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Black Friday : prix records sur les SSD externes Crucial X10 jusqu’à 8 To
À l’occasion du Black Friday, le SSD externe Crucial X10 est affiché à des prix jamais vus sur Amazon. La version 2 To est vendue 169 € (- 8 % par rapport au prix le plus bas des 30 derniers), la 4 To à 288 € (- 7 %) et la 8 To à 530 € (- 9 %).

Le Crucial X10 est un SSD externe très compact (65 x 50 x 10 mm) et très léger (36 g) qui est certifié IP65, ce qui signifie qu’il ne craint ni les grosses éclaboussures ni la poussière. Il peut atteindre jusqu’à 2 Go/s, mais comme il passe par une interface USB 3.2 Gen 2x2 qui n’est pas malheureusement pas gérée par Apple, il est limité à environ 1 Go/s sur Mac. Ce n’est pas forcément gênant, c’est la vitesse assez standard des SSD externes, même si on peut être tenté de transférer de très grosses quantités de données vu la capacité de ce produit.
La capacité est justement son point fort : les SSD externes de 8 To sont encore rares, et le Crucial X10 est très bien placé sur ce segment. En comparaison, le SanDisk Extreme 8 To coûte 598 € actuellement et le Samsung T5 EVO 8 To est à 543 €, mais ce dernier ne dépasse 460 Mo/s.
Nous avons testé en profondeur le Crucial X10 et noté des performances correctes. Il embarque un cache dynamique, dont la capacité est de l'ordre de 1/4 de l'espace libre. Sur un modèle de 2 To comme celui que nous avons testé, il est donc possible d'écrire un peu moins de 500 Go d'une traite avec de bons débits, avant que les performances se réduisent. Vous trouverez tous les détails dans notre test :
Test du SSD externe Crucial X10, qui peut atteindre 8 To
Le Black Friday des forfaits mobiles : jusqu’à 120 Go en 5G pour 7,99 €/mois
Après une période d’accalmie, certains opérateurs profitent du Black Friday pour refaire de grosses promotions sur leurs forfaits mobiles sans engagement. Comme souvent, SFR RED est le plus agressif avec 120 Go en 5G à 7,99 € (30 Go en UE/DOM). La SIM, physique ou eSIM, est à 10 €.

Chez Bouygues Telecom, pour le même prix, vous avez un forfait B&You 5G 80 Go (25 Go en UE/DOM). Ce dernier a l’avantage d’offrir un abonnement d’un an à Perplexity Pro, mais il ne propose toujours pas d’eSIM pour les Apple Watch cellulaires. La SIM coûte 1 €… et il faut ajouter 1 € de plus de « frais d'activation ». En outre, Bouygues impose des frais de résiliation de 5 € si vous décidez de partir chez un autre opérateur.
En comparaison, Sosh propose un forfait 80 Go à 8,99 €/mois, mais il est uniquement 4G. Chez Free Mobile, on peut avoir 120 Go de 5G à 8,99 €/mois, mais au bout d’un an ce forfait se transforme en formule 350 Go à 19,99 €/mois.
Le Black Friday ne faisant que commencer — la date officielle est normalement le 28 novembre —, il n’est pas impossible que les opérateurs fassent d’autres offres spéciales dans les prochains jours.
Quel est le meilleur opérateur pour les utilisateurs d’iPhone ?
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- macOS 26.2 corrigerait une bonne fois pour toutes le bug des apps Electron qui font ramer Tahoe
macOS 26.2 corrigerait une bonne fois pour toutes le bug des apps Electron qui font ramer Tahoe
Le problème de performances lié aux apps Electron que macOS Tahoe traîne depuis sa sortie semble enfin en voie de disparition. La bêta 3 de macOS 26.2, publiée le 17 novembre, corrigerait en effet le bug d’un seul coup pour l’ensemble des applications concernées. C’est ce qu’indique le développeur à l’origine du site shamelectron, qui suit minutieusement cette affaire.

Pour rappel, le problème est le suivant : dans macOS 26, le framework Electron remplace l'API privée AppKit d'Apple pour appliquer un masque d'angle personnalisé semi-transparent. Ce changement provoque une sollicitation du GPU par le processus WindowServer pouvant grimper à 100 % au lancement d’une app Electron, avec à la clé des ralentissements et une grosse consommation d’énergie pour les Mac. Un vrai souci étant donné que de nombreuses applications reposent sur ce framework.
Depuis l’identification du bug, plusieurs apps populaires (Discord, Slack, Microsoft Teams, VS Code…) ont été mises à jour vers une version d’Electron qui corrige le problème. Mais d’autres n’ont pas encore été actualisées et continuent donc de provoquer ces performances dégradées — en plus du site shamelectron, un script permet de vérifier si vos apps sont touchées.
Avec la dernière bêta de macOS 26.2, Apple semble régler une bonne fois pour toutes le problème, en corrigeant le bug y compris pour les applications qui n’ont pas adopté une version d’Electron immunisée (Logi Options+, Proton Pass, OpenMTP…). La version finale de macOS 26.2 devrait arriver dans les prochaines semaines.
Les apps Electron méritent-elles encore leur mauvaise réputation ?
macOS Tahoe 26.2 va doper le machine learning sur les Mac M5
macOS Tahoe 26.2 va donner un coup de fouet au machine learning sur les Mac M5. Apple a mis à jour son framework open source MLX, pensé pour tirer parti de ses composants Apple Silicon, du CPU au GPU en passant par la mémoire unifiée. Les chercheurs et développeurs utilisant les derniers Mac devraient remarquer des gains de performances notables pour l’IA locale.

MLX peut désormais utiliser les accélérateurs neuronaux de la puce M5, qui sont intégrés à chaque cœur GPU. Cette architecture était jusqu’à présent accessible via Metal 4 ou Core ML, mais pas directement via MLX. Un changement qui apporte de sacrés améliorations selon Apple, qui a noté des performances multiplées par 4 par rapport à une puce M4 dans certaines requêtes.
MLX : un framework de machine learning adapté aux puces Apple
Sur un autre registre, MLX a gagné un nouveau pilote pour mieux gérer le clustering de plusieurs Mac reliés entre eux, en particulier via Thunderbolt 5. Pour rappel, le clustering consiste à faire travailler différentes machines comme un seul ordinateur, en mutualisant leur mémoire et leur puissance de calcul pour accélérer l’exécution des modèles les plus gourmands. Si on pouvait déjà relier des Mac par Ethernet ou Thunderbolt 4, la démarche devrait être plus rapide grâce au Thunderbolt 5 et à sa bande passante doublée à 80 Gb/s.

Concrètement, ces évolutions ouvrent la porte à de petits « clusters » d’IA en local, par exemple dans un labo de recherche désirant joindre la puissance de plusieurs Mac mini ou Mac Studio pour faire tourner des modèles plus lourds en local. Cela devrait permettre des traitements plus privés (les données ne quittent pas les machines) et potentiellement plus sobres en énergie qu’un passage par un gros GPU dans le cloud.
Si les améliorations sont intéressantes, elles restent un peu limitées en l’état. Il n’est pas possible de profiter des deux en même temps : le seul Mac embarquant une puce M5 est le dernier MacBook Pro… seulement compatible Thunderbolt 4. Cela devrait changer l’année prochaine avec les puces M5 Pro et M5 Max, que l’on devrait découvrir dans des MacBook Pro Thunderbolt 5 et potentiellement dans des Mac mini ou Mac Studio.
Black Friday : la multiprise Belkin 8x avec deux ports USB-C à 38 € (- 31 %)
Dans notre guide d’achat pour aménager son bureau, un accessoire pourtant incontournable nous avait échappé : la multiprise. Avec le Mac, l’écran externe, la lampe et tous les petits périphériques du quotidien, elle devient rapidement indispensable. Un modèle très complet de Belkin fait l’objet d’un bon prix en ce moment.
La multiprise avec 8 prises et deux ports USB-C est en promo à 38 €, une réduction de 31 % par rapport au prix conseillé, à 55 €. Ce produit est équipé d’une protection contre les surintensités et les surcharges jusqu'à 900 joules. Son câble mesure 2 mètres et un support mural intégré permet de fixer le bloc sur un mur ou sous un bureau. Un bouton marche/arrêt permet de couper facilement l’alimentation.

