Aqara a profité de l’IFA qui ouvre ses portes aujourd’hui à Berlin pour présenter un nouveau pont de connexion, le Edge Hub M300. Comme les autres modèles de la marque, il intègre une puce Zigbee pour communiquer avec les accessoires connectés de la gamme domotique d’Aqara. Il va aussi nettement plus loin, en devenant potentiellement le centre de la domotique pour un logement ou même un local professionnel. De fait, le fabricant a imaginé ce produit non pas tant pour les particuliers que pour les installateurs et intégrateurs, qui vont créer une solution domotique pour des installations complexes.
Le Edge Hub M300 doit interconnecter des systèmes variés, par le biais de Matter côté grand public, mais aussi d’autres protocoles que l’on connaît moins bien dans nos logements. Image Aqara.
Ce hub ne communique pas simplement avec les accessoires domotiques en Zigbee et Thread et avec le réseau local en Wi-Fi ou Ethernet, il ne se contente pas de gérer le standard Matter et les autres écosystèmes grand publics dont HomeKit, il prend aussi en charge des protocoles plus pointus qu’on voit moins souvent chez des particuliers. Il est ainsi compatible avec KNX, BACnet ou encore Modbus pour échanger avec du matériel bien spécifique, comme un système professionnel de climatisation. On peut aussi le faire interagir avec des écosystèmes de domotique utilisés par les fabricants de logements, comme Control4, Josh AI ou bien Nice.
L’objectif est de réunir toutes ces technologies en un seul endroit, pour les faire interagir entre elles. Associé au hub, Aqara a aussi développé le « Studio Connect », une interface web qui permet de connecter et configurer tous les équipements et de les contrôler par ce biais, mais aussi et surtout de créer des automatisations avancées. Le tout fonctionne uniquement en local, y compris sans connexion à internet, et cette idée rappelle fort ce que Home Assistant et d’autres solutions de domotique comme Homey peuvent déjà proposer. D’ailleurs, l’interface pour créer des automatisations semble calquée sur Node-RED, un outil spécialisé qui permet d’automatiser sans code en reliant des briques entre elles.
Studio Connect permettra de configurer les différents équipements pour les contrôler directement… Image Aqara.… ou plus vraisemblablement, créer des automatisations avancées. Image Aqara.
L’Edge Hub M300 sortira d’ici la fin de l’année. Aqara ne précise pas encore les modalités pour l’acheter, on ne sait pas si ce sera un produit réservé aux professionnels ou si les particuliers aussi pourront l’acheter et le cas échéant, à quel prix.
Si vous avez suivi le fil, après avoir parlé en détail de l’iPhone 17 Pro (Max), des AirPods Pro 3 et de l’iPhone 17, vous ne serez pas surpris de voir qu’on en arrive aujourd’hui à l’iPhone 17 Air. Successeur désigné de l’iPhone 16 Plus, ce modèle entend apporter un vent de fraîcheur à la gamme en misant sur une finesse et une légèreté qu’Apple avait un peu laissées de côté ces dernières années.
Image conçue à l'aide d'une IA
Un grand téléphone avec le poids d'un iPhone mini
L’iPhone 17 Air devrait afficher une épaisseur minimale de 5,5 mm, avec un bloc photo horizontal en forme de pilule un peu plus marqué. Ce serait tout simplement l’iPhone le plus fin jamais produit, il sera plus mince de plus de 2 mm que l’iPhone 16 (7,8 mm). À ce jour, le record est détenu par l'iPhone 6 avec ses 6,9 mm.
Avec ses 6,6 pouces, l’iPhone 17 Air proposerait un écran légèrement plus petit que celui de l’iPhone 16 Plus qu’il remplace. Sa finesse lui permettra surtout d’être nettement plus léger en main que les iPhone standards.
Image : MacRumors
Apple miserait sur un châssis hybride en titane et en aluminium, pour un poids d’environ 145 g. À titre de comparaison, c’est à peine plus que l’iPhone 13 mini !
Comme les modèles Pro, l’iPhone 17 Air devrait intégrer moins de verre dans sa structure, ce qui le rendrait plus résistant en cas de chute.
Cette quête de finesse a toutefois imposé quelques concessions : le port USB-C n’est pas parfaitement centré au bas de l’appareil, et les grilles des haut-parleurs auraient été simplifiées avec moins d’ouvertures.
Côté coloris, Apple proposerait du noir, du blanc, un doré clair ainsi qu’un bleu pâle rappelant celui du MacBook Air.
Des interrogations sur l'écran
L’écran 6,6 pouces de l’iPhone 17 Air reprendrait les dalles LTPO OLED de Samsung déjà utilisées sur les iPhone 16 Pro. Résultat : une luminosité annoncée comme 30 % supérieure à celle de l’écran de l’iPhone 16 ou de l'iPhone 16 Plus.
Comme nous l'indiquions hier pour l'iPhone 17, il offrirait enfin un taux de rafraîchissement de 120 Hz, ce qui donnerait l’impression d’une plus grande fluidité. Il n'est pas certain pour autant que cet écran dispose de la technologie ProMotion, qui ajuste dynamiquement la fréquence de rafraichissement selon ce qui est affiché à l’écran.
Sachant que l'autonomie pour ce modèle est un vrai challenge, on imagine assez mal qu'il se prive de cette technologie réservée jusque-là aux modèles Pro de la gamme d'Apple.
A19 ou A19 Pro ?
L'iPhone 17 Air étant un nouveau modèle, on ignore tout des choix techniques qu'Apple a pu effectuer. De nombreuses rumeurs laissaient entendre que ce modèle pourrait embarquer l'A19 Pro. Cela serait une décision étonnante, car ce modèle n’est pas inclus dans la gamme Pro.
Image MacRumors
Mais au final, A19 ou A19 Pro, le nouveau téléphone d'Apple aura un processeur dernier cri. Comme tous les autres modèles de la gamme, il disposera d'un système de refroidissement par chambre à vapeur, afin de mieux répartir la chaleur et d’améliorer les performances thermiques. Vu la finesse de l'iPhone 17 Air, c'est sans doute indispensable pour ce modèle. Enfin, ce modèle disposerait de 12 Go de RAM.
L'enjeu majeur de l'autonomie
Destiné à servir de base technologique à l'iPhone 17 pliable, l'iPhone 17 Air sera sans doute une incroyable démonstration technique du savoir-faire d'Apple. Mais celle-ci ne sera complète que si ce modèle dispose d'une autonomie suffisante.
