La majorité des boîtiers et des SSD externes vendus ne dépasse pas 10 Gb/s sur les Mac (environ 1 Go/s), parce qu'Apple ne prend pas en charge l'USB 3.2 Gen 2x2. Mais il y a heureusement une solution : l'USB4 à 40 Gb/s. La norme, disponible depuis les Mac équipés d'une puce M1, permet d'atteindre 3,6 Go/s et est même plus rapide que le Thunderbolt 4. Un boîtier Orico à cette norme est justement en promotion pour le moment, à 73 € au lieu de 96 €.
Le boîtier. Image Orico.
C'est un boîtier externe fourni avec un câble USB4 et un adaptateur USB-C vers USB-A. Il accepte n'importe quel SSD M.2 (du 2230 au 2280), mais nous vous conseillons d'intégrer un modèle PCI-Express 4.0 pour saturer l'interface USB4 (comme le Crucial P3 Plus). Contrairement au ZikeDrive que nous avons testé, un modèle assez massif refroidi passivement, le modèle d'Orico est refroidi activement, pour éviter la surchauffe du SSD et des pertes de performances. Vous n'éviterez pas les nuisances sonores (Orico n'indique pas si le ventilateur est asservi à la température) mais les performances seront plus constantes. La puce employée est la même que la majorité des modèles de type : le contrôleur ASM2464.
Si Nothing lance régulièrement de nouveaux produits au design transparent, l’entreprise a également une marque plus abordable nommée CMF. Celle-ci vient de présenter sa Watch 3 Pro, un wearable pensé pour les sportifs et vendu moins de 100 €. La montre embarque un écran AMOLED de 1,43" 10 % plus grand que le modèle précédent. Son GPS bi-bande est maintenant plus précis.
Image Nothing
Cette édition améliore le capteur de fréquence cardiaque et le suivi du sommeil. On nous promet plus de 130 modes pour les sportifs avec des conseils de course générés par IA. Le concept se base sur ChatGPT et peut aider à créer des plans d’entraînements. CMF explique qu’il est possible de papoter avec l’assistant depuis son poignet, par exemple, pour lui demander de prendre une note ou de passer un coup de fil.
L’accessoire est désormais certifié IP68, ce qui fait que l’on pourra l’utiliser dans l’eau. Il peut suivre l'oxygène dans le sang, le stress et propose des exercices de respiration guidés. On y trouve également des outils pour la santé des femmes ainsi que des rappels pour l'inactivité et l'hydratation. On notera que le fabricant a abandonné son système de lunettes interchangeables qui permettait de personnaliser sa montre.
Image Nothing
La Watch 3 Pro fonctionne avec l'application Nothing X, et une intégration avec Santé est disponible. L’autonomie annoncée est de 13 jours « en utilisation normale » et de 4 jours et demi avec l’écran toujours allumé. Elle est vendue pour 99 € sur le site du fabricant, où elle est disponible en 3 couleurs : orange, gris clair et gris foncé. Elle sera sans doute lancée dans les semaines qui viennent sur Amazon.
Dans le monde grand public, la capacité des SSD se limite habituellement à 8 To, même si Apple propose la possibilité de monter à 16 To dans le Mac Studio. Mais dans le monde professionnel, la limite est bien plus haute : Kioxia, une société issue de Toshiba, a annoncé un modèle de 245 To, le LC9.
Trois variantes du LC9. Image Kioxia.
C'est un SSD NVMe interfacé en PCI-Express 5.0 (4x) capable d'atteindre 12 Go/s en lecture, une valeur élevée. En écriture, c'est un peu plus faible, avec seulement 3 Go/s. La raison est simple : pour atteindre une telle capacité, Kioxia emploie de la mémoire QLC (4 bits par cellule) avec une densité hors norme. Chaque composant intègre 32 couches et peut contenir jusqu'à 8 To de données. L'endurance annoncée est en écriture par jour, avec un facteur de 0,3, soit la possibilité d'écrire 30 % de l'espace tous les jours. En partant sur une garantie de 5 ans, le modèle de 245 To peut donc accepter environ 135 Po d'écriture.
Les caractéristiques du LC9. Image Kioxia.
Le LC9 est prévu en format 2,5 pouces (U.2, un format qui reprend le 2,5 pouces du SATA avec un connecteur PCI-Express) et en E3.S, un format physique légèrement plus grand (112 x 76 x 7,5 ou 16,8 mm) que le 2,5 pouces (100 x 70 x 7,5 à 15 mm). Dans ces deux formats, la capacité maximale est de 122 To (122 800 Go). La version de 245 To (245 760 Go), elle, est en E3.L, une version plus longue (142 x 76 x 7,5 ou 16,8 mm). Kioxia ne donne pas le prix des SSD LC9, mais tant la capacité que les performances montrent qu'ils ciblent évidemment les entreprises qui ont un budget élevé.
Le spécialiste de la domotique pas chère Meross vient de lancer un nouveau détecteur de fumée : le MA151. Il est compatible Matter pour peu que vous ayez un hub MSH450 et a l’avantage d’être 3-en-1. Il combine détection de fumée, détection d'intrusion et de sabotage (si quelqu’un venait à essayer de le décrocher) en un seul appareil.
Le fabricant vante une alarme de 85 dB qui s’entend sur 3 mètres, tandis que le hub active en parallèle une seconde sirène de 110 dB. Il est possible d’ajouter une automatisation afin de couper l'alimentation d’appareils gourmands en cas d’incendie. On pourra également le lier à des détecteurs de porte et de présence, le détecteur de fumée faisant alors office de sirène.
Sur la fiche produit, Meross explique utiliser des capteurs avancés pour éviter les fausses alertes, par exemple en cas de vapeur. Il fonctionne à l’aide de piles AA remplaçables d'une durée de vie de 3 ans. Le détecteur est disponible pour 30 $ sur le site de Meross et arrivera sans doute par la suite sur la boutique Amazon du fabricant.
