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Reçu hier — 16 juillet 2025MacG.co

xAI annonce des compagnons virtuels, entre midinette pour otaku et fans de Cinquante nuances de Grey

16 juillet 2025 à 23:30

Elon Musk semble bien décidé à tout faire pour faire oublier le « dérapage » de son IA Grok il y a à peine une semaine : après avoir présenté la nouvelle version, Grok 4 (aka « SuperGrok »), voilà qu’il présente des compagnons virtuels basés sur l’IA de xAI.

SuperGrok now has two new companions for you, say hello to Ani and Rudy! pic.twitter.com/SRrV6T0MGT

— DogeDesigner (@cb_doge) July 14, 2025

Si Rudy, la version « panda roux » paraît toute mignonne et destinée aux enfants, Ani semble de son côté toute aussi mignonne mais, comme l’a expérimenté TheVerge, possède des limites très théoriques. En effet, alors que le chatbot a bien clairement indiqué que les « requêtes à caractère sexuel ne font pas partie de [son] programme », au bout de quelques minutes, l’IA lui a proposé de se « chauffer un peu », et la conversation a fini en ce que l’auteur décrit comme une version moderne d’une callgirl par téléphone, encourageant l'interlocuteur en faisant monter une jauge de petits cœurs au fil des compliments.

Pour rajouter une couche au cliché digne d’un rêve d’otaku en manque, la midinette comprend aussi une version dite « NSFW » en... lingerie fine. Cependant, les amateurs ou amatrices du sexe masculin semblent un peu abandonnés, mais ce n’est que temporaire.

What should we name our male @Grok companion? pic.twitter.com/TErzbKUqNb

— Elon Musk (@elonmusk) July 16, 2025

En effet, Elon Musk a annoncé la sortie prochaine d’une version masculine, dont la personnalité serait basée sur un mix d’Edward Cullen de Twilight, mais aussi Christian Grey, de 50 Shades of Grey.

Une IA masculine basée sur un personnage dominateur, adepte du BDSM, venant d’une entreprise dont l’intelligence artificielle a connu il y a à peine une semaine un dérapage tel qu’on n’en avait encore jamais connu, et dont la version féminine semble avoir des limites plus que théoriques... tout va bien se passer.

Drinkulator, l’app qui compte les verres à votre place

16 juillet 2025 à 22:30

Aaaaah, les vacances... et avec elles, la possibilité de se laisser un peu aller sur les boissons alcoolisées. Si l’ivresse peut avoir plusieurs définitions, celle provoquée par l’éthanol a le don d’être à la fois répréhensible (que ce soit en véhicule motorisé ou non, mais aussi à pied si vous abusez vraiment) et mauvaise pour la santé. C’est partant de ce constat qu’une app pour Apple Watch vient vous sauver la mise, Drinkulator (2,99 €).

Comme son nom l’indique, cette app permet de répertorier la liste des boissons que vous ingurgitez, et vous donne une petite idée de l’accumulation d’alcool dans votre organisme. Bien entendu, l’Apple Watch n’ayant aucun éthylomètre intégré, les chiffres ne restent qu’indicatifs, et ne feront en aucun cas foi devant les forces de l’ordre si vous deviez prendre le volant par la suite (ce que nous vous déconseillons quoi qu’il en soit).

L’app est surtout utile pour pouvoir suivre un peu votre consommation de liquides festifs (qu’ils soient ou non alcoolisés d’ailleurs, l’app ayant ajouté les boissons sans alcool), et ainsi mesurer votre sobriété... ou non, vous donnant un suivi de vos habitudes de consommation au fil du temps. À quand la détection intégrée du lever de coude ?

BOE, principal fournisseur d’écrans pour l’iPhone 16e, risque un bannissement aux USA suite à un litige avec Samsung

16 juillet 2025 à 21:45

Les écrans sont le nerf de la guerre dans le domaine des smartphones depuis plusieurs années, et ça devrait continuer ainsi longtemps. De ce fait, Apple ne se fournit pas chez un seul fabricant de dalles OLED, mais chez une multitude d’entre eux. Samsung Display se taille la part du lion (il est même supposé être le seul fabricant retenu pour le futur iPhone pliant), mais d’autres acteurs sont loin d’être insignifiants. Parmi eux, BOE (pour « Best On Earth », si si), qui risque de se voir supprimer de la liste, au moins pour les iPhone destinés aux USA.

Si BOE fait des écrans pliables, il semble que leur destin dans les iPhone pliants soit... plié. Image BOE.

En effet, une bataille juridique se joue depuis 2023, et l’International Trade Commission, qui veille au respect des règles d’importation aux USA dont les brevets, vient de trancher : BOE enfreint les brevets de Samsung Display sur l’OLED. Si pour le moment aucune sanction n’a été prise, le président américain Donald Trump aura deux mois, à partir de novembre de cette année, pour décider si les produits de la marque doivent être bannis du pays.

Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliable

Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliable

BOE risque donc de voir disparaître les commandes d’Apple concernant les produits vendus aux USA, et la pomme ne faisant généralement pas dans la complexité, l’entreprise pourrait se voir supprimée de la liste des fournisseurs de Cupertino. Ce ne serait pas une première pour BOE, qui a déjà été rayé des listings en 2022, comme le rappelle AppleInsider, pour avoir modifié les spécificités des écrans qu’elle fournissait pour les iPhone 14 sans demander la permission à Apple.

Suite à cette faute, il a fallu des années à BOE avant qu’Apple lui fasse de nouveau confiance, et même aujourd’hui l’entreprise reste un petit fournisseur face à d’autres concurrents.

Selon Apple, et certains spécialistes vont dans le même sens, BOE pourrait cependant échapper au couperet : légalement parlant, un ban concernerait les éléments importés directement par BOE aux USA, et n’affecterait pas les produits contenant des pièces BOE préalablement assemblées (notamment les iPhone 16e, qui sont majoritairement équipés d’écrans BOE). Un iPhone contenant un écran BOE pourrait donc être importé aux USA, même si la pièce prise à part était interdite de territoire.

