On peut toujours escompter l’arrivée de tout nouveaux MacBook Pro à écran OLED l’année prochaine. C’est ce qui ressort d’une enquête de The Elec sur la chaine de production d’Apple. D’après le média coréen, Samsung Display a commencé à produire des échantillons d’écrans OLED destinés à de futurs MacBook Pro. Ce n’est pas la génération M5 a priori prévue cette année qui devrait en bénéficier, mais la suivante en 2026.
MacBook Pro 14" M3. Image MacGeneration.
Samsung Display serait capable de fournir chaque année 10 millions de ces dalles OLED de huitième génération de 14,3". Comme les projections de vente des MacBook Pro OLED ne dépassent pas les 5 millions d’unités et que les MacBook Air OLED seraient repoussés de plusieurs années, le fournisseur serait en train de chercher des clients supplémentaires.
Le cabinet d'études Omdia et Mark Gurman tablent eux aussi sur l’intégration de dalles OLED dans les MacBook Pro en 2026, en lieu et place des écrans mini-LED actuels. Ces machines pourraient en fait être revues de fond en comble avec le remplacement de l’encoche par un trou plus discret et une épaisseur générale inférieure.
La frénésie autour des IA génératives s’empare des opérateurs. Alors que Free Mobile offre depuis peu un abonnement d’un an au Chat Pro de Mistral, Bouygues Telecom réplique en annonçant un partenariat avec Perplexity, un service américain qui combine un robot conversationnel à un moteur de recherche en ligne.
Perplexity. Image MacGeneration.
Tous les clients de Bouygues Telecom, box comme mobile, peuvent bénéficier gratuitement d’un abonnement d’un an à Perplexity Pro. Cette offre normalement facturée 22 €/mois rehausse des limites et débloque des fonctionnalités avancées, comme l’accès aux derniers modèles de langage en date (Deepseek R1, OpenAI o3-mini…), l’envoi de fichiers en illimité et des options de personnalisation étendues.
Pour profiter de ce bonus, il faut se rendre dans son espace client Bouygues Telecom, cliquer sur la bannière Perplexity (attention, elle ne s’affiche pas si vous avez refusé les cookies) puis créer un compte sur le site de Perplexity. L’offre est valable jusqu’au 11 février 2026 pour toute nouvelle souscription au service Perplexity Pro.
Image Bouygues Telecom
Au bout d’un an, contrairement à ce qui se fait généralement pour ce type d’offre spéciale, les clients ne sont pas facturés pour l’utilisation de Perplexity Pro, ils basculent automatiquement sur la version gratuite du service. Bouygues Telecom donne des détails sur son site.
SFR et Orange vont-ils suivre le mouvement ? L’opérateur historique vient d’annoncer la signature d’un partenariat stratégique avec Mistral AI. Il est question de projets de recherche, d’optimisation des réseaux grâce aux technos de Mistral, ainsi que d’intégration du Chat Pro et de Codestral dans les offres de services d'Orange, mais pas, pour l’instant, de cadeau temporaire pour les clients.
Qiara, le « Free de la télésurveillance », revoit ses offres. L’entreprise proposait jusqu’à présent d’acheter un onéreux pack de matériel avant d’opter pour l’un de ses 3 abonnements différents. Elle en a récemment lancé un plus accessible : Qiara Protect, facturée 19,99 € par mois. Cet abonnement tout-en-un inclut la location du matériel et la totalité des services, comme la télésurveillance 24/7. Il est sans engagement.
Le pack essentiel de Qiara qui comprend cinq produits. Image MacGeneration.
Le pack loué comporte une caméra Full HD avec un cache pour la confidentialité, un détecteur de mouvement, un détecteur d’ouverture, un clavier d’activation et une sirène 105 dB. Une plaque et un sticker dissuasifs sont proposés en option. Côté services, on retrouve également l’accès au flux vidéo en direct, la connexion de secours en cas de coupure d’électricité/d’internet ainsi qu’un enregistrement des vidéos avec détection par IA.
Xavier Niel ayant investi dans Qiara, la marque est proche de Free : les abonnés Freebox peuvent profiter du premier mois offert. L’opérateur a en revanche fait disparaître sa ristourne de 20 % sur l’achat d’un pack de démarrage. Plusieurs lots du genre restent vendus sur le site de Qiara à des tarifs allant de 179 € à 516 € pour les très grandes maisons. On pourra le compléter par un abonnement oscillant entre 10 € et 20 € par mois.
Porter son Apple Watch au poignet, c’est dépassé. C’est tout du moins ce qu’ont expliqué plusieurs personnes au New York Times, dont une coach sportive de 23 ans qui a pris l’habitude d’attacher sa montre… à sa cheville. Elle explique que son application de suivi de fitness avait tendance à se fermer pendant ses entraînements en raison de ses petits poignets. Un problème qu’elle n’a plus avec cette nouvelle méthode.
L’idée est saugrenue et sans doute inutile pour enregistrer des données fiables : on peut voir sur ses vidéos que la montre n’est pas particulièrement serrée et qu’elle se trouve par-dessus une paire de chaussettes. La démarche en a pourtant séduit plus d’un : le New York Times cite par exemple certains professionnels de santé ne pouvant rien porter à leurs poignets, ou d’autres ayant des problèmes de peau rendant le port de la montre inconfortable. Certains sportifs peuvent vouloir garder leurs poignets libres pour des raisons pratiques, comme les boxeurs ou les haltérophiles.
Les utilisateurs tatoués se plaignent depuis longtemps de dysfonctionnements de leurs montres. Cela vient du fait que les capteurs de l’Apple Watch envoient de la lumière à travers la peau pour mesurer la fréquence cardiaque : les données sont faussées si un tatouage en absorbe une partie. Le problème a été reconnu officiellement par Apple en 2015. Si cela peut être une option, rappelons que des brassards pour Apple Watch existent depuis de nombreuses années. Ils ont l’avantage d’être plus discrets tout en évoquant moins le bracelet électronique.
Plusieurs autres témoignages sont cités dans l’article. Une jeune maman a par exemple remarqué que sa montre n’enregistrait pas correctement ses pas quotidiens lorsqu’elle se promène avec une poussette, faute de mouvement de balancier au niveau du bras. Une autre a fait de même en réalisant que la montre oubliait d’enregistrer les pas effectués sur son tapis de marche placé sous son bureau assis-debout. Les mains restant à tapoter sur un clavier, la montre ne capte pas de mouvements.
Dans sa documentation, Apple insiste sur le fait que sa montre a été conçue pour être portée au poignet. L’Apple Watch utilise des voyants LED verts pour détecter la quantité de sang qui circule dans cette zone précise : ce n’est évidemment pas la même chose à la cheville, où la peau est plus épaisse. De plus, les algorithmes ont été pensés pour suivre les mouvements du bras, et non des jambes.
La Touch Bar n’est pas morte ! Si Apple a retiré la bande tactile de tous ses Mac et ne la fait plus évoluer de manière logicielle depuis des années, des développeurs s’y intéressent encore. Des passionnés s’efforcent en effet d’intégrer la Touch Bar au sein de distributions GNU/Linux.
La Touch Bar sous macOS. Image MacGeneration.
Après un début de prise en charge l’année dernière, des améliorations vont bientôt être intégrées au noyau 6.15 de Linux. Un pilote va permettre de régler la luminosité de l’écran tactile et un autre de s’en servir comme un clavier HID, une norme USB pour les périphériques d’entrée. Concrètement, on pourra basculer entre les touches multimédias et les touches de fonction en appuyant sur le bouton Fn.
Ces améliorations seront uniquement disponibles sur les MacBook Pro équipés d’une puce T2, au moins au départ. Elles devraient être incorporées au noyau de Linux en mars.
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Sortis hier soir, iOS 18.3.1 et macOS 15.3.1 n’ont pas fait que corriger des failles de sécurité. Ces mises à jour ont également réactivé par défaut Apple Intelligence chez des utilisateurs qui n’en voulaient pas.
Le panneau de présentation d’Apple Intelligence réapparu chez certains après l’installation de macOS 15.3.1. Image Jeff Johnson.
