iOS 18.5 apporte une petite nouveauté pour Temps d'écran dont on se demande pourquoi elle n'est pas arrivée plus tôt. Elle intéressera les parents qui ont bloqué, par un code PIN, l'accès aux réglages de Temps d'écran sur l'iPad ou l'iPhone de leur enfant. Si ce dernier est parvenu à deviner où dénicher le code en question, sitôt qu'il est saisi et validé, une notification sera envoyée sur les appareils des parents.
Il faudra veiller à activer les notifications pour Temps d'écran. Image MacGeneration
Il peut arriver que ce code ait été percé à jour, mais que les parents ne s'en rendent compte que tardivement, surtout s'ils ne sont pas rivés quotidiennement sur l'activité de leurs enfants avec leurs appareils Apple.
Nous avons fait un essai, mais sans succès, pas de notification, probablement parce que l'iPad sur lequel Temps d'écran est activé n'est pas encore passé au 18.5. Auquel cas il faudra des appareils tous capables d'installer cette version du système (et idem côté Mac avec macOS 15.5). Ce qui exclurait des iPhone ou iPad trop anciens. Les versions finales de ces OS devraient être lancées lundi ou mardi prochain.
Sonos et IKEA cessent leur partenariat après 6 années de commercialisation d'une gamme d'enceintes spécifique pour le géant de l'ameublement.
Il n'y aura pas de nouveau modèle signé IKEA/Sonos et les enceintes existantes seront vendues jusqu'à épuisement des stocks, a déclaré un porte-parole de Sonos à The Verge. Il a été précisé toutefois que des mises à jour logicielles seront proposées pour plusieurs années encore. Rien n'a été dit en revanche sur les raisons de l'arrêt de cette collaboration.
Sonos s'apprête à publier ses résultats trimestriels et l'entreprise s'est engagée dans une révision de ses opérations depuis la démission de son patron, Patrick Spencer, et celle d'autres cadres, tous partis après le fiasco de la refonte de l'app de commande des enceintes.
IKEA avait lancé la gamme Symfonisk à l'été 2019, ces enceintes peuvent s'intégrer dans un système Sonos et sont une option moins chère pour mettre le pied à l'étrier de cet écosystème, avec l'intérêt aussi de designs originaux. L'une des enceintes était taillée exprès pour se glisser dans les étagères Ikea tandis que l'autre se doublait d'une fonction de lampe, offrant ainsi deux usages en un.
Image IKEA.
Au fil du temps, Ikea a commercialisé des accessoires pour varier le look de la lampe et une troisième enceinte, en forme de panneau mural — toujours dans l'idée de ne pas empiéter sur un espace parfois contraint — a été lancée. Sa façade est interchangeable, Ikea en vend avec toutes sortes de motifs et des séries sortaient régulièrement.
Image IKEA.
En termes de prix, les premières enceintes étaient compétitives face aux Sonos de même positionnement (ces dernières étaient légèrement meilleures aussi sur la qualité audio) tout en proposant les mêmes possibilités de mise en réseau, de partage du son dans les pièces du foyer sans oublier la compatibilité AirPlay. Les enceintes étagère, lampe et panneau sont vendues respectivement 109 €, 179/189 € et 199 €.
Sonos a depuis revu son offre, supprimant les modèles One qui étaient les plus proches des Symfonisk en les remplaçant par les Era 100, bien plus performantes, mais avec un ticket d'entrée plus élevé (229 €). Ikea conserve d'autres enceintes à son catalogue, les Vappeby, ce sont des modèles Bluetooth uniquement, plus classiques dans leurs prestations.
Les release candidate de watchOS 11.5 et visionOS 2.5 sont en téléchargement avant des versions finales attendues logiquement pour la semaine prochaine. Il n'y avait pas grand chose à se mettre sous la dent avec ces deux mises à jour lors des bêtas. watchOS reçoit toutefois son cadran pride/fierté annuel qui va avec le bracelet du même nom. Lequel est actuellement en précommande.
Le nouveau cadran avec son unique complication.
Les notes de version de watchOS citent le nouveau cadran, la possibilité de confirmer un achat avec sa montre dans l'app TV d'Apple fonctionnant sur un autre appareil que l'Apple TV. Et aussi la correction d'un bug qui pouvait empêcher l'iPhone d'afficher une notification lorsque la batterie de l'Apple Watch était remplie à 100 %.
macOS 15.5 approche de la ligne d'arrivée avec la distribution d'une release candidate. On en aura peut-être une seconde si un gros bug est détecté sinon ce sera la version finale d'ici une semaine.
Ce n'est pas une mise à jour très chargée en nouveautés c'est le moins qu'on puisse dire, on avait juste observé un microchangement dans Mail. Les notes de version ne mentionnent que des correctifs qui ne sont pas détaillés et des failles de sécurité bouchées.
Les iPhone et iPad recoivent iOS et iPadOS en version 18.5 release candidate. L'ultime étape avant la version finale attendue la semaine prochaine. Cette sortie est calée avec la commercialisation dans quelques jours du bracelet Pride 2025 qui est complété d'un fond d'écran et d'un cadran sur les iPhone, iPad et Apple Watch.
Nous n'avions pas relevé grand chose de très significatif dans cette mise à jour 18.5 : de menus changements dans Mail et une amélioration pour l'eSIM de Free. tvOS 18.5 est aussi quasi-finalisé avec encore moins de changements visibles
Les notes de version sont succintes :
A new Pride Harmony wallpaper
Parents now receive a notification when the Screen Time passcode is used on a child’s device
Buy with iPhone is available when purchasing content within the Apple TV app on a 3rd party device
Fixes an issue where the Apple Vision Pro app may display a black screen
Support for carrier-provided satellite features is available on iPhone 13 (all models). For more information visit: https://support.apple.com/122339
Backbone est de retour avec une nouvelle manette berceau au tarif exorbitant visant les joueurs les plus exigeants. En plus de quelques améliorations côté confort comme des sticks de taille standard, cette Backbone Pro embarque désormais une connectivité Bluetooth. On pourra ainsi s’en servir pour des jeux sur iPhone avant de l'utiliser pour continuer une partie sur son Mac. Il est également possible de la brancher directement en filaire pour une latence moindre ou pour jouer sur une tablette.
Cette Backbone Pro reprend une disposition assez classique avec deux sticks asymétriques plus confortables et des boutons XYAB que l’on nous présente comme étant plus silencieux. On retrouve aussi un combo Start/Select, une touche de capture d’écran, une croix directionnelle et un bouton pour lancer l’app maison. Les gâchettes sont à effet Hall, une technologie qui devrait offrir de meilleures sensations. Autre petite nouveauté : l’entreprise a ajouté deux boutons personnalisables tombant sous les index.
Le Bluetooth a visiblement été bien pensé, avec une fonction permettant de rapidement passer d’un appareil à l’autre sans se reconnecter. L’intégration avec l’application Backbone devrait être améliorée, celle-ci faisant office d’agrégateur de jeux pour les multiples plateformes. Backbone affirme qu’il sera possible d’enregistrer de nombreux profils pour ses différents jeux. L’autonomie monte jusqu’à 40 heures.
La manette est USB-C, ce qui exclut les téléphones sortis avant l’iPhone 15. L’accessoire fonctionne avec un grand nombre de coques, comme celle en silicone d’Apple. Il sera prochainement mis en vente sur le site du constructeur, sachant que le tarif américain est de 170 $ : on devrait s’approcher des 200 € dans la version européenne. Backbone n’est pas le seul sur le créneau des manettes haut de gamme, et nous avions testé il y a quelque temps la Kishi Ultra, une manette au concept similaire sans connectivité sans fils.
Il y a du changement dans la gamme Surface Copilot+ à puces ARM. Microsoft vient d’annoncer une version revue du Surface Laptop, un ultraportable équivalent au MacBook Air. Si le design s’affine et que la bécane perd une centaine de grammes, elle n’est pas particulièrement intéressante étant donné que la puissance est réduite pour un prix en hausse : 1 099 €, contre 100 € de moins pour la génération précédente.
Le nouveau Surface Laptop.
Le nouveau Surface Laptop embarque une puce Snapdragon X Plus de Qualcomm, 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. La puce est une version moins puissante que celle que l’on connaissait jusqu’à présent étant donné qu’elle dispose de seulement 8 cœurs (contre 10 habituellement). Le PC n’en reste pas moins certifié Copilot+, ce qui lui permet d’accéder à certaines fonctions d’IA.
Mis à part ça, on y trouve un écran de 13 pouces 1920 x 1280 (60 Hz). La batterie devrait tenir environ 16 heures. Côté connectique, on retrouve deux USB-C, un USB-A et un port jack. La machine est Wi-Fi 7 et embarque du Bluetooth 5.4. Un ventilateur est toujours présent, ce qui est bruyant, mais devrait éviter la surchauffe sur le long terme. Notons qu’il est possible de grimper à 512 Go pour 1 219 €.
La nouvelle Surface Pro.
Sur un autre registre, Microsoft a également lancé une nouvelle Surface Pro, son hybride 2-en-1 faisant autant tablette que PC portable. Ce nouveau modèle 12 pouces intègre la même puce et la même configuration que le Surface Laptop (16/256 Go). Les ventilateurs ont disparu, ce qui donne un design plus moderne. L'autonomie n'est pas exceptionnelle pour autant étant donné qu'on parle de 12 heures en usage web, soit moins que le Surface Laptop.