Les deux ports USB-C ont chacun une puissance maximale de 30 W, ce qui permet de se passer d’adaptateur secteur pour recharger un iPhone ou un iPad. En revanche, il semble que la puissance soit limitée à 15 W chacun quand les deux ports sont utilisés en même temps.
Pour rester dans les marques connues, la multiprise Legrand avec 3 prise ainsi qu’un port USB-A et un port USB-C (15 W) est en promotion à 31 € au lieu de 47 €. Ce modèle est conçu spécialement pour bien s’intégrer dans les angles et peut être positionné à l’horizontale comme à la verticale.

Attention à une chose néanmoins : la version en promo ne comprend pas de câble. Le modèle avec cordon est à 46 €.
Black Friday : de bonnes promos sur les excellents bracelets de Nomad (-30 %)
C’est déjà le Black Friday chez Nomad ! L’accessoiriste affiche de nombreuses promos sur ses sympathiques bracelets d’Apple Watch sur son site officiel. On y trouve des réductions allant jusqu’à 30 % pour des bracelets de bonne qualité qui seront très bien comme petit cadeau perso comme pour mettre au pied du sapin.

Le très sympathique Bracelet Sport tombe par exemple à 44 € au lieu de 59 €. C’est un modèle que nous avions eu l’occasion de tester et que je porte au quotidien avec mon Apple Watch. Il est fait d’un plastique solide et est ponctué de petites rainures pour un look très sportif. Ces bracelets vieillissent bien et sont confortables. Plusieurs coloris sont en promo, sachant qu’il y en a de plus discrets que d’autres.
Coup d’œil sur le bracelet Apple Watch Sport de Nomad : une bonne alternative au modèle d'Apple
La déclinaison phosphorescente est également concernée par la ristourne et est même moins chère, sachant qu’on la trouve à 41 €. Le bracelet semble briller dans les environnements sombres, il faut le « recharger » en le posant sous une source lumineuse quelques minutes. Il peut largement tenir une soirée, et l’effet s’estompe au fil de la nuit. C’est original et très efficace si vous aimez vous faire remarquer en soirée.
Prise en main du bracelet Sport Band phosphorescent de Nomad

D’autres ristournes intéressantes sont à noter. Le Tempo Band, une version plus fine du bracelet Sport de Nomad, est à 47 € au lieu de 59 €, sachant que plusieurs coloris sont proposés. Si au contraire vous cherchez quelque chose de très sportif, le Rocky Band est encore plus épais et tombe à 63 € au lieu de 79 €.
Et pour ceux cherchant des modèles moins sportifs, les plus élégants Titanium Band perdent 15 % pour revenir à 195 €. De leur côté, les Modern Band en cuir reviennent à 59 € contre 79 € en temps normal. Nomad propose aussi un porte-carte MagSafe en cuir à seulement 63 €, ce qui peut être intéressant.
Black Friday : le Soundcore Space One Pro en promo à 129 €, son meilleur prix
Il y a quelques semaines, nous avions consacré un article à ce casque encore assez méconnu. Depuis, le Soundcore Space One Pro d’Anker a fait du chemin : en l’espace de quelques jours, il s’est imposé comme l’une des sensations du moment. Son ascension doit beaucoup à un comparatif où il est arrivé en tête devant plusieurs modèles premium, y compris les AirPods Max. De quoi attirer l’attention sur un produit vendu bien moins cher que les grandes marques établies.
Qualité audio : les AirPods Max battus par un casque à moins de 200 €
Habituellement proposé à 200 €, le Soundcore Space One Pro bénéficie aujourd’hui d’une nouvelle promotion pour le Black Friday. Il passe à 129 €, soit son meilleur prix à ce jour. Et à ce niveau tarifaire, ses arguments deviennent particulièrement solides. Les performances audio, déjà saluées par le panel d’ingénieurs du son sélectionné par Wired, ne sont que l’un des aspects de ce casque.
On y trouve également une réduction de bruit active efficace, la prise en charge du codec LDAC pour une meilleure qualité en sans-fil, une autonomie annoncée jusqu’à 60 heures, une recharge rapide, ainsi que six microphones destinés à améliorer la clarté des appels. Le tout dans un design pliable, avec des réglages suffisamment généreux pour convenir à la plupart des morphologies. Deux coloris sont proposés : noir ou blanc crème.
Beats Studio Pro à 189 €, Beats Pill à 95… Jusqu'a 50 % de réduction sur les produits Beats !
La marque ne se limite pas à ce modèle. Si vous cherchez un équipement à petit prix, Soundcore propose des alternatives aux AirPods autour de 17 €, une enceinte Bluetooth à 30 €, ou encore un casque plus classique autour de 29 €. Le catalogue comprend aussi les Liberty 4 Pro, vendus 96 €, positionnés comme une alternative aux AirPods Pro avec un boîtier doté d’un petit écran affichant le niveau de batterie. Pour le sport, les AeroFit 2 (80 €) et les Sport X20 (63 €) complètent l’offre.
Black Friday : le Mac mini M4 avec 1 To de stockage à 949 € aujourd’hui seulement
Le Mac mini M4 équipé de 16 Go de RAM et de 1 To de stockage est en promotion à 949 € à la Fnac à l’occasion du Black Friday. Chez Apple, cette configuration personnalisée coûte 1 199 €.

C’est une « offre chrono » proposée aujourd’hui seulement par la Fnac. Celle-ci vaut le coup, car les configurations personnalisées font moins souvent l’objet de promotions que les autres. Même s’il est possible de remplacer ultérieurement le SSD du Mac mini M4, il est toujours plus confortable d’avoir la « bonne » capacité de stockage dès le départ.
Le Mac mini M4 est compact, peu gourmand, inaudible et étonnamment puissant. C’est un excellent ordinateur de bureau que nous conseillons sans hésiter. Il reste simplement à choisir la bonne dose de RAM et de stockage pour être tranquille sur le long terme.
Test des Mac mini M4 et M4 Pro : petits et mignons, mais costauds et économes
Atlas progresse sur Mac et gagne des onglets verticaux et les passkeys iCloud
Atlas, le navigateur d’OpenAI, continue de s’améliorer. Lancé le mois dernier, il s’agit d’un dérivé de Chrome intégrant en profondeur ChatGPT. Une mise à jour lancée récemment ajoute plusieurs fonctions visant les utilisateurs de Mac, à commencer par une prise en charge des passkeys iCloud.

