La société Hubble Network aime le Bluetooth. Après avoir lancé un satellite capable de se connecter en Bluetooth, elle vient d'annoncer la mise en place d'un réseau de localisation capable de fournir la position d'un appareil partout dans le monde, à la manière du réseau Localiser d'Apple ou de ses pendants chez Samsung, Google, Tile (Life 360) ou Chipolo.
Le réseau selon Hubble Network.
Dans son communiqué, la marque explique qu'elle dispose déjà de 88 millions d'appareils capables de suivre la position des appareils en Bluetooth, ce qui est peu et beaucoup à la fois. Apple dépasse largement le milliard, par exemple. Pour être intégré dans le réseau, il suffit en théorie de modifier la valeur émise en Bluetooth LE par un périphérique (que ce soit un traqueur ou un smartphone) et d'installer les outils nécessaires pour accéder au réseau lui-même et suivre des objets. La cible n'est pas le grand public, comme avec les AirTags, mais bien les entreprises : le réseau de Hubble Network est pensé pour ces dernières avec le suivi d'une flotte de véhicule, d'objets, de colis, etc.
Il n'est pas certain que la sauce prenne (Apple et Google ont une certaine avance grâce au grand nombre d'appareils compatibles) mais l'idée reste intéressante pour les entreprises. Dans tous les cas, la documentation est disponible et plus il y aura d'entreprises dans le réseau, plus la précision s'améliorera.
En ajoutant à watchOS 26 le « geste pichenette » Apple propose une manière rapide et efficace pour interagir des notifications ou revenir à son cadran. Il y a deux ans, Apple avait créé le geste Toucher deux fois pour watchOS 10 et certaines Apple Watch. Rebelote cette année dans watchOS 26 avec un geste qu'elle baptise de pichenette et qui se traduit par une option "Tourner le poignet" dans les réglages du système.
En position avant d'effectuer un geste pichenette. Image Apple
Pour résumer, le geste pichenette sert à se débarrasser de ce qu'il y a à l'écran de sa montre sans avoir à le toucher afin de revenir sur son cadran. Après avoir levé le bras pour lire une notification, vous faites ce geste de tourner sèchement le poignet (vers le haut ou vers le bas, peu importe) pour faire disparaître l'alerte et y prendre plus tard.
Même chose si un appel entrant s'affiche, un coup sec et il est ignoré. Ou si un minuteur est arrivé en fin de décompte, un geste et vous revenez sur le cadran. Pareil si vous voulez sortir de n'importe quelle application… c'est l'équivalent de la pression sur la couronne digitale.
Nicolas, qui s'est très vite habitué à cette fonction, la décrit comme naturelle et incomparablement plus pratique que le Toucher deux fois. Il se sert par exemple du geste pichenette le matin pour couper rapidement le réveil de sa montre.
Par comparaison le Toucher deux fois peut être plus laborieux (dans la reconnaissance des pincements des doigts) et plus fatigant lorsqu'on veut enchainer plusieurs actions par ce biais.
Graphistes, monteurs, photographes : que se passe-t-il si votre NAS principal tombe en panne au beau milieu d’une session Final Cut ou d’un export Lightroom ?
Pour ceux qui n’ont tout simplement pas le droit à l’interruption, QNAP propose désormais une solution de haute disponibilité (HA) conçue pour eux — et qui parle enfin la langue de macOS.
Une faille de disponibilité ? Inacceptable !
Quand on crée, on ne compte pas. Mais surtout, on ne s’arrête pas. Entre un montage en 8K, une retouche lourde ou une sauvegarde Time Machine en arrière-plan, la moindre indisponibilité de votre NAS peut faire dérailler un projet — ou plomber un rendez-vous client.
C’est précisément à cette problématique que répond la nouvelle solution de Haute Disponibilité QNAP. Testée et peaufinée pour le monde professionnel, elle est pensée pour garantir que, même en cas de panne matérielle soudaine, vos données restent disponibles, vos partages montés, vos workflows intacts. Et le tout sans que vous ayez à lever le petit doigt.
Deux NAS, une seule mission : zéro interruption
Le principe de la haute disponibilité QNAP est simple à résumer, mais redoutablement efficace : deux NAS synchronisés en temps réel, l’un actif, l’autre en veille. Si le premier lâche, le second prend instantanément le relais. Vos volumes réseau ne tombent pas, vos partages SMB/AFP restent accessibles, Time Machine continue sa routine.
Le cœur de cette mécanique s’appelle High Availability Manager, une interface claire qui vous permet de visualiser l’état du cluster, le « heartbeat » entre les deux machines, la latence et la synchronisation.
Interface de gestion du cluster HA de QNAP montrant l’état des nœuds, les performances réseau et la synchronisation.
QNAP n’a pas oublié sa base créative. La solution HA est parfaitement compatible avec l’environnement Apple :
Time Machine, pour des sauvegardes incrémentales et automatisées
AFP, pour les parcs plus anciens
SMB, pour une compatibilité complète avec les dernières versions de macOS
Vous montez vos partages comme d’habitude, depuis le Finder, sans jamais vous soucier de la redondance sous-jacente. Le système travaille pour vous.
Comment ça marche, concrètement ?
Voici le fonctionnement simplifié de la solution :
Illustration du fonctionnement HA de QNAP avec deux NAS, un serveur témoin et un switch réseau.
Chaque NAS est connecté à un switch central, et un serveur témoin (ou watchdog) surveille l’ensemble. En cas de défaillance, c’est lui qui autorise la bascule du nœud passif en mode actif, évitant les conflits de type "split-brain".
Tout est orchestré par le lien heartbeat entre les deux appareils. Le transfert se fait en quelques millisecondes.
Une solution simple à mettre en œuvre
Pas besoin d’un DSI ou d’un architecte réseau : le système est pensé pour les petites équipes et les indépendants. L’assistant intégré vous guide de A à Z, et une fois le cluster formé, tout est pilotable via l’interface graphique QNAP.
