Depuis quelques mois, YouTube tend à traduire automatiquement les titres des vidéos dans la langue de l'utilisateur, mais aussi de traduire automatiquement le contenu des vidéos, avec dans de nombreux cas de l'audio généré par une intelligence artificielle1. Si ce comportement vous énerve et que vous utilisez Firefox ou Chrome, il existe une extension : YouTube No Translation.
Un exemple de titres de vidéos traduits automatiquement. Image iGeneration.
Elle effectue quatre opérations sur les vidéos. La première est de garder le titre original, sans afficher la traduction automatique. La seconde est d'empêcher la traduction de la description. La troisième va forcer la piste audio originale dans tous les cas, pour éviter que YouTube impose une version doublée ou générée par IA. Enfin, elle désactive les sous-titres générés automatiquement et force le cas échéant les sous-titres dans la langue originale de la vidéo, s'ils existent2.
MrBeast est mis en avant sur le site de l'extension, mais ses vidéos ne sont pas traduites par IA.
L'extension est gratuite mais l'auteur propose aux personnes qui apprécient son travail de l'aider... peut-être pour lui demander de développer une version pour Safari.
Certains créateurs de contenu proposent des versions doublées avec des comédiens professionnels, comme le célèbre MrBeast. ↩︎
Certains créateurs de contenu proposent des sous-titres, avec parfois de petites blagues ou des traductions adaptées. ↩︎
La capacité de la batterie de l’iPhone 17 Pro Max pourrait déjà avoir fuité. L'utilisateur de Weibo Instant Digital a publié un post dans lequel il avance quelques prédictions. Selon lui, l’iPhone 17 Pro Max aurait une batterie d’environ 5 000 mAh. Si cela est vrai, il s’agirait de la plus grosse batterie jamais vue dans un iPhone.
Un iPhone 16 Pro Max. Image iGeneration
Dans sa publication, le fuiteur rappelle la capacité des batteries des modèles Pro Max, en partant du 11 jusqu'à la série 17. L’actuel 16 Pro Max a une batterie de 4 685 mAh pour une autonomie de 33 heures selon Apple. Le passage à 5 000 mAh pourrait permettre d’approcher les 35 heures, et peut-être même plus si la future puce A19 Pro se révélait plus économe. Reste à voir si l’optimisation d’iOS 26 sera suffisante, la mise à jour apportant de gros changements visuels probablement plus gourmands.
Instant Digital a eu quelques bons tuyaux par le passé : il avait vu arriver l’écran nanotexturé sur les iPad Pro, l’iPhone 14 jaune ou donné des détails sur l’Apple Watch Series 9. On l’a en revanche vu se planter sur les nouveautés d’iOS 17 ou la date de lancement d’un iPad Air en 2023. Les informations restent donc à prendre avec des pincettes.
Visiblement, la bataille entre les chaînes de télévision française se déplace dans le monde du streaming : Netflix a annoncé récemment que le service va accueillir les contenus de TF1… et ceux de france.tv vont se retrouver sur Amazon Prime Video1.
L'intégration est bien mise en avant. Image iGeneration.
L'intégration est disponible dès aujourd'hui, et elle va permettre aux abonnés du service américain de retrouver les contenus de france.tv (Un Si Grand Soleil, Drag Race France, etc.) sur la page d'accueil du service. Il est aussi possible d'accéder au replay des chaînes, et même de profiter de France 2, France 3, France 4, France et franceinfo en direct. Les amateurs de sport seront aussi ravis, avec l'Euro de football féminin ou le Tour de France.
Quelques exemples de contenus. Image iGeneration.
L'intégration de france.tv est proche de celle d'autres services dans le service d'Amazon : vous allez devoir vous abonner au service, mais sans devoir payer. Ensuite, les contenus français seront proposés sur la page d'accueil, lors de vos recherches, etc. L'intérêt pour france.tv est évidemment de toucher plus de personnes, notamment les générations qui ont abandonné la télévision linéaire, ce que la moyenne d'âge des téléspectateurs de chaînes comme France 2 (plus de 62 ans) montre bien.
Il faut s'abonner (gratuitement) au service. Image iGeneration.
Présenté lors du Google I/O du mois de mai, le générateur de vidéo Veo 3 est désormais disponible en France. Celui-ci permet de créer des vidéos de 8 secondes à partir d’une description textuelle. Le modèle a un temps d’avance sur le Sora d’OpenAI étant donné qu’il peut également créer une bande-son pour la vidéo (musiques, dialogues…). Le service est accessible dans l'application Gemini pour les abonnés à Google AI Pro (21,99 € par mois), sachant que le premier mois est offert afin d’essayer le service.
Veo 3 permet de créer des vidéos réalistes au rendu assez impressionnant. L’intégration dans l’app Gemini est simple : il suffit de lancer Gemini sur iOS et de choisir le modèle vidéo dans la liste. Ne reste plus qu’à décrire ce que l’on veut avant de l’envoyer à l’assistant. Les abonnés ont également accès à Veo 3 Fast, une version allégée plus rapide, mais plus limitée. Notons que chaque vidéo embarque le filigrane invisible SynthID, certifiant son aspect artificiel.
Si vous êtes intéressés, rappelons que le service est limité à 3 vidéos par jour avec le forfait AI Pro. Il donne aussi accès à NotebookLM, qui peut générer des podcasts à partir de documents. L’offre ajoute Gemini dans différentes applications Google, comme Gmail ou Docs. 2 To de stockage dans le nuage sont inclus. Ceux voulant générer des vidéos sans restrictions de nombre devront opter pour la formule Google AI Ultra à 274,99 €/mois.
Si les trains à grande vitesse proposent du Wi-Fi depuis quelques années, la qualité de la connexion est au mieux moyenne : la SNCF emploie essentiellement des connexions 4G et 5G (sauf dans les gares, qui peuvent dans certains cas profiter d'une connexion fixe). Selon La Lettre, la SNCF prévoirait de passer sur une connexion satellite, avec un appel d'offres prévu en 2025. Les deux fournisseurs principaux seraient OneWeb et Starlink, mais la société d'Elon Musk a un avantage évident dans ce domaine.
L'opérateur Clarus utilise déjà Starlink. Image Clarus.
OneWeb et Starlink proposent une connexion à Internet accessible sur la majorité du territoire, avec une latence correcte et des performances suffisantes pour un TGV, pour peu que plusieurs antennes soient installées — cet article du Parisien indique que cinq à six antennes suffiraient pour tous les passagers d'un TGV —. Les deux solutions devraient permettre d'obtenir des performances nettement plus élevées que les connexions cellulaires… mais surtout plus fiables.
Si OneWeb est une société française (elle fait partie du groupe Eutelsat), elle part avec un problème : la constellation compte moins de satellites (environ 600) et ils sont en orbite à une altitude plus élevée (environ 1 200 km). Ce sont deux problèmes face à la solution de SpaceX, qui a une constellation bien plus dense (plus de 7 000 satellites) à des altitudes plus faibles. Selon BFM TV, il n'y aurait pas de préférence nationale dans ce domaine. Et sur le plan purement technique, Starlink est a priori un meilleur choix actuellement.
Pour le moment, l'appel d'offres n'a pas encore été lancé, et aucune décision n'est officiellement à l'ordre du jour : il faudra donc encore attendre un peu pour obtenir une connexion Wi-Fi fiable dans un TGV.
Apple a un paquet de Mac en préparation, et si rien n’a été présenté officiellement, une nouvelle fuite permet de se faire une idée de ce qui nous attend dans les mois à venir. AppleInsider affirme avoir obtenu des informations de proches de Cupertino ainsi que les identifiants d’une quinzaine de Mac qui arriveront d’ici 2026. Un nouveau Mac Pro est visiblement au programme, tout comme deux configurations inconnues qui pourraient bien correspondre à un nouveau modèles d’entrée de gamme.
Image MacGeneration
Apple a un rythme de sorties plutôt bien calibré depuis quelques années, et certaines annonces sont logiques. Vous ne serez par exemple pas surpris d’apprendre qu’Apple va mettre à jour ses MacBook Pro à l’automne, tout comme l’année dernière et l’année précédente. Selon les informations d’AppleInsider, la machine serait toujours disponible en déclinaisons 14" et 16", avec à chaque fois une puce M5 Pro ou M5 Max. Les numéros quasi-identiques laissent à penser qu’il n’y aura de gros changement cette année en terme de design. D'autres rumeurs voient venir un modèle M5 à la même période.
Apple testerait un Mac mini M5 Pro (J873s). Aucun modèle M5 n’a été repéré, mais il serait très étonnant que Cupertino ne sorte qu’une déclinaison haut de gamme. Un autre Mac porte comme identifiant J833ct : il semble s’agir d’une version revue de l’iMac 24". La version M3 avait comme numéro J433, ce qui peut mener sur cette piste.