La dalle LCD 2196 x 1464 (220 ppi) est 90 Hz et non 120 Hz comme sur la Surface Pro 11 13". Le connecteur Surface Connect a disparu et été remplacé par un second USB-C. La bécane est vendue pour 979 €, sachant que le clavier est vendu à part pour 180 € (ou 300 € en pack avec le stylet Slim Pen).
Amazon fait partie des acteurs qui profitent pleinement de la décision de justice qui a obligé Apple a desserrer son étreinte sur l'App Store aux États-Unis.
Depuis l'app Kindle pour iOS, les utilisateurs américains peuvent maintenant parcourir la librairie d'Amazon, voir les prix des ouvrages numériques, en acheter et les télécharger directement dans l'app. Un parcours tout à fait banal de prime abord sauf qu'il n'était pas possible jusqu'à présent et qu'il ne l'est toujours pas en dehors des États-Unis.
Dans la version française de l'app Kindle on ne peut que télécharger un extrait, Amazon exclut l'achat direct pour éviter les 30 % d'Apple. Image iGeneration.
Pour s'épargner la commission obligatoire d'Apple lors de l'achat d'un livre, Amazon imposait un parcours plus compliqué pour disposer d'un livre entier dans son app. On pouvait récupérer un extrait du texte — du moins pour les ouvrages qui en proposent un — et on utilisait le menu de partage pour s'envoyer le lien vers la page web du bouquin chez Amazon.
L'achat devait donc être effectué en dehors de l'app Kindle. C'est une fois seulement que le livre avait été acheté par cet autre biais qu'il pouvait être récupéré au complet dans l'app Kindle. Ces circonvolutions ont disparu de l'app Kindle américaine qui agit maintenant comme on s'y attend, en proposant un bouton dont l'intitulé — Get book — se passe d'explication.
Dans l'app Kindle. Image Amazon.
Apple ayant fait appel de la décision de justice qui a mis à bas un pan entier de son modèle économique sur l'App Store, la durée de vie de mécanisme demeure incertaine.
Tim Cook a reçu un hommage appuyé de Warren Buffet, l'un des financiers les plus respectés de ce secteur, pour la manière dont il a développé Apple et par la même occasion la valeur de son action. Buffet (94 ans) s'exprimait lors de l'assemblée générale des actionnaires de Berkshire Hathaway dont il va quitter la direction pour ne conserver que le titre de président du conseil.
Warren Buffet cherchant Tim Cook dans le public de l'assemblée générale des actionnaires de Berkshire Hathaway. Source CNBC
En préambule à tout autre propos sur la situation économique, Warren Buffet a partagé son admiration pour la manière dont Tim Cook — qui avait fait le déplacement à Omaha dans le Nebraska — a conduit les affaires d'Apple après le décès de Steve Jobs. Warren qui a l'aura d'un investisseur de génie (Berkshire Hathaway ne produit rien et ne fait que placer judicieusement son capital) a souligné la contribution du patron d'Apple a sa bonne fortune :
Je suis quelque part gêné de dire que Tim Cook a fait gagner à Berkshire Hathaway bien plus d'argent que je l'ai fait moi-même. J'ai brièvement connu Steve Jobs, et Steve a bien sûr fait des choses que personne d'autre n'aurait pu faire pour développer Apple. Steve a choisi Tim pour lui succéder et ce fut une vraie bonne décision. Steve comme vous le savez est mort jeune, et personne d'autre que Steve n'aurait pu créer Apple, mais il n'y a que Tim qui pouvait la développer comme il l'a fait. Donc, au nom de Berkshire Hathaway, merci Tim.
Buffet a pris soin de préciser que les seules présentations trimestrielles des résultats qu'il suivait en direct étaient celles d'Apple. Il faut dire que Berkshire Hathaway a investi des sommes colossales dans la Pomme depuis un peu moins de 10 ans, avec un pic de 908 millions de titres en 2021.
Tim Cook (debout au fond) applaudi lors de l'assemblée générale. Source CNBC.
L'été dernier, l'entreprise s'était délestée de la moitié de ses actions après une précédente vente, une manière a-t-on dit de réduire son imposition sur les plus-values. Malgré cette séparation, Berkshire Hathaway détenait pour 84 milliards de dollars d'actions. Au 31 décembre, il était le 6e investisseur institutionnel avec 300 millions de titres, pesant 2 % du capital pour une valeur de 59,6 milliards de dollars.
Quelques jours plus tôt, c'est Tim Cook qui avait rendu hommage à Buffet, qui venait d'annoncer qu'il laissait la direction de Berkshire Hathaway à l'un de ses fidèles, Greg Abel. Sur X, Cook disait lui aussi son admiration pour le financier, habituellement qualifié « d'Oracle d'Omaha », et « sa sagesse inspirante ».
There’s never been someone like Warren, and countless people, myself included, have been inspired by his wisdom. It’s been one of the great privileges of my life to know him. And there’s no question that Warren is leaving Berkshire in great hands with Greg. pic.twitter.com/7p5zXtq5hP
Apple a récemment invité une poignée d’influenceurs à visiter son QG européen de Cork, en Irlande. Plus précisément, les chanceux ont pu visiter des laboratoires dans lesquels Apple teste la résistance de ses produits. Le français TheiCollection a fait le déplacement, tout comme d’autres influenceurs européens (l’Espagnole Verownika, l’Italienne Hopebellee, le Polonais Spider’s web…).
Ce laboratoire d’essai a ouvert en 2022. Les invités ont pu découvrir le Reliability Lab (où sont testés la durabilité des produits) ainsi que l'Applied Research Lab, passant aux cribles les appareils à la recherche de failles. L’occasion d’apercevoir les différentes machines industrielles torturant les multiples bidules pommés : four à iPhone, frigo pour iMac, machine à projection de sable, simulateur de pression sur les écrans… On peut également y voir une machine inclinant un iMac ou y insérant un port USB afin de tester sa durabilité, ou une autre s’assurant que le produit ne sera pas abîmé dans son carton pendant le transport.
La visite présentait aussi les microscopes et autres scanners utilisés pour analyser en détail les produits. Sans surprise, Apple n’a pas montré de prototype exclusif mais a fait sa démonstration avec des iMac et iPhone déjà sur le marché. Ce n’est pas la première fois que Cupertino donne accès à ce laboratoire : un Youtubeur italien avait été invité à une visite similaire il y a maintenant un an.
OpenAI va rester une société à but non lucratif. La start-up a confirmé dans un billet de blog qu’elle abandonnait son ambitieux projet visant à changer de structure sur deux ans. « OpenAI a été fondée en tant que société à but non lucratif, et est aujourd'hui supervisée et contrôlée par celle-ci », écrit le président d’OpenAI. « À l'avenir, elle continuera d'être supervisée et contrôlée par cette organisation à but non lucratif ».
L’idée de changer de structure avait été officialisée en fin d’année dernière : l’ambition était alors de rivaliser avec les plus grands et de « devenir une entreprise pérenne », avec une transition sur 24 mois. De nombreuses voix critiques s’étaient levées, y voyant une transition dommageable sur le long terme pouvant créer un précédent dangereux. L’idée n’avait pas du tout plu à Elon Musk, qui avait proposé 97,4 milliards de dollars pour racheter la branche à but non lucratif d'OpenAI.
La décision a été prise après une discussion avec les bureaux des procureurs généraux de Californie et du Delaware, où OpenAI est basée et enregistrée. Dans une lettre ouverte, Sam Altman réitère son ambition « de veiller à ce que l'intelligence artificielle générale (AGI) profite à l'ensemble de l'humanité ». Il y indique que, même si une branche demeurera dédiée au profit, elle continuera d’être contrôlée par un conseil d’administrateurs rattaché à une entité mère à but non lucratif. Un tel choix devrait permettre « de continuer à réaliser des progrès rapides et sûrs et de donner à tous l’accès à une IA performante ».
Un tel changement de stratégie devrait déplaire aux investisseurs, qui attendaient impatiemment de faire fructifier leurs placements. OpenAI a levé 40 milliards de dollars en début d’année, dont les 3/4 proviennent de la société d’investissement japonaise SoftBank. La transformation d’OpenAI en entreprise à but lucratif était une des conditions du contrat : la somme devrait donc être revue à la baisse.
Le bidouilleur Josh Greenwalt s’est mis en tête de se créer un PC de joueur au boîtier original : celui d’un Macintosh SE. Il a donc réussi à transformer le châssis de cette vénérable machine de 1987 en véritable tour gaming à la configuration musclée. Les détails sont disponibles dans sa vidéo YouTube sur le sujet.
Josh Greenwalt explique être récemment tombé sur une annonce pour un Macintosh SE d’occasion, qu’il a décidé de désosser et de découper pour y intégrer des composants de PC. La configuration est plus que respectable étant donné qu’on y trouve une carte graphique RTX 3070 couplée à 32 Go de RAM et un processeur Ryzen 5 7600. Le SSD NVME interne fait 2 To. L’écran d’origine a été remplacé par un modèle couleur mais reste fonctionnel et peut servir à jouer, même s’il sera évidemment plus intéressant d’utiliser un écran externe pour autre chose que du rétrogaming format 4:3.
Malgré de nombreuses heures de perçage, de découpe et de ponçage du boîtier, le bidouilleur a réussi à ne pas trop dénaturer le Mac. Le lecteur de disquette d’origine sert désormais à lire les cartes SD, et la molette de luminosité ajuste maintenant le son. Des haut-parleurs ont été intégrés, ainsi qu’un port USB-C frontal. De plus, il a développé plusieurs fonds d’écrans pour l’écran interne avec un petit visage de robot donnant l’impression que l’ordinateur dort ou qu’il est en sueur quand il monte dans les tours.