Quoi qu’il en soit, le constructeur chinois peut être sûr d’une chose : si Apple devait être prise à parti dans la dispute entre Samsung Display et BOE, ce dernier serait lâché sans hésitation. Samsung Display a un tel poids dans le domaine des écrans de smartphones qu’il serait difficile de le remplacer, contrairement à BOE.

Google lance aux USA un chatbot appelant les professionnels pour vous, aidant ainsi les phobiques du téléphone

16 juillet 2025 à 21:15

Pour la plupart des personnes, passer un appel téléphonique pour obtenir un renseignement fait partie des choses habituelles, au moins une fois par semaine, et pour certains plusieurs fois par jour. Cependant, il semble que cette « habitude » se perde, et que la Génération Z et ultérieure développe une certaine phobie de l’appel téléphonique. Heureusement, Google promet de voler à leur secours, au moins aux États-Unis d’Amérique dans un premier temps.

Ainsi, Google AI a développé une nouvelle fonction pour son bot, qui peut passer des appels à votre place, permettant de récupérer certaines informations comme prendre un rendez-vous, vérifier un prix ou encore la disponibilité d’un produit, etc. La fonction est encore en beta, et n’est pas disponible pour tous les types de commerces, mais c’est un début prometteur.

Comme l’indique l’exemple d’un appel à un toiletteur pour animaux dans leur présentation, l’IA vous posera quelques questions à l’avance, comme la race de votre animal, le type de service que vous souhaitez, les dates de disponibilités et comment vous souhaitez recevoir les réponses glanées par l’IA.

Bien entendu (et heureusement peut-être), les professionnels auront le choix d’accepter ou non ce type d’appel : la possibilité de refuser les chatbots par téléphone leur est laissée dans les réglages de leur profil Google. Reste qu’au bout d’un moment arrivera la boucle finale : bientôt le chatbot qui appelle un autre chatbot pour avoir des renseignements (ne rigolez pas, de plus en plus de spams téléphoniques ont supprimé l’humain, utilisant un bot à la place) ? Jusqu’au jour où l’intermédiaire téléphonique sera supprimé, laissant les bots conversationnels se répondre directement sur internet...

Un dock Thunderbolt 5 bien équipé proposé par Razer

16 juillet 2025 à 20:15

Razer est une marque plutôt connue pour ses produits gaming (quoique un peu en perte de vitesse depuis quelques temps face à des monstres comme Logitech). Il serait donc facile d’oublier qu’ils ne font pas que ça, et se sont vite intéressés aux possibilités offertes par le Thunderbolt.

Beaucoup de ports, et Razer a pensé à ne pas laisser le lecteur SD-Card à l’arrière. Image Razer.

La marque propose aujourd’hui son tout nouveau dock Thunderbolt 5, le Thunderbolt 5 Dock Chroma (449 €). Alors, comme toujours avec cette marque, vous n’échapperez pas aux sempiternelles LED multicolores autour du socle, mais (ouf !) elles sont désactivables. En dehors de cette jacky’s touch, le reste des caractéristiques est plutôt intéressant :

  • un emplacement PCIe M.2 pour une barrette SSD jusqu’à 8 To
  • 3 DisplayPort 2.1
  • 4 ports Thunderbolt 5 (dont un pour la machine)
  • 2 USB-A 3.2 Gen 2
  • 1 USB-C 3.2 Gen 2
  • 1 port Gigabit Ethernet
  • 1 lecteur SD-Card UHS-II
  • 1 sortie audio jack 3.5 mm avec support micro

Le boîtier se branche en Thunderbolt 5 et alimente par le même port jusqu’à 140 W, ce qui permettra de recharger n’importe quel MacBook Pro, y compris les plus gourmands (attention avec les 16 pouces, seuls les M3 et ultérieurs acceptent 140 W, les précédents se contentent de 100 W maximum en USB-C/Thunderbolt). Il lui restera encore bien assez de puissance disponible pour alimenter quelques accessoires, l’alimentation fournie allant jusqu’à 250 W. Disponible en noir ou en blanc, son plein potentiel ne pourra se révéler qu’avec un MacBook Pro ou un Mac mini M4 Pro (seuls à disposer du Thunderbolt 5), mais devrait satisfaire tous les autres Mac munis de ports Thunderbolt 4/USB 4, avec lesquels il reste compatible.

Le Thermomix TM5 a été hacké, et il ne lance même pas Doom

16 juillet 2025 à 19:27

Les chercheurs de chez Synacktiv, spécialisés dans la sécurisation pour les entreprises, viennent de montrer comment hacker un appareil assez connu, le Thermomix TM5. Ce n'est pas le plus récent des modèles, mais l'analyse technique est intéressante et (surtout) la réponse de Vorwerk, à l'origine du célèbre cuiseur, l'est tout autant.

Le TM5, depuis remplacé par le TM6 et le TM7.

Les chercheurs se concentrent au départ sur les Cook Stick, des modules qui contiennent des recettes pour l'appareil. Même si le format physique est un peu particulier, il s'agit en fait de simples clés USB chiffrées, avec un mécanisme qui déplace les broches classiques de l'USB-A. Un autre accessoire, le Cook-Key, permet la mise à jour de l'appareil et sa connexion à Internet. Et comme les petits modules, il s'agit en réalité d'un périphérique USB. L'accessoire contient un hub USB mais aussi un contrôleur Wi-Fi qui s'interface en USB en interne. Comme c'est un modèle plus ou moins standard, les chercheurs expliquent avoir pu fabriquer leur propre version, en modifiant l'adaptateur Wi-Fi d'une Xbox 360, qui utilise la même puce.