Alors que les références d'écrans 6K pouvaient se compter sur les doigts d'une main d'un yakuza jusqu'il y a peu — l'Apple Pro Display XDR à 5 500 € sans le pied et le Dell U3224KBA, trouvable pour la moitié du prix —, les annonces se succèdent dans ce domaine. Asus a annoncé son ProArt PA32QCV (1 385 €), Acer le ProCreator PE320QXT ou LG l'UltraFine 6K 32U990A. Mais une marque a un modèle qui est visiblement disponible : Kuycon.
Kuycon ou Apple ?
Le G32P est annoncé pour 1 700 $ aux États-Unis et semble disponible. La marque, elle, le vend dans nos contrées pour 1 800 €, avec une disponibilité d'ici la fin du mois d'août. Le premier point à noter est que la dalle n'est pas la même que celle d'Apple ou Asus : les deux marques annoncent une définition de 6 016 x 3 384, Kuycon est en 6 144 x 3 456. La diagonale est la même (32 pouces), mais les caractéristiques techniques sont plus faibles. La marque annonce une fréquence de rafraîchissement de 60 Hz (probablement fixe), un contraste de 2000:1 avec la technologie Nano IPS Black de LG et une luminosité de 500 cd/m². Le HDR est visiblement pris en charge, mais la luminosité maximale est la même (500 cd/m²), ce qui est trop faible pour des effets saisissants. La marque annonce une couverture de 99 % de l'espace DCI-P3, ce qui est devenu un classique.
Kuycon ou Apple ?
Il est fourni avec un câble HDMI, un adaptateur VESA, un câble DisplayPort, une clé USB de 8 Go et deux adaptateurs USB-C vers USB-A. La connectique comprend une entrée DisplayPort 2.1, une entrée HDMI 2.1 et une entrée USB-C compatible DisplayPort 2.1. L'écran est capable de fournir 100 W à un ordinateur portable. Et s'il n'intègre pas de haut-parleurs, il a une sortie jack 3,5 mm pour récupérer l'audio. Attention, s'il propose bien un hub USB avec deux prises USB-C, elles sont limitées à l'USB 2.0 (480 Mb/s). Une limite classique dans ce genre de moniteurs, liée au fait qu'il n'est pas Thunderbolt mais USB-C. La bande passante nécessaire pour afficher en 6K ne permet en effet pas de laisser passer en parallèle un débit suffisant pour de l'USB 3.0.
Son positionnement tarifaire reste tout de même assez moyen : Asus va proposer un modèle plus complet et moins cher… et sans copier sans vergogne l'esthétique du modèle d'Apple.
Free continue d’améliorer son forfait à 19,99 € par mois. L’opérateur de Xavier Niel a annoncé que 4 nouveaux pays allaient rejoindre la longue liste des pays éligibles à l’enveloppe de data à l’étranger. Il s’agit du Vietnam, de la Tanzanie (y compris Zanzibar), de la Moldavie et des Palaos. Ces nouvelles zones sont activées sans manipulation nécessaire de la part de l’abonné.
Le forfait Free 5G inclut 35 gigas par mois dans un total de 117 destinations. On y retrouve une très grande partie des pays européens, mais aussi les États-Unis, le Canada, l’Australie, la Chine ou la Russie. L’opérateur améliore régulièrement son offre et a ajouté l’année dernière la Corée du Sud, Hong-Kong/Macao et l’Égypte. Une carte est disponible en ligne pour voir les pays couverts, qui n’a pas encore été mise à jour avec les 4 petits derniers.
Le forfait Free 5G est facturé 19,99 € par mois, ou 9,99 € pour les abonnés Freebox Pop. Il est sans engagement et comprend 350 Go dans l’Hexagone, les débits étant réduits au-delà. L’offre inclut depuis quelque temps un abonnement de 12 mois à la plateforme d’IA Le Chat de Mistral.
Avec l'ouverture de l'accès à la puce NFC par l'Europe, Apple Pay perd peu à peu son pré fermé dans l'iPhone. Il y a eu Curve Pay en France, bientôt PayPal en Allemagne et maintenant MB WAY au Portugal.
Image pplware.
La dernière version de l'application du service de paiement, qui n'est pas disponible ici, permet en effet de remplacer Apple Pay par MB WAY dans l'app Cartes de l'iPhone. Il est donc possible d'effectuer un paiement sur un terminal de la même façon qu'avec Apple Pay. MB WAY est un peu l'équivalent de Wero dans le reste de l'Europe : le service permet du paiement entre utilisateurs en employant un numéro de téléphone, mais permet aussi de créer une carte virtuelle pour des paiements classiques, à travers un terminal ou même un code QR. Une fois le service intégré à l'iPhone, il suffit d'approcher le smartphone d'un terminal pour payer en s'authentifiant.
Après plus de 10 ans de développement, Intel vient de tirer le rideau sur Clear Linux OS, sa distribution optimisée pour le matériel maison. Lancée en 2015, ses binaires sont compilés en utilisant des réglages conçus spécifiquement pour les processeurs Intel. Le système était minimaliste, mais avait l’avantage d’être modulaire et d’embarquer un outil d’optimisation automatique des performances.
Une capture d’écran de Clear Linux avec Gnome. Image Leo Navis
Dans un communiqué, Intel indique qu’il n’y aura plus de mise à jour de sécurité, de correctifs ou de maintenance. Les utilisateurs sont donc invités à migrer vers un autre système, tandis que le dépôt GitHub va bientôt être archivé.
Soyez assurés qu'Intel reste profondément investi dans l'écosystème Linux, en soutenant activement et en contribuant à divers projets open source et distributions Linux de façon à assurer la compatibilité et optimiser les composants Intel.