Apple n’a pas oublié les Mac haut de gamme et préparerait un nouveau Mac Pro à l’identifiant J704. La machine n’a pas été mise à jour depuis 2023 et se base actuellement sur une puce de la génération M2. Les bruits de couloirs le voyaient sortir avant la fin de 2025. Si on ne sait pas quelle puce il embarquera (une nouvelle M5 Ultra ?), on s’attend tout de même à un gros gain de performance.
Deux Mac Studio seraient en développement, à savoir J775c et J775d. Ce duo d’identifiants représenterait les deux configurations différentes. Un MacBook Air M5 devrait ensuite arriver en 2026. Selon AppleInsider, la machine aurait pour identifiants J813 et J815. On peut donc imaginer que les deux tailles de 13" et 15" n’évolueront pas.
Image MacGeneration
Tout cela est très classique, et les gros changements arriveraient plutôt fin 2026. Les rumeurs voient depuis longtemps venir un redesign du MacBook Pro. Les bruits de couloir affirment que la machine passerait à l’OLED et qu’elle disposerait d’un design plus fin et plus léger. D’autres estiment qu’il pourrait s’agir de modèles avec une connectivité cellulaire. Les sources d’AppleInsider semblent montrer qu’Apple restera cependant sur sa gamme traditionnelle au niveau des configurations :
K114c - MacBook Pro 14 pouces avec puce M6 Max
K114s - MacBook Pro 14 pouces avec puce M6 Pro
K116c - MacBook Pro 16 pouces avec puce M6 Max
K116s - MacBook Pro 16 pouces avec puce M6 Pro
Terminons en notant deux configurations inconnues, J804 et J700. Si le premier pourrait être un autre Mac Pro ou un MacBook Pro d’entrée de gamme, on ne sait pas trop à quoi correspond le second. Un fournisseur d’Apple a récemment évoqué un potentiel modèle avec une puce d’iPhone, que certains voient comme une version revue du MacBook Retina de 2015. Les rumeurs devraient préciser tout cela à l’approche de 2026. Une chose est sûre, on ne manquera pas de Mac sur les mois qui viennent.
Grosse mise à jour pour l’application Ollama, qui permet de faire tourner un modèle de langage en local. Celle-ci s’occupe de préparer un serveur local avant de récupérer des modèles optimisés pour les ordinateurs grand public. Elle vient de passer en version 0.9.5, qui lui apporte une cure minceur en plus d’une connectivité réseau.
Installation d’Ollama, avec la fenêtre de réglages en arrière-plan.
Ollama est désormais une application native pour macOS, et ça se sent : on passe de 452 Mo à 115 Mo, et les temps de chargements sont réduits. L’app a également gagné une petite interface graphique pour les réglages, permettant de changer le dossier dans lequel sont sauvegardés les modèles. Pratique pour les garder sur un disque dur externe, ou simplement dans un autre endroit que le répertoire par défaut. Attention toutefois, car le gros de l’utilisation continue de passer par le terminal, comme nous l’avions expliqué dans notre guide :
Enfin, l’app s’ouvre à Internet et permet désormais d’exécuter un modèle sur un Mac avant d’y accéder depuis un autre appareil. On pourra par exemple faire tourner un LLM sur son Mac Studio constamment allumé, puis l’interroger depuis un simple MacBook Air en déplacement. Ollama est disponible sur macOS, Windows et Linux. Vous pouvez trouver plus d’informations sur son fonctionnement sur la page Github du projet.
Apple est présente sur un réseau social supplémentaire : Threads. Au cas où vous l’auriez oublié, il s’agit du réseau lancé il y a deux ans par Meta pour concurrencer frontalement Twitter, transformé depuis en X par Elon Musk. Bien qu’elle n’ait encore rien publié sur Threads, Apple compte déjà 4,8 millions d’abonnés grâce à tous ceux qui la suivent déjà sur Instagram (les deux services sont fortement liés).
Ce réseau vient par ailleurs de gagner une fonction révolutionnaire : les messages privés. On peut maintenant envoyer des messages à ses followers Threads ainsi qu’à ceux sur Instagram ayant au moins 18 ans. Meta pourrait assouplir ces conditions au fil du temps.
Lexar vient d'annoncer un nouveau modèle de SSD externe MagSafe, l'ES5. C'est un SSD externe compact (la marque ne donne pas ses mensurations) qui se connecte en USB-C mais peut se fixer sur le dos d'un iPhone en MagSafe… ou d'un MacBook Pro selon la marque (avec une plaque qui se colle a priori sur la coque). Comme de nombreux SSD externes modernes, il résiste aux chutes (jusqu'à 3 mètres de hauteur) et est IP65, c'est-à-dire qu'il empêche la poussière de rentrer dans le SSD et peut être arrosé. Ce n'est pas réellement nécessaire avec les SSD, qui résistent bien aux éléments par défaut, mais les maladroits apprécieront.
Le SSD sur un iPhone. Image Lexar.
Le SSD externe est compatible USB 3.2 Gen 2x2, il peut donc atteindre 20 Gb/s (à peu près 2 Go/s en pratique)… si vous le branchez à un PC. Apple, dans ses systèmes sur puce, ne prend en effet pas en charge cette norme. Sur un iPhone 15 ou 16 Pro, un iPad ou un Mac, il sera limité à 10 Gb/s (environ 1 Go/s). Attention aussi à un point, les iPhone 15 et 16 possèdent une prise USB-C limitée à l'USB 2.0, soit 0,48 Gb/s (vers 35 Mo/s dans le meilleur des cas), comme certains iPad.
Vous aurez besoin d'une plaque pour l'accrocher à un Mac. Image Lexar.
Le SSD est livré avec un câble USB-C court, qui peut être fixé sur le SSD pour faire office de lanière, une idée intéressante. Le prix de ce SSD est de 150 € pour la version de 1 To et de 220 € pour celle de 2 To. Un tarif un peu plus élevé que la moyenne pour un SSD externe, qui peut se justifier par la compatibilité avec l'USB-C à 20 Gb/s (inutile si vous avez du matériel Apple) et l'aimant intégré.
Apple pourrait bien apporter du changement à son système d’aimants MagSafe sur le prochain iPhone Pro : les aimants ne formeraient plus un rond complet à l’arrière. Le parfois bien renseigné fuiteur Majin Bu a partagé aujourd’hui une photo de cette nouvelle disposition, qui devrait être exclusive aux iPhone 17 Pro. Ce serait la première fois qu'Apple change la forme des aimants du MagSafe depuis son arrivée avec l’iPhone 12.
Apple a visiblement prévu un gros changement de design pour l’iPhone 17 Pro, avec un bloc photo s’étendant sur toute la longueur à la manière des Pixels de Google. L’emplacement du logo devrait être abaissé pour un résultat plus esthétique… mais ne serait alors plus centré dans une potentielle coque MagSafe transparente. Apple aurait donc décidé de revoir la disposition des aimants avec un cercle ouvert laissant apparaître la fameuse pomme.
Cette nouvelle place ne devrait pas amener un grand changement pour l’utilisateur. Selon les sources spécialisées dans la fabrication d’étui de Majin Bu, les accessoires MagSafe existants resteront compatibles avec les iPhone 17 Pro malgré ce cercle plus ouvert. Il ne s’agirait donc que d’un changement purement esthétique, sans amélioration pratique. Le mystère sera levé en septembre, à l’occasion de la présentation des nouveaux téléphones.
Les chercheurs de SentinelLABS ont identifié un nouveau malware sophistiqué lié à la Corée de Nord qui s’en prend au Mac. Vous n’avez pas trop de crainte à avoir dans l’immédiat, sauf si vous travaillez dans le fabuleux monde des cryptomonnaies.
NimDoor, le nom donné à ce logiciel malveillant, cible en effet spécifiquement des entreprises opérant dans ce domaine. Les hackers affiliés à la Corée du Nord cherchent à exfiltrer des données sensibles (éléments du Trousseau d’accès, historique de navigation…), sans doute dans le but de récupérer des cryptomonnaies sonnantes et trébuchantes à la fin.
La fausse mise à jour de Zoom servant à démarrer l’attaque. Notez la faute « Zook SDK Update ». Image SentinelLABS.
L’attaque comporte plusieurs étapes. Les hackers commencent par se faire passer pour un contact de confiance de la cible sur Telegram et l’incite à planifier un appel Zoom via Calendly, un service qui permet de programmer des visioconférences. La victime reçoit ensuite un email d’hameçonnage dirigeant vers une fausse mise à jour de Zoom comprenant des scripts pernicieux.