Les passkeys sont une alternative au mot de passe ne nécessitant pas de retenir quoi que ce soit étant donné qu’elles reposent sur Touch ID ou Face ID. On peut donc désormais en créer de nouvelles directement depuis Atlas. Un atout qui devrait faciliter la transition pour ceux venant d’autres navigateurs.
Le chef de produit d’OpenAI Adam Fry a partagé la liste complète des nouveautés sur le réseau X. Les utilisateurs vont pouvoir profiter d’onglets verticaux et d’une nouvelle interface utilisateur pour les téléchargements. La barre latérale permettant de poser des questions à ChatGPT devrait également être plus rapide.
On notera également qu’il est possible de définir Google comme moteur de recherche par défaut ou encore de sélectionner plusieurs onglets à la fois en appuyant sur MAJ tout en cliquant. On peut aussi utiliser le combo Ctrl + Tab pour passer sur l'onglet le plus récemment utilisé.
New ChatGPT Atlas release out! Just hit "update" in the top right. https://t.co/mJ6IJW0YKu
— Adam Fry (@adamhfry) November 19, 2025
- extensions import
- icloud passkeys
- new downloads ui
- setting to use control + tab to cycle to most recently used tab
- select multiple tabs at once (shift + click)
- ability to set… pic.twitter.com/jWoNPHcx7V
Atlas est disponible depuis le mois dernier sur Mac. Vous pouvez le télécharger à ce lien, sachant qu’il est nécessaire d’avoir un compte ChatGPT et qu’un abonnement sera rapidement indispensable pour s’en servir au quotidien. En plus d’un mode de navigation, Atlas embarque également un système d’agent automatisant certaines actions. L’app est réservée aux machines Apple Silicon, sachant que des versions iOS, Windows et Android sont dans les cartons.
Black Friday : le chargeur MagSafe Apple 25 W à 34 €, son prix le plus bas
À l’occasion du Black Friday, le chargeur MagSafe Apple 25 W avec câble d’un mètre est en promotion à 34 € au lieu de 49 € sur Amazon. C’est le prix le plus bas à ce jour. Ce galet magnétique permet de recharger par induction les iPhone 16 et les iPhone 17 jusqu’à 25 W, soit la puissance sans fil maximale. Avec les iPhone 12 à 15, la puissance est de 15 W. Et avec les plus anciens, elle est seulement de 7,5 W.

Le chargeur MagSafe de 1re génération est lui aussi en promo autour de 34 €, mais il est limité à 15 W, alors autant choisir celui qui peut grimper jusqu’à 25 W.
Le galet d’Apple est le chargeur magnétique pour iPhone toujours le plus compact à ce jour. Il peut s’intégrer dans divers accessoires, notamment des supports, pour être utilisé un peu différemment. Compatible Qi2, il peut aussi alimenter beaucoup d’autres appareils, comme des smartphones Android ou le boîtier des AirPods.
Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16
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- Apple Store : un Black Friday du 28 novembre au 1er décembre sans iPhone 17 ni MacBook Pro M5
Apple Store : un Black Friday du 28 novembre au 1er décembre sans iPhone 17 ni MacBook Pro M5
On l’ignore souvent, mais Apple fait partie des premières entreprises à avoir introduit le concept de Black Friday en France. Et, comme chaque année, la firme ne dérogera pas à la tradition : un long week-end de « promotions » est prévu du vendredi 28 novembre au lundi 1ᵉʳ décembre.
Soyons clairs : si vous êtes en quête des meilleures affaires sur des produits Apple, ce n’est pas ici qu’il faut regarder. La concurrence proposera comme toujours des offres bien plus agressives, souvent avec de vraies remises immédiates. Le Black Friday version Apple reste avant tout une opération symbolique — utile pour compléter un achat, mais rarement l’endroit où l’on fait le meilleur deal.
Pour cette édition 2025 du Black Friday, le montant de la carte cadeau dépendra de la gamme choisie. Les paliers sont les suivants :
- jusqu’à 60 € pour l’achat d’un iPhone 16 ou d’un iPhone 16e,
- jusqu’à 80 € pour un iPad A16, un iPad Air ou un iPad mini,
- jusqu’à 150 € pour un MacBook Pro (M4 Pro ou M4 Max, mais pas M5), un MacBook Air, un iMac ou un Mac mini,
- jusqu’à 40 € pour une Apple Watch SE 3 ou Series 11,
- jusqu’à 60 € pour des AirPods 4, AirPods Pro 3 ou AirPods Max,
- jusqu’à 40 € pour un Apple TV 4K ou un HomePod,
- jusqu’à 40 € pour les modèles Beats Studio Pro, Powerbeats Pro 2, Beats Solo 4, Beats Studio Buds+ ou Beats Pill,
- jusqu’à 20 € pour un Magic Keyboard pour iPad Air, un Magic Keyboard Folio pour iPad (A16) ou un Apple Pencil Pro.
Précisons qu’il s’agit à chaque fois du montant maximal par catégorie. Le détail modèle par modèle ne sera communiqué qu’à partir du vendredi 28 novembre, au lancement officiel de l’opération.
Les nouveautés Apple exclues pour la plupart du Black Friday
A priori, nombre de nouveautés sorties récemment ne sont pas concernées par cette promotion. Apple ne mentionne pas les nouveaux iPhone, les nouveaux iPad Pro, l’Apple Watch Ultra 3, ainsi que le MacBook Pro M5.
Bien aimable, Apple propose sur sa page dédiée d’ajouter un événement à votre calendrier de manière à ce que vous ne l’oubliiez pas !
Un pilote de F1 battu pour la première fois par une monoplace sans pilote
Au fil des ans, même si elle reste une arlésienne dans la vie de tous les jours, la conduite autonome se perfectionne. Si la première idée qui vient en tête est son usage dans la circulation sur routes ouvertes, la compétition automobile s’y intéresse aussi, au point d’avoir créé une formule faisant courir des voitures sans pilote, l’Abu Dhabi Autonomous Racing League (A2RL). Pour sa seconde année, elle s’est même permise de battre un véritable pilote de Formule Un !