Intel n’a pas donné de raison à cet arrêt soudain, mais on peut imaginer que le projet coûtait cher à maintenir pour un nombre d’utilisateurs marginal. Clear Linux OS s’appuyait sur son propre système de gestion des paquets et de mise à jour, ce qui nécessite des ressources techniques importantes. Le projet n’est probablement plus une priorité à l’heure où l’entreprise est en difficulté : son CEO a récemment admis qu’Intel n’était plus dans le top 10 des boîtes de semi-conducteurs.
Deux boutiques LDLC spécialisées dans l'univers Apple ont baissé le rideau dans le courant du mois. Les magasins de Marseille et de Mauguio dans le Sud sont définitivement fermés depuis le 10 juillet.
Depuis 2017 LDLC avait investi dans un réseau de revendeurs agréés Apple en achetant des enseignes telles que BIMP (propriété d'Olys restée une filiale de LDLC) qui avait elle même absorbé iTribu. De ce jeu de poupées russes étaient sortis 16 magasins LDLC agréés Apple. Les 14 qui restent sont à Lyon, Champagne au Mont d'Or, Grenoble, Annecy, Besançon, Chambéry, Clermont-Ferrand, Nîmes, Perpignan, Saint-Étienne et Valence. LDLC avait obtenu un agrément Apple dès 2013.
La page de la boutique de Marseille. Source LDLC.
En juin dernier, le Groupe LDLC qui comprend plusieurs enseignes, dont Rue du Commerce depuis l'été dernier, a généré un chiffre d'affaires annuel de 534,5 millions d'euros en baisse de 7,6 % et une perte de 10,9 millions contre 200 000 euros l'année précédente. En mars, deux plans de sauvegarde de l'emploi (PSE) avaient été approuvés pour des salariés de LDLC et de sa filiale Olys avec 88 licenciements économiques à la clef (68 postes d'un côté, 20 de l'autre) sur un effectif de 1 149 personnes.
Dans le communiqué de juin, Olivier de la Clergerie, Directeur général du Groupe LDLC, déclarait : « L’exercice 2024-2025 a été marqué
dans son ensemble par un environnement économique et politique complexe conduisant les consommateurs
à faire preuve de prudence et les entreprises à différer certains investissements impactant ainsi son niveau d’activité ». Et de tabler sur un rebond à venir : « La demande en produits high-tech est appelée à se renouveler sous l’effet des innovations technologiques et des besoins croissants des consommateurs. »
[Mise à jour à 11h45] : Sollicité sur les raisons de ces fermetures, LDLC nous a répondu : « Le Groupe LDLC n’a pas de commentaire à faire. Ces fermetures se font dans le cadre du PSE annoncé le 3 mars 2025. »
Chaque semaine, des messages suspects défilent sur nos téléphones et dans nos boîtes mail. Des alertes de colis non livrés, des relances bancaires douteuses, des numéros inconnus qui tentent leur chance. On les ignore, on soupire, et on continue. Le vrai danger, c’est peut-être cette routine.
À force de recevoir des tentatives d’arnaques grossières, on finit par développer une forme d’immunité mentale. On reconnaît les fautes, les liens douteux, les adresses mail absurdes. Mais parfois, au milieu du flot, un message sort du lot. Il est bien tourné. Il tombe au bon moment. Il semble plausible. Et c’est là que le piège peut se refermer, presque discrètement.
Ce n’est pas la faute du destin, ni celle d’un moment d’inattention. C’est le fruit d’un écosystème qui a appris à manipuler les données pour les rendre plus précieuses, plus contextuelles, plus convaincantes.
Des données qui parlent à votre place
Ce n’est pas un hasard si certains messages vous atteignent avec une telle précision. Ils s’appuient sur des données personnelles collectées au fil des années : votre nom, vos habitudes d’achat, votre localisation, parfois même votre numéro de téléphone ou votre adresse postale. Et ces données n’ont pas été piratées. Elles ont été revendues.
C’est exactement ce que font les data brokers. Leur métier est de récolter des informations par dizaines de milliers via des formulaires, des applications, des services gratuits ou des jeux-concours, puis de les revendre à des entreprises… ou à des clients moins scrupuleux. Et à ce stade, votre capacité à “ignorer” les messages ne suffit plus. Il faut intervenir à un autre niveau.
Réduire l’exposition avant qu’elle ne se retourne contre vous
La bonne nouvelle, c’est que la loi vous permet d’agir. En Europe notamment, le RGPD vous donne le droit de demander à n’importe quel courtier de données de supprimer ce qu’il détient sur vous. Mais dans la pratique, difficile de contacter un à un des centaines de courtiers inconnus, parfois situés à l’étranger, qui ne répondent pas toujours à la première demande.
C’est ici qu’un service comme Incogni prend tout son intérêt. Il vous permet de déléguer cette tâche fastidieuse, en envoyant automatiquement des demandes légales de suppression à votre place.
Une fois le mandat signé, Incogni prend le relais : les démarches sont lancées, les réponses suivies, les refus relancés, et les suppressions vérifiées. Tout cela depuis une interface claire, sans jargon technique, où l’on voit les résultats s’afficher au fil des semaines.
Une approche discrète, mais redoutablement efficace
Contrairement aux solutions qui agissent en temps réel, Incogni joue sur la durée. Ce qu’il propose, ce n’est pas de bloquer un danger ponctuel, mais de réduire structurellement votre exposition à des risques futurs. Ce travail silencieux permet de limiter les probabilités qu’un message ciblé vous atteigne avec suffisamment de justesse pour devenir crédible.
Ce n’est pas spectaculaire. Il n’y a pas d’alerte, pas d’animation ni de tableau de menaces rouges. Mais en toile de fond, vos informations disparaissent progressivement des bases les plus dangereuses. C’est peut-être ce qu’il manque à notre époque numérique : un outil qui ne promet pas d’éteindre les incendies, mais d’éviter qu’ils prennent.