Une fois exécutés, les scripts vont télécharger le malware, qui utilise de nouvelles ruses pour s’arroger des droits redoutables sur la machine infectée. Même après un redémarrage ou une interruption manuelle de la part de l’utilisateur, NimDoor peut continuer ses activités criminelles.
Pour se tenir à l’écart de ce logiciel malveillant, la première précaution à prendre est, comme souvent, de ne pas cliquer sur n’importe quel lien. Pour mettre à jour Zoom et vos autres applications, tenez-vous-en aux processus de mises à jour automatiques et aux sites officiels des éditeurs. Il est aussi important de tenir à jour votre version de macOS autant que possible, car Apple comble régulièrement des failles de sécurité.
C’est une rareté dans l’univers logiciel : un outil vieux de plus de 30 ans qui reste indispensable.
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Vous trouvez qu’Apple abuse sur les prix des SSD des Mac ? Vous n’avez pas encore vu ceux de Synology. Le fabricant de NAS vient de commercialiser des SSD NVMe M.2 « Série Entreprise » à des tarifs démentiels.
Par exemple, le SNV5420-1600G, qui a une capacité de 1,6 To, est vendu en direct 636 €, voire plus cher encore chez des revendeurs. Or, un SSD de ce type coûte normalement une centaine d’euros. Le pire, c’est que les modèles de Synology ne sont même pas plus rapides que les autres. En fait, avec une vitesse de lecture séquentielle allant jusqu’à 3 Go/s, ils sont même plus lents.
Image Synology/MacGeneration
Pourquoi la marque taïwanaise ose un tel tarif déconnecté du marché ? Parce qu’elle compte sur son programme de certification pour pousser ses clients vers ses produits. Pour rappel, elle a récemment décidé d’imposer une liste exclusive de disques durs pris en charge par ses nouveaux NAS, au prétexte d’assurer le bon fonctionnement de l’ensemble.
Pour les SSD, il y a une nuance importante, indiquée dans la documentation :
Pour les HDD, la compatibilité est limitée à des modèles spécifiques pour garantir une fiabilité et des performances optimales. En revanche, aucune limitation de ce type n'est appliquée aux SSD, offrant aux utilisateurs la flexibilité de choisir des options tierces, avec une transparence assurée par des messages d'avertissement.
Autrement dit, les SSD Synology ne sont pas obligatoires. Cela étant, le fabricant ajoute sur la même page que « seuls les SSD de qualité entreprise figurent sur la liste [de compatibilité], ce qui offre aux utilisateurs la flexibilité de choisir des SSD tiers sans être limités aux options disponibles. »
Si tous les SSD sont compatibles, Synology met donc seulement en avant les siens, qui sont vendus à prix d’or. De plus, le fabricant dédaigne fournir une assistance technique si le SSD employé ne figure pas dans la fameuse liste. Synology affirme être ouvert à l’ajout d’autres marques à cette liste, mais à ce jour, seuls ses propres SSD y figurent.
iOS et iPadOS 26 vont simplifier la vie des baroudeurs. Max Weinbach a remarqué que les informations entrées sur les portails des Wi-Fi publics étaient désormais synchronisées entre les iPhone et les iPad. Une nouvelle suggestion apparaît sur le clavier, invitant à remplir automatiquement les formulaires en se basant sur les données de l’autre appareil.
Oh cool iOS and iPadOS 26 synced the WiFi details from my iPad to my iPhone to connect to the WiFi pic.twitter.com/eGxkPRlTMa
Ce type de portail se retrouve généralement dans les cafés, les aéroports ou les hôtels. Ici, Max Weinbach a vu son iPhone lui proposer de compléter les informations précédemment entrées sur son iPad alors qu’il était à l’hôtel. Mark Gurman avait prédit l’arrivée de cette fonction en mai dernier, mais elle n’avait pas été mentionnée lors de la WWDC. De ce que nous avons vu, la nouveauté n’était pas activée sur la première bêta publique. Notons qu’elle fonctionne également sur les Mac tournant sous macOS 26.
iOS 26 sera disponible pour tous en septembre prochain. La mise à jour apporte principalement l’interface Liquid Glass, mais aussi une app Téléphone revue ou une nouvelle app Jeux. Le système est actuellement en bêta pour les développeurs, mais la première bêta publique ne devrait plus trop tarder de pointer le bout de son nez.
Alors qu’Apple semble bien en difficulté pour imposer CarPlay Ultra, on se demande si elle n’aurait pas dû se pencher sur les vélos et proposer BikePlay lorsque l’on voit ce produit. Présenté en début d’année et remis en avant à l’occasion du salon Eurobike qui avait lieu à Frankfort la semaine dernière, Flitedeck est un cockpit aux allures futuristes, dont l’ambition est de réinventer le guidon d’un vélo de route.
Vous l’aurez compris, ses deux cofondateurs ne sont pas fans des guidons actuels qui sont bardés d’objets à commencer par un ordinateur de vélo, une sonnette et un feu avant. L’écran tactile de Flitedeck occupe presque toute la surface du cintre. Il fait tout cela, et bien plus encore.
Image : Flite
Sur son écran, Flitdeck affiche à la fois la navigation, les statistiques en temps réel que l’on trouve sur un ordinateur de vélo, comme les watts, votre cadence de pédalage, la distance parcourue ou votre fréquence cardiaque ainsi qu’un widget affichant la musique ou le podcast que vous écoutez. Le cintre intègre un feu avant et embarque un haut-parleur suffisant puissant pour faire office entre autres de sonnette. Flitdeck dispose également d’une fonction antivol.
Image : Flite
Ce qui est intéressant dans ce projet, c’est que toute cette technologie n’a qu’un impact relativement limité sur le poids du guidon. Il pèse environ 800 grammes. L’autonomie annoncée est de 30 heures.
Ce projet, en gestation depuis 2019, est quasiment achevé.Les précommandes ont eu lieu cet hiver et les livraisons sont prévues pour le début de l’année prochaine. Toutefois, Ray Maker qui a pu approcher le prototype la semaine dernière, doute de la capacité de la société allemande à tenir les délais tant le prototype présenté semble en chantier. A noter qu’il a pu constater que l’ensemble est composé de trois écrans distincts.
Ce projet très prometteur sur le papier soulève également plusieurs questions. Les appareils tactiles peuvent être très pratiques, mais leur utilisation est souvent moins agréable sous la pluie. Et puis, surtout, au lieu de contempler le paysage qui s’offre à nous, il est possible que l’on soit un peu trop attiré par ce si grand écran. Si tout ceci est alléchant, cela a également un prix : 2249 €. Il est disponible dans 24 tailles différentes. À noter que le financement de cette société au moins dans ses débuts est pour le moins assez original. Sa cofondatrice, Sabrina Fischer, dispose d’un compte OnlyFans où elle publie des photos et des vidéos avec sa monture… Cela a permis à cette jeune société de se développer sans perdre d’argent et sans avoir à chasser d’éventuels investisseurs.
Le problème des switchs Ethernet, c’est que cela prend de la place et, esthétiquement, dans un salon… Ugreen propose aujourd’hui en promotion un switch très compact avec seulement deux ports Ethernet Gigabit. L’UGREEN Switch Ethernet 2 Port 1000 Mbps RJ45 est proposé aujourd’hui avec une ristourne de 20% à 14,40 €.
Il n’aura pas sa place dans une baie, mais peut être intéressant dans un endroit où l’on a juste besoin de doubler les connexions Ethernet sans que cela se voie trop, dans un salon, par exemple. Cela peut aussi être intéressant pour les utilisateurs nomades.
Le switch dispose d’une coque en aluminium, de trois voyants réseau et d’un voyant d’alimentation. Au passage, et c’est une bonne chose, l’appareil possède un port USB-C pour son alimentation.
FaceTime sous iOS 26 est capable d’identifier de la nudité et d’interrompre automatiquement le flux vidéo. Cela fait partie des nouveautés annoncées par Apple afin de protéger les mineurs, une précision que la bêta actuelle semble avoir oublié. Comme l’a noté @idevicehelpus@x (via 9To5 Mac), le message peut s’afficher sur un appareil, même si la conversation vidéo s’effectue entre adultes consentants.
Le message occupe tout l’écran sur l’appareil de la personne qui affiche son corps de manière prononcée. Il indique que la diffusion de la vidéo et de l’audio a été mise en pause parce que du contenu « sensible » est montré. Un message conseille ensuite d’interrompre l’appel si l’utilisateur ne se sent pas confortable de le poursuivre et on a deux gros boutons, un pour reprendre la conversation normalement, l’autre pour mettre fin à l’appel.
Apple précise bien que l’analyse des images est entièrement réalisée en local, sans intervention d’un serveur distant. Ces premiers retours montrent que la fonctionnalité est en place, même si elle intervient sur des comptes Apple qui ne sont pas configurés comme des enfants, ce qui est probablement un bug de la bêta. On imagine que ce sera corrigé dans une future bêta d’iOS 26.