Comme le rapporte Racer.com, c’est Daniil Kvyat, ancien pilote russe de F1, qui s’est confronté à la voiture autonome. Et si les deux premières fois, l’humain a gagné face à la machine, cette fois, c’est bien l’ordinateur qui a vaincu le pilote de chair et d’os. S’il n’a jamais été champion du monde de la discipline phare du sport auto, Daniil Kvyat est cependant loin d’être un manche : ayant participé à 110 GP de F1, il est monté trois fois sur le podium, et a ensuite bifurqué vers le championnat du monde d’endurance de 2022 à 2024. Il a aussi fait quelques pas en NASCAR et en Formula E.
Alors certes, la voiture sans pilote a bénéficié de 10 secondes d’avance sur son poursuivant, qui avait 10 tours pour la rattraper. Mais sur ces dix tours, jamais l’ex pilote de F1 n’a pu reprendre l’avantage, et les meilleurs tours en course parlent d’eux-mêmes : alors que l’année dernière plus de dix secondes séparaient le pilote humain de la machine, cette année c’est moins de deux secondes qui les séparaient, avec 57,57 secondes pour Daniil Kvyat contre 59,15 secondes pour l’IA. Mais au final, c’est encore le pilote qui parle le mieux de la progression de la conduite autonome en course :
Quand on regarde la progression des A2RL en quelques années, alors que plusieurs minutes séparaient le pilote humain de l’IA il y a deux ans, dix secondes les séparaient l’année dernière, et maintenant nous voyons des performances séparées d’une fraction de secondes. Le progrès technique est bluffant. En tant que technophile et pilote, c’est fantastique de faire partie du développement de cette technologie depuis ses débuts. Être sur la piste aux côtés d’un pilote IA est unique, et c’était très fun de mener bataille devant les fans ce soir.
L’IA finira-t-elle par battre les meilleurs pilotes ? S’il y a encore une grosse marge de progression avant d’atteindre des Michael Schumacher ou autres Max Verstappen, la vitesse d’apprentissage est fulgurante.
Attendre l’iPhone 18 Pro ou craquer pour le 17 Pro ? Nos dix raisons pour trancher
C’est la bonne surprise de l’année pour Apple. Les ventes d’iPhone ont à nouveau le vent en poupe depuis plusieurs mois. Le phénomène s’est accéléré avec la commercialisation de la nouvelle gamme à la rentrée, qui se trouve enfin assez facilement dans le commerce.
Où trouver un iPhone 17, 17 Pro et 17 Pro Max en stock ?
La question que vous vous posez peut-être après avoir lu nos tests — et les nombreux retours glanés sur Internet — est toute simple : faut-il craquer dès aujourd’hui pour un iPhone 17 Pro ou patienter jusqu’à son successeur l’année prochaine ? Pour vous aider à trancher, nous avons rassemblé plusieurs arguments qui devraient vous permettre d’y voir plus clair.
Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?
5 bonnes raisons de patienter jusqu’à la sortie de l’iPhone 18 Pro
Des puces plus performantes : l’A20 et un modem Apple
Les iPhone 18 Pro devraient inaugurer la puce A20, gravée en 2 nm par TSMC. Ce nouveau procédé augmente la densité de transistors et doit apporter un gain d’environ 15 % en performances et 30 % en efficacité énergétique par rapport à l’A19 des iPhone 17. Apple utiliserait en plus le packaging WMCM, qui permet d’intégrer la RAM directement sur la même plaquette que le CPU, le GPU et le Neural Engine. À la clé : des échanges plus rapides et une meilleure autonomie, notamment pour les tâches liées à Apple Intelligence.
Les iPhone 18 Pro auraient un A20 gravé très fin et une 5G sans Qualcomm
Un modem Apple au coeur de l’iPhone 18 Pro
Autre nouveauté attendue : l’arrivée du modem C2, qui succédera au C1 de l’iPhone 16e et au C1X de l’iPhone Air. Cette génération prendrait en charge le mmWave 5G aux États-Unis, tout en offrant de meilleurs débits et une consommation réduite. Cette avancée s’inscrit dans la stratégie d’Apple visant à réduire progressivement sa dépendance à Qualcomm et à reprendre le contrôle complet de la partie réseau de l’iPhone.
Jusqu’à présent, l’adoption de ces modems maison a été une réussite que ce soit sur l’iPhone 16e comme sur l’iPhone Air
Le modem C1 s’en sort mieux que le Qualcomm de l’iPhone 16 en conditions réelles
De gros progrès dans la photo et la vidéo en perspective
Les iPhone 18 Pro pourraient introduire une nouveauté importante côté photo : un objectif à ouverture variable. D’après Digital Chat Station, le capteur principal de 48 Mpx — la caméra « Fusion » chez Apple — serait capable de modifier physiquement l’ouverture, une première sur l’iPhone. Jusqu’ici, les modèles Pro utilisaient un ƒ/1,78 fixe, sans possibilité d’ajustement.
iPhone 18 Pro : Apple préparerait un objectif à ouverture variable pour le module principal
Avec une ouverture variable, l’utilisateur pourrait contrôler l'entrée de la lumière et par exemple fermer le diaphragme pour obtenir une profondeur de champ plus marquée, comme sur un reflex. Ming-Chi Kuo avait déjà évoqué cette évolution fin 2024.
Un capteur photo développé en collaboration avec Samsung
Apple préparerait aussi un changement notable dans la chaîne d’approvisionnement. Samsung travaillerait sur un capteur empilé en trois couches, baptisé PD-TR-Logic, et destiné à l’iPhone 18 selon la rumeur. Ce type d’architecture permettrait une meilleure réactivité, moins de bruit et une dynamique plus large. Jusqu’ici, Sony fournissait l’intégralité des capteurs photo de l’iPhone : l’arrivée de Samsung marquerait donc un tournant pour la gamme 2026.
Un bouton Commande de l’appareil photo plus fiable
Apple envisagerait de revoir le bouton Camera Control sur les iPhone 18 afin d’en réduire le coût de fabrication. Sur l’iPhone 17, ce bouton combine une surface en cristal de saphir avec deux technologies : un capteur capacitif pour les gestes et un capteur de pression pour distinguer tapotements, pressions et balayages.
Les iPhone 18 auraient un bouton moins cher pour commander l'appareil photo
Selon le compte Weibo Instant Digital, Apple supprimerait la couche capacitive pour ne conserver que la détection de pression, tout en préservant l’ensemble des fonctionnalités associées. L’objectif n’aurait donc rien à voir avec une réduction des usages, mais plutôt avec une volonté d’alléger une pièce jugée trop coûteuse — et responsable d’un volume important de réparations après-vente.
5 bonnes raisons de ne pas attendre l’iPhone 18 Pro
La vie est trop courte, et les fêtes de fin d’année approchent à grands pas. Si vous avez envie de vous faire plaisir — ou d’offrir un cadeau vraiment marquant — l’iPhone 17 Pro constitue déjà un choix très solide. Les promotions commencent à tomber, le modèle est parfaitement stabilisé, et il n’y a plus d’effet de première génération à redouter. Bref, voici quelques bonnes raisons de ne pas attendre sagement 2026 et de céder dès maintenant aux sirènes de l’iPhone 17 Pro.
Un appareil toujours plus lourd et plus épais
Un premier bruit de couloir laisse entendre que l’iPhone 18 Pro Max serait légèrement plus épais que l’iPhone 17 Pro Max. Cette évolution porterait son poids autour de 243 grammes, dépassant ainsi l’iPhone 14 Pro Max, qui reste pour l’instant le modèle le plus lourd jamais vendu par Apple.
L’iPhone 18 Pro Max encore plus épais et plus lourd ?
La raison de ce châssis épaissi n’est pas encore connue, mais la piste la plus crédible reste l’intégration d’une batterie plus généreuse. L’autonomie, c’est toujours bon à prendre — à condition que l’iPhone ne se transforme pas non plus en haltère de poche.
Un design qui ne devrait que peu évoluer
Les premières rumeurs laissent entendre que la gamme iPhone 18 Pro conservera en grande partie le design introduit avec l’iPhone 17 Pro. Le bloc photo arrière resterait identique, avec ce « plateau » surélevé et ses trois objectifs disposés en triangle. Les diagonales d’écran ne bougeraient pas non plus : 6,3 pouces pour l’iPhone 18 Pro et 6,9 pouces pour le modèle Max, des formats inaugurés avec la génération 16 Pro.
L’iPhone 18 Pro pourrait bien abandonner son dos au design bicolore
Le seul changement esthétique pourrait concerner le dos. Apple envisagerait d’abandonner le dos bicolore de l’iPhone 17 Pro pour revenir à quelque chose de plus uniforme. Le procédé de fabrication du verre arrière aurait été revu afin de réduire l’écart de teinte entre le Ceramic Shield 2 et le cadre en aluminium, afin d’obtenir un rendu plus cohérent.
Un iPhone qui pourrait coûter plus cher
C’est une marotte qui revient systématiquement sur le tapis dès qu’un nouvel iPhone approche : va-t-il coûter plus cher ? La question peut sembler routinière, presque mécanique, mais cette fois, le contexte lui donne un relief particulier. Toute l’industrie fait face à une flambée des coûts sur plusieurs composants clés, à cause de l’intelligence artificielle. Le passage au procédé de gravure 2 nm pour les puces A20, déjà présenté comme « salé » en interne, renchérirait sensiblement la facture : TSMC appliquerait un tarif en nette hausse par rapport aux générations actuelles.
Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l'iPhone 18 Pro
À cela s’ajoutent des tensions sur d’autres éléments critiques — mémoire, modules photo — dont les prix repartent à la hausse après plusieurs trimestres de calme. Dans ce contexte, l’hypothèse d’un iPhone 18 Pro plus onéreux en 2026 n’est plus seulement un marronnier : c’est un scénario que Cupertino devra peut-être réellement assumer.
L’iPhone 17 Pro, c’est du costaud !
L’iPhone 17 Pro a suffisamment de recul pour que l’on sache exactement à quoi s’en tenir. Plusieurs mois après sa sortie, les retours utilisateurs sont largement positifs : les performances sont au rendez-vous, l’autonomie est satisfaisante, la chauffe reste bien maîtrisée et aucun défaut de conception majeur n’a émergé. Les premières mises à jour d’iOS ont par ailleurs corrigé les petits comportements de jeunesse observés lors du lancement.
En clair, l’iPhone 17 Pro est un modèle abouti. Il est maintenant largement disponible dans le commerce et les premières promotions commencent à faire leur apparition.
L’année prochaine, la star ce sera l’iPhone pliable
Tout laisse à penser que 2026 devrait être marquée par l’arrivée du premier iPhone pliable. Il ne fait guère de doute que ce sera la star médiatique de la rentrée prochaine. Ce modèle ouvrirait une nouvelle catégorie dans la gamme, avec un écran d’environ 7,8 pouces une fois déplié, proche de l’iPad mini, et une interface réadaptée pour ce format.
Dans un tel contexte, l’iPhone 18 Pro risque mécaniquement d’être relégué au second plan. Mais le souci, c’est que vous risquez d’être tenté par ce modèle et que celui-ci devrait couter extrêmement cher.
Tim Cook invité au dîner officiel de Mohammed Bin Salman à la Maison Blanche
Alors que Mohammed Bin Salman, Prince héritier et Premier ministre d’Arabie saoudite est en visite aux États-Unis d’Amérique, un dîner officiel à la Maison Blanche est organisé entre le Prince, le Président des USA Donald Trump et plusieurs invités triés sur le volet. Parmi eux, Elon Musk, Michael Dell, Jensen Huang (Nvidia), Linda Su (AMD) et... Tim Cook, comme rapporté par le New York Times.