Synchronisation initiale automatique
Surveillance continue de l’état réseau et matériel
Logs clairs, tests de bascule disponibles
Alertes et rapports intégrés
C’est du niveau « plug & work », même sans expertise IT poussée.
Ce que ça change pour un pro Apple
Prenons un cas concret : vous êtes vidéaste indépendant. Votre NAS héberge tous vos projets en cours. Une panne ? Normalement, tout s’arrête.
Avec HA Manager de QNAP, votre second NAS prend automatiquement la main. Vos volumes restent accessibles dans le Finder. Vous ne perdez ni projet, ni temps, ni client.
Et mieux : vous pouvez diagnostiquer tranquillement la panne, après coup.
Un investissement stratégique
Cette technologie, autrefois réservée aux grandes infrastructures, devient accessible. QNAP propose cette solution sur plusieurs gammes de NAS professionnels, avec ou sans connectique 10 GbE, avec ou sans Thunderbolt. À vous de choisir selon vos besoins.
L’essentiel est là : protéger ce qui fait tourner votre activité. Parce qu’un NAS en panne, ce n’est pas juste une boîte HS, c’est un projet à l’arrêt. Une facture en attente. Un client perdu.
Pourquoi adopter la Haute Disponibilité QNAP quand on travaille sur Mac ?
La solution de haute disponibilité de QNAP, c’est :
Une continuité de service garantie, même en cas de panne NAS
Une compatibilité native avec macOS, AFP, SMB et Time Machine
Une interface claire et simple à déployer
Un outil accessible même aux petites structures
Un rempart contre les interruptions coûteuses.
Pour en savoir plus sur la solution QNAP Haute Disponibilité, visitez la page officielle : QNAP Haute Disponibilité
De façon assez régulière, la maison d'enchères RR Auction propose des objets en rapport avec Apple et sa révolution. Et comme toujours, il y a quelques perles intéressantes pour les collectionneurs, comme des prototypes ou des iPhone encore sous blister. Les prix et les estimations peuvent sembler élevés, mais il faut prendre en compte la marge de RR Auction... et le fait que certaines estimations sont largement surévaluées. Nous vous avons sélectionné quelques pièces intéressantes.
Un chèque signé par Steve Jobs. Estimation : 25 000 $.Une balle signée par Steve Wozniak. Estimation : 500 $. Tim Cook est à 400 $.Un Apple II noir, plutôt rare. Estimation : 1 500 $.Un Lisa complet, avec son disque dur, dans la version avec lecteur de disquettes 5,25 pouces. Estimation : 65 000 $.Un prototype de Macintosh Portable transparent. Estimation : 50 000 $.L'ancêtre de l'Apple TV, qui aurait pu devenir une box d'opérateur. Estimation : 1 000 $.Le premier iPhone dans sa version 4 Go, scellé. Estimation : 50 000 $. 2 500 $ pour le même sans le blister.Un prototype de Macintosh TV, le premier Macintosh noir, avec un téléviseur intégré. Estimation : 5 000 $.Le premier iPod, sous blister. Estimation : 20 000 $.Un prototype de Power Macintosh 9700, un modèle abandonné lors du retour de Steve Jobs, qui aurait pu être un Power Macintosh G3 plus haut de gamme. Estimation : 6 000 $.Une lithographie de l'artiste belge Jean-Michel Folon, qui a illustré une partie de la documentation du Macintosh. Estimation : 1 500 $.Une superbe chemise hawaïenne Apple. Estimation : 400 $.Des verres à champagne Apple, proposés pour les 10 ans de la société. Estimation : 200 $.Et plus étonnant dans une vente consacrée à Apple et Steve Jobs, un guide Tesla Model S signé par Elon Musk. Estimation : 2 000 $.
Vous trouverez aussi des prototypes d'iMac, d'iPad, des iPod sous blister, des objets signés par Bill Gates ou de vieux ordinateurs qui n'ont pas de rapport direct avec Apple.
Satechi baisse le prix de ses deux chargeurs OntheGo qui, comme leur nom l'indique, sont pensés pour les tables de nuit de ceux qui se déplacent régulièrement. Il y a 2 versions : l'une avec 3 foyers de recharge pour un iPhone, une Apple Watch et des AirPods, l'autre n'a pas de zone pour les AirPods, mais on pourra toujours utiliser celle dévolue à l'iPhone.
OntheGo 3-en-1. Image Satechi.
Le OntheGo 3-en-1 est descendu à 90 € au lieu de 110 € tandis que le modèle OntheGo 2-en-1 coûte 73,79 € au lieu de 90 €. Dans les deux cas, l'iPhone est rechargé à 15W et la montre à 5W. Un câble USB-C de 1 m et fourni, mais il faudra se procurer séparément un adapteur secteur de 30W (comme celui-ci ou cet autre).
OntheGo 2-en-1. Image Satechi.
Dans le même registre que le modèle de Satechi on peut recommander cette solution très similaire chez Anker avec le MagGo 3-en-1 à 80 € (l'adapteur secteur de 40W est fourni) en noir et blanc (20 € de plus sur les autres couleurs). À noter que sur le Satechi, le galet de recharge de la montre peut se relever verticalement, contrairement au Anker.
Depuis l'arrivée des Mac Apple Silicon, Apple met en avant la mémoire unifiée, qui permet au processeur et au GPU de partager la mémoire vidéo sans effectuer des transferts incessants entre deux zones séparées, comme dans les puces Intel. Cette solution permet au GPU d'accéder à une grande quantité de mémoire vidéo, mais elle n'est pas infinie ni même équivalente à la quantité de RAM présente dans le Mac : une partie de la mémoire vive est réservée au système. Dans la majorité des cas, la quantité de mémoire vidéo maximale est de 66 % de la quantité de mémoire (par exemple 5,3 Go avec 8 Go de RAM) et le reste est réservé au système. Sur les Mac avec beaucoup de mémoire vive (a priori plus de 32 Go), la limite est un peu plus haute : 75 %. Mais il est possible de modifier la valeur en question.