Notons qu’une option est proposée dans les réglages de FaceTime pour retirer l’affichage des « avertissements de contenu sensible ». Elle n’est pas nouvelle, puisqu’on la trouvait déjà sous iOS 18, et n’a peut-être aucune incidence sur la nouvelle fonctionnalité évoquée ici. Quoi qu’il en soit, elle n’était pas activée sur mon iPhone avec la bêta et on ne sait pas ce qu’il en est pour l’utilisateur qui a publié la capture d’écran. Je n’avais pas d’aubergine sous la main pour vérifier si l’option change quoi que ce soit à l’identification de contenus sensibles par FaceTime.
Cette option dans les réglages de FaceTime pourrait désactiver la nouveauté d’iOS 26, même si elle était déjà présente sous iOS 18. Image iGeneration.
Apple travaille de manière à ce que ses logiciels systèmes surveillent davantage l’évolution de l’autonomie de ses appareils. Avec iOS 26, les iPhone compatibles avec Apple Intelligence, disposent d’un nouveau système de gestion « adaptative ». Si votre consommation est plus élevée qu’à l’accoutumée, cette fonctionnalité de gestion adaptative diminue « légèrement » les performances et la luminosité de l’écran pour préserver l’autonomie.
watchOS 26 est doté d’une fonctionnalité relativement similaire, mais plus minimaliste, sans doute liée au fait que les montres d’Apple ne sont pas équipées d’Apple Intelligence. Quoi qu’il en soit, comme le note 9to5Mac, si la batterie de votre Apple Watch diminue de manière excessive, vous en serez informés par un message d’alerte vous incitant à passer sur le mode économie d’énergie.
Benjamin Mayo explique que sa montre s’est retrouvée récemment avec 50 % d’autonomie restante à 19 heures. Habituellement, à cette heure de la journée, s’il n’a pas fait de sport, sa montre est plus proche des 75 %. Dans son cas, l’apparition de ce message n’est pas liée à une utilisation particulière de sa montre, mais à la bêta elle-même de watchOS.
Dans la vie de tous les jours, d’autres facteurs peuvent jouer sur l’autonomie de l’Apple Watch, comme une utilisation prolongée de son GPS, de sa puce cellulaire, de son haut-parleur ou encore d’un programme trop gourmand.
Ce qui est intéressant dans son cas, c’est que l’Apple Watch est pro active. Avec 50 % d’autonomie restante, on n’est pas devant le fait accompli et il est encore possible d’adapter son usage en conséquence.
Si toutes les rumeurs se matérialisent, l’année scolaire qui s’ouvre en septembre promet d’être incroyablement riche en nouveautés. Apple semble déterminée à accroître considérablement son portefeuille de produits afin d’initier un nouveau cycle de croissance.
En 2026, Apple devrait céder aux sirènes des écrans pliables avec un iPhone qui promet d’être vendu à un prix particulièrement salé. Initialement, la firme de Cupertino avait prévu de recourir d’abord à cette technologie pour ses tablettes et ses ordinateurs, mais il semble qu’elle ait changé son fusil d’épaule.
De tels projets continuaient à être développés en parallèle, mais ils auraient été mis en pause si l’on en croit DigiTimes. Le site asiatique affirme qu’Apple retarde le lancement de l’iPad pliable en raison de difficultés de fabrication, de coûts de production élevés pour la technologie d’écran pliable, et d’une demande relativement faible des consommateurs pour les appareils pliables de grande taille.
Concept réalisé à l’aide d’une IA
Ce n’est sans doute que partie remise. Apple pourrait revoir sa décision, notamment si le prix des technologies des écrans pliables venait à baisser. Un iPhone doté d’une telle technologie pourrait y contribuer.
Reste que les rumeurs sur un tel appareil étaient plutôt vagues. Certains évoquaient une tablette équipée d’un écran OLED avec une taille susceptible d’atteindre les 20”. On aimerait bien voir comment iPadOS 26 se comporte avec ses avancées sur un tel appareil. Il était question d’une date de commercialisation, au mieux en 2026, au pire en 2028, mais il va sans doute falloir patienter davantage pour voir un tel appareil arriver sur le marché.
Lorde est une artiste Néo-Zélandaise qui a bien réussi à faire son trou dans le milieu pop, depuis son premier album en 2013. Assez poussée sur l’esprit écologique, elle a ainsi décidé que son album Solar Power ne sortirait pas en CD, mais uniquement au format dématérialisé. Si cette promesse n’a pas été tenue jusqu’au bout (une version vinyle étant sortie), la chanteuse a cédé aux demandes des fans pour son dernier album, mais n’a pas voulu faire « comme les autres ».
Sort alors l’album Virgin, dans un plastique totalement recyclé et recyclable, et sans aluminium dans le « sandwich » qui compose le CD. Et c’est ainsi que commencent les problèmes...
Si les lecteurs optiques sont de plus en plus performants, et arrivent bien souvent à lire des galettes dans des états plus improbables les uns que les autres, il ne faut pas trop en demander non plus. Et Lorde est allée trop loin dans sa demande : de nombreux utilisateurs se plaignent sur Reddit et d’autres forums que le dernier album est impossible à lire dans leur autoradio, leur lecteur CD portable, lecteur de salon... si certains arrivent à lire la galette, ce n’est semble-t-il pas sans erreurs pour autant, l’un d’eux rapportant qu’il a pu ripper le CD, mais au prix de nombreuses erreurs et autres distorsions sonores.
Les presseurs de cette version CD n’ont d’ailleurs pas cherché à faire valider leur création selon le Red Book, le boîtier et le disque lui-même ne mentionnant nul part le réglementaire « Compact Disc Digital Audio ». On se rappellera d’ailleurs des fameux CD audio « anti-copie » qui pullulaient il y a quelques années, et qui eux non plus ne mentionnaient pas le fameux logo, leurs caractéristiques ne respectant pas le format original.
Les artistes cherchent toujours plus à se démarquer, afin de pousser à acheter la version physique de leur album plutôt que de l’écouter en streaming. Si l’innovation a du bon, il serait bien de se rappeler le but premier d’un support audio : être lu dans un maximum de lecteurs...
Généralement, sur les bureaux, deux écoles s’affrontent : ceux qui veulent un lieu de travail bien propre, et les fans du plat de spaghettis où la mama n’y retrouverait même pas une boulette.
L’autre souci, c’est l’encombrement des multiprises : entre l’écran, le Mac, le chargeur de piles pour la Magic Mouse (pour ceux qui n’aiment pas les tortues sur le dos), pour l’iPhone, pour le dernier accessoire USB à la mode, la montre, la tablette,... on n’en finit plus.
Heureusement, fini la multiprise aussi longue que le bureau. Vous pouvez trouver maintenant des concentrateurs bien plus agréables à l’œil et plus pratique, comme celui proposé sur Amazon par Kemelo (20,99€), qui combine sur une forme relativement compacte 8 prises 230 volts avec 4 ports USB (maximum 3.4A). Trois de ces ports sont au format USB-A, le dernier en USB-C. Le tout est protégé par un para-surtenseur intégré (ce qui ne sera pas du luxe en ce moment). Qui plus est, si la prise murale est un peu trop loin du bureau (un comble, mais ça arrive), le câble secteur fait 5 mètres, de quoi parcourir la pièce !
Alors au final, dans quelle équipe vous trouvez-vous ? Team maniaque du rangement, ou spaghettis à volonté ?
L’intelligence artificielle peut avoir du bon : trouver rapidement des informations sans avoir à parcourir un site complet, résumer un texte,... mais n’en étant qu’à ses balbutiements, elle nécessite d’être surveillée, et son utilisation par une entreprise doit se faire en toute transparence. Deux règles que Crunchyroll a visiblement oubliées.
Pour une boulette, c’est une boulette... Image Crunchyroll.
C’est The Verge qui rapporte le malaise dans lequel le distributeur d’animés en ligne s’est mis, après la diffusion des derniers épisodes de Necronomico et de Cosmic Horror Show : les sous-titres contenaient de nombreuses erreurs dans de multiples langues, que ce soit anglais, allemand ou autres. Jusque là, le souci aurait pu passer pour des traducteurs un peu trop « tête en l’air », le fameux « stagiaire du dimanche ».
Mais quand le texte comprend en ouverture de l’allemand « ChatGPT said: », ou que la fin de l’épisode contient « Translated by: Translator’s name », le doute n’est plus permis.
