À quoi peut bien servir un Mac Pro Intel à l’ère de l’architecture Apple Silicon ? À recevoir du courrier postal ! C’est cette drôle de boîte aux lettres qu’a croisée un de nos lecteurs, Philippe, lors d’une balade dans les Yvelines. L’idée n’est pas inédite, en témoigne cet autre Mac Pro recyclé pour le même usage quelque part en Bourgogne. Faute de lecteur de disque, cela sera plus difficile de faire pareil avec le Mac Pro Apple Silicon une fois qu’il fera partie du passé.
« D'ici deux mois, les rayons aux États-Unis… pourraient ressembler à ceux de pays du tiers-monde, où les gens vont dans les magasins, mais n'y trouvent que des étagères vides parce que tout le monde attend de voir ». Ce n'est pas le patron d'un géant de l'alimentaire qui redoute ce scénario, mais celui de Pegatron qui le confie à Reuters.
T.H. Tung, le président de l'un des principaux assembleurs taiwanais de produits d'Apple, après Foxconn, fait référence au désordre créé par Donald Trump après l'annonce de droits de douane inédits qui a été suivie presque immédiatement de l'annonce d'un délai de pause de 90 jours.
Apple Store Miami Worldcenter. Janvier 2024. Image Apple.
Pegatron fabrique pour Apple (il gère aussi son AppleCare depuis l'Europe de l'Est), Dell ou encore Microsoft en Inde, au Vietnam ou en Indonésie en plus de la Chine. Même sans ce dernier pays où des taxes jamais vues ont été maintenues, les autres pays restent sujets à une augmentation des leurs de 10 %.
Les fabricants de PC et autres produits informatiques ou électroniques qui ne savent plus à quel saint se vouer, n'en profitent pas pour augmenter la production afin de profiter de cette fenêtre des « seulement » 10 %, observe T.H. Tung. Il est possible après tout que ces taxes finissent par être abandonnées. C'est un scénario parmi d'autres dans un contexte aussi imprévisible que les humeurs du locataire de la Maison-Blanche.
Un contexte où certains clients américains de ces assembleurs préfèrent attendre de voir venir plutôt que de constituer des stocks qui pourraient leur rester sur les bras. Les plans de Pegatron et de ses confrères ne fluctuent pas au gré des déclarations du président américain : « Ce n'est pas parce que Trump augmente les taxes que le reste du monde va faire pareil. Les assembleurs taïwanais ne varient pas dans leurs projets pour les marchés étrangers », explique T.H. Tung qui ajoute : « Nous n'allons pas ajuster immédiatement nos plans à long terme à cause de 2 ou 3 mois de changements tarifaires. Le secteur manufacturier a besoin de long terme ».
Pegatron avait commencé à délocaliser des usines de Chine, lors du premier mandat de Donald Trump, pour s'installer ailleurs en Asie du Sud-est ou au Mexique. Des déménagements réclamés par ses clients comme ceux d'autres assembleurs taïwanais.
Plus de dix ans après sa naissance, Backup To Go se réactive avec une version 2.0. Entièrement réécrit, cet utilitaire gratuit pour Mac facilite les sauvegardes de fichiers sur les clés USB ainsi que les disques durs et les SSD externes.
Backup To Go 2. Image MacGeneration.
Son fonctionnement est simple : on choisit les dossiers à sauvegarder d’un côté, on sélectionne le support de stockage externe de l’autre, on appuie sur le bouton « Backup Now », et le tour est joué. Mais le principal intérêt de Backup To Go 2 est de rendre le clic sur « Backup Now » optionnel.
Par défaut, dès que l’on branche la clé USB à son Mac, l’application lance automatiquement la sauvegarde puis éjecte la clé afin que l’on puisse la reprendre dans la foulée. L’idée est vraiment de réaliser une petite sauvegarde sur le pouce. Cela fonctionne bien, à condition de penser à lancer Backup To Go 2, car l’utilitaire ne tourne pas en tâche de fond. À noter qu'il n'y a pas de synchronisation entre les dossiers du Mac et ceux de la clé USB. En cas de suppression sur le Mac, les fichiers déjà transférés restent sur le support externe.
Si vous utilisez souvent une clé USB pour transférer des fichiers d’un ordinateur à un autre ou pour réaliser de petites sauvegardes, Backup To Go 2 vaut le coup d’être essayé. Pour les sauvegardes, c’est une solution qui vient en complément de Time Machine, mais pas en remplacement. L’application est uniquement en anglais et demande au moins macOS 13 Ventura. En beaucoup plus puissant dans le même domaine, il y a notamment ChronoSync.
Après une lente progression, l’adoption du RCS en France a connu un gros coup d’accélérateur dernièrement. 60 % du parc de smartphones est maintenant compatible avec ce successeur des SMS/MMS, soit 38,1 millions d’appareils. C’est 35 % de plus en moins de six mois.
Cette croissance fulgurante est bien sûr due à l’enrôlement de plusieurs millions d’iPhone. Après s’être tenu à l’écart de la technologie pendant plusieurs années, Apple l’a finalement prise en charge dans iOS 18. Sa gestion a été effective d’abord chez SFR, puis chez Free Mobile et Bouygues Telecom et enfin chez Orange avec iOS 18.4. D’ici la fin de l’année, 85 % des smartphones en France pourraient être compatibles avec RCS.
Messages RCS commerciaux. Image AF2M.
Si RCS améliore les échanges entre les smartphones Android et les iPhone, ce n’est pas son seul intérêt. L’accélération fulgurante de sa disponibilité enthousiasme l’Association Française pour le développement des services et usages Multimédias Multi-opérateurs (AF2M), un groupement qui promeut des services liés aux opérateurs, tels que les paiements sur facture et les SMS+. Pour cette organisation, RCS est un moyen de rivaliser efficacement avec WhatsApp Business et les autres grandes plateformes. Le standard soutenu par les opérateurs permet en effet d’envoyer des messages commerciaux plus poussés et plus interactifs que les SMS.
L’AF2M se félicite ainsi que 267 marques ont lancé des campagnes marketing RCS au cours de la dernière année, soit une centaine d’enseignes supplémentaires. Sans grande surprise, les marques du retail (grandes surfaces, boutiques de vêtements…) arrivent en tête avec 25 % du nombre total d’enseignes, suivies par les services (instituts de beauté, éducation…) à 16 % puis l’automobile à 9 %.
« Face à cette dynamique, les marques sont de plus en plus nombreuses à intégrer le RCS dans leurs campagnes, afin de tirer pleinement parti du potentiel d’activation que cette technologie apporte à leurs stratégies marketing », déclare Renan Abgrall, président de l’AF2M.
Décochez « Messages d’entreprises RCS » si vous ne voulez pas recevoir de pub par ce biais. Image iGeneration.
En théorie, toutes ces marques sont censées vous demander votre accord avant de vous envoyer des messages commerciaux par RCS (ou par SMS). En pratique, elles se débrouillent parfois pour obtenir cet accord sans que vous ne vous en rendiez compte. La case d’autorisation de communication commerciale se retrouve parfois cochée comme par magie dans votre espace client. Si vous voulez éviter de recevoir de la pub par RCS de quelque entreprise que ce soit, décochez l’option suivante sur votre iPhone : Réglages > Apps > Messages > Service RCS > Messages d’entreprises RCS.
Finalement les iPhone 17 Pro n'auront peut-être pas d'écran capable de réduire fortement les reflets. Cette faculté avait été évoquée en mars 2024 par une rumeur de l'internaute chinois Instant Digital. Il mentionnait cette nouveauté en même temps qu'il parlait de bordures un peu plus fines et d'une option d'écran mat pour les iPad Pro à venir. Bonne pioche car ce sont deux choses dont ont effectivement hérité les iPad Pro M4.
La réduction des reflets est une marotte chez Apple puisque les iMac M4 et les MacBook Pro de même génération ont aussi droit à une nouvelle option d'écran nano-texturé. De tous les appareils d'Apple, les iPhone sont ceux où elle est la plus intéressante puisqu'on les emmène absolument partout, des bureaux éclairés aux néons jusqu'aux bords des plages et piscines écrasées sous le soleil.
D'après une source jugée fiable de MacRumors, cette capacité — qui se doublait d'une résistance accrue aux rayures — ne figurerait pas au menu des nouveautés des prochains iPhone. Le processus pour obtenir cette surface s'avèrerait trop lent pour être compatible avec les volumes d'iPhone dont Apple a besoin. Même le fait de l'avoir réservé aux iPhone Pro ne simplifierait pas les choses. Il faut dire aussi que les iPhone Pro et Pro Max sont deux gammes qui se vendent dans des quantités très significatives en dépit de leurs prix.