Siliv affiche l'allocation actuelle et permet de modifier les valeurs. Image MacGeneration.
Avant de se poser la question du comment, il y a d'abord le pourquoi. Si vous avez beaucoup de mémoire vive, il y a un domaine précis qui peut demander énormément de mémoire vive : les IA au sens large. Pour ceux qui travaillent avec des LLM en local, il est en effet intéressant de réduire la part réservée au système pour augmenter celle allouée au GPU. La limite de 75 % imposée par défaut est conservatrice : sur un Mac avec 48 Go de RAM, le système n'a pas réellement besoin de 12 Go de RAM. Il est donc possible d'allouer plus de mémoire vidéo pour les tâches qui sont gourmandes sur ce point.
En ligne de commande ou avec un logiciel
Commençons par la méthode compliquée, en ligne de commande. Il faut lancer le Terminal et taper la commande suivante. La valeur à indiquer est en Mio, il faut donc multiplier par 1 024 le nombre de gigaoctets souhaités. Ici, nous avons choisi 12 Go de RAM pour un Mac avec 16 Go.
sudo sysctl iogpu.wired_limit_mb=12288
Vous pouvez mettre n'importe quelle valeur, mais vous aurez évidemment des soucis si elle est trop faible (certaines applications risquent de mal fonctionner avec 1 ou 2 Go par exemple) ou trop élevée. Si vous choisissez de mettre 16 Go sur un Mac avec 16 Go de RAM, vous pouvez littéralement planter le Mac. Il faut aussi bien comprendre que la valeur est la quantité de mémoire vidéo maximale qui peut être allouée et que la seconde valeur est celle réservée au système. Dans la pratique, la majorité des applications s'accommode parfaitement des valeurs par défaut et nécessite beaucoup moins que la valeur maximale : le système peut donc utiliser plus que la valeur réservée. Enfin, attention à un point : le changement n'est pas permanent. La commande doit être lancée après chaque démarrage.
Si vous voulez éviter de passer par la ligne de commande, un logiciel open source simplifie les choses : Siliv. Il se place dans la barre de menus et affiche l'allocation actuelle et permet de modifier les valeurs. Il a quelques paliers prédéfinis, qui dépendent de la quantité de mémoire vive du Mac. Il a la bonne idée de vous prévenir si vous sélectionnez une valeur trop élevée, et peut garder la valeur allouée si vous décidez de lancer le programme automatiquement au démarrage.
Attention. Image MacGeneration.
Une solution pour les cas (très) particuliers
Dans les faits, c'est une solution pour des cas particuliers, essentiellement les grands modèles de langage. Si la tentation peut être grande d'allouer plus de mémoire vive pour les jeux vidéo — Cyberpunk 2077 au hasard —, c'est en réalité totalement inutile. Dans la majorité des cas, la quantité de mémoire vidéo allouée par défaut est déjà élevée (un Mac avec 16 Go de RAM a déjà plus de mémoire vidéo qu'une bonne partie des cartes graphiques de PC d'entrée et de milieu de gamme) et la mémoire vidéo n'est pas le facteur limitant. De façon très concrète, dans les rares cas où un jeu peut avoir besoin de plus de mémoire vidéo que celle allouée par défaut, les performances sont tellement faibles qu'il est inutile d'en allouer plus. Sur un MacBook Air M3 avec 16 Go de RAM, les performances (faibles) ne bougent d'ailleurs pas, quelle que soit l'allocation.
Bjango le développeur d'iStat Menus va poursuivre son incursion dans les logiciels de création avec Skala pour dessiner des interfaces. Le Mac n'a pas de carence en outils vectoriels, mais les développeurs de Bjango ont apparemment quelques idées pour se démarquer. Leur prochain logiciel s'appellera Skala et se destinera plus particulièrement à la création d'interfaces utilisateur. Ce ne serait donc pas un énième challenger d'Illustrator, mais plutôt pour Sketch et on peut parier sur une intégration avec Figma.
Sketch. La probable cible du Skala de Bjango.
Bjango ne montre toujours rien, se contentant de promettre plus de détails prochainement. Si le nom vous dit vaguement quelque chose, bravo, car Bjango a parlé la première fois de la préparation de cette application il y a plus de… 10 ans (lire Skala Color : une palette de couleurs pour les développeurs) et à une autre occasion en 2015. Ce week-end Bjango a indiqué que l'attente touchait à sa fin.
Le billet d'annonce d'origine s'attardait sur les guides de cette application qui seront utilisés comme des calques avec une grande latitude de manipulations et de transformations. Skala était promis comme performant en termes de vitesse d'exécution et son format de document serait ouvert et documenté.
Bjango est à l'origine l'éditeur d'iStat Menus, un vétéran dans son domaine, avec lequel on surveille du coin de l'œil à peu près toute l'activité logicielle et matérielle de son Mac.
Skala sera le deuxième membre d'une suite à visées créatives. En parallèle au long développement de Skala, Bjango a lancé Pinwheel à la fin de l'année dernière. Il est pour les développeurs et designers d'interfaces qui ont besoin de créer des catalogues des palettes de couleurs utilisées dans leurs applications, leurs sites ou dans le cadre de la mise au point d'un système d'interface.
Si vous me lisez régulièrement, vous savez sûrement que j’adore la domotique. Tout est connecté dans ma maison et j’ajoute régulièrement des nouveaux appareils à la collection. Pourquoi se limiter à son propre logement quand on peut aussi emporter des appareils connectés sur son lieu de vacances ? Fort de ce constat, je vous propose une nouvelle série d’articles qui sera publiée cet été pour les membres du Club iGen.
Image iGeneration, avec la collaboration de ChatGPT.