Que l’industrie du divertissement s’intéresse de plus en plus à l’intelligence artificielle pour ce type d’usage paraît logique : non seulement l’IA peut être bien plus rapide qu’un traducteur en chair et en os, mais en plus... coûtera moins cher (il ne faut pas se faire d’illusions). Reste que dans ce cas, si l’usage d’une IA pour la traduction n’est pas mentionné, le minimum serait au moins de ne pas jurer ses grands dieux qu’on ne l’utilisera pas, comme l’a pourtant fait le patron de Crunchyroll en avril durant une interview donnée à Forbes, indiquant que l’entreprise « ne considère pas utiliser l’IA dans son processus créatif », et insistant sur le fait que l’intelligence artificielle pourrait être utilisée pour des recommandations, la personnalisation, mais en aucun cas sur le contenu lui-même.
Les entreprises sont en pleine découverte des possibilités offertes par les IA, et bien entendu, tentent de nouvelles approches pour minimiser les coûts, et maximiser les profits. Mais l’IA n’a pas bonne presse dans certains milieux, et celui de l’animé japonais est sûrement de ceux où elle est la plus détestée. Crunchyroll le sait pertinemment, a communiqué qu’elle ne sera pas utilisée pour les contenus et l’a fait par derrière, allant même jusqu’à l’économie d’une relecture humaine. Ce qu’on appelle se faire prendre la main dans le pot de confiture.
Alors que les indices amenant à la vente à la découpe de SFR se font de plus en plus nombreux et insistants, l’opérateur amène une petite surprise, un petit bonus pour celui qui reprendra la partie réseau : une toute nouvelle box. Celle-ci n’a pas encore été présentée officiellement, mais le directeur Réseaux et Services de SFR, Olivier Tailfer, a « laissé fuiter » l’information dans un post sur LinkedIn.
Si peu de détails sont connus pour le moment, le visuel montre déjà une box qui a à quelque chose près le même format que celle de son concurrent Orange, avec un affichage qui semble tactile et reposer sur un écran e-ink, comme proposé depuis quelques générations chez l’agrume.
Le Wi-Fi devrait rejoindre la dernière norme en vigueur, en proposant du Wi-Fi 7, et le reste des caractéristiques ne devrait plus tarder à être connu : le visuel sur la photo annonce un « lancement imminent », et le directeur déclare noir sur blanc que le produit « sera lancé dans les prochains jours ».
Si le lancement d’une toute nouvelle box peut paraître étrange alors que l’opérateur doit être revendu, commercialement les choses peuvent s’entendre : la sortie d’une nouvelle box juste avant ou même pendant les négociations permettent de présenter le réseau sous son meilleur jour, faisant preuve d’innovations et ne se reposant pas, plutôt que de laisser l’idée d’une belle endormie n’attendant que d’être cueillie. Reste à savoir si le repreneur donnera sa chance à cette box, et pendant combien de temps, avant de faire passer les abonnés sur autre chose.
Kernel Panic, c’est le podcast long format de MacGeneration réservé aux abonnés du Club iGen. Deux fois par mois, nous approfondissons un sujet lié à Apple ou au monde de la tech.
La WWDC, c’était il y a quasiment un mois ! Les développeurs se sont jetés sur les bêtas des nouveaux systèmes, qui apportent principalement la nouvelle interface Liquid Glass. Celle-ci fait la part belle aux effets de lumière et de transparence. Son arrivée divise, certains y voyant un joli renouvellement là où d’autres reprochent un manque de lisibilité.
Ce n’est pas tout, car ces nouveaux systèmes apportent également un paquet de fonctions. Plusieurs apps ont été portées d’une plateforme à l’autre, comme Téléphone qui est désormais disponible sur iPad et sur Mac. iOS a de son côté gagné une app Aperçu. Le Vision pro n’a pas été oublié avec l’arrivée de nouveaux widgets restant ancrés dans le monde réel, tandis que le design de l’app Exercice de watchOS a été repensé.
Alors que la première bêta publique ne devrait plus tarder de pointer le bout de son nez, vous vous demandez sans doute ce que valent ces nouveaux systèmes. Cet épisode est l’occasion de tirer un premier bilan en compagnie de Florian et de Baptiste Dajon, développeur de l’app iOS Bandbreite travaillant pour la branche tech de Décathlon.
Polysoft a mis à jour le Studio Drive, son kit permettant d’augmenter la capacité de stockage du Mac Studio pour bien moins cher que ce qu’en demande Apple. Si la première version était réservée aux modèles M1 et M2, Gilles Aurejac proposera bientôt une déclinaison pour les plus récentes versions M3 Ultra et M4 Max. Le matériel est disponible sur la boutique de Polysoft. Les kits sont pour le moment indiqués comme en rupture de stock.
Studio Drive. Image MacGeneration.
Les prix ne changent quasiment pas par rapport aux versions précédentes : comptez donc 399 € pour 2 To, 799 € pour 4 To ou 1 049 € pour 8 To. Seule cette dernière déclinaison est 100 € plus chère que sur les modèles M1 et M2. Cela reste une affaire face aux tarifs pratiqués par Apple, qui demande 750 € pour 2 To ou 3 000 € pour 8 To. On notera que Polysoft a ajouté une option 16 To (2 499 €), exclusive aux machines M3.
Nous avions eu l’occasion d’essayer le Studio Drive en 2024 et multiplié par 16 (!) le stockage d’une de nos machines. La démarche nous avait pris une heure, et nous n’avons pas eu de problème depuis. Chaque achat est lié à une garantie de 5 ans, tandis que les outils et manuels imprimés sont inclus. Les précommandes ne sont pas encore ouvertes suite à des incidents de livraison sur certains lots précédents, mais le site affirme que tout sera rentré dans l’ordre d’ici le mois d’août. Tout étant géré par une petite équipe, il faudra faire preuve de patience.
L'Apple Store a rempli dernièrement ses rayons en écrans Apple Studio Display reconditionnés. Les réductions par rapport au neuf, assez peu en promo, voire tout simplement en stock, sont de quelques centaines d'euros. Les quatre variantes sont disponibles :
Studio Display, verre standard, support à inclinaison réglable à 1 489 € (-260 €)
Studio Display, verre nano-texturé, support à inclinaison réglable à 1 699 € (-300 €)
Studio Display, verre standard, support à inclinaison et hauteur réglables à 1 879 € (-330 €)
Studio Display, verre nano-texturé, support à inclinaison et hauteur réglables à 2 089 € (-370 €)
Verre standard et verre nanotexturé. Images MacGeneration.
Si le budget est disponible, on peut préférer les modèles avec le verre nano-texturé pour son action sur les reflets. Mais cela vaut d'abord pour ceux dont l'environnement de travail est surplombé de néons ou d'éclairages directs. De même, si c'est dans vos moyens, préférez le pied avec l'inclinaison et la hauteur réglables pour ajuster la dalle au plus près.
La vente de SFR et son partage entre ses concurrents ou des investisseurs est bien sur les rails mais le trajet reste sinueux. Depuis la mi-juin, Patrick Drahi a fait transmettre les informations financières de son opérateur aux parties intéressées relate BFM Business.
Image SFR
D'emblée, Orange est dans une situation différente de Bouygues et Free puisque sa place de leader sur le marché hexagonal l'empêche d'être trop gourmand. Pour les deux autres, il y a à boire et à manger chez SFR. Les abonnés SFR RED seraient ainsi moins courus que les clients fixe et mobile de SFR car moins rentables.
Ce parc de 20 millions d'abonnés mobile de SFR aiguise la convoitise de Bouygues et Free mais il y a un nœud dans l'affaire. Depuis 10 ans, SFR et Bouygues se partagent 15 000 antennes, explique BFM. Bouygues pourrait reprendre 50 % du capital du réseau pour un coût de 200 à 300 millions d'euros, cependant il exigerait en retour d'obtenir une plus grosse part des abonnés SFR.
Quant aux clients sur le fixe, ils sont 6,1 millions, et c'est Bouygues qui aurait la meilleure position pour en récupérer la plupart puisqu'il est derrière Orange et Free sur ce segment.
Le réseau de fibre optique est un autre entremêlement à dénouer. Free et Bouygues se le répartiraient par zones géographiques. Ou SFR ferait entrer un fonds d'investissement qui achèterait le lot entier ou ce fonds pourrait s'adosser aux offres des deux opérateurs.
La partie entreprise de SFR est également un fromage guetté par Free qui y verrait un moyen de faire croitre son activité professionnelle. Orange aussi serait intéressé par les abonnés mobiles pro afin de consolider sa première place dans le secteur.
Et puis il y a 300 boutiques appartenant à SFR et leurs 2 000 salariés en plus de 300 autres magasins en franchise. Les trois concurrents seraient partants pour se répartir les parts de cet autre gâteau, sachant qu'il y aura inévitablement des doublons avec des magasins voisins.