Les composants des machines actuelles sont énormes par rapport au boîtier, lancé il y a presque 40 ans. L’intégration a demandé un peu de bidouille, comme il l’a expliqué à Engadget. « La seule façon de faire tenir une carte graphique était de la monter verticalement avec les ports orientés vers le bas. Pour cette raison, j'ai dû faire passer des câbles d'extension pour réorienter les ports vers l'arrière et j'ai dû utiliser un câble PCIe riser de 400 mm pour le brancher sur la carte mère ». Il précise que la torsion de cet énorme câble donne un côté assez ridicule quand on jette un coup d'œil aux entrailles de la bête, mais que l’astuce fonctionne.
Le résultat est sympathique. Cependant, Josh Greenwalt s’inquiète que des bidouilleurs du dimanche s’accaparent les stocks de Macintosh SE pour essayer de faire pareil - réduisant ainsi les le nombre de machines sur le marché. Il a des idées pour la suite et envisage de proposer ses plans de boîtier 3D pour ceux voulant également tenter l’aventure. Une vidéo devrait arriver dans les semaines qui viennent détaillant le processus de fabrication.
Orange a commencé à distribuer une mise à jour logicielle pour sa dernière Livebox 7. Cette révision immatriculée G02.R08.C03 n'est pas encore référencée sur sa page mais on nous en a transmis les notes de version qui indiquent :
Corrections de problèmes aléatoires de perte du Live sur le Décodeur TV, de fonctionnement du Wifi 5 GHz, de débit maximal à proximité de la Livebox (ex: un speedtest nPerf).
Il est également précisé qu'il faut laisser la Livebox se calibrer après l'installation de la mise à jour, pendant une bonne demi-heure :
Après le redémarrage, la Livebox 7 observe son environnement radio, note les différents canaux et largeurs de bande afin de prendre une décision de changement de configuration (généralement sous 30 mn). Un speedtest pendant cette période peut avoir un résultat en deçà des attentes voire inciter la Livebox 7 à se mettre en repli dans une configuration conservatrice avec moins de débit.
Nouvelle Livebox 7 compatible Wi-Fi 7. Image Orange.
Si vous n'avez pas encore reçu cette nouvelle version — elle a commencé à être envoyée dans la nuit — il peut être intéressant de procéder à quelques tests de vitesse autour de la box de manière à comparer avec d'éventuelles améliorations après-coup. Le sujet des performances avait cristallisé des critiques sur la décision d'Orange de ne plus prendre en charge la bande des 6 GHz — tout en se gardant la possibilité de l'activer — laquelle est efficace sur de courtes distances.
Folder Preview comble une lacune de Quick Look dans macOS en permettant de voir le contenu d'un dossier sans l'ouvrir, comme on le fait pour la prévisualisation du contenu d'un document.
Ce petit utilitaire vendu 1,99 € sur le Mac App Store ajoute les dossiers aux éléments dont on peut avoir un aperçu du contenu par un simple appui sur la barre d'espacement (ou par le raccourci Cmd + Y). Apple n'a en effet jamais pris en charge les dossiers pour Quick Look, peut-être en considérant que cela fait double-emploi avec une simple ouverture dans le Finder. On peut utiliser Quick Look sur un dossier, mais on n'obtient qu'une vue agrandie de son icône, rien de plus.
Quick Look sur un dossier avec Folder Preview. Image MacGeneration.
Pourtant un Quick Look sur un dossier peut avoir un intérêt pour éviter d'avoir à ouvrir un dossier pour rien et autres manipulations qu'un coup sur la barre d'espacement remplace avantageusement.
Après l'installation de l'app, la prévisualisation fonctionne immédiatement, mais pour qu'elle soit plus étendue — par exemple avec les dossiers dans les boites de dialogue d'ouverture de fichiers — allez dans Réglages Système > Général > Ouverture et extensions > Coup d'œil puis activez Folder Preview.
Images MacGeneration.Quick Look sur un dossier dans une boite de dialogue.
L'app a même quelques réglages pour afficher le contenu d'un dossier zippé, pour ouvrir automatiquement les sous-dossiers (dans la limite de 7 niveaux), pour montrer les éléments cachés ou encore pour agrandir l'affichage.
Quelques réglages utiles. Images MacGeneration.À droite on a activé l'option pour développer les sous-dossiers dans la prévisualisation.
Folder Preview a quelques limitations inhérentes à Quick Look, c'est un outil de prévisualisation, on ne va pas naviguer dans une hiérarchie de sous-dossiers ni ouvrir un élément depuis cette vue. Cela reste l'apanage du Finder, mais même dans ce cadre, Folder Preview reste un utilitaire pratique et l'auteur en a amélioré les performances avec cette version 1.6.
La sympathique enceinte Bose SoundLink Flex de deuxième génération est en promo ce matin. Amazon la propose pour 119,99 €, contre un prix public conseillé de 179,95 €. Cela représente donc 33 % de ristourne sur cette enceinte Bluetooth qui n’est disponible à ce prix là qu’en coloris noir.
Image Bose
Bose promet une autonomie allant jusqu’à 12 heures et un indice de protection IP67, ce qui la rend résistante à l’eau et à la poussière. Une technologie maison détecte l’inclinaison de l’enceinte afin d’ajuster le son en conséquence. La connexion multipoint est au programme, tout comme un micro intégré pour passer des coups de fil en kit mains libres. Un mode stéréo permet d’en jumeler deux pour les clients équipés.
En ajoutant 10 € de plus, vous pourrez vous tourner vers la récente Beats Pill qui perd actuellement 24 % de son prix chez Amazon. Celle-ci tient plus de 20 heures et a l’avantage d’être compatible avec le réseau Localiser. Nous recommandons également la Sonos Roam, qui a l’avantage d’être compatible AirPlay mais dont le tarif est bien moins abordable (199 €).
Le créateur de la Pebble Eric Migicovsky ne chôme pas depuis le début de l’année. En plus de travailler à ressusciter sa fameuse montre à écran E Ink, le bidouilleur vient de lancer un podcast habilement nommé Tick Talk. Il a profité du premier épisode pour donner des détails sur l’avancée de son projet, évoquant de nouvelles idées de fonctions et proposant même un premier aperçu vidéo de la future Core 2 Duo.
Image Eric Migicovsky via YouTube
On peut y découvrir une nouvelle montre tournant sur PebbleOS fonctionnant déjà avec une multitude de cadrans. Le bracelet est visiblement assez basique et similaire au bracelet Sport de l’Apple Watch. Le chargeur magnétique propriétaire est quasi identique à celui créé il y a 10 ans. Le produit reste assez sommaire, et il travaille toujours sur de nombreuses fonctions basiques comme les vibrations ou le rétroéclairage. D’autres n’ont pas encore été activées, comme le fait… de donner l’heure.
Eric Migicovsky a de la suite dans les idées et voudrait ajouter une intégration à Beeper, son application permettant d’utiliser différentes messageries. Les nouvelles montres embarquant un micro et un haut-parleur, il envisage également d’intégrer une manière de papoter avec les tchatbots IA. Le DMA devrait améliorer la compatibilité avec l’iPhone, permettant par exemple de répondre à un message en dictant une réponse directement à sa Pebble.
Le sujet des droits de douane américains a aussi été évoqué, Donald Trump ayant mis en place de nouvelles taxes sur les produits provenant de Chine alors que la montre est fabriquée à Shenzhen. De tels produits sont pour le moment soumis à une taxe de 27,5 %, ce qui pourrait faire gonfler le prix des accessoires de 10 à 25 dollars. Les clients en dehors des États-Unis ne seront logiquement pas touchés par ces frais.
Les choses vont accélérer dans les prochains mois : Eric Migicovsky a dans l’idée de lancer deux montres avant la fin 2025. La « Core 2 Duo » vue ci-dessus ressemble énormément à une Pebble 2, tandis que la « Core Time 2 » sera une version plus avancée avec un écran couleur. La première devrait arriver entre les mains des premiers clients début juillet, et la seconde d’ici décembre.
Frigate, l’enregistreur vidéo en réseau (NVR) open-source, continue de s’améliorer à bon rythme et la version 0.16 proposée en bêta depuis peu est une grosse mise à jour, avec deux nouveautés majeures. Cette app à installer sur son propre serveur (un Raspberry Pi, un Mini PC, un NAS…) était déjà capable de distinguer les différents types de mouvements pour ne conserver que les images de personnes, voitures ou encore de chats parmi toutes celles transmises par des caméras. Désormais, elle peut aussi analyser les visages pour effectuer une reconnaissance faciale et lire les plaques d’immatriculation pour différencier les véhicules.
La reconnaissance faciale en action : ici, j’interroge la base de données de Frigate pour n’afficher que les enregistrements de moi-même. Image iGeneration.Ici, c’est l’identification de véhicules qui est exploitée et Frigate sort bien les photos de ma voiture, identifiée par sa plaque. Image iGeneration.
Ces deux nouvelles fonctionnalités doivent être activées dans les réglages de Frigate ou via son fichier de configuration. L’identification repose à chaque fois sur des modèles spécialisés qui vont agir après l’identification principale. Concrètement, si un véhicule est repéré sur une caméra, le modèle dédié aux plaques va ensuite s’activer pour trouver la plaque et appliquer une reconnaissance optique des caractères (OCR) pour y lire les lettres et chiffres. Vous aurez une liste de plaques identifiées dans la base de données de Frigate et vous pourrez les associer à une voiture, ce qui permet ensuite de faire des recherches en utilisant ce critère plutôt que le numéro de plaque.
