telecom 94 %, Free Mobile 91 %.

Taux de pages web chargées en moins de cinq secondes par opérateur et par transport. Graphique ARCEP.

Pour conclure

Orange est donc le grand vainqueur une année de plus, ce que l’opérateur n’a pas manqué de célébrer avec un communiqué de presse triomphant : « Orange arrive 1er ou 1er ex aequo sur 251 des 258 indicateurs mesurés, couvrant l’ensemble des usages et des territoires. »

Mais ses concurrents ne se laissent pas démonter et trouvent chacun un motif de satisfaction. Ainsi, Iliad note que « pour les usages, Free se classe à la 1ère ou 2ème place ex aequo » sur de nombreux indicateurs. Chez SFR, qui pourrait bien se faire manger par les trois autres, on se félicite d’un « progrès » et revendique le 2e meilleur réseau mobile en zones moins denses. Et chez Bouygues, on met en avant son statut de n°1 ou n°1 ex aequo en zones denses sur plusieurs critères importants.

Il va sans dire que ce classement demeure un indicateur très global de la qualité des réseaux mobiles. D’une zone à l’autre, les vérités ne sont pas les mêmes. C’est précisément pour cela que l’Arcep met à disposition Mon réseau mobile, qui permet de comparer, lieu par lieu, la couverture et la qualité du réseau de chaque opérateur.

Quel est le meilleur opérateur pour les utilisateurs d’iPhone ?

Quel est le meilleur opérateur pour les utilisateurs d’iPhone ?

De nombreux PC Dell et HP privés du codec HEVC, dont la licence est trop onéreuse

21 novembre 2025 à 16:00

Le codec HEVC (H.265) fait encore parler de lui : après Synology qui a décidé de ne plus payer la licence pour certains NAS, c'est au tour de HP et Dell de s'en passer sur certains de leurs PC portables. Par défaut, le codec est désactivé, tout comme l'accélération matérielle, car les deux marques ne veulent plus payer la licence pour le codec de la famille MPEG.

Pas de HEVC pour Dell et HP.

Le codec HEVC est géré par l'association MPEG LA et les fabricants de matériels doivent payer une licence pour décoder les vidéos dans ce format. En 2025, il est malheureusement largement employé, notamment par les services de streaming, et si vous n’avez pas le nécessaire sur votre ordinateur, vous pouvez donc vous retrouver avec une page blanche (enfin, une image noire).

La pratique habituelle (c'est celle d'Apple) est de payer la licence et de préinstaller les fichiers nécessaires. Si vous avez un PC de grande marque que vous avez réinstallé, il est en général possible de (ré)installer la version spécifique du codec sur le Microsoft Store, mais ce n'est pas le cas avec les PC Dell et HP récents, donc. Si vous avez monté votre PC ou si le fabricant n'a pas payé la licence, il faut soit payer le codec — il vaut 1 € — soit passer par un logiciel qui intègre un décodeur HEVC, comme VLC. Mais dans ce cas, vous n'aurez pas accès aux vidéos encodées en HEVC dans un navigateur.

Comme l'explique Ars Technica, ce n'est pas une erreur mais bien un choix de la part de Dell et HP. Les deux fabricants se passent du codec sur une partie de leurs PC portables pour éviter de payer la licence, comme Synology. Selon nos confrères, elle est de 0,24 $ par appareil au-delà de 100 000 ventes. D'un côté, il semble un peu ridicule de brider les utilisateurs pour 0,24 $ sur des ordinateurs à plusieurs centaines de dollars, mais de l'autre Dell et HP vendent des millions de PC chaque trimestre (environ 10 millions pour le premier et à peu près 15 millions pour le second) et donc le coût de la licence commence à être bien visible dans les comptes des entreprises.

Comme prévu, Synology a désactivé le transcodage vidéo matériel pour ses derniers NAS

Comme prévu, Synology a désactivé le transcodage vidéo matériel pour ses derniers NAS

Dans la pratique, les deux sociétés laissent surtout les utilisateurs régler la note à leur place. Et ce problème montre que la voie choisie par l'AV1, qui est un codec open source qui ne nécessite aucune licence, est probablement la bonne. Elle évite aux utilisateurs de se retrouver le bec dans l’eau parce qu'un fabricant a décidé de faire des économies de bouts de chandelle.

De nombreux tapis de bureau en promotion, pour tous les goûts, même ceux qui aiment les lumières RGB

21 novembre 2025 à 15:07

Si vous passiez au tapis de bureau grâce au Black Friday ? Depuis quelques années, le tapis de souris ne se trouve plus uniquement sous la souris, mais aussi sous le clavier. Les tapis modernes, en tissus, sont bien adaptés aux modèles optiques et servent aussi de surface antidérapante pour les claviers. Il y a de nombreux modèles en promotion, pour tous les goûts.

Le Cherry, simple.

Pour 12 €, il y a le modèle Amazon : 90 x 43 cm, noir. Simple, basique. Cherry, une marque allemande, a un modèle de 80 x 35 cm pour 14 €, noir lui aussi. Le Desk Mat de Logitech (70 x 30 cm) est à 10 € en rose et 12 € en gris.

Plus large (93 x 30 cm), le Corsair MM500 v2 est à 25 € en promotion. Toujours large ? Le Steelseries QcK Heayvy XXL est à 32 € et mesure 90 x 40 cm. Le Corsair MM300 Pro (anti-éclaboussure) est à 20 € avec un dessin, et mesure 93 x 30 cm. Et le Pro Glide XXL de Razer (94 x 41 cm) est à 21 € en gris.

Le Corsair, plus large.

Dans un registre un peu différent, le Satechi XXL ne mesure « que » 68 x 32 cm, mais propose un rendu un peu plus luxueux. Il existe en bleu, marron et noir pour 34 €.

Le Satechi, plus luxueux.

Et si vous aimez les loupiottes RGB, le Goliathus Extended Chroma de Razer est en promo à 42 € en rose. Il a besoin d'un câble pour ses LED et mesure 92 x 30 cm. Il existe aussi en gris et aux couleurs de Fortnite au même prix, et est à 47 € en noir (au lieu de 75 €).

Le Razer s'allume.