Les patrons de chacun des opérateurs ne se sont pas encore rencontrés, ajoute BFM, les négociations sont menées pour le moment par leurs proches lieutenants assistés des banques d'affaire et avocats.
Après les écouteurs, Nothing s’attaque au domaine des casques audio et vient de présenter le Headphone (1). Ce modèle se démarque par son design original doté d’éléments transparents caractéristiques de la marque. Créé en collaboration avec KEF, on nous promet donc un son « riche et naturel » avec des basses profondes, des médiums détaillés et des aigus nets.
Images Nothing
Ce gros casque de 329g mélangeant plastique et aluminium a l’avantage d’être un peu plus léger que les AirPods Max (387g). Il fait l’impasse sur les commandes tactiles pour mettre l’accent sur les boutons physiques, présentés comme plus fiables et plus précis. On y retrouve du classique, mais aussi une touche personnalisable via l’app sur laquelle on pourra configurer différentes actions (désactiver les micros, activer l’audio spatial…).
Le Headphone (1) est un casque audio sans-fil prenant en charge la lecture Lossless en USB-C ainsi que la norme Hi-Res Audio et le codec LDAC. L’annulation du bruit est évidemment au rendez-vous, tout comme la spatialisation du son et le suivi de la tête. Nothing vante également une bonne qualité d’appels grâce aux 4 micros dédiés et un algorithme adapté même aux environnements les plus bruyants.
Un coloris noir est aussi proposé. Image Nothing
Le fabricant affirme avoir mis le paquet sur l’autonomie, avec un casque tenant 35 heures avec l’ANC ou 80 sans. Une charge rapide de 5 minutes permet de récupérer plus de 2 heures de batterie. Deux coloris sont disponibles pour un tarif de 299 €. Les précommandes ouvriront le 4 juillet sur le site de Nothing et chez certains revendeurs. L’accessoire sera ensuite lancé officiellement le 15 juillet.
Orange lance un forfait pour les moins de 18 ans assorti de fonctions de filtrage et de blocage de contenus indésirables ou menaçants. L'offre SaferPhone consiste d'abord en un forfait bloqué, sans engagement, de 5 Go avec les SMS et MMS illimités. Cette formule est vendue 9,99 € par mois (ou 5,99 € lorsqu'un parent est déjà abonné à l'internet fixe chez Orange). En ajoutant 4 € par mois on grimpe à 35 Go.
Cela fait (très) cher le giga-octet — pour 10 €, Sosh et ses concurrents proposent des formules avec 200 Go — mais l'opérateur se rattrape par des fonctions de contrôle parental proposées, sans frais immédiats, dans un Pack Protection Enfant :
gestion du temps d'écran par jour et par plage horaire (ce sera actif fin 2025, ndlr), coupure complète de l'internet en Wi-Fi et en 4G/5G à la demande, blocage des contenus inappropriés, géolocalisation en temps réel ;
filtrage des appels de spam et démarchage ;
abonnement d'un an au service SafeBear qui analyse les contenus échangés par l'enfant (à hauteur de 3 000 envoyés et reçus par mois) sur Instagram, X, Snapchat et TikTok (les autres sont promis à une date indéterminée). Le système avertit les parents en cas de détection de propos assimilables à du harcèlement. Au bout d'un an il faudra choisir l'une des formules payantes de SaferBear pour continuer de profiter de son service.
Image SaferBear.
Pour faire fonctionner cet ensemble de services et de logiciels, Orange rembourse 50 € sur 6 modèles de smartphones lorsqu'on n'est pas déjà équipé. Il y a 3 appareils Android qui coûteront, déduction faite de la remise, de 59 à 149 €. Et trois iPhone dont le 16e qui revient à 599 €. Mais au vu de son tarif élevé, l'opérateur a glissé deux iPhone SE et 12 reconditionnés, vendus 169 et 299 €.
La Switch 2 se porte bien, merci pour elle. Nintendo a récemment tenu sa grande rencontre annuelle avec les investisseurs, pendant laquelle le président Shuntaro Furukawa a rappelé avoir présenté ses excuses de ne pas pouvoir produire suffisamment de consoles pour tout le monde. « Actuellement, dans de nombreux pays, la demande de Switch 2 est supérieure à l'offre et nous ne sommes pas en mesure de la satisfaire », a-t-il déclaré avant de reconnaître que quelques actionnaires n’avaient pas encore pu mettre la main sur la machine. Un indice de plus (s’il en fallait) que la console cartonne.
La présentation de la Switch 2 avait pourtant été mouvementée. Beaucoup de joueurs ont été surpris par le prix de la machine (470 €) tandis que d’autres ont regretté un catalogue de lancement assez faiblard principalement constitué de Mario Kart World et d’une poignée de portages. Cependant, les grognons ne sont guère nombreux face aux fans de la marque : Nintendo a enregistré 2,2 millions de précommandes au Japon, puis annoncé 3,5 millions de ventes à travers le monde en l'espace de 4 jours. Les chaînes de production peinent à suivre, ce qui a forcé Shuntaro Furukawa à s’excuser une nouvelle fois :
En tant qu'entreprise, nous nous efforçons d'améliorer notre système de production afin de livrer le plus grand nombre d'unités possible. Nous demandons pardon pour les désagréments causés par cette demande initiale, qui a largement dépassé nos attentes.
Bien qu’elle soit sortie il y a quasiment un mois, la console est toujours difficile à trouver sur certains marchés, comme aux États-Unis ou au Japon. Sur l’archipel, les revendeurs et Nintendo sont obligés d’organiser des loteries pour répondre à la demande. Ce problème ne concerne heureusement pas la France, où les revendeurs ont plutôt cherché à casser les prix sur les jeux pour attirer le chaland. La console seule est toujours en stock à la Fnac sans délai particulier, tandis que le pack avec Mario Kart World peut être livré sous une semaine par Amazon.
Liés à iOS 26, les AirPods disposent d’une nouvelle fonctionnalité pratique si vous avez l’habitude d’écouter de la musique ou un podcast dans le lit. Une option (désactivée par défaut) permet de mettre automatiquement en pause la lecture quand les écouteurs détectent que vous vous êtes endormis.
Apple ne précise pas comment cette fonctionnalité opère, mais il y a tout lieu de penser qu’elle se base sur l’accéléromètre compris dans les écouteurs, voire le capteur de détection de la peau. En tout cas, plus besoin de configurer le minuteur d’iOS ou de votre application audio pour que la lecture s’arrête toute seule quand vous êtes dans les bras de Morphée.
La nouvelle option pour. Image WatchGeneration.
Pour l’instant, cette nouveauté est réservée au firmware en bêta distribué en parallèle d’iOS 26. Elle est présente sur les AirPods Pro 2 et les AirPods 4, qui ont en commun la puce H2. On ne sait pas encore si elle sera disponible sur des modèles plus anciens équipés de la puce H1. D’après du code déniché par MacRumors, cette mise en pause automatique sera aussi proposée sur des écouteurs Beats (seuls les Powerbeats Pro 2 ont une puce H2).
La mise à jour sera disponible pour tous à la rentrée, au moment du lancement officiel d’iOS 26.
La Freebox Revolution ne veut pas mourir. Lancée en 2010, la box de Free dans son édition Light fait l’objet d’une offre intéressante pour tous ceux qui sont intéressés par une connexion à Internet via la fibre optique sans se ruiner.
Cette promotion réservée aux nouveaux clients permet d’avoir jusqu’à 1 Gbit/s en téléchargement et 900 Mbit/s en téléversement pour 19,99 € par mois. Il s’agit d’une offre sans engagement. Notez cependant que l’offre passe à 29,99 € par mois au bout d’un an. Pour ceux qui l’avaient oublié, cette box, dessinée par Starck, intègre un lecteur Blu-Ray et un disque de 250 Go de stockage. Elle comprend également l’app TV OQEE de Free.
L’un des défauts de cette offre est sans doute le Wi-Fi. La box accuse son âge et n’offre pas de Wi-Fi 6. Notez toutefois que l’on trouve en ce moment même des routeurs Wi-Fi à très bon prix.
Si Free lance cette offre, c’est sans doute lié au fait que les promotions sur l’internet fixe sont assez nombreuses. SFR Red propose également une offre à 19,99 € par mois, mais sans décodeur télévision. Les débits proposés sont proches (1 Gbit/s dans les deux sens) et là aussi, on peut également regretter l’absence de Wi-Fi 6.
Mais à la fin des fins, l’offre la plus intéressante, c’est peut-être bien celle de Bouygues Telecom. Vous pouvez obtenir pour 23,99 € par mois son offre Pure Fibre qui propose jusqu’à 8 Gbit/s de débit dans le sens des téléchargements et un routeur Wi-Fi 7. Il ne reste plus qu’à financer éventuellement une Apple TV pour pallier l’absence d’un module pour la télévision.