Galaxy S24 Ultra et iPhone 15 Pro Max. Source Universelce.C'est plus subtil dans ce cas mais il y a moins de reflets sur le Galaxy et un noir plus profond encore. Source Gsmaric_com.
On peut toujours espérer que cette rumeur soit démentie, car Samsung propose un traitement antireflet depuis janvier 2024. Il est cependant réservé à ses Galaxy les plus haut de gamme, les S24/S25 Ultra. De l'avis général, le traitement de Corning qui fournit ce verre (et qui travaille aussi en étroite collaboration avec Apple) apporte un tout nouveau confort à l'utilisation de ces smartphones.
ChatGPT n’en finit plus de se doter de capacités spéciales. En activant sa fonction Rechercher qui fouille le web, le service d’OpenAI va pouvoir servir d’assistant pour faire du shopping. On pouvait bien sûr déjà utiliser le chatbot pour se renseigner sur des produits, mais plusieurs améliorations spécifiques vont être très bientôt déployées.
Le robot conversationnel va afficher des boutons « Acheter » pour passer des commandes plus rapidement. Les achats ne se feront pas dans l’interface de ChatGPT, les utilisateurs seront redirigés vers les sites correspondants pour finaliser leurs emplettes. Sur l’exemple donné par OpenAI, on voit que le service pointera vers les sites des fabricants (De’Longhi ici) ainsi que chez des revendeurs (Walmart et BrandsMart).
ChatGPT Search avec les nouvelles fonctions de shopping. Image OpenAI.
Quand il identifiera une demande pour un achat, ChatGPT mettra aussi en avant les avis, les images et les prix des produits qu’il jugera les plus appropriés. Les recommandations tiendront compte des avis sur le web, mais aussi des préférences personnelles de l’utilisateur. Si celui-ci a indiqué par le passé qu’il préfère les chaises noires, le robot devrait privilégier cette couleur dans ses résultats.
Contrairement à Google Shopping et à certains comparateurs de prix — qui voient là arriver un nouveau concurrent de taille —, ChatGPT ne présentera pas de publicités ou de résultats sponsorisés, en tout cas au début, car cela risque d’être une grosse tentation pour OpenAI à terme.
Cette nouvelle facette pose question vis-à-vis de tous les sites qui ont servi à leurs dépens à alimenter ChatGPT. Les éditeurs tirent une partie de leurs revenues de l’affiliation, notamment au travers des tests ou des guides d’achat (en dirigeant leurs lecteurs vers les sites de commerce, ils touchent une petite commission sur chaque vente). Que va devenir ce business si ChatGPT, et les autres IA génératives dans son sillon, les court-circuite ? Interrogé par Wired, Adam Fry, le responsable produit de ChatGPT Search, n’a visiblement pas la réponse : « Nous allons expérimenter de nombreuses façons différentes de faire fonctionner ce système. »
Pour l’heure, l’entreprise préfère se concentrer sur l’expérience utilisateur de cette nouveauté, qui va démarrer avec les catégories mode, beauté, articles pour la maison et électronique. Ces améliorations liées au shopping seront déployées dans les prochains jours pour tous les utilisateurs.
On a l'habitude d'utiliser WhatsApp sur son mobile ou sur son ordinateur via l'app dédiée. Mais depuis son navigateur ? Le client web propose les mêmes services que les apps à l'exception notable du chat audio ou vidéo.
Ces deux options de communication pourraient bien ne plus tarder à arriver, comme l'a noté WABetaInfo qui traque les fonctions encore cachées ou en développement. De nouvelles icônes de chat audio et vidéo sont apparues dans la bêta de la version web. Leur rôle se passe d'explications. Actuellement on a déjà l'icône de la caméra, mais elle ne sert qu'à afficher un menu qui enjoint de télécharger la version Mac (ou PC) de WhatsApp.
WhatsApp sur le web actuellement. Image iGeneration.
La date de disponibilité de cette fonction reste inconnue tout comme de savoir le nombre d'utilisateurs qui pourra participer à un appel audio ou vidéo de groupe. Pour plus de simplicité, la logique voudrait que ce soit calqué sur la capacité des apps, à savoir un maximum de 32 personnes.
Les équipes de validation de l’App Store ne sont pas en grande forme ces derniers temps. Hier, on relevait comment elles avaient laissé passer Seekee, un « navigateur » mettant en avant des contenus piratés. Aujourd’hui, c’est The Verge qui raconte avoir téléchargé le jeu Blue Prince sur iOS. Problème : celui-ci n’a jamais été porté officiellement sur mobile.
Image The Verge
Les développeurs de ce puzzle-game qui cartonne sur PC et consoles ont tiré la sonnette d’alarme dans un post Bluesky, où ils invitent à n’acheter leur jeu que sur les plateformes où il est officiellement disponible. Ils affirment avoir reçu plusieurs alertes sur une app se faisant passer pour Blue Prince sur l’App Store, qui coûtait 10 $ et qui a réussi à se hisser en 8e place du classement des apps payantes de la rubrique divertissement.
The Verge a pu la tester avant sa suppression, et contrairement à d’autres arnaques du genre, il s’agissait bien du véritable jeu avec quelques améliorations pour le rendre jouable sur mobile (joystick virtuel, raccourci pour afficher la carte…). La description de la page App Store reprenait celle de la page Steam, et le nom du développeur est le même que l’original… à une lettre près. L’achat n’était pas très intéressant étant donné qu’un bug bloquait la progression après quelques minutes de jeu.
La page App Store.
Ce n’est pas la première fois qu’Apple laisse passer des clones ou des portages non officiels. Les développeurs de Palworld avaient alerté sur un problème similaire début 2024, tout comme les créateurs de Cupheadquelques années plus tôt. Si vous voulez jouer à Blue Prince, il faudra vous tourner vers le Game Pass et le cloud gaming, le jeu étant disponible pour les abonnés Ultimate.
Vous cherchez un NAS et vous êtes déçu par la politique de Synology, qui commence juste à s’intéresser à l’Ethernet supérieur au gigabit et qui tente de restreindre les modèles de disques durs qui peuvent servir dans ses produits ? Outre les grands noms, on trouve parmi ses concurrents UGREEN, l’accessoiriste qui s’est fait connaître pour ses câbles et adaptateurs secteur. L’entreprise chinoise s’est lancée l’an dernier sur le marché des NAS et les retours semblent positifs, surtout côté matériel où l’écart se creuse avec Synology.
Le DXP4800 Plus d’UGREEN. Image MacGeneration/UGREEN.
La preuve avec le DXP4800 Plus, son modèle milieu de gamme doté de quatre emplacements pour des disques durs, avec deux emplacements pour des SSD NVMe qui pourront servir de cache, un processeur Intel de 12e génération (Gold 8505, 5 cœurs jusqu’à 4,4 GHz) épaulé par 8 Go de RAM (extensibles à 64). Surtout, UGREEN n’a pas lésiné sur la connectique avec deux ports Ethernet, l’un en 2,5G et l’autre en 10G. Si vous êtes équipés de switch à cette vitesse, vous bénéficierez de performances bien supérieures au NAS équivalent chez Synology, le tout à un prix bien plus raisonnable. Sinon, une prise USB-C placée à l’avant permet d’espérer des débits similaires en connexion directe à un ordinateur.
Vendu en temps normal 700 €, le tarif demandé est encore plus raisonnable en ce moment avec cette promotion sur Amazon qui permet de l’obtenir pour 565,24 €, soit une réduction d’environ 19 %. Pour ce prix, vous aurez le NAS nu, sans disques durs, mais vous pourrez ajouter n’importe quel modèle, il n’est pas besoin d’obtenir une autorisation de la part du fabricant pour activer toutes les fonctionnalités associées au NAS.
Comparer avec Synology est compliqué, puisque ses modèles commencent à dater et doivent être rapidement renouvelés, mais le D923+ est le modèle le plus proche et pour 625 €, il intègre un processeur bien plus lent et deux prises Ethernet 1G par défaut, même si on peut passer au 10G en option. S’il faudra attendre son successeur dans quelques mois pour pouvoir réellement comparer les deux marques sur le plan matériel, il ne fait aucun doute que le rapport performances/prix restera en faveur de UGREEN.
Les AirPods Pro 2 sont en vente à 214,55 € chez Amazon Italie, soit 30 € de moins que le prix sur le site français et 65 € de moins aussi que l'Apple Store.