Pour la reconnaissance faciale, Frigate doit d’abord repérer une personne, puis identifier son visage. Le fonctionnement est alors similaire à celui de Photos d’Apple, notamment : une section affiche tous les visages identifiés et ils seront tous inconnus au départ, avant que vous les associiez à des personnes. Cette base de connaissance va permettre à l’app de reconnaître correctement les personnes sur les images, avec une rapidité et une efficacité qui m’ont surpris. J’ai activé la reconnaissance faciale dimanche et après avoir entraîné le modèle pour les deux personnes de mon foyer à partir des images collectées dans la matinée du lundi, l’identification était déjà excellente en fin de journée.
Association en cours des visages identifiés : Frigate suggère parfois des noms avec un score de confidence, vous devrez confirmer les visages correctement reconnus et aider le système en ajoutant ceux qui sont inconnus. Image iGeneration.Frigate conserve les images confirmées en stock pour alimenter son modèle de reconnaissance faciale et il est toujours possible d’en retirer en cas d’erreur. On peut aussi lui soumettre des photos prises par ailleurs, même si ce n’est pas vraiment utile. Image iGeneration.
J’utilise le petit modèle, le seul qui tourne correctement sur mon matériel, mais Frigate propose aussi un modèle plus sophistiqué pour ceux qui ont une carte graphique puissante sous la main. Précision importante, l’identification des visages et plaques d’immatriculation ne tourne pas sur le TPU Coral conçu par Google et que j’utilise pour l’identification des mouvements. Si les nouveaux modèles tournent toujours en local, ils tourneront au pire grâce au CPU, au mieux sur le GPU. Mon Mini PC qui héberge Frigate est équipé d’un processeur Intel N100 assez modeste (4 cœurs de 12e génération jusqu’à 3,4 GHz) et je n’ai pas noté de baisse notable des performances en activant les nouveautés.
En plus de la possibilité de filtrer les images stockées dans l’historique, l’intérêt d’un tel travail d’identification des personnes et véhicules est évidemment à chercher du côté de l’automatisation. L’intégration à Home Assistant fournie par Frigate tient compte de la nouveauté et ajoute deux entités aux caméras pour remonter la dernière personne identifiée et la dernière plaque d’immatriculation repérée. On peut ainsi envisager des automatisations basées sur ce critère, par exemple pour ouvrir automatiquement une porte de garage si la bonne plaque est lue. Après un premier essai, Frigate semble identifier ma voiture très tôt, ce qui est encourageant pour une bonne expérience, mais je vais prendre le temps de valider l’idée sur la durée avant de créer des automatisations.
La plaque d’immatriculation est encore illisible pour un humain, ce qui n’empêche pas l’ordinateur d’avoir déjà identifié le véhicule et correctement reconnu la plaque, alors que la voiture est à la limite haute de cette caméra. Image iGeneration.
Dans la longue liste de changements avec la version 0.16, on repère aussi la traduction, déjà disponible en français, alors que Frigate était jusque-là uniquement proposée en anglais. Il y a d’autres fonctionnalités encore, comme une identification des oiseaux pour les ornithologues en herbe ou encore l’estimation de la vitesse des objets qui passent à travers une zone. Plusieurs changements peuvent nécessiter de toucher à sa configuration, comme le détaillent les notes de version, alors mieux vaut faire une sauvegarde complète en amont.
Frigate est un programme open-source et gratuit, à installer sur votre propre matériel en suivant la documentation (en anglais). On peut l’associer à Frigate+, un service sur abonnement (50 $ HT par an, soit environ 53 €) qui permet surtout d’accéder à des modèles plus précis pour analyser les images et, par exemple, distinguer les logos sur les camionnettes des livreurs ou les colis identifiés par les caméras. Frigate+ permet aussi d’améliorer les modèles spécifiquement selon ses besoins, en envoyant des corrections lors de mauvaises identifications. Cela dit, j’utilise l’app gratuitement depuis plus d’un an et en comparaison des NVR commerciaux, on obtient beaucoup de fonctionnalités sans payer.
Il n'y a pas que les MacBook Air qui profitent de solides promotions, les MacBook Pro M4 à M4 Max voient aussi des remises de quelques centaines d'euros réduire sérieusement la facture. De bons plans pour des portables qui, dans leur catégorie, sont tout aussi bons que leurs cadets.
MacBook Pro 16" et 14" en « Noir sidéral ». Image MacGeneration.
Les remises chez Amazon atteignent les 11%. C'est juste un cran au-dessus du montant maximum sur lequel les Apple Store peuvent automatiquement s'aligner et c'est un peu mieux encore que la précédente vague de promotions.
MacBook Pro M4 Pro 24 Go / 512 Go : 2 129 € (-270 €)
MacBook Pro M4 Pro 24 Go / 1 To : 2 569 € (-330 €)
MacBook Pro M4 Max 36 Go / 1 To : 3 444 € (-455 €)
MacBook Pro 16” M4 Pro et M4 Max
MacBook Pro M4 Pro 48 Go / 512 Go : 3 044 € (-335 €)
MacBook Pro M4 Max 24 Go / 512 Go : 2 569 € (-330 €)
MacBook Pro M4 Max 36 Go / 1 To : 3 739 € (-460 €)
Cette gamme date de novembre dernier. Ce sont des machines très puissantes sans que cela ne grève leur excellente autonomie. Le modèle 14" en M4 s'est mis au niveau des M4 Pro/Max en termes de dotation en RAM, sur la connectique et sur les capacités de raccordement à des écrans externes. Il nous est simplement apparu que le M4 Max dans un 14" pouvait tirer sur les ventilateurs. Enfin, la webcam s'est améliorée sur tous les modèles.
Après avoir prévenu, PayPal va passer à l’acte. Le service va bientôt lancer sa propre solution de paiement mobile sur iPhone. Disponible en Allemagne à partir de cet été, cette solution concurrencera directement Apple Pay.
L’app PayPal servira bientôt à payer en NFC en Allemagne. Image PayPal.
Au lieu d’ouvrir l’application Cartes d’Apple, les consommateurs allemands pourront ouvrir l’application PayPal puis approcher leur iPhone du terminal de paiement pour régler leurs achats en boutique. Une condition pour que cela fonctionne : que le commerçant accepte les transactions via Mastercard.
L’app PayPal tiendra un historique des paiements, tout comme le fait déjà le Wallet d’Apple. Plus original : le nouveau service permettra d’étaler les paiements sur plusieurs mois. Apple avait mis en place cette fonctionnalité aux États-Unis sous le nom d’Apple Pay Later, avant de faire machine arrière pour laisser la main aux banques sur ce point. Quoi qu’il en soit, PayPal assure que son option de paiement échelonné sera la première en Europe. Pour pousser les clients à privilégier son portefeuille mobile, le challenger va aussi leur offrir du cashback, c’est-à-dire une petite récompense financière après un achat. Les détails de l’offre seront communiqués prochainement.
Vipps, un autre concurrent d’Apple Pay qui officie en Norvège. Image Vipps.
PayPal va pouvoir contester l’hégémonie d’Apple Pay grâce à l’ouverture forcée de la NFC de l’iPhone en Europe. Un autre service de paiement, Vipps, a déjà saisi la balle au bond en Norvège. Lancée fin 2024, sa fonction de paiement sur iPhone compte maintenant un million d’utilisateurs et sera déployée dans d’autres pays nordiques au cours de cette année.
Comme Vipps, PayPal pourra être défini comme application de paiement par défaut et ainsi jaillir à l’écran d’un double-clic sur le bouton latéral. Mais l’accord signé entre Apple et la Commission européenne ne permet pas aux service tiers de jouir d’une intégration aussi profonde qu’Apple Pay. Ils doivent faire une croix sur la compatibilité avec l’Apple Watch, en particulier. PayPal n’a pas annoncé quelles étaient ses intentions en dehors de l’Allemagne.
Le très probable iPhone 17 « Slim » ou « Air » sera ultra-fin, c’est sa raison d’être, mais quelle taille fera-t-il ? Jusqu’à récemment, les rumeurs étaient assez contradictoires à ce sujet, mais il semble parti pour avoir une diagonale de 6,6", soit à peu de chose près celle de l’iPhone 16 Plus.
Maquette d’iPhone 17 Air. Image Unbox Therapy.
Selon le journaliste Mark Gurman, Apple avait envisagé dans un premier temps un iPhone 17 Air plus grand, avec un écran 6,9", comme l’iPhone 16 Pro Max, mais elle a rebroussé chemin par peur de faire face à un nouveau bendgate. Les iPhone 6 et 6 Plus, qui avaient établi un record de finesse toujours inégalé dans les smartphones de Cupertino, avaient tendance à se plier beaucoup trop facilement.
Pour s’éviter un problème similaire onze ans plus tard, Apple choisirait donc la voie de la prudence et doterait son iPhone super fin d’un écran de « seulement » 6,6". Mais elle compterait bien agrandir ce modèle plus tard. D’après l’analyste Ming-Chi Kuo, un iPhone 18 Air est prévu pour l’année prochaine et un iPhone 19 Air pour l’année suivante. Et ce dernier aurait un écran plus grand.
On ne connait pas encore sa diagonale exacte et les ingénieurs d’Apple ne le savent peut-être pas vraiment eux non plus. En tout cas, ils ont le temps de changer d’avis car on parle d’un lancement qui serait programmé pour le deuxième semestre 2027. D’ici-là, c’est la gamme elle-même qui pourrait s’agrandir avec l’arrivée d’un iPhone délibérément pliant.