Et si les nouveautés Apple de la rentrée étaient accompagnées par une baisse de prix ? Cela parait contre-intuitif tant il a été question de guerre commerciale au mois de mars, mais ce scénario n’est pas à exclure. En effet, la politique de Donald Trump a eu pour conséquence d’affaiblir le dollar ces derniers mois.
En début d’année, un euro s’échangeait environ 1,03 $. À l’heure où nous écrivons ces lignes, le billet vert s’échange désormais à 1,18 $. Autrement dit, l’euro s’est apprécié de plus de 13 % en l’espace de quelques mois. Or, si le bitcoin peut connaître une hausse de cette ampleur en une seule journée, dans le domaine des devises, une telle évolution dans un tel laps de temps est tout sauf anecdotique.
Bien qu’il soit toujours très difficile d’anticiper les évolutions à venir du marché des changes, les observateurs estiment qu’il est assez probable que l’euro dépasse la barre des 1,2 $ prochainement. Certains estiment même que ce n’est qu’une étape et que le phénomène est appelé à se prolonger dans les mois à venir.
Apple a pour habitude de suivre d’assez près l’évolution des taux de change, surtout quand ils évoluent en sa défaveur. Quoi qu’il en soit, la firme de Cupertino fait régulièrement évoluer la tarification de l’App Store en cas de fluctuation importante. D’autre part, elle tend à ajuster ses tarifs lorsqu’elle commercialise de nouveaux produits.
Autrement dit, si la tendance persiste, on pourrait observer des baisses de prix à la rentrée lors de la présentation de la nouvelle gamme d’iPhone. Il y a cependant deux facteurs qui pourraient annihiler ce mouvement de fond chez Apple.
À l’été dernier, sans doute au moment où sont fixés les prix chez Apple, l’euro s’échangeait dans une fourchette oscillant entre 1,08 $ et 1,12 $. D’autre part, toujours dans ce contexte incertain de guerre commerciale, Apple pourrait être tentée d’accroitre ses marges dans le Vieux Continent en ne faisant que peu évoluer ses prix, de manière à financer en partie la hausse des droits de douane aux États-Unis.
Nothing a dévoilé un casque mais aussi et surtout le Phone (3) un modèle voulu plus haut de gamme que le Phone (2) lancé il y a deux ans mais qui conserve l'esthétique singulière de la marque britannique. Avec deux versions prévues à 849 et 949 € (256 et 512 Go) le Phone (3) se positionne clairement dans le haut de gamme.
Phone (3). Image Nothing.
Pour autant, là où Apple et Samsung, ses plus proches rivaux sur le papier, s'inscrivent dans une relative prudence en termes de design, Nothing joue clairement une autre partition pour se démarquer. Avec toujours ce recours à un look d'allure industriel, conçu en collaboration avec l'équipe suédoise de Teenage Engineering dont les produits ont eux-mêmes une forte personnalité.
Le Phone (3) est un grand téléphone de 6,67" (un poil en dessous d'un iPhone 16 Plus avec ses 6,7"), d'une grosse batterie de 5 150 mAh (4 685 mAh pour celle de l'iPhone 16 Pro Max) et d'un processeur Snapdragon 8s Gen 4 qui n'est pas le plus puissant du moment, mais il est sorti en avril et il met l'accent sur les tâches d'IA.
Image Nothing.
Les produits de Nothing se reconnaissent maintenant aisément, la marque s'est trouvé un style et elle s'y tient, ce modèle n'en dévie pas. Puisque tous les téléphones sont inévitablement assez identiques sur leur face avant, c'est la partie arrière qui devient le terrain d'expérimentations. Le dessin du Phone (3) suit le principe d'une division en 3 colonnes verticales dont la géométrie des lignes a été pensée pour s'inscrire dans le prolongement de celles du Phone (2) (voir l'explication des designers dans la vidéo ci-après). Plutôt qu'une face lisse sans motifs, l'arrière du Phone (3) semble tiré d'un dessin industriel que l'on n'aurait pas achevé pour laisser deviner les grandes masses internes.
Phone (2) et Phone (3). Image Nothing.
Aux trois objectifs photographiques, répond un nouvel arrivant, le Glyph Matrix. C'est un écran rond, micro-LED, associé à un bouton placé en dessous. Cet écran peut afficher un grand nombre de choses avec un style très typé fait de petits carrés : l'heure, des indicateurs de progression, la batterie, mais aussi une représentation très pixelisée de l'utilisateur qui voudra faire un selfie avec l'appareil photo arrière.
Le Glyph Matrix en haut à droite. Image Nothing.
Ce petit écran peut aussi générer des animations correspondant à un contact lors d'un appel. Et puisque les téléphones sont souvent sur vibreur, il a été conçu un moteur audio qui génère des séquences de sons très électroniques en fonction du nom de l'appelant. Les utilisateurs pourront par ailleurs créer des choses pour cet écran qui sert aussi à s'amuser. Par exemple avec un Pierre-feuille-ciseaux ou le jeu de la bouteille : elle tourne et c'est celui en face de qui elle s'arrête qui paye l'addition.
Le dos de ce téléphone est aussi pourvu d'un petit indicateur rouge qui peut s'allumer lorsqu'une vidéo est en cours d'enregistrement. Autre idée, après avoir posé le Phone (3) face contre table, un appui long sur l'Essential Key (l'équivalent du bouton Action) va automatiquement lancer la fonction dictaphone avec l'enregistrement de la conversation.
Image Nothing.
On aime ou on n’aime pas l'allure de ce téléphone, mais Nothing a le mérite de tenter quelque chose, et de s'y tenir, dans un domaine où les smartphones, en dépit de leurs différences, sont à peu près tous empreints d'un certain conservatisme dans leurs lignes.
Le Phone (3) sera en vente chez Amazon ou à la Fnac le 15 juillet, mais les précommandes débuteront le 4.
L’offre de crédit à 0 % se poursuit sur l’Apple Store. Apple n’a donné aucune date de fin pour cette opération lancée au début de l’année, mais son partenaire en mentionne une sur son propre site. Cetelem avait indiqué au départ que l’offre devait se terminer le 31 mars, puis le 30 juin. Voilà maintenant l’échéance repoussée au 20 août.
Ce crédit à 0 % permet d’étaler sans frais le paiement d’un iPhone, d’un Mac, d’un iPad, d’une Apple Watch, d’un Vision Pro ou d’un accessoire sur 24 mois maximum. L’offre est soumise à l’examen du dossier, de la situation financière et de l’historique d’emprunt de l’acheteur. Les intérêts habituels sont en fait pris en charge par Apple, qui mise sur de bonnes ventes pour absorber le coût de la promotion.
Attention, Cetelem propose aussi un crédit plus long soumis à des frais de 14,01 %. Il ne faut pas se tromper d’offre. L’établissement compte sur cette opération pour attirer de nouveaux consommateurs.
Produit
Durée
Taux débiteur
iPhone
12 mois
0 %
24 mois
0 %
iPad Air, iPad, iPad mini
4 mois
0 %
12 mois
0 %
36 mois
14,01 %
iPad Pro
4 mois
0 %
20 mois
0 %
36 mois
14,01 %
Apple Watch
4 mois
0 %
12 mois
0 %
24 mois
14,01 %
Apple Vision Pro
4 mois
0 %
24 mois
0 %
36 mois
14,01 %
Accessoires
4 mois
0 %
MacBook Pro, Mac Studio
4 mois
0 %
24 mois
0 %
36 mois
14,01 %
MacBook Air, Mac mini, iMac
4 mois
0 %
18 mois
0 %
36 mois
14,01 %
« Une fois que [les clients] ont téléchargé notre application sur leur téléphone, il est ensuite possible de leur proposer d'autres produits comme des prêts personnels, des prêts à la rénovation énergétique, etc. », explique Franck Vignard, directeur général de BNP Paribas Personal Finance, la maison mère de Cetelem, aux Échos. Dans ce groupe, le montant moyen d'un crédit à la consommation pour un smartphone est de 700 € environ, contre 1 200 € pour un iPhone. On comprend l’appétit des organismes de crédit pour les clients d’Apple.
Si vous êtes étudiant, patientez un peu : l’offre Back to School devrait bientôt démarrer en France. Autrement, il y a de nombreuses bonnes affaires sur les Mac et les iPhone chez les revendeurs à l’occasion des soldes.
Si vous envisagez de changer de tablette pour profiter d’iPadOS 26 dans de bonnes conditions à la rentrée, voici une offre qui pourrait vous intéresser : un iPad Pro M4 de 11" survitaminé avec 2 To de stockage et l’option verre nano-texturé pour seulement 1 580,98 €. Cette remise de 38 % est proposée sur Amazon France et permet d’économiser 978 € sur le tarif de l’Apple Store. Ne traînez pas si vous êtes intéressé, la plateforme indiquant qu’il ne reste plus qu’un seul modèle en stock.