C'est baisse supplémentaire chez le site italien qui proposait déjà une réduction substantiel depuis un moment, là où les autres vendeurs sont actuellement calés sur le prix d'Apple (la Fnac les vend à 279,99 €). Ce tarif (indiqué 213 € à l'origine) comprend les frais de port et une livraison est possible entre demain et vendredi.
Le boitier des AirPods Pro 2 peut se charger sans fil, même au moyen du chargeur inclus avec les Apple Watch. Image Apple.
Les AirPods Pro 2 sont des écouteurs intra-auriculaires que l'on recommande sans hésitation1. En plus d’offrir une excellente qualité sonore et une très bonne réduction active du bruit, ils comprennent de multiples fonctionnalités avancées comme la détection des conversations, l’audio adaptatif, le volume personnalisé, la possibilité de répondre par oui ou non à une notification par un mouvement de la tête.
Apple a encore élargi récemment la palette des fonctions de ces AirPods en activant en France il y a quelques mois le test d'audition et de réduction des sons forts.
Google change ses plans pour son grand raout annuel : l’entreprise a annoncé que son système d’exploitation Android allait avoir droit à une émission dédiée le 13 mai à 19 h, soit une semaine tout pile avant la grande conférence Google I/O. Cet évènement préenregistré sera un épisode spécial de « The Android Show », une série que Mountain View propose aux développeurs depuis un certain temps sur YouTube.
L’émission sera présentée par Sameer Samat, chef de l’écosystème Android chez Google. Celui-ci a promis d’aborder les « nouvelles expériences innovantes » qui arriveront sur Android cette année. L'entreprise a indiqué que le système serait tout de même présent pendant le Google I/O, que ce soit lors des conférences ou des sessions techniques destinées aux développeurs.
Cela fait quelque temps qu’Android est passé au second plan lors des Google I/O. Alphabet met désormais le paquet sur l’IA en détaillant les nouvelles fonctions à travers son écosystème, mais aussi sur ses services (Gmail, Workspace…). La plupart des nouveautés pour smartphones ne sont plus limitées à la dernière version d’Android et sont déployées pour beaucoup via une mise à jour de Google Play Services.
Tabstract est une petite extension pour Safari au concept simple : permettre de facilement mettre de côté un groupe d’onglets grâce à un gros bouton proche de la barre d’URL. Les groupes peuvent être renommés et réorganisés, ce qui devrait se montrer pratique dans différents contextes. On pourra ainsi autant s’en servir pour garder dans un coin une grosse session de recherche comme pour ouvrir plusieurs sites visités quotidiennement d’un coup.
Safari propose déjà une fonction similaire nativement via la barre latérale en cliquant sur le bouton « + », mais celle-ci est moins poussée et les onglets ne sont pas conservés sur le long terme à la manière des signets. Tabstract a l’avantage de proposer une interface plus claire et d’être un peu plus facilement trouvable pour ceux ne touchant jamais à la barre latérale. L’extension permet de rapidement fusionner deux groupes et de réorganiser l’emplacement des liens. De plus, on peut verrouiller un groupe pour empêcher sa suppression, ou restaurer tous les onglets d’un coup.
De nombreuses options sont présentes, par exemple pour faire en sorte que les onglets restaurés soient automatiquement supprimés ou pour au contraire en faire l'équivalent d'une liste de signets. Un bouton d’annulation permet de rapidement corriger le tir en cas de suppression accidentelle, et des raccourcis clavier sont disponibles pour sauvegarder un onglet à la volée. L’app est donc assez flexible, et les groupes peuvent être importés et exportés dans différents formats. Bref, une petite extension à essayer si vous trouvez le système de Safari trop limité. Elle est entièrement gratuite, traduite en français, et les développeurs assurent que tout est traité localement.
Apple n’a pas oublié l’Apple Watch et le Vision Pro ce soir : les deux appareils viennent tous deux de gagner une nouvelle bêta, respectivement watchOS 11.5 et visionOS 2.5. Rien de bien neuf à se mettre sous la dent sur les versions précédentes, mais nous allons installer tout cela pour voir s’il y a du nouveau.
Apple vient de publier tout un tas de bêtas pour les développeurs, avec une quatrième version d’iOS 18.5. Celle-ci n’apporte pas grand chose pour le moment à l’exception de microchangements dans Mail et de quelques nouveautés dans la gestion de l’eSIM chez Free. Nous allons installer tout cela et vous tiendrons au courant en cas de nouveautés intéressantes. iPadOS 18.5 et tvOS 18.5 ont également été mis à jour.
Les développeurs peuvent dès à présent télécharger la quatrième bêta de macOS Sequoia 15.5. On ne s’attend pas à grand-chose de neuf pour cette version, les trois premières bêtas n’ayant rien apporté de nouveau. Nous allons l’installer et vous tiendrons au courant si nous dénichons une nouveauté.
Histoire de former une véritable équipe gagnante, Strava offre à ses utilisateurs des mois d’abonnement à Apple Fitness+. Pour en profiter, il faut passer par l’application Strava, la plateforme qui centralise les performances sportives.
Sur l’écran d’accueil, appuyez sur votre avatar en haut à gauche puis sur l’icône de roue crantée en haut à droite pour atterrir sur les paramètres. Faites défiler un peu la liste et vous devriez voir apparaitre une offre spéciale pour Apple Fitness+.
L’offre pour les utilisateurs gratuits de Strava. Image WatchGeneration.
L’offre n’est pas la même pour tout le monde. Si vous êtes un utilisateur gratuit de Strava, vous pouvez obtenir jusqu’à deux mois gratuits d’Apple Fitness+. Si vous êtes abonné à la plateforme (un mois d’essai gratuit est proposé), vous pouvez obtenir jusqu’à trois mois. Et si vous avez déjà profité de mois offerts à Fitness+, vous n’obtiendrez peut-être pas deux ou trois mois gratuits, mais un peu moins.
L’offre pour les abonnés payants de Strava. Image WatchGeneration.
Au début de l’année, Strava et Apple Fitness+ se sont rapprochés un peu plus. Les séances d’entraînement réalisées avec les coachs d’Apple sont présentées plus joliment sur la plateforme phare. L'abonnement à Fitness+ coûte 9,99 €/mois ou 79,99 €/an. Autrement, le service est compris dans le bouquet Apple One Premium à 34,95 €/mois.
Il y a quelques jours, le blog TorrentFreakpointait du doigt Seekee, une app chinoise se présentant comme un simple navigateur enrichi de différents outils d’IA. Elle dispose également d’un onglet de contenus populaires dans lequel on trouve tout un tas de liens… pour regarder des films et séries de manière illégale.
Seekee ne cache pas vraiment ses fonctions illégales étant donné que la deuxième image de l’aperçu de l'App Store vante la possibilité de rapidement streamer du contenu. Les suivantes mettent en avant différents outils de retouche photo ou d’analyse de documents par IA. Difficile de louper le contenu piraté : la page d’accueil propose une sélection de contenus en un clic, tandis que la barre de recherche suggère directement des noms de films. En tapant le titre d’une série à la mode, il faut faire défiler de nombreux liens pirates avant d’arriver sur sa fiche Wikipédia ou sa page IMDb.
Rien ne dit que l’app héberge les vidéos en question, mais les contenus piratés sont organisés de manière élégante et démarrent immédiatement. Ce n’est pas la première fois qu’Apple laisse passer une app pirate : le problème revient régulièrement, et une app chasse l’autre quasi instantanément. Seekee a été mis en lumière il y a maintenant deux jours par TorrentFreak, et Google l’a supprimée de son Play Store dans la foulée. Elle reste disponible sur l’App Store avec une moyenne de 4,8/5 et plus de 180 notes.
Alors qu’approche le moment de choisir une enceinte Bluetooth pour cet été, Beats décline la Beats Pill en deux nouveaux coloris assez sages : un rose poudré et un bleu marine. Ces nouvelles couleurs sont pour le moment réservées à une poignée de revendeurs hors de France.
Beats Pill rose. Image Beats.
Aux États-Unis, le bleu marine est dès à présent et uniquement disponible chez Walmart et le rose poudré chez Target. Cet été, le rose poudré arrivera chez John Lewis au Royaume-Uni ainsi que chez Walmart au Canada. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.
Beats Pill bleu. Image Beats.
Pour l’heure, pas d’info sur une éventuelle disponibilité en France. Ici, on a le choix entre du noir, du rouge bien pétant et du champagne. Vendue 169 €, La Beats Pill est une bonne enceinte portable du moment qu’on ne lui en demande pas trop. Elle se concentre sur l’essentiel avec un son globalement agréable, une autonomie satisfaisante et un port USB-C polyvalent.