Les modules Cook Stick sont de simples clés USB. Image Synacktiv.

Avec la possibilité de connecter l'appareil de test à un réseau Wi-Fi, les chercheurs ont ensuite pu effectuer une (fausse) mise à jour de firmware. Les explications sont assez techniques, mais l'idée est que la clé de chiffrement de l'appareil est accessible en récupérant le contenu des puces de mémoire flash, ce qui permet ensuite de créer une fausse mise à jour de firmware qui va être acceptée par l'appareil, malgré les sécurités mises en place pour empêcher ce type d'attaque. Une partie de la clé (le nonce) n'est en effet pas signée correctement, ce qui permet une attaque. Les chercheurs pointent trois problèmes précis dans la sécurisation de l'appareil, qui ont visiblement été corrigés par Vorwerk. Le point intéressant, qui n'est pas systématique dans ce domaine, c'est que le fabricant a visiblement été réactif et a permis aux chercheurs de publier les détails des problèmes détectés.

Le hack permet de modifier la version du logiciel, et ensuite de modifier le firmware. Image Synacktiv.

Nous pouvons évidemment regretter que les chercheurs n'en aient pas profité pour lancer Doom sur l'appareil. Le système d'exploitation (une distribution GNU/Linux) et le système sur puce (un i.MX28 basé sur un coeur ARM9) sont en effet normalement capables de le faire. De façon plus sérieuse, ils rappellent que même si la méthode est intéressante, les risques pour les utilisateurs sont très faibles dans le cas du Thermomix TM5. D'abord parce que le hack nécessite un accès physique complet pour récupérer le contenu de la mémoire flash, et ensuite parce que l'appareil a un CPU assez daté, n'intègre ni microphone ni caméra et — par défaut — ne se connecte pas à un réseau local. Nous sommes surtout ici devant une démonstration technique de la part de Synacktiv, sans réels dangers.

Le TM5 hacké. Image Synacktiv.
Thermomix a placé une tablette plus grande que l’iPad mini dans son dernier robot de cuisine

Thermomix a placé une tablette plus grande que l’iPad mini dans son dernier robot de cuisine

Vous avez peur pour vos données ? TeamGroup lance un SSD qui peut s'autodétruire

16 juillet 2025 à 17:56

Si vous avez des données confidentielles et que vous voulez être certains que personne ne pourra y accéder sans votre consentement, TeamGroup, un fabricant de SSD, a une solution : un SSD avec un bouton d'autodestruction. Le P250Q-M80, dans l'absolu, est un SSD assez classique : c'est un modèle M.2 2280 équipé de mémoire flash de type TLC, avec un contrôleur PCI-Express 4.0. Il peut atteindre 7 Go/s en lecture (5,5 Go/s en écriture) et existe avec une capacité de 256 Go, 512 Go, 1 To et 2 To. Rien de fou, donc… sauf la présence du bouton.

Un bouton pour détruire le SSD. Image TeamGroup.

La fonction d'autodestruction est liée à un bouton qui doit être pressé plusieurs secondes (entre 5 et 10, pour éviter les erreurs de manipulation). La destruction standard est un effacement logiciel : les données sont effacées (probablement en modifiant les clés de chiffrement) mais le SSD reste utilisable, comme s'il était neuf. La solution est complète, et prend par exemple en compte qu'une personne pourrait littéralement tirer la prise pour empêcher l'effacement : une fois le processus démarré, il se relancera si la tâche a été interrompue.

Si vous pressez le bouton plus de 10 secondes, une destruction physique démarre : le contrôleur va modifier la tension appliquée à la mémoire flash, pour littéralement griller cette dernière. Le SSD sera donc totalement inutilisable une fois le processus terminé. Bien évidemment, c'est une solution à réserver aux cas de force majeure, dans des domaines sensibles.

Promo : l'iPhone 16e entre 520 et 639 € au lieu de 719 €

16 juillet 2025 à 17:40

L'iPhone 16e est proposé chez Rakuten dans une fourchette de prix allant de 519,99 € à 639 € pour la version de 128 Go, une capacité de stockage relativement confortable.

L'écart s'explique par l'origine du vendeur, mais dans tous les cas, on profite ce jour d'une remise de 30 € sur des achats supérieurs à 299 €. La première offre à 520 € provient d'un vendeur tiers, qui est bien noté, mais qui ne précise pas l'origine géographique de son lot d'iPhone 16e. Comme toujours, en cas de problème la première année on peut aller chez Apple, ensuite il faudra se débrouiller avec le vendeur.

iPhone 16e blanc et noir. Image iGeneration.

Si l'on veut plus de sécurité dans son achat en contrepartie d'une réduction moins forte, Darty et Boulanger proposent chacun un iPhone 16e à 639 € au lieu de 669 € pour les promotions habituellement constatées et les 719 € de l'Apple Store.

À moins de 600 € l

À moins de 600 € l'iPhone 16e a peut-être trouvé son public

L'iPhone 16e, nouvelle entrée de gamme d'Apple, a vite fait oublier l'iPhone SE dans ce rôle. Il propose Face ID pour le déverrouillage ou pour payer avec Apple Pay, un écran de bien plus grande taille, un bouton Action programmable, une très bonne autonomie et la partie photo s'est bien modernisée. Sa puissance est dans la norme actuelle (même processeur que l'iPhone 16) et elle ouvre l'appareil aux fonctions d'Apple Intelligence.

Une app de conseil de drague par IA fait fuiter plus de 160 000 conversations privées

16 juillet 2025 à 17:20

Les développeurs sont nombreux à se jeter sur l’IA sans forcément prendre en compte tous les risques que cela implique côté sécurité. Dernier exemple en date : une app visant à donner des conseils de drague a laissé accessible un énorme paquet de captures d’écrans, incluant des conversations privées ou des profils de sites de rencontre. Baptisée « FlirtAI - Get Rizz & Dates », elle proposait aux utilisateurs d’envoyer une copie de leurs discussions afin de prodiguer des conseils personnalisés.