Depuis le début, sa batterie est au cœur de toutes les interrogations. Tous les bruits de couloir s’accordent : elle resterait sous la barre des 3 000 mAh. Certains parlent de 2 900 mAh, d’autres, avancent plutôt 2 800 mAh. Bien sûr, la capacité ne dit pas tout de l’autonomie, mais il faut remonter à l’iPhone 12 ou 13 pour retrouver un modèle sous ce seuil symbolique. À titre de comparaison, l’iPhone 17 Pro Max grimperait lui autour de 5 000 mAh
L’espace interne étant limité, l’iPhone 17 Air se contenterait d’un unique capteur photo à l’arrière, comme l’iPhone 16e. Apple miserait sur un grand-angle de 48 Mpx, mais, avec un seul objectif, il y a peu de chances que ce modèle prenne en charge la capture de vidéos ou de photos spatiales.
En revanche, toute la gamme d’iPhone 17 profiterait d’une caméra frontale revue à la hausse : 24 Mpx au compteur contre 12 Mpx seulement pour les iPhone 16 actuels, avec à la clé une meilleure qualité d’image.
Le premier iPhone avec des puces 100 % Apple pour les réseaux
L'iPhone 17 Air pourrait être le premier iPhone à disposer de puces Apple pour la gestion des technologies sans fil. Tout comme l'iPhone 16e, ce modèle embarquera la puce C1 pour la gestion de la 5G.
Image : Apple
Ce n'est pas la puce la plus rapide du marché, elle ne gère pas la 5G millimétrique qui n'a de toute manière aucun intérêt chez nous, mais elle est sacrément économe et est particulièrement bien intégrée dans iOS.
D'autre part, tout comme les autres modèles qui seront présentés la semaine prochaine, l'iPhone 17 Air devrait embarquer une nouvelle puce pour le Wi-Fi et Bluetooth entièrement conçu par Apple.
Prix et disponibilité
L'iPhone 17 Air ne devrait pas disposer de carte SIM en Europe. Cette fois, Apple a décidé d'exploiter cet espace en mettant une batterie plus large. L'appareil disposerait d'un bouton Action et serait compatible MagSafe.
Reste la question du prix : aux dernières nouvelles, il débuterait entre 899 et 949 $. Dans le premier cas, il coûterait autant que le 16 Plus qui lui cède sa place, dans le second, ce serait une augmentation de 50 $ (le 16 Plus est vendu 1 119 € chez nous).
Avec ce modèle, l'enjeu pour Apple sera de créer un effet waouh qui sera durable auprès des consommateurs. Sans quoi, l'iPhone 17 Air connaitra à court ou moyen terme le même sort que les iPhone mini et Plus.
Les deux prochains iPhone 17 Pro verraient leur dissipation thermique améliorée avec des bénéfices pour l'affichage et les performances. D'après le fuiteur Instant Digital, ces deux modèles seraient capables de pousser plus haut la luminosité de leur écran sur une plus longue durée, en particulier lorsqu'on les utilise en plein soleil.
Rendu MacRumors.
Avec les iPhone 16 Pro la luminosité standard est de 1 000 nits qui peuvent grimper deux fois plus haut pour redonner de la visibilité en extérieur, mais ça ne dure jamais longtemps et l'écran s'assombrit. La nouvelle gamme Pro/Pro Max ferait mieux sur ce point.
Cette capacité, de moins se laisser déborder par la dépense énergétique, et de la chaleur qui en découle, se remarquerait également dans les jeux. Il y aurait une stabilité dans les fps sur la durée. Même chose lorsqu'on filme en 4K à 60 i/s en extérieur avec une bonne température estivale, l'iPhone tiendrait mieux la charge. Enfin, l'autonomie atteindrait un nouveau cap sur cette gamme grâce à des optimisations et une batterie de plus forte capacité.
Si le keynote de mardi devrait nous présenter les nouvelles gammes d’iPhone, avec un iPhone 17 Air pour remplacer l’iPhone 16 Plus, Mark Gurman voit un peu plus loin et a laissé traîner ses oreilles du côté de la recherche en ligne, avec une information qui a de quoi surprendre, vu les départs à la chaîne dans l’équipe intelligence artificielle : Apple compte venir concurrencer OpenAI et Perplexity dès l’année prochaine dans le domaine de la recherche en ligne.
Il ne devrait pas y avoir beaucoup d’IA durant le prochain keynote. Il faudra attendre iOS 26.4. Image Apple.
Concurrencer OpenAI, et moins dépendre de ChatGPT
Si le Siri amélioré n’a toujours pas pointé le bout de son nez, il semble que son ombre traîne du côté des labos de Cupertino. Selon Bloomberg donc, Apple sortirait un assistant de recherche sur internet lié à Siri dans le courant 2026. Le projet, appelé « World Knowledge Answers » en interne, devrait être intégré à Siri et probablement dans le module de recherche de Safari et Spotlight.
L’idée serait finalement de dépendre de moins en moins de chatbots comme ChatGPT, Siri devant pouvoir répondre à quasiment toutes les demandes sans avoir à utiliser d’outils externes, comme c’est le cas actuellement. Si le moteur final sera bien hébergé sur des serveurs propres à Apple, il est possible qu’une partie de la technologie employée provienne de Google et son chatbot Gemini, Apple et Alphabet ayant trouvé un accord cette semaine pour tester l’intégration des technologies d’IA de Mountain View afin de venir en aide à Siri.
Comme tous les bots conversationnels actuels, cette nouvelle version de Siri devrait pouvoir utiliser plusieurs médias, qu’ils soient sous la forme de texte, de voix, d’images ou de sons, et même de géolocalisations pour répondre le plus précisément possible aux requêtes de l’utilisateur. L’outil devrait bien entendu avoir aussi accès aux données présentes sur l’appareil de l’utilisateur, que ce soit un iPhone, un iPad ou un Mac.
Pour le moment, la seule date ayant fuité serait une disponibilité pour le printemps, correspondant à la sortie d’iOS 26.4, prévue théoriquement pour le mois de mars.
Une reconstruction totale
Apple serait repartie de zéro pour la construction de ce nouveau Siri, construit autour de trois composants principaux : un planificateur, un moteur de recherche et un outil de synthèse. Le planificateur interprète les entrées, qu’elles soient sous forme de voix ou de texte, et décide de la méthode à employer pour répondre à la demande ; le moteur de recherche fouille sur le net ou dans les données utilisateurs ; enfin, l’outil de synthèse formule la réponse apportée à la question.
Il semblerait que la partie s’attachant à formuler la réponse se reposerait sur des technologies de Google dont son chatbot Gemini, tournant sur les serveurs Private Cloud d’Apple. Google aurait déjà commencé à travailler avec Apple depuis quelques temps, et l’équipe en serait aux derniers ajustements et aux tests nécessaires.