Empêcher l'app Jeux de se lancer quand vous pressez le bouton Xbox ou PlayStation sur une manette

21 novembre 2025 à 12:40

Il y a de nombreuses manettes en promotion pour le Black Friday — la DualSense est d'ailleurs à 55 € en promotion — et si vous en avez une sur un Mac, vous avez peut-être pesté sur un point, surtout depuis macOS Tahoe : une pression sur le bouton PlayStation ou le bouton Xbox (ou l'équivalent chez d'autres fabricants) lance l'app Jeux apparue avec macOS 26 (sur les anciens systèmes, c'est le LaunchPad qui est lancé). Apple ne propose pas d'option dans l'interface pour désactiver ce comportement, mais il y a une solution en ligne de commande.

Le bouton PlayStation lance l'app Jeux. C'est énervant.
Coup d’œil sur la nouvelle app Jeux : la première brique du Steam maison d’Apple ?

Coup d’œil sur la nouvelle app Jeux : la première brique du Steam maison d’Apple ?

Il faut lancer le terminal de macOS (dans Applications > Utilitaires) et taper la ligne suivante. Ensuite, il faut fermer la session et la rouvrir (ou redémarrer)

defaults write com.apple.GameController bluetoothPrefsMenuLongPressAction -integer 0

Si vous voulez aussi désactiver le bouton de partage de certaines manettes, la commande est la suivante.

defaults write com.apple.GameController bluetoothPrefsShareLongPressSystemGestureMode -integer -1

Et voilà, l'app Jeux ne se lancera plus.

Black Friday : de nombreuses manettes compatibles iPhone, iPad et Mac en promotion, dès 40 € pour un pad Xbox

Black Friday : de nombreuses manettes compatibles iPhone, iPad et Mac en promotion, dès 40 € pour un pad Xbox

Les meilleurs casques en promotion pour le Black Friday

21 novembre 2025 à 11:50

Pendant le vendredi noir, les constructeurs de casques audio proposent souvent de (très) belles promotions. Commençons par le très bien noté Soundcore Space One Pro de chez Anker. Ce casque Bluetooth à réduction de bruit est en promotion à seulement 130 € (au lieu de 200 €) et certains comparatifs le mettent même au niveau des AirPods max d'Apple. Il existe en noir ou en blanc. Dans la même marque, le Soundcore Space One est à 70 € au lieu de 100 € et existe en quatre couleurs. C'est un modèle d'entrée de gamme mais qui garde la réduction de bruit, qui est peu courante à ce prix.

Image Anker.

Beats, la filiale d'Apple, propose de très belles réductions sur deux casques. Premièrement, le Studio Pro est à 190 € au lieu de 400 € à sa sortie. C'est un casque d'excellente qualité, bien intégré dans l'écosystème Apple (sans casser la compatibilité avec Android) et nous l'avons apprécié lors de notre test. Il existe en plusieurs couleurs. Le second est le Solo 4, qui est en promotion à seulement 113 € au lieu de 230 €. À ce prix, les reproches de notre test — comme l'absence de réduction active du bruit — sont caducs et c'est un bon produit en dehors de cette absence.

Image Beats.
Test du Beats Studio Pro, le casque Apple qui cible un peu trop Android

Test du Beats Studio Pro, le casque Apple qui cible un peu trop Android

Si vous aimez Sony pour l'aura de la marque japonaise, le WH-1000XM5 est en promotion à 280 € (il a été lancé à 420 €). Il s'agit d'un bon modèle, qui a été bien noté et qui offre une bonne intégration sous iOS ou Android. Il est disponible en quatre couleurs différentes. La promotion sur le WH-1000XM6 est plus faible, il est à 400 € au lieu de 450 €. Ce n'est pas énorme, mais le casque de Sony offre une excellente réduction de bruit.

Image Sony.

Pour les amateurs de la marque Bose, deux modèles ont retenu notre attention. Le premier est le QuietComfort SC. Ce modèle Bluetooth à réduction de bruit (encore) est à 190 € au lieu de 290 €. Une belle réduction sur un modèle solide et apprécié. Si vous avez un budget plus large, le QuietComfort Ultra est à 300 € au loieu de 500 € en prix public. C'est un modèle avec une réduction de bruit très performante.

Image Bose.

Trois autres marques connues proposent aussi de belles promotions. D'abord, le Bowers & Wilkins Px7 S2e : lancé à 430 €, il est à seulement 220 € en promotion. Comme les autres, c'est un modèle haut de gamme, Bluetooth et doté d'une réduction de bruit efficace. Le premier casque de Sonos, que nous avons apprécié dans notre test, est à 300 € en noir au lieu de 500 € au lancement. La version blanche du Sonos Ace est à 310 €. Enfin, le Sennheiser Momentum 4 Wireless Special Edition est à seulement 185 €, au lieu de 400 €. Et comme les autres, il combine du Bluetooth et une réduction de bruit active efficace.

Image Bowers & Wilkins.
Test du casque Sonos Ace : tout vient à point à qui sait entendre

Test du casque Sonos Ace : tout vient à point à qui sait entendre

Black Friday Mac : CyberGhost en méga promo (−83 % + 4 mois offerts), plus pour longtemps

21 novembre 2025 à 10:34

Une réduction qui tombe à pic pour l'écosystème Apple

Le Black Friday débarque avec son lot d'offres éphémères, et CyberGhost ne fait pas exception. La promesse ? Une réduction de 83 % accompagnée de quatre mois supplémentaires offerts, ramenant l'abonnement à 2,43 € TTC par mois. Une proposition qui mérite qu'on s'y attarde, surtout pour ceux qui jonglent entre leur MacBook, leur iMac et leur iPhone sans vraiment se poser la question de leur empreinte numérique.

Safari et la confidentialité : les limites du navigateur d'Apple

On ne va pas se mentir : Safari reste un excellent navigateur, mais sa politique de confidentialité ne fait pas de miracles face aux traqueurs publicitaires, aux géolocalisations sauvages et aux regards indiscrets des fournisseurs d'accès. C'est là que CyberGhost intervient, en chiffrant l'intégralité du trafic internet avant même qu'il ne quitte votre machine. Le principe est simple : vos données transitent par un tunnel sécurisé, rendant toute interception ou surveillance quasiment impossible.