Les formules Incogni en 2025
Individuel mensuel : 14,48 €
Individuel annuel : 87,48 € (soit 7,29 €/mois)
Famille mensuel : 30,98 €
Famille annuel : 185,88 € (soit 15,49 €/mois)
Unlimited annuel : 12,99 €/mois (individuel) ou 25,49 €/mois (famille)
Mise à jour 22/07 — À ne pas en douter, le MacBook Air M4 a été l’une des stars de cette période de soldes et des Prime Day. On trouve encore des offres intéressantes, comme ce MacBook Air 13” avec 16 Go de RAM et 512 Go à 1241 €. C’est une remise de 208 € sur son prix normal.
En 15”, l’offre la plus intéressante porte sur la même config : 16 Go de RAM et 512 Go de SSD pour 1514 €, soit une remise de 235 € !
Mise à jour 28/06 — Les soldes ont dramatiquement accéléré la baisse des prix des MacBook Air M4. Autrement dit, c’est maintenant ou jamais.
Le modèle entrée de gamme se négocie actuellement à 958 € en noir sur Amazon. On l’a vu quelques euros plus bas hier, mais cela reste un prix canon. Mais c’est surtout le modèle que l’on aurait tendance à conseiller à tout le monde, celui avec 16 Go de RAM et 512 Go de SSD. Pour la première fois, son prix est passé sous les 1300 € ! Et pas qu’un peu, puisque les modèles bleu et noir sont proposés tous les 2 à 1256 €. Que demander de plus ?
Mise à jour les 24 et 25/06 : L'une des configurations a légèrement baissé encore, atteignant son prix le plus bas selon les coloris.
Mise à jour 19/06 — Les prix continuent de baisser régulièrement sur certains modèles, notamment sur le 13” entrée de gamme qui commence à se rapprocher des 1000 € ! Sur d’autres configurations, les prix sont stables, mais on a le choix de la couleur !
Les modèles 13" :
MacBook Air M4 de 16 Go/256 Go : 1027 € en gris, 1 056 € en bleu, 1 082 € en noir et 1 089 € en lumière stellaire . Prix public : 1 199 €
MacBook Air M4 de 16 Go/512 Go : 1 306 € en bleu, 1 307 € en lumière stellaire, 1 307 € en gris et 1 307 € en noir. Prix public : 1 449 €
MacBook Air M4 de 24 Go/512 Go : 1 549 € en noir, 1 590 € en bleu et 1 585 € en gris - Prix public : 1 699 €
Les modèles 15” :
MacBook Air M4 de 16 Go/256 Go : 1 349 € en gris, 1 351 € en lumière stellaire et noir et 1 389 € en bleu, - Prix public : 1 499 €
MacBook Air M4 de 16 Go/512 Go : 1 571 € en lumière stellaire , 1 578 € en bleu et 1 640 € en et noir - Prix public : 1 749 €
MacBook Air M4 de 24 Go/512 Go : 1 801 € en lumière stellaire et bleu, 1 833 € en noir et 1 889 € en gris - Prix public : 1 999 €
Que ce soit dans sa version 13" ou dans celle de 15", le MacBook Air M4 est un ordinateur portable que l’on recommande les yeux fermés au plus grand nombre. Il a tout pour lui : il est léger, il a une excellente autonomie, il est puissant… Le fait qu’il embarque 16 Go de RAM par défaut facilite d’autant plus le choix. Seuls les 256 Go de stockage de base peuvent être gênants, sauf si on a l'habitude de travailler et stocker en ligne ou sur des supports externes. Les différences entre le 13" et le 15" portent uniquement sur la taille de l'écran et l'encombrement. Le second n'est pas plus puissant ou mieux équipé que le premier, même leur autonomie est identique.
MacBook Air M4 de 24 Go/512 Go : 1 801 € en lumière stellaire et bleu, 1 842 € en noir et 1 889 € en gris - Prix public : 1 999 €
Que ce soit dans sa version 13" ou dans celle de 15", le MacBook Air M4 est un ordinateur portable que l’on recommande les yeux fermés au plus grand nombre. Il a tout pour lui : il est léger, il a une excellente autonomie, il est puissant… Le fait qu’il embarque 16 Go de RAM par défaut facilite d’autant plus le choix. Seuls les 256 Go de stockage de base peuvent être gênants, sauf si on a l'habitude de travailler et stocker en ligne ou sur des supports externes. Les différences entre le 13" et le 15" portent uniquement sur la taille de l'écran et l'encombrement. Le second n'est pas plus puissant ou mieux équipé que le premier, même leur autonomie est identique.
Mise à jour les 21 et 23 mai : Amazon a procédé à de nouveaux ajustements (dans le sens d'une baisse de prix) et des références sont revenues en stock à de bons prix.
Les modèles 13" :
MacBook Air M4 de 16 Go/256 Go : 1 082 € en noir et en gris, 1 089 € en lumière stellaire et 1 099 € en bleu. Prix public : 1 199 €
MacBook Air M4 de 16 Go/512 Go : 1 307 € en lumière stellaire, 1 326 € en gris, 1 328 € en bleu et 1 344 € en noir. Prix public : 1 449 €
MacBook Air M4 de 24 Go/512 Go : 1 552 € en lumière stellaire, 1 561 € en bleu, 1 585 € en noir et 1 586 € en gris - Prix public : 1 699 €
MacBook Air M4 de 24 Go/512 Go : 1 801 € en lumière stellaire, 1 802 € en bleu, 1 851 € en noir et 1 889 € en gris - Prix public : 1 999 €
Mise à jour le 14 mai — Amazon est toujours aussi agressif sur les prix. Petit récap des promotions sur les MacBook Air M4.
Les modèles 13” :
MacBook Air M4 13” 16 Go de RAM - 256 Go de SSD : 1 082 € en noir et en gris, 1 089 € en lumière stellaire et 1 099 € en bleu. Prix public : 1 199 €
MacBook Air M4 13” 16 Go de RAM - 512 Go de SSD : 1 307 € en noir, 1 331 € en bleu et 1349 € en gris. Prix public : 1449 €
MacBook Air M4 13” 24 Go de RAM - 512 Go de SSD : 1 599 € dans toutes les couleurs - Prix public : 1 699 €
On a beaucoup insisté dessus, mais pour un achat très long terme, privilégiez le modèle avec 512 Go de SSD. Le modèle noir, par ailleurs, est très élégant, mais est un aimant pour les empreintes de doigts.