Capture d’écran de la fiche App Store de l’app, depuis débranchée.

L’app incitait les utilisateurs à partager une capture de leurs discussions avant de générer des réponses grâce à un clavier spécial. Elle proposait également d’analyser les profils pour mieux adapter ses réponses. La faille a été remarquée par Cybernews, qui indique être tombée sur un espace Google Cloud détenu par le développeur iOS Buddy Network GmbH. Non sécurisé, il contenait plus de 160 000 captures d’écran.

« En raison de la nature de l'application, les personnes les plus touchées par la fuite peuvent ne pas savoir que des captures d'écran de leurs conversations existent, et encore moins qu'elles pourraient être diffusées sur internet », expliquent les chercheurs de Cybernews. La faille a depuis été colmatée et contenait aussi des photos provenant de plateformes comme Snapchat ou Instagram.

L’affaire est grave étant donné qu’elle concerne des adolescents, plus vulnérables, mineurs et ayant potentiellement des problèmes de confiance en soi. Elle pose également la question d’un éventuel pistage, des informations très privées pouvant être indiquées sur les captures. Les développeurs tentent de se dédouaner dans leur app, déclarant que les utilisateurs sont autorisés à envoyer une capture d’écran seulement s’ils ont « obtenu les approbations nécessaires de tous les utilisateurs/humains et de leurs informations mentionnées ». L’app et toutes celles du développeur ont visiblement été supprimées dans la foulée. Buddy Network GmbH est basée à Berlin, et est donc soumise au RGPD.

Le Flipper Zero peut pirater les réseaux Thread

16 juillet 2025 à 16:48

Connaissez-vous le Flipper Zero ? Parfois vendu comme un outil de hacker capable de faire des choses incroyables, il s'agit surtout d'une sorte de couteau suisse pour les bidouilleurs, qui offre de nombreuses fonctions mais ne permet pas (par exemple) d'ouvrir une voiture. Il se trouve facilement pour un peu moins de 250 € et certains s'amusent à planter des iPhone avec. Mais le petit boîtier est aussi capable de se connecter à des réseaux Thread.

Un petit essai avec le Flipper Zero. Image András Tevesz

Thread, pour rappel, est une technologie réseau, comme le Wi-Fi, le Bluetooth ou le ZigBee. Elle est utilisée par Apple pour la domotique, avec une prise en charge dans de nombreux appareils (Apple TV, iPhone, etc.). Thread est souvent employé en parallèle de Matter, qui est un protocole qui permet de simplifier la prise en charge de la domotique. Thread est la partie matérielle, et Matter la partie logicielle.

Quelques idées. Image András Tevesz

Dans une série de trois articles, András Tevesz explique comment interfacer le fameux Flipper Zero, donc, avec un réseau Thread. Ce n'est pas simple : vous aurez besoin de composants supplémentaires pour connecter le boîtier, mais aussi d'un fer à souder. Il est ensuite possible de faire des choses basiques, comme émuler une ampoule compatible Matter, qui va allumer (ou éteindre) une LED. Mais il est aussi possible, après avoir connecté le Flipper Zero à un réseau Thread, de récupérer une clé de chiffrement a priori privée. C'est bien évidemment plus une preuve de concept qu'un manuel complet pour pirater un réseau Thread, mais les articles donnent les bases pour que des personnes motivées se penchent sur le sujet.

iPhone 17 : la future palette de couleurs déjà dans la nature ?

16 juillet 2025 à 16:19

Les couleurs de la gamme iPhone 17 se précisent. Macworld a obtenu des détails grâce à ses sources dans l’industrie qui corroborent d’autres rumeurs entendues par le passé. On a donc désormais une bonne idée des couleurs qu’Apple a choisies pour ses futurs iPhone 17 et 17 Pro, sans oublier le nouveau modèle « Slim » plus fin.

Les couleurs évoquées pour l’iPhone 17.

L’iPhone 17 de base aurait donc un noir et un blanc similaire à l’iPhone 16. On trouvera en plus de cela une déclinaison gris acier, du vert, du violet et un bleu clair. De son côté, l’iPhone 17 « Slim » disposerait d’un coloris noir similaire à l’iPhone 16 mais aussi d’un blanc un peu plus éclatant. On trouverait également un bleu clair et un or clair, que vous pouvez voir ici :

Deux des potentiels coloris de l’iPhone 17 « Slim ».

Selon les sources de Macworld, le bleu de l’iPhone 17 Slim ressemblerait à celui du MacBook Air M4. La robe or clair se rapprocherait du titane sable de l’iPhone 16 Pro. Apple aurait opté pour des couleurs moins saturées dans le but de renforcer l’impression de légèreté de l’appareil.

Pour ce qui est des 17 Pro et Pro Max, on pourra compter sur du noir, du blanc et un gris équivalent au titane naturel actuel. S’ajouterait un bleu foncé reprenant une teinte déjà vu sur le 15 Pro ainsi que de l’orange, une idée avancée il y a peu par un autre fuiteur fiable.

Deux coloris évoqués pour l’iPhone 17 Pro.

Le coloris orange aurait un aspect « fluorescent », et les sources précisent que les couleurs pourront différer selon la lumière (ce sera donc sans doute plus terne que les palettes illustrant l’article). La confirmation arrivera début septembre lors du grand keynote de rentrée d’Apple.

macOS 12 Monterey bientôt obligatoire pour Google Chrome

16 juillet 2025 à 15:46

La version actuelle de Google Chrome — la 138, sortie fin juin 2025 — est la dernière qui va être compatible avec macOS 11, Big Sur. La prochaine version, la 139 attendue en août, nécessitera donc au moins macOS 12, Monterey.