Apple considèrerait aussi l’utilisation de technologies Google pour le planificateur, mais n’exclut pas de faire appel à Claude, d’Anthropic, ou à des LLM développés en interne.
Concernant la partie recherche des données, spécialement celles appartenant à l’utilisateur, Apple ferait un usage de ses technologies internes uniquement, afin de garder la main sur la sécurité et la confidentialité des données de ses clients. Voilà qui devrait rassurer sur le partage des données privées : celles-ci resteraient la chasse gardée de Cupertino.
Si Google avec Gemini semblent avoir l’ascendant sur tout ce qui ne touche pas aux données de l’utilisateur, ce n’était pas le cas au départ : Anthropic était le favori, mais se serait montré bien trop gourmand, demandant au bas mot 1,5 milliard de dollars par an pour l’utilisation de sa technologie. Google se serait montré bien plus raisonnable, selon les sources de Mark Gurman.
La sortie de cette nouvelle version de Siri dans iOS 26.4 devrait s’accompagner d’un redesign de l’assistant vocal, ainsi que d’un service de santé boosté à l’IA, qui devrait apparaître sous la forme d’un nouvel abonnement payant.
Si Apple a mis du temps à réagir à l’arrivée de l’IA, il semble que cette fois la machine soit lancée. C’est la rançon d’être devenu une entreprise énorme : si un changement de direction doit être entrepris, il prend beaucoup plus de temps que dans de petites start-ups, bien plus agiles (Google s’étant engagé sur la recherche fondamentale depuis des années, l’entreprise était déjà sur les rails de l’IA).
Et les possibles acquisitions ?
Nombre de rumeurs sont sorties concernant de possibles acquisitions d’entreprises comme Perplexity ou encore Mistral. Si une évaluation de l’intérêt pour Perplexity a bien eu lieu cet été, le projet semble avoir été abandonné : à la place, Apple compte bien opposer son « World Knowledge Answers » comme un concurrent de poids, l’intégration à Siri et à l’environnement Apple étant un atout majeur.
Cependant, Apple reste à l’affut d’un achat intéressant, que ce soit une start-up ou des ingénieurs spécialisés : les départs récents ont mis à mal l’équipe de recherche de l’Apple Foundation Models, et il faudra bien trouver des remplaçants pour faire tourner la machine après tant de départs.
Comme ça arrive de temps en temps, Amazon a laissé fuiter des informations sur des nouveaux produits un peu trop en avance... c’est arrivé à Apple avec le design du dernier Mac mini, et cette fois c’est Philips/Signify Hue qui en est victime, Amazon.co.uk ayant publié toutes les nouveautés en avance.
Une sonnette connectée pour aller avec l’éclairage de la marque. Image Signify.
Si Hue comptait faire des surprise à l’IFA 2025 de Berlin, c’est raté. Il y a déjà eu les quelques fuites récentes sur le nouveau modèle de Hue Bridge « Pro », ainsi que sur les possibilités de détection de mouvement grâce aux ampoules et à leur connexion Zigbee, mais d’autres produits devraient être bientôt dévoilés.
En effet, Amazon.co.uk dévoile par la même occasion toute une gamme de produits « d’entrée de gamme » (ça reste du Signify) réunis sous l’appellation Essential, ainsi qu’une sonnette connectée équipée d’une caméra, permettant une communication bi-directionnelle, la détection de mouvements, de paquets déposés, et intégrée dans tout l’écosystème de la marque.
L’IFA de Berlin devant commencer dès le 5 septembre, la communication officielle ne devrait pas trop tarder... mais il semble bien que tout soit déjà dévoilé.
Aujourd’hui, c’est soldes ! Alors que le MacBook Air M4 se négocie au minimum à 1 199 € en temps normal sur la boutique Apple, Amazon et CDiscount ont décidé de casser les prix pour la rentrée. Si le prix est le même chez les deux boutiques en ligne, l’approche est différente.
Un MacBook Air à 20 % de réduction, ça se tente, non ? Image Apple.
Amazon propose en effet le MacBook Air M4 13 pouces, doté de 16 Go de RAM et 256 Go de SSD, pour la modique somme de 949 €, à appliquer au moment de la commande. Mieux encore, les étudiants abonnés à Prime Student ont droit à 50 € de remise supplémentaire, portant la machine à 899 € !
Mais 256 Go de stockage, ça peut paraître un peu limite, d’autant plus avec les films 4K et autres petites gourmandises habituelles... CDiscount propose de fait une autre approche : pour le même prix, soit 949 €, la machine est certes un M3, mais double la capacité de stockage, passant à 512 Go. Étant donné les capacités plus que suffisante du M3, loin d’être largué par son remplaçant, il y a de quoi se laisser tenter... surtout qu’Apple n’est pas connue pour brader ses SSD.
Quoi qu’il en soit, ne tardez pas trop si vous souhaitez profiter de ces offres, aucune date de fin n’est indiquée, mais elles ne devraient pas rester très longtemps disponibles.
Après SVM Mac, Univers Mac et bien d'autres entre temps, voici un nouveau magazine du panorama Apple en France qui tombe : iCreate, qui l’a annoncé aujourd’hui par un communiqué sur son site internet.
La dernière couverture d’iCreate, qui restera uniquement au format PDF.
Commencée en 2004, l’aventure iCreate aura donc duré 21 ans, au cours desquels le magazine aura sorti un numéro par mois et quelques hors série très complets, comme en 2016 pour les 40 ans d’Apple, ou les deux tomes spéciaux parus en 2025 pour fêter les 20 ans de ce mensuel.
Presse Factory, qui éditait le magazine, a été placée en liquidation judiciaire fin août, sonnant le glas pour l’équipe de rédaction du journal. Prévenue au dernier moment, elle était encore en cours de finalisation du numéro 226 quand la nouvelle est tombée. Il est encore trop tôt pour savoir ce que l’équipe de rédaction deviendra, et si un repreneur pourra relancer le magazine sous une forme ou une autre.
Vous pouvez encore vous procurer la version PDF du dernier numéro sur le lien donné plus haut, tant qu’il reste en ligne.
Cette version pour iPad reprend les grandes lignes de la version iPhone, de façon assez logique, mais profite de la surface d'affichage des tablettes pour proposer des images et des vidéos plus grandes. Les développeurs de chez Meta ont d'ailleurs bien pensé l'interface, qui permet d'afficher plus de commentaires, par exemple. Bien évidemment, il est possible de poster des photos depuis la tablette, mais les iPad n'ont jamais été des cadors dans ce domaine et c'est plus du domaine de l'anecdotique dans ce cas de figure.
La nouvelle version est bien dans l'App Store. Image iGeneration.