« Vacances connectées » commence dès aujourd’hui avec le test d’un routeur portable, brique essentielle pour pouvoir voyager avec des appareils qui dépendent d’une connexion. La suite sera à découvrir au fil des prochains jours…
Si vous partez en vacances, vous avez peut-être envie de suivre vos bagages, un sac à dos ou des clés. Bonne nouvelle, il y a de nombreuses solutions en promotion pour le moment, qui sont bien moins onéreuses qu'un AirTag. Car si Amazon vend le traqueur d'Apple à 28 € au lieu de 39 €, les variantes venues de Chine sont environ quatre fois moins chères.
Quatre copies pour 30 € (et moins).
Le lot de quatre Smart Air tag est à 28,5 € au lieu de 40 €, en noir ou en blanc. Ils sont circulaires avec un trou pour les accrocher à des clés, et alimentés par une pile CR2032. Les Smart Air Traceur Tag, eux, sont à 30 € au lieu de 60 € (toujours pour quatre) avec un format plus carré. Un coupon permet dans certains cas de les obtenir pour 24 € (soit 6 € le traqueur) et le code PMDXWUJG ajoute 20 % de réduction (les deux offres ne sont pas généralisées). D'autres Air Traceur Tag sont eux à 30 € les quatre, avec un coupon à cocher pour payer 27 €.
Des Smart Air Traceur Tag (quelle originalité dans les noms) sont à 26,5 € (deux blancs, deux noirs), avec un coupon pour descendre à 23,8 €. Le code JLN6VHIT ajoute une réduction de 5 % si vous en achetez deux (soit huit traqueurs), le code P3KQ4RP6 passe à 10 % pour trois achetés. Enfin, les Smart Air Traceur Tag sont à 18 € pour quatre, mais avec des couleurs assez vives, ce qui les rend assez peu discrets.
Moins chers, mais moins discrets.
Si vous préférez Android à iOS, il y a une petite réduction sur quatre traqueurs compatibles avec le réseau de Google : ils sont à 28,5 € au lieu de 33 €. Pour terminer, si vous voulez suivre votre portefeuille pour éviter de le perdre, la carte Ugreen FineTrack est à 18 € au lieu de 30 €. Elle intègre une batterie rechargeable en USB, contrairement à d'autres modèles qui sont jetables.
Rappelons que les versions d'entrée de gamme proposent les mêmes fonctions que les AirTags pour la localisation classique, et sont repérées en Bluetooth par tous les appareils iOS du monde. Les AirTags d'Apple gardent une autonomie un peu plus élevée (un an, contre vers six mois pour les autres) et la localisation précise à courte distance, qui permet de trouver facilement un objet dont vous êtes proches.
Les développeurs de Waze vont rendre leur application plus claire. Actuellement, le GPS n’affiche qu’une seule alerte à la fois : à l’approche d’une zone imposant différents avertissements, seule la plus importante est lue à voix haute, tandis que les autres sont simplement symbolisées par des icônes. La situation devrait s’arranger prochainement, l’équipe ayant confirmé vouloir fusionner plusieurs alertes dans le futur.
Image Waze
Ce manque de retour audio est un problème. Si vous rencontrez des travaux, un véhicule arrêté et un radar au même endroit, seule la plus importante des trois alertes sera mise en avant et annoncée à voix haute. Autrement dit, les conducteurs ne gardant pas constamment un œil sur leur écran peuvent passer à côté d’informations. À l’avenir, l’app devrait combiner les signalements vocaux et revoir son interface pour rendre ce type de situation plus lisible.
La fonctionnalité est désormais « sur la feuille de route », mais aucune date précise de lancement n'a été communiquée. Sur ses forums, Waze indique simplement « prévoir de travailler sur la fusion de deux alertes ou plus dans un avenir proche ». L’entreprise avait été rachetée par Google en 2013, et les équipes travaillent avec celles de Maps en 2022.
La Grande-Bretagne pourrait faire machine arrière dans sa volonté d'obtenir d'Apple une porte dérobée pour accéder aux données chiffrées des utilisateurs d'iCloud.
Deux sources haut placées au sein du gouvernement britannique ont indiqué au Financial Times que le Home Office (le département de l'intérieur) pourrait devoir manger son chapeau et faire machine arrière sous la pression des autorités américaines.
En février dernier, le gouvernement de Keir Starmer avait exigé d'Apple qu'elle fasse en sorte de permettre l'accès au contenu chiffré des utilisateurs d'iCloud, britanniques ou non, sans limites de territoire et en vertu de la lutte contre le terrorisme et l'exploitation sexuelle des enfants.
Cette demande avait été émise sous la forme d'un « avis de capacité technique » qui a comme particularité d'interdire à l'entreprise contactée d'en faire état publiquement. Ce qui peut laisser supposer qu'Apple n'en a pas été la seule destinataire, mais c'est une fuite auprès du Washington Post qui en a révélé l'existence.
D'après ces deux responsables, cette demande de création d'une porte dérobée envenime les relations entre les États-Unis et le Royaume-Uni sur le volet du numérique. Le Home Office est accusé d'avoir mal géré cette affaire et de se voir contraint maintenant de trouver une sortie de secours.
En l'état, rien n'a changé, le sujet verrait deux camps s'opposer au sein du gouvernement britannique. Apple avait déposé un recours auprès de l'Investigatory Powers Tribunal qui doit juger de la légalité de cet ordre. Les avocats du gouvernement, pour leur part, ont continué ce mois-ci de discuter de la défense des intérêts de celui-ci.
L'affaire avait provoqué de vives réactions politiques de la part du gouvernement américain. Celui-ci se faisant le porte-voix des préoccupations de ses entreprises. Donald Trump avait comparé cette demande à quelque chose que ferait plutôt la Chine.
Parallèlement, Apple avait préféré désactiver le chiffrement de bout en bout d'iCloud au Royaume-Uni en rendant inopérante la fonction de protection avancée des données. Plutôt que de se lancer dans la création d'une porte dérobée. Pour ceux qui avaient déjà activé cette option, ça ne changeait rien, mais il était de leur ressort de la désactiver manuellement.