PowerPhotos, véritable boîte à outils dédiée à la gestion de multiples photothèques Apple, se perfectionne. Dans sa version 3.0 disponible depuis peu, son navigateur d’images est plus rapide et comprend la plupart des opérations permises par l’application Photos de macOS (suppression, export, ajout à un album…). Le panneau d’inspecteur permet maintenant d’éditer rapidement les métadonnées, et ce tout en gardant les mains sur son clavier.
Toujours concernant les métadonnées, PowerPhotos 3 donne la possibilité de les éditer par lot. Il suffit de sélectionner plusieurs photos d’un coup pour pouvoir ensuite modifier leurs mots-clés, leurs noms ou d’autres éléments simultanément.
Édition de métadonnées par lot. Image MacGeneration.
Cette nouvelle version majeure apporte aussi des améliorations dans ce qui est le cœur de PowerPhotos, à savoir la gestion de plusieurs bibliothèques Photos en parallèle. Le moteur de recherche permet de faire des fouilles plus précises, que ce soit dans une seule photothèque ou dans plusieurs à la fois.
Outre sa fonction de copie de photos et d’albums d’une bibliothèque à une autre, l’utilitaire permet maintenant de déplacer uniquement ces données. Par ailleurs, on peut sélectionner simultanément plusieurs bibliothèques dans la liste pour ensuite les fusionner, rechercher des doublons ou encore déplacer des fichiers. Ces opérations étaient déjà disponibles dans les versions précédentes, mais par un autre biais.
Fonction pour fusionner deux photothèques. Image Fat Cat Software.
PowerPhotos 3 coûte 39,95 $. Une réduction de 10 % est appliquée jusqu’au 16 mai pour célébrer le dixième anniversaire du logiciel. Une version d’essai gratuite amputée des fonctionnalités avancées est disponible. La mise à niveau depuis une mouture précédente coûte 20 $. L’application est uniquement en anglais et demande au minimum macOS Sonoma.
Les écrans E Ink sont une technologie intéressante dont le taux de rafraîchissement reste malheureusement trop faible pour de nombreuses utilisations. Le fabricant chinois Dasung veut améliorer cela et propose désormais le « Paperlike 103 » : un écran E Ink 60 Hz disponible en précommande sur sa boutique en ligne.
Image Dasung
La dalle fait 10,3" avec une résolution de 1 872 x 1 404. Elle peut être connectée grâce à un port USB-C et est livrée avec un protège-écran faisant également office de support. Des boutons physiques sont disponibles pour modifier les différents réglages, bien que l’écran reste tactile. La luminosité peut être ajustée avec plusieurs modes de couleur, par exemple pour donner un rendu plus jaune en soirée. Ce modèle peut autant servir à étendre l’affichage qu’à reproduire l’écran d’un PC ou d’un téléphone. Un haut-parleur, un mini-HDMI et un port jack 3,4 mm sont inclus.
Si vous êtes intéressés, il va malheureusement falloir attendre un peu : le produit n’est pas compatible avec macOS. Le fabricant indique que l’accessoire peut avoir des problèmes de stabilité et d’affichage qu’il n’a pas réussi à résoudre, et ce autant avec un iPad qu’un MacBook. Le produit fonctionne tout de même correctement sur Windows et Linux. Difficile de savoir si cette dalle sera un jour compatible avec l’écosystème Apple, et il y a peu d’espoir dans l’immédiat étant donné que les modèles précédents ne le sont toujours pas.
Les curieux voulant tenter l’aventure pour un PC Windows devront débourser 349 $, auxquels s’ajoute 1,37 $ de livraison (soit environ 309 €). Les expéditions auront lieu dans 3 semaines.
Lancés il y a moins de deux mois, les MacBook Air M4 voient déjà leur prix diminuer petit à petit sur Amazon. La version 13" de base en coloris minuit est en ce moment à 1 082 €, soit le tarif le plus bas à ce jour. Chez Apple, ce modèle est vendu 1 199 €.
MacBook Air M4 bleu. Image Apple.
Si les 256 Go de stockage par défaut sont trop faibles pour vous, l’unité avec 512 Go est en promotion à 1 353 € en minuit et en lumière stellaire, au lieu de 1 449 €. Et si ce sont les 16 Go de mémoire qui vous posent problème, la configuration avec 24 Go de RAM et 512 Go de stockage est à 1 586 € en couleur argent (- 113 €).
Vous pouvez aussi faire des économies sur le grand MacBook Air M4 de 15". La version de base est disponible sur Amazon à partir de 1 399 € (- 100 €). Avec le double de stockage, comptez 1 629 € (- 120 €). Et avec le double de stockage et 24 Go de RAM, vous pouvez vous en sortir pour 1 871 € (- 128 €).
Que ce soit dans sa version 13" ou dans celle de 15", le MacBook Air M4 est un ordinateur portable que l’on recommande les yeux fermés au plus grand nombre. Il a tout pour lui : il est léger, il a une excellente autonomie, il est puissant… Le fait qu’il embarque 16 Go de RAM par défaut facilite d’autant plus le choix. Seuls les 256 Go de stockage de base peuvent être gênants.
Amazon voudrait couper le cordon avec Android. L’entreprise préparerait son propre système « Vega OS » se basant sur un noyau GNU/Linux en remplacement de Fire OS pour les téléviseurs. Selon Lowpass, les travaux avancent bon train : l’entreprise prévoit de sortir un premier appareil de streaming pour la TV dans le courant de l’année. Elle aurait également courtisé de grands éditeurs pour qu'ils portent leurs applications pour la nouvelle plateforme.
Fire TV se basant sur Android, le passage sur Vega OS impliquerait de faire une croix sur toutes les apps existantes. Un portage n’est pas envisageable et il faudrait donc repartir de 0. Selon Lowpass, quelques grands groupes auraient déjà mis la main à la pâte : il cite Paramount, Rakuten et le groupe audiovisuel britannique UKTV. L’app Prime Video sera sans doute proposée dès le lancement. Un SDK a été créé pour simplifier la vie des développeurs tiers, surnommé « Kepler ».
Amazon dispose déjà de plusieurs appareils tournant sous Vega OS. L’Echo Show 5 et les écrans connectés Echo Hub sont basés dessus, tout comme le petit réveil Echo Spot. Il ne s’agit pour le moment que d’appareils audio. L’arrivée sur les sticks TV prend plus de temps étant donné qu’Amazon visait initialement un premier produit fin 2024, mais le projet n’a pas été abandonné : Amazon cherche même des développeurs pour renforcer ses troupes.
Les AirPods Pro 3 ne devraient plus trop tarder d'arriver. Selon le généralement bien renseigné Mark Gurman, ces écouteurs devraient sortir dans le courant de l’année : une annonce en parallèle des iPhone 17 à la rentrée semble plausible au vu de l’historique d’Apple. Les rumeurs affirment que cette nouvelle version apporterait une puce audio améliorée par rapport au modèle actuel sorti fin 2022. Un design revu serait également de la partie.
Des AirPods Pro 2. Image WatchGeneration
On peut imaginer que les AirPods Pro 3 gagneront quelques nouveautés vues sur les AirPods 4, comme la LED frontale invisible que l’on ne devine plus par un petit trou. Le bouton d’appairage pourrait aussi passer à l’avant et devenir une simple surface tactile, permettant de récupérer de la place tout en allégeant le poids. Apple trouvera sans doute un moyen de revoir le design du boîtier pour le différencier un peu plus de sa gamme standard.
D’un point de vue audio, la troisième génération d’AirPods Pro pourrait embarquer une « bien meilleure » réduction active du bruit selon le fuiteur Kosutami, qui a déjà eu quelques bons tuyaux par le passé. La concurrence a fait des progrès dans ce domaine depuis 2022, les WF‑1000XM5 de Sony ayant pour réputation d’avoir une excellente ANC.
La grosse nouveauté viendrait de l’arrivée d’un duo de capteurs cardiaque, que le code d’iOS laisse transparaître et que l’on trouve déjà sur les Powerbeats Pro 2. Celui-ci va envoyer des relevés réguliers à l’app Santé. Il n’influe pas sur l’autonomie et est plutôt fiable pour les sports ne nécessitant pas trop de mouvements.