Les modèles 15” :
MacBook Air M4 15” 16 Go de RAM - 256 Go de SSD : 1 399 € en bleu et en noir - Prix public : 1 499 €
MacBook Air M4 15” 16 Go de RAM - 512 Go de SSD : 1 649 € dans toutes les couleurs - Prix public : 1 749 €
MacBook Air M4 15” 24 Go de RAM - 512 Go de SSD : 1 801 € en lumière interstellaire, 1 808 € en bleu, 1857 € en noir et 1 889 € en gris - Prix public : 1 999 €
Mise à jour le 12 mai : une configuration solide a baissé encore de prix, celle du MacBook Air M4 en 15" avec 24 Go de RAM et 512 Go de SSD. Le coloris Lumière stellaire coûte 1 801 €, c'est presque 200 € de moins que l'Apple Store (-198 €) pour cette version avec son plus grand écran. Les 512 Go de stockage sont une bonne moyenne et les 24 Go de RAM offrent une capacité très confortable sur cette gamme, c'est mieux que les versions de base des MacBook Pro (16 Go).
Mise à jour le 10 mai : en ce qui concerne les MacBook Air M4 13”, les prix sont toujours au plus bas.
1082 € pour le modèle de base en noir. Rappelons que cette configuration embarque 16 Go de RAM et 256 Go de SSD. C’est une remise de 10% sur le prix public. Le modèle gris est proposé au même prix alors que le bleu se négocie à 1 099 €.
1307 € pour la configuration « confort » : 16 Go de RAM et 512 Go de SSD.
Le modèle avec 24 Go de RAM est pour sa part vendu 1 599 €, soit une réduction de 6% sur le prix public.
Pour les modèles 15”, on trouve encore de belles remises :
le modèle entrée de gamme est proposé à 1349 € en modèle gris. Il s’agit du modèle avec 16 Go de SSD et 256 Go de SSD, qui habituellement est vendu 1499 €.
le modèle avec 24 Go de RAM 512 Go de SSD est vendu 1813 € en lumière interstellaire et 1826 € en bleu. Chez Apple, ce même modèle est vendu 1999 €.
Mise à jour le 8 mai : le prix du MacBook Air continue de s'effriter sur des configurations. C'est à chaque fois quelques euros qui sont ôtés mais l'écart se creuse avec le prix officiel de l'Apple Store sur ce portable dans sa dernière génération (mars 2025).
Mise à jour le 6 mai — À mesure que les jours passent, le MacBook Air M4 voit son prix perdre quelques euros. Le modèle 16 Go / 512 Go de SSD (celui que l’on recommande vraiment) est proposé à 1317 € en noir et à 1 318 € en lumière stellaire.
La même configuration en 15” connait également des baisses de prix. Le modèle gris est proposé à 1 571 €, soit une remise de 178 € sur son prix normal. Le modèle lumière interstellaire est également proposé au même prix.
Mise à jour le 2 mai : À chaque jour sa réduction de quelques euros. Amazon a de nouveau baissé ses prix sur deux configurations de MacBook Air M4. Pas de grand chose mais ce sont les derniers en date :
MacBook Air M4 de 13" en 16/512 Go (minuit) à 1 332 € (- 117 € par rapport au prix d'Apple)
MacBook Air M4 de 15" en 16/512 Go (Bleu ciel et Lumière stellaire) à 1 608 € (- 141 €)
Mise à jour le 1er mai : À chaque jour sa réduction. Amazon a de nouveau baissé de 10 à 25 € ses prix sur plusieurs MacBook Air M4. Voici les nouveaux tarifs :
MacBook Air M4 de 13" en 16/512 Go (minuit) à 1 335 € (- 114 € par rapport au prix d'Apple)
MacBook Air M4 de 15" en 16/256 Go (gris) à 1 376 € (- 123 €)
MacBook Air M4 de 15" en 16/512 Go (gris) à 1 620 € (- 126 €)
MacBook Air M4 de 15" en 24/512 Go (bleu) à 1 853 € (- 146 €)
Mise à jour le 30 avril : Amazon a raboté encore un peu les prix, de pas grand chose mais cela fait de nouveaux seuils pour quelques configurations.
MacBook Air M4 de 13" en 16/512 Go (minuit) à 1 344 € (-105 €)
MacBook Air M4 de 15" en 16/256 Go (gris) à 1 398 € (-101 €)
MacBook Air M4 de 15" en 16/512 Go (gris) à 1 620 € (-129 €)
MacBook Air M4 de 15" en 24/512 Go (bleu) à 1 862 € (-137 €)
Article original publié le 28 avril : Lancés il y a moins de deux mois, les MacBook Air M4 voient déjà leur prix diminuer petit à petit sur Amazon. La version 13" de base en coloris minuit est en ce moment à 1 082 €, soit le tarif le plus bas à ce jour. Chez Apple, ce modèle est vendu 1 199 €.
Si les 256 Go de stockage par défaut sont trop faibles pour vous, l’unité avec 512 Go est en promotion à 1 353 € en minuit et en lumière stellaire, au lieu de 1 449 €. Et si ce sont les 16 Go de mémoire qui vous posent problème, la configuration avec 24 Go de RAM et 512 Go de stockage est à 1 586 € en couleur grise (- 113 €).
Vous pouvez aussi faire des économies sur le grand MacBook Air M4 de 15". La version de base est disponible sur Amazon à partir de 1 399 € (- 100 €). Avec le double de stockage, comptez 1 629 € (- 120 €). Et avec le double de stockage et 24 Go de RAM, vous pouvez vous en sortir pour 1 871 € (- 128 €).