Chrome va imposer macOS 12.

Google l'indique bien, le navigateur continuera de fonctionner mais il ne recevra plus de mise à jour de sécurité ni de mises à jour de fonctions. Ce n'est pas forcément un problème dans l'absolu, tout du moins à court terme : les sites Internet imposent rarement les dernières versions en date des navigateurs. Mais avec le temps, les failles de sécurité et les nouvelles fonctions, Chrome 138 deviendra peu à peu dangereux ou inutilisable. Rappelons que les Mac sortis ces dix dernières années acceptent généralement macOS Monterey (et les versions suivantes) : les Mac bloqués sous macOS Big Sur sont le premier MacBook de 2015, quelques iMac de 2014 et les MacBook Air et MacBook Pro de 2013 et 2014.

À moins de 600 € l'iPhone 16e a peut-être trouvé son public

16 juillet 2025 à 15:00

À 719 €, l'iPhone 16e est un bon téléphone trop cher, à moins de 600 € c'est un bon téléphone, tout court. Le dernier-né d'Apple a peut-être rencontré son prix idéal à l'occasion des dernières promotions.

iPhone 16e. Image iGeneration.

À l'issue des quatre journées Prime Day, il n'y a plus d'iPhone 16e de 128 Go sur le site d'Amazon (curieusement il n'y en a plus également sur le 512 Go blanc dont le prix, frôlant les 1 100 €, est en faible adéquation avec les prestations de ce téléphone).

Amazon n'avait pas mégoté sur les réductions puisque le 128 Go fut vendu 592 € au lieu des 719 € de l'Apple Store, un tarif record. Ce niveau de prix fut aussi constaté sur les sites d'Amazon en Italie et en Allemagne peu avant les Prime Day.

Cette pénurie n'est pas constatée partout, mais il y a quelques trous dans les stocks ici ou là. À la Fnac, il n'y a plus de 128 Go noirs (le blanc est vendu 669 €) et le 512 Go blanc manque tout aussi curieusement à l'appel. Chez Boulanger, il n'y a d'absent que chez les 256 Go, Leclerc a des 128 Go pour qui en cherche (671 €), tout comme Cdiscount et les opérateurs ne sont pas en manque non plus.

La réduction de 50 € sur le prix d'Apple fait des 669 € le nouveau tarif non officiel pour l'entrée de gamme des iPhone. On est loin néanmoins des quelque 125 € rabotés lors de ces journées de promotion pendant lesquels les stocks ont fondu.

iPhone 16e. Image iGeneration.

À ce tarif, même sans MagSafe ni objectif ultra grand-angle, l'iPhone 16e s'avère un très bon iPhone pour une population de clients très diverse. On ne s'étonnera pas dès lors qu'il se soit bien vendu. À cela il faut ajouter la disparition des stocks d'iPhone 14 neufs qui font mécaniquement se porter les achats vers des modèles plus récents.

Test de l’iPhone 16e : pour tout le monde, ou presque

Test de l’iPhone 16e : pour tout le monde, ou presque

Le prochain rendez-vous pour retrouver de tels tarifs pourrait être le Black Friday fin novembre où l'on ne serait pas surpris de recroiser des iPhone 16e avec des réductions attractives.

[Mise à jour à 15h15] : correction apportée à propos de l'absence d'Apple Intelligence, ce qui n'est évidemment pas le cas.

Certains iPhone pourraient être interdits de vente aux États-Unis à la suite d'un litige entre fabricants d’écrans [ : Apple dément tout risque pour ses ventes]

16 juillet 2025 à 14:51

Apple pourrait bien avoir du mal à vendre certains iPhone aux États-Unis à la rentrée. Selon le média coréen ETNews (via MacRumors), des iPhone 15, 16 et 17 à l’écran produit par BOE pourraient se voir bannis du territoire. Le fabricant chinois est accusé d’avoir violé certains secrets commerciaux de Samsung en matière d’écrans OLED.

L’iPhone 16. Image Apple

L’affaire a commencé en 2023 : Samsung Display avait alors attaqué BOE en l’accusant d’utiliser sa technologie propriétaire pour la fabrication d’écrans OLED. Une plainte a été déposée en 2025 aux États-Unis, le coréen demandant des dommages-intérêts pour manque à gagner et enrichissement injustifié. La Commission internationale du commerce des États-Unis (ITC) lui a récemment donné raison. Elle a établi que BOE et sept de ses filiales avait détourné une technologie OLED de Samsung Display.

La justice recommande donc un blocage des importations de certains panneaux OLED de BOE aux États-Unis. Une ordonnance l’empêchant de vendre ses stocks et de fournir de futures livraisons aux sous-traitants d’entreprises américaines est également évoquée. Heureusement pour Apple, les appareils déjà fabriqués ne devraient pas être concernés par l’interdiction de vente. Le verdict n’est pas définitif, mais devrait probablement prendre effet plus tard dans l’année.

De multiples iPhone vendus aux États-Unis embarquent un écran fabriqué par BOE. Ces modèles sont les 15, 15 Plus, 16 et 16 Plus ainsi que le plus récent 16e. Certains devraient rester au catalogue après la présentation de l’iPhone 17 à la rentrée : Apple serait obligée de rediriger ces modèles vers d’autres marchés.

Une telle annonce pourrait chambouler les plans d’Apple pour la rentrée, car on ne sait pas si les prochains modèles comme l’iPhone 17 embarqueront un écran BOE. Des rumeurs estiment que tous les futurs téléphones disposeront d'un écran ProMotion cette année, ce que BOE ne fabrique pas pour le moment. Cependant, certains estiment que l’entreprise va fournir pour la première fois les dalles des 17 Pro et Pro Max vendus en Chine… et uniquement là-bas, BOE n’ayant pas réussi à atteindre les critères de performance élevés d’Apple. Bref, l'affaire pourrait se corser au fil du temps.