Le capteur de fréquence cardiaque des Powerbeats Pro 2. Image WatchGeneration
Ces capteurs ne sont cependant pas parfaits sur les Powerbeats Pro 2, sur lesquels il est impossible d’afficher son rythme cardiaque sur une machine de fitness tout en écoutant sa musique. On peut espérer qu’Apple corrigera le tir sur ses AirPods Pro 3. Mark Gurman a pendant un temps évoqué un capteur de température, ce qui pourrait permettre d’obtenir des données plus précises que sur une Apple Watch.
Sur un autre registre, Bloombergaffirme que les écouteurs pourraient recevoir une fonction de traduction en direct. La nouveauté se baserait sur l’app Traduire d’iOS pour proposer une traduction en temps réel dans les écouteurs. Rien de bien précis n’a été évoqué, mais voir arriver ce type de fonction basé sur l’IA ne serait pas très surprenant étant donné qu’Apple semble vouloir mettre le paquet dans le domaine et que Google dispose déjà de quelque chose de similaire.
Le SSD externe Corsair EX400U est actuellement en promotion à 199 € dans sa version 2 To. C’est son prix le plus bas à ce jour. Il avait été lancé au début de l’année à 240 €. Que ce soit pour le brancher à un Mac ou à un iPhone, ce SSD est un excellent choix.
SSD externe Corsair EX400U. Image MacGeneration.
Avec un Mac de 2020 ou plus récent, grâce à sa compatibilité USB4, le Corsair EX400U permet des transferts de fichier super rapides en atteignant presque 4 Go/s au maximum (les débits varient selon les ordinateurs). En comparaison, la majorité des SSD externes plafonnent à 1 Go/s avec les Mac.
Ce produit a aussi été pensé pour être utilisé facilement avec un iPhone. Les transferts ne sont pas aussi rapides car les iPhone ont au mieux de l’USB 3 à environ 1 Go/s, mais il peut s’attacher au dos des modèles compatibles MagSafe grâce à ses aimants intégrés.
La version 4 To de ce SSD est quant à elle en promotion à 359 € actuellement, soit 13 % d’économie. Vous pouvez en savoir plus sur ce produit qui nous a convaincus dans notre test.
Depuis l’année dernière, Orange permet à ses clients d’utiliser son service Orange TV sur Apple TV. Mais jusque-là, la qualité de l’image était un cran en-dessous de celle disponible sur ses décodeurs maison. Ce n’est plus le cas maintenant.
L’opérateur a récemment amélioré la qualité des flux diffusés sur son application tvOS et Android TV, relève le site UniversLivebox. Depuis la version 11.4 sortie mi-avril, les principales chaînes sont passées d’une qualité HD « simple » à une qualité « HD+ ». Concrètement, le bitrate (la quantité de données transmises) a été augmenté autour de 10 Mb/s au lieu de 5 Mb/s pour proposer une image plus nette. La définition, elle, ne change pas, cela reste du 1080p, mais le bitrate plus élevé amène plus de détails et diminue les défauts liés à la compression.
Application Orange TV sur Apple TV. Image iGeneration.
En plus du direct, le replay a lui aussi été amélioré. En l’occurrence, les vidéos passent de la SD à la HD, ce qui doit faire une belle différence. D’après UniversLivebox, Orange prévoit des flux en 4K, mais on ne sait pas quand cela va arriver. De plus, l’opérateur travaillerait sur des portages de son application sur webOS (téléviseurs LG) et Fire OS (appareils Amazon).
Depuis mi-avril, Orange inclut sans surcoût son application Orange TV sur les plateformes de salon, dont l’Apple TV, dans toutes ses offres Livebox comprenant un décodeur. Chez Sosh, l’application tvOS requiert une option à 5 €/mois.
France Identité va bientôt améliorer sa prise en charge du permis de conduire. Une version bêta de l’application comprend deux nouveautés pour ce document officiel. La première, c’est une nouvelle présentation. À l’instar de la carte d’identité, le permis de conduire s’affiche désormais en plein écran quand on le sélectionne.
Nouvelle présentation du permis de conduire. Image iGeneration.
La deuxième nouveauté, optionnelle, concerne les données du permis. On peut maintenant récupérer l’intégralité des renseignements de ce document : catégories de véhicules, numéro de dossier, état du titre, identifiant du titre et date de délivrance. Pour rassembler toutes ces informations, une mise à jour manuelle du permis est nécessaire.
Après avoir touché le bouton « Mettre mon permis à jour », il faut autoriser un partage de données (genre, date de naissance, prénom et nom) auprès de la Délégation à la Sécurité routière, saisir son code personnel et enfin lire sa carte d’identité en NFC pour valider l’opération.
Option de mise à jour du permis. Image iGeneration
Après avoir actualisé son permis dématérialisé, un bouton permet de le retourner virtuellement pour dévoiler les infos supplémentaires. Notez que cette mise à jour n’est pas nécessaire pour les contrôles routiers, on peut très bien présenter aux forces de l’ordre la version simple de son permis numérique.
La version bêta de France Identité est distribuée sur TestFlight, mais il n’est pas possible de rejoindre le programme de test à l’heure actuelle. Un peu de patience si vous ne faites pas partie des testeurs, ces deux nouveautés devraient être déployées pour tout le monde prochainement. La carte grise pourra, elle, s’intégrer à l’application à partir du mois de juin.
Google fait tout pour éviter de devoir revendre Chrome, une séparation que pourrait bien lui imposer le département de la Justice des États-Unis (DoJ). Face à cette menace, l’entreprise multiplie les arguments pour garder son bébé. Dans un nouveau témoignage, la chef de Chrome Parisa Tabriz a affirmé qu’Alphabet était la seule société à pouvoir proposer les fonctions et caractéristiques dont Chrome dispose grâce à ses « interdépendances » avec les autres divisions internes.
Parisa Tabriz en 2018. Image mrisher/MacGeneration
L’audition a eu lieu devant le juge Amit Mehta, qui avait estimé l’été dernier que la firme de Mountain View avait un monopole sur le marché de la recherche en ligne. « Aujourd'hui, Chrome représente 17 ans de collaboration entre les gens de Chrome et le reste de Google », a déclaré Parisa Tabriz. Elle pense qu’essayer de dissocier les deux serait « sans précédent ».
La directrice a indiqué que certaines fonctions étaient liées à des infrastructures 100 % Google, comme les différents niveaux de protection de la navigation sécurisée ou le système d’alerte en cas de mot de passe compromis. « Je ne pense pas que cela pourra être recréé », a-t-elle déclaré, avant d’ajouter que plus de 90 % du code de Chromium a été rédigé par les équipes de Google depuis 2015. En plus d’investissement de plusieurs centaines de millions de dollars, elle estime qu’environ 1 000 ingénieurs de Google ont mis la main à la pâte. À l’inverse, les autres entreprises n’auraient pas participé « de manière significative ».
Parisa Tabriz est également revenu sur l’intégration de l’IA dans Chrome. Si le navigateur dispose désormais d’extensions pour ChatGPT ou Perplexity, elle a reconnu que Gemini était pour le moment le seul assistant proposé par défaut. Google voudrait renforcer cette intégration sur le long terme en cherchant à faire de Chrome un navigateur « à agents » d’IA. Ces automatisations pourrait simplifier certaines actions, comme des achats ou le remplissage de formulaires. La technologie n’est pas prête pour le moment, et il reste à voir si Google sera encore maître de Chrome à ce moment-là.
Bouygues Telecom a bousculé le marché des connexions à internet fixe en lançant à l’automne dernier son offre B&You Pure fibre, qui propose la fibre optique et rien de plus à un tarif serré, 23,99 € par mois sans engagement. Loin de se reposer sur ses lauriers, le FAI continue d’améliorer l’offre sans augmenter son prix, comme en témoigne le passage à la Bbox Wi-Fi 7 lancée en début d’année. Pour 24 €, vous aurez ainsi presque le meilleur de ce que la fibre optique peut apporter aux particuliers français, avec jusqu’à 8 Gbit/s en téléchargement, 1 Gbit/s en envoi et le meilleur de ce que les box peuvent offrir, avec du Wi-Fi 7 tri-bandes. Un répéteur Wi-Fi 7 peut aussi être demandé, pour 4 € par mois et il faut aussi tenir compte des 48 € de frais d’ouverture demandés au départ.
Capture site Bouygues. Image MacGeneration.