Si vous passez vos journées à transférer des fichiers sur Google Drive ou Dropbox pour ensuite les partager à vos collègues, jetez un œil à Dropshare. Cette application Mac n’est pas nouvelle — elle en est déjà à sa sixième version majeure —, mais elle nous a été recommandée par un lecteur et mérite effectivement une place dans nos colonnes.
L’utilisation basique est la suivante : après avoir connecté un service de stockage en ligne à Dropshare, vous glissez le fichier sur l’icône de l’app dans la barre des menus. Quelques secondes plus tard, un lien de téléchargement est automatiquement copié dans votre presse-papiers, prêt à être envoyé.
Image Dropshare
Dropshare simplifie donc l’upload et le partage de tout type de fichiers, et elle le fait de manière très complète. L’application gère tous les principaux services de stockage cloud ainsi que les protocoles incontournables : Amazon S3, Backblaze B2, Google Drive, OneDrive, Dropbox, WebDAV, SFTP…
Outre le glisser-déposer sur la barre des menus, on peut l’appeler avec un raccourci-clavier, le menu de partage ou encore Raccourci. Elle dispose aussi de multiples outils de capture d’écran (image comme vidéo) pour annoter ou commenter son contenu avant de le partager.
Les services gérés par Dropshare. Image MacGeneration.
Une autre possibilité intéressante est la création automatique de landing page (la compatibilité dépend du service de stockage) : le destinataire du lien atterrit sur une page web personnalisée par vous-même. Depuis la version 6 sortie en début d’année, Dropshare permet en plus de définir une période d’expiration pour les fichiers, de paramétrer plus finement les noms ou encore d’apposer un filigrane avec plus de souplesse.
Bref, Dropshare est une application puissante pour partager des fichiers. Elle coûte 39 $ en achat unique, avec une version d’essai de sept jours. Elle demande macOS Monterey 12.3 au minimum et n’est pas traduite en français.
Il y a un peu plus d'un an, Polar écartait d'un revers de la main l'hypothèse d'un bracelet connecté pour le grand public. Le finlandais venait de présenter le Polar 360 pour le marché de l'entreprise, vendu en marque blanche.
Polar Loop. Image Polar.
Aujourd'hui, Polar lance le Loop dont il avait esquissé les grandes lignes au début de l'été et qu'il destine potentiellement à tout le monde… De toute évidence, Polar a mis à profit l'expérience acquise avec le 360 puisque le Loop est comme son jumeau. Il s'agit d'un bracelet sans écran et sans bouton non plus de 29 grammes.
Polar Loop. Image Polar.
Le Loop collecte des infos sur l'activité physique de l'utilisateur sans intervention de sa part (ses pas, les calories dépensées), sa fréquence cardiaque, sa récupération après l'effort ou ses phases de sommeil. Il n'y a pas de mesure de la SpO2, pas de prise possible d'un ECG (détails des capacités), pas de GPS non plus ni de résistance à l'eau suffisante pour prendre une douche ou nager avec.
Si le bracelet peut détecter le début d'un exercice, l'app Polar Flow permettra de les lancer manuellement (c'est elle aussi qui récupère les données collectées au fil de la journée). L'autonomie peut atteindre 8 jours, les données collectées peuvent être mémorisées pendant 4 semaines en l'absence d'ouverture de l'app compagnon.
Aucun abonnement d'aucune sorte n'est requis, insiste Polar, sous-entendu, contrairement à son concurrent Whoop. Les précommandes du Loop sont ouvertes à 179,90 € avec une livraison le 10 septembre. Six variantes colorées du bracelet sont vendues 19,90 € chacune.
Disponibles depuis quelques jours à peine, les Pixel 10 jouissent d’une avancée majeure dans l’univers Android : en adoptant le Qi2, ils s’ouvrent à la recharge magnétique à 15 ou 25 W1. En réalité, ce ne sont pas les premiers, il y a eu HMD Skyline avant eux, mais ce smartphone a été tellement confidentiel que c’est tout comme.
Si Google commercialise ses propres accessoires baptisés Pixelsnap, les Pixel 10 peuvent d’ores et déjà compter sur la myriade d’accessoires magnétiques qui entourent les iPhone depuis 2020. Pour rappel, le Qi2 découle du MagSafe, la technologie propriétaire d’Apple.
Ce porte-cartes conçu à l’origine pour iPhone va très bien sur un Pixel 10 Pro. Image iGeneration.
Nous avons voulu vérifier la compatibilité en testant plusieurs accessoires avec notre Pixel 10 Pro. Les porte-cartes conçus pour les iPhone se fixent bien au dos du Pixel. En plus de l’anneau d’aimants principal, Google a bien intégré les aimants secondaires destinés à maintenir l’orientation — logique, puisqu’ils font partie du standard. Même constat pour un pied magnétique, qui adhère sans difficulté.
Surtout, les chargeurs Qi2/MagSafe fonctionnent comme attendu. Le chargeur MagSafe d’Apple (le 15 W comme le 25 W) alimente correctement le dernier Pixel. Idem de la part d’un chargeur Qi2 Ugreen et d’une batterie externe Qi2 Anker.
Le chargeur MagSafe d’Apple au dos du Pixel 10 Pro. Image iGeneration.Le Pixel 10 Pro sur un chargeur Qi2 Ugreen, avec son économiseur d’écran activé. Image iGeneration.
Et la batterie externe MagSafe d’Apple ? On pensait que cela passerait crème, mais ce n’est pas le cas. La batterie se met à recharger le Pixel pendant quelques secondes avant de se couper, et ainsi de suite indéfiniment. Au bout du compte, elle recharge bien le smartphone, mais à un rythme boiteux.
De plus — mais on s’y attendait — elle ne bénéficie pas de la même intégration. Là où son niveau restant est affiché dans un widget sur iOS, aucune information ne transparait sur Android. Il faut se reporter à son petit voyant indiquant uniquement si elle est pleine ou non. Ce n’est donc pas une bonne solution pour un Pixel. Les batteries Qi2 des fabricants tiers ont, elles, des LED plus précises, voire de petits écrans.
La batterie MagSafe d’Apple au dos du Pixel 10 Pro. Image iGeneration.La batterie MagSafe ne cesse d’alterner entre ces deux états. Image iGeneration.
Le Qi2 permet une combinaison amusante : en branchant un câble Lightning sur la batterie MagSafe collée au Pixel, on se retrouve en quelque sorte à charger un smartphone Android via Lightning. Ce n’est pas inédit — la batterie peut déjà servir de chargeur Qi basique avec d’autres appareils — mais les aimants incitent ici à le faire.