L’application mobile carte Vitale vient de recevoir une mise à jour qui règle un souci d’identification. « Erreur lors de la validation d'identité, les informations d'état civil issues de votre CNI ne correspondent pas à celles connues par votre organisme d'assurance maladie. » C’est le message d’erreur qui est apparu à l’écran de certains utilisateurs tentant de s’enregistrer, comme signalé par plusieurs de nos lecteurs lors de l’arrivée du nouveau mode d’identification exploitant France Identité.
Application carte Vitale. Image iGeneration.
Le problème venait apparemment du fait que le système d’identification ne tenait pas compte des changements de numéro de département survenus (il y a pourtant longtemps) dans certaines villes. Par exemple, un lecteur concerné par le bug est né à Issy-les-Moulineaux, une ville qui faisait partie du 75 à sa naissance, mais qui appartient aujourd’hui au département 92.
La version 5.12.5 de l’application offre normalement « une solution permettant d’améliorer le rapprochement d’identité entre la ville de naissance présente sur votre pièce d’identité et celle connue de l’assurance maladie. » Si vous étiez affecté par le problème, la mise à jour est-elle efficace ?
Un prototype de bracelet Nike peut-être de la collection Unity, s'est égaré sur eBay. Ce bracelet n'est jamais sorti et son descriptif le présente justement comme un prototype. Son motif moucheté de rouge, vert, jaune et blanc sur fond noir laisse penser qu'Apple l'avait imaginé pour la collection Black Unity.
Source Ebay.
Néanmoins, si elle a déjà utilisé un bracelet Sport à deux reprises sur les cinq modèles Unity, aucun n'a porté le Swoosh de Nike. Par contre il y a eu plusieurs Nike avec ce principe de confettis colorés. Dans ce cas on a l'impression qu'il a été porté par un peintre du dimanche. Ce bracelet est vendu 89 $, un peu moins du double d'un bracelet Sport au catalogue.
Les 5 versions de Black Unity depuis 2021. Image Apple.
Une formule d'abonnement à YouTube Premium pour deux personnes est proposée dans le cadre d'un test dans plusieurs pays (en Europe et ailleurs). Le premier mois est offert puis la formule revient à 19,99 € par mois pour sucrer les publicités, télécharger les contenus pour une lecture hors connexion ou profiter de la lecture en arrière-plan.
La formule pour deux à droite. Image MacGeneration.
Le prix la situe à bonne distance de la formule pour une seule personne (12,99 €) mais on n'est pas si loin de l'offre Famille (23,99 €). YouTube doit avoir en tête les couples ou encore les fratries dont les parents n'ont que faire d'accéder à ce service et qui ne le prennent que pour les enfants. Car il faut résider sous le même toit (et avoir au moins 13 ans). C'est aussi une formule de plus pour lutter contre les services de partage de comptes.
Un détail important, cette offre n'est pas forcément visible par tous sur la page d'accueil. On l'a eue il y a quelques jours, on l'a aperçue encore aujourd'hui puis elle a disparu après un clic sur son intitulé.
Ce principe d'un abonnement pour deux se voit aussi chez Deezer ou Spotify avec des abonnements entre 15 et 16 €.
Autant il est possible de zoomer/dézoomer facilement sur du contenu avec le Magic Trackpad ou la Magic Mouse1, autant macOS ne prévoit pas vraiment d’option pour les souris tierces. Il y a bien une fonction d’accessibilité2, mais elle grossit l’intégralité de l’écran, ce qui n’est pas l’idéal. Scroll to Zoom [573 Ko] est un nouvel utilitaire gratuit qui comble cette lacune.
Après son installation, cette application permet de zoomer/dézoomer en tournant la molette de n’importe quelle souris, à condition d’appuyer simultanément sur une touche de son clavier. Par défaut, c’est la touche ⌥ qui est sélectionnée, mais on peut en choisir une autre. La vitesse du zoom est modifiable.
Un zoom/dézoom réalisé à la molette avec une souris tierce. Vidéo MacGeneration.
Scroll to Zoom peut être activé ou désactivé individuellement pour chaque application. Une option (Erase Modifier Keys) permet aussi de forcer ce zoom à la molette sur des applications récalcitrantes, comme Firefox.
S’il s’adresse avant tout aux propriétaires de souris Logitech, Corsair et autres, l’utilitaire peut aussi rendre des services aux utilisateurs de trackpads Apple et de Magic Mouse. Il permet en effet de régler le niveau d’inertie de ceux-ci et il ajoute un geste pour la souris : en touchant deux fois le haut de la souris, puis en maintenant son doigt et en le faisant glisser verticalement, on peut zoomer/dézoomer graduellement. De base, la Magic Mouse ne propose qu’un zoom « intelligent » qui s’adapte en fonction du contenu.
L’application n’étant pas notarisée, son premier lancement est un peu compliqué : il faut faire un clic secondaire sur son icône, cliquer sur « Ouvrir » dans le menu contextuel, puis se rendre dans Réglages Système > Confidentialité et sécurité et cliquer sur « Ouvrir quand même ». Après cela, il faut lui accorder l’accès aux contrôles d’accessibilité.
Scroll to Zoom n’est pas le premier logiciel permettant d’utiliser la molette de sa souris pour zoomer librement. Mac Mouse Fix comprend une fonctionnalité similaire et il est sûrement possible de faire de même avec l’incontournable BetterTouchTool. Mais ce nouvel utilitaire a l’avantage d’être gratuit, open source et simple (une fois passée l’installation un peu tortueuse). Il demande macOS 10.13 High Sierra au minimum et n’est pas traduit en français. On peut s'en servir en complément d'autres utilitaires qui améliorent la gestion des souris tierces sur macOS, comme Mos qui active le défilement inertiel pour sa part .
On zoome/dézoome d’un pincement à deux doigts sur le trackpad ou en touchant deux fois le haut de la souris. ↩︎
Réglages Système > Accessibilité > Réduire/agrandir > Faire défiler avec touches de modification pour zoomer. ↩︎
Tim Cook n’aura pas cédé à Donald Trump sur ce point. En dépit de l’hostilité du nouveau président américain envers les minorités LGBTQ+ et du fait que plusieurs entreprises tech soient rentrées dans le rang, Apple célèbre comme chaque année (et avec un peu d’avance) le mois des fiertés. À cette occasion, un nouveau bracelet Apple Watch multicolore est commercialisé.
Ce bracelet Sport Pride Edition est formé de bandes de couleurs tirées de la palette chromatique des différents drapeaux de la communauté LGBTQ+. Chaque unité est fabriquée à partir de bandes en fluoroélastomère assemblées à la main et moulées en une seule pièce par compression, ce qui crée de subtiles variations. « Aucun bracelet n’est identique à un autre, à l’image de tous les membres uniques qui composent la famille LGBTQ+ », déclare le marketing d’Apple. Et pour marquer le clou, l’inscription « Designed with pride in California » est gravée au laser.
Ce bracelet est dès à présent en vente sur l'Apple Store en ligne en deux longueurs (S/M et M/L) et pour plusieurs tailles d’Apple Watch (40 mm, 42 mm et 44/46 mm). Il coûte 49 €, soit le même prix qu’un bracelet Sport classique. Il sera livré et disponible en boutiques à partir de la semaine prochaine.
De plus, Apple va introduire dans watchOS 11.5, iOS 18.5 et iPadOS 18.5 un nouveau cadran et un nouveau fond d’écran Pride Harmony similaires au bracelet. Les bandes colorées du cadran et du fond d'écran vont bouger légèrement lorsque l'écran sera sollicité.
Nouveau fond d’écran et cadran Pride Harmony
Ces systèmes d’exploitation sont toujours en bêta, mais les versions finales ne devraient plus tarder. Elles arriveront sans doute la semaine prochaine, en même temps que le nouveau bracelet Pride.
Free a sauté sur l'occasion de l'arrivée de frais de résiliation chez B&You pour proposer de les rembourser. Quelques jours après l'annonce par Bouygues de l'ajout de frais de 5 € lorsqu'on résilie son abonnement B&You pour aller ailleurs, Free instaure une offre de remboursement.
Les comptes X de l'opérateur et de son patron Xavier Niel ont rebondi sur cette actualité en promettant de rembourser ces frais à hauteur de 10 €. C'est le double de ce que demande maintenant Bouygues, mais si d'aventure un concurrent surenchérit par une taxe de même nature, cela laisse une certaine marge.
Le devoir nous oblige : Free prend en charge jusqu’à 10€ de vos frais de résiliation mobile. https://t.co/Y6Iw0VGCQP
Est-ce que beaucoup de clients en rupture avec B&You pour venir chez Free vont demander ce remboursement ? C'est la question. Car la procédure requise — impression de documents, envoi d'une lettre, attente de plusieurs semaines ou mois — est bien fastidieuse au vu de l'enjeu financier. Free en revanche se fait une bonne opération de com' à moindres frais.
Quant à Bouygues, qui n'a pas été encore imité par ses concurrents, il a peut-être lancé un mouvement qui va rapprocher à terme les forfaits mobiles des formules fixes où les frais de résiliation couverts par le concurrent qui récupère l'abonné font partie du paysage.
En délaissant l’iPhone SE au profit de l’iPhone 16e, Apple entame-t-elle un cycle de renouvellement annuel pour son smartphone d’entrée de gamme ? Il semble bien que oui. Alors que circulait déjà une rumeur sur un futur iPhone 17e pour le printemps 2026, Apple aurait même prévu la suite.
iPhone 16e blanc et noir. Image iGeneration.