Pour rappel, macOS 15.3 et iOS 18.3 ont activé par défaut Apple Intelligence sur les appareils compatibles (et dans les pays compatibles). Pas intéressés par ces nouvelles fonctionnalités, des utilisateurs ont rapidement désactivé le cerveau artificiel dans les réglages de leurs appareils.
Mais les dernières mises à jour n’ont pas respecté ce choix pour tout le monde. Alors que le développeur Jeff Johnson avait désactivé Apple Intelligence sur ses deux Mac sous macOS 15.3, les fonctions d’IA ont été réactivées sur l’un d’eux après l’installation de macOS 15.3.1.
Des utilisateurs d’iPhone ayant désactivé Apple Intelligence ont également vu le cerveau artificiel se remettre en marche après l’installation d’iOS 18.3.1. Toutes ces réactivations forcées ont été précédées par un panneau de présentation d’Apple Intelligence au redémarrage.
Le phénomène n’étant pas généralisé — Apple Intelligence est resté désactivé chez d’autres —, il semble plutôt s’agir d’un bug que d’une méthode pour forcer coûte que coûte l’utilisation des nouvelles fonctions. On verra bientôt ce qu’il en est avec iOS 18.4, la version qui devrait apporter Apple Intelligence sur iOS et iPadOS dans l’Union européenne.
Elon Musk aimerait bien racheter OpenAI. Le milliardaire, soutenu par plusieurs investisseurs comme Valor Equity Partners ou le magnat d’Hollywood Ari Emmanuel, a mis sur la table une offre de 97,4 milliards de dollars pour racheter la branche à but non lucratif d'OpenAI. Sam Altman a refusé la proposition dans un post sur X, annonçant qu’il était cependant prêt à racheter Twitter pour 9,74 milliards.
La proposition est faite alors qu’OpenAI cherche à devenir une entreprise à but lucratif, une idée qui déplaît fortement à Elon Musk. Le milliardaire fait partie des fondateurs d’OpenAI, qu’il a quittée en 2019 pour éviter les conflits d'intérêts avec Tesla. OpenAI est un des acteurs les plus avancés dans le domaine des IA génératives, loin devant les projets de Musk, arrivé tardivement sur le créneau.
« Il est temps pour OpenAI de redevenir l’entreprise open source et axée sur la sécurité qu’elle était autrefois », a déclaré Elon Musk via un communiqué fourni par son avocat au Wall Street Journal. « Nous veillerons à ce que cela se produise ». Face au refus de Sam Altman, Elon Musk l’a qualifié « d’escroc » dans un post sur X.
La transition d’OpenAI vers un modèle lucratif n’est pas chose aisée. Elon Musk reproche notamment le fait que Sam Altman ait pu profiter d’un statut l’exonérant d’impôt avant de transformer sa structure en acteur puissant « paralysant le marché ». Une plainte avait été déposée, soutenue par Meta : l’entreprise de Mark Zuckerberg estime qu’une telle manœuvre pourrait créer « un précédent dangereux » en laissant les start-up profiter de ce statut jusqu’à atteindre la rentabilité.
OpenAI va peiner à se sortir de cette situation tant Musk semble bien décidé à obtenir une large part de sa future entreprise privée. Les équipes du milliardaire ont déjà promis d'égaler ou de dépasser toute offre supérieure, alors que Sam Altman est en discussion avec Microsoft et d’autres acteurs. OpenAI a promis d’achever sa transformation avant la fin 2026.
Revolut connait un succès grandissant auprès des jeunes avec son offre Revolut<18. La néobanque dispose de plus de 5 millions d’utilisateurs âgés de 6 à 17 ans. L’offre est à vrai dire très pratique, notamment parce qu’elle n’engage pas de surcoûts aux parents. Enfin pour être exact, tout dépend du nombre d’enfants que vous avez.
Si vous disposez de l’offre standard qui est gratuite, vous pouvez offrir 1 compte Revolut<18 à l’un de vos enfants. Pour avoir deux comptes, il faut disposer au minimum de l’offre Plus (3,99 € par mois). Enfin, pour avoir cinq comptes, il faut disposer de l’offre Metal (16,99 € par mois).
Jusqu’à présent, les clients Revolut<18 avaient notamment à leur disposition une carte de paiement personnalisable et des coffres dans lesquels ils pouvaient mettre des sous de côté.
La néobanque offre depuis quelques jours à ses jeunes utilisateurs la possibilité d’épargner dans un livre d’épargne. Précisons qu’il ne s’agit pas d’un livret A. Ce livret présente deux spécificités. Les intérêts sont crédités quotidiennement, ce qui rend la chose plus concrète que lorsque les intérêts sont crédités mensuellement ou annuellement.
Enfin, et c’est là où c’est diabolique de la part de la néobanque, le taux d’intérêt varie en fonction de votre forfait : standard (1%), Plus (1%), Premium (1,5%), Metal (2,5%) et Ultra (2,75%). Notez que Revolut<18 prend en charge Apple Pay, à condition que son utilisateur ait au moins 15 ans. L’âge varie en fonction des législations dans les différents pays.
Le Mac mini M4 étant relativement récent, les promotions sont encore assez rares. Si vous cherchez à acquérir le petit ordinateur d’Apple, alors cette promotion parue sur Amazon Allemagne pourrait vous intéresser.
Le modèle entrée de gamme, est actuellement proposé à 629 €, soit une remise de 70 € sur son prix habituel. Comptez toutefois 10 euros de plus pour prendre en compte les frais de port et le point de TVA supplémentaire en vigueur en Allemagne. Cette configuration embarque une puce M4, 16 Go de RAM et 256 Go de SSD.
Mais la ristourne la plus intéressante concerne le modèle équipé du M4 Pro. Il est proposé 1459 € au lieu de 1649 €. Même si les frais de port sont d’environ 15/20 euros, cela reste intéressant pour un ordinateur qui est très complet. Outre le système sur puce M4 Pro, cette machine embarque 24 Go de RAM et 512 Go de SSD.
Si vous voulez l’équiper d’un moniteur Apple, sachez que l’Apple Studio Display fait aussi l’objet d’une réduction de 9 % sur Amazon Allemagne. Il est proposé au prix de 1589 € au lieu de 1749 €. Comptez entre 18 et 24 € pour les frais de port.
Dernière chose, si vous n’êtes pas germanophile, le site d’Amazon.de peut être consulté en anglais.
SuperLink est le nom du dernier produit d’Ubiquiti, ou plutôt de la gamme de produits. Le spécialiste des produits réseau change un petit peu de domaine et s’intéresse cette fois à la domotique, avec un nouveau protocole qui reprend les promesses du Zigbee ou de Thread, avec toutefois des caractéristiques améliorées sur le papier. Du Bluetooth Low Energy (BLE) est prévu pour les connexions proches, associé au SuperLink, un protocole propriétaire qui promet plusieurs années de batterie et surtout plusieurs kilomètres de portée en visée directe.
Comme il est propriétaire, on n’a pas toutes les informations sur ce nouveau protocole imaginé par Ubiquiti. Une chose est sûre, il ne s’agit pas d’un standard existant, sachant que ce ne sont pas les options qui manquent. Même si le Zigbee, comme Thread dont il est dérivé, se limite par défaut à quelques centaines de mètres de portée, la même technologie pourrait être amplifiée avec des antennes plus puissantes pour couvrir davantage d’espace. Autre candidat, le LoRaWan forme un réseau de plusieurs kilomètres, jusqu’à 15 km hors des zones urbaines.
Le créateur de la gamme UniFi a préféré opter pour son propre protocole et il faudra attendre les détails pour juger si c’était une bonne idée. Quoi qu’il en soit, la firme américaine a prévu toute une gamme domotique qui pourra servir dans les (grandes) maisons et surtout dans les entreprises. Capteur d’ouverture, détecteur de mouvements, détecteur de fumée, appareil de suivi de la qualité de l’air, thermomètre et hygromètre… tous ces produits trouveront place dans l’app UniFi Protect, où ils pourront être contrôlés et automatisés avec l’interface et les outils habituels de la marque.