11 000 serveurs pour une couverture planétaire

L'infrastructure de CyberGhost impressionne par son ampleur. Avec 11 000 serveurs disséminés dans plus de cent pays, le service offre une latitude géographique rarement égalée. Cette constellation de points de connexion permet non seulement de contourner les restrictions territoriales imposées par certaines plateformes de streaming, mais aussi de maintenir des vitesses de connexion stables, même aux heures de pointe. Parce qu'un VPN qui ralentit votre navigation au point de vous faire regretter l'époque du modem 56k, ça n'a aucun intérêt.

Une intégration native sur tous les appareils Mac

La compatibilité s'étend naturellement à tout l'écosystème Apple. Que vous travailliez sur un MacBook Air dans un café parisien, que vous regardiez une série sur votre iMac ou que vous consultiez vos mails depuis votre iPhone, CyberGhost s'adapte sans friction. L'application native macOS se fond dans l'interface d'Apple, évitant ces expériences bancales qu'on rencontre parfois avec des logiciels mal portés.

La validation par les pairs : 14 800 avis sur Trustpilot

Les 14 800 avis sur Trustpilot, avec une note moyenne de 4,7 sur 5, témoignent d'une satisfaction généralisée. On y trouve évidemment quelques mécontents, c'est la loi du genre, mais la tendance générale penche vers la fiabilité et la réactivité du support client. Ces retours d'expérience constituent un baromètre bien plus honnête que n'importe quel argumentaire marketing.

Le Black Friday et son cortège d'urgence commerciale

Le Black Friday engendre toujours cette même frénésie consumériste, mélange d'aubaines réelles et de promotions artificiellement gonflées. Dans le cas de CyberGhost, la réduction de 83 % transforme un service premium en abonnement accessible, sans rogner sur les fonctionnalités essentielles. Les quatre mois offerts rallongent encore la durée de couverture, diluant le coût mensuel jusqu'à atteindre ce tarif de 2,43 € TTC.

Un engagement sur la durée à anticiper

Cette tarification reste conditionnée à un engagement sur la durée. Autant le savoir d'emblée : ce genre d'offre implique généralement un abonnement de deux ans. Pour certains, c'est un engagement confortable qui garantit une tranquillité d'esprit prolongée. Pour d'autres, c'est une contrainte. À chacun de mesurer son appétence pour ce type de formule.

Le timing compte. Le Black Friday fonctionne sur l'urgence, cette sensation diffuse qu'il faut saisir l'opportunité avant qu'elle ne s'évapore. CyberGhost ne déroge pas à cette règle. L'offre disparaîtra probablement dès que la période promotionnelle prendra fin, laissant place aux tarifs habituels. Alors oui, il y a une part de stratégie commerciale dans tout ça, mais c'est précisément le jeu du Black Friday. Pour les possesseurs de Mac soucieux de leur vie privée en ligne, cette proposition mérite considération !

Apple fait totalement disparaître Traqués (The Hunt), une série française, de son service Apple TV

21 novembre 2025 à 10:30

Il y a quelques semaines, Apple retardait la sortie d'une série Apple TV avec Jessica Chastain, The Savant. La série devait sortir fin septembre, mais se trouve toujours dans les limbes du service d'Apple. Cette semaine, c'est une autre série Apple TV qui disparaît : The Hunt (Traqués en français). La série française avait été annoncée fin septembre pour une sortie début décembre, mais elle a totalement disparu des radars.

Une image encore en ligne. Image Apple.

Le communiqué de presse de lancement de la série avec Benoît Magimel et Mélanie Laurent renvoie sur une erreur 404, la page de la série indique qu'elle n'est plus disponible, la page officielle n'est plus en ligne et la bande-annonce a été supprimée de YouTube. Vous l'avez compris, Apple a traqué ( ) toutes les informations sur cette série pour les faire disparaître, à quelques semaines de la sortie.

Traqués. Image Apple.

Pour le moment, il n'y a aucune raison évoquée pour cette disparition. Dans le cas de The Savant, c'était nettement plus explicite : la série devait montrer Jessica Chastain luttant contre des terroristes d'extrême droite, et le contexte — l'assassinat de l'influenceur d'extrême droite Charlie Kirk — ne s'y prêtait visiblement pas. Pour The Hunt, la raison est plus nébuleuse. Mais ce n'est visiblement pas une sortie retardée, tant toutes les informations sur la série ont été supprimées, façon 1984.

Apple retarde la sortie de The Savant, une série où Jessica Chastain tente d

Apple retarde la sortie de The Savant, une série où Jessica Chastain tente d'empêcher un attentat terroriste d'extrême droite

Le synopsis selon Allociné, comme Apple a supprimé toutes les informations.

Franck et ses amis passent leurs weekends à chasser ensemble. Ils se retrouvent un jour face à un groupe de chasseurs qui les prend pour cible sans raisons apparentes. L’un d’entre eux est touché. Franck et ses amis répliquent puis réussissent à s’échapper de justesse. Ils décident de garder l'incident secret, et Franck tente de reprendre une vie normale aux côtés de sa femme Krystel. Mais très vite, le groupe se sent observé, et pire, traqué par ces hommes qui semblent prêts à tout pour se venger...

Fnac : 10 € offerts tous les 100 € d’achat pour les adhérents, y compris sur les produits Apple

21 novembre 2025 à 10:09

À l’occasion du Black Friday, la Fnac fait une offre très intéressante pour ses adhérents : 10 € sont offerts pour tous les 100 € d’achat. Ce crédit bonus est valable y compris sur les achats de produits Apple et cumulable avec les promotions en cours. La cagnotte amassée doit être ensuite utilisée dans les 30 jours, sinon elle est perdue. L’offre est valable jusqu’à samedi soir.

La carte Fnac+ coûte 4,99 € la première année, puis 14,99 €/an. Outre cette offre spéciale, elle donne droit à la livraison express gratuite et des remises tout le long de l’année.

Si la plupart des produits Apple sont éligibles à cette offre, les iPhone 17 en semblent toutefois exclus. En ce moment, la Fnac fait des réductions sur plusieurs appareils de Cupertino :

Les retours sont prolongés jusqu’au 15 janvier, ce qui permet de renvoyer les achats de Noël qui ne conviendraient pas.

Par ailleurs, sur Rakuten, le MacBook Pro M5 de base vendu par Darty à 1 799 € bénéficie d’une petite remise immédiate de 30 € et surtout de 161 € sur la cagnotte ClubR.