Selon Ming-Chi Kuo, après l’iPhone 17e, la Pomme devrait lancer au premier semestre 2027 l’iPhone 18e. L’analyste ne se risque pas à prédire l’existence d’un iPhone 19e en 2028, mais il faut donc s’attendre à un nouvel iPhone « e » pendant au moins trois années consécutives, de 2025 à 2027.
Cela pose plusieurs questions : à quelles nouveautés auront droit l’iPhone 17e puis l’iPhone 18e ? Vont-ils à chaque fois récupérer le dernier système sur puce en date ? Y a-t-il une chance qu’ils obtiennent le MagSafe ou la puce UWB qui font défaut au 16e ? Et comment Apple va-t-elle organiser sa gamme ? L’iPhone 16e va-t-il rester au catalogue à un tarif réduit au moment de l’arrivée du 17e ? Ajoutez à cela la rumeur de sortie en deux temps de la gamme d’iPhone 18, et la stratégie commerciale d’Apple semble sur le point d’être bouleversée.
Deux (gros) lancements d’iPhone par an, c’est le rythme qu’Apple pourrait entériner au cours des prochaines années. Corroborant des renseignements publiés ce week-end par The Information, Ming-Chi Kuo s’attend à voir la Pomme systématiquement dédoubler ses sorties de nouveaux iPhone.
Présentation des iPhone 16 Pro. Image Apple/iGeneration.
L’analyste qui voit loin dans le futur décrit ainsi le calendrier à venir :
2e semestre 2025 : iPhone 17 Pro Max, iPhone 17 Pro, iPhone 17 Slim (Air), iPhone 17
1er semestre 2026 : iPhone 17e
2e semestre 2026 : iPhone pliant, iPhone 18 Pro Max, iPhone 18 Pro, iPhone 18 Slim
1er semestre 2027 : iPhone 18, iPhone 18e
2e semestre 2027 : iPhone pliant de 2e génération, iPhone 19 Pro Max, iPhone 19 Pro, iPhone 19 Slim (avec un écran plus grand que le 18 Slim)
Autant l’arrivée d’un iPhone 17e au printemps prochain ne serait pas très surprenante (même s’il faut rappeler que les iPhone SE étaient renouvelés moins fréquemment), autant d’autres échéances sont inhabituelles. En particulier, le décalage entre les iPhone 18 Pro à l’automne 2026 et l’iPhone 18 standard au printemps 2027 retient l’attention.
Selon l’analyste, ce programme en deux temps doit servir à mieux affronter la concurrence. Il est vrai que Samsung donne deux grands rendez-vous chaque année : un durant l’hiver pour découvrir les Galaxy S et un autre pendant l’été pour rencontrer tous ses nouveaux smartphones pliants. Les autres constructeurs étalent eux aussi de plus en plus leurs lancements tout au long de l’année.
En gravant dans le marbre deux grands temps forts, Apple pourrait regagner en visibilité… et élargir sa gamme. On n’imagine pas trop Tim Cook dévoiler simultanément un iPhone pliant, un iPhone 18 Pro Max, iPhone 18 Pro, iPhone 18 Air, un iPhone 18 et un iPhone 18e. Mais réparti sur deux conférences, ce copieux menu serait plus digeste.
Dans la gamme Starlink, l'antenne mini (300 €) est particulière : elle intègre directement le routeur Wi-Fi, contrairement aux autres modèles. Mais les performances restent assez faibles, avec une puce Wi-Fi 5 datée et peu performante. Pour pallier les défauts de cette dernière, Starlink propose donc une alternative : un routeur mini. Compatible Wi-Fi 6, il a l'avantage d'être compact (143 x 86,5 x 26 mm) et moins cher que le routeur de 3e génération (vendu 140 €) : il est à 40 $ aux États-Unis et n'est pas encore disponible dans nos contrées.
Le routeur mini. Image Starlink.
Le routeur mini dispose de deux prises RJ45 et s'alimente avec une alimentation fournie, capable de fournir 14,4 W. Contrairement aux routeurs classiques qui alimentent l'antenne directement, ce routeur mini nécessite donc sa propre alimentation. Il peut être utilisé en mode mesh en Wi-Fi (en répétant le signal de l'antenne mini ou d'un autre routeur Starlink) ou en mode filaire selon le guide d'installation. C'est un produit qui semble intéressant pour ceux qui possèdent une antenne mini et une installation semi-fixe : il peut être laissé à demeure dans un logement pour proposer une connexion Wi-Fi correcte, tout en vous permettant de vous déplacer en prenant uniquement l'antenne mini avec vous. Il peut aussi servir de répéteur pour ceux qui sont équipés d'un routeur de 2e (notoirement lent en Wi-Fi) ou de 3e génération.
L'application de courrier électronique MailMaven est disponible à l'essai avec d'emblée de nombreuses fonctions et un accent mis sur des options de classement. SmallCubed, la petite équipe canado-polonaise derrière MailMaven, était précédemment spécialisée dans les plug-ins pour Mail, comme MailSuite pour greffer des mots-clefs à ses courriels. Apple ayant progressivement restreint les possibilités des modules tiers, l'éditeur a commencé à développer sa propre application qui intègre les capacités de MailSuite.
L'une des deux présentations avec l'interface organisée en colonnes. Image MacGeneration.
MailMaven 1.0 est sorti il y a quelques jours dans une version bêta qui a reçu ses premiers correctifs depuis. L'application est déjà très riche en fonctions, il suffit d'aller dans les réglages ou d'ouvrir le menu contextuel sur un message pour en avoir un aperçu. C'est dense, il y a de quoi s'amuser pour les férus de règles, de tri et d'organisation de son environnement mail.
L'autre présentation, comme on l'a dans Mail et dans d'autres logiciels. Images MacGeneration.Les réglages sont abondants…… tout comme les options dans le menu contextuel sur un message.
Les règles de tri sont assez puissantes ; on dispose d'un panneau des conversations assez original qui organise les échanges entre personnes d'une manière assez visuelle pour retourner plus rapidement sur l'un des messages ; on peut temporiser l'envoi d'un mail de quelques minutes ou programmer une heure… on pourrait croire que l'application a déjà plusieurs années au compteur.
Le panneau des conversations. Image SmallCubed.
L'autre point important du logiciel est la capacité d'associer à chaque courrier des étiquettes, des notes, une couleur, des mots clefs, comme le permettait autrefois le plug-in pour Mail. Ce seront autant de points d'entrée pour des recherches ou la création de boites intelligentes.
L'ajout de mots-clefs et autres infos à un courrier. Image SmallCubed.
L'équipe n'a pas cédé aux sirènes des fonctions teintées d'IA, MailMaven est assez classique — ce qui n'est pas un reproche — et offre largement de quoi personnaliser son fonctionnement et aller loin dans les possibilités de tri lorsqu'on est du genre organisé. L'application a importé sans problème nos comptes iCloud et Fastmail, elle est compatible aussi avec les autres grandes plateformes de courrier électronique. Côté macOS il faut l'un des trois derniers : Sequoia, Sonoma ou Ventura. Nous avons essuyé un plantage au fil de l'essai, mais c'est une bêta (quelques limitations temporaires sont détaillées ici).
Cela vaut le coup de l'essayer en parallèle à son client habituel (SmallCubed tient le journal de son développement) et tester certaines fonctions qui peuvent sortir du lot. Il n'y a que l'anglais de proposé pour le moment avec d'autres langues dans les tuyaux.
La version démo est valable 15 jours, après quoi il faudra s'acquitter de 75 $ par an (45 $ pour la première année dans le cadre du lancement). Si d'aventure on ne renouvelle pas la seconde année, le logiciel reste opérationnel, mais on ne reçoit plus les mises à jour et les mots clefs ne sont plus synchronisés si on utilise plusieurs Mac. Il n'est pas fait mention d'une version iPhone dans l'immédiat.
Sans rien demander, des abonnés Free Mobile vont bénéficier d’une réduction sur leur forfait. L’opérateur a contacté par email certains de ses clients existants pour leur annoncer qu’ils avaient droit à une réduction automatique de 4 €/mois pendant six mois sur leur forfait 350 Go. Celui-ci coûte normalement 19,99 €/mois, mais ces chanceux le paieront donc 15,99 €/mois pendant un semestre.
L’engagement de Free Mobile pour les années à venir. Image Free.
Ce geste commercial rapporté par Univers Freebox est assez exceptionnel de la part de Free Mobile. L’opérateur s’était engagé à ne pas augmenter les prix de ses forfaits historiques jusqu’en 2027, mais pas à les réduire.
Ce cadeau vise assurément à retenir des clients alors que la concurrence fait rage sur le marché des forfaits mobiles sans engagement. Les offres à petit prix qui comprennent plusieurs centaines de gigaoctets ne sont plus rares : Bouygues et Sosh proposent chacun 200 Go pour 9,99 €/mois, tandis que SFR RED monte jusqu’à 250 Go pour 9,99 €/mois.
Free Mobile conserve l'une des offres les plus généreuses en gigaoctets de tout le marché, mais quand on sait que la moitié des personnes qui disposent de plus de 50 Go n’utilisent jamais la totalité du volume disponible, passé un certain cap, l’enveloppe de data n’est sans doute plus un avantage commercial déterminant. La preuve, les opérateurs se mettent à inclure d’autres services dans leurs forfaits mobiles pour attirer des clients : abonnement d’un an à Le Chat Pro chez Free Mobile, abonnement d’un an à Perplexity Pro chez Bouygues Telecom…
Google s’inspire de Samsung et travaille actuellement sur une fonction reprenant l’interface d’un PC lorsqu’un téléphone est relié à un écran externe. Un concept similaire au DeX de Samsung, apparu en 2017 sur le Galaxy S8 et permettant de transformer son smartphone en mini-ordinateur pour peut que l’on ait un clavier et une souris sous la main. Le spécialiste d’Android Mishaal Rahman a publié un premier aperçu de cette future fonction à la sauce Google, qu’il a réussi à activer sur un Pixel.