Une partie de la future gamme de produits SuperLink. Capture vidéo YouTube.
Pour commencer, Ubiquiti commercialise deux produits dans cette nouvelle gamme, à commencer par le SuperLink lui-même, le routeur de bordure ou coordinateur de cet univers vendu 150 €. Relié en Ethernet à l’écosystème UniFi et alimenté en PoE par ce biais (USB-C en option), ce petit carré d’aluminium (8,2 cm de côté) est équipé d’une longue antenne et se charge d’émettre le nouveau protocole avec une portée qui peut atteindre 2 km. Il peut gérer jusqu’à 96 périphériques SuperLink et il intègre aussi du Bluetooth, indispensable pour la connexion initiale et utile pour d’autres accessoires de l’entreprise qui se contentent de ce standard.
C’est ainsi le cas du All-In-One Sensor, un capteur vendu 66 € qui intègre plusieurs fonctionnalités (capteurs de température, humidité et luminosité, détecteur de mouvements ou encore microphone pour repérer des alarmes) et qui était déjà commercialisé depuis quelques mois. Il se contente du Bluetooth et son autonomie d’un an fournie par une pile CR123A n’impressionne pas, mais il faudra attendre les premiers produits réellement SuperLink pour savoir si Ubiquiti a une chance dans le monde de la domotique, du moins pour le grand public.
Comme souvent avec le constructeur, n’espérez pas une passerelle vers d’autres écosystèmes, ce qu’une compatibilité avec le standard logiciel Matter aurait pu apporter. Il y aura peut-être des ponts bricolés avec Homebridge ou encore Home Assistant, l’objectif d’Ubiquiti est toutefois d’offrir une solution parfaitement intégrée à son propre environnement.
OpenAI est visiblement bien décidé à produire ses propres puces. Selon les informations de Reuters, l’entreprise devrait avoir finalisé le design de son premier essai dans les prochains mois. Les plans seraient ensuite envoyés à TSMC, en charge de la production. L’objectif affiché est d’avoir une production de masse d’ici 2026.
Image OpenAI / MacGeneration
Ce premier modèle serait gravé à 3 nm et devrait disposer de « capacités de mise en réseau étendues » en plus d’une mémoire à large bande passante. OpenAI ne semble pas vouloir trop se presser : cette puce serait déployée « à une échelle limitée » et aura un rôle moindre dans l'infrastructure de l'entreprise. Elle servira dans un premier temps à faire tourner des modèles d'IA, bien qu’elle puisse également être utilisée pour en former de nouveaux par la suite.
Le projet est mené par Richard Ho, un ancien ingénieur de Google spécialisé dans les processeurs dédiés au machine learning. Son équipe serait passée de 20 à 40 personnes sur ces derniers mois. OpenAI travaillerait en partenariat avec Broadcom sur ce projet. Exactement comme Apple, qui plancherait sur une puce spécialisée dans l'IA pour ses serveurs.
OpenAI pourra ainsi se distancer un peu de NVIDIA, qui règne en maître sur le secteur des puces spécialisées sur l’IA depuis des années. Les ingénieurs de l’entreprise auraient déjà dans l’idée de développer de futures versions de plus en plus avancées. Reste à voir si le plan se déroulera sans accroc étant donné qu’il s’agit d’un premier jet dans un domaine particulièrement complexe.
D’autres mastodontes comme Meta ou Microsoft se sont essayés à la fabrication de puces, mais ont opté pour des projets moins ambitieux. OpenAI devrait embaucher des centaines d'ingénieurs pour espérer mettre en place un programme aussi complet que celui de Google ou d'Amazon. La sortie des modèles du chinois Deepseek a récemment rebattu les cartes, montrant qu’un mode de développement moins axé sur la puissance brute était possible.
En plus du Mac, de l’iPhone et de l’iPad, Apple n’a pas oublié le Vision Pro et l’Apple Watch ! La montre a gagné ce soir une version 11.3.1, tandis que le casque est de son côté passé en 2.3.1. Rien de bien neuf à se mettre sous la dent, ces mises à jour apportant surtout des correctifs de sécurité. Nous allons installer tout cela et voir si elles cachent du neuf.
Pas de première bêta d’iOS 18.4 ce soir : Apple vient de publier iOS 18.3.1, une nouvelle version disponible pour tout le monde. On nous promet « des correctifs importants et des améliorations liées à la sécurité », sans plus de détails. Nous allons installer tout ça et vous tiendrons au courant si elle cache quelque chose d’intéressant. La déclinaison iPadOS est également en ligne, mais rien pour tvOS.
Mise à jour à 19:50 : Les notes de sécurité donnent quelques détails sur le contenu de cette mise à jour. Elle bouche une faille via laquelle une personne peut outrepasser la protection apparue sous iOS 11.4.1 désactivant les connexions USB de l’iPhone tant qu’il est verrouillé. Apple indique que cette faille a été exploitée « dans le cadre d'une attaque extrêmement sophistiquée » contre des personnes ciblées, et qu’il faut avoir un accès physique à l’iPhone. Notons qu’Apple a également mis en ligne iOS 17.7.5 pour les appareils plus anciens, qui corrige la même faille.
Apple vient de publier une petite mise à jour pour le Mac : macOS 15.3.1. Celle-ci n’apporte pas de grosses nouveautés et se concentre plutôt sur la correction de bugs et d’autres petites améliorations ici ou là. Nous allons télécharger tout cela et vous tiendrons au courant s’il y a du neuf.
Un bug en chasse un autre. Si macOS 15.3 a résolu plusieurs soucis qui affectaient les utilisateurs de Little Snitch et d’autres applications, la mise à jour a introduit de nouveaux problèmes, se désole l’éditeur Objective Development dans un billet de blog.
Du côté des bugs résolus, il y a notamment AirPlay qui fonctionne de nouveau correctement quand le pare-feu intégré à macOS est activé. C’est macOS 15.2 qui avait semé la pagaille dans ce domaine. Les nouveaux dysfonctionnements apparus dans macOS 15.3 concernent les extensions du système. Ces extensions sont utilisées par certaines applications pour s’intégrer profondément à macOS, à l’image de celle exploitée par Little Snitch servant à contrôler les connexions réseau.
Normalement, quand on désinstalle une application qui possède une extension, cette dernière est supprimée automatiquement. Eh bien ce n’est plus le cas sur macOS 15.3. Lorsque l’on déplace une application dans la corbeille, le système d’exploitation indique bien que son extension va être supprimée dans la foulée, mais la suppression n’a pas lieu en réalité. L’extension continue de tourner en tâche de fond, ce qui peut entraîner des situations incompréhensibles, comme des connexions qui restent bloquées alors que l’on croit s’être débarrassé totalement de Little Snitch.
Les étapes pour supprimer une app et son extension. Image Objective Development.
D’après Objective Development, ce bug affecte son pare-feu, mais aussi toutes les autres applications accompagnées d’une extension du système, comme les VPN, les pilotes pour des périphériques ou encore les logiciels de sécurité.
Ce n’est pas tout. Quand on essaye de désinstaller une application qui comprend une extension et qui est protégée contre les suppressions non autorisées (comme Little Snitch), macOS 15.3 ne présente plus la boîte de dialogue pour saisir son mot de passe administrateur et ainsi autoriser l’opération. À la place, le système affiche le très vague message d’erreur ci-dessous.
Le message d’erreur quand on veut désinstaller une app protégée contre les suppressions non autorisées. Image Objective Development.
En attendant qu’Apple corrige ce bug, la méthode pour désinstaller ce type d’application consiste à supprimer manuellement l’extension de l’app dans Réglages Système > Général > Ouverture et extensions > [Catégorie de l’app en question].
La réduction n’est pas énorme, mais l’AirPods Max USB-C est récent et il n’est pas dit que l’on trouve beaucoup mieux dans les mois à venir. Si la première génération avait vu son prix descendre jusqu’à 399 € à une époque, les promotions de ce genre ont ensuite disparu.