2026 : la feuille de route d’Apple pour le Mac (et elle est chargée)

21 novembre 2025 à 09:11

Il y a encore quelques années, de nombreux utilisateurs reprochaient à Apple l’absence de véritable roadmap. C’était d’ailleurs l’un des arguments souvent avancés pour expliquer les difficultés du Mac à s’imposer dans le monde de l’entreprise.

Aujourd’hui, entre les rumeurs persistantes et l’évolution désormais assez lisible des puces Apple Silicon, on dispose d’une vision relativement claire des plans d’Apple à 12–18 mois. Et tout indique que 2026 pourrait être un très bon cru pour le Mac.

Voici à quoi devrait ressembler l’année 2026 pour la gamme, qui s’annonce particulièrement dynamique dès ses premiers mois !

Début 2026 : MacBook Air et tous les MacBook Pro passent au M5

La transition vers le M5 a commencé le mois dernier avec le MacBook Pro 15” d’entrée de gamme. En toute logique, le MacBook Air devrait à son tour adopter cette nouvelle puce en début d’année prochaine.

Sur le papier, cette évolution promet un gain de performances notable, toujours dans un design aussi soigné. Reste toutefois une question : le MacBook Air, dépourvu de ventilateur, parviendra-t-il à exploiter pleinement une puce réputée plus exigeante thermiquement que ses prédécesseurs ?

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Apple pourrait également intégrer les mêmes améliorations de SSD que celles introduites sur le MacBook Pro M5. Des améliorations que l’on devrait en tout cas retrouver sur l’ensemble des MacBook Pro de la gamme attendus, eux aussi, début 2026.

Quand on observe les gains apportés par le MacBook Pro M5 standard, on imagine sans peine ce que pourraient donner les futures versions équipées de puces M5 Pro et M5 Max. Officiellement présentée comme un simple speed bump, cette génération pourrait néanmoins marquer un vrai bond en avant sur certains usages, notamment du côté de l’intelligence artificielle et des performances graphiques.

Le MacBook low-cost en début d’année également

Comment Apple va-t-elle appeler son fameux MacBook équipé d’un processeur d’iPhone ? Même si cette dénomination est moins dans l’air du temps, elle pourrait l’appeler MacBook Air SE. Ce serait un formidable clin d’œil au Mac iconique sorti à la fin des années 80.

Si vraiment, Apple veut insister sur le côté low cost (cela ne lui ressemble pas, mais…), elle pourrait l’appeler également le MacBook LC. Là aussi, le clin d’œil serait clair : le LC, ce fameux Macintosh « boîte à pizza » des années 90.

Ce MacBook à bas coût aurait en tout cas un écran d'environ 13 pouces, légèrement plus petit que le MacBook Air de 13,6 pouces.

À quoi ressemblerait le MacBook “low-cost” équipé d’une puce d’iPhone ?

À quoi ressemblerait le MacBook “low-cost” équipé d’une puce d’iPhone ?

Apple prévoit d'intégrer sa puce A18 Pro dans ce modèle, une puce que l'on a déjà vue dans les modèles iPhone 16 Pro. Cette puce est gravée sur le processus 3 nm de deuxième génération d'Apple, avec 8 Go de RAM et un support pour Apple Intelligence, promettant des performances améliorées.

Ce MacBook d'entrée de gamme sera équipé d'un écran LCD standard, sans technologie mini-LED ni taux de rafraîchissement ProMotion. Il pourrait être disponible dans des couleurs vives, à l'instar de l'iMac, avec des teintes comme l'argent, le bleu, le rose et le jaune. Il ne remplacera pas le MacBook Air, mais viendra compléter la gamme en tant qu'option plus abordable.

Premier semestre 2026 : un nouvel écran ?

Apple n’a pas lancé de nouvel écran depuis le Studio Display en 2022, mais deux nouveaux modèles seraient en développement et prévus pour 2026.

La prochaine génération du Studio Display pourrait conserver la taille d’écran de 27 pouces, mais avec une technologie mini-LED, remplaçant ainsi l’ancien LCD. Cela apporterait des améliorations notables en termes de HDR, de luminosité, de contraste et de rendu des couleurs. Le Studio Display actuel embarque une puce A13, mais la version à venir pourrait adopter la puce A19 Pro, utilisée dans l’iPhone 17 Pro.

Apple préparerait bien un successeur au Studio Display, avec une puce A19 Pro

Apple préparerait bien un successeur au Studio Display, avec une puce A19 Pro

Il semble qu'Apple développe deux écrans, mais il n’est pas encore clair s’il s’agira d’un Studio Display proposé en deux tailles différentes, ou bien d’un Studio Display et d’un successeur plus haut de gamme du Pro Display XDR. Il est aussi possible qu’Apple ait conçu deux modèles distincts, mais qu’un seul soit finalement commercialisé.

La question est de savoir si Apple présentera ses nouveaux écrans avec les MacBook Pro (donc plutôt en début d’année) ou avec les Mac de bureau (attendus plus tard dans l’année).

Mac mini et Mac Studio M5 aux alentours de la WWDC ?

Selon Mark Gurman, Apple préparerait une vague de mises à jour autour de la mi-2026 pour ses machines de bureau, avec un renouvellement à la fois du Mac mini et du Mac Studio.

Le Mac mini devrait passer aux puces M5 et M5 Pro, sans changement notable du design. Le boîtier introduit avec la génération précédente serait donc conservé, Apple se limitant à une évolution interne, comme souvent sur ce modèle.

Le Mac Studio évoluerait, lui aussi, sur la même période. Apple n’ayant pas décliné de puce M4 Ultra, la gamme sauterait directement cette étape pour proposer un modèle basé sur les puces M5 Max et M5 Ultra.

La gamme M5 pourrait bien avoir son Ultra, pour le Mac Pro et le Mac Studio

La gamme M5 pourrait bien avoir son Ultra, pour le Mac Pro et le Mac Studio

La version Max offrirait des gains significatifs en performances CPU et GPU face à la M5 standard, tandis que la version Ultra viendrait, comme à l’accoutumée, doubler ces capacités.

À ce stade, aucune autre nouveauté matérielle n’est évoquée concernant ces deux machines. Il s’agirait donc avant tout d’une mise à jour interne, sans évolution majeure du design ou du positionnement produit.