Brancher le téléphone à un écran fait apparaître un bureau assez classique, avec une barre des tâches « à la Windows » en bas permettant d’accéder à certaines applications et à la grille d’apps principale. On peut également y voir les programmes lancés récemment et y épingler ses préférés, ce qui sera pratique pour le multitâche. Une barre de statuts avec différentes infos (autonomie, batterie) reste affichée en haut.
Les apps s’ouvrent comme sur un ordinateur : on peut lancer plusieurs apps et redimensionner leurs fenêtres. Le tout ressemble fortement au multitâche amélioré apparu sur Android 15, qui est limité aux tablettes et à leurs écrans intégrés. La taille des fenêtres s'ajuste automatiquement lorsqu’elles sont glissées dans les coins, et le fond d’écran du téléphone devient celui de « l’ordinateur ».
On devra cependant attendre un peu avant d’essayer cette fonction : Mishaal Rahman indique que la nouveauté n’est pour le moment accessible qu’en bidouillant. Elle n’arrivera sans doute pas avec Android 16, et il faudra probablement patienter un an de plus avant le lancement officiel. Google n’est pas seul sur ce créneau, car les rumeurs voudraient qu’Apple travaille sur un mode similaire pour l’iPhone en apportant Stage Manager pour les écrans externes sur iOS 19.
Travailler sur un Mac, c’est s’offrir une certaine exigence. Qualité d’affichage, justesse des couleurs, silence, fiabilité : tout est pensé pour l’expérience. Mais cette cohérence peut s’effondrer en une seconde — il suffit d’un écran externe mal adapté. Image fade, flou typographique, couleurs erronées, câbles en pagaille... Le Mac ne fait pas de compromis, même avec ses périphériques.
C’est là que BenQ entre en scène. Avec ses modèles MA270U (27") et MA320U (32"), la marque propose une réponse simple et élégante : des moniteurs 4K pensés pour le Mac. Et ça change tout.
BenQ MA270U & MA320U
Un duo taillé pour l’écosystème Apple
Avec la gamme MA, BenQ affiche une ambition claire : fournir aux utilisateurs de Mac un espace de travail externe cohérent, soigné, et parfaitement intégré. Finition sobre, dalle 4K UHD IPS (3840 × 2160), connectique simplifiée : ici, rien n’est laissé au hasard.
Que vous choisissiez le MA270U à 549 € ou le MA320U à 649 € environ, vous bénéficiez du même socle technique, pensé pour la productivité et le confort visuel.
Un design qui s’intègre naturellement
Une image à la hauteur du Retina
Les écrans MA270U et MA320U offrent un rendu visuel d’une précision remarquable. Leur dalle IPS couvre 99 % de l’espace sRGB et 95 % du DCI-P3, avec un calibrage rigoureux en sortie d’usine. Résultat : une image fidèle, homogène, parfaitement adaptée à macOS.
Les polices s’affichent sans aliasing ni flou, la 4K se prête à l’affichage multi-fenêtres, et la lecture vidéo gagne en netteté. Une prise en charge HDR (DisplayHDR 400) est également présente pour les usages multimédia.
Affichage 4K net et précis
Une installation simple, une connectique complète
Lors de notre test du MA270U, l’installation s’est faite en quelques minutes. Le pied se monte sans outil, la connectique est généreuse : USB-C (avec alimentation), HDMI, DisplayPort, USB-A, USB-B...
Tout est conçu pour simplifier l’usage, sans multiplier les adaptateurs. Et surtout, l’affichage USB-C est impeccable sur Mac.
Connectique du MA270U
Un design pensé pour le bureau Apple
Les utilisateurs Apple ne tolèrent pas l’approximation esthétique. BenQ l’a bien compris : les écrans MA adoptent un design sobre, avec des bordures fines et aucune marque visible en façade. L’arrière texturé rappelle l’univers Mac Studio, et le pied — réglable en hauteur, inclinaison et rotation — reste discret mais fonctionnel.
VESA est bien sûr de la partie pour les amateurs de bras articulés.
Épuré, sans excès
Un confort visuel pour le long terme
Travailler dix heures par jour sur écran nécessite quelques précautions. Les modèles MA intègrent le Flicker-Free (suppression du scintillement à faible luminosité) et le Low Blue Light Plus, un filtre de lumière bleue qui ne dégrade pas la qualité d’image.
La dalle mate anti-reflet, très efficace même en environnement lumineux, permet une utilisation prolongée sans fatigue oculaire.
Et face aux autres écrans 4K du marché ?
À première vue, un écran 4K reste un écran 4K. Mais les utilisateurs de Mac savent à quel point l’affichage macOS peut être capricieux dès qu’on sort de l’écosystème Apple. Polices floues, gestion erratique des résolutions intermédiaires, HDR mal interprété, ou encore des ports USB-C qui n’assurent que la charge… La liste est longue.
Ces petits irritants, cumulés, transforment rapidement un bel écran générique en source de frustration quotidienne. Et la promesse Retina, elle, disparaît.
C’est exactement là que les écrans BenQ MA270U et MA320U font la différence. Ils ne cherchent pas à imiter Apple, mais à collaborer proprement avec macOS, avec un vrai support de la résolution HiDPI, une reconnaissance immédiate via USB-C, un rendu typographique net et sans artefacts.
En clair : ce sont des écrans qui respectent le Mac, là où d’autres cherchent simplement à "faire le job". Et quand on passe 8h par jour devant son interface, ça ne devrait jamais être une option.
Pour qui ?
Les écrans MA270U et MA320U s’adressent à :
Ceux qui utilisent un MacBook au quotidien et veulent un écran externe cohérent
Les professionnels indépendants (rédacteurs, devs, créatifs) qui recherchent un moniteur fiable
Les graphistes ou photographes qui ont besoin d’une bonne colorimétrie, sans passer par un écran Apple
Un duo d’écrans bien équilibré
Pour conclure : foncez !
En 2025, les écrans externes 4K sont légion. Mais très peu sont véritablement pensés pour le Mac. Avec sa gamme MA, BenQ réussit un équilibre rare : proposer une expérience visuelle native, cohérente avec l’univers Apple, sans compromis technique ni tarifaire.
Pour un poste de travail élégant, efficace et fiable, le MA270U et le MA320U sont aujourd’hui parmi les meilleures options disponibles.
C’était prévu, c’est désormais fait : Skype a disparu du paysage, quasiment 22 ans après sa création. Le célèbre service de visioconférence, celui qui a popularisé le concept au point de devenir un nom commun pendant quelques années, n’est plus accessible et Microsoft renvoie maintenant vers Teams pour ceux qui veulent communiquer par audio et vidéo. Le service reste accessible uniquement pour ceux qui avaient acheté des crédits Skype, sans limite de durée affichée pour le moment et uniquement par le biais du site web du service ou de… Teams, on y revient.
La page d’accueil du site de Skype renvoie directement vers Microsoft Teams. Image MacGeneration.
Lancé en Europe en août 2003, le service a été vite acheté par eBay, avant d’être vendu à Microsoft en 2011. L’app a continué son existence pendant quelques années avec ce nouveau propriétaire, mais depuis l’apparition de Teams en 2016, le créateur de Windows a officiellement deux plateformes similaires. Teams a longtemps été dédiée plutôt aux entreprises quand Skype gérait les particuliers, même si au fil du temps, les deux se sont rapprochées et leur propriétaire a choisi Teams au détriment de Skype. D’où la fermeture de la plateforme historique de la visioconférence à compter de ce 5 mai 2025.
Migration de Skype vers Teams sur iOS. Image iGeneration.
Si vous aviez un compte Skype, vous pouvez récupérer vos données en suivant les instructions données à cette adresse. La procédure doit être effectuée avant janvier 2026, date à laquelle Microsoft supprimera tout ce qui reste sur ses serveurs.
La Fnac fait une réduction de 100 € sur plusieurs modèles d'Apple Watch Ultra même celles munies d'un bracelet Milanais en titane. Le choix est plus ouvert que lors d'autres promotions qui ne ciblaient que 3 ou 4 modèles.
Bracelet Milanais avec la nouvelle boucle « parachute ». Image WatchGeneration.
À 899 € au lieu de 999 € des modèles en titane naturel ont le bracelet Milanais accordé (il y a plusieurs tailles en promo) ou cette variante en noir du même accessoire.
Ce modèle d'Ultra est le dernier en date sorti à l'automne dernier. Il y a eu l'ajout de cette référence en titane noir, le processeur a été modernisé, permettant par exemple de faire fonctionner Siri en local — sans l'aide de l'iPhone — pour certaines requêtes.
Il y a la puce U2 pour utiliser la localisation précise (avec des instructions plus détaillées lorsqu'on cherche son iPhone à proximité). On dispose du geste de « Toucher deux fois » pour déclencher certaines actions (comme de valider une notification) par un pincement rapide de deux doigts, sans toucher ou même regarder l'écran. L'Ultra a également des GPS plus précis, elle est plus endurante sur l'autonomie et plus costaude que les Series.