En revanche, brancher un câble USB-C sur le Pixel 10 ne permet pas de remplir la batterie MagSafe. Souvenez-vous : les iPhone savent le faire grâce à une recharge inversée exclusive à cet accessoire. Les Pixel 9 avaient pourtant une fonction de recharge inversée, mais elle a été retirée de la nouvelle génération à cause… des aimants du Qi2, qui posent problème dans ce cadre, selon Google.
Un Pixel alimenté couci-couça en Lightning. Image iGeneration.
La batterie externe d’Apple n’est pas la seule à avoir un souci de compatibilité avec les Pixel 10, des clients rapportent des ennuis avec d’autres chargeurs magnétiques : soit ils ne chargent pas, soit la puissance ne dépasse pas 5 W. Nous avons nous-mêmes des déboires avec un modèle de Native Union. Il faut souligner que c’est un chargeur magnétique qui n’est ni certifié MagSafe ni Qi2 (il se limite donc à 7,5 W avec les iPhone). Avec le Pixel 10, il se met à recharger avant de couper l’opération presque aussitôt.
En résumé, si vous remplacez votre iPhone par un Pixel 10, sachez que les chargeurs Qi2 fonctionnent sans problème — encore heureux, puisque le standard est officiellement pris en charge par Google. Les chargeurs certifiés MagSafe semblent également convenir, à l’exception de la batterie d’Apple. Par contre, c’est moins assuré pour les chargeurs « MagFake » limités à 7,5 W sur iPhone.
Pour magnétiser les clients d’Apple, Google ne s’est pas arrêté là. Les Pixel 10 ont un équivalent du mode En veille, un écran always-on qui affiche le fond d’écran tout comme les iPhone Pro, des fiches contacts similaires à iOS, une nouvelle application Journal… Bref, tout est fait pour que la transition soit la plus douce possible. Pour en savoir plus, lisez notre aperçu :
La serrure connectée Aqara U200 est en promotion à 189 € sur Amazon, son prix le plus bas à ce jour. Elle est affichée à 199 €, mais en cliquant sur le coupon, vous bénéficierez d’une remise supplémentaire de 10 €. C’est une des meilleures serrures connectées pour les utilisateurs de produits Apple.
Elle exploite Thread et Matter, les deux protocoles modernes dédiés à la domotique, pour se connecter efficacement au réseau domestique et s’intégrer à l’application Maison d’Apple (Apple TV ou HomePod requis pour Thread, autrement le Bluetooth fait office de connexion de secours).
Elle dispose d’un pavé numérique à placer à l’extérieur, qui intègre la puce NFC indispensable au bon fonctionnement des « Clés du domicile » : vous pouvez enregistrer des clés virtuelles dans l’app Cartes et il suffira alors d’approcher votre iPhone ou votre Apple Watch du pavé numérique pour ouvrir la porte.
Serrure Aqara U200 et fonction Clés du domicile. Image iGeneration.
Lancé mi-2024 à 270 €, c’est toujours l’une des meilleures options pour qui veut une intégration profonde à l’iPhone et au reste de l’écosystème Apple. Vous aurez tous les détails dans notre test :
Deux fēnix 8 Pro se portent candidates pour les poignets des sportifs avec un écran microLED pour l'une et une connexion cellulaire et satellitaire sur chacune.
Le choix d'aller vers l'une ou l'autre des deux fēnix 8 Pro se fera en premier lieu sur la base de son budget. Car le modèle avec écran MicroLED, inédit chez Garmin et peu courant ailleurs, est autrement plus cher. Comptez 2 000 € pour le boitier de 51 mm, le seul diamètre proposé. Alors que la version avec un écran AMOLED coûte 1 200 € (47 mm) et 1 300 € (51 mm).
fēnix 8 Pro. Image Garmin.
Garmin insiste sur la forte luminosité de cet écran MicroLED qui atteint 4 500 nits (pour comparaison, l'Apple Watch Ultra 2 plafonne à 3 000 nits). Cela a toutefois des répercussions sur l'autonomie. Le modèle AMOLED (de 51 mm) offre une autonomie maximale de 27 jours en mode montre connectée et 15 jours avec l'écran toujours allumé. Pour la variante MicroLED ces valeurs descendent à respectivement 10 jours et 4 jours (un habitué de l'Apple Watch trouvera cela confortable…).
Le duo se retrouve à égalité sur le critère de la connectivité, elle progresse sérieusement, mais avec quelques contraintes tout de même. Ces fēnix 8 Pro, que leur fabricant promeut pour des activités sportives qui sortent du ronron quotidien, ont des connexions cellulaires et satellitaires qui assurent d'être joignable quasiment en toute occasion et surtout en cas de problème.
Pour le volet satellitaire, Garmin fait exactement comme Google le mois dernier avec sa Pixel Watch 4, il utilise le réseau du Californien Skylo. Ses satellites couvrent les États-Unis, le Canada et une partie de l'Europe (dont la France). S'agissant du centre qui recevra les appels et SOS, le fabricant a déjà ce qu'il faut avec son centre Garmin Response utilisé pour ses produits InReach (Google passe aussi par ce centre en activité 7j/7 et 24h/24).
Image Garmin.
La connexion satellitaire et la cellulaire (qui est indépendante d'un smartphone) reposent sur l'utilisation de l'application Garmin Messenger. On peut passer des appels audio ou envoyer des textos, mais uniquement à destination d'un autre utilisateur de fēnix 8 Pro ou d'une personne ayant l'app installée sur son smartphone. Des vocaux de 30 secondes sont aussi possibles, ou l'envoi du suivi de sa position en direct et lors des très longues sorties on pourra recevoir les bulletins météo.
Ces deux nouvelles fēnix 8 Pro seront disponibles à la commande le 8 septembre.
Si vous cherchez un Mac pour un petit poste de travail ou pour faire office de petit serveur à la maison ou au bureau, cette promotion pourrait vous intéresser. Sur Amazon.it, on trouve actuellement des Mac mini M2 512 Go à 512,96 €. Soit 1 € le giga de stockage ou presque…
Plus sérieusement, cette configuration est assez intéressante. Elle ne dispose que de 8 Go de RAM, mais vous avez 512 Go d'espace de stockage et un port Ethernet, qui est toujours utile quand on a besoin d'avoir un serveur.
Cette configuration est amplement suffisante, si vous cherchez un Mac dans le but d'en faire un serveur de sauvegarde, par exemple. Bien entendu, il faudra sans doute lui adjoindre un support de stockage externe si vos sauvegardes sont volumineuses.
À titre de comparaison, le Mac mini M4 est actuellement en promo à 653 €. La version de base a le mérite d'avoir 16 Go de RAM, mais seulement 256 Go de stockage.