Il y a des promotions que l’on ne voit pas tous les jours, comme ce kit de mise à jour du SSD pour le Mac Pro. L’option 2 To est actuellement proposée à -44 % par Amazon, ce qui ramène son prix de base décoiffant à un tarif que l’on ne qualifiera pas de raisonnable, disons légèrement moins absurde. À peine. Si vous êtes équipé de la tour conçue par Apple, modèle 2023 seulement, vous pouvez payer 699,30 € pour acheter cette barrette de 2 To. Notez que c’est son prix le plus bas sur Amazon.
Image MacGeneration.
Certes, c’est toujours hors de prix, même selon les standards délirants d’Apple. Pour passer le Mac Studio de ses pauvres 512 Go de base à 2 To, il faut payer 750 € de plus sur le configurateur officiel, et on aura droit à deux barrettes, ce qui veut dire de meilleures performances. Ne perdons pas de vue toutefois que le prix officiel, celui qu’Apple pratique toujours sur sa propre boutique, est bien de 1 250 € pour 2 To…
Si vous avez un Mac Pro, vous avez toutefois bien d’autres options pour augmenter son stockage en interne. C’est d’autant plus vrai sur le modèle de 2023 qui n’accepte plus de cartes graphiques pour remplir ses toujours aussi nombreux emplacements PCIe.
Mais payer quasiment moitié moins pour acheter le SSD officiel d’Apple, c’est tout de même tentant, n’est-ce pas. Attention, la fiche Amazon précise qu’il ne reste que trois exemplaires du SSD en stock au moment où j’écris ces lignes, alors ne tardez pas !
En toute logique, la semaine devrait être animée sur le front des bêtas. Dans un premier temps, sans doute aujourd’hui, Apple devrait proposer aux développeurs les bêtas 4 d’iOS 26, macOS 26, watchOS 26. Dans la foulée, sans doute 24 ou 48 heures plus tard, Apple devrait proposer la première bêta publique de ses différents logiciels systèmes. À condition bien entendu que la bêta 4 ne révèle aucune mauvaise surprise.
Cette année, Apple fait les choses un peu différemment. D’habitude, les premières bêta grand public sortent dans la foulée de la bêta 3 pour les développeurs. Cette année, Apple a préféré prendre son temps. Ce n’est aucunement lié à des problèmes de stabilité logicielle. À cet égard, la cuvée « 2026 » est tout à fait correcte, si l’on met de côté les traditionnels problèmes d’autonomie ou de lenteur que l’on peut rencontrer à ce stade de développement.
Non, si Apple prend son temps, c’est à cause de Liquid Glass, sa nouvelle interface qui a déjà connu de gros changements depuis sa présentation en juin dernier. À vrai dire, peu de monde s’attendait à ce qu’Apple opère des changements si importants en si peu de temps. Il est plus que probable que Liquid Glass continue à connaitre des ajustements avec cette bêta 4.
De plus en plus soucieuse de ce qui se passe sur les réseaux sociaux, Apple a sans doute voulu retarder la sortie publique de ses bêtas d’une dizaine de jours de manière à être le plus sur possible de son coup, et s’éviter « une tempête médiatique ».
Ces dernières années, Apple a parfois connu des étés agités à cause de changements opérés dans ses logiciels systèmes. Le cas le plus retentissant est peut-être en 2021 Safari et sa barre flottante, qui n’a eu de cesse d’évoluer suite au mécontentement des utilisateurs. Toutefois, si une barre flottante a fait tant parler, il parait illusoire de penser qu’Apple évitera une polémique sur un sujet aussi sensible qu’une interface utilisateur, aussi réussie soit-elle.
Après des années de relatif calme plat, l’offre d’écran externe susceptible d’intéresser les utilisateurs Mac ne cesse de s’agrandir. On trouve de plus en plus d’écrans 4K et même 5K capable de soutenir la comparaison avec l’offre d’Apple. Et ce n’est pas terminé ! Asus annonce la commercialisation d’un écran 6K équipé de la technologie Thunderbolt 4 pour la fin du mois d’aout pour 1299 $.
Image : Asus
Cet écran 32” est donc capable d’afficher du 6016 par 3380, soit une surface d’affichage 145 % plus grande qu’un moniteur 4K à taille égale. Calibré en usine, cet écran affiche 98 % de l’espace colorimétrique DCI-P3, une luminosité maximale de 400 nits (600 nits en HDR) et un contraste maximal de 3000:1. Cet appareil possède un détecteur de luminosité environnante, une petite enceinte stéréo de deux watts, ainsi qu’une compatibilité avec la norme VESA. Il est possible d’utiliser l’écran aussi bien en mode portait que paysage.
En matière de connectique, le ProArt Display 6K PA32QCV permet, grâce au KVM automatique intégré de basculer très facilement entre deux ordinateurs avec un seul clavier/souris. Il embarque deux ports Thunderbolt 4 avec prise en charge de Power Delivery 96 W, un port HDMI 2.1, un port DisplayPort 1.4 DSC, un port USB-C (pour KVM), d’une sortie Jack, et fait office de HUB avec deux ports USB 3.2 Gen 1 de type A et un port USB-C.
Image : Asus
Le fabricant dans son communiqué insiste qu’il a été spécialement pensé pour les utilisateurs Mac. Il insiste sur le fait que son écran inclut un préréglage de couleurs “M Model-P3” pour correspondre à l’affichage macOS, et peut être paramétré depuis l’ASUS DisplayWidget Center. Cerise sur le gâteau, les touches de luminosité du Mac peuvent ajuster directement celle du moniteur.
Image : Asus
On rappellera à ceux qui ont oublié qu’Apple possède un écran 6K à son catalogue. Le Pro Display XDR d’Apple est cependant vendu beaucoup plus cher, il est proposé au prix de 5500 € ! Gurman parle de temps à autre d’ailleurs d’une révision de ce modèle sorti en 2019. 6 ans déjà !