L’ITC a le pouvoir de bannir l’importation de certains produits aux États-Unis, mais aussi d’en interdire la vente. C’est elle qui a empêché Apple de vendre certaines Apple Watch dans son bras de fer avec Masimo lié à son capteur de mesure de la SpO2. Sauf coup de théâtre, il semble donc qu’Apple n’aura bientôt plus le droit d’importer des iPhone aux écrans fabriqués par BOE aux États-Unis, ni d’y vendre les stocks existants de ces modèles.

Mise à jour à 21h30 : Apple a officiellement répondu à AppleInsider, indiquant que ses iPhone ne seraient pas touchés par le ban, même s'il devait être choisi par Donald Trump : « Apple n'a rien à voir avec cette affaire, et cette décision n'aura aucun impact sur ses produits ».

L'iPad mini A17 Pro à 550 € en promotion, et une belle réduction aussi sur le modèle 512 Go

16 juillet 2025 à 14:42

L'iPad mini de 7e génération (nommé A17 Pro par Apple) est en promotion sur Amazon. Le modèle Wi-Fi de 128 Go est à 550 €, une réduction de 10 % sur le prix public (610 €). Elle n'est valable que sur la variante Lumlière Stellaire, un doré assez clair. Si vous avez besoin de plus d'espace de stockage, la version dotée de 512 Go de stockage est à 730 € au lieu de 990 €, une réduction de 26 %. Ici, c'est la variante Gris Sidéral qui est en promotion.

L'iPad mini A17 Pro. Image Apple.

Dans les deux cas, l'iPad mini 7 (pardon, A17 Pro) est un modèle intéressant si vous voulez profiter d'iPadOS et ses nouvelles fonctions dans un format compact.

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon

Red by SFR propose une Box 5G

16 juillet 2025 à 13:00

Si SFR n'est pas au mieux de sa forme, l'opérateur au carré rouge n'abandonne pas pour autant ses clients. Sa filiale à bas prix, RED (et son logo vert), propose en effet une nouveauté intéressante pour les oubliés de la fibre optique : une offre 5G fixe. Pour 30 € par mois, RED annonce un débit qui peut atteindre 1,1 Gb/s (une valeur très théorique en 5G) en descendant et 150 Mb/s en montant. Si l'offre est illimitée, SFR indique tout de même dans sa fiche d'informations que les clients qui abusent pourraient se retrouver avec un débit réduit. La société donne notamment comme exemples les téléchargements — au sens large — et le peer-to-peer, sans indiquer réellement une limite explicite. Le modem fourni est Wi-Fi 6, ce qui ne devrait pas être un facteur limitant dans le cas d'une connexion 5G.

Le modem 5G. Image RED.

Si l'offre est sans engagement, il y a tout de même trois points à prendre en compte. RED facture 20 € de frais d'ouverture et 30 € de frais de fermeture. En clair, n'espérez pas profiter de cet abonnement pour un mois de vacances dans une maison de campagne. Autre point à noter, ni l'accès à la télévision ni celui à la téléphonie ne sont inclus. Si vous voulez une ligne fixe, il faudra ajouter 5 € par mois, pour les appels illimités vers les fixes et les mobiles en France. Un choix assez logique : l'usage des lignes fixes est en perte de vitesse.

Le principal défaut de ce genre d'offres, qui est commun à tous les opérateurs, vient de l'éligibilité. Si votre logement est relié à la fibre, vous ne pourrez pas sélectionner l'offre 5G. Mais si votre logement n'est pas relié à la fibre, il y a aussi de fortes chances que la 5G ne soit pas disponible chez vous, ce qui implique un passage probable en 4G. Ce n'est pas systématique, par ailleurs : un logement précis peut ne pas être éligible à la fibre dans un quartier qui l'est, mais ça demeure un cas assez rare.

Face à la gronde, WeTransfer rétropédale sur l’analyse des fichiers par IA

16 juillet 2025 à 11:37

Dure semaine pour WeTransfer : hier, de nombreuses personnes se sont offusquées des changements de ses conditions d’utilisation dans lesquelles elle expliquait s’octroyer le droit de jeter un œil aux fichiers envoyés pour former son IA. L’affaire a fait du bruit et de nombreux internautes se sont mis à recommander des alternatives, ce qui a forcé l’entreprise à communiquer. Elle a confirmé à la BBC ne pas utiliser « l'apprentissage automatique ou toute autre forme d'IA pour traiter le contenu partagé via WeTransfer ».

WeTransfer a déclaré que sa nouvelle clause avait initialement été ajoutée pour inclure « la possibilité d'utiliser l'IA pour améliorer la modération des contenus » et afin d’identifier les contenus illégaux. Ce n’est pas une nouveauté, car une telle mention est présente depuis le début 2024 dans la rubrique « Politique en matière de confidentialité et de cookies ». L’article 6.3 indiquait également que WeTransfer se réservait le droit de « reproduire, distribuer, modifier » ou « afficher publiquement » les fichiers envoyés sur le service.

L’entreprise a déclaré que cette réécriture de ses conditions d’utilisations avait créé une « confusion », et a revu sa formulation. Elle indique désormais que l’utilisateur cède « une licence libre de droits pour utiliser [son] contenu dans le but d'exploiter, de développer et d'améliorer le service, le tout conformément à notre politique en matière de confidentialité et de cookies ». Cette dernière ne contient plus les mots « machine learning ». Reste à voir si les clients vont de nouveau faire confiance à WeTransfer, ce mauvais choix de communication ayant nuit à la réputation de l’entreprise.

Quel petit forfait à 2 € choisir chez les grands opérateurs

16 juillet 2025 à 11:06

Sosh, RED, Free et maintenant B&You ont tous un forfait à 2 € avec de la DATA. Ils se ressemblent, mais il y a quelques différences qui peuvent être importantes.