L’AirPods Max est un casque très contrariant : il est remarquable par certains aspects (qualité sonore, compatibilité Dolby Atmos, intégration à l’écosystème Apple…), et désagréable par d’autres (bruit de fond, usure, connectivité…). Il faut l’acheter en connaissance de cause.
Nouvel arrivage chez BundleHunt, le site qui casse les prix des applications Mac. Parmi les quarante logiciels sur l’étalage, il y a quelques noms bien connus. Le très bon BusyCal est vendu 6,99 $ HT au lieu de 49,99 $. Par rapport au Calendrier d’Apple, BusyCal a l’avantage d’être plus personnalisable, d’afficher la météo et de s’intégrer à la barre des menus.
BusyCal
BusyContacts est lui aussi à 6,99 $ au lieu de 49,99 $. C’est le pendant de BusyCal pour le carnet d’adresses. Il est plus poussé que l’application Contacts d’Apple. On peut organiser son répertoire avec des tags et afficher les activités (emails, événements…) de ses contacts, entre autres choses.
Parmi les autres promotions de BundleHunt qui valent le coup, on remarque Commander One Pro à 6 $ au lieu de 29,99 $. Ce gestionnaire de fichiers remplace avantageusement le Finder pour ceux qui cherchent des fonctionnalités avancées, comme une interface à double volet.
On peut citer aussi le petit utilitaire Batteries à 2 $ HT pour garder un œil sur la batterie de tous ses appareils ainsi que DisplayBuddy à 5 $ pour contrôler plus finement son écran externe. Pour les commandes faisant 30 $ ou plus, BundleHunt fait une remise supplémentaire de 3 $.
Apple n’en a peut-être pas terminé avec les concessions autour d’Apple Pay en Europe. Après avoir été forcée par la Commission européenne d’ouvrir la puce NFC de l’iPhone, la Pomme pourrait faire face à de nouvelles obligations dans les prochaines années.
Image Stripe
D’après Les Échos, la France et quelques autres pays poussent pour que les portefeuilles électroniques soient mieux encadrés. Actuellement, Apple Pay, Google Pay, Samsung Pay et les autres sont régulés comme de simples prestataires techniques. Le cadre de surveillance PISA n’a pas d’exigences réglementaires très strictes et n’impose pas de sanctions.
Or, dans un rapport publié fin 2024, la Banque de France notait que « le développement de certains acteurs sur les paiements par téléphone mobile (« digital wallet », tels qu'Apple Pay, Amazon Pay ou Google Pay) soulève […] des enjeux spécifiques en matière de risque opérationnel et de prévention de la fraude ou de lutte antiblanchiment. »
Les autorités françaises profitent des négociations en cours autour de nouveaux textes législatifs (DPS3 et PSR) pour proposer la création d’une catégorie spéciale de contrôle sur les portefeuilles électroniques.
Toujours d’après Les Échos, cet encadrement plus strict aurait au moins deux objectifs. D’une part, il devrait servir à garantir la sécurité de l’accès à ces services, alors qu’ils sont utilisés quotidiennement par des millions d’Européens pour faire des achats. D’autre part, il pourrait forcer les acteurs à faire preuve de transparence. Apple pourrait par exemple être contrainte de révéler les conditions qu’elle impose aux banques voulant faire partie d’Apple Pay, notamment la commission prise sur chaque transaction.
OnlyOffice gagne une amélioration intéressante, mais imparfaite, pour les utilisateurs de produits Apple qui naviguent entre plusieurs plateformes. Dans sa version 8.3, la suite bureautique open source peut ouvrir les fichiers Pages, Keynote et Numbers.
Cette nouveauté pourra dépanner pour ouvrir des documents iWork sur Windows ou Linux, mais il ne faudra pas trop lui en demander. D’après nos essais (sur Mac), l’interopérabilité est très rudimentaire. Dans un cas, OnlyOffice 8.3 a oublié une image présente dans un document .pages, quand LibreOffice a bien affiché celle-ci.
De gauche à droite : le document Pages original, OnlyOffice et LibreOffice.
Autre exemple : avec une présentation .key, OnlyOffice a omis un titre, mais LibreOffice n’a pas fait mieux sur ce point.
De haut en bas : le document Keynote original, OnlyOffice et LibreOffice.
En cas de modification, les fichiers iWork ne peuvent pas être enregistrés dans leur format d’origine, il faut en choisir un autre parmi tous ceux gérés par la suite (.docx, .pptx…).
La mise à jour apporte d’autres progrès, comme l’ajout de tampons dans l’éditeur de PDF, des nouveautés pour la collaboration et la possibilité de fusionner des formes dans toutes les applications. OnlyOffice Docs 8.3 est dès à présent disponible sur Mac, Linux et Windows. La suite bureautique est gratuite sur les plateformes de bureau ainsi que sur mobile. L’éditeur propose une version web payante.
Rester dans la course face aux États-Unis et à la Chine dans le domaine de l’intelligence artificielle. Tel est l’objectif affiché par Emmanuel Macron pour la France alors que s’ouvre aujourd’hui à Paris le Sommet pour l’action sur l’IA. Lors d'une interview réalisée le 9 février sur France 2, le chef de l’État a annoncé un total de « 109 milliards d’euros d’investissements dans les prochaines années » pour l’Hexagone.
Image francetv/MacGeneration
« C’est l’équivalent pour la France de ce que les États-Unis ont annoncé avec Stargate. C’est le même rapport », a-t-il ajouté, en faisant référence au plan d’investissement de 500 milliards de dollars sur cinq ans récemment annoncé par Donald Trump et abondé par SoftBank, Oracle et OpenAI.
La majorité des 109 milliards d’euros d’investissements privés en France concerneront des constructions de centres de données. Le plus gros projet sera financé par les Émirats arabes unis, qui mettront 30 à 50 milliards d’euros sur la table pour bâtir le plus grand « campus » européen dédié à l’IA. Ce complexe hébergera notamment un data center géant doté d'une capacité de calcul pouvant aller jusqu'à un gigawatt.
Parmi les autres programmes d’envergure, la start-up française Mistral AI va créer son propre centre de données dans l’Essonne afin « d’assurer son indépendance ». Inauguré dans les prochains mois, ce projet représentera plusieurs milliards d’euros d’investissements.
« Les data centers en France, ce n’est pas comme aux États-Unis où on utilise du pétrole et du gaz. Ce sont des data centers propres », a déclaré Emmanuel Macron, vantant la production nucléaire de la France, source de « l’énergie la plus décarbonée d’Europe. »
Si la production d’électricité n’est pas un problème — la France a battu son record d’exports nets en 2024 —, les réseaux de distribution sont, eux, sous tension. RTE, le gestionnaire du réseau public qui doit répondre à toutes les sollicitations, fait face à un embouteillage de demandes. Pour accélérer les opérations, l’exécutif a dressé une liste de 35 sites« prêts à l’emploi » pour l’intelligence artificielle.
Si vous aviez dans l’idée de faire reprendre votre ancien Mac en Apple Store pour en acheter un nouveau, bonne nouvelle : Apple a augmenté ses tarifs de reprise. La différence ne se joue que de quelques dizaines d’euros ici où là, mais mérite d’être notée.
Le tarif augmente de 10 € à 50 € selon les modèles, le MacBook standard étant celui voyant son prix de reprise le plus revu à la hausse. Ce changement restera en place jusqu’au 2 avril 2025 et ne fonctionne que pour acheter « un nouvel appareil Apple éligible ». Voici un tableau résumant les évolutions :
Valeurs de reprise au 10 février
Anciennes valeurs de reprise du Mac
MacBook Pro
Jusqu’à 895 €
Jusqu’à 885 €
MacBook Air
Jusqu’à 400 €
Jusqu’à 390 €
MacBook
Jusqu’à 135 €
Jusqu’à 85 €
iMac
Jusqu’à 330 €
Jusqu’à 320 €
iMac Pro
Jusqu’à 595 €
Jusqu’à 545 €
Mac mini
Jusqu’à 295 €
Jusqu’à 285 €
Mac Studio
Jusqu’à 1 200 €
Jusqu’à 1 190 €
Mac Pro
Jusqu’à 660 €
Jusqu’à 610 €
La reprise en Apple Store peut être pratique pour les personnes ne voulant pas s’embêter à trouver un acheteur pour leur vieux matériel, d’autant plus que le personnel de l’Apple Store peut se charger du transfert des données sur la nouvelle machine. Vous pouvez évaluer la valeur de votre appareil grâce à un simulateur proposé sur le site d’un partenaire d’Apple.