Ce Mac mini M2 est en vente sur Amazon Italie. Vous pouvez le commander en utilisant votre compte français. Si vous n'êtes pas familier avec l'Italien, sachez que le site est également disponible en version anglaise. Au pire, il y a la fonction de traduction automatique de Safari.
Orange continue d’élargir la présence de son service de télévision sur les téléviseurs connectés. L’application Orange TV est désormais disponible sur les télés de LG webOS à partir de 2020, relève Alloforfait.
Application Orange TV sur Apple TV. Image iGeneration.
Avec cette marque supplémentaire, Orange couvre la majeure partie des plateformes de salon. Son application était déjà disponible sur des téléviseurs Samsung, sur les appareils sous Android TV 9 et sur l’Apple TV. Il a fallu faire preuve de patience pour tvOS, mais l’application est finalement arrivée il y a un an et elle s’est depuis améliorée avec une meilleure qualité d’image (mais toujours pas de 4K).
Comme ses concurrents, Orange s’émancipe progressivement de ses décodeurs maison. L’opérateur propose une offre sans boîtier pour les jeunes, pousse des abonnements liés à des télés connectées et multiplie donc les canaux de diffusion pour sa plateforme TV. Orange a modernisé son décodeur l’année dernière, mais les innovations ont ralenti dans ce domaine depuis plusieurs années.
L’application est incluse sans surcoût si vous avez un abonnement Orange qui comprend un décodeur TV. Oui, c’est paradoxal, il faut une offre comprenant un décodeur pour avoir le droit de profiter gratuitement du service sur son Apple TV ou son téléviseur. Sinon, l’option coûte 5 €/mois.
Pour en savoir plus sur les applications de télévision disponibles sur Apple TV, retrouvez notre dossier spécial :
La rentrée peut être brutale : un jour c’est farniente au soleil, le lendemain on se retrouve noyé sous les mails non lus, les dossiers en retard et les sempiternels “on peut faire un call ?”. Heureusement, Godeal24 propose une offre Back to School pour rendre la reprise un peu plus douce.
Office 2021 : la suite classique, sans abonnement
Pour une durée limitée, il est possible de se procurer une licence à vie de Microsoft Office Home & Business 2021 pour Mac à 49,99 €, contre un tarif habituel de 249 €. Il s’agit du prix le plus bas constaté cette année.
Ce pack inclut l’ensemble des outils essentiels pour gérer facilement travail, études ou projets personnels : Word, Excel, PowerPoint, Outlook, Teams (version de base) et OneNote (gratuit). En clair, la suite bureautique classique, conçue pour les utilisateurs de Mac qui souhaitent un logiciel efficace, sans abonnements ni rappels de renouvellement.
Que l’on soit étudiant, entrepreneur ou travailleur à distance, cette offre permet de bénéficier d’une suite complète et fiable, qui couvre la plupart des besoins de productivité.
Une fois l’achat effectué, le code de licence est livré instantanément par e-mail, accompagné des instructions nécessaires pour l’activer.
Office 2024 : l’option IA et collaboration temps réel
La version 2021 d’Office est largement suffisante dans la majorité des cas, mais elle n’inclut ni les fonctions dopées à l’IA comme Copilot, ni le stockage en ligne via OneDrive. Pour ceux qui s’appuient fortement sur le cloud et l’assistance par IA, Microsoft Office 2024 apparaît comme le meilleur choix.
Une licence à vie de Microsoft Office 2024 Home & Business pour Mac ou PC est proposée à 139,99 € au lieu de 299 €, soit 160 € de réduction. Cette édition apporte son lot de nouveautés : collaboration en temps réel, outils de mise en page intelligents et intégration de l’IA dans les applications du quotidien.
Word, par exemple, propose désormais Smart Compose, capable de terminer vos phrases. Il devient aussi possible de résumer un texte, traduire du contenu ou extraire les points clés grâce aux outils de traitement du langage basés sur l’IA.
Chez Godeal24, économisez temps et argent avec des licences Microsoft à prix réduit, des logiciels de sécurité informatique de qualité et divers outils pour votre Mac et PC.
Grâce à la livraison numérique instantanée, recevez votre logiciel directement par e-mail en quelques secondes après votre achat. Avec une note de 98 % d'excellence sur TrustPilot et un support technique disponible 24h/24 et 7j/7, vous pouvez acheter en toute confiance.
Godeal24 s'engage à offrir un support professionnel constant et un service après-vente à vie, assurant une utilisation sereine de vos produits sans souci.
La batterie magnétique Uno de Ugreen, avec écran et pied intégré, profite d'une double promotion chez Amazon qui la fait descendre à 35,27 € (au lieu de 55 € ces dernières semaines). En promotion à 39 €, on peut retrancher encore 10% sur le modèle noir avec un code de réduction.
Images Ugreen.
Ce modèle de 10 000 mAh peut se fixer au dos des iPhone MagSafe (la recharge est limitée à 7,5 W), elle dispose d'un écran TFT qui donne des infos de base sur la charge au moyen d'emojis, d'un pied articulé pour tenir l'iPhone relevé face à soi et d'une sortie USB-C de 20 W pour une recharge filaire si nécessaire. Il servira aussi à remplir la batterie de l'accessoire. Pour utiliser cette batterie nous-mêmes, on la recommande sans hésitation.
ChatGPT fait face en ce moment même a un problème technique. OpenAI indique sur sa page de statut que le service risque de ne pas afficher de réponses sur toutes les plateformes. Nous n’avons pas ce souci de notre côté, mais le pic de dysfonctionnements rapportés sur Downdetector prouve bien qu’il y a un problème d’ampleur.
OpenAI est en train d’enquêter sur cette panne qui a débuté il y a une heure environ. Toutes les applications officielles de ChatGPT (web, Mac, iOS, Android…) ainsi que certaines intégrations (WhatsApp, Codex…) sont touchées. Les API restent en revanche opérationnelles : si vous utilisez ChatGPT par le biais d’une app tierce et d’une clé d’accès, vous n’êtes donc pas affecté.
En attendant un retour à la normale, c’est l’occasion d’explorer d’autres options. Les alternatives ne manquent pas : Gemini, Perplexity, Le Chat Mistral… Le robot conversationnel français vient d'ailleurs de s'améliorer avec la possibilité de mémoriser vos préférences et les infos personnelles de votre choix. Si vous avez un Mac suffisamment costaud, vous pouvez même faire tourner un modèle de langage en local pour ne pas dépendre de serveurs.
Mise à jour à 12 h 35 — OpenAI indique avoir identifié le problème et l’avoir résolu. ChatGPT est normalement rétabli chez tout le monde dès à présent, prêt à répondre (à) tout et n’importe quoi.