Image iGeneration
L’iPad Pro M4 a inauguré un nouvel écran OLED en plus d’un design plus fin de seulement 5,3 mm d’épaisseur. Sa puce M4 offre des performances de pointe qui vous permettront de jouer ou de vous en servir comme alternative au Mac dans d’excellentes conditions. Son intérêt sera décuplé en septembre avec la sortie d’iPadOS 26, qui apporte un nouveau système de fenêtre plus proche du Mac.
L’option verre nano-texturé donne une meilleure lisibilité en réduisant les reflets. C’est un bonus appréciable à ce prix, par exemple si vous travaillez dans un environnement avec des néons ou à proximité d’une fenêtre. On notera également une promo sur l’Apple Pencil Pro chez Amazon qui pourra intéresser les créatifs. Le Magic Keyboard est de son côté facturé 349 €.
Pour la Fête Nationale, pCloud lance une opération inédite : du stockage cloud à vie et un gestionnaire de mots de passe inclus, à un tarif très bas. Une bonne fois pour toutes.
Entre un barbecue entre amis et les feux d’artifice, une autre liberté mérite d’être célébrée : celle de ne plus dépendre des abonnements mensuels pour protéger ses données. Le service suisse pCloud frappe fort avec une promotion limitée du 2 au 15 juillet 2025, proposant ses plans à vie avec pCloud Pass Premium offert. Une initiative qui sent bon l’indépendance — et les économies.
Promo pCloud Fête Nationale : les détails d’une offre qui change la donne
Ce n’est pas tous les jours qu’un acteur cloud propose un stockage à vie. Et encore moins avec un gestionnaire de mots de passe offert. Voici ce que propose pCloud jusqu’au 15 juillet :
Tous ces plans sont proposés en paiement unique. Pas d’engagement, pas de frais cachés. Vous achetez, vous gardez, point barre.
Un cloud qui se tient droit dans ses bottes
pCloud, c’est le sérieux suisse allié à la souplesse numérique. Là où d’autres multiplient les offres obscures, les limites mensuelles et les hausses tarifaires surprises, le service basé à Lausanne joue carte sur table : vous payez une seule fois pour un espace qui vous appartient, à vie.
Et vos fichiers ne sont pas envoyés n’importe où : ils sont stockés dans l’Union européenne, dans des data centers au Luxembourg. De quoi concilier performance, souveraineté numérique et confidentialité, avec le respect strict du RGPD à la clé.
Un outil taillé pour les familles, les pros… et ceux qui veulent dormir tranquille
Au-delà de la sécurité, pCloud se distingue par sa polyvalence. Que vous soyez photographe, parent soucieux de sauvegarder les archives familiales, ou freelance en quête d’un espace fiable pour vos livrables, pCloud s’adapte.
Sauvegarde automatique de vos dossiers importants (y compris ceux de votre ordinateur)
Accès à distance depuis tous vos appareils (ordinateur, téléphone, tablette)
Streaming de vidéos et de musiques directement depuis l’espace de stockage
Interface claire, application sobre, synchronisation rapide : rien de superflu
Et pour les utilisateurs avancés, une fonction de chiffrement côté client est disponible (en option payante). Elle permet que même pCloud ne puisse accéder au contenu.
Le gestionnaire de mots de passe pCloud Pass : votre cerveau de secours
Plus besoin de jongler entre une feuille Excel, le trousseau du téléphone et les onglets de navigateur ouverts à la va-vite. Avec pCloud Pass Premium, vous centralisez tous vos mots de passe, notes sécurisées, cartes bancaires et identifiants en un seul lieu, accessible uniquement via votre mot de passe maître.
Tout est chiffré de bout en bout. Le remplissage automatique fonctionne sur tous les navigateurs majeurs, et la synchronisation se fait sur l’ensemble de vos appareils.
Le plus ? L’outil propose aussi un générateur de mots de passe robustes et uniques. De quoi abandonner vos vieux “Motdepasse123” sans crainte d’oublier vos nouveaux sésames.
Pourquoi cette offre a du sens en 2025
Nous sommes cernés : notifications de piratage, fuites massives de données, fermetures de services, abonnements à rallonge… Le modèle pCloud tranche avec cet environnement anxiogène. Il propose une réponse claire, durable, souveraine : vous gardez le contrôle.
L'idée d’un cloud personnel, chiffré, basé en Europe, sans abonnement et sans espionnage, ça devient rare. Encore plus à ce prix-là.
Ajoutez à cela un gestionnaire de mots de passe robuste, inclus sans surcoût, et vous obtenez un vrai kit de survie numérique. Le tout, en une seule fois. Pas besoin d’attendre le Black Friday.
Mais attention : cette promotion n’est valable que jusqu’au 15 juillet 2025.
Apple doit s'acquitter de 110,7 millions de dollars (93 millions d'euros) de dommages et intérêts auprès d'un détenteur de brevets espagnol. TOT Power Control avait porté plainte en 2021 en affirmant que son invention était utilisée sans licence dans les transceivers (émetteur-récepteur) des appareils compatibles 3G d'Apple.
Image Apple.
Alvaro Lopez-Medrano, ingénieur et patron de cette société qui n'a d'autre activité que la défense de cette propriété intellectuelle, a mis au point un moyen de réguler la puissance utilisée en fonction des aléas du signal radio, résume Reuters.
Pour Apple, ces brevets n'ont pas de validité, mais le tribunal de l'État du Delaware en a décidé autrement, considérant qu'un des deux brevets revendiqués par le plaignant avait bien été enfreint. Apple a déclaré vouloir faire appel. LG et Samsung font face aux mêmes accusations et leurs procès sont toujours en cours.
Pour les amateurs du plus compact des iPad, CDiscount poursuit ses bonnes promos sur l'iPad mini A17 Pro. Le modèle Wi-Fi de 256 Go est vendu 599 € sur deux coloris au lieu de 739 € (-140 €). Pour qui a vraiment besoin de stockage, la déclinaison de 512 Go est à 699 € au lieu de 989 € (-290 €) sur le coloris bleu.
iPad mini 7. Image iGeneration.
Si on préfère la variante cellulaire pour ne pas dépendre du partage de connexion de l'iPhone, il y a la version 128 Go en mauve à 599 € au lieu de 779 € (-180 €) et la 256 Go en bleu que le vendeur met à 699 € au lieu de 909 € (-210 €).
iPad mini 7. Image iGeneration.
L'iPad mini 7 (ou A17 Pro du nom de son processeur) est sorti à l'autonome dernier. Il a conservé son format compact qui facilite son transport en toute occasion, il est monté en puissance avec le processeur repris des iPhone 15 Pro qui lui ouvre les fonctions d'Apple Intelligence, il a modernisé sa partie Wi-Fi et Bluetooth, il est compatible avec l'Apple Pencil Pro et il a gommé un effet disgracieux du précédent modèle avec le rafraîchissement de l'écran lorsqu'on faisait défiler des pages. Ses prix de base sont plutôt élevés, mais ces promos atténuent fortement ce défaut.
Apple distribue une mise jour pour XProtect, son système de détection et suppression de malware. C'est une opération de routine qui est effectuée automatiquement lorsque de nouvelles signatures de malwares sont repérées.
XProtect vérifie quotidiennement la disponibilité de ce type d'informations et, lorsque c'est le cas, il télécharge et installe automatiquement ces nouvelles références qui lui permettront le cas échéant de supprimer un malware qui aura trouvé son chemin sur votre Mac (détails du fonctionnement). La version la plus à jour d'XProtect est numérotée 5303, elle se destine à tous les macOS et couvre des variantes de malwares baptisés MACOS_SOMA_JUEN et MACOS_SOMA_LLJU.
Il y a plusieurs moyens de vérifier le numéro de version d'XProtect. Par le Terminal en tapant sudo xprotect check puis en saisissant son mot de passe de session. Ou en lançant l'utilitaire Informations système de son Mac, rubrique Logiciels puis Installation et en faisant défiler la liste tout en bas.
macOS 26 ne voit pour le moment que la précédente version 5302. Image MacGeneration.
Pour forcer la récupération d'une mise à jour, retour dans le Terminal en tapant sudo xprotect update et à nouveau son mot de passe de session. Il est possible cependant que cette version 5303 ne soit pas encore prête à la distribution sur iCloud. Dans ce cas, il suffit d'attendre un jour ou deux, l'installation se sera peut-être faite entre temps. Vérifiez tout de même que vous avez laissé active la récupération des mises à jour de sécurité.