Après les coques pour iPhone, iPad, Mac, AirPods ou même Apple TV, il fallait bien que quelqu’un lance une protection pour Vision Pro. C’est ce que propose le fabricant Dbrand avec son étonnante coque « Aperture » qui ne manquera pas d’effrayer nos lecteurs trypophobes. Celle-ci a été pensée pour protéger l’écran de verre du casque tout en laissant le champ libre à ses différentes caméras.
Le site ne montre pas ce que cela donne avec les yeux du porteur affichés sur l’écran EyeSight. Image Dbrand
Ce surprenant design est justifié par le fait que Vision Pro est bardé de capteurs, et qu’une alerte apparaît lorsqu’un seul d’entre eux est obstrué. L’accessoire a été dessiné par Kyle Goodrich, ancien designer AR pour Snap dont la signature se trouve gravée sur chaque exemplaire. La construction est faite « à partir d'une injection unique de polyuréthane à haute teneur en eau » pour une coque protégeant le Vision Pro sans pour autant le rendre beaucoup plus épais. L’avantage est qu’il n’y a pas besoin d’enlever ou de remettre cette protection à chaque utilisation. Le poids n’est pas indiqué, mais on peut espérer qu'elle reste légère tant le casque a déjà tendance à tirer sur le visage.
Image Dbrand
La batterie n’est pas épargnée et dispose elle aussi d’une coque pleine de petits trous en plus d’embarquer une pince permettant de l’accrocher à sa poche. Deux couleurs sont proposées sur le site de Dbrand, à savoir noir ou orange. La protection pour casque est à 49 $ tandis que le pack avec la coque pour batterie est à 69 $. La livraison standard est offerte pour peu que vous ne soyez pas trop pressés (comptez environ deux semaines de transit vers la France).
La sonnette vidéo G4 d’Aqara est de nouveau en promotion sur Amazon. Sa fiche l’annonce à 104 €, mais à condition de cocher le coupon sur la page produit, vous pourrez l’acheter à 93,6 € au lieu de 130. Si ce n’est pas tout à fait son meilleur prix historique, c’est un excellent prix pour cette sonnette vidéo compatible avec la vidéo sécurisée HomeKit et surtout qui peut fonctionner sur piles, ce qui facilite considérablement son installation.
Image iGeneration.
Si vous avez une sonnette alimentée à votre porte, celle d’Aqara peut prendre sa place et recevoir de l’énergie par ce biais. Sinon, six piles AA suffiront pour environ six mois et si j’ai eu des problèmes au départ de ce côté, je peux témoigner que l’autonomie est désormais très correcte à condition de désactiver les fonctionnalités les plus gourmandes. Le produit peut faire office de caméra de surveillance uniquement en étant branché, il fera sinon une sonnette améliorée très efficace.
Outre l’enregistrement vers les serveurs d’Apple avec la vidéo sécurisée HomeKit, Aqara propose son propre stockage dans le cloud et on peut aussi insérer une carte microSD dans le module intérieur pour stocker les images. Avec un NAS, il est même possible d’utiliser ce stockage réseau pour transférer les images. Pour être complet, ajoutons que le fabricant a prévu une nouvelle version, mais elle ne devrait pas sortir avant quelques mois et surtout, elle sera certainement plus chère à sa sortie.
À moins de 100 €, la génération actuelle reste un excellent choix, d’autant plus si vous comptez l’utiliser dans l’app Maison. L’une des nouveautés de la prochaine version, le capteur 2K, ne sera en effet pas pris en charge par la vidéo sécurisée HomeKit.
En cette Saint-Valentin, pCloud met les petits plats dans les grands. Du 6 au 17 février 2025, l'entreprise suisse spécialisée dans le stockage en ligne propose une remise spectaculaire de 50 % sur ses offres à vie. Une occasion rare pour sécuriser ses fichiers tout en réalisant une économie substantielle.
Stocker ses fichiers en toute sécurité, sans se ruiner ni s’inquiéter d’un abonnement mensuel ? C’est ce que propose pCloud, et cette année, la Saint-Valentin est l’occasion pour franchir le pas.
Largement reconnu pour sa fiabilité et sa simplicité, pCloud offre aux particuliers et aux professionnels une solution de stockage ultra-compétitive. Cette année, son offre spéciale Saint-Valentin bouleverse le marché avec des réductions inédites :
Un paiement unique, sans abonnement ni frais cachés, garantissant un accès illimité aux fichiers en toute sérénité.
Pourquoi choisir pCloud ?
Fondé en Suisse, pCloud séduit plus de 20 millions d’utilisateurs à travers le monde. Son infrastructure de pointe repose sur des centres de données sécurisés situés au Luxembourg et aux États-Unis, garantissant rapidité et confidentialité. Une approche qui attire aussi bien les particuliers que les entreprises soucieuses de protéger leurs fichiers sensibles.
Des fonctionnalités puissantes
pCloud ne se limite pas à un simple espace de stockage. Il propose une solution complète et intuitive, adaptée à tous les usages. Sa compatibilité étendue avec Windows, MacOS et Linux facilite son intégration dans les environnements de travail les plus divers. Grâce à son application dédiée, pCloud Drive, l’utilisateur accède aisément à ses fichiers comme s’ils étaient stockés en local.
Les applications mobiles sur Android et iOS permettent quant à elles un téléversement automatique, optimisant l’espace disponible sur les smartphones. L’ensemble du service assure une synchronisation instantanée, garantissant un accès fluide et en temps réel à toutes les données, quel que soit l’appareil utilisé.
Pour sécuriser ses fichiers, pCloud intègre un système de sauvegarde automatique, offrant une protection efficace contre les pertes de données. La plateforme facilite également la collaboration grâce à des options de partage avancées, qu’il s’agisse de liens sécurisés, d’invitations à des dossiers collaboratifs ou de demandes d’archives.
Son lecteur multimédia intégré ajoute une dimension pratique supplémentaire, permettant de lire directement les fichiers audio et vidéo sans nécessiter de téléchargement préalable.
Sécurité et confidentialité
pCloud se distingue par une politique de protection des données stricte. L’utilisateur peut choisir l’emplacement de ses fichiers, entre Europe et États-Unis, selon ses préférences en matière de confidentialité. De plus, l’option pCloud Crypto (en supplément) garantit un chiffrement de bout en bout, offrant une sécurité maximale aux documents sensibles.
Un investissement durable
Dans un secteur dominé par des abonnements mensuels coûteux, pCloud adopte une approche radicalement différente. Son modèle économique repose sur un paiement unique, offrant un accès illimité et sans contraintes aux fichiers stockés. Un choix judicieux pour qui veut s’affranchir des frais récurrents imposés par d’autres services cloud.
Une opportunité à saisir maintenant
Avec cette belle remise, pCloud s’impose comme l’une des solutions les plus compétitives du moment. Que ce soit pour un usage personnel ou pro, c'est une offre alternative attrayante aux géants du cloud, sans engagement, ni dépenses superflues.
IKEA Home smart intègre depuis peu une version watchOS, ce qui rend l’app destinée à la domotique d’IKEA compatible avec l’Apple Watch. La nouveauté a été repérée notamment par NotebookCheck, mais elle n’a pas été annoncée encore par le géant de l’ameublement. Ses notes de version sont totalement inutiles, comme c’est hélas trop souvent le cas de nos jours : « Nous avons éliminé des bogues, corrigé des traductions et affiné le code ici, au siège social de l'appli IKEA Home smart, pour que tout se passe bien. » La fiche App Store ne ment pas toutefois, vous pourrez ajouter l’app à votre poignet si vous le souhaitez.