Garmin devrait tout prochainement dévoiler sa nouvelle Fenix 8 Pro avec des évolutions importantes sur l'écran et la connectivité. Entre des rumeurs et quelques fuites provenant du site de Garmin même, des caractéristiques de la prochaine Fenix 8 Pro se précisent.
Sur l'écran tout d'abord, Garmin utiliserait la technologie microLED pour obtenir une dépense énergétique moindre malgré une luminosité accrue. Des rumeurs ont longtemps prêté la même intention à Apple, mais cette hypothèse n'a plus donné signe de vie depuis bien plus d'un an. Dans le cas de Garmin, ce pourrait être une variante de la Fenix 8 Pro vendue à côté du modèle AMOLED plus classique. Ce n'est pas encore très clair.
L'autre nouveauté de poids serait l'ajout d'une connexion cellulaire 4G ou 5G RedCap (plus adaptée aux petits appareils ayant des besoins moindres en débit et des limites sur l'autonomie) et possiblement satellitaire également. Ce serait l'occasion pour la montre de Garmin de rattraper un sérieux retard sur ses concurrentes. Des images officielles ont révélé une fonction de SOS comme on en connaît sur l'Apple Watch et d'autres. La question est de savoir par quel type de connexion elle fonctionnera sur la Garmin.
The5krunner, qui suit de près ces rumeurs, avance plusieurs hypothèses et rappelle quelques faits qui militent pour une connexion vers des satellites, avec ou sans téléphone à ses côtés.
D'abord, Garmin n'est pas un novice en la matière avec son service InReach utilisé par des accessoires dédiés pour appeler et communiquer depuis des zones éloignées. Ensuite, avec sa Pixel Watch 4, Google a montré il y a quelques semaines une montre connectée capable de joindre des satellites sans la présence d'un smartphone (au départ ce ne sera proposé qu'aux États-Unis). Une capacité que l'on espère aussi pour l'Ultra 3 de cet automne.
Ensuite, si Google n'utilise pas le réseau satellitaire Iridium comme le fait InReach, c'est toutefois le centre de réponse de Garmin qui gèrera les SOS émis par les propriétaires de Google Watch. Garmin dispose ainsi de plusieurs pièces du puzzle, il ne reste plus qu'à le révéler, dans quelques jours probablement.
Tim Cook peut souffler : Google pourra continuer de verser 20 milliards de dollars par an à Apple pour rester le moteur de recherche par défaut de Safari. C’était l’un des enjeux majeurs du procès opposant Google au département de la Justice des États-Unis pour abus de position dominante.
Après un an de suspense, un juge fédéral a décidé que Google n’avait pas à vendre Chrome et que son très gros contrat avec Apple n’avait pas à être remis en cause. « Google ne sera pas empêché d’effectuer des paiements ou d’offrir d’autres contreparties à ses partenaires de distribution pour la préinstallation ou la mise en avant de Google Search, de Chrome ou de ses produits d’intelligence artificielle générative », a écrit le juge Amit Mehta. Une décision justifiée ainsi :
Supprimer ces paiements de la part de Google entraînerait presque à coup sûr des préjudices importants — parfois même paralysants — pour les partenaires de distribution, les marchés connexes et les consommateurs, ce qui plaide contre une interdiction générale des paiements.
La fin de ce partenariat aurait fait un gros trou dans son activité dédiée aux services, mais Apple aurait pu absorber le choc. Ce n’est pas le cas de Mozilla, dont 85 % du chiffre d’affaires de Firefox provient de Google. La fondation avait plaidé pour le maintien de ce type d'accord, sans quoi elle risquait de disparaître.
Pour défendre son juteux partenariat avec le groupe de Mountain View, Apple a adopté un double discours. D’un côté, Eddy Cue a assuré que Google offrait le meilleur moteur de recherche, et qu’Apple voulait offrir le meilleur à ses clients. D’un autre côté, le responsable des services de Cupertino a aussi présenté Google Search comme un service en léger déclin face aux nouveaux moteurs dopés à l’IA. Une manière de dire qu’il est inutile de remettre en cause le partenariat, le marché se chargeant lui-même de concurrencer sérieusement Google.
Le jugement précise par ailleurs que Google ne sera pas tenu d’afficher un écran de choix de navigateur ou de moteur de recherche sur ses produits — cette obligation reste en vigueur en Europe, où Google doit proposer des alternatives, tout comme Apple.
Bien que la décision écarte les sanctions les plus lourdes, Google a annoncé son intention de faire appel. L’entreprise conteste d’autres obligations, notamment le partage de données de Search avec ses rivaux.
À la suite du jugement, l’action en Bourse d’Apple a grimpé de 4,3 % en fin de séance et celle de Google de 8,7 %.
OpenAI s’intéresse enfin à la santé de ses plus jeunes utilisateurs et vient d’annoncer le déploiement de futurs outils de contrôle parental. La nouvelle tombe peu après le suicide d’un adolescent américain qui avait demandé des conseils à ChatGPT sur les différentes façons d’en finir. « Bien qu'il ait pris connaissance de la tentative de suicide et de sa déclaration selon laquelle il "passerait à l'acte un de ces jours", ChatGPT n'a ni mis fin aux discussions ni déclenché de protocole d'urgence », indique la plainte des parents.
Le New York Times a récemment mis en lumière l’histoire de ce jeune de 16 ans ayant discuté de sa dépression avec ChatGPT pendant des mois avant de lui demander des conseils pour mettre fin à ses jours. Le chatbot a donné des éléments de réponse, et même des astuces pour éviter d’attirer l’attention. ChatGPT a bien des garde-fous, mais l’adolescent avait réussi à les outrepasser en prétextant se renseigner pour écrire une histoire. « ChatGPT a tué mon fils », a déclaré sa mère, tandis que son père estime qu’il serait encore là sans le chatbot. C’est la première fois qu’OpenAI est attaqué par une famille pour ce genre de dossier.
La startup a donc annoncé quelques outils. À l’avenir, les parents devraient pouvoir lier leurs comptes ChatGPT à celui de leurs enfants de 13 ans ou plus via une invitation par mail. Ils pourront alors vérifier les règles de comportement mises en place sur le modèle (activées par défaut), mais aussi désactiver certaines fonctions, comme la mémoire ou l’historique de conversation. Ils devraient également recevoir des notifications lorsque ChatGPT détecte qu’un ado est en détresse. Le système envoie déjà des alertes aux utilisateurs quand il remarque qu’ils passent trop de temps à discuter avec le modèle.