Un tout nouveau MacBook Pro à la fin de l’année en guise de one more thing

Alors qu’un rafraîchissement des MacBook Pro M5 Pro et M5 Max est attendu début 2026, Apple préparerait déjà une seconde mise à jour plus ambitieuse. Selon les dernières informations, un MacBook Pro entièrement repensé avec écran OLED serait dans les cartons, embarquant cette fois une puce M6 de nouvelle génération.

Son lancement exact reste flou : fin 2026 ou début 2027. Mais 2026 reste une hypothèse sérieuse. Si cela se confirme, ce serait une année à deux mises à jour du MacBook Pro, un scénario rare, déjà observé une seule fois en 2023.

OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire

OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire

Sur le plan du design, plusieurs évolutions majeures sont évoquées. Le MacBook Pro adopterait une caméra en poinçon, sans encoche, afin de maximiser la surface d’affichage. L’écran serait également tactile, une première sur un Mac, avec une charnière renforcée conçue pour rester stable lorsque l’utilisateur interagit directement avec la dalle.

Le châssis serait revu pour devenir plus fin et plus léger, tout en conservant un clavier et un trackpad traditionnels. L’écran tactile viendrait compléter l’interface existante, sans la remplacer.

Côté composants, la puce M6 pourrait être gravée en 2 nanomètres par TSMC, promettant d’importants gains en performances et en efficacité énergétique, avec à la clé une autonomie en nette hausse sans sacrifier la puissance.

Enfin, ce MacBook Pro OLED pourrait marquer une autre première dans l’histoire du Mac : l’arrivée de la connectivité 5G. Apple intégrerait pour l’occasion son futur modem maison, le C2, compatible mmWave et sub-6 GHz.

Encore une année sans Mac Pro ?

Si vous avez bien suivi : deux machines manquent à l’appel : l’iMac et le Mac Pro. Concernant le premier, il devrait a priori bien adopter le processeur M5. Le timing reste cependant très incertain. Concernant le Mac Pro, les perspectives sont clairement moins folichonnes. D’après les dernières rumeurs, Apple pourrait tout simplement en avoir fini avec sa station de travail.

Apple semble avoir tourné la page du Mac Pro

Apple semble avoir tourné la page du Mac Pro

Île-de-France : Navigo Annuel et Imagine R sur smartphone au printemps, avant enfin l’arrivée de la carte bancaire ?

21 novembre 2025 à 09:00

Île-de-France Mobilités avait rassemblé la presse hier, jeudi 20 novembre 2025, à l’occasion du lancement officiel de nouveaux terminaux de paiement dans les bus de la région. Pour les usagers particuliers, il est maintenant possible d’acheter un ticket à l’unité en utilisant une carte bancaire sans contact ou son iPhone ou Apple Watch grâce à Apple Pay. Le ticket est alors vendu plus cher (2,5 €) qu’en l’achetant en amont sur un passe Navigo ou son smartphone (2 €) et il ne peut pas servir pour une correspondance. Reste que c’est la première fois que l’on peut emprunter les transports en commun franciliens uniquement avec une carte de paiement et sans acheter de titre de transport.

Un terminal de paiement dans un bus parisien. Image @LFrancivigo@x, via Numerama.

Est-ce une initiative appelée à être généralisée à tous les modes de transports en commun de la capitale ? Rien n’est tranché encore, mais Île-de-France Mobilités a confirmé à nos confrères de Numerama que des réflexions étaient en cours et qu’une décision allait être prise d’ici le mois d’avril 2026. Comme dans de nombreuses autres villes françaises (Lyon, Bordeaux, Toulouse…) et surtout comme à Londres qui montre l’exemple depuis 13 ans, la régie des transports pourrait adopter le standard Open Payment. Cela permettrait alors de voyager avec une carte bancaire physique ou bien sa variante virtuelle stockée dans un smartphone, sans avoir à acheter un ticket au préalable.

Pour rappel, le principe est simple : en entrant sur le réseau de transports en commun, on s’enregistre grâce à une empreinte bancaire liée à sa carte de paiement. À chaque correspondance, on utilise la même carte et les éventuels coûts associés sont ajoutés à sa note virtuelle, jusqu’à atteindre un plafond quotidien. En fin de journée, la somme nécessaire est prélevée, soit le plafond en question, soit moins si on a peu voyagé. Du point de vue des utilisateurs, c’est vraiment très simple, mais c’est du côté de l’organisme en charge des transports que cela peut coincer.

De fait, si la région Île-de-France adoptait le système, il faudrait remplacer tous les portiques pour leur ajouter un lecteur de carte bancaire. Même en partant de l’hypothèse que l’on pourrait supprimer les portiques de sortie grâce à la bascule sur le ticket unique1, le projet coûterait tout de même plus de cent millions d’euros et ce serait un chantier immense, le plus gros pour IDFM puisqu’il impliquerait une refonte totale du système de gestion des tickets.

Le système actuel repose sur la puce NFC des smartphones et permet même d’acheter des tickets depuis l’app Cartes d’iOS. Impressionnant, mais pas forcément plus simple à comprendre qu’un paiement direct avec Apple Pay. Image iGeneration.

C’est probablement le frein principal et Valérie Pécresse semblait moins enthousiaste que ses propres équipes à ce sujet, si l’on en croit les propos rapportés par Numerama. La région voudrait s’assurer que cela apporterait un vrai gain aux usagers, en particulier ceux qui n’habitent pas sur place et qui sont souvent perdus avec le système actuel. Pour l’avoir tout juste expérimenté moi-même, je confirme que c’est une horreur incompréhensible, alors j’espère de tout cœur que l’on aura à terme la simplicité de l’Open Payment dans la capitale.

L’implémentation actuelle enfin complète au printemps 2026

En attendant, Île-de-France Mobilités en a aussi profité pour annoncer que le système actuel va enfin être complété au printemps 2026. Le Navigo sur mobile, qui présente surtout l’avantage de ne pas avoir nécessité de changement matériel sur le réseau, ne gérait toujours pas les abonnements annuels et les cartes Imagine R des étudiants. Ce devrait finalement être le cas dans quelques mois et les abonnés devraient alors pouvoir ajouter une copie virtuelle de leur carte en plastique dans leur téléphone ou sur leur montre connectée.