Les captures d’écran de l’app watchOS fournies par IKEA. Capture App Store.
D’après ce que l’on peut en juger sur les captures d’écran fournies par IKEA, l’app affiche une liste des pièces avec des contrôles rapides, par exemple pour y éteindre toutes les lumières. On aura aussi accès aux scènes et aux appareils individuels, de quoi contrôler la luminosité d’une ampoule connectée, par exemple. Tous ces éléments seront déjà à votre poignet si vous avez configuré la passerelle DIRIGERA dans Maison d’Apple, mais enfin, c’est une manière de plus d’accéder à la domotique IKEA et seulement elle.
watchOS 10.6 est nécessaire au minimum pour installer IKEA Home smart.
C’est les vacances (au moins pour une bonne partie de la France), et pendant que certains sont partis dévaler les pentes enneigées sur des lamelles autrefois en bois, d’autres se réchauffent auprès du clavier d’un MacBook Pro avec un bon vinyle... quelle que soit votre équipe, bienvenue dans la semaine de Gurman !
Now or Neverland
Il est attendu de pied ferme par tous ceux qui veulent un iPhone sans avoir à casser le PEL, il devrait arriver cette semaine. Qui ? Mais l’iPhone SE nouvelle génération bien sûr ! Si des doutes subsistent sur le nom qu’il prendra une fois pointé le bout de son nez, ses spécifications ne font quasiment plus aucun doute.
Ainsi, comme vu précédemment, il devrait se fournir dans les puces A18 déjà vues dans l’iPhone 16, avec fort probablement 8 Go de RAM (Cupertino a l’air de tenir obligatoirement à cette quantité pour avoir une chance de faire tourner correctement Apple Intelligence), l’obligatoire port USB-C (sinon au revoir les ventes en Union européenne), Face ID pour planter le dernier clou dans Touch ID sur iPhone, et un design rappelant fortement l’iPhone 14. Autrement dit, Mark Gurman aurait tendance à confirmer l’absence de Dynamic Island sur l’appareil, revenant à une bonne vieille encoche... de quoi être raccord avec les MacBook Pro et Air actuels, qui portent fièrement la leur.
S’il est une chose qui est prévue de longue date, et qu’il faudra tester avec attention, c’est la nouvelle puce réseau : c’est en effet sur l’iPhone SE de 4ème génération qu’Apple devrait lancer celle qui devrait remplacer Qualcomm pour toutes les communications 5G. Fera-t-elle bonne impression ? S’il paraît logique après tant d’années de développement qu’elle ne devrait pas être trop à la traîne, elle devrait cependant rester derrière la version du constructeur des Snapdragon pour le moment, à la fois dans les performances et dans les options, n’étant par exemple pas donnée pour supporter la 5G millimétrique.
Is It Now ?
Si l’iPhone SE 4 est une belle diversion, il n’empêche qu’Apple a un souci pour le moment : aucun gros projet ne semble devoir sortir rapidement des cartons, alors que tous les hits de la marque ont maintenant atteint un degré de maturité tel qu’ils ne donnent pas envie aux clients de renouveler leur appareil à chaque sortie. Ainsi a vécu et péri (Non, pas Katy... qui n’a d’ailleurs pas eu de Grammy) l’Apple Car, et les lunettes à réalité augmentée ont été mises en pause pour au moins un lustre, le temps d’y voir plus clair sur les technologies nécessaires à leur développement.
Pas d’Apple Car, pas de lunettes XR pour tout de suite... l’iPhone doit tenir le coup encore quelques temps.
L’iPhone est donc amené à tirer encore quelques temps les finances de la pomme vers le haut, et ce n’est pas forcément le plus simple des jobs : s’il compte actuellement pour un incroyable 56 % des ventes de la marque, ses ventes se tassent au point de rater les prévisions de Wall Street, et la chute en Chine est impressionnante avec 11 % de ventes en moins, largement dûes à l’absence d’Apple Intelligence sur ce marché là où les concurrents locaux s’en donnent à cœur joie.
Il faut dire que non seulement les changements apportés sont généralement de l’ordre de la légère mise à jour, et le design en lui même n’a pas changé depuis maintenant 2020 avec l’arrivée des iPhone 12. Alors certes, l’appareil a vu l’arrivée de la Dynamic Island, remplaçant avantageusement l’encoche mal aimée, est passé à l’USB-C (une bonne chose, même si quelques-uns restent nostalgiques du port Lightning), et les versions Pro ont accueilli avec bonheur le titane, allégeant ainsi l’ensemble dans la poche.
Faut-il pour autant craindre pour l’avenir une pente encore plus glissante ? Les responsables n’ont pas l’air de cet avis, si on écoute Tim Cook ou encore John Ternus, qui tient les rênes de la division iPhone : le futur est rempli de nouveautés « excitantes ». Si l’iPhone 17 Air devrait déjà relancer la hype pour les téléphones pommés, la suite selon Gurman pourrait amener quelques idées intéressantes, même si déjà vues chez la concurrence : la sortie plus qu’attendue du premier iPhone pliable, qui devrait arriver vers 2026, et d’autres gimmicks moins spectaculaires mais tout de même attirants comme la caméra selfie disparaissant sous l’écran, ou encore un affichage totalement bord à bord, éliminant le mince filet encore existant. De quoi rendre sa grandeur à l’iPhone ?
Dreamworld
Reste qu’Apple, si elle reste discrète sur le sujet, semble avoir trouvé sa voie parmi ses concurrents des GAFAM. Si nombre d’entre eux s’écharpent sur l’intelligence artificielle, où la pomme a pris un retard considérable et n’est sans doute pas amenée à lutter à armes égales avec ses camarades de jeu, et si Meta s’installe confortablement dans le domaine de la VR ou autre XR, tous ont laissé de côté un domaine : la robotique.
L’Amazon Astro. Image Amazon.
Et c’est là que l’iPhone doit tenir les rênes pour encore un bout de temps. Certes, Apple est en pleine séance de recrutement dans le domaine, avec des offres d’embauche promettant de « travailler avec une petite équipe d’ingénieurs et de scientifiques talentueux et hautement qualifiés pour apporter de nouvelles expériences aux produits Apple », mais ce n’est que le tout début de la route, qui est encore longue.
La pomme a déjà montré une partie de ses avancées récemment, et ce n’est que le début. Ainsi Cupertino prévoit de dériver de celle-ci un nouvel appareil domotique prévu en 2027, qui remplacerait la tête de lampe par un écran d’iPad, et la base par des haut-parleurs intégrés.
L’Atlas de Boston Dynamics ressemble étonnamment au Mav1s de Love and Monsters. Image Love and Monsters/Netflix.
Mais le gros du sujet pour Apple pourrait bien être la création future d’un robot humanoïde, tel celui présenté en 2024 par la toujours prolixe Boston Dynamics (il ne vous rappelle pas le Mav1s de Love and Monsters d’ailleurs ?). Il ne faut cependant pas s’attendre à une présentation dans les mois, ni même les années à venir, cette recherche étant menée sur le très long terme, tant les barrières à franchir semblent énormes : intégrer une personnalité unique dans l’appareil, lui donner des mouvements solides et sans erreur possible, qu’il ait une autonomie décente, que les sécurités soient infaillibles... beaucoup d’obstacles à surmonter, qui prendront beaucoup de code, de nuits blanches et d’argent à l’équipe. Souhaitons juste à ce projet qu’il ne finisse pas comme l’Apple Car.
Seeing is Believing
Dans un futur bien plus proche devrait sortir rapidement la première beta pour iOS 18.4. Les éléments qui la composent sont bien connus, à savoir l’arrivée d’Apple Intelligence dans les apps tierces, et surtout les premières grosses modifications au comportement de Siri, lui permettant d’ajuster ses réponses suivant l’activité en cours à l’écran, que ce soit dans les apps d’Apple ou celles de développeurs tiers. Attention, ce n’est pas pour autant que Siri va être boosté à l’IA et devenir l’équivalent de ChatGPT : Apple est très loin d’en être à cette étape, qui devrait intervenir au plus tôt avec iOS 19. De la même façon, n’attendez pas les premières beta d’iOS 18.4 avec la certitude d’une ouverture directe à l’Union européenne : Apple a indiqué avril pour l’arrivée d’Apple Intelligence en UE, et elle pourrait très bien laisser les vannes fermées, ne serait-ce que pour des raisons légales, jusqu’à cette date.