Face à une offre si généreuse, les concurrents ont bien du mal à réagir. Mis à part Free qui a une offre assez proche avec la Freebox Pop S (24,99 € sans engagement, fibre jusqu’à 5 Gbit/s en téléchargement et 900 Mbit/s en envoi, box avec Wi-Fi 7 mais bi-bande seulement), les autres acteurs ont eu des réponses bien timides. SFR a d’abord baissé le prix de l’une de ses offres RED et elle a récemment ajouté une formule à ses offres classiques qui s’approche de l’idée, sans aller aussi loin. Nommée « SFR Fibre Starter internet + téléphone », elle coûte 26,99 € par mois avec engagement de 12 mois et se limite à 1 Gbit/s symétrique et une vieille box avec Wi-Fi 5, qui ne sera même pas capable d’atteindre le débit théorique de la fibre optique. SFR ajoute en contrepartie la téléphonie, illimitée vers les fixes et payante vers les mobiles, tout en restant loin du compte.
Du côté d’Orange, si l’on oublie Sosh qui a toujours proposé une offre de ce type, il n’y a pas vraiment d’équivalent. Au mieux, les prix débutent à 30 € par mois au-delà de la première année et la télé est incluse à ce prix. Interrogée sur le sujet suite à la présentation de ses résultats financiers, l’entreprise a d’abord noté que ce n’était pas une nouveauté puisque des offres avec uniquement internet ont déjà existé, y compris chez Orange. Les dirigeants de l’opérateur historique considèrent par ailleurs qu’il n’y a pas eu d’effets visibles suite au lancement de ces offres simplifiées et moins chères. En clair, Orange n’a pas constaté de départs vers B&You ou Free suite au lancement de leurs formules avec seulement internet, ce qui trahit selon eux un manque d’attrait pour ces forfaits.
Bouygues Telecom devrait ainsi avoir le champ libre et son offre B&You Pure fibre devrait rester particulièrement intéressante pour tous ceux qui veulent uniquement une connexion à internet. Petite information supplémentaire au passage, plusieurs abonnés ont réussi à obtenir un ONT seul et ainsi se passer de box, ce qui est l’idéal si vous avez votre propre routeur ou que vous voulez gérer votre réseau avec votre propre matériel, par exemple dans l’écosystème UniFi. Ce n’est pas systématique ni promis par l’entreprise, mais une demande au service client peut apparemment suffire.
Netflix a annoncé un changement dans la gestion de ses sous-titres : le service compte proposer systématiquement le texte dans la langue d’origine du contenu, en plus des sous-titres pour les personnes malentendantes. Jusque-là, un contenu en anglais par exemple était généralement associé à des sous-titres dans de multiples langues différentes, mais pas en anglais simple. Seuls les sous-titres malentendants étaient proposés en anglais, ce qui implique qu’ils ne contiennent pas que les dialogues.
Un exemple de la situation actuelle : ce contenu en anglais ne propose que des sous-titres destinés aux personnes malentendantes, il n’y en a pas avec uniquement les paroles dans la même langue. Image iGeneration.
L’objectif de ces sous-titres sont en effet de permettre à une personne qui n’entend pas de suivre l’action, et c’est pourquoi ils intègrent autant les dialogues que des indications sur l’ambiance sonore ou bien sur une porte qui claque hors champ. Quand on peut entendre la bande-sonore, ce dédoublement est au mieux inutile, voire frustrant, car les sous-titres peuvent divulgâcher des éléments ou distraire. En proposant des sous-titres avec uniquement les dialogues dans la langue d’origine, Netflix propose une solution pour tous ceux qui veulent apprendre une langue en s’appuyant sur du texte en plus de l’audio ou même des natifs qui n’entendent pas bien les dialogues (ce n’est pas de leur faute).
La mauvaise nouvelle, c’est que le changement ne va concerner que les nouveaux contenus publiés par Netflix, pas l’immense catalogue déjà en place. La nouveauté est arrivée avec la dernière saison de You et le service promet que les sous-titres de base seront présents désormais sur toutes les nouvelles séries et nouveaux films produits par ses soins. Cela ne concerne pas que l’anglais d’ailleurs, toutes les versions originales devraient désormais proposer une piste de sous-titres uniquement avec les dialogues dans la même langue que l’audio.
Le Markus Gurmanorus est un animal étrange... À l’inverse de tous ses camarades Geekus Softwarus Programmus, il prend du repos quand ces derniers préparent pour Pâques de jolis œufs, appelés par les spécialistes du domaines « easter eggs ». Heureusement, cette période est maintenant derrière nous, et le spécimen chante de plus belle. Prêtons-lui une oreille attentive, afin de percer les mystères d’Apple !
Eh oui, à Pâques c’était repos... pas d’œufs Apple. Image MacGeneration/Image Playground.
Sandbox Love
Habituellement, Apple est une entreprise très organisée, avec des départements très précis. Mais contrairement à d’autres géants du secteur, il n’y a pas une équipe iPhone, une autre iPad, encore une autre MacBook... à la place, Apple est divisée en une team matériel, une autre logiciel, ou encore services. Jusqu’en 2018, tout fonctionnait selon ce principe, et personne ne s’en plaignait.
C’est grand chamboulement à l’Apple Park... retour aux bonnes pratiques. Image Wikipedia/Daniel L. Lu, CC BY-SA 4.0.
Est arrivée l’intelligence artificielle... qui a tout chamboulé. Déjà pas très en avance sur le sujet, Cupertino a décidé que les divisions habituelles pouvaient être un frein au développement rapide de l’IA, et que tout devait être chamboulé pour créer un département réservé à cette innovation, avec un seul chef à sa tête. Ainsi fut créé le département intelligence artificielle, avec à sa tête John Giannandrea, qui ne devait rendre de comptes qu’à Tim Cook. Son groupe avait la responsabilité de Siri, de l’intelligence artificielle, du développement du Machine Learning, de l’analyse des données, de la recherche fondamentale et pendant un temps du projet Titan.
Sympathetic Character
Six ans plus tard, il faut se rendre à l’évidence, c’est un flop complet : les fonctions d’Apple Intelligence, quand elles sortent à temps, sont relativement basiques et en retard face à la concurrence, le projet Apple Car a été enterré, et pire, Apple se retrouve accusée de vaporware avec le Siri montré durant la WWDC 2024 qui a été repoussé aux calendes grecques. Comment se sortir de l’impasse ?
La méthode est simple, mais elle prend du temps, qu’Apple n’a pas beaucoup : revenir au principe de fonctionnement précédent. Ainsi, la division Titan a été donnée à Kevin Lynch, lui-même sous les ordres du COO Jeff Williams avant de la démanteler complètement. Les ingénieurs du projet ont ensuite été confiés à John Giannandrea et son équipe, mais pas pour longtemps : son groupe est lui aussi mis en pièces. Une bonne partie des ingénieurs ont été confiés à Mike Rockwell, ancien chef du groupe Vision Pro, maintenant responsable de l’IA et directement sous les ordres de Craig Federighi. Le groupe Vision Pro, lui a été redivisé en une partie matérielle et une autre logicielle, cette dernière elle aussi sous les ordres de Mike Rockwell.
Pour Apple, c’est le retour à la logique originelle : Siri et la partie logicielle du Vision Pro sont maintenant là où ils devaient être, l’équipe logicielle.
You Learn
Un autre domaine important auparavant sous la coupe de Giannandrea a été relocalisé : l’équipe robotique. Même s’il ne fait pas beaucoup parler de lui pour le moment, c’est un développement important pour Apple, qui croit fortement en l’avenir de la robotique pour le grand public. Le premier exemple de ces promesses devrait prendre la forme d’une version articulée et dotée d’expressions copiant les humains pour le haut de gamme du « HomePad ».
Difficile de ne pas avoir Luxo en tête quand on voit les idées robotiques d’Apple... Image Wikipedia/Achanhk, CC BY-SA 4.0.
Le groupe est désormais confié à John Ternus, et rejoint donc l’équipe matériel. Dans la plus pure logique Apple, même si les robots sont contrôlés par IA, ils sont plus du domaine mécanique et matériel que logiciel, et doivent donc être dirigés par l’équipe hardware.
Giannandrea de son côté ? Même si son équipe s’est fortement réduite, elle n’est pas ridicule et désœuvrée pour autant : reste à sa charge la recherche fondamentale sur l’intelligence artificielle et l’analyse des données IA, continuant d’avoir un lien avec Siri même si celui-ci est maintenant plus ténu. En réduisant son équipe, Apple prévoit aussi la possibilité de son départ : si tel devait être le cas, son groupe serait alors absorbé par la division logicielle sans heurts, complétant ainsi le retour d’Apple à son « schéma de principe » habituel.