B&You a repris l'un des petits forfaits proposés dans le catalogue de Bouygues et l'a adapté en retirant la 5G (elle reste disponible en option) et l'engagement sur 24 mois. Il en résulte un forfait 4G avec 2h d'appels et 1 Go de DATA (idem en Europe et DOM) pour 1,99 € (la 5G coûte 3 € de plus, mais l'intérêt est nul au vu du volume de DATA).

Cela peut être une formule intéressante pour un premier mobile en faisant tout de même attention à la consommation des données, car il n'est pas bloqué.

Source B&You.

Les autres opérateurs ont chacun une offre similaire qui peut toutefois s'avérer plus avantageuse sur la partie des appels lorsque les 2h risquent d'être très insuffisantes.

  • SFR RED a une formule 4G avec 2 Go (idem en Europe et DOM) et les appels et SMS/MMS illimités pour 1,99 €. On a la 5G pour 3€ de plus, mais c'est sans intérêt, le forfait supérieur en 5G sera plus intéressant dans ce cas là ;
  • Free Mobile a toujours sa formule en 4G avec 50 Mo en Europe/DOM, 2h d'appels et les SMS/MMS illimités pour 2 €. Les abonnés Freebox l'ont pour 0 €. Sinon tout le monde peut prendre le "booster" qui apporte 1 Go utilisable en France et les appels illimités. C'est une option gratuite ;
  • Sosh a également un forfait 4G avec 1 Go (idem en Europe et DOM) pour 1,99 € avec les appels et SMS/MMS illimités.

AirPods Pro 2 : la fonction d’appareil auditif accessible dans plusieurs nouveaux pays, mais pas en France

16 juillet 2025 à 10:43

Certaines fonctions des AirPods Pro 2 se font attendre en France. Apple a ajouté en fin d’année dernière différentes nouveautés dans l'Hexagone, comme un test auditif permettant de mesurer une éventuelle perte d’audition. Cependant, la fonction d’aide auditive n’a toujours pas été activée, et Cupertino nous nargue : elle vient de la déployer dans une grosse dizaine de nouveaux pays.

The Hearing Test and Hearing Aid features on AirPods Pro 2 and sleep apnea notifications on Apple Watch are now available in Australia, Indonesia, Taiwan, Vietnam, and more! pic.twitter.com/63bBtKoPbQ

— Tim Cook (@tim_cook) July 15, 2025

Dans la liste, on retrouve quelques pays d’Amérique du Sud comme l’Argentine ou le Honduras, mais aussi Israël, la Serbie, la Moldavie et quelques pays asiatiques (Taiwan, Thaïlande…). La liste complète des pays où la fonction est disponible est en ligne à ce lien. On notera également l’absence de la réduction des sons forts, uniquement proposée dans une dizaine de pays dont le Canada et les États-Unis.

Si la fonction d’aide auditive a été très rapidement adoptée par les autorités américaines, la démarche prend visiblement plus de temps en France. Fin décembre 2024, la vice-présidente d’Apple en charge de la santé déclarait « poursuivre les discussions avec le gouvernement et les autorités sanitaires », mais rien n’a bougé depuis. Pour rappel, cette fonction destinée aux personnes souffrant d’une perte de l’audition ajuste les volumes des sons ambiants pour aider à mieux entendre les conversations et l’environnement.

Suivi cardiaque, boussole : Form lance une version plus résistante de ses lunettes de piscine augmentées

16 juillet 2025 à 09:54

Des lunettes de piscine, c’est bien, mais des lunettes de piscine augmentées, c’est mieux ! Form vient de présenter une nouvelle déclinaison de ses lunettes Smart Swim, dont la première version a été lancée il y a bientôt 6 ans et qui permet principalement d’afficher des informations sous l’eau. Cette révision est plus fine et plus légère, et le modèle Pro dévoilé aujourd’hui a l’avantage d’être plus résistante sans faire de compromis niveau confort.

Les lunettes embarquent un capteur cardiaque et peuvent afficher votre fréquence cardiaque en temps réel à l’écran, ce qui sera pratique pour rester dans la bonne zone d’effort. On peut également afficher son rythme, sa cadence, sa distance, les calories brûlées et son temps de nage. Tout cela apparaît dans un écran intégré de 72 x 40 pixels, dont l’autonomie annoncée est de 14 heures.

La version Pro présentée aujourd’hui est faite en Gorilla Glass pour une meilleure résistance. Le changement de matériel n’alourdit le produit que de 3,4 grammes. En revanche, il est livré avec un spray antibuée : les revêtements traditionnels n'adhérant pas au verre, il faudra donc en appliquer un peu avant chaque baignade.

Un abonnement à 10 € par mois est proposé, débloquant quelques autres fonctions. On y trouve par exemple SwimStraight, une sorte de boussole numérique permettant à ceux pratiquant en eaux libre de nager en ligne droite. Il est possible de relier l’accessoire à son Apple Watch pour afficher des données GPS, comme l'allure par 100 mètres. L’abonnement déverrouille également un outil permettant de se créer un plan d’entraînement ou d’en télécharger.

Les Smart Swim 2 sont vendues 279 €, tandis que la nouvelle version Pro plus résistante est affichée à 329 €. Elle ne sortira que début août. Les frais de livraison sont gratuits. L’abonnement premium est à 10 € par mois ou 100 € par an. Le produit sera probablement bientôt disponible sur Amazon.

Le lecteur d’albums Longplay est disponible en version finale sur le Mac

16 juillet 2025 à 09:49

Longplay est désormais disponible en version finale sur le Mac, après une longue période de bêta. Cette app née sur iOS est un lecteur musical qui est optimisé pour les amateurs d’albums, qui aiment les écouter du premier au dernier morceau avant de passer à l’album suivant. Basée par défaut sur la collection musicale de l’app Musique (en local ou via Apple Music), la version macOS peut aussi indexer n’importe quel dossier et ainsi rester indépendante de la solution d’Apple.