Ces abonnés étaient très nombreux, puisque les deux offres sont les plus avantageuses pour tous ceux qui prennent les transports en commun tous les jours. Jusque-là, ces usagers devaient continuer de valider avec la carte Navigo en plastique et la version mobile ne gérait que les titres pour les usagers occasionnels ainsi que les abonnements mensuels. On savait que les options annuelles devaient arriver en 2026, on ne savait pas quand exactement. L’attente ne devrait plus être trop longue…


  1. On peut désormais acheter un ticket à 2,5 € pour les métros et RER qui couvre toutes les zones. Le ticket à 2 € destiné aux bus et tramways est facturé 2 € et de la même manière, il est valable partout. Les portiques de sortie étaient indispensables pour savoir quelles zones vous empruntiez et facturer en fonction de ce critère, mais tout cela n’est plus d’actualité pour les tickets individuels. Ça reste nécessaire pour les abonnements Navigo qui se font toujours sur la base des zones, peut-être que cela changera toutefois à terme.  ↩︎

AirDrop : Apple va-t-il fermer la porte à Android ?

21 novembre 2025 à 06:58

Google a surpris son monde hier en ouvrant une passerelle permettant de partager facilement des fichiers entre un iPhone et un Pixel 10. Concrètement, une mise à jour logicielle rend interopérables AirDrop et son équivalent sur Android, Quick Share.

Les Pixel 10 de Google partagent des données avec les iPhone via AirDrop

Les Pixel 10 de Google partagent des données avec les iPhone via AirDrop

Le silence d’Apple…

Passé l’effet de surprise, une question s’est rapidement imposée : comment une telle passerelle a-t-elle pu être mise en place sur le plan technique ? D’autant que si Google a multiplié les prises de parole à ce sujet, Cupertino, de son côté, brille par son silence.

De quoi alimenter un scénario qui a vite circulé sur les réseaux : et si Google avait développé cette fonctionnalité sans l’accord d’Apple ? Interrogé par Android Authority, le groupe a réagi via un communiqué :

Nous avons accompli cela grâce à notre propre implémentation. Celle-ci a été minutieusement examinée et validée par nos équipes internes en charge de la confidentialité et de la sécurité, et nous avons également fait appel à une société tierce spécialisée en sécurité pour tester la solution par des tests d’intrusion.

Autrement dit, Google a développé cette solution de son côté. Apple a-t-il été consulté d’une manière ou d’une autre ? Difficile à dire. Derrière cette initiative, on retrouve en tout cas une volonté claire : rapprocher les utilisateurs des deux plateformes et s’attaquer au fameux « syndrome de la bulle verte », qui irrite une partie du public. Voici ce qu’un porte-parole de Google a déclaré peu après le lancement de cette fonctionnalité :

Notre objectif est d’offrir à nos utilisateurs une expérience de partage de fichiers simple et sécurisée, quelle que soit la personne avec laquelle ils communiquent. Comme pour le RCS et les alertes de traqueurs inconnus, nous accueillons toujours favorablement les opportunités de collaboration afin de résoudre les problèmes d’interopérabilité entre iOS et Android

Que va faire Apple ?

Comme nous l’expliquions récemment, les relations entre Apple et Google sont complexes. Les deux sociétés savent parfois travailler main dans la main, comme on l’a vu avec l’intégration du RCS dans Messages, la détection des traqueurs inconnus ou encore la simplification du transfert de cartes SIM entre smartphones. À l’inverse, sur certains terrains, elles se rendent coup pour coup.

Apple miserait sur Gemini pour relancer Siri

Apple miserait sur Gemini pour relancer Siri

Manifestement, cette affaire « AirDrop » relève plutôt de la seconde catégorie. Jusqu’ici, Cupertino n’a jamais vu d’un très bon œil les initiatives visant à créer des passerelles non officielles entre iPhone et Android, surtout lorsqu’elles empiètent sur ses services maison. L’épisode Beeper en est un bon exemple.

Beeper Mini a trouvé comment amener iMessage à Android, sans failles de sécurité

Beeper Mini a trouvé comment amener iMessage à Android, sans failles de sécurité

En rétro-ingénierant iMessage et ses mécanismes de chiffrement, l’application était parvenue à faire apparaître des bulles bleues sur Android. Une prouesse technique, mais qu’Apple avait rapidement neutralisée en bloquant l’accès à ses serveurs.

Beeper voulait centraliser toutes les messageries

Le cas de Google est toutefois d’une autre ampleur. D’abord par son poids : on ne parle pas d’une start-up, mais de l’un des géants du secteur. Ensuite par la méthode : l’annonce est publique, le déploiement déjà amorcé, et la fonctionnalité présentée comme officielle, avec un volet sécurité mis en avant.

Pourquoi le cas Google n’est pas celui de Beeper

Surtout, le contexte a changé. AirDrop est aujourd’hui dans le viseur de la Commission européenne, qui souhaite voir émerger de la concurrence sur iOS. L’objectif affiché de Bruxelles est clair : renforcer l’interopérabilité entre plateformes.

Dans ce cadre, une réaction brutale de la part d’Apple lui donnerait du grain à moudre. À l’inverse, tolérer — même tacitement — cette « porte dérobée » offrirait à la firme un argument politique à faire valoir. Une sorte de partie de billard à plusieurs bandes, à haut risque.

Entre les pressions réglementaires croissantes, notamment en Europe, et les débats récurrents autour de l’ouverture de son écosystème, un blocage frontal de cette interopérabilité pourrait aujourd’hui coûter plus cher à Apple qu’un simple laisser-faire. Reste à voir si Cupertino choisira de temporiser… ou de replonger dans un bras de fer.

En lançant ce projet, Google savait très probablement que le terrain était miné. Et sur ce terrain-là, le coup est plutôt bien joué.

Reçu avant avant-hier MacG.co

F1 : Apple en pourparlers pour acquérir les droits de diffusion mondiaux ?

20 novembre 2025 à 21:45

Apple et la Formule Un semble être une histoire d’amour appelée à durer, tant les deux partenaires semblent heureux de leur alliance. Entre Apple qui a fait un carton avec le film « F1 », plus gros score de la firme pour sa filiale Apple TV (sans le « + »), et les déclarations du patron de Liberty Media (qui détient les droits de la compétition), rien ne semble pouvoir ternir l’idylle. Pour le plus grand bonheur des fans ?