Google permet désormais à certains utilisateurs de changer facilement de profil dans Chrome sur iOS. Une nouveauté intéressante qui n’est malheureusement disponible que pour une poignée d’utilisateurs. Dans son communiqué, Mountain View explique que la fonction est réservée aux utilisateurs de son offre pour entreprise, et les autres ne peuvent donc pas changer de compte Google depuis la version iPhone du navigateur.
Image Google
Google indique que la fonction va permettre aux employés de facilement alterner entre leur vie privée et professionnelle. Comme sur ordinateur, on peut passer d'un profil à l'autre en appuyant sur l'icône de son compte avant de sélection un profil différent. La manœuvre permet ainsi de séparer son historique, ses mots de passe et ses onglets ouverts.
Les administrateurs informatiques vont également profiter de cette nouveauté avec des outils leur permettant de mieux appréhender les risques. Ils gardent une certaine visibilité, pouvant décider de comment les données de navigation existantes seront traitées lorsqu'un utilisateur se connecte pour la première fois. Sur un autre registre, Google a aussi déployé son système de filtrage d’URL, qui permet d'empêcher les utilisateurs de visiter des sites web non approuvés. Le communiqué cite par exemple les services d'IA, prisés des employés mais qui risquent de moissonner certaines données sensibles.
Les mois de juillet et aout sont synonymes pour beaucoup de vacances ! A cette occasion, nous vous avons préparé quelques surprises pour vous accompagner cet été et notamment une série sur les vacances connectées !
Alors, si l’on caricature à l’extrême, il y a ceux qui en profitent pour tout couper ou presque et ceux à l’inverse qui partent avec une valise bourrée de produits high-tech. Par exemple, au détour d’une conversation, j’ai appris que certains de mes collègues avaient transformé leur ancienne Apple TV en Apple TV de voyage.
Tout couper n’est pas une mince affaire, tant les smartphones sont devenus indispensables dans notre quotidien. Pendant les vacances, ils peuvent servir à conserver vos papiers d’identité et titres de transport, à vous déplacer efficacement avec le GPS, à payer, à prendre des photos et des vidéos (après tout, les vacances, c’est aussi des souvenirs) ou encore à faciliter la communication lorsque vous êtes à l’étranger.
Image iGeneration, avec la collaboration de ChatGPT
Quoi qu’il en soit, les vacances et la manière de les vivre, c’est quelque chose d’assez personnel. Personne n’est là pour porter un jugement. Mais dans l’absolu, vous êtes plutôt vacances détox ou vacances high-tech ?
TrackWeight est un projet disponible sur GitHub permettant de transformer le trackpad de votre MacBook en balance ! C’est un joli projet d’été initié par Krish Shah. La vidéo montre le développeur poser une boite de complément alimentaire sur le trackpad de son MacBook Pro, puis sur une petite balance. Les résultats sont très proches : 180 grammes sur l’écran du MacBook, contre 182 grammes sur l’appareil spécialisé.
Si ce projet a été rendu possible, c’est grâce au trackpad du MacBook qui n’est pas un trackpad traditionnel, mais qui dispose d’un capteur de pression avec retour haptique. Cela n’a pas été toutefois une promenade de santé pour le développeur qui a dû s’appuyer sur une API privée d’Apple pour mettre au point son application. De ce fait, elle ne sera jamais accessible sur le Mac App Store.
TrackWeight s’appuie sur le projet open-source Open Multi-Touch Support library. Il est possible de télécharger son code source sur GitHub et de le compiler sur Xcode.
L’iPhone 6s servait également de balance
Aussi intéressant soit ce projet, ce n’est pas tout à fait une première. Il y a une petite dizaine d’années, des petits malins avaient profité des capteurs de pression des écrans des iPhone 6s pour mettre au point une fonction similaire.
Dans un premier temps, le concept avait été développé en l’espace de quelques jours. Puis certains avaient essayé de soumettre l’application sur l’App Store. Pour des raisons de sécurité, Apple avait systématiquement refusé ce type d’applications. Toutefois, l’une d’elles avait passé les mailles du filet. Asaf Avidan Antonir avait développé un clone gratuit de Flappy Bird qui contenait une option Entrainement dans laquelle se cachait une balance. Toute une époque…
L'Apple Store en ligne est désormais ouvert aux clients saoudiens qui disposeront à moyen terme de boutiques Apple Store.
Comme annoncé en décembre dernier, Apple a ouvert son Store en ligne en Arabie saoudite. Les clients pouvaient déjà s'équiper en matériel Apple dans le pays mais au travers de revendeurs agréés. Désormais Apple a son canal de distribution en son nom propre. Le deuxième étage de la fusée est celui des Apple Store physiques qui vont sortir de terre à partir de l'année prochaine.
Plusieurs boutiques sont prévues, indique Apple qu'elle qualifie toutes de "flagships". À savoir des boutiques "vitrine", de grand standing par leur architecture. La première verra le jour près de la capitale Ryad, dans la ville de Dariya dont l'un des quartiers est classé au patrimoine mondiale de l'Humanité de l'UNESCO. Autre symbole, c'est la ville originelle de la famille royale Al Saoud.
Jusque-là, dans la région, il n'y avait de boutiques Apple Store que dans les Émirats arabes unis voisins. Abu Dhabi et Dubai en possèdent deux chacun.
Par ailleurs, toujours dans cette volonté de se rapprocher de cette clientèle, Apple a prévu dans iPadOS 26 un nouvel outil pour le Pencil. La simulation du qalam, ce roseau taillé pour servir de stylo adapté à la calligraphie islamique.
iPadOS 26. Image Apple.
Dans la présentation de son Apple Store saoudien, Apple dit aussi qu'elle propose pour la première fois la gravure sur les AirPods ou Pencil de mots en anglais ou en arabe, selon la préférence du client.
Un employé d’Apple a-t-il trop lu Mark Gurman et a-t-il publié par erreur hier soir la bêta publique de macOS 26 avant de faire machine arrière ? On en doute, mais cela a relancé les rumeurs concernant les bêtas d’Apple.