De plus, certaines discussions sensibles seront redirigées vers GPT-5-Thinking, plus à cheval sur les règles de sécurité même pendant les longues conversations. « Les travaux sont déjà en cours, mais nous souhaitons présenter de manière proactive nos projets pour les 120 prochains jours afin que vous n'ayez pas à attendre les lancements pour savoir où nous allons », a déclaré OpenAI dans son billet de blog. « Le travail se poursuivra bien au-delà de cette période, mais nous nous efforçons de lancer autant d'améliorations que possible cette année ».
Apple prépare manifestement une gamme légèrement retravaillée pour ses produits audio sous marque Beats, avec cinq nouveaux coloris. MacRumors a trouvé, probablement dans la dernière bêta d’iOS 26, cinq nouvelles vidéos qui s’animeront lors de la première connexion d’un casque ou d’une paire d’écouteurs. Ces vidéos présentent des produits déjà connus, dans des coloris toutefois différents de ceux actuellement proposés.
Les deux nouveaux Studio Pro. Image MacRumors.
Au programme, le gros casque Studio Pro devrait gagner deux couleurs, avec une version « ardoise foncée » et un rose qui semble bien clair. Le plus petit casque Solo 4 aurait lui aussi du rose, cette fois de l’or rose qui semble plus marqué (il faut dire qu’il existe déjà une version rose pale), ainsi que du champagne bien doré. Enfin, les écouteurs Solo Buds devraient recevoir une couleur crème qu’Apple nommerait en interne « glaçage », tout un programme.
On ne sait pas quand ces nouveaux produits sortiront, mais la présence de ces animations suggèrent que la commercialisation est imminente. Il faut dire que les produits sous la marque Beats, contrairement aux AirPods d’Apple qui ne bougent quasiment jamais, ont constamment droit à de nouvelles versions, avec parfois des éditions limitées. Ainsi, l’Apple Store en ligne américain dispose de cette magnifique (?) variante du casque Solo 4 conçue en partenariat avec JENNIE. Outre la couleur rouge, elle se distingue surtout par l’étonnante présence de deux boucles de tissu sur le côté, c’est original au moins.
Le Solo 4 avec ses petites bouclettes latérales, ça change tout. Image Apple.
Ce produit n’est pas encore disponible, mais cela ne devrait pas tarder non plus. On ne sait pas si le prix sera différent, ni si ce modèle sera vendu de ce côté de l’Atlantique.
Continuons notre revue d'effectifs des appareils d'Apple qui devraient être présentés la semaine prochaine. Après la gamme iPhone 17 Pro et les AirPods Pro 3, intéressons-nous à l'iPhone 17.
La “plus grande nouveauté”, c’est la disparition annoncée de l’iPhone 17 Plus. Malgré de vraies qualités, notamment en matière d’autonomie, ce modèle n’a jamais réussi à trouver sa place dans la gamme. Pas mieux, en somme, que l’iPhone mini. L’avenir nous dira si l’iPhone Air, attendu la semaine prochaine, saura échapper à ce sort funeste réservé aux terminaux coincés entre le standard et le Pro. Mais intéressons-nous à l'iPhone 17.
L’iPhone 17 reprendra globalement le design de l’iPhone 16, avec toutefois un écran un peu plus grand. On passerait ainsi de 6,1 à 6,3 pouces, soit la même taille que l’iPhone 16 Pro.
La grande inconnue - Image Apple / iGeneration
L'écran est véritablement le grand axe d'amélioration de ce modèle. Outre des bordures plus fines, l'iPhone 17 offrirait enfin un taux de rafraîchissement de 120 Hz, ce qui donnerait l’impression d’une plus grande fluidité. Il n'est pas certain pour autant que cet écran dispose de la technologie ProMotion, qui ajuste dynamiquement la fréquence de rafraichissement selon ce qui est affiché à l’écran.
De cela dépend sans doute la présence du mode « always on », qui permet l’affichage de l’heure et de quelques autres informations supplémentaires en permanence sur l’écran. Pour un téléphone vendu près de 1000 €, ce serait en tout cas la moindre des choses.
A19 : une nouvelle puce pour l'iPhone 17
Finalement, L’iPhone 17 devrait bien embarquer une nouvelle puce. Gravé avec un procédé 3 nm de nouvelle génération, le SoC A19 devrait offrir un peu plus de puissance que les modèles actuels, mais il ne faut pas s'attendre à un écart transcendant. Il est possible qu'Apple ait concentré ses efforts sur des points bien précis.
Comme souvent, face à l’A19 Pro attendue sur les modèles Pro, cette A19 devrait se contenter de moins de cœurs GPU.
L'un des axes d'amélioration cette année serait une meilleure dissipation de la chaleur. Pour cela, Apple aurait recours pour la première fois au refroidissement liquide sur un smartphone. Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, nous vous recommandons la lecture de cet article :
L’iPhone 17 Air devrait utiliser le modem maison C1 d’Apple, tandis que les iPhone 17 et 17 Pro continueraient de miser sur la technologie de Qualcomm pour la 5G.
En revanche, toute la gamme iPhone 17 profiterait du tout premier composant Apple dédié au Wi-Fi et au Bluetooth, avec prise en charge du Wi-Fi 7. De quoi améliorer l’efficacité et la stabilité de la connexion, et au passage grappiller un peu d’autonomie.
Du mieux pour la photo
Toute la gamme iPhone 17 passerait à une caméra frontale de 24 Mpx, contre 12 Mpx aujourd’hui. De quoi améliorer la qualité des clichés et offrir plus de marge pour recadrer ses selfies.
À l’arrière, l’iPhone 17 conserverait les capteurs grand-angle et ultra grand-angle de 48 Mpx déjà présents sur l’iPhone 16. Aucune rumeur ne laisse entendre pour l’instant une évolution de ce côté-là.
Prix et disponibilité
Un mot sur la charge : l'iPhone 17 sera en toute logique compatible MagSafe et offrira la prise en charge de Qi 2.2, ce qui autorisera une charge sans fil pouvant monter jusqu'à 25 Watts. En ce qui concerne les couleurs, l'iPhone 17 devrait être proposé en noir, blanc, gris acier, vert, violet et bleu clair.
Au sujet du prix, on a entendu tout et son contraire. Aux dernières nouvelles, la hausse des prix pourrait ne concerner que l'iPhone 17 Pro, qui en contrepartie embarquerait 256 Go d'espace de stockage sur le modèle entrée de gamme.
De manière générale, cet iPhone 17 monte en gamme. Avec les améliorations attendues au niveau de la photo et de l'écran, ce modèle pourrait éventuellement convaincre des utilisateurs qui sont plutôt clients des modèles Pro d'opter pour lui. L'avenir nous le dira. Mais l'autre nouveauté de cet iPhone 17, c'est son cycle de vie qui devrait être plus long. L'iPhone 18 n'est pas attendu à la rentrée 2026, mais au printemps 2027 !
Connexion