Romain Grosjean, sur Lotus F1 E21, au GP de Suzuka 2013. Image Greg Onizuka.

Toujours est-il que durant une interview donnée à CNBC, le CEO de Liberty Media Derek Chang a donné quelques bribes d’informations concernant la suite du partenariat avec Apple. Il semble dans un premier temps que celui-ci soit amené à changer la façon dont la F1 soit diffusée, afin de ne plus limiter les pics d’audience aux seules courses du dimanche après-midi :

En parallèle du film F1, nous avons finalisé un accord avec Apple sur les droits médias américains. Aujourd’hui, la façon dont nous percevons le paysage médiatique a changé, surtout en termes d’audience, parce que la technologie permet de nouvelles choses. Il ne s’agit plus uniquement de ce qui se passe durant une fenêtre de diffusion d’une heure et demie le dimanche lors d’un Grand Prix, mais d’une présence constante, d’être toujours actif, toujours visible. Je pense qu’Apple, avec ses capacités technologiques, va vraiment enrichir le produit et donc le contenu, toute l’expérience qui contribuera à renforcer la marque ainsi que la notoriété de la discipline. 

Apple a déjà commencé à bouger sur ce point, en amenant la F1 dans son app Apple Sports, qui intègre désormais tous les résultats de la saison en cours, y compris en direct durant les Grands Prix. Cette intégration a donné l’occasion à Apple d’étendre la portée de son app ailleurs qu’au continent américain, la proposant désormais dans la majorité de l’Europe.

L’arrivée d’Apple comme diffuseur a eu l’effet d’une bombe, et la F1 compte bien exploiter le partenariat au maximum

L’arrivée d’Apple comme diffuseur a eu l’effet d’une bombe, et la F1 compte bien exploiter le partenariat au maximum

Mais le patron de Liberty Media a aussi parlé du bout des lèvres d’une possibilité qui intéressera nombre de fans de ce sport en France et dans le reste de l’Europe : même si les mots ont été particulièrement bien choisis, il ouvre la porte à une extension du contrat d’exclusivité de diffusion d’Apple, actuellement pour les USA, à d’autres régions du monde, et pourquoi pas au monde entier.

Je pense qu’Apple sera très actif. Nous sommes en pourparlers avec eux sur de nombreux sujets. C’est encore très tôt, mais nous considérons qu’il s’agit d’un partenariat fort qui pourrait aboutir à d’autres collaborations ailleurs. Rien de spécifique pour le moment, mais c’est en discussion. 

Cependant, si la porte est ouverte, rien n’est encore gagné, y compris et surtout en France : dans l’Hexagone, les droits de diffusion de la F1 sont une exclusivité réservée par Canal+ jusqu’à la saison 2029 incluse, et il est fort peu probable que le groupe de Vincent Bolloré laisse s’échapper ceux-ci sans demander une grosse compensation en cas de rupture.

Black Friday : Parallels casse les prix avec plus de 50 % de rabais

20 novembre 2025 à 21:00

Parallels Desktop dégaine une fois de plus une grosse opération Black Friday sur son site officiel, et cette année l'offre est à la fois claire, généreuse et vraiment tentante pour qui veut faire tourner Windows sur Mac. La promotion, valable jusqu’au 30 novembre 2025 inclus, affiche un rabais de 50  % à 72 % sur les abonnements annuels Standard et Pro, ainsi que sur l’achat unique (uniquement pour l’édition standard). Autrement dit, c’est la meilleure occasion de l’année pour basculer sur cette solution de virtualisation sans se ruiner, d’autant plus qu’il s’agit de la promo officielle, directement accessible sans validation de coupon ou inscription complexe : c’est sur parallels.com que ça se passe, point barre.

Les offres Black Friday de Parallels sont généralement généreuses, 2025 ne fait pas exception. Capture MacGeneration.

Le principe de l’offre ne s’encombre d’aucune subtilité : que vous optiez pour la version Standard (suffisante pour la majorité des besoins, y compris l’utilisation de Windows 11 sur Apple Silicon avec des ressources graphiques raisonnables) ou la version Pro (plus musclée, pensée pour les développeurs, la gestion avancée de machines virtuelles et les accès réseau pro), le tarif fond littéralement d’au moins la moitié. Sur la grille officielle française, on tombe donc à 53,99  € pour la mise à niveau Standard en licence perpétuelle, là où il atteint habituellement les 189 € pour une nouvelle licence. Pour la version Pro, on passe de 119,99  € à 45,49  € pour renouveler un abonnement d’un an. Aucun code à saisir — on clique, on paie, on télécharge.

Pour les nouveaux arrivants, les prix sont tout aussi intéressants : la version Standard est à 49,99 € en abonnement un an (pas de remise sur l’achat unique cette fois), et la version Pro à 59,99 €, toujours pour un an, contre 99,99 € et 119,99 € respectivement en temps normal.

Rien de planqué dans les petites lignes : pas de version « boîte » ni de remise chez les revendeurs sur cette offre-là, tout passe en direct. Dernier point, les étudiants sont parfois mieux lotis avec une offre dédiée, mais la promo Black Friday reste la plus accessible du moment, sans justificatif ni aiguillage vers une boutique partenaire.

Windows 11 sur un Mac Apple Silicon : le grand test avec Parallels Desktop

Windows 11 sur un Mac Apple Silicon : le grand test avec Parallels Desktop

Pour virtualiser Windows, Linux ou tout environnement x86/ARM sur Mac, difficile de faire plus direct et économique que cette promo Black Friday. C’est sur le site officiel, c’est ouvert à toutes et tous, et c’est jusqu’au 30 novembre — ensuite, il faudra attendre l’an prochain pour espérer une telle remise.

Après l’iPhone Pocket, Apple sort un accessoire d’accessibilité pour l’iPhone en partenariat avec une designer industrielle

20 novembre 2025 à 20:30

Après l’iPhone Pocket par Issey Miyake, descendant monégasque de l’iPod socks, Apple semble décidée à ne pas s’arrêter en si bon chemin dans les collaborations avec des artistes et designers reconnus, même si cette fois-ci un petit vernis d’utilité publique vient couvrir la folie créatrice.

Même s’il est étrange, l’outil peut être utile. Mais pourquoi diable en édition limitée ? Capture MacGeneration.