All I Really Want
À l’autre bout du couloir, Apple active ses équipes sur un autre grand projet : les lunettes à réalité augmentée. Le projet, appelé « N50 » en interne, est encore loin d’être prêt. L’idée pour le moment est de transformer une paire de lunettes en objet doté d’Apple Intelligence, afin de lui faire analyser l’environnement de l’utilisateur en temps réel, et de permettre un retour d’informations audio. On est encore très loin de la réalité augmentée telle qu’on l’entend, avec écrans transparents affichant des informations.
Meta a beaucoup d’avance dans le domaine des lunettes AR. Image Meta.
Apple développant aussi des écouteurs dotés de caméras, pourquoi faire aussi une version sous forme de lunettes ? Tout simplement le retour des clients : apparemment, nombreux sont ceux rebutés par l’idée de porter des écouteurs dans les oreilles à longueur de journée. La vraie bataille aura lieu vers la fin de la décennie : une fois les performances des processeurs améliorées et d’autres technologies arrivées, il sera temps de réaliser des lunettes AR telles qu’on les imagine, et la guerre promet d’être sans merci, surtout avec Meta qui en est déjà à présenter des prototypes.
Il est d’ailleurs surprenant de ne pas déjà voir Apple face à Meta, et d’en être seulement aux prototypes internes pour concurrencer les Ray-Ban connectées. Avec les capacités de miniaturisation d’Apple, et son affect pour les wearables comme l’Apple Watch, la firme aurait dû être leader dans le domaine, et non un simple suiveur de Meta.
En attendant de voir ce qu’Apple pourra réellement mettre face à Meta, le Vision Pro tel qu’on le connaît suit son chemin, et devrait voir apparaître une version plus légère et obligatoirement reliée à un Mac d’ici la fin de l’année ou début 2026, et un Vision Pro 2 reste sur les rails.
King of Pain
Avec les taxes sur l’importation de Chine qui restent en épée de Damoclès sur toute la production d’iPhone pour les USA, Apple se dépêche de déplacer autant d’usines qu’elle peut en Inde. Si l’entreprise fabrique déjà un bon tiers des iPhone dédiés aux États-Unis d’Amérique sur le territoire de Narendra Modī, le reste ne devrait pas être déplacé avant fin 2027 au plus tôt. Et même si le but final est atteint, personne ne peut prévoir si les taxes n’auront pas encore une fois été profondément modifiées d’ici 18 mois...
Un autre problème se pose à Cupertino : le premier iPhone pliable de son histoire, prévu pour le vingtième anniversaire du smartphone pommé, est autrement plus complexe à produire que les versions actuelles. Et même si les usines indiennes ont rejoint la qualité de fabrication de leurs versions chinoises, le gap de complexité est bien trop élevé pour se permettre de tout laisser reposer sur les usines indiennes. Apple n’a jamais fabriqué un produit entièrement nouveau depuis un autre pays que la Chine, et ne voudra certainement pas prendre le moindre risque pour un symbole tel son premier iPhone pliable, qui plus est célébrant le vingtième anniversaire.
Crazy
Pour nos amis américains, une situation étrange perdure : Apple n’a toujours pas redonné une fonction de mesure de l’oxygène sanguin à l’Apple Watch. Et étrangement, alors qu’elle a largement les moyens de mettre un terme à la brouille avec Masimo, voire de recréer de toutes pièces un capteur qui contourne les brevets du concurrent, elle n’en fait rien.
Pas de capteur d’oxygène pour les versions US... Image MacGeneration.
Si Apple paraît calme vu de l’extérieur, il semble que c’est le principe même du canard qu’elle applique actuellement : paraître gracieux et tranquille à la surface, chaque problème glissant sur ses plumes sans s’accrocher réellement. Mais sous l’eau, elle agite d’autant plus vite les pattes pour se sortir de l’impasse... en évitant cette fois les couacs.
Apple a fêté le dixième anniversaire de l’Apple Watch de manière bien étrange. Elle a incité, pendant cette journée, ses utilisateurs à compléter leurs anneaux et à obtenir en guise de récompense un nouveau trophée ainsi que des autocollants pour Messages. Les plus chanceux ont pu également se rendre en Apple Store et obtenir un pin’s qui rencontre semble-t-il, un certain succès sur eBay.
La chose sur laquelle Apple n’a pas communiqué, c’est qu’elle a invité sur son campus des influenceurs du monde entier pour fêter le dixième anniversaire de l’Apple Watch. Les personnes invitées venaient dans leur majorité du monde du sport et étaient encadrées par certains coachs de Fitness+. Le but : compléter leurs anneaux bien évidemment.
Pendant cette journée, les personnes invitées ont été amenées à faire différentes activités sportives (vélo, yoga, course à pied) et ont même participé à une petite compétition sportive.
Ce qui est très bizarre dans cette affaire, c’est que, lorsqu’on invite des influenceurs du monde entier à un événement spécial, c’est dans le but de faire parler de soi. Or, cette journée n’a fait que très peu de bruit sur les réseaux.
Ce week-end, dans toutes les zones de prix ou presque, il y a un iPhone en promotion. Pour ceux qui ne veulent pas faire de folies, on peut faire l’acquisition d’un iPhone 13 256 Go RED au prix de 579 €. C’est un modèle qui n’est pas tout jeune, qui ne fera pas tourner Apple Intelligence, mais il est relativement léger, a des performances plus qu’honorables et est compatible 5G.
L’iPhone 16e est également en promotion. Pour 80 € de plus, vous avez le tout nouveau smartphone d’Apple. Il est plus puissant, offre une meilleure autonomie, est compatible avec Apple Intelligence, mais ne dispose que d’un capteur photo et de seulement 128 Go d’espace de stockage. L’iPhone 16e est disponible à 660 € chez Boulanger et chez Amazon, soit 60 € de moins que chez Apple. Les modèles avec 256 Go et 512 Go d’espace de stockage sont également proposés avec des réductions similaires sur ces deux boutiques.
Mais la grosse promotion du week-end concerne l’iPhone 16 qui est proposé à 800 € chez Amazon. C’est 170 € de moins que sur l’Apple Store en ligne. Jamais l’iPhone 16 n’avait été vendu à un tel prix en France. C’est le moment si vous êtes intéressé…
Le modèle 256 Go est proposé pour sa part à 930 €, cela représente une ristourne de 15 % sur le prix habituel.
Alex Berger, producteur de la série La Maison, semble ne pas avoir apprécié sa collaboration avec Apple... et le fait savoir dans une interview donnée à Variety, n’hésitant pas à qualifier la pomme de « pire entreprise marketing de l’univers », rien de moins.
S’attaquant à un sujet représentant l’un des clichés parfaits de la France à l’étranger, la série faisait entrer le spectateur dans les coulisses d’une maison de haute-couture, dont le créateur phare, joué par Lambert Wilson, se retrouve au cœur d’une polémique suite à la diffusion d’une vidéo compromettante. S’ensuit une lutte de pouvoirs, à la fois interne à l’entreprise et avec des concurrents coriaces.
Avec un casting 100 % français, la série était une première pour Apple TV+, qui n’avait quasiment jusqu’alors à son catalogue que des séries anglophones. Le pari était risqué, et semble avoir échoué : autant La Maison a eu son petit succès en France, autant la mayonnaise n’a pas pris aux USA, principale cible du diffuseur. Le producteur met cet échec principalement sur le dos d’une absence totale de marketing de la part d’Apple :
Ce qui fait la réussite d’un show, c’est le marketing. Apple, par exemple, est probablement la pire boîte de l’univers niveau marketing – la meilleure pour ses iPhone, la pire pour la télévision. Ils ne font aucun marketing, et c’était un gros problème pour nous avec La Maison. Nous avons réalisé une excellente série, qui a eu un succès extraordinaire en France et dans d’autres pays d’Europe, mais ils n’en ont fait aucune promotion. Ça m’a rendu fou.
Avec un tel constat, Variety a demandé au producteur ce qui l’a incité à faire un partenariat avec Apple :
Nous avions de l’espoir. [...] Apple TV+ n’avait jamais réalisé de série en Europe, à part Slow Horses qui bien que tournée au Royaume-Uni reste très américaine. J’espérais que je pourrais changer les choses. Nous avons rapidement déchanté, au point que nous nous sommes demandés pourquoi Apple désirait tellement se tirer une balle dans le pied.
Quoi qu’il en soit, La Maison s’est arrêtée à la fin de sa première saison, et n’a pas été reconduite. Et avec de telles déclarations, il est facile d’imaginer que le producteur ne fera pas appel à Cupertino pour ses prochaines idées...
En 2020, Apple s’était associée avec Tom Hanks et sa maison de production Playtone pour sortir un film ancré dans la Seconde Guerre mondiale, USS Greyhound. Une suite a été annoncée, qui devrait sortir courant 2027, comme le rapporte AppleInsider.