Quelles que soient ses idées personnelles, il semble que Tim Cook ne change pas de ligne et caresse dans le sens du poil le président en fonction, qu’il soit démocrate ou républicain. On en a encore eu une démonstration avec la commémoration des 100 premiers jours de Donald Trump, comme le rapporte 9to5Mac.
Cette fois-ci, le CEO d’Apple n’était pas présent physiquement, mais a fait une apparition dans un discours enregistré par avance depuis l’Apple Park.
Bonjour à tous. Bien que je sois déçu de ne pouvoir être présent aujourd’hui parmi vous, j’ai tout de même la chance de pouvoir prendre la parole. J’ai toujours dit qu’Apple n’aurait pas pu être créée ailleurs qu’aux USA. Nous sommes une entreprise fière d’être américaine, et nous avons conscience de l’impact que nous avons sur ce pays. Nous étendons actuellement nos équipes et nos bureaux dans de nombreux États, incluant le Michigan, le Texas, la Californie, l’Arizona, le Nevada, l’Iowa, l’Oregon, la Caroline du Nord, et Washington. Nous installons aussi actuellement une nouvelle usine dédiée à la fabrication de serveurs d’intelligence artificielle à la pointe au Texas, et nous allons doubler notre fonds dédié à l’assemblage sur le territoire américain pour aider des sous-traitants à venir s’installer aux USA.
Nous sommes fiers de créer des millions d’emplois sur le territoire, d’investir de manière à accélérer cette nouvelle ère d’industrialisation et de supporter des entreprises à travers le pays, qui nous aident en retour à satisfaire nos clients. Au total, nous avons plus de 9000 fournisseurs aux USA répartis sur les 50 États.
Nous travaillons avec des entreprises américaines à tous les stades de la fabrication, de Face ID jusqu’au verre utilisé dans l’iPhone. Et nous espérons pouvoir produire plus de 19 milliards de puces cette année aux USA, grâce à des entreprises réparties dans une douzaine d’États différents. Cela inclut des dizaines de millions de puces à la pointe de la technologie fondues dès aujourd’hui par TSMC en Arizona, usine pour laquelle nous sommes le premier et le plus gros client.
Je voudrais prendre un moment pour remercier le Président Trump pour ses prises de position décisives dans l’industrie locale des semi-conducteurs, et nous continuerons bien entendu de travailler avec l’administration actuelle pour investir dans ces domaines. Il va sans dire que nous sommes impatients de voir le futur de l’innovation américaine, les incroyables opportunités qu’il permettra, et nous sommes honorés de prendre part à celui-ci.
Il est amusant et étonnant de voir Tim Cook remercier le Président Trump pour ses décisions d’aide à la relocalisation de semi-conducteurs, quand à peine 3 ans plus tôt, le CEO d’Apple participait à une réunion organisée par le précédent président des USA et son administration, durant l’inauguration de l’usine de TSMC en Arizona. Le CHIPS Act avait d’ailleurs été signé ce jour-là, et Tim Cook avait remercié de la même manière Joe Biden :
Nous sommes réunis cet après-midi autour du Président Biden, dont la présence envoie un signal puissant sur l’importance de cette journée. Président Biden, merci pour votre leadership, et tout particulièrement pour la signature qui rend effectif le CHIPS Act, qui permettra de réaliser de nombreux projets comme celui-ci. Ce jour est un merveilleux jour pour les USA, l’Arizona, mais aussi pour Apple.
Trou de mémoire ? Peu probable. Diplomatie ? Assurément. En bon diplomate, Tim Cook sait très bien que le temps n’est pas à la défiance, au risque sinon de perdre l’oreille attentive de Donald Trump. Quitte à prendre quelques libertés sur la réalité des faits, afin de mieux les faire coller au besoin de satisfaire le Président...
C’est un sujet qui anime fréquemment nos discussions dans notre podcast Sortie de veille : quel est le potentiel commercial de l’iPhone Air ? Ce modèle attendu en même temps que les iPhone 17 a pour ambition de relancer les ventes de smartphones d’Apple, qui sont à l’arrêt depuis quelque temps.
2022 reste l’année de tous les records pour l’iPhone - graphique iGeneration
Un étui batterie à la rescousse pour l’iPhone Air
Selon le rapport très détaillé de The Information, Apple n’est pas du tout certain du potentiel commercial de son nouveau téléphone. Seulement 10 % de la production serait à la rentrée consacrée à ce nouveau modèle, contre environ 40 % pour le modèle Max, 25 % pour le modèle Pro et 25 % pour le modèle standard. Dans les premiers mois qui suivent la commercialisation d’une nouvelle gamme d’iPhone, c’est souvent le modèle Max qui est le plus demandé et le plus difficile à trouver.
Maquettes des iPhone 17 « Air », 17 Pro et 17 Pro Max. Source Unbox Therapy.
Techniquement, cet iPhone Air promet d’être impressionnant avec ses 5,5 millimètres d’épaisseur. Ce sera l’iPhone le plus fin jamais proposé et l’un des plus fins du marché. Mais à la manière de l’iPhone 16e, ce sera également l’iPhone de tous les compromis.
Pour en arriver là, Apple a dû trancher dans le vif. Ce modèle n’aura qu’un seul haut-parleur (contre deux pour les autres modèles), un seul capteur photo, tout comme l’iPhone 16e, et surtout une batterie réduite. D’après les estimations internes d’Apple, entre 60 % et 70 % des utilisateurs devraient pouvoir tenir une journée sans avoir à le recharger. À titre de comparaison, Apple estime que ce chiffre oscille entre 80 % et 90 % pour les autres modèles de la gamme. Pour tenter de régler le problème, Apple a développé un étui qui permettrait de recharger le téléphone, à l’image sans doute de la Smart Battery Case.
L’autre handicap de cet iPhone, c’est son absence de lecteur de carte SIM. Dans nombre de marchés, l’eSIM s’est imposée et ne présente plus un problème pour le consommateur, sauf en Chine où cette technologie n’est pas en odeur de sainteté pour des questions de sécurité. Apple va devoir s’activer pour obtenir l’autorisation du régulateur. Pour toutes ces raisons, Apple préfère être prudent et ses sous-traitants ont décidé de jouer la carte de la flexibilité. Si l’iPhone Air venait à faire un flop, ils seraient en mesure de faire pivoter leurs lignes de production vers d’autres modèles.
Vers un retour de la Smart Battery Case ? - image : iGeneration
L’iPhone pliable serait pour 2026
Avec l’iPhone Air, Apple souhaite insuffler une nouvelle dynamique qui s’étirerait sur plusieurs années. La carte mère de ce modèle doit également servir de base à l’iPhone pliable qui est attendu pour l’année prochaine. The Information est habituellement fiable concernant les dates de commercialisation des produits Apple.
Image réalisée à l’aide d’une IA
Refermé, cet appareil offrirait un écran de 5,7” pouces. Une fois déplié, l’iPhone pliable avec ses 8” offrirait une surface de travail quasiment similaire à l’iPad mini.
2026 apporterait également un changement fondamental concernant le planning de la sortie des iPhone. Les modèles chers, la gamme pro donc, sortiraient toujours à l’automne. Par contre, les modèles standard verraient désormais leurs sorties repoussées au printemps. Dans ce cas précis, cela signifie que l’iPhone 18 et l’iPhone 18e seraient lancés au printemps 2027 !
Ces deux modèles, plus faciles à produire, feraient l’objet de premiers essais de fabrication en Inde, une manière pour Apple de réduire sa dépendance industrielle de la Chine.
Un iPhone Pro avec un écran bord à bord en 2027 ?
En changeant son planning, Apple espère être en mesure de répondre plus rapidement à la demande. Habituellement, la production d’une nouvelle gamme d’iPhone débute au cœur de l’été et monte en puissance dans les mois qui suivent, avant d’atteindre un pic juste avant les fêtes. Puis de décliner à partir de janvier. Cette nouvelle stratégie devrait sans doute lui permettre également d’abaisser ses coûts de production. Le nombre de partenaires et d’employés travaillant pour la production d’iPhone serait plus constant tout au fil de l’année.
Image : MacRumors
Enfin, The Information précise que le gros travail d’Apple concernant l’iPhone Pro va être de faire passer sous l’écran les différents capteurs à l’avant de l’iPhone. L’iPhone 18 Pro ne devrait avoir plus qu’un petit rond pour la caméra. Mais celui-ci devrait disparaitre l’année suivante à l’occasion d’un modèle qui s’annonce comme très spécial : il s’agit de l’iPhone du 20e anniversaire. Apple espère à cette occasion proposer un nouvel iPhone Pro avec un écran bord à bord.
Depuis l’automne dernier, on peut acheter plus sereinement n’importe quel Mac d’entrée de gamme. Toutes les machines embarquent au moins 16 Go de mémoire vive, une quantité appropriée pour le plus grand nombre. L’autre composant sur lequel on aimerait voir Apple faire un effort maintenant, c’est le stockage.
Mac mini M4. Image Apple.
Les machines pro ont (fort heureusement) 512 Go de stockage par défaut minimum, mais le MacBook Air, le Mac mini et l’iMac ne viennent toujours qu’avec 256 Go d’espace libre — même moins en fait en raison du système d’exploitation, d’Apple Intelligence, etc.
La dernière fois qu’Apple a augmenté le stockage de base du MacBook Air, c’était en 2020, sur l’ultime modèle Intel. Même chose pour le Mac mini. Le cas de l’iMac est plus particulier, car il a eu pendant plusieurs années de grosses capacités en Fusion Drive (un disque dur accompagné d’un petit SSD) en parallèle de petits volumes uniquement en mémoire flash.