D’après MacRumors, qui se baserait sur un leaker fiable, les prochaines préversions des logiciels d’Apple auraient les numéros de build suivants :
iOS 26 and iPadOS 26 beta 4 (23A5297i) - 23A5287g pour la b3 actuelle
macOS 26 beta 4 (25A5316i) - 25A5306g pour la b3 actuelle
tvOS 26 et HomePod Software 26 beta 4 (23J5316g)
watchOS 26 beta 4 (23R5317g) - 23R5307g pour la b3 actuelle
visionOS 26 beta 4 (23M5300g)
Au niveau du planning, beaucoup sont d’accord pour dire que ces bêtas devraient être proposés aux développeurs aujourd’hui et que les versions publiques feront leur apparition ce mercredi 23 juillet.
Si vous voulez participer à ce programme de bêta publiques, il suffit de s’inscrire à cette adresse. Ce programme vous donnera accès à iOS 26, iPadOS 26, macOS Tahoe 26, tvOS 26, watchOS 26, à la version 26 du logiciel du HomePod ainsi qu’au programme interne des AirPods. Si vous avez été attentifs, vous aurez remarqué que visionOS manque à l’appel ! C’est sans doute lié aux faibles volumes de vente de cet appareil.
Pour ceux qui restent sur les versions dites stables, il est fort probable que macOS 15.6, iOS 15.6 et consorts soient proposés à tous au téléchargement soit en fin de semaine, soit la semaine prochaine.
En matière de marketing, Google a toujours cassé les codes avec ses smartphones de la gamme Pixel. Au lieu de chercher à garder un secret absolu autour de ses smartphones, ce qui, avouons-le, est un peu vain quand on voit ce qui se passe chaque année autour de l’iPhone, le géant de l’internet multiplie les teasings, quitte à dévoyer certains aspects de son téléphone.
Le Pixel 10 n’échappe pas à la règle et fait l’objet depuis des mois de nombreuses fuites. Des photos d’un tournage de publicité ont ainsi fini sur X en mai dernier.
Hier encore, de nouveaux rendus ont continué à circuler sur Internet. Là où Apple n’a pas fait le moindre commentaire, par exemple sur les rendus très détaillés de l’iPhone 17, Google a décidé hier de sonner la fin de la récréation en publiant une courte vidéo de son prochain téléphone qui doit être dévoilé le 20 aout.
Tout ceci ne fait que renforcer les détails récents publiés par Android Headlines, qui annonçait l’arrivée d’un téléobjectif sur le Pixel 10. Ce dernier devrait donc embarquer trois capteurs : grand angle de 48 Mpx, ultra-grand angle de 12 Mpx et téléobjectif de 10,8 Mpx. En ce qui concerne les autres couleurs, on vous laisse juger…
Quoi qu’il en soit, que ce soit chez Google ou Apple, les capteurs photo ne passeront pas inaperçus…
Dans le monde de la connexion à Internet par satellites, Starlink est la solution la plus connue, mais il y en a d'autres, comme OneWeb (Eutelsat) ou Kuiper, porté par Amazon. Annoncé en 2019 et officialisé en 2020, le service vient d'être autorisé en France par l'Arcep, le gendarme des télécoms.
Un exemple d'antennes pour Kuiper, selon Amazon.
Pour le moment, la constellation de satellites en orbites basses (aux environs de 600 km, une orbite un peu plus haute que celle de Starlink) reste embryonnaire : il n'y a que 54 satellites déployés sur les 3 236 prévus. La décision de l'Arcep est disponible sur son site, et Amazon pourra utiliser les fréquences allouées pour son service pendant 10 ans. L'ouverture au public du réseau d'Amazon est prévue pour la fin de l'année 2025, sans que les détails sur le prix ou les débits attendus ne soient connus.
L’attente pour la bêta publique de macOS 26 paraît longue pour certains... et il faut croire que chez Apple aussi, certains doivent avoir le doigt qui démange au-dessus du bouton de lancement. Au point que... macOS 26 Public beta a été publié brièvement, comme le rapporte MacRumors.
macOS 26 Tahoe Beta proposée alors que le Mac est lié aux beta développeurs de macOS 15.6... il y a comme un bug, chef. Capture MacRumors.
L’erreur est d’autant plus amusante que ce faux départ a été proposé à des utilisateurs de la bêta développeurs de macOS 15.6 Sequoia, en lieu et place de la bêta 4 de ce système. L’erreur fut rapidement corrigée, et n’a même pas duré une heure.
La version publiée par erreur est la 25A5316i, qui est bien différente de la Developper Beta 3, numérotée 25A5306g.
Quoi qu’il en soit, cette petite glissade renforce d’autant plus la rumeur voulant que la première bêta publique de macOS 26 soit imminente, et déjà prête sur les serveurs de la pomme, n’attendant qu’un doigt officiel pour la lancer. Faites chauffer les sauvegardes.
Apple vient de mettre en ligne la quatrième bêta de watchOS 11.6 ainsi que celle de visionOS 2.6. Dans les deux cas, elles arrivent peu après la 3e bêta, et Apple parle sur son site de version RC, pour Release Candidate. Les deux versions sont donc probablement identiques à la future version finale, sauf si un bug malencontreux est découvert.
watchOS 11.6.
Si c'est une version mineure dans les deux cas, il s'agit surtout des deux dernières qui vont garder la numérotation historique. En effet, Apple va unifier la numérotation de ses systèmes cet automne et watchOS passera donc de la version 11 à la 26, tout comme visionOS passera de 2 à 26. Nous pourrions presque croire au passage de Windows 98 à 2000, avec un saut de 1 902 versions !
macOS 15.6 approche de la fin de son développement puisqu'Apple diffuse ce soir la version release candidate. Cette mise à jour dont le contenu n'a rien révélé de saillant — et encore moins de mineur — arrive après 3 versions bêta. La finale ne devrait pas tarder si aucun gros bug n'impose une nouvelle RC.