Alors que les juilletistes s’apprêtent à lâcher la barre pour laisser la place aux aoutiens, les développeurs s’affairent sur iOS 26, et les aficionados rongent leur frein en attendant la première bêta publique... Entre temps, le matériel évolue dans les alcôves secrètes de l’Apple Park. Enfin secrètes... pas tant que ça pour Mark Gurman, qui nous donne une idée de l’avenir.
Un nième smartphone pliable ? On peut compter sur Apple pour que ce ne soit pas seulement ça. Image réalisée à l’aide d’une IA.
What’s the difference (Quelle est la différence)
Depuis le temps que cette rumeur existe, elle va bientôt pouvoir devenir réalité : le premier iPhone pliable, dont nous parlions déjà dès octobre 2018, devrait sortir l’année prochaine. Ce sera une première pour Apple, mais clairement pas pour l’industrie, qui connaît ces smartphones à écran souple depuis maintenant sept ans et le premier Samsung Fold. Si Cupertino est habituée à arriver sur un marché et renverser la table, il y a une petite nuance avec le smartphone pliable : elle arrive sur un marché déjà mûr.
En effet, tous les produits marquants de la pomme ont un point commun : être arrivés sur un marché certes existant, mais qui se cherchait encore.
le premier iPod a imposé les lecteurs MP3 avec disque dur intégré, dans un marché qui utilisait encore énormément la mémoire flash, tellement chère à l’époque qu’elle contenait à peine un ou deux albums pour 150 à 300 € (si si, 128 Mo en 2001... c’est le prix). L’iPod est arrivé avec ses 5 Go de stockage, et a imposé les disques durs jusqu’à ce que la flash devienne compétitive.
le premier iPhone a retourné le marché : alors que tous les téléphones comportaient un clavier empiétant d’autant sur la taille d’écran disponible, il a supprimé quasiment tous les boutons pour laisser la place à l’affichage. Depuis, tous les smartphones ont repris l’idée, ainsi que le multitouch.
l’iPad a grandement profité du fait que Microsoft se cherchait avec les tablettes, voulant imposer son système d’exploitation standard sur des appareils qui ne s’y prêtaient pas. Apple a dans un premier temps repris le système de l’iPhone, qu’elle a adapté au fil du temps aux exigences des clients. Android a tenté de suivre, mais l’iPad reste encore aujourd’hui la référence des tablettes.
l’Apple Watch a rendu gigantesque un marché de niche : les smartwatches étaient à peine effleurées, restées surtout sur le domaine sportif, alors qu’Apple a sorti une montre qui peut être utilisée en toute occasion, et qui en faisait bien plus qu’une montre sportive. La smartwatch est passée d’outil de poignet à véritable alternative à la montre « standard ».
les AirPods sont arrivés au moment opportun, où les écouteurs sans-fil commençaient à éclore. Avec le design iconique des EarPods d’origine, ils ont amené la « hype » des écouteurs blancs Apple dans le monde du sans-fil (bien aidés par la suppression de la prise jack, il faut l’avouer). Apple a su utiliser son aura pour imposer ses écouteurs, et les concurrents ont suivi.
Or, l’iPhone pliable devrait arriver sur un marché mature, mais en plus ne devrait pas imposer une grande révolution : non seulement le design se rapprocherait de celui du Samsung Fold, mais en plus il sera difficile d’aller chercher des capacités extraordinaires étant donné que Samsung Display fournira la dalle. Et il est facilement imaginable que la filiale de Samsung ne va pas tirer une balle contre son camp en permettant à Apple d’avoir une dalle aux caractéristiques uniques et supérieures à celles de Samsung Electronics...
Mais le challenge ne semble pas faire peur à Apple, et à raison : son atout, l’intégration parfaite matériel/logiciel reste intacte, Apple étant la seule à réellement maîtriser les deux facettes complètement. Elle a de plus pris le temps de se concentrer sur les deux éléments faibles des smartphones pliables actuels : le pli de l’écran, qu’elle aurait réussi à faire quasi totalement disparaître, et la charnière, qui devrait avoir un design unique et extrêmement travaillé. Autre atout pour Apple, sa base de clients fidèles : si les smartphones pliables font de l’œil à beaucoup de monde, nombre sont ceux qui attendent la version d’Apple, ne pouvant se résigner à passer sous Android. La demande est là, et devrait faire en sorte que cet iPhone cartonne.
Never Enough (Jamais assez)
En 2024, Apple a fait un choix intéressant sur l’iPad Pro : faire passer la caméra avant de la position verticale à la position horizontale. Le changement découlait du constat simple que les clients utilisaient plus souvent l’iPad à l’horizontale qu’à la verticale, surtout pour les appels. Le changement paraissait alors logique.
L’iPad Pro M5 devrait recevoir une seconde caméra avant. Image MacGeneration.
Cependant, pour ceux qui utilisent leur iPad à la verticale, le souci se pose maintenant : la main vient très souvent cacher la caméra frontale, empêchant non seulement une conversation FaceTime correcte, mais surtout un déverrouillage par Face ID. Apple aurait trouvé une solution simple pour l’iPad Pro M5 : adjoindre une seconde caméra sur le bord vertical. La solution est simple, logique, et ne devrait pas trop casser le design de l’iPad, les caméras étant très bien intégrées dans le cadre de l’écran.
Patiently Waiting (Attendant patiemment)
Nombre d’entre vous attendent la sortie de la bêta publique d’iOS 26. L’attente devrait bientôt arriver à son terme, celle-ci devant fort probablement sortir courant de semaine prochaine. Elle arrivera quasi en même temps que la bêta 4 des développeurs. Si l’arrivée de la bêta publique semble tardive cette année, il faut dire qu’Apple ajuste encore de gros détails de design de son OS, et ne voulait sûrement pas sembler trop tâtonner auprès du public. Ça ne veut pas pour autant dire que la sortie finale aura du retard, juste qu’Apple a pris son temps avec un public restreint pour dégrossir l’interface.
Apple se tâte encore, en témoigne les ajustements de transparence. Capture MacGeneration.