C’est ainsi qu’Apple est venue trouver Bailey Hikawa, artiste en design industriel passée par le California College of the Arts pour créer un appendice à utiliser avec le MagSafe, permettant aux personnes ayant un usage réduit des membres supérieurs de mieux pouvoir prendre en main leur iPhone.

Aperçu de l’iPhone Pocket : ou quand Apple vous fait les poches

Aperçu de l’iPhone Pocket : ou quand Apple vous fait les poches

Pour ça, l’artiste a écouté les demandes de nombreux utilisateurs d’iPhone ayant des problèmes d’arthrite, de tendinites, ou d’autres soucis affectant leur capacité à tenir leur appareil en main. Au final, le design retenu ressemble à une forme triangulaire avec des creux permettant d’y coller les doigts, complétée par un trou central où l’utilisateur glissera le pouce ou le majeur.

Objet design oblige, les couleurs choisies sont peu discrètes et sélectionnées par la créatrice : l’objet est ainsi disponible en couleur « chartreuse », ou en une matière recyclée faite de particules de plastique. Il est disponible sur l’Apple Store américain uniquement, sans informations supplémentaires sur une possible disponibilité mondiale, au tarif de 69,95 dollars, quelle que soit la couleur choisie.

L’artiste est connue pour faire des coques pour iPhone des plus étranges... Instagram, @baileyhikawa.

Maintenant vient la question qui fâche : que ce soit le tarif, tout comme la présentation de l’accessoire orientée vers l’utilité pour les personnes à mobilité réduite, font penser à une bonne action d’Apple, d’autant plus que l’outil est indiqué comme célébrant les 40 ans d’Apple dans le domaine de l’accessibilité. Jusqu’ici, rien à redire. Mais pourquoi diable en faire un accessoire en édition limitée ? Voilà qui gâche un peu le message véhiculé par le reste de la description.

Les Pixel 10 de Google partagent des données avec les iPhone via AirDrop

20 novembre 2025 à 22:27

Si vous avez déjà essayé de partager des données entre un smartphone Android et un iPhone, vous connaissez le problème : AirDrop est réservé aux appareils pommés, Quick Share (l'équivalent Android) ne fonctionne pas avec les iPhone et le partage en Bluetooth n'a jamais été activé sur les iPhone. Mais Google a une solution : une mise à jour des Pixel 10 permet de partager des données entre Quick Share et AirDrop.

La vidéo de présentation de Google.

Google n'indique pas si la fonction nécessite une mise à jour d'Android ou de l'app elle-même, mais elle est visiblement réservée aux Pixel 10. Un post explique que tout a été sécurisé pour éviter les problèmes, avec les protections d'Android d'un côté et celle d'iOS de l'autre. Une des raisons vient de l'usage du langage Rust, qui permet une protection de la mémoire bien plus efficace que celle d'autres langages, comme le C ou le Java qui sont plus permissifs et amènent plus d'erreurs. Google explique que tout a été testé par des experts en sécurité, mais il y a tout de même un petit bémol pratique : par défaut, AirDrop n'acceptera pas les données envoyées depuis un smartphone Android.

En effet, la fonction repose sur un mode précis d'AirDrop, celui qui permet de recevoir des données de n'importe qui. Il a longtemps été possible de rester dans ce mode en permanence, mais il est limité à 10 minutes depuis iOS 16.2.

Il faudra passer sur « Tout le monde pendant 10 minutes » pour recevoir des données, dans Réglages > Général > AirDrop.
iOS 16.2 : Apple limite le partage AirDrop à 10 minutes dans le monde entier, pas uniquement en Chine

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Du côté d'iOS, il faut donc explicitement passer dans ce mode de réception pour que la nouvelle technologie de Google fonctionne, ce qui n'est pas une contrainte trop importante. Google fait par ailleurs un appel du pied à Apple pour permettre la mise en place de cette compatibilité avec le mode « Contacts uniquement », qui est le comportement par défaut d'AirDrop.

Mise à jour à 22 h 27 — La fonction est dès à présent disponible, comme nous avons pu le vérifier avec un Pixel 10 Pro et plusieurs appareils Apple (iPhone, iPad et Mac). Comme indiqué par Google, il faut passer AirDrop en mode « Tout le monde pendant 10 minutes » pour que l'iPhone apparaisse dans le menu Quick Share du smartphone Android.

Image iGeneration

Le partage fonctionne dans les deux sens : on peut envoyer un fichier du Pixel vers l'iPhone, et vice versa. Chaque transfert doit être approuvé manuellement.

Vidéo iGeneration

Samsung lance un clavier particulièrement original qui n'est absolument pas un Magic Keyboard avec des touches DeX et IA

20 novembre 2025 à 18:15

Samsung vient de lancer un nouveau clavier, et visiblement les personnes à l'origine de son design ont pris des vacances à Cupertino. C'est un modèle compact, sans pavé numérique, et dans un coloris que nous pourrions appeler… gris sidéral, peut-être ?

Image Samsung. Montage MacGeneration.

Il propose une rangée de touches de fonctions qui sont partagées avec le contrôle du volume et des touches multimédias (c'est original, non ?) et des flèches directionnelles demi-hauteur. Le clavier qui ne s'inspire évidemment pas du Magic Keyboard (la preuve, il s'appelle Smart Keyboard) vaut 110 $ et n'a pas de rétroéclairage. Car oui, Samsung a même copié un des défauts des claviers Apple.

On peut voir la touche IA et la touche DeX (en haut à droite). Image Samsung.

Le clavier se connecte en Bluetooth, avec la possibilité de passer d'un appareil à un autre, mais ne propose pas de prises USB. L'alimentation du clavier est par contre assez originale : une pile CR2032 au lieu de la batterie lithium-ion du modèle Apple. Samsung a tout de même aussi deux touches un peu originales. La première est dédiée à DeX, l'interface de bureau des smartphones de la marque. La seconde, placée à droite de la touche Alt, est dédiée à l'IA. Nous espérons que Samsung a suivi les recommandations de Microsoft et que cette touche utilise les valeurs standardisées pour cette dernière. Enfin, la touche Fn est à droite de la touche Ctrl, contrairement à Apple. Une preuve évidente que ce clavier n'est évidemment pas une copie d'un Magic Keyboard.

Les claviers des PC Windows vont bientôt gagner une touche Copilot

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