L’original suivait le capitaine Krause, fraîchement nommé de l’US Navy, devant guider un convoi dans l’Atlantique, traversant les barrières formées par les U-boat allemands. Le film avait été plutôt bien accueilli par les critiques, recevant une belle note de 7.0/10 sur IMDb entre autres.
Le prochain opus devrait cette fois nous transporter vers l’autre bataille de la Seconde Guerre mondiale, ferraillant avec les japonais dans l’océan Pacifique. L’équipe du premier film devrait revenir au complet, que ce soit au niveau des acteurs comme pour la réalisation. Le tournage devrait commencer en Australie en 2026, pour une sortie probable en 2027.
Comme toute entreprise de la tech, Google fait de temps en temps le ménage dans ses gammes, et a décidé de cibler les thermostats connectés de sa filiale Nest : les premières et secondes générations sont abandonnées par l’entreprise, et n’auront plus le droit à la moindre mise à jour de sécurité à partir du 25 octobre 2025.
Fin de partie pour le thermostat Nest. Image MacGeneration.
Si la première n’a pas été vendue en Europe, ce n’est pas le cas de la seconde, qui voit donc son support s’arrêter avant la fin de cette année. Tous les propriétaires devraient normalement recevoir un mail d’avertissement, leur proposant par la même occasion un bon de 50 % de réduction pour passer chez... tado°.
Pourquoi une réduction chez un concurrent, et pas sur le thermostat de troisième génération ou la version E ? Tout simplement parce que Google a décidé d’abandonner le marché européen.
Comme le rapporte 9to5Google, le constructeur justifie la décision du fait « des systèmes de chauffage européens très spécifiques et aux matériels et logiciels variés, rendant difficile la fabrication d’un appareil convenant à des configurations très diverses ».
En conséquence, Nest continue de proposer la gamme actuelle jusqu’à épuisement des stocks, et disparaîtra du marché européen des thermostats connectés une fois ceux-ci vidés.
La situation dépendra donc de la génération de votre thermostat :
seconde génération : « le thermostat ne recevra plus de mises à jour logicielles ni de mises à jour de sécurité, ne sera plus compatible avec les applications Nest ni Home, et ne prendra plus en charge d'autres fonctionnalités connectées comme la fonction Chez moi/Absent. ». Vous recevrez en même temps que le mail d’information un lien pour une réduction de 50 % sur le pack de démarrage de tado°.
troisième génération et version « E » : le support est toujours assuré et toutes les fonctions restent actives.
Bien entendu, la marque ayant décidé d’abandonner le marché européen, les appareils toujours supportés ne sont qu’en sursis, avant que la marque ne décide qu’ils sont trop vieux pour être mis à jour... voilà une piqûre de rappel bien utile : tout ce qui fonctionne grâce à un serveur externe est à la merci du constructeur.
Certains diront qu’il n’y a pas de petits profits... d’autres qu’il est scandaleux de revendre ainsi un objet qui vous a été donné. Qu’on le veuille ou non, le pin’s dédié aux 10 ans de l’Apple Watch et au « Close your rings Day » à peine distribué dans les Apple Store a fini... sur eBay.
Et le moins qu’on puisse dire, c’est que la somme demandée est plutôt élevée pour un bout de métal offert en boutique : la plupart des vendeurs demandent au minimum 20 €, et certains poussent le vice jusqu’à le proposer pour plus de 50 € !
Ce type d’opportunisme se reproduisant à chaque fois qu’Apple décide de sortir un goodies, il est facile de comprendre pourquoi la marque en propose le moins possible au fil des ans...
VideoProc Converter AI passe la seconde avec une mise à jour qui promet de simplifier (et d’accélérer) le traitement des vidéos et photos sur Windows comme sur macOS. Sans révolutionner le secteur, l’outil affine sa proposition et s’offre une belle réduction au passage.
Le marché des logiciels de traitement vidéo et photo n’a jamais manqué d’options, souvent plus complexes les unes que les autres. VideoProc Converter AI, lui, joue depuis ses débuts la carte de la simplicité, en combinant plusieurs fonctions essentielles sous une même interface. Montage léger, conversion, compression, téléchargement, capture d’écran… tout y passe, sans fioritures.
Une réduction saisonnière, mais sans abonnement
Enfin, côté tarif, VideoProc Converter AI reste sur un modèle simple : une licence à vie. Pas d’abonnement mensuel ou annuel, mais un paiement unique, qui donne accès aux futures mises à jour. Actuellement, une promotion de 62 % ramène le prix à 29,95 € (au lieu de 78,95 €, hors taxes). Vous pouvez en profiter sans tracas, puisque le service vous offre 30 jours d'essai satisfait ou remboursé.
Avec cette nouvelle mise à jour, l’éditeur renforce surtout deux aspects : la vitesse et l’intelligence artificielle. L’upscaling vidéo, par exemple, serait jusqu’à 80 % plus rapide. Une promesse qui, dans les faits, allège sensiblement le temps passé à retravailler d’anciens fichiers SD, DVD ou VHS pour leur redonner un peu de lustre. L’algorithme optimise le tout : il réduit le bruit, affine les contours, restaure les détails manquants. Le tout sans exiger de maîtriser les arcanes du montage vidéo.
Autre ajout marquant : l’interpolation d’images par IA. Concrètement, cela permet d’augmenter le nombre d’images par seconde (FPS) d’une vidéo, jusqu’à 120 voire 240 FPS. Le rendu est plus fluide, particulièrement sur les séquences lentes ou les vidéos sportives. De quoi donner un coup de polish à vos montages, sans pour autant s’aventurer dans les réglages complexes.
L’IA aussi au service de la photo
Côté photo, VideoProc ne reste pas en retrait. L’outil embarque désormais des fonctionnalités d’amélioration d’image par intelligence artificielle. Il est possible d’upscaler une image jusqu’en 4K, 8K, voire 10K, tout en conservant un maximum de détails, ce qui s’avère utile pour le recadrage ou l’impression grand format.
L’IA s’occupe également de restaurer les visages flous ou de coloriser des photos en noir et blanc. Si ces fonctions ne sont pas inédites, elles gagnent en accessibilité ici : un simple clic suffit, là où d’autres logiciels réclament une prise en main plus approfondie.
Une boîte à outils complète
Au-delà de ces nouveautés dopées à l’IA, VideoProc Converter AI continue de proposer son panel d’outils classiques :
La conversion de fichiers, avec la prise en charge de plus de 420 formats (vidéo, audio, DVD).
La compression, notamment pour réduire la taille des gros fichiers sans trop sacrifier la qualité.
L’édition légère, avec des fonctions comme le découpage, le recadrage, la rotation ou l’ajustement du volume et de la vitesse.
Le téléchargement de vidéos, y compris de playlists entières, avec conversion possible en MP3 ou AAC.
La capture d’écran vidéo, complète ou partielle, avec prise en charge du micro et de la webcam.
Mention spéciale à deux fonctionnalités réservées pour l’instant à Windows : la stabilisation vidéo par IA, utile pour corriger les tremblements des prises de vue à la volée (GoPro, smartphones, drones), et la réduction du bruit audio. Des ajouts prévus prochainement sur macOS.
Une réduction saisonnière, mais sans abonnement
Enfin, côté tarif, VideoProc Converter AI reste sur un modèle simple : une licence à vie. Pas d’abonnement mensuel ou annuel, mais un paiement unique, qui donne accès aux futures mises à jour. Actuellement, une promotion de 62 % ramène le prix à 29,95 € (au lieu de 78,95 €, hors taxes). Vous pouvez en profiter sans tracas, puisque le service vous offre 30 jours d'essai satisfait ou remboursé.
Petit bonus : la licence inclut six mois d’accès à Aiarty Image Matting, un outil pour modifier les arrière-plans des photos (suppression, flou, remplacement).
Les détenteurs de licences existantes de VideoProc peuvent mettre à jour gratuitement, tandis que les nouveaux utilisateurs peuvent profiter de l'offre temporaire, calée sur les promotions de Pâques.
Verdict ? Un logiciel qui fait le job
VideoProc Converter AI ne révolutionne pas le traitement vidéo, mais il continue d’affiner une formule qui parle à ceux qui veulent un outil accessible, polyvalent, et sans surcoût caché. Cette mise à jour majeure joue la carte de l’efficacité, en facilitant les tâches les plus chronophages. Si votre quotidien implique de manipuler vidéos ou photos, il mérite au moins un essai !