My Name Is (Mon nom est)
Si Apple peut inquiéter par moment depuis ces quelques derniers mois, il ne faut pas oublier pour autant qu’elle a toujours eu le don de retourner la table, et que son aura n’a pas tellement terni auprès du grand public. Le renouvellement de l’interface devrait faire son petit effet, et même s’il ne devrait pas casser les codes, l’iPhone pliable n’en sera pas pour autant un simple nième smartphone pliable, à n’en pas douter. En attendant, je vous souhaite une bonne semaine, et à dimanche prochain !
Pour une raison qui nous échappe (m’enfin, c’est que du marketing), les souris et claviers d’Apple en noir sont vendus plus cher que ceux en blanc. D’autre part, ils font l’objet de moins de promotion.
Si vous voulez alors faire l’acquisition d’une Magic Mouse noire à un prix intéressant, c’est le moment ou jamais. Le mulot d’Apple, dans sa déclinaison USB-C, est proposé aujourd’hui à 84,17 €, soit une réduction de 29 % sur son prix public. La déclinaison blanche de la souris d’Apple est proposée pour sa part à 73 €, soit une réduction de 15 % sur son prix public.
Magic Mouse noire. Image Apple
Cet écart de prix, on l’a également toujours constaté sur les Magic Trackpad. Une fois n’est pas coutume, le modèle noir est proposé à 51 centimes près au même prix que le modèle blanc : 134,48 € pour le modèle noir et 134,99 € pour le modèle blanc. Dans le cas du modèle noir, il s’agit d’une réduction de 20 %.
Image : MacGeneration
Seul regret : le Magic Keyboard dans sa déclinaison noire ne fait pas l’objet de remise particulière.
Avec le temps, les Mac se remplissent, ralentissent et s’encombrent. Faut-il en changer pour autant ? Pas nécessairement.
Il existe une solution simple et efficace, désormais bien connue des lecteurs de MacGeneration : BuhoCleaner, dont l’édition 2025 débarque avec une foule d’optimisations… et jusqu’à 68 % de réduction (avec le code exclusif : MAG25FR689).
Quand les performances chutent, BuhoCleaner remet de l’ordre
Même un Mac récent peut perdre en réactivité à cause de fichiers temporaires, de caches inutiles ou d’applications mal désinstallées. Avec les mois, ce désordre invisible pèse sur les performances globales. BuhoCleaner s’attaque précisément à ce problème : suppression en profondeur, désinstallation complète, libération d’espace — tout est conçu pour redonner à la machine sa fluidité d’origine.
Le premier scan ne prend que quelques secondes et affiche une vue d’ensemble claire : fichiers temporaires, journaux système, caches obsolètes… L’outil ne se limite pas aux évidences, il débusque aussi les résidus de mises à jour système ou les archives iOS oubliées. Même sur un Mac bien entretenu, plusieurs gigaoctets peuvent être récupérés en quelques clics.
Le module désinstallation d’apps mérite une mention spéciale. Là où macOS se contente d’un glisser-déposer dans la corbeille, BuhoCleaner identifie et supprime aussi les fichiers associés : préférences, logs, bibliothèques orphelines, agents de lancement. En un clic, tout disparaît proprement, sans laisser de traces.
La détection des fichiers volumineux ou anciens est tout aussi efficace. L’outil permet de récupérer un espace précieux sans avoir à fouiller manuellement dans l’arborescence du disque. Et grâce à la gestion des éléments au démarrage, le Mac retrouve un boot rapide et silencieux.
Enfin, le moniteur système intégré offre un aperçu en temps réel du CPU, de la mémoire et de l’activité disque. Plus lisible que le Moniteur d’activité natif d’Apple, il permet en un clic de fermer une application trop gourmande ou de libérer de la RAM. Tout fonctionne de manière fluide, même sous macOS Sequoia ou sur les dernières puces Apple M4.
Jusqu’à -68 % cet été (et -20 % en plus pour les lecteurs de MacG)
À l’occasion des soldes d’été, BuhoCleaner propose jusqu’à 68 % de réduction sur ses licences. Et pour les lecteurs de MacGeneration, une remise exclusive de 20 % supplémentaires est disponible avec le code MAG25FR689, à utiliser directement sur la page officielle. Attention : ce code est réservé aux 100 premiers utilisateurs.
Voici les offres disponibles :
Le pack individuel (1 Mac à vie) passe de 39,99 € à 15,99 €.
Le pack Famille (3 Macs à vie) est à 22,39 € au lieu de 69,99 €, soit moins de 7,50 € par machine (voir l'offre).
Le plan Business (10 Macs à vie) est affiché à 39,99 €, contre 124,99 € auparavant.
Enfin, le Pack Essentiel combinant BuhoCleaner et BuhoNTFS est disponible à 20,79 € TTC au lieu de 65,99 € — idéal pour ceux qui veulent une solution complète.
Pour les disques NTFS aussi, il y a une solution
Les utilisateurs qui travaillent régulièrement avec des disques au format NTFS savent combien il est frustrant de ne pas pouvoir écrire dessus depuis macOS. BuhoNTFS résout le problème avec une solution rapide, efficace et parfaitement intégrée.
Ici aussi, les promotions sont au rendez-vous : la licence à vie de BuhoNTFS est proposée à 11,99 € au lieu de 39,99 €. Une formule annuelle est également disponible à 7,99 €. Le code MAG25FR689 fonctionne également sur ces offres.
Avec une interface claire, une compatibilité assurée avec les dernières versions de macOS, et des remises jusqu’à -68 %, BuhoCleaner 2025 s’impose comme un investissement malin. Et quand trois Macs peuvent être couverts à vie pour moins de 23 euros, il serait dommage de laisser passer l’offre. Au-delà des 100 premiers utilisateurs, les prix grimperont — et les ralentissements, eux, reviendront.
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Après avoir dépoussiéré la recherche en ligne, Perplexity s’attaque aux navigateurs. La start-up a récemment dévoilé Comet, un navigateur bourré d’intelligence artificielle que l’on a pu essayer avant sa sortie grand public. Cette Comet va-t-elle faire de l’ombre à Chrome et Safari ? On en discute dans cette émission, la dernière de la saison.