Power and the Passion
Apple semble donc partie dans une période de transition plus longue qu’elle ne l’avait apparemment prévu au départ. Est-ce pour autant la fin des haricots ? Bien sûr que non. De nombreuses choses sont à venir, et si les plus gros projets nécessiteront encore quelques temps avant de donner de beaux et juteux fruits, le pommier n’est pas en hibernation pour autant : il fourmille de possibilités, attendant juste le bon moment pour éclore. Il faut juste attendre patiemment avant de croquer la pomme.
Amazon fait une réduction significative sur une station de recharge sans fil Belkin intéressante. La station BoostCharge Pro est en promotion à 29,99 € au lieu de 79,99 € dans sa version noire. La version blanche est quant à elle à 46,29 €.
Belkin BoostCharge Pro. Image iGeneration.
À gauche figure un chargeur Qi2, une norme qui permet, comme le MagSafe, de recharger un iPhone 12 et ultérieur à une puissance de 15 W ainsi qu’un alignement parfait grâce à des aimants. Le module Qi2 est surélevé, de telle sorte que l’iPhone s’y colle parfaitement, y compris avec une coque.
L’emplacement légèrement creusé à droite est un chargeur Qi de première génération. Limité à 5 W, il se prête surtout à des AirPods, même si rien n’empêche d’y poser un second téléphone pour les plus patients. Une petite LED blanche signale le bon fonctionnement du chargeur Qi quand un appareil est placé dessus. Rien de tel pour le Qi2, qui n’en a pas vraiment besoin avec son alignement magnétique.
Belkin BoostCharge Pro. Image iGeneration.
La station dispose en plus d’un port USB-C sur le côté qui permet de charger un troisième appareil à l’aide d’un câble ou d’un adaptateur (non fourni). La puissance de ce port n’étant que de 5 W, il est surtout destiné à de petits appareils, comme des AirPods ou une Apple Watch.
Le produit est livré avec un adaptateur secteur de 30 W et un câble USB-C vers USB-C de 1,5 m, ce qui évite d’avoir à repasser à la caisse si on a épuisé son stock d’accessoires.
Nous avions testé cette station au moment de sa sortie l’année dernière. Sans rien dessus, elle consomme 0,35 W, ce qui est presque négligeable. Sur le plan de la fabrication, le poids (312 g) et les patins antidérapants font qu’elle reste assez bien en place.
On peut charger un troisième appareil grâce au port USB-C sur le côté (chargeur Apple Watch non fourni). Image iGeneration.
La qualité du plastique déçoit en revanche : après seulement quelques jours d’utilisation, de fines marques sont apparues à la surface de la station dans sa version noire. Ces marques se voient plus ou moins en fonction de la lumière. La version blanche est peut-être moins sensible à cela. Mais à 29,99 €, c’est une bonne affaire si vous voulez charger rapidement votre iPhone à plat ainsi que vos AirPods et éventuellement un troisième appareil.
Plusieurs promotions sont en compétition sur les Apple Watch Ultra 2 et, pour le coup, elles concernent aussi la version noire du boitier en titane, lancée à l'automne dernier.
Chez Boulanger, qui s'est mis à des réductions permanentes, il y a toujours des modèles (titane naturel) à 789 € au lieu des 899 € de l'Apple Store. C'est déjà une bonne remise. Chez Amazon, les prix sont descendus à 799 € sur plusieurs variantes comme celles-ci en titane naturel et bracelet Boucle Trail bleu, titane noir avec un Boucle Alpine Vert ou avec le bracelet Océan. Ce n'est pas exhaustif.
Image Amazon.
La palme du meilleur prix revient à la Fnac qui cumule ce tarif promotionnel de 799 € avec une opération pour les adhérents Fnac+. À raison de 10 € reversés sur la cagnotte pour chaque tranche de 100 €, on peut récupérer 70 € (qui doivent être dépensés sous 30 jours). Les boitiers en titane noir sont de la partie, tel celui-ci avec un bracelet Boucle Trail ou cet autre, plus cher à 899 € (et 80 € rétrocédés) du fait de son bracelet Milanais.
Quelle télécommande utilisez-vous avec votre Apple TV ? La question peut paraitre surprenante étant donné que le boîtier vient toujours accompagné d’une zappette, mais vous préférez peut-être en utiliser une autre. Les anciennes télécommandes de Cupertino peuvent toujours servir avec les Apple TV récentes, même s’il faut faire une croix sur Siri — mais est-ce un mal ?
De gauche à droite : Apple Remote blanche, Apple Remote aluminium, Siri Remote de 1re génération (et sa seconde version avec un cercle blanc autour du bouton Menu), Siri Remote de 2e génération et Siri Remote de 3e génération (USB-C).
Si aucune télécommande Apple n’a trouvé grâce à vos yeux, vous avez peut-être opté pour un modèle très différent. Depuis des années, Apple autorise ses partenaires à livrer des zappettes spéciales à leurs clients. Cela a commencé avec Salt en Suisse et s’est poursuivi avec Free en France, notamment. On trouve ces télécommandes tierces conçues spécifiquement pour l’Apple TV chez certains revendeurs.
Mise à jour le 10 février — Apple a finalement retiré KayakTime… mais l’App Store n’est toujours pas débarrassé des contenus illicites. Exam Assis, qui se fait passer pour une application scolaire, renferme les mêmes films et séries piratées. C’est la sixième application gratuite la plus téléchargée sur l’App Store actuellement. Le jeu du chat et de la souris continue…
Exam Assis, une autre app qui cache du contenu illicite. Image iGeneration.
Article original publié le 8 février — Une nouvelle application iPhone illicite est passée entre les mailles du filet d’Apple. Contrairement à ce que son nom et sa description indiquent, KayakTime n’est pas une application destinée aux passionnés de kayak. Après l’installation, cette app révèle un service de streaming illégal.
Application KayakTime. Image iGeneration.
Ce n’est pas la première fois, ni sûrement la dernière, qu’une application de piratage parvient à se faufiler sur l’App Store. Ces derniers mois, nous avions repéré entre autres Univer Note, Micros Habits ou Salan Rice qui renfermaient le même contenu illicite. Mais cette fois, KayakTime est carrément parvenu à devenir l’application gratuite la plus téléchargée de l’App Store, sans que cela n’alerte l’équipe de validation. Maintenant qu’elle est médiatisée, ses heures sont comptées.
Nous avions mené une petite expérience avec deux anciennes applications pirates. Au moment de leur présence sur l’App Store, nous avions signalé à Apple Micros Habits et Univer Note en utilisant le formulaire dédié. Nous avons reçu une réponse près de trois mois plus tard. Les deux apps avaient été supprimées entre temps du fait de leur médiatisation.
Près de trois mois après notre signalement, Apple se penche sur le cas d’une application pirate (déjà retirée de l’App Store depuis des semaines). Image iGeneration.
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Alors qu’il vient tout juste d’avoir 18 ans, l’iPhone s’encanaille avec sa première application pornographique. C’est la boutique alternative Alt Store qui lui a fait ce drôle de cadeau et ça ne plait pas du tout à Apple. Cette application est-elle un véritable scandale, comme s’en émeut Apple ? On en discute dans cette émission.
Dans le reste de l’actualité, Apple a lancé une nouvelle application iPhone plutôt inattendue, un projet de lunettes connectées aurait été abandonné à Cupertino et les forfaits mobiles avec plein de data sont remis en question par une agence gouvernementale.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
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Alors que Mistral AI a présenté une nouvelle app dédiée à son chatbot sobrement appelé « Le Chat », voilà qu’une nouvelle fera plaisir aux fans d’intelligence artificielle aux couleurs locales.