Si la présence d’Apple en nom propre en Arabie saoudite est relativement récente, l’Apple Store en ligne local n’ayant ouvert que cet été, Apple a des plans relativement conséquents pour le royaume : à partir de 2026, plusieurs Apple Store physiques devraient ouvrir, à Riyad, Dariya et d’autres villes importantes du pays.
Apple annonce l’arrivée de ses boutiques en Arabie Saoudite à partir de l'été 2025
C’est la première visite officielle du Prince autrement appelé MBS depuis 2018 et le meurtre de Jamal Khashoggi, journaliste du Washington Post dont la CIA entre autres attribue la responsabilité au Prince héritier. C’est aussi la dernière fois que Tim Cook avait rencontré celui-ci, à l’époque pour discuter d’éducation et de développement d’apps. Apple a depuis investi plus de 2 milliards de dollars dans le pays, et le CEO d’Apple y a fait une escale en décembre 2024.
Si Apple avait en 2019 indiqué enquêter sur une app locale permettant de suivre les femmes du pays en traquant leurs passeports, le sujet ne devrait probablement pas être abordé durant cette rencontre, bien que l’app soit toujours en ligne aujourd’hui.
Arabie saoudite : Apple va fliquer l’app de fliquage des femmes
Une attaque particulièrement bien ficelée cible des utilisateurs Apple
Les tentatives de phishing, relativement simples voire simplistes il y a quelques années, deviennent de plus en plus sophistiquées, au point qu’il pourrait devenir difficile de discerner certaines d’une conversation légitime avec une entreprise. Un utilisateur Apple, Eric Moret, a été la cible d’une de ces tentatives particulièrement bien ficelées.

Tout à commencé par un message texte contenant le bien connu code à six chiffres permettant d’authentifier une demande de connexion à un compte protégé par le système à double facteur. Signe que la demande était légitime, elle est apparue sur tous les appareils de l’utilisateur à la fois, indiquant un envoi depuis les serveurs officiels d’Apple. Par la suite, un appel automatique a encore une fois laissé une suite de six chiffres censés permettre d’autoriser une connexion sur un nouvel appareil. Clairement, quelqu’un essayait d’utiliser le compte en question.
L’affaire a pris une autre tournure quelques minutes plus tard : une personne bien réelle a appelé Eric Moret, indiquant faire partie du support Apple, et ne faisant aucun mystère sur la raison de son appel :
Votre compte Apple est en train de subir une attaque. Nous avons ouvert un ticket pour vous aider, quelqu’un va vous contacter rapidement.
Dix minutes plus tard, un nouvel appel est arrivé, cette fois bien plus long : après avoir ouvert un cas réel sur le site Apple au nom de la victime, l’interlocuteur a mené Eric Moret tout au long des étapes consistant à mettre un nouveau mot de passe sur son compte, en passant par l’e-mail qui venait de lui être envoyé. L’e-mail respectait non seulement tous les codes Apple, mais l’adresse de l’expéditeur était AppleSupport@email.apple.com. Rien d’étrange, et Eric suit donc la procédure pour réinitialiser son mot de passe, avec la personne au bout du fil.
Mais alors, comment l’arnaqueur prend possession du compte Apple, si tout est officiel ? C’est la clôture du dossier qui contient toute la machination : à la fin de la conversation, l’interlocuteur lui a signalé qu’il allait recevoir un message l’invitant à clore le ticket après avoir vérifié que tout fonctionnait. Message qui n’a pas tardé à arriver.

Sans se préoccuper plus que ça de la légitimité de ce message, Eric clique sur le lien. Lien qui l’envoie sur une page reprenant parfaitement les codes d’Apple, encore une fois, et indiquant précisément les étapes qu’il a suivies, du ticket ouvert au mot de passe changé, en passant par le verrouillage préventif de son compte. Ne restait plus qu’à clôturer le ticket.
L’interlocuteur toujours en ligne avec Eric, lui signale qu’il va recevoir un dernier code de confirmation à entrer sur la page pour pouvoir boucler le dossier, et retourner à ses occupations. Le SMS arrive avec les six chiffres, qu’Eric entre sur la page.
Les pirates ont maintenant accès à son compte : la page appeal-apple.com n’appartenant pas à Apple mais aux malandrins, il vient ainsi de donner les clés de son compte Apple aux vilains de l’histoire.
L’instant d’après, Eric reçoit un e-mail lui indiquant qu’un Mac mini venait de se connecter grâce à ses identifiants Apple. Sans se démonter, son interlocuteur lui indique que c’est normal, et que ça fait partie du process.
Eric Moret a eu la sage précaution de refaire la manipulation de réinitialisation de son mot de passe, sans l’aide de son interlocuteur cette fois. Bien lui en a pris, sinon son compte serait resté aux mains des pirates.
Les attaques sophistiquées comme celle-ci sont encore rares, mais elles sont amenées à se multiplier. Les nouveaux délinquants du milieu savent très bien que les e-mails jouant sur la peur du piratage, avec des bandeaux rouges clignotants ne servent plus à grand chose. Ils sont donc passés à des attaques bien plus ingénieuses, et plus difficiles à discerner de la réalité. Moralité : il faut redoubler de vigilance, et l’authentification à deux facteurs n’est pas l’alpha et l’oméga de la protection... elle peut même se retourner contre son utilisateur.
BOE se fait claquer la porte au nez par Apple pour la fourniture d’écrans d’iPhone
En 2022, BOE Displays faisait déjà parler d’elle en mal chez Cupertino, en modifiant des éléments des dalles qu’elle fournit à Apple sans prévenir son client. Aujourd’hui, la firme chinoise ne semble pas beaucoup plus fiable, obligeant Apple à mettre en pause sa collaboration avec ce fournisseur concernant les dalles des iPhone 17, comme le rapporte AppleInsider.

Apple a donc tranché, c’est l’heure de la valse des fournisseurs pour l’iPhone 17 : Samsung rafle la mise tandis que BOE, déjà figurant, se voit fermer la porte au nez. En coulisses, c’est une guerre froide technologique qui se joue, où un pixel défaillant peut valoir des millions perdus. Derrière la façade léchée du design californien, chaque dalle OLED cache une lutte féroce pour la fiabilité et l’innovation.
En plus de ses problèmes de production, BOE aurait modifié ses dalles OLED sans prévenir
BOE, acteur chinois prêt à tout pour s’imposer (il ambitionnait encore en 2022 de dépasser LG en tant que fournisseur), croyait tenir sa chance. L’entreprise a ainsi gonflé ses capacités jusqu’à la centaine de millions de panneaux par an. Mais la réalité est brutale : Apple lui a ouvert la porte… pour le seul marché chinois, et l’a tenue à l’écart de la scène mondiale. Il faut dire que les ambitions mondiales de BOE se fracassent sur le mur du déficit de rendement – 85% quand Samsung tourne à plein – et une réputation ternie par les bidouilles non autorisées de 2022. Au final, BOE qui plafonnait à 1% du gâteau doit céder ses options de vente à Samsung.
C’est le LTPO qui a tué dans l’œuf les ambitions de BOE. Pour Apple, impossible de faire l’impasse sur cette technologie lui permettant des taux de rafraîchissement variables. Pendant que Samsung et LG maîtrisent l’art, BOE accumule les échecs techniques. Pour Cupertino, hors de question de rejouer le feuilleton des écrans mal calibrés ou des lots pas à la hauteur vus sur certains iPhone précédents : la sanction, c’est le déclassement immédiat.
Pour s’assurer d’une production la plus unifiée possible, Apple a de toute façon choisi de se baser sur les écrans M14 de Samsung. Las de faire des compromis et des calibrations au cas par cas sur les écrans des différents fournisseurs, cette fois un seul modèle sert de ligne conductrice à tous, ce qui vient encore embêter BOE qui est aux prises avec un litige concernant certains brevets de Samsung.
En plus de ces déconvenues, BOE accumule décidément les problèmes, étant dans le viseur de l’administration américaine qui la soupçonne de collusion avec le gouvernement chinois. Si l’enquête menée par les services US devait aller jusqu’au bout, l’entreprise pourrait se voir complètement fermer le marché américain, rangée dans la case des entreprises liées au complexe militaro-industriel de l’Empire du milieu.
Si BOE a encore des espoirs pour l’avenir, ceux-ci s’amoindrissent au fur et à mesure que le temps passe : après les erreurs de 2022, le manque de qualité de 2025 pourrait bien lui valoir une fin de collaboration définitive avec Apple, alors qu’elle ambitionnait encore récemment d’être parmi les fournisseurs de l’iPhone Fold.
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- Royaume-Uni : le procès contre iCloud pourrait être gagné par Apple par manque de moyens du plaignant
Royaume-Uni : le procès contre iCloud pourrait être gagné par Apple par manque de moyens du plaignant
Si en tant qu’Européens nos yeux sont très souvent tournés vers le DMA concernant Apple, l’Union européenne n’est pas le seul endroit où les avocats de la firme ont de quoi travailler plus que de raison : la Grande-Bretagne a son lot de procès en cours, comme le rappelle MacRumors.

Récemment, Apple s’est vue refuser le droit de faire appel de la décision du tribunal britannique concernant un abus de position dominante sur l’App Store, ayant conduit à une compétition amoindrie et des prix artificiellement élevés, entre autres du fait des commissions prélevées par Cupertino sur chaque achat. Potentiellement, Apple risque des dommages et intérêts supérieurs à 1 milliard de dollars.
Mais c’est une autre affaire qui concentre actuellement les ténors engagés par la firme à la pomme : l’association de consommateurs Which, mandatée par certains adhérents, a lancé une procédure contre Apple pour pratiques anticoncurrentielles concernant iCloud, indiquant que Cupertino empêche les utilisateurs d’aller voir ailleurs en limitant les possibilités de sauvegarde alternative sur ses appareils, les forçant ainsi à passer au palier supérieur de stockage iCloud, et donc à payer un abonnement supplémentaire à Apple.
Royaume-Uni : une action de groupe contre Apple et son offre iCloud
La plainte portant sur le fonctionnement d’iCloud depuis le 1er octobre 2015 jusqu’à nos jours, elle pourrait si Which venait à gagner engendrer plus de 4 milliards de dollars de dommages et intérêts à payer pour Apple, et la pomme use donc de toutes les ficelles possibles pour gagner, voire empêcher la tenue du procès. Et le financier du procès vient possiblement de lui offrir une excuse sur un plateau d’argent : Litigation Capital Management (LCM), qui est derrière la procédure et gère les comptes de celle-ci, a perdu 99 % de sa valeur depuis novembre 2024, ne pesant plus que 16 petits millions de dollars.
Pour Apple, la question de la solidité de l’organisme se justifie : si Cupertino vient à gagner le procès, ou si un appel doit être lancé, LCM a-t-elle les reins assez solides pour payer les frais de la procédure, qui devront être remboursés au gagnant ? Apple indique que la situation financière de LCM aurait dû être rapportée bien plus tôt, afin de pouvoir prendre les dispositions nécessaires, que ce soit du côté des plaignants comme de l’autre. Si la procédure se poursuit pour le moment, le tribunal devra se prononcer sur le sujet, et est bien entendu attendu de pied ferme par Apple.
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- Test du Osmo Mobile 8 : le stabilisateur de DJI s'ouvre à DockKit, pour un suivi dans toutes les apps
Test du Osmo Mobile 8 : le stabilisateur de DJI s'ouvre à DockKit, pour un suivi dans toutes les apps
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- La Commission européenne recule sur le RGPD et l’AI Act : moins de bannières de cookies, plus de données pour les modèles
La Commission européenne recule sur le RGPD et l’AI Act : moins de bannières de cookies, plus de données pour les modèles
Face à des considérations économiques, technologiques et politiques, la Commission européenne a plié. Sous la pression combinée de l’Allemagne, des États-Unis et des géants de la tech, Bruxelles propose d’assouplir deux textes emblématiques du cadre numérique européen. Ces changements s’inscrivent dans un paquet législatif baptisé Digital Omnibus qui est censé remettre à niveau plusieurs règles devenues difficiles à appliquer ou inadaptées aux usages actuels.

Les bannières de cookies sur le gril
Dans ce train de mesures, Bruxelles propose notamment de simplifier le RGPD, la grande loi sur la protection des données adoptée il y a près de dix ans. Selon la Commission, l’explosion de l’IA impose de revoir certains points du règlement, suivant en cela une recommandation de Mario Draghi dans son rapport sur la compétitivité publié en 2024. Au lendemain de l’annonce d’un partenariat entre le Français Mistral et l’Allemand SAP autour d’une « IA souveraine » destinée à l'administration publique, Bruxelles veut faciliter le traitement des données personnelles afin de simplifier le développement des modèles.
La Commission propose ainsi que les données « pseudonymisées », c’est-à-dire qui empêchent de réidentifier les utilisateurs, sortent du champ du RGPD, ce qui les rendrait pleinement exploitables pour l’entraînement des modèles. Les données « sensibles », révélant des opinions politiques, une orientation sexuelle ou une pratique religieuse, resteraient en revanche protégées.
Dans le même mouvement, Bruxelles souhaite revoir les règles encadrant les cookies pour améliorer l’expérience en ligne. Il ne vous aura pas échappé qu’une première visite sur un site s’accompagne presque systématiquement d’un choix à faire sur le traitement des cookies. L’objectif est justement de réduire la prolifération des bannières et de permettre aux internautes de gérer leur consentement global en un seul clic, directement depuis le navigateur ou le système d’exploitation.
Selon le plan, les sites pourront s’abstenir de mettre des bannières pour les usages « inoffensifs » (comme le simple comptage des visites) et ils devront respecter les choix de cookies pendant au moins six mois. De quoi se passer d’extensions dédiées pour éviter des dizaines de clics… à condition que les navigateurs intègrent ce nouveau mécanisme.

L’AI Act remodelé
L’autre texte bien parti pour être rouvert est l’AI Act, pourtant adopté seulement l’an dernier. Outre la question des données disponibles pour l’entraînement, la Commission veut repousser à décembre 2027, au lieu d’août 2026, l’entrée en vigueur des obligations pesant sur les modèles dits « à haut risque », susceptibles d’avoir un impact sur la santé ou la sécurité. Elle souhaite également alléger les exigences de signalements en cybersécurité, aujourd’hui fragmentées entre plusieurs législations qui obligent parfois à déclarer un même incident à différentes autorités.
Ce virage réjouit la droite européenne et les grands patrons de la tech, qui y voient un moyen de renforcer la compétitivité du continent. À l’inverse, la gauche et les associations de défense des consommateurs dénoncent des concessions dangereuses. Si ces aménagements étaient adoptés, ils offriraient « aux entreprises d’IA un chèque en blanc pour aspirer les données personnelles des Européens », critique l’organisation de défense de la vie privée Noyb.
Pour le moment, il ne s’agit que de propositions de la Commission. Elles devront être examinées et votées par les parlementaires. Le Parti populaire européen, première force politique dans l’Union européenne, y semble favorable, mais elle devra rallier suffisamment d’alliés pour les faire adopter.
Elon Musk se dit prêt à intégrer Grok à Siri
Elon Musk propose de venir à la rescousse de Siri. Le patron de Tesla s’est dit prêt à aider Apple en y intégrant le tout frais Grok 4.1 de xAI. La déclaration a été faite en réponse à un tweet sur sa plateforme X et a de quoi surprendre quand on se souvient qu’Elon Musk a menacé d’attaquer Apple en justice il y a quelques mois, précisément à propos de Grok.
I’m down https://t.co/yNY2NtkTEc
— Elon Musk (@elonmusk) November 18, 2025
Le milliardaire américain avait accusé Cupertino de mettre en valeur ChatGPT sur l’App Store au détriment de Grok en août dernier. Il se demandait pourquoi son app n’était pas dans la section Incontournables de l’App Store malgré ses bons scores, contrairement au service d’OpenAI. Il a peu après porté plainte contre les deux entreprises, les accusant d’entente illégale.
Elon Musk porte plainte contre Apple et OpenAI pour entente illégale
Apple s’étant défendu en rapportant qu’il était « de notoriété publique » qu’elle avait l'intention de s'associer à d'autres chatbots IA à l'avenir. Si rien n’a été lancé officiellement pour le moment, les rumeurs voudraient que Google puisse prochainement y intégrer son Gemini en plus de ChatGPT. Cupertino s’est vue forcer la main au Japon, où les utilisateurs pourront bientôt choisir d’activer Alexa, Gemini ou un autre assistant à la sortie d’iOS 26.2.
Siri perd l'exclusivité de son bouton au Japon avec iOS 26.2
Dans tous les cas, Apple a prévu d’ouvrir son système à d’autres assistants IA suite au fiasco de ses avancées dans le domaine. Grok pourrait donc finir par arriver, mais on serait surpris qu’il soit dans les starting-blocks : le tchatbot a dérapé de nombreuses fois sur des sujets variés, ce qui ne plaît sans doute pas à Apple. On peut s’attendre à ce qu’elle privilégie ses concurrents moins clivants.
La nouvelle tombe alors qu’Elon Musk vient de mettre en ligne la version 4.1 de Grok, qui raisonne de manière plus efficace tout en étant plus créatif. Le modèle est également moins sujet aux hallucinations et a un ton visant à rendre les conversations plus proches de celles que l’on aurait avec un véritable assistant humain.
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- Modifier l'arrière-plan d'une photo sans y passer trois heures : voici Aiarty Image Matting à - 40 % avec mises à jour
Modifier l'arrière-plan d'une photo sans y passer trois heures : voici Aiarty Image Matting à - 40 % avec mises à jour
Retoucher des photos sur Mac, c'est souvent plus compliqué qu'on ne le voudrait. Détourer un portrait à la main prend un temps fou, et les outils en ligne se perdent dès qu'il y a des cheveux, de la transparence ou une lumière un peu capricieuse. Sans parler du fait qu'on confie ses images à un serveur inconnu.

Aiarty Image Matting travaille différemment. Ce logiciel tourne directement sur votre ordinateur, sans connexion internet requise. Il utilise l'intelligence artificielle pour séparer ce qui compte du reste, que ce soit pour retirer un fond, le flouter ou le remplacer. Pas de compte à créer, pas d'abonnement mensuel qui s'accumule, juste un outil qui fait son travail là où vous en avez besoin. Photo de profil, portrait administratif, visuel produit ou simple cliché iPhone pour les réseaux sociaux : tout passe par le même pipeline.
Une offre Black Friday qui change la donne
Jusqu'à la fin du mois, la licence à vie d'Aiarty Image Matting est proposée à 40% de réduction. Concrètement, vous payez une fois et c'est réglé. Le logiciel s'installe sur trois machines, reçoit toutes les mises à jour futures et ne vous demandera jamais de rallonger la carte bleue.
Profiter de la réduction de 40% sur la licence à vie

Retirer l'arrière-plan, vraiment
Détourer manuellement un sujet, surtout quand il a des cheveux qui volent, du pelage ou des matières semi-transparentes comme du verre ou de la dentelle, c'est le genre de tâche qui finit par vous faire regretter d'avoir ouvert Photoshop. L'intelligence artificielle d'Aiarty analyse l'image et isole automatiquement ce qui doit rester. En quelques secondes, vous obtenez un détourage propre.

Le logiciel gère aussi le traitement par lot. Vous pouvez lui donner des centaines d'images d'un coup et les exporter en résolution 10K. Pratique quand on doit préparer une série de portraits LinkedIn, standardiser des photos produits pour une boutique en ligne, ou créer des visuels administratifs avec un fond uniforme.

Flouter plutôt que supprimer
Parfois, on ne veut pas effacer complètement l'arrière-plan, juste le mettre en retrait. Aiarty Image Matting permet d'adoucir ce qui se trouve derrière le sujet tout en gardant le premier plan net. L'intensité se règle en direct, avec un aperçu immédiat.

Ça fonctionne bien pour les portraits pris avec un iPhone dans des conditions d'éclairage ordinaires, les photos professionnelles où le contexte doit s'effacer, ou les visuels marketing où le produit mérite toute l'attention.

Changer de décor
Remplacer un arrière-plan se fait avec la même logique. Vous pouvez mettre une couleur unie, importer une autre image, ou laisser la transparence intacte pour composer plus tard ailleurs. L'algorithme respecte les bords délicats et les zones semi-transparentes, ce qui évite les raccords grossiers qu'on voit souvent avec des outils plus rudimentaires.
Cette souplesse sert dans plusieurs cas de figure : actualiser des photos de profil professionnel, uniformiser des fonds pour du commerce en ligne, ou réutiliser la même prise de vue dans différents contextes selon le support de diffusion.

Quatre modèles pour quatre approches
Aiarty Image Matting embarque quatre algorithmes distincts, chacun calibré pour un type de situation précis. AlphaStandard V2 constitue le modèle polyvalent, celui qui trouve l'équilibre entre vitesse, netteté des contours et rendu naturel de la luminosité. AlphaEdge privilégie la précision des bordures et convient aux sujets qui demandent des limites franches. EdgeClear conserve les micro-détails comme les cheveux, la fourrure ou les tissus ajourés. SolidMat produit des masques denses pour les objets opaques ou les compositions simples.
Choisir le bon modèle en fonction de ce qu'on photographie fait la différence entre un résultat qui passe inaperçu et un rendu qui trahit le montage.

Les petits plus qui comptent
Au-delà du détourage de base, le logiciel propose quelques outils annexes qui évitent de jongler entre plusieurs applications. On peut affiner les contours avec des pinceaux et des gommes, ajuster la transparence alpha, inverser le masque ou moduler les transitions. L'export grimpe jusqu'à 10K de résolution sans perte de qualité, et le traitement par lot accepte jusqu'à 3000 images en une seule passe. Rotation, recadrage, réduction du bruit et du flou : tout se règle dans la même interface.
Et puisque tout fonctionne hors ligne, vos images restent sur votre disque dur. Pas de transit par des serveurs tiers, pas de questions à se poser sur ce qui advient de vos données. Le logiciel tourne aussi bien sur Mac que sur Windows.

Aiarty Image Matting s'intègre dans un flux de travail Mac classique et traite directement les photos iPhone ou reflex. En regroupant suppression, floutage et remplacement d'arrière-plan dans un seul outil, il réduit des heures de bidouillage manuel à quelques minutes de paramétrage. Que ce soit pour des portraits personnels, des images professionnelles, de la photographie produit ou des projets créatifs, le logiciel fait ce qu'on lui demande sans faire de chichis.

L'offre Black Friday en détail
La licence à vie est disponible avec 40 % de réduction, ce qui en fait le tarif le plus bas de l'année. Toutes les évolutions futures sont incluses, sans frais supplémentaires ni renouvellement caché. De quoi simplifier la retouche photo sur Mac sans se ruiner ni s'abonner à perpétuité.
Éclairage des bords : coup d'œil sur l'anneau lumineux de macOS 26.2
macOS 26.2 va apporter une nouveauté intéressante pour les adeptes des visioconférences : un anneau lumineux (ou ring light) pouvant être activé lorsque la webcam est allumée. Cette option baptisée Éclairage des bords est à aller chercher dans la barre des menus, en cliquant sur l’icône verte en forme de caméra.
Cela a pour effet de faire apparaître une bande sur les bordures du Mac, imitant le style d’un ring light. On peut l’ajuster depuis la barre des menus : il est possible de la rendre plus épaisse, mais aussi de la faire tirer vers le jaune ou le bleu. L’idée est d'offrir un meilleur rendu dans les pièces moins éclairées. La nouveauté n’est proposée que sur les machines Apple Silicon, et fonctionne sur toutes les apps activant la webcam.
Apple explique que le Neural Engine du Mac est capable de détecter votre visage, sa taille et son emplacement dans le cadre afin de positionner la lumière de manière appropriée. Celle-ci peut également s’activer sur un écran tiers. La bordure lumineuse s’évapore lorsque votre curseur s’en approche, par exemple pour montrer une icône qu’elle recouvre dans le dock.
Les propriétaires d’un Mac datant de 2024 ou plus récents auront droit à un petit avantage : la fonction peut s’activer toute seule quand l’éclairage ambiant est trop faible. Ici aussi, l’option s’active depuis la barre des menus. Est-ce efficace ? Je n’ai pas remarqué de différence dans un environnement faiblement éclairé sur mon MacBook Air M1. On note du mieux quand on est quasiment dans le noir, mais il y a fort à parier que vous irez allumer la lumière pour faire une visio. La technologie est plus adaptée aux MacBook Pro à écran mini-LED, et sera sans doute très efficace sur le futur MacBook Pro OLED que voient arriver les rumeurs.

Bref, c’est une nouveauté rigolote, mais loin d'être indispensable. Apple a amélioré la qualité des webcams de ses Mac au fil du temps, même le MacBook Air embarquant désormais une caméra 12 Mpx avec Cadre centré donnant un bien meilleur rendu qu’auparavant. Pour les visios importantes, il sera probablement plus judicieux d’utiliser votre iPhone comme webcam grâce à Continuité avant de réquisitionner une lampe de chevet. Sinon, un accessoire comme la Litra Glow de Logitech pourra facilement améliorer votre qualité d’image.
iPhone 17 : la puce Apple N1 propulse les performances Wi-Fi
Apple fait une entrée plus que réussie dans le monde des puces Wi-Fi. D’après les mesures recueillies par Ookla via le service Speedtest, sa puce maison N1 améliore significativement les performances des iPhone 17 et iPhone Air par rapport aux iPhone 16 équipés en Broadcom. En réception comme en envoi, les débits progressent nettement, et ce dans tous les pays étudiés. À l’échelle mondiale, l’avantage tourne jusqu’à 40 % en faveur de la nouvelle puce.

Comparés aux smartphones Android, les iPhone 17 sont dans un mouchoir de poche avec les Pixel 10 de Google (puce Broadcom), les meilleurs toutes catégories confondues. Le Pixel 10 Pro a enregistré la vitesse de téléchargement médiane la plus élevée au monde, à 353 Mbit/s, devançant de peu la gamme iPhone 17 à 329 Mbit/s.
Sur le papier, l’affaire n’était pourtant pas gagnée pour Apple. Comme sur les iPhone 16, le Wi-Fi 7 des iPhone 17/Air est limité à des canaux de 160 MHz, quand Qualcomm ou MediaTek proposent des puces capables de tirer parti de canaux 320 MHz. En théorie, cette limitation technique réduit largement les débits de pointe. Mais les données collectées par Ookla montrent que cette caractéristique n’a que peu d’effet sur les performances réelles pour l’instant.

« Cela explique peut-être aussi pourquoi Apple a choisi de ne pas intégrer cette fonctionnalité au N1, même si le gain de performance offert par une puce compatible 320 MHz est susceptible de croître avec la maturation de l'écosystème Wi-Fi, faisant de cette fonctionnalité un atout pour l'avenir des smartphones Android haut de gamme qui en sont équipés », observe le spécialiste des connexions. On espère maintenant que la puce N1 trouvera vite sa place dans d'autres produits, au contraire du MacBook Pro M5 qui est passé à côté et qui doit se cantonner au Wi-Fi 6E.