Dans le reste de l’actu, la recharge sans fil va bientôt passer un nouveau cap et Cyberpunk 2077 est enfin dispo sur Mac !
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L’une des inquiétudes les plus sévères concernant l’iPhone 17 Air, de par sa finesse, c’est bien l’autonomie de sa batterie. C’est Instant Digital, fuiteur chinois suivi par plus de 1,4 million de personnes, qui donne quelques indices sur celle-ci.
Et le moins qu’on puisse dire, c’est que la finesse reste l’ennemi de l’autonomie : la batterie de l’iPhone 17 Air devrait contenir moins de 3 000 mAh, chose qui n’avait pas été vue depuis l’iPhone 12. Pour éviter de voir les utilisateurs de cette nouvelle version être à la recherche permanente d’une prise, Apple compte sur sa nouvelle fonction de suivi de la batterie par IA, permettant ainsi de maximiser l’autonomie avec une batterie pourtant fine.
Cependant, il reste difficile de lutter contre les lois de la physique, et les équipes d’Apple estiment que seuls 60 à 70 % des utilisateurs parviendront à tenir toute la journée sur une seule charge avec le nouvel appareil, quand les autres iPhone satisfont entre 80 et 90 % des utilisateurs. Pour corriger ce souci, Apple devrait sortir une batterie MagSafe nouvelle génération, après avoir arrêté la production de la première version en septembre 2023.
Après avoir été démantelé par les services d’Europol et consorts, le groupe de hackers russes NoName057(16) commence à dévoiler quelques secrets. Et parmi ceux-ci, l’un d’eux a attiré l’œil de Bloomberg : la façon dont les dirigeants du groupe attiraient les jeunes pirates, pour les faire travailler encore et toujours plus pour la cause.
Les bureaux d’Europol à La Haye, Pays-Bas. Image Wikipedia/OSeveno, CC BY-SA 3.0.
En effet, le groupe au plus fort de son activité regroupait plusieurs milliers « d’utilisateurs » de ses outils de hack dans de nombreux pays : plus de 100 serveurs de par le monde, 17 administrateurs et plus de 4000 utilisateurs ! Comment avoir autant de personnes à leur service, et comment faire en sorte qu’ils s’engagent à fond pour les différents piratages ? Transformer le piratage en jeu.
Les administrateurs utilisaient le crowdsourcing pour recruter les participants, et les incitaient à se dépasser par la même méthode que les jeux en ligne : tableau des meilleurs scores, badges de victoires, et récompenses (sous forme de cryptomonnaie, bien entendu). Tout le principe utilisé dans d’inoffensifs jeux comme Pokémon Go ou encore le bon vieux Candy Crush, mais au lieu de collecter les petites bestioles ou les bonbons... vous collectez les DDoS.
Bien entendu, une couche de manipulation était rajoutée par-dessus le système, gavant les utilisateurs de discours utilisant le narratif de la défense de la Russie face aux méchants occidentaux, ou pour contrer des événements politiques adverses. Si les attaques DDoS légères sont maintenant plus des pichenettes que de véritables catastrophes pour les gros serveurs, les hackers ont trouvé de nouvelles méthodes pour gripper des groupes comme X, ChatGPT ou Microsoft, avec toujours plus de bots.
Au total, le groupe NoName057(16) a été responsable de plus de 1500 attaques DDoS envers de nombreux pays membres de l’OTAN. S’il y a une leçon à retenir de ce groupe, c’est bien l’inventivité toujours plus développée des hackers, et la puissance que peut avoir une alliance d’un de ces groupes avec une volonté politique, pouvant mobiliser plusieurs milliers de personnes pour atteindre des serveurs qui deviennent de véritables cibles numériques.
Il y a maintenant quelques mois le Parlement européen a adopté l’AI Act, texte ayant pour but d’imposer quelques règles et limites concernant les intelligences artificielles. Ce pack législatif contient entre autres un code de bonne conduite pour les créateurs d’IA, qui vient déjà de se prendre une porte dans le nez : Meta refuse de le signer.
C’est Joel Kaplan, Chief Global Affairs Officer chez Meta, qui l’annonce sur son profil LinkedIn :
L’Europe est sur la mauvaise pente concernant l’IA. Nous avons relu attentivement le code de bonne conduite de la Commission européenne concernant les modèles d’IA généralistes, et Meta ne le signera pas. Ce code introduit un flou légal important pour les développeurs de ces modèles, ainsi que des mesures qui vont bien au-delà de la portée logique de l’AI Act.
Nombre d’entreprises et de décideurs politiques se sont élevés contre cette régulation dans toute l’Europe. Au début du mois, plus de 40 des plus grosses entreprises européennes ont signé une lettre appelant la Commission a faire une pause dans son implémentation. Nous partageons les inquiétudes de ces entreprises sur la crainte que ces régulations puisse créer des frontières bloquant le développement de l’IA en Europe, et empêchent les entreprises européennes de créer des opportunités grâce à elle.
Si les inquiétudes de Meta peuvent s’entendre, il est cependant difficile de comprendre le refus en bloc de ce code de bonne conduite, qui semble basé sur le bon sens : entre autres, interdire le développement sur la base de données piratées, ne pas utiliser des données d’un utilisateur ou d’une entreprise qui a refusé leur utilisation, ou encore ne pas se servir de l’IA à des fins de manipulations de la population ou de classement social.
En refusant en bloc le texte, Meta tente surtout le coup de poker de faire plier l’UE, espérant l’arrivée d’autres entreprises de poids du domaine dans son camp, comme OpenAI ou pourquoi pas Mistral, plutôt que de discuter pour obtenir un compromis.
Comme souvent, l’Union européenne est très transparente sur le sujet, et a mis en ligne le code de bonne conduite que Meta refuse de signer, consultable librement sur le site de l’UE.