Free annonce que dès le 10 février, ses abonnés (que ce soit le forfait à 20 € comme celui à 2 €) pourront profiter de 12 mois d’accès gratuit à la version Pro, normalement proposée à 17,99 € par mois. Cette version déverrouille l’accès à un nombre illimité de requêtes (dans la limite du raisonnable), au dernier modèle de langage en date, ainsi qu’à la possibilité de limiter le partage de données avec le bot et un accès à une assistance personnalisée.
Une telle annonce peut surprendre de prime abord, mais la proximité de Xavier Niel avec Mistral AI permet d’en comprendre la logique : le patron de Free fait partie des plus gros investisseurs de la start-up, ayant dès l’origine investi dans l’entreprise.
Si vous êtes tentés par l’aventure gratuite proposée par l’opérateur, faites toutefois attention à un détail : une fois la gratuité de 12 mois passée, il faudra songer à vous désinscrire vous-même de l’offre, sans quoi elle vous sera ensuite facturée au tarif en vigueur.
Alors que de nombreux pays ont déjà mis le réseau d’Elon Musk sous une certaine surveillance, voire même l’ont interdit temporairement avant de rouvrir les vannes comme au Brésil, la France par l’intermédiaire d’une plainte du député Eric Bothorel a ouvert une enquête sur le réseau X, comme le rapporte Numérama.
Je vois passer plusieurs publications qui évoquent « les auteurs du fonctionnement faussé de l’algorithme de recommandation du STAD du réseau X » . J’ai saisi par courrier simple le parquet cyber J3 à ce sujet le 12 Janvier dernier. pic.twitter.com/Qgh3yMIEGD
Selon le député, de nombreuses voix s’élèvent pour signaler une manipulation de l’algorithme du réseau social, qui permettrait de mettre en avant certains contenus plutôt que d’autres, sans préciser plus avant le type de contenu en question.
Reste que les accusations paraissent sérieuses, étant donné que le parquet de Paris a décidé d’ouvrir une enquête contre le réseau social, mettant sa section J3 spécialisée dans la cybercriminalité sur le sujet. Si le délit s’avère confirmé, les contrevenants pourraient encourir une peine de 5 ans d’emprisonnement et de 150 000 € d’amende.
Mais au-delà des risques pour les personnes physiques s’adonnant à ce petit jeu, le réseau social lui-même en tant que personne morale pourrait encourir une peine allant jusqu’à 6 % de son chiffre d’affaires mondial voire, s’il multipliait les infractions au DSA, se retrouver interdit en France et dans l’Union européenne.
Il est à noter que ce n’est pas la seule action en cours dans l’UE, la commission européenne elle-même ayant lancé une enquête sur X, notamment sur les comptes certifiés qui n’en ont que le nom.
Il faut dire que celle-ci promet d’être chargée en nouveautés : elle devrait entre autres étrenner une version améliorée de Siri, lui permettant de tenir compte des informations personnelles comme l’heure d’arrivée du vol d’un membre de la famille, de répondre dans le contexte de ce qui se trouve affiché à l’écran, ou encore une meilleure intégration dans les apps tierces. Mais surtout, elle devrait aussi amener la compatibilité avec de nouvelles langues, dont le français.
Est-ce à dire qu’Apple Intelligence sera enfin disponible à partir de la première beta d’iOS 18.4 en Union européenne ? Rien n’est moins sûr, les vannes devant être officiellement ouvertes en avril, Apple pourrait limiter les fonctions disponibles dans les différentes versions mises à disposition du public jusqu’à la release officielle.
Toujours est-il que selon MacRumors la première beta d’iOS 18.4 devrait arriver tout prochainement, si ce n’est la semaine prochaine avec l’iPhone SE4, au moins la semaine suivante.
Alors qu’il avait rejoint Apple en 2016, Andrew Aude avait fait les gros titres en 2023 pour avoir été viré après avoir divulgué de nombreuses informations sur les projets en cours de la pomme, au cours d’échanges par SMS sur plus de 10 000 messages avec plusieurs journalistes.
Il paraissait bien plus satisfait de ses méfaits avant d’être pincé... Capture Apple.
Apple a bien entendu porté plainte par la même occasion, et si le procès a bien eu lieu, il n’a pas été au bout. Cupertino et son ex-ingénieur ont trouvé un terrain d’entente, et même si les détails de l’accord sont inconnus, une chose a été rendue publique : les excuses de l’ex-employé, ici rapportées par MacRumors. Dans un long post sur X, le repenti bat ainsi sa coulpe :
J’ai passé environ huit ans en tant qu’ingénieur logiciel chez Apple. Durant tout ce temps, j’ai eu accès à des dossiers contenant des informations sensibles sur l’entreprise, incluant certains produits ou certaines fonctions à venir. Mais plutôt que de les garder secrètes, j’ai fait l’erreur de partager ces informations avec des journalistes traitant de l’actualité de l’entreprise. Je ne l’ai pas réalisé sur le moment, mais ce fut une profonde et coûteuse erreur. Des centaines de relations professionnelles que j’ai passé des années à construire ont été ruinées. Et ce qui fut une belle carrière comme ingénieur logiciel a déraillé, et il sera maintenant très difficile de la reconstruire. Faire fuiter ces informations n’en valait pas le coup. Je présente mes sincères excuses à mes anciens collègues qui non seulement ont travaillé sans répit sur les projets d’Apple, mais ont tout aussi durement travaillé à les garder secrets. Ils méritent mieux.
Sincères ou non, ces excuses ont un mérite : mettre en garde ceux qui seraient tentés de suivre le chemin de la fuite, tel que suivi par Andrew Aude. Car si le grand public a oublié son nom avec les années, il y a fort à parier que le petit monde de la Silicon Valley, lui, l’a gardé bien au chaud dans la liste noire des personnes à ne jamais embaucher...
Le monde GNU/Linux, et plus particulièrement le développement du noyau, n'est pas vraiment un domaine tranquille. De façon assez régulière, la liste de diffusion dédiée au développement de la partie la plus importante du système d'exploitation sert de défouloir à certains et Linus Torvalds (le taulier de la liste et le créateur de Linux) n'est pas connu pour sa diplomatie. Le dernier drama en date est lié à l'intégration de code en Rust (un langage de programmation relativement récent, finalisé il y a une grosse dizaine d'années) dans un noyau qui contient essentiellement du C (nettement plus ancien). Nous n'allons pas nous étendre sur les discussions entre les développeurs (cet article de The Register offre un bon résumé) mais sur un cas particulier, celui d'Hector Martin.
La liste de diffusion ressemble parfois à une cour de récréation et Linus Torvalds n'est pas connu pour sa patience ni sa diplomatie.
Ce développeur est assez connu, tout du moins pour ceux qui suivent l'actualité d'Asahi Linux, une distribution GNU/Linux pensée pour les Mac Apple Silicon. Hector Martin est en effet un des développeurs les plus visibles d'Asahi Linux. Et il a malheureusement annoncé dans un message de la liste de diffusion qu'il allait arrêter de travailler sur le développement du noyau, comme l'indique Phoronix. Martin serait en effet pour une intégration de Rust dans le noyau, d'autres développeurs historiques seraient contre, et les discussions un peu trop enflammées ont fini par fatiguer le développeur, qui a décidé de laisser tomber son travail sur cette section précise.
Il devrait continuer à travailler sur Asahi Linux, mais dans une optique downstream plutôt qu'upstream comme actuellement. Pour résumer rapidement, du code upstream (amont) (typiquement dans le noyau) va être employé par toutes les distributions en aval (downstream). Une modification dans le noyau va donc se retrouver dans la majorité des distributions. A contrario, du code downstream ne va pas nécessairement l'être. Dans le cas d'Asahi Linux, les modifications effectuées dans le code de la distribution sont livrées aux utilisateurs, mais ne se retrouvent pas nécessairement dans toutes les autres distributions.
Ce mouvement de la part d'Hector Martin (qui a visiblement abandonné Mastodon dans la foulée) risque donc de ralentir le développement des distributions GNU/Linux pour les Mac Apple Silicon, à cause de querelles d'ego.