Longplay en action sur le Mac, avec le mini lecteur en bas à gauche. Image MacGeneration.

L’app se distingue par sa présentation, qui fait la part belle aux pochettes des albums. On peut les trier de plusieurs manières, y compris des tris que l’on voit moins fréquemment, comme les albums que vous n’avez pas écoutés depuis longtemps ou au contraire ceux qui tournent en boucle. Parmi ses fonctionnalités spécifiques par rapport à Musique, notons une lecture aléatoire qui repose sur l’album comme unité de base et non le morceau. Vous aurez ainsi la possibilité d’enchaîner sur un autre album pioché au hasard ou selon des critères de votre choix à la fin de celui en cours de lecture.

Longplay propose plusieurs fonctionnalités attendues d’une telle app, comme la possibilité d’organiser les albums dans des collections (équivalent des listes de lecture) ou encore la prise en charge de Last.fm. Toutes les modifications apportées à votre discothèque virtuelle seront synchronisées entre les appareils Apple via iCloud. La version macOS se distingue par l’intégration d’un serveur MCP, qui permet d’aller nettement plus loin avec les IA génératives comme je l’avais détaillé dans un précédent article. Les amateurs d’automatisation à l’ancienne seront rassurés de savoir que la prise en charge d’AppleScript est aussi de la partie.

LongPlay ajoute son propre serveur MCP, pour contrôler sa collection musicale avec une IA

LongPlay ajoute son propre serveur MCP, pour contrôler sa collection musicale avec une IA

La version macOS de Longplay peut être testée gratuitement grâce à la version distribuée sur le site officiel du projet, puis il faudra acheter une licence. L’app est distribuée au choix sur le Mac App Store à 30 € ou bien en direct à un prix que vous être libre de fixer, même s’il faut un minimum d’une trentaine d’euros aussi. Pour célébrer cette sortie, l’app iOS est temporairement en promotion à moitié prix : 3 € au lieu de 6.

macOS 15 est nécessaire au minimum, l’interface n’est pas traduite en français.

Promo : un chargeur allume cigare de 60 W pour trois appareils à 17 € au lieu de 28

16 juillet 2025 à 08:12

Si votre voiture n’est pas équipée d’une multitude de prises USB-C réparties dans l’habitacle et correctement alimentées, ce qui est hélas encore la majorité des modèles même neufs, cette promotion devrait vous intéresser pour les départs en vacances. Ce chargeur USB-C sur prise allume cigare est conçu par Ugreen, une marque reconnue et gage de sérieux, il propose jusqu’à 60 W de puissance répartie entre trois appareils et intègre même un astucieux câble USB-C rétractable. Vendu en temps normal 28 €, il est actuellement à son meilleur prix historique, supérieur même à celui des Prime Days récents : 17 € en cochant le coupon sur la page produit.

Image Ugreen.

Comme souvent sur ces chargeurs USB, les 60 W dépendent du nombre d’appareils connectés. Le câble USB-C de 70 cm intégré peut délivrer jusqu’à 30 W, tout comme les deux prises USB-C et USB-A présentes sur le petit appareil. Si vous branchez deux appareils, vous aurez bien deux fois 30 W et donc le maximum théorique. Avec trois appareils branchés en même temps, ce sera un petit peu moins bien : 30 W via le câble et 7,5 W sur chaque port supplémentaire, soit 45 W en tout. Dans tous les cas, vous pourrez charger n’importe quel smartphone, Apple Watch, tablette ou même ordinateur en privilégiant le câble rétractable puis le deuxième USB-C pour la puissance maximale.

À noter que si vous avez besoin de plus de puissance, pour charger un MacBook plus rapidement par exemple, Ugreen commercialise aussi une version 90 W, dont le câble intégré peut fournir jusqu’à 60 W. Cette variante est un petit peu plus chère et plus grosse, mais elle est aussi en promotion, à 25 € au lieu de 35. Il y a même une version 145 W, encore plus grosse, équipée d’une prise USB-C supplémentaire et capable de monter à 100 W sur une seule prise. Comptez alors 35 € au lieu de 50.

Reçu avant avant-hierMacG.co

Les premières batteries Qi2.2 arrivent et chargent plus rapidement (25 W)

16 juillet 2025 à 09:37

Dans le domaine des batteries externes, un format est intéressant pour les utilisateurs d'iPhone (ou d'un des rares smartphones Android compatibles Qi2) : les modèles qui se fixent magnétiquement sur le dos du smartphone. Jusqu'à maintenant, les batteries de ce type se limitaient à une puissance de 15 W pour la charge, mais la norme Qi2.2 améliore un peu les choses. Elle permet en effet les mêmes performances que l'adaptateur MagSafe 2 lancé en même temps que les iPhone 16, avec une puissance de 25 W.

La batterie Qi2.2 d'Ugreen. Image Ugreen.

La première représentante de cette gamme est un modèle Ugreen, attendu à l'automne 2025. La marque annonce une compatibilité Qi2.2 avec une puissance de 25 W et une capacité de 37 Wh (10 000 mAh). La batterie, déjà certifiée, devrait intégrer un petit écran pour afficher la capacité restante. La charge devrait s'effectuer uniquement en USB-C, avec un câble captif qui peut aussi servir de dragonne. La charge inversée, qui permet à un iPhone de charger la batterie, ne devrait pas être de la partie : Apple a réservé cette fonction à sa batterie MagSafe, abandonnée il y a quelques années.

Mise à jour le 16 juillet : Belkin va également commercialiser des produits compatibles Qi2.2 prochainement. La filiale de Foxconn annonce dans un communiqué de presse faire partie des premiers fabricants à plancher sur la nouvelle norme. Ses produits seront disponibles dans les prochains mois.

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

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