Nous attendions une quatrième bêta pour iOS 26, mais Apple a décidé de mettre en ligne une quatrième version de développement pour iOS 18.6 et iPadOS 18.6. Elle préfigure une version finale qui devrait arriver rapidement (Apple parle de RC sur son site; pour Release Candidate, soit une version identique à la version finale), et qui va surtout servir de variante finale pour iOS 18. C'est elle qui sera mise à jour au fil du temps pour corriger les bugs de sécurité pour ceux qui resteront sous iOS 18 par choix ou par obligation (par exemple avec un iPhone XR). La même version est aussi disponible pour les iPad, avec iPadOS 26.
Dans les années 90, les Mac permettaient directement de créer un RAMdisk, un espace de stockage de petite capacité stockée directement dans la mémoire vive. À l'époque, c'était une solution intéressante dans certains cas, comme sur les premiers Macintosh portables : le RAMdisk était plus rapide qu'une disquette ou un disque dur — imaginez, plusieurs Mo/s ! — et avait surtout l'avantage d'éviter de réveiller le disque dur, pour économiser quelques dizaines de minutes de batterie. Si macOS n'intègre plus d'outils pour le faire par défaut dans l'interface graphique, TmpDisk (un outil open source) est là pour pallier ce défaut, sauf si vous avez acheté un Mac avec 8 Go de RAM.
30 Go/s. Image MacGeneration.
Trente ans plus tard, les avantages et les défauts des RAMdisk restent les mêmes. Un RAMdisk offre des performances bien plus élevées que le stockage de base de nos appareils — 30 Go/s sur un Mac mini M4 Pro, des accès aléatoires très efficaces — avec deux défauts majeurs. Le premier est que le RAMdisk a une capacité limitée : comme il utilise une partie de la RAM, il ne dépasse pas au mieux quelques dizaines de Go1. La création d'un RAMdisk est d'ailleurs toujours un compromis entre les besoins du système d'exploitation et sa capacité : il ne faut pas allouer une trop grande quantité de mémoire, sous peine de ralentir le Mac2. Le second défaut est évidemment que le RAMdisk disparaît au redémarrage de l'ordinateur ou quand il est éteint3. C'est le principe même de la mémoire vive : elle doit être rafraîchie régulièrement pour garder les données.
Les options de TmpDisk. Image MacGeneration.
Dans la pratique, TmpDisk a de nombreuses options et permet de créer un volume formaté en APFS, de le monter automatiquement au démarrage, d'empêcher l'éjection — qui efface le contenu — s'il reste des données, etc. Sur un Mac mini M4 Pro avec 48 Go de RAM, le RAMdisk atteint 30 Go/s, bien plus que le SSD interne. Sur un Mac mini 2018 avec 64 Go de RAM, il se limite à 8 Go/s, une valeur qu'un SSD NVMe récent peut atteindre.
La RAM d'un Mac mini Intel est moins rapide. Image MacGeneration.
Dans la pratique, c'est surtout utile pour stocker des fichiers de logs si vous avez peur d'user de la mémoire flash (ce qui est intéressant sur des cartes comme un Raspberry Pi), ou éventuellement stocker une base de données qui a besoin d'accès très rapides. Même si les SSD modernes ont une latence faible par rapport à un disque dur, elle reste de l'ordre de la milliseconde quand celle de la mémoire vive est de l'ordre de la nanoseconde. Pour la majorité des usages, c'est évidemment une solution inutile ou compliquée à gérer, mais elle peut être intéressante dans des cas précis (et rares).
Sauf si vous avez un Mac Pro de 2019 ou un Mac Studio modernes, qui peuvent contenir littéralement des centaines de Go de RAM. ↩︎
Ou de placer le fichier d'échange sur le RAMdisk, mais c'est un peu idiot. ↩︎
Quelques rares Macintosh permettaient de garder le contenu d'un RAMdisk en permanence, tant qu'une source d'alimentation — pile de sauvegarde, batterie ou alimentation — était présente, même en cas d'arrêt ou de redémarrage. ↩︎
Nous en avions parlé, le parquet de Paris a ouvert une enquête il y a quelques mois au sujet du réseau X (Twitter pour ceux qui refusent le changement), soupçonné de manipuler les résultats de son algorithme de recommandations. Elle a été confiée il y a peu (le 9 juillet) à la gendarmerie nationale, qui a demandé l'accès à l’algorithme de recommandation de X et aux données en temps réel concernant toutes les publications des utilisateurs de la plateforme, selon un communiqué de X sur X.
Un des experts est accusé d'être partial car il est à l'origine de #HelloQuitteX.
Et dans son message, la société pointe du doigt les experts choisis pour analyser le code, qui sont accusés d'être partiaux, avec des motivations politiques. Il s'agit notamment de David Chavalarias, à l'origine du mouvement HelloQuitteX il y a quelques mois, et de Maziyar Panahi, considéré comme étant hostile à X selon la société. Elle indique donc que la demande a été refusée, comme elle en a le droit, en expliquant que « cette enquête repose sur une application détournée du droit français, afin de servir un agenda politique, et, finalement, de restreindre la liberté d’expression. »
Du côté de la justice française, l'enquête porte sur deux accusations graves, comme l'explique Le Monde : « Altération du fonctionnement » et « extraction frauduleuse de données » d’un système informatique « en bande organisée ». Elle fait suite notamment à un signalement du député Eric Bothorel, qui suspecte le réseau d'avoir modifié ses algorithmes pour mettre en avant des thèses favorables à l'extrême droite. Il faut par ailleurs rappeler que si X indique souvent que l'algorithme est open source, ce n'est que partiellement vrai : seule une petite partie l'est — celle liée au ranking, donc le choix dans une série de messages — et le code date de 2023, sans que l'on sache s'il a été modifié depuis.
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