Bienvenue sur Ashenfall, terre mystérieuse et dangereuse où l’antique sommeil des dragons a pris fin. RuneScape: Dragonwilds vous invite dans une expérience immersive alliant exploration et survie dans un monde fantastique en proie au chaos draconique. Dans cet univers hostile, votre habileté à exploiter les ressources naturelles, ériger des structures défensives et forger des équipements deviendra la clé de votre progression. Mais, parmi toutes ces compétences vitales, l’art culinaire occupe une place prépondérante, car c’est de votre capacité à vous nourrir que dépendra votre survie face aux nombreux dangers qui peuplent Ashenfall.
Cuisiner de bons petits plats dans RuneScape: Dragonwilds
La cuisine dans RuneScape: Dragonwilds représente bien plus qu’une simple mécanique de jeu – c’est un élément fondamental de survie qui vous permet de maintenir votre jauge de faim à un niveau acceptable. Pour cuisiner dans Dragonwilds, vous aurez besoin d’équipements spécifiques. Deux options s’offrent à vous dès les premiers instants de jeu : le feu de camp ou le chaudron.
Feu de camp : la base de toute aventure
Les deux permettent de cuisiner des aliments comme les viandes récoltées sur les créatures que vous aurez sauvagement abattues (poulet, rat, vache, cerf et etc) mais l’un est plus permissif que l’autre. En effet, le feu de camp ne permet de cuisiner qu’un seul élément à la fois tandis que le chaudron vous offre la possibilité de combiner jusqu’à deux ingrédients différents pour créer des plats plus élaborés comme des ragoûts ou des soupes. Ces préparations complexes présentent l’avantage significatif de remplir davantage votre jauge de faim, vous permettant de rester rassasié plus longtemps.
Associez deux ingrédients dans le chaudron pour obtenir un plat préparéLes ingrédients utilisez font varier les plats
Le feu de camp tout comme le chaudron peuvent être construits dès le début du jeu depuis l’interface de construction avec la touche B du clavier. Chaque préparation/cuisson requiert du bois en guise de combustible, veillez à toujours en avoir sur vous lorsque vous souhaitez concocter de bons petits plats. À savoir, ils permettent également de créer de l’eau propre.
En résumé, la cuisine dans RuneScape: Dragonwilds suit un processus relativement simple :
Collecte des ingrédients : Chassez des animaux pour obtenir de la viande, récoltez des fruits et légumes sauvages.
Préparation du poste de cuisine : assurez-vous d’avoir un feu de camp ou un chaudron
Préparez du combustible (bois) et toujours en avoir dans son inventaire
RuneScape: Dragonwilds vous plonge dans l’environnement impitoyable d’Ashenfall, un continent oublié désormais ravagé par le réveil brutal des dragons. Ce spin-off de la licence réinvente les codes de la franchise en adoptant un gameplay orienté survie et coopération. Que vous partiez seul ou en groupe jusqu’à quatre joueurs, la clé de la réussite réside dans la préparation et la stratégie. Voici cinq conseils essentiels pour survivre à vos premiers jours sur ces terres inconnues.
Conseil n°1 : Établir une base stratégique
Établir une base solide dans les zones de niveau 1 est primordial pour votre survie à long terme. Choisissez un emplacement proche d’une source d’eau pour faciliter la récolte et la purification d’eau, élément essentiel à votre survie. Construisez un feu de camp pour cuisiner les viandes des petits animaux environnants comme les poules et les rats, ainsi qu’un établi pour fabriquer vos premiers outils. N’oubliez pas de créer un lit et de le revendiquer comme vôtre. Cela vous permettra de définir votre point de réapparition en cas de décès, vous évitant de recommencer depuis le point de départ initial. Une base bien placée et équipée constitue le fondement d’une progression efficace dans les premières heures de jeu.
Conseil n°2 : Récolter méthodiquement
Adoptez une approche méthodique de la récolte de ressources. Collectez tout ce que vous pouvez trouver – bois, pierres, fibres végétales, minerais – car ces matériaux s’épuisent rapidement lors de la création d’équipement et d’outils. Cependant, restez attentif à la gestion de votre inventaire, limité tant en capacité qu’en poids transportable. Pour pallier cette limitation, construisez des coffres dans votre base afin de stocker l’excédent de ressources. Organisez vos coffres par catégories de matériaux pour retrouver facilement ce dont vous avez besoin. Une bonne gestion des ressources dès le début vous évitera de nombreuses frustrations plus tard.
Conseil n°3 : La progression des compétences permet de progresser dans l’aventure
Contrairement aux RPG traditionnels, RuneScape: Dragonwilds ne vous permet pas d’allouer librement des points de compétences à chaque montée de niveau. Le jeu suit une progression prédéfinie pour chaque compétence. Chaque action spécifique – couper du bois, miner des minéraux, combattre des ennemis – génère de l’expérience dans la compétence correspondante (nature, minage, combat, etc.). Prenez le temps d’investir dans ces activités répétitives dès le début du jeu, même si cela peut paraître fastidieux. Cette patience portera ses fruits, car la montée en niveau de vos compétences débloquera progressivement de nouveaux plans de fabrication pour des armes, armures et outils plus puissants, ainsi que des capacités essentielles pour explorer les zones plus dangereuses. Le plan de construction de l’arc, par exemple, ne peut s’obtenir qu’en construisant certains établis et outils.
Conseil n°4 : Exploiter la magie efficacement
La magie représente un atout majeur pour progresser rapidement dans RuneScape: Dragonwilds. Bien que l’utilisation de sorts nécessite des runes, certaines compétences magiques peuvent considérablement accélérer le développement de vos métiers et compétences diverses. Investissez tôt dans la création et collectes de runes pour améliorer vos capacités de récolte et de fabrication. Certains sorts peuvent doubler, voire tripler votre rendement en ressources pour le même temps investi.
Un sort de bûcheronPermet de couper rapidement 4 voire 5 arbres
Conseil n°5 : La mort n’est pas définitive mais gare à votre équipement
La mort dans RuneScape: Dragonwilds entraîne la perte temporaire de votre équipement, laissé sur le lieu de votre décès. Ne paniquez pas : vous pouvez récupérer la totalité de votre matériel en retournant à l’endroit où vous êtes tombé au combat, si tant est que cette zone soit proche de votre lieu de réapparition.
Pour faciliter cette récupération, particulièrement dans les zones dangereuses ou les donjons, adoptez une stratégie préventive en construisant des lits secondaires à revendiquer à proximité des zones à risque. Ces points de réapparition stratégiques vous permettront de revenir rapidement récupérer votre équipement sans traverser de longues distances hostiles. N’oubliez pas de prévoir un équipement de secours basique dans un coffre proche de votre lit principal pour faciliter ces missions de récupération.
En suivant ces cinq conseils fondamentaux, vous poserez des bases solides pour votre aventure dans RuneScape: Dragonwilds et augmenterez significativement vos chances de survie dans le dangereux continent d’Ashenfall.
RuneScape: Dragonwilds est une nouvelle aventure qui se déroule sur Ashenfall, un continent oublié où les dragons se sont récemment réveillés, plongeant la région dans le chaos et le danger. Contrairement aux versions traditionnelles de RuneScape, Dragonwilds adopte une approche orientée survie que vous pouvez explorer en solo ou en coopération avec jusqu’à 4 joueurs. Le jeu vous met au défi de récolter des ressources, cuisiner pour vous sustenter, bâtir des forteresses défensives et fabriquer des armes et des armures pour progresser dans l’aventure. La survie est donc une composante essentielle et quoi de mieux qu’un peu d’eau propre pour étancher sa soif et prolonger la durée de vie de son personnage ?
Récoltez de l’eau sale
Pour obtenir de l’eau propre dans RuneScape: Dragonwilds, vous devrez d’abord trouver un point d’eau comme un lac, une rivière ou un étang dans l’environnement. Approchez-vous du bord de l’eau et récoltez-la. L’eau sera sale et même si elle peut être consommée en l’état, elle est très peu désaltérante et rend malade. Elle n’est donc pas conseillée à la consommation directe. Découvrez nos autres conseils pour débuter l’aventure.
Créez un feu de camp ou une cuisine
La seconde étape consiste à créer un feu de camp (ou une cuisine). Pour cela, récoltez du bois en abattant des arbres ou en ramassant des branches que vous trouverez au sol et des pierres. Créez un feu de camp grâce au menu de construction et la touche B de votre clavier. Il permet aussi de cuisiner.
Transformez l’eau sale en eau propre
Une fois votre feu créé, approchez-vous et interagissez avec celui-ci tout en ayant l’eau sale dans votre inventaire ainsi que du bois pour le combustible. Le jeu vous permettra alors de transformer votre eau sale en eau propre en la faisant bouillir. Un processus de purification commencera alors, nécessitant un court temps d’attente. Il faut deux eaux sales pour une eau propre, mais par chance, elle se collecte plutôt facilement et rapidement.
Lorsque le processus est terminé, vous pourrez récolter l’eau propre à côté du feu de camp. Cette eau purifiée peut désormais être consommée sans risque de maladie et restaure davantage de points d’hydratation que l’eau sale, ce qui en fait une ressource précieuse dans votre quête de survie.
L’importance de l’eau propre
Établir votre base près d’un point d’eau facilitera grandement l’accès à cette ressource vitale. Si vous jouez en groupe, il peut être judicieux de désigner un joueur responsable de la gestion de l’eau pour faciliter les opérations. Dans RuneScape: Dragonwilds, la survie est primordiale, et l’hydratation est l’un des aspects fondamentaux à gérer. Boire de l’eau sale directement des points d’eau peut étancher temporairement votre soif, mais risque de vous rendre malade, affectant négativement vos statistiques et capacités.
Le désert d’Arrakis s’apprête à s’ouvrir aux joueurs. Dune: Awakening, inspiré de l’univers de Frank Herbert et des adaptations cinématographiques de Denis Villeneuve, dévoile les contours de son monde ouvert de survie. Une bêta à grande échelle, du 9 au 12 mai, précédera la sortie officielle prévue le 10 juin.
Dune: Awakening plonge les joueurs dans un monde où les tempêtes de sable, les créatures gigantesques et les secrets enfouis forgent le monde hostile d’Arrakis. La dernière bande-annonce offre un aperçu de cette aventure épique, entre mysticisme et survie. La bêta qui se tiendra du 9 au 12 mai marquera un tournant, avec une ouverture au public bien plus large que lors des tests précédents. Les joueurs pourront découvrir près de 20 heures de contenu, correspondant à une grande partie du premier acte. Pour la première fois, aucune clause de confidentialité ne restreindra les participants, rendant le jeu librement partageable et diffusable.
Le 10 mai, la Global Dune: Awakening LAN Party réunira la communauté à Londres et à la PAX East, avec des invités internationaux et une compétition opposant plusieurs créateurs de contenu. Cet événement sera aussi l’occasion de recueillir les précieuses clés d’accès à la bêta, distribuées en direct aux spectateurs. Les plus impatients peuvent dès maintenant précommander le jeu sur Steam. En optant pour les éditions Deluxe ou Ultimate, ils bénéficieront de cinq jours d’accès anticipé et de bonus exclusifs pour personnaliser leur expérience sur Arrakis.
Dune: Awakening sera disponible le 10 juin prochain sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.
Le très attendu reboot de Skate, développé par Full Circle, se précise. Prévu en accès anticipé pour 2025, le jeu promet une expérience en ligne immersive et évolutive, mais nécessitera obligatoirement une connexion Internet pour jouer.
Dans une série de billets baptisée The Grind, Full Circle détaille sa vision ambitieuse : faire de Skate un bac à sable en ligne, vivant et en perpétuelle évolution, construit avec le retour de la communauté. Le lancement en accès anticipé ne sera que le point de départ, avec des mises à jour régulières, de nouveaux contenus et des événements dynamiques qui viendront enrichir la ville fictive de San Vansterdam.
Le studio a confirmé à nouveau que Skate ne proposera pas de mode hors ligne. Cette décision est justifiée par la nature du jeu, pensé comme un monde partagé et actif.
Le jeu et la ville sont conçus pour être un univers de skateboard en ligne, vivant et en constante évolution.
Parmi les fonctionnalités confirmées : le cross-play sera de la partie, et les joueurs ayant participé aux phases de playtest récupéreront la monnaie virtuelle qu’ils y auront dépensée lors du lancement en accès anticipé.
Révélé en grande pompe en juin 2020, Skate avait suscité un engouement immédiat, battant les records d’engagement sur Twitter pour EA. Premier jeu du studio canadien Full Circle, mené par Daniel McCulloch (ancien cadre de Xbox Live), Skate entend redéfinir les jeux de glisse à l’ère du jeu-service.
Le jeu est attendu sur PC, Xbox Series X|S, Xbox One, PS5 et PS4.
S’il devient de plus en plus courant que l’industrie vidéoludique inspire celle du septième art, certains concepts de jeux vidéo semblent parfaitement coller à des scénarios de films. C’est le cas pour Split Fiction, un jeu d’action-aventure coopératif sorti récemment.
Split Fiction est la dernière grosse production de Hazelight Studios, ayant eu un petit succès auprès d’une communauté de joueurs venus de milieux variés et de tous les âges. Il n’est donc pas étonnant qu’une production capable de toucher un large public, au concept sympathique et mettant en scène des personnages à l’écriture travaillée, ait tapé dans l’œil de certains acteurs, réalisateurs et scénaristes d’Hollywood.
C’est par le biais du site américain Variety que nous apprenons la nouvelle : Split Fiction sera adapté en film avec l’actrice Sydney Sweeney, connue pour des films comme Tout Sauf toi ou des séries comme Euphoria où elle joue un des rôles principaux. Nous ne savons pas encore laquelle des deux personnages du jeu, Zoe et Mio, l’actrice interprètera pour cette version cinématographique.
Le réalisateur sera Jon Chu, connus pour les comédies musicales D’où l’on vient et Wicked, ayant obtenu 10 nominations aux Oscars 2025. À l’écriture, nous y retrouverons Rhett Reese et Paul Wernick, les scénaristes du récent film Deadpool et Wolverine.
Le studio de production en charge du projet est Story Kitchen, anciennement dj2 Entertainment, spécialisé dans l’adaptation de jeux vidéos. Cette société ayant déjà travaillé sur les films Sonic et prévoyant d’autres adaptations de jeux vidéos pour le futur, comme Sifu ou Vampire Survivors. Le projet semble être entre de bonnes mains.
Pour rappel, Split Fiction suit l’aventure de deux auteures, parcourant ensemble des mondes imaginaires basés sur des histoires que chacune a tenté de publier. Les niveaux parcourus durant le jeu reflètent ainsi des morceaux de vie de leurs créatrices. Découvrez notre test et présentation du jeu juste ici.
Avec son univers original et ses personnages, il y a des chances pour que Split Fiction soit un bon film, capable de toucher bien plus de personnes que sa version vidéoludique. Appréciez-vous de voir un jeu vidéo adapté pour le grand ou le petit écran ? En tout cas, Hollywood semble vouloir creuser toujours plus le sujet pour trouver du public.
Capcom vient de dévoiler le trailer gameplay d’Elena, nouveau personnage jouable de Street Fighter 6, disponible en DLC à partir du 5 juin. Cette mise à jour marquera aussi la sortie du jeu sur Nintendo Switch 2 et le lancement de l’édition Years 1-2 Fighters Edition.
Un style unique entre danse et combat
Elena revient avec son style inimitable inspiré de la capoeira, mélange de danse, d’arts martiaux et d’acrobaties. Son gameplay repose sur sa grande agilité, ses coups de jambes imprévisibles et une fluidité constante dans ses enchaînements, fidèles à son identité depuis Street Fighter III.
Deux tenues disponibles :
Tenue 1 : son nouveau design dans Street Fighter 6, moderne et élégant.
Tenue 2 : son look classique issu de SFIII et Ultra SFIV, déblocable en maximisant votre lien dans le World Tour ou via des Fighter Coins.
Vous pourrez jouer Elena dans les 3 modes de jeu : World Tour, Fighting Ground et Battle Hub.
Un gameplay mobile et explosif
Capcom en a profité pour dévoiler une partie du moveset du personnage. Voici quelques-unes de ses techniques phares :
Rhino Horn : coups de pied rapides qui repoussent l’adversaire
Scratch Wheel : son anti-air signature
Lynx Song : attaque au sol permettant d’enchaîner 4 variantes :
Leopard Snap (attaque longue portée)
Harvest Circle (lance l’adversaire en l’air)
Mallet Smash (kick en overhead)
Lynx Whirl (enchaînement renforcé)
Spinning Scythe : série de coups de pied tournoyants avec options de suivi
Moon Glider : esquive puis d’un coup de pied vertical aérien
Super Art niveau 1 – Meteor Volley : anti-air avec possibilité d’enchaîner
Super Art niveau 2 – Revival Dance : rush de coups invincibles, ou soin si vous maintenez “bas”
Super Art niveau 3 – Song of the Grasslands : combo final inspiré des éléments
Une nouvelle arène : Reniala Remains
Capcom ajoute aussi un nouveau stage, Reniala Remains, une plaine africaine baignée de lune, où des animaux sauvages errent à l’arrière-plan. L’ambiance colle parfaitement à l’univers d’Elena.
Un patch d’équilibrage global arrive en même temps
Capcom va également lancer une mise à jour de rééquilibrage majeure pour les 25 personnages disponibles et modifier certains systèmes de jeu. Les patch notes arriveront dans la foulée de l’arrivée d’Elena dans le roster.
Avec son style unique, sa palette de coups imprévisibles et une mise à jour d’équilibrage attendue, Elena promet de faire bouger les choses dans Street Fighter 6. Que vous soyez curieux de tester ses enchaînements capoeira ou juste prêt pour un nouveau défi, rendez-vous le 5 juin pour entrer dans la danse.
Lorsque l’on parle de jeu vidéo, la notion d’immersion revient très régulièrement, si ce n’est continuellement. Le but de l’immersion est avant tout de réussir à captiver le joueur et à lui donner la sensation de vivre pleinement son expérience virtuelle, quitte à lui faire oublier temporairement le monde réel. Cette notion conditionne l’industrie et, si elle façonne parfois à elle seule des jeux, elle est également le point de départ de la création d’accessoires qui nous permettent de mieux nous plonger dans nos jeux. C’est notamment le pari du Razer Freyja, un coussin haptique qui, parti d’un simple prototype présenté au CES 2024, est devenu une réalité.
D’Esther à Freyja
Comme chaque année, Razer était présent au CES 2024, qui se tenait à Las Vegas. Parmi ses nouveautés, on trouvait de nouvelles versions de ses ordinateurs portables (les fameux Razer Blade), un dock USB-C pour ordinateur, ou encore une nouvelle chaise gaming : la Razer Iskur. Ainsi qu’un projet un peu fou, qui représente bien la philosophie de la marque en matière d’innovation et de technologie, à savoir un coussin proposant des vibrations haptiques.
Sobrement nommé Esther, ce projet n’avait pas pour but d’être commercialisé tel quel, mais proposait tout de même aux visiteurs du salon d’essayer une proposition assez ambitieuse. Non pas que Razer soit le premier acteur à se lancer dans le monde très fermé des retours haptiques — on pense notamment au Subpac —, mais voir une marque grand public telle que Razer s’essayer à cet exercice peut laisser augurer de très belles choses pour la suite. La marque, qui se veut être le leader en matière de lifestyle gaming, possède une véritable force de frappe et des moyens suffisants pour offrir aux joueurs plus casual une expérience immersive, sans avoir à passer par des installations pensées pour les nerds.
C’est ainsi qu’en fin d’année dernière, Razer a commercialisé le Razer Freyja, l’évolution du projet Esther pensée pour le grand public. Notre première approche du produit fut intéressante et nous a clairement donné envie de le tester davantage, afin de savoir s’il s’agit d’un véritable indispensable pour tout amateur d’immersion vidéoludique ou d’un simple gadget destiné aux geeks les plus hardcore. Et comme vous allez le voir, notre réponse est plus nuancée que cela.
Pas de surprise concernant le design, on retrouve la ligne directrice du constructeur
Une belle fabrication à la hauteur de Razer
Le Freyja affiche une sobriété élégante propre à la marque, avec une mousse en polyuréthane dont les coutures arborent le vert iconique de Razer. Le logo rétroéclairé trône fièrement sur la partie supérieure du coussin. L’accessoire présente une belle qualité de fabrication et respire la solidité, avec des matériaux agréables au toucher. C’est important, surtout lors de longues sessions de jeu.
Le coussin n’est pas trop épais, mais il nécessite tout de même quelques ajustements de la hauteur d’assise, ce qui ne pose aucun problème avec la plupart des fauteuils gaming ou sièges ergonomiques. C’est surtout en ce qui concerne la profondeur de votre siège que la différence pourra être notable, puisque l’écart entre les jambes et l’avant du fauteuil n’est pas à négliger pour le confort.
Le Freyja est compatible avec la majorité des fauteuils gaming, voire même avec de simples sièges de bureau. Nous avons même tenté de l’installer sur une simple chaise de cuisine, et celui-ci s’est parfaitement adapté, même si ce n’est évidemment pas l’usage auquel il est destiné. L’idée est de vous montrer que l’accessoire devrait s’intégrer sans aucun problème à votre setup, bien que cela ne soit pas garanti à 100 % par le constructeur. Quant à l’installation sur le siège, elle se fait au moyen de sangles élastiques et ajustables, et une fois en place, le Freyja ne devrait pas bouger d’un iota.
Caractéristiques techniques et connectivité
Le coussin embarque six moteurs haptiques haute définition, répartis de manière stratégique afin de transmettre des vibrations directionnelles et précises. On retrouve quatre transducteurs haptiques dans le dossier (deux à gauche et deux à droite), tandis que deux autres sont placés au niveau de l’assise. Le Freyja ne pèse d’ailleurs pas très lourd et peut facilement être transporté d’une pièce à l’autre grâce à son poids d’environ 2,5 kilos. Il manque éventuellement une sangle de transport, mais l’appareil n’a pas non plus été conçu comme un accessoire nomade — nous n’en tiendrons évidemment pas rigueur au constructeur.
En matière de connectivité, le Freyja s’émancipe des longs câbles qui partent dans tous les sens, puisque la seule connectique filaire présente est celle destinée à l’alimentation du coussin. Un avantage pour certains, une contrainte pour d’autres : avec seulement deux mètres d’allonge, il faudra peut-être prévoir une rallonge électrique. Pour le reste, l’accessoire se connecte via un dongle Razer HyperSpeed Wireless 2,4 GHz, ainsi que par Bluetooth.
La compatibilité du Razer Freyja nous laisse, en revanche, quelque peu mitigés. En effet, le produit est uniquement compatible avec les PC (oubliez immédiatement son acquisition si vous possédez un Mac — l’application Synapse n’est de toute façon plus compatible depuis bien longtemps avec les ordinateurs à la pomme) et avec les smartphones Android, via l’application Nexus. Si la compatibilité avec les téléphones Android constitue un atout appréciable, auquel nous ne nous attendions pas forcément, il est difficile de ne pas s’étonner de l’absence de support pour l’iPhone — d’autant que l’application Nexus est bien disponible sur l’App Store. Un choix regrettable, surtout lorsque l’on sait que le Razer Freyja ne se limite pas au jeu vidéo, mais s’adresse également aux amateurs de films et de musique.
La connectivité filaire du Freyja se limite à l’alimentation : le reste se fait en sans-fil
2 modes de fonctionnement et une infinité de possibilités
Si le Razer Freyja est compatible avec tous les jeux, mais aussi avec les films et les contenus audio, c’est grâce à la technologie Audio-to-Haptics, qui transforme automatiquement tout type de signal sonore en vibrations haptiques. Cela permet d’obtenir, sur les basses fréquences, des retours haptiques que l’on peut configurer à loisir via Razer Synapse 4. En explorant plus en profondeur les paramètres de l’application, il est possible d’affiner les réglages afin d’obtenir des retours plus subtils, moins bruts, et de définir l’intensité des vibrations en fonction des plages de fréquence.
Cette solution évite de se contenter des réglages préconfigurés du coussin — qu’il convient tout de même de mentionner, car une simple pression sur les boutons de la commande située sur le côté gauche permet de basculer rapidement d’un mode d’intensité à l’autre. Ces réglages peuvent néanmoins sembler un peu grossiers à certains utilisateurs. Cela se vérifie d’autant plus selon les types de jeux : un jeu d’action riche en explosions et en impacts génèrera naturellement davantage de retours haptiques qu’un titre à l’ambiance plus feutrée.
Si à l’usage ce mode s’avère assez ludique, il n’est pas forcément recommandé pour les jeux compétitifs comme Valorant ou Counter-Strike 2, mais plutôt pour les expériences solo ou les jeux multijoueurs qui ne nécessitent pas une concentration extrême. Le fait est que les vibrations sont déclenchées en fonction de l’audio, ce qui signifie que les six transducteurs réagiront à chaque son d’une certaine fréquence.
Le résultat peut alors devenir confus, surtout avec des jeux comme Dark Souls III ou Elden Ring, dont les bandes-son enveloppent largement l’espace audio. Puisque le coussin réagit uniquement à certaines fréquences, il ne fait aucune distinction entre la musique, les bruits d’épée ou les divers événements environnants. Même le son de certains effets de menu peut être pris en compte, ce qui peut entraîner un rendu brouillon, voire déroutant.
L’expérience est assez similaire côté films. Le traitement audio y étant très différent, le côté amusant des retours haptiques peut rapidement devenir lassant. On vous laisse imaginer le résultat avec la quadrilogie John Wick, où les scènes d’action truffées de coups de feu et soulignées par des musiques électro agressives font vibrer le coussin en continu.
Étonnamment, c’est avec la musique que le Freyja offre l’une de ses meilleures expériences. Écouter Tsunami Sea de Spiritbox donne l’impression d’être à l’Olympia lors de leur concert électrique d’une heure et quart, tandis que le nouvel album de The Weeknd ou encore le dernier opus de Justice gagnent en intensité. Pour les amateurs de basses bien mises en avant, le Freyja les amplifie, notamment sur les enregistrements live, qui donnent presque l’impression d’être en salle de concert, en ressentant physiquement la basse et la batterie.
Pour un accessoire conçu avant tout pour le gaming, il est intéressant de constater sa capacité à s’adapter à d’autres usages. Toutefois, malgré des prestations convaincantes, le Razer Freyja semble encore manquer d’un petit quelque chose pour pleinement nous séduire. Et c’est précisément là qu’intervient l’intégration des jeux à Sensa.
Le Freyja intègre 4 moteurs de vibration dans le dossier et 2 au niveau de l’assise
L’expérience Sensa HD : convaincante mais trop peu représentée
En effet, ce qui permet au Freyja de révéler tout son potentiel, c’est avant tout son utilisation avec des jeux compatibles Sensa, offrant des retours haptiques entièrement calibrés pour l’expérience ludique. Cela se traduit par des vibrations beaucoup plus fines, plus diffuses grâce aux six moteurs de vibration, mais également bien plus pertinentes, un peu à l’image de la DualSense et de ses retours haptiques sophistiqués.
Nous avions pu tester cette technologie sur Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard lors de notre première prise en main du périphérique, et nous avions déjà perçu tout le potentiel immersif de l’accessoire. Chaque sort lancé donnait lieu à des vibrations spécifiques, réparties de manière plus ou moins diffuse sur les différents transducteurs haptiques, en fonction de l’intensité du sort. Razer nous a également fourni une copie de Final Fantasy XVI sur PC, afin de tirer pleinement parti des capacités du Freyja.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’expérience s’est révélée très convaincante, permettant de ressentir chaque coup d’épée porté par Clive ou chaque sort lancé avec une précision remarquable. Si certaines incohérences subsistent — certains bruitages mériteraient d’être intégrés à l’expérience —, on prend également la mesure du travail colossal que représente un tel calibrage. Malheureusement, c’est précisément ce niveau d’intégration que l’on attend désormais des plus grosses productions pour que le Freyja puisse être pleinement recommandé. Car, à l’heure où nous écrivons ces lignes — et elles auront mis un certain temps à être couchées sur notre bloc-notes numérique —, peu de jeux sont encore compatibles avec la technologie Sensa HD Haptics.
En effet, hors simulations en tous genres, on dénombre actuellement quinze jeux proposant une expérience pleinement intégrée au Freyja, auxquels viendront s’ajouter huit titres supplémentaires, dont Once Human et Hitman: World of Assassination. À cela s’ajoutent quatre-vingt-seize jeux compatibles via SimHub, parmi lesquels on retrouve Microsoft Flight Simulator, Test Drive Unlimited Solar Crown, Forza Horizon 5, Assetto Corsa EVO ou encore F1 24. Plus de cent jeux compatibles : sur le papier, cela n’a rien de négligeable — d’autant que les simulations concernées incluent certains jeux sortis depuis plusieurs années. Néanmoins, la présence de certains titres dans la liste complète interroge, à commencer par PC Building Simulator 2.
En définitive, le Freyja est un produit en avance sur son temps, qui vient renforcer l’offre immersive. On retrouve ici Razer fidèle à sa ligne directrice : celle de l’innovation. On apprécie également que le coussin soit compatible avec différents médias tels que les films et la musique — ce sont d’ailleurs ces usages qui donnent véritablement de la substance à l’accessoire. Mais à l’heure du verdict, faut-il recommander le Freyja ? Et à qui ? La réponse est oui… mais pas à n’importe qui.
Il est essentiel de consulter la liste des jeux compatibles avant d’envisager l’achat. Si vous y retrouvez plusieurs titres issus de votre propre bibliothèque, c’est déjà un bon indicateur. Reste à savoir maintenant si l’immersion constitue un critère important pour vous. De notre côté, nous recommanderons le Freyja aux joueurs qui peuvent se permettre quelques dépenses superflues pour améliorer leur setup gaming. Il s’agit davantage d’une cerise sur le gâteau que d’un accessoire indispensable. Les technophiles et ultra-geeks seront aux anges, mais les joueurs occasionnels pourront aisément s’en passer.
Verdict
La proposition du Razer Freyja se distingue par son originalité sur bien des aspects, et le constructeur s’adresse ici à une frange bien spécifique des joueurs. C’est tout à son honneur de vouloir offrir une expérience plus immersive. Il est sans doute encore un peu tôt pour démocratiser ce type d’accessoire, mais les utilisateurs déjà familiers de l’écosystème Synapse et possédant des jeux compatibles profiteront de sessions de jeu nettement enrichies. Il s’agit désormais d’étoffer cette liste de jeux et de faire en sorte que le champ des genres s’élargisse. Avec la vague de sorties depuis le lancement du Freyja, le potentiel est là — et il serait dommage qu’une proposition aussi audacieuse finisse par tomber à l’eau.
Alors que le remake de Max Payne 1 et 2 avance à son rythme et que Control 2 se fait encore discret, Remedy Entertainment continue de faire parler de FBC: Firebreak. La date de sortie du jeu co-op vient d’être dévoilée en plus de détails concernant les différentes éditions du jeu ainsi que ses contenus à venir.
Ce qu’il faut retenir des annonces de Remedy sur FBC: Firebreak
FBC: Firebreak sortira le 17 juin 2025 sur PS5, Xbox Series X|S et PC.
Prix de lancement : 39,99 € (Standard), 49,99 € (Deluxe).
Contenus premium uniquement cosmétiques, disponibles sans contrainte de durée.
Suivi post-lancement prévu : 2 nouveaux Jobs en 2025, d’autres ajouts en 2026.
Tous les contenus jouables post-lancement seront gratuits.
Durant un livestream dédié à son futur jeu coopératif, Remedy Entertainment en a profité pour lever le voile sur de nombreux aspects de FBC: Firebreak. Nous savions déjà que le jeu serait disponible dès sa sortie dans le PlayStation Plus ainsi que dans le Xbox Game Pass (PC Game Pass et Game Pass Ultimate), mais certaines zones d’ombre restaient à éclaircir — notamment sa date de sortie.
FBC: Firebreak sortira le 17 juin 2025 sur PS5, Xbox Series et PC.
C’est désormais officiel : le jeu sera lancé durant la première quinzaine de juin, comme vous venez de le lire. S’il sera accessible gratuitement via les abonnements PlayStation et Xbox, il sera également proposé au prix de 39,99 € en édition standard sur le PlayStation Store, le Xbox Store, ainsi que sur Steam et l’Epic Games Store. Durant le livestream, nous avons également appris qu’une édition Deluxe sera commercialisée pour une dizaine d’euros supplémentaires.
Le replay de la diffusion en direct est disponible.
Les détails de l’édition Deluxe de FBC: Firebreak
Vendue 49,99 €, cette édition comprendra des objets cosmétiques exclusifs et des packs de voix premium pour personnaliser l’équipement ainsi que l’apparence de votre escouade.
Apparence de fusil à pompe à double canon Scorched Remnant.
Spray Golden Firebreak.
Requisition Classifiée Firestarter : une collection de 36 objets cosmétiques à débloquer, incluant des skins d’armes, sprays et ensembles d’armures.
Il convient de noter que vous pourrez tout à fait vous procurer le pack de l’édition Deluxe séparément, moyennant quelques Euros sonnants et trébuchants. Dix, pour être précis.
Remedy explique de système de Requisitions
Vous l’aurez remarqué, l’un des éléments contenus dans l’édition Deluxe porte le nom de Requisition. Si le terme exact en français reste à confirmer, nous savons d’ores et déjà qu’il s’agira d’ensembles d’équipements et d’objets cosmétiques à débloquer, en utilisant une monnaie in-game appelée Lost Assets.
Il existera deux types de Requisitions :
Requisition (standard) : des ensembles d’objets comprenant armes, équipements et éléments cosmétiques (pièces d’armure, sprays…), déblocables grâce à la monnaie obtenue en jouant.
Classified Requisitions : des ensembles similaires mais contenant également des skins d’armes, sets d’armures ou sprays, à acheter contre de l’argent réel.
Comme tout bon jeu-service, FBC: Firebreak proposera donc un système de micro-transactions. Bonne nouvelle toutefois : le jeu ne comportera pas de Battle Pass à durée limitée. Une décision qui devrait rassurer les joueurs ne souhaitant pas investir plusieurs heures par semaine dans la chasse à un skin temporaire voué à devenir obsolète le mois suivant.
Le dernier trailer du jeu dévoilé récemment.
De nouveaux contenus déjà prévus pour FBC: Firebreak
Le premier jeu auto-édité de Remedy Entertainment ne proposera pas seulement des skins en tant que nouveau contenu. En effet, le studio a déjà annoncé que deux nouveau jobs seront prévus pour le courant de l’année 2025. Et puisqu’une bonne nouvelle n’arrive jamais seule : ces nouveaux jobs seront gratuits, tout comme les contenus jouables post-lancement.
En attendant Control 2, nous pourrons donc re-découvrir l’univers du Bureau dès le 17 juin. FBC: Firebreak sera disponible sur PS5, Xbox Series et PC. Reste à voir si une annonce sur Nintendo Switch 2 est dans les cartons.
Un jeu Blade Runner en développement chez Supermassive Games, aurait été annulé dans le plus grand secret. Blade Runner: Time To Live, projet ambitieux mêlant aventure cinématographique et action, ne verra finalement jamais le jour à en croire les informations d’Insider Gaming.
Développé en toute discrétion depuis septembre 2024, Blade Runner: Time To Live devait être un jeu d’action-aventure à la troisième personne, centré sur un personnage unique évoluant dans l’univers sombre de Blade Runner. Prévu pour sortir en septembre 2027 sur PS5, Xbox Series X|S, PC, ainsi que sur les futures consoles de nouvelle génération, le jeu bénéficiait d’un budget de 45 millions de dollars, dont 9 millions réservés à la capture de performance et aux acteurs.
Le joueur aurait incarné So-Lange, un modèle Nexus-6 censé être obsolète mais toujours vivant en 2065. L’histoire, décrite comme poignante et immersive, promettait une plongée dans les bas-fonds de New Zurich jusqu’aux vestiges d’un monde oublié, avec pour mission de traquer un chef de réseau de réplicants avant d’être trahi et laissé pour mort. Les mécaniques de jeu prévues mêlaient infiltration, combat, exploration, investigation et interactions narratives fortes, avec des dialogues authentiques et percutants, selon les documents internes.
Le projet semblait prometteur, porté par l’équipe ayant travaillé sur Until Dawn ou encore The Quarry. Cependant, malgré un développement jugé « impressionnant » en interne, le jeu aurait été annulé fin 2024, principalement à cause d’Alcon Entertainment, détenteur des droits de Blade Runner. Les raisons exactes de cette décision restent floues, les sources ayant requis l’anonymat. Ni Supermassive Games ni Alcon n’ont officiellement commenté l’affaire.
Le dernier titre en date reste Blade Runner: Enhanced Edition, une remasterisation du jeu culte de 1997 développé par Westwood Studios. Sortie en 2022, cette version modernisée avait permis à une nouvelle génération de découvrir ce point‘n’click à l’ambiance unique, mais elle ne proposait aucun contenu inédit. Depuis plus de deux décennies, aucun nouveau jeu original Blade Runner n’a vu le jour.
Le jeu restera donc à jamais une vision inachevée d’un retour vidéoludique dans l’univers culte de Blade Runner.
Le mois des jours fériés et des ponts va nous offrir de nouvelles sorties vidéoludiques ! En effet, mai 2025 arrive à grands pas avec notamment la dernière création signée ID Software qui sortira sur les plateformes actuelles et sera disponible day one dans le Game Pass d’Xbox.
Après un mois d’avril riche en portages et en jeux de course, mai 2025 est un mois de transition avec un mois de juin qui sera surtout marqué par l’arrivée de la Nintendo Switch 2. Pour ce mois, on ne peut que retenir l’arrivée du très attendu DOOM: The Dark Ages. Cette nouvelle production est très attendue par les fans des deux précédents opus, à savoir DOOM et DOOM Eternal.
Si vous avez apprécié Elden Ring et que le multijoueur est une composante qui vous est chère, alors Elden Ring Nightreign sera très certainement dans votre liste de souhaits. En parlant de retour de franchises, sachez que Revenge of the Savage Planet arrivera également sur les consoles de dernière génération et PC, cinq ans après la sortie du jeu d’exploration Journey to the Savage Planet. Enfin, les fans de baston pourront jouer à une nouvelle compilation avec Capcom Fighting Collection 2, tandis que les pilotes en herbe pourront retrouver leurs écuries favorites avec F1 25.
Date
Jeu
Support
01/05/2025
Despelote
PS5 – Xbox Series X|S – PS4 – Nintendo Switch – PC
Le service d’abonnement de chez Sony propose un catalogue d’anciens titres PlayStation 3, PlayStation 4 et PlayStation 5 pour les abonnés PlayStation Plus Extra et Premium. Chaque mois, la liste change pour faire place à de nouveaux titres à tester. Découvrez les titres quittant le catalogue en mai 2025.
Cette année, la firme japonaise aura attendu le dernier moment pour nous annoncer les titres quittant le catalogue PlayStation Plus Extra et Premium. Au-delà d’apprendre tardivement le retrait d’anciens titres iconiques, ce n’est pas moins de 23 jeux qui ne seront bientôt plus disponibles pour laisser place à d’autres. Fait rare, certaines de ces licences sont des jeux PlayStation dits first party, là où d’autres sont sortis sur d’autres plateformes et où les licences ont expiré.
Parmi ces derniers, nous retrouvons des mastodontes comme Grand Theft Auto 5, Payday 2 Crimewave Edition ou encore les deux chapitres de The Walking Dead : Saints and Sinners ayant fait le bonheur des fans de la série.
Voici la liste des 23 jeux concernés par ce retrait du catalogue :
En plus de ce retrait, Sony vient de confirmer l’augmentation des prix pour le PlayStation Plus au Canada. Il se pourrait ainsi que la France subisse aussi des répercussions. À voir, dans les prochains jours, ce que cela donnera.
Alors que Frotspunk 2 est récemment sorti, soit le 20 septembre 2024, et que le premier fêtera bientôt sa septième bougie, 11 bit studios vient d’annoncer un remake total du premier épisode. Un remake entièrement produit sous le moteur de rendu Unreal Engine et portant le nom de Frostpunk 1886.
Véritable retour aux sources, Frostpunk 1886 se dévoile via un teaser assez explicite pour les fans de la licence. Ainsi, ce remake permet au studio de mettre de côté son monteur de rendu Liquid Engin au profit d’Unreal Engine. Une plateforme plus sujette à de potentielles évolutions de fonctionnalité réclamées par la communauté, comme la gestion des outils de modding ou encore l’ajout de DLC.
Situé en 1886, moment charnière de la chronologie de l’univers Frostpunk où la Grande Tempête s’est abattue sur New London. Frostpunk 1886 ne sera pas seulement une refonte visuelle du premier épisode, mais offrira de nouveaux contenus, de nouvelles mécaniques, de nouvelles lois et même de tout nouveaux chemins. En attendant de pouvoir le découvrir plus en détail en 2027, Frostpunk 2 continuera de recevoir du contenu supplémentaire dans les années à venir.
PlayStation vient de dévoiler une nouvelle mise à jour logicielle pour la PlayStation 5 qui apporte de nouvelles fonctionnalités, mêlant innovations techniques et hommage à son riche héritage vidéoludique. Deux ajouts majeurs viennent enrichir l’expérience utilisateur : un système de réglage audio avancé et le retour de thèmes visuels emblématiques inspirés des anciennes générations de consoles PlayStation.
Côté audio, la PS5 propose désormais une personnalisation poussée des paramètres sonores, principalement pensée pour les joueurs utilisant un casque. Cette mise à jour introduit quatre préréglages permettant d’adapter le rendu audio aux préférences de chacun. Il est ainsi possible de mettre en avant les basses pour des explosions plus percutantes, d’amplifier les voix pour mieux suivre les dialogues ou les conversations en ligne, de rehausser les sons aigus afin de détecter plus facilement les bruits subtils comme des pas ennemis, ou encore de rendre les sons faibles plus audibles sur une large gamme. Cette initiative vise à améliorer l’immersion, mais aussi à offrir une meilleure accessibilité, en particulier pour les joueurs ayant des besoins auditifs spécifiques. Le réglage audio avancé est uniquement disponible avec les écouteurs filaires/Bluetooth ou via la sortie casque analogique. Il n’est pas pris en charge via la connexion HDMI sur les téléviseurs, les récepteurs audio-vidéo ou les barres de son.
Parallèlement, Sony surprend et ressort les thèmes visuels inspirés des précédentes consoles PlayStation. Déjà proposés brièvement lors du 30ᵉ anniversaire de la marque fin d’année dernière ou encore, en 2017 pour la PlayStation 4, ces designs font leur retour suite à la demande des fans selon le communiqué de PlayStation. Les utilisateurs de PS5 pourront ainsi relooker leur interface en s’inspirant des ambiances de la PS1, PS2, PS3 ou encore PS4, apportant une note nostalgique à leur console de dernière génération.
Nul doute, ces nouveautés sauront ravir les aficionados des paramètres audios ainsi que les fans de la première heure.
Après la sortie sur les consoles de dernière génération du FPS free-to-play VALORANT, cette production signée Riot Games s’apprête à débarquer sur de nouveaux périphériques. Ce sont les appareils iOS et Android qui sont concernés par un nouveau portage. Et pour cause, une bêta sera lancée dans quelques semaines, mais dans un pays exclusivement.
Une équipe en attaque, une équipe en défense, vous mettez des agents avec des pouvoirs spécifiques et cela donnent lieu à une formule explosive. C’est le concept de VALORANT, ce free-to-play développé par Riot Games qui est disponible sur consoles et PC… et bientôt sur iOS et Android ! En effet, c’est le studio LightSpeed Studios qui sera derrière ce portage et ce ne sont pas des amateurs : PUBG, Apex Legends sur mobiles, c’était déjà eux !
Le titre disposera d’un fonctionnement avec l’écran tactile via des boutons qui permettront l’exécution des pouvoirs de nos agents. Reste à savoir si les manettes seront compatibles pour des raisons d’équilibrage, il y a fort à parier que ce ne sera pas le cas. Rappelons tout de même que VALORANT sur PS5 et Xbox Series X|S ne fonctionnait qu’à la manette et jouer au clavier/souris n’était pas possible. Sachez qu’une bêta sera disponible en juin pour essayer le jeu, mais uniquement en Chine. À l’issue de cette session en bêta, le jeu devrait sortir sur les autres territoires et ainsi recevoir des mises à jour dans la lignée des autres versions.
Une première bande-annonce de cette version mobile a été diffusée et il faut dire que le résultat est impressionnant :
Pour rappel, VALORANT est disponible gratuitement sur PS5, Xbox Series X|S et PC.
Alors que Bethesda vient tout juste de sortir une version remaster de The Elder Scrolls IV: Oblivion, la communauté des moddeurs se questionne : qu’adviendra-t-il de Skyblivion ? La version faite par des fans. Bethesda s’est exprimé à ce sujet et les nouvelles sont bonnes.
Qu’est-ce qui est mieux qu’un gâteau ? Deux gâteaux ! C’est exactement le genre de pensée que pourrait avoir un fan de la licence The Elder Scrolls durant cette année 2025.
L’avenir d’un projet de fans
Dans un premier temps, il a été confirmé que Skyblivion, un remake fait par des fans compétents avec le moteur du jeu Skyrim, sortirait durant la fin d’année 2025. Coup de théâtre, Bethesda sort ce mois-ci Oblivion remastered, une nouvelle version qui reprend le contenu de l’original, mais reprise de fond en comble. Une nouvelle qui a fait un choc parmi la communauté des fans.
Naturellement, si une version officielle d’Oblivion est mise sur le marché par le studio propriétaire, on peut craindre pour celle faite par des fans bénévoles et qui sera entièrement gratuite. Mais Bethesda est beau joueur et a contacté l’équipe de développement de Skyblivion, ils ont bien l’intention de les laisser sortir leur version sans aucun problème.
Exactly! Also, to clear up any confusion Bethesda made it clear that they have no intention of shutting down our project.
Skyblivion est un projet colossal, en préparation depuis 2016, ayant réuni le travail de plusieurs centaines de personnes, réunies par une passion commune pour la licence The Elder Scrolls. Vous pouvez retrouver le site du projet juste ici.
De plus, Bethesda a offert à tous les membres de l’équipe de Skyblivion une clé du jeu Oblivion Remastered. Ce qui peut être une marque de reconnaissance à leur égard, et un excellent moyen pour que les développeurs puissent proposer une version qui correspondrait plus à leur vision d’un remaster d’Oblivion.
As massive fans, we're beyond grateful for the generous gift of Oblivion Remastered game keys for our entire modding team! This means so much to us. Thank you for everything, @bethesda. pic.twitter.com/vLsuzhdgkX
Si Skyblivion reprend le moteur de Skyrim Edition Anniversaire, alors ce sera une version d’Oblivion bien plus accessible que celle officielle de Bethesda, qui demande bien plus de ressources avec son utilisation de l’Unreal Engine 5. Mais si votre PC est assez puissant pour vous permettre de jouer aux deux versions, pourquoi se priver ?
The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered est maintenant disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC
Après l’excellent Ghost of Tsushima sorti initialement sur PS4 avant d’être porté sur PS5 et PC, PlayStation avait annoncé il y a déjà quelques mois Ghost of Yōtei. Aucune information n’avait été diffusée jusqu’à ce jour puisque la date de sortie est désormais connue ! À l’instar des précédents jeux PlayStation, des éditions collector seront de la partie mais avec un gros couac.
Souvent comparé au tout récent Assassin’s Creed Shadows d’Ubisoft, Ghost of Yōtei est attendu pour le moment uniquement sur PS5 avant un portage quasiment certain sur PC dans quelques années. Sortez vos agendas puisque le titre est calé au 02 octobre 2025. Rockstar n’ayant toujours pas encore dévoilé la date de sortie du très attendu GTA VI, Sony prend des risques en sortant son titre dans les trois derniers mois de l’année.
Mais ce n’est pas tout, nous en savons désormais plus sur le scénario du titre qui se rapproche beaucoup de la proposition faite par Ubisoft. À savoir une jeune fille laissée pour morte avec sa famille décimée par un gang hors-la-loi appelé Gang de Yōtei. L’objectif sera ainsi de se venger en commençant par n’importe lequel de ses membres sachant que ces derniers portent des masques avec une identité qui reste à être révélée.
Concernant les précommandes, ces dernières seront lancées le 2 mai 2025 à 10h00 (heure française) et plusieurs éditions seront au programme. L’édition standard sera vendue contre 79,99€ en boîte et en version dématérialisée. Pour toute précommande, vous recevrez un masque unique en jeu, ainsi qu’un ensemble de sept avatars PSN aux couleurs d’Atsu et de chacun des membres des Six de Yōtei à la sortie du jeu. Une édition Deluxe numérique sera aussi disponible contre 89,99€ sur le PlayStation Store avec les bonus suivants :
Accès anticipé carte du voyageur Enfin, une édition collector sera disponible via le PlayStation Direct et d’autres revendeurs non précisés à ce jour. Ainsi, elle comprendra tous les bonus de précommande, les objets de l’édition numérique Deluxe, une réplique du masque de Fantôme d’Atsu, une réplique de la ceinture d’Atsu avec les noms des membres des Six de Yōtei, une réplique du tsuba sur le katana d’Atsu ainsi qu’une copie numérique du jeu. Mais ce n’est pas tout, un sachet de pièces et des instructions pour jouer au zeni-hajiki seront présents, sans oublier un ginkgo en papercraft pliable avec un loup à sa base ainsi que quatre cartes illustrées. Malheureusement, aucune version physique ne sera vendue avec cette édition. Pour voir ou revoir cette nouvelle bande-annonce, n’hésitez pas à cliquer sur la vidéo présente ci-dessous :
Ensemble armure du serpent
Couleur alternative armure de départ
Couleur de cheval
Teinture de selles uniques
Charme
Kit sabre doré
Accès anticipé carte du voyageur Enfin, une édition collector sera disponible via le PlayStation Direct et d’autres revendeurs non précisés à ce jour. Ainsi, elle comprendra tous les bonus de précommande, les objets de l’édition numérique Deluxe, une réplique du masque de Fantôme d’Atsu, une réplique de la ceinture d’Atsu avec les noms des membres des Six de Yōtei, une réplique du tsuba sur le katana d’Atsu ainsi qu’une copie numérique du jeu. Mais ce n’est pas tout, un sachet de pièces et des instructions pour jouer au zeni-hajiki seront présents, sans oublier un ginkgo en papercraft pliable avec un loup à sa base ainsi que quatre cartes illustrées. Malheureusement, aucune version physique ne sera vendue avec cette édition.
Pour voir ou revoir cette nouvelle bande-annonce, n’hésitez pas à cliquer sur la vidéo présente ci-dessous :
En attendant, Ghost of Tsushima est disponible sur PS5, PS4 et PC.
Depuis déjà presque quatre années, Forza Horizon 5 sévit sur Xbox Series X|S, Xbox One et PC. Si vous étiez seulement sur PlayStation, vous n’aviez finalement le droit qu’à The Crew Motorfest comme alternative de qualité. Étant donné le positionnement de Microsoft ces dernières années, la sortie des plus grandes licences sur les autres plateformes était inéluctable et Forza ne fera pas exception à la règle. Retour en détail sur ce portage de Forza Horizon 5 sur PS5 et on vous explique pourquoi cette production reste encore le leader dans son domaine.
Testé sur PS5 Pro grâce à une copie numérique envoyée par l’éditeur (Premium Edition)
Une arrivée sur PS5 attendue et réussie
Avec Microsoft à l’édition et Playground Games au développement pour le jeu original, ces derniers ont appelé un autre développeur pour effectuer ce portage sur PS5. En effet, la lourde tâche a été confiée à Panic Bottom, un studio américain spécialisé dans ce genre de mission. Déjà à la manœuvre pour le passage PS5/Xbox Series X|S de Star Wars Jedi: Fallen Order ou encore les versions Nintendo Switch étonnantes de DOOM et DOOM Eternal, on ne peut dire que le studio a déjà fait ses preuves. Lors de la première installation de ce Forza Horizon 5, le bougre avoisine les 160 Go de stockage avec les contenus téléchargeables : prévoyez de la place pour pouvoir en profiter. Bien entendu, vous avez le choix de retirer ces DLC si jamais vous souhaitez grappiller une vingtaine de Go, ou si bien sûr vous vous êtes abstenu d’acquérir la Premium Edition. Pour rappel, les deux extensions sont Hot Wheels (2022) et Rally Adventure (2023).
Beauté, vitesse, effets visuels et nervosité sont au programme de ce Forza Horizon 5
Parce que oui, contrairement à de nombreux portages qui ont lieu quelques années plus tard, Forza Horizon 5 ne propose pas une version de base avec tous les DLC inclus. Il faudra donc s’acquitter de la Premium Edition pour profiter de l’expérience ultra-complète contre la modique somme de 99,99€. Pas d’inquiétude cependant, vous pourrez toujours upgrader vers cette version-là si vous décidez de partir sur l’édition standard (69,99€ au lancement) qui existe uniquement au format numérique. Contrairement au tout chaud Indiana Jones et le cercle ancien qui dispose d’une édition physique bien qu’amputée de 80% de son contenu sur le disque, le jeu de course de Playground Games fera totalement l’impasse sur ce format : les collectionneurs seront bien entendus déçus par la nouvelle. Cette version de Forza Horizon 5 arrive toutefois avec la nouvelle mise à jour Realms dont nous vous parlerons plus bas, ainsi que tous les correctifs déployés depuis la sortie du titre en 2021.
La grosse interrogation qui résonne finalement dans ce portage PS5 tourne autour de la prise en charge des différentes fonctionnalités de la console de Sony ainsi que les promesses par rapport à la PS5 Pro. Autant vous le dire tout de suite, Forza Horizon 5 est sublime sur notre PS5 Pro et fluide à tous les instants, avec aucun lag à retenir durant notre dizaine d’heures de jeu. Se balader dans le vaste monde ouvert que nous propose Playground Games dans ce cinquième épisode de la franchise est un véritable plaisir que les joueurs PlayStation peuvent enfin découvrir. La distance d’affichage est impressionnante et la modélisation des différents véhicules est d’une précision sans nom, aussi bien à l’extérieur qu’en intérieur. Le HDR est bien entendu pris en charge pour des couleurs qui éclatent la rétine.
Deux modes graphiques sont proposés au lancement : Performance (60 FPS) et Qualité (30 FPS). De notre côté, nous avons opté pour le mode Performance pour des raisons de fluidité assez évidentes, étant donné le monde ouvert et la conduite nerveuse proposée. Ayant touché à la version Xbox Series X et PC, nous vous confirmons cependant que bien que la version PS5 Pro soit la meilleure version console possible, la différence n’est pas des plus flagrantes. Durant notre session, nous avons eu cependant quelques petits problèmes d’affichage de textures, notamment concernant notre personnage durant les cinématiques, ainsi que des temps de chargement un peu longuets, notamment lors du premier lancement de la partie ainsi que pour charger les courses. Le jeu supporte le cross-play avec les autres plateformes : tous les contenus créés sur ces autres supports sont récupérables et il sera donc possible de jouer avec des amis, peu importe leurs plateformes. En revanche, impossible de récupérer sa sauvegarde si vous avez déjà joué précédemment sur une autre plateforme.
Les véhicules atypiques sont toujours de la partie
Outre sa propreté graphique, Forza Horizon 5 est compatible avec les principales features de la console de Sony, à savoir les trophées, mais également la DualSense qui remplit parfaitement son rôle. On reste toutefois ici sur une prise en charge classique avec les gâchettes adaptatives qui remplissent parfaitement leurs rôles grâce à des résistances bien gérées. On notera par ailleurs les retours haptiques à chaque impact contre les murs ou les voitures qui sont criants de réalisme. En revanche, le haut-parleur intégré à la manette n’est pas exploité, dommage quand on sait que d’autres titres comme The Crew Motorfest utilisait cette fonctionnalité pour les instructions de l’IA Cara ou d’autres effets sonores convaincants. À noter que pour jouer au titre, il est possible de lier son compte Microsoft avec son compte PSN afin d’avoir un suivi de progression plus avancé et pour disposer du cross-play, sans obligation néanmoins.
Pas de pression, que de la passion
Que vous rentrez d’une longue et difficile journée de travail ou que vous ayez tout simplement quelques minutes à consacrer à votre chère console, Forza Horizon 5 est le jeu de course idéal pour de courtes sessions, mais pas que… Avec son ambiance mexicaine à tomber et son monde ouvert d’une très grande qualité, ayant réinventé le genre en 2021, il est très difficile de lâcher la manette. Il y a toujours quelque chose à faire, et cette envie d’explorer dans le moindre recoin la grande zone proposée contribue au fait de ne pas quitter le jeu. Et pour dire, le nombre de fois où nous nous sommes dits : « une dernière course, après j’arrête », pour finalement terminer notre session de jeu deux heures plus tard, est arrivé plus d’une fois durant notre session de test. Le gameplay nerveux, arcade et hyper plaisant des différentes voitures aide à ne pas décrocher : un sentiment de satisfaction se dégage à chaque course et à chaque découverte, même si l’effort demandé est accessible au commun des mortels.
Il y a de quoi faire, et ce n’est qu’une partie de la carte !
Ce qui a fait la grande force du jeu à sa sortie et qui fait toujours la pluie et le beau temps, ce sont toutes les activités proposées : course, recherche de bagnole dans des vieux garages, petites missions pour étendre le festival et radar. Tout est fait pour que le joueur se sente à l’aise et avance à son rythme en fonction de ses envies du moment. Si vous souhaitez uniquement explorer, allez-y : le jeu ne vous bride aucunement dans les possibilités. Vous avez envie d’enchaîner les courses pour gagner de l’XP ? Aucun problème, la carte est déjà remplie de multiples épreuves dès le premier lancement du jeu. Comme à l’époque, en fonction du paramétrage effectué, vous pourrez booster l’XP récupérée à l’issue de chaque course : la difficulté des IA ou encore le paramétrage de la conduite influenceront ce gain.
Connu pour la qualité de ses mondes ouverts, Playground Games l’est également pour le nombre de véhicules jouables et ce Forza Horizon 5 propose plus de 800 véhicules jouables (oui, vous avez bien lu) ! D’une Alpine en passant par BMW, tout en finissant par des voitures de la marque Jaguar, le joueur pourra sélectionner la voiture de ses rêves sans aucune limite. Si vous optez pour la version Deluxe ou Premium, sachez que le Pass voiture est compris avec 42 véhicules supplémentaires. Chaque voiture est bien entendu paramétrable dans son apparence : châssis, carrosserie ou encore les jantes sont des parties très largement personnalisables.
Le mode Realms arrive avec un nouvel environnement inédit
La principale nouveauté, finalement, réside dans le lancement en simultané de cette version PS5 d’un nouveau mode de jeu intitulé Realms et qui sera disponible sur les autres supports, Xbox One comprise. Reprenant onze environnements temporaires qui avaient été ajoutés par diverses mises à jour et ajoutant un douzième inédit, ces terrains de jeu seront explorables selon deux façons. En Skill Mode avec un score maximal à réaliser et un Free mode où vous pourrez vous balader plus librement pour récupérer divers items. De nouvelles voitures seront déblocables par ce biais, c’est donc l’occasion idéale de relancer le jeu pour vos amis qui sont sur Xbox ou PC. En soi, ce nouveau mode est sympathique et apporte (encore) du contenu supplémentaire. Cela rappellera des souvenirs aux pilotes les plus expérimentés tandis qu’il s’agira d’une découverte pour tous les nouveaux joueurs.
Pour davantage d’informations sur le jeu et sa proposition de gameplay initiale, nous vous invitions à consulter le test de notre rédactrice disponible à cette adresse.
Verdict
Ce portage de Forza Horizon 5 sur PS5 rappelle à quel point le studio Playground Games maîtrise les jeux de course en monde ouvert. Avec son contenu démentiel, sa technique d’une propreté indescriptible et des sensations de conduite ultra-plaisantes, cet opus est un incontournable pour tout amateur du genre. Optimisé pour PS5 Pro et exploitant avec réussite les fonctionnalités de la DualSense, le portage effectué par Panic Ocean est une démonstration à tous les étages. On lui reprochera seulement quelques bugs mineurs à sa sortie et une version de base qui ne contiendra pas d’office tous les contenus additionnels déjà sortis à ce jour. Le Mexique n’attend plus que vous, et il serait dommage de se priver d’une telle expérience de jeu !
Attendu par de très nombreux joueurs depuis désormais quelques mois, Clair Obscur: Expedition 33 arrivera sur consoles et PC ce jeudi. En attendant, la presse spécialisée a livré son verdict sur cette production signée d’un studio français. Et les premiers retours sont très positifs !
Vous l’attendiez certainement avec impatience, Clair Obscur: Expedition 33 sort dès demain sur consoles et PC ! Développé par Sandfall Interactive, un studio français basé à Montpellier, il s’agit ici de l’une des pépites de cette première partie de 2025. Entre sa réalisation à tomber, sa bande-son extraordinaire et ses combats dynamiques avec un système de combat exemplaire, le titre exécute à merveille de nombreuses idées de gameplay déjà existantes chez d’autres productions. Certains de nos confrères lui ont même attribué la note maximale !
Voici le détail des notes de la part de nos confrères ainsi que le Metacritic :
Presse française
Gameblog : 8/10
Gamekult : 9/10
IGN : 10/10
JV : 18/20
Numerama : 6/10
Xbox Mag : 10/10
Presse internationale
Eurogamer : 4/5
Game Informer : 9/10
IGN : 9/10
Pour rappel, Clair Obscur: Expedition 33 sera disponible ce jeudi 24 avril 2025 sur PS5, Xbox Series X|S et PC.
RuneScape: Dragonwilds est le dernier-né de la franchise RuneScape paru en 2001. Sauf que cette fois-ci, nous n’avons pas à faire à un MMORPG mais plutôt à un RPG de survie en coopération jusqu’à 4 joueurs. L’accent est ici, mis sur la liberté de progression et le développement de nombreuses compétences, allant du combat à l’artisanat. Si le jeu est très complet pour une alpha, il manque cependant de conseils éclairés sur certaines de ses compétences, notamment la partie artisanat.
Créer une massue de pierre dans RuneScape: Dragonwilds
Pendant le didacticiel de RuneScape: Dragonwilds, vous rencontrerez le nain Doric qui vous demandera de fabriquer une massue de pierre. Voici comment procéder étape par étape :
Étape 1 : Récolter du bois de frêne
Cherchez des branches de frêne à proximité ou déracinez des jeunes arbres. Collectez suffisamment de bois pour les étapes suivantes (au moins 10 bûches).
Déracinez des jeunes arbresRécoltez des branches
Étape 2 : Construire un établi d’artisan
Appuyez sur la touche T du clavier pour ouvrir le menu de construction. Sélectionnez « Établi d’artisan » dans les options. Vous aurez besoin de 4 bûches de frêne pour terminer cette construction.
Créez un établi d’artisan
Étape 3 : Collecter des pierres
Vous aurez besoin de 8 pierres pour fabriquer la massue. Les pierres se trouvent un peu partout sur la route mais dans le didacticiel, le meilleur endroit pour en trouver est juste en face de l’églisec de départ.
Récoltez des pierres
Étape 4 : Créez la massue de pierre
Approchez-vous de l’établi d’artisan que vous avez construit. Interagissez avec l’établi pour ouvrir le menu d’artisanat. Sélectionnez « Massue de pierre » dans les options. Vous aurez besoin de 6 bûches de frêne et 8 pierres. Confirmez la création pour fabriquer votre massue de pierre
Créez la massue depuis la table d’artisan
Une fois la massue fabriquée, retournez voir le nain Doric. Présentez-lui la massue pour compléter cette partie du didacticiel.
Car même si Oblivion Remastered vient tout juste de sortir, il faut quand même garder un œil sur l’avenir de la licence et ça tombe bien, Todd Howard nous en donne. Petit récapitulatif des nouvelles de la suite tant attendue d’un des plus grands univers de RPG de tous les temps.
Si vous êtes un grand fan de la licence The Elder Scrolls, vous n’avez sûrement pas manqué le live de Bethesda ce mardi 22 avril à propos du remaster d’Oblivion. Une annonce anticipée par des bruits de couloirs qui a créé l’engouement dans la communauté du jeu vidéo. Mais les plus attentifs ont sûrement entendu une petite phrase qui leur a fait dresser l’oreille, juste avant que ne s’enchaînent les vidéos et cinématiques du remaster d’Oblivion.
Obviously we’re working on the 6th chapter here
Todd Howard
Ce que l’on pourrait traduire par « Évidemment, nous travaillons encore sur le chapitre 6… » Cela ne semble pas grand-chose, mais la dernière fois qu’on a eu des nouvelles de The Elder Scrolls VI, c’était en mars 2024, il y a donc plus de deux ans !
À cette époque, Bethesda confirmait que la première version du jeu était assez développée pour pouvoir être testée par ses développeurs et autres testeurs spécialisés. Les premiers retours affirmaient qu’ils s’amusaient bien et étaient confiants quant à la suite du projet.
En septembre 2023, Phil Spencer déclarait qu’il pensait que le jeu sortirait dans moins de 5 ans, ce qui pouvait faire sourire à l’époque, car un trailer de lancement avait vu le jour en 2019 sur la chaîne officielle de Bethesda. Tandis qu’un dirigeant de chez Bethesda disait que le projet était en phase de préproduction et qu’il n’était pas prévu de le sortir avant 2026 au plus tôt.
Allez, on se le remet juste pour la nostalgie.
Il s’est donc passé presque 15 ans depuis la sortie de The Elder Scrolls V: Skyrim. Un temps d’attente qui a de quoi surprendre, car autrefois il n’y avait que quelques années d’écart entre les sorties de chaque titre phare de la licence. Cela peut toutefois s’expliquer par plusieurs raisons, et on en connaît déjà une.
The Elder Scrolls VI est développé sur une version révisée de leur moteur de jeu, le Creation Engine 2. Du moins, c’est ce qui était prévu à la base, car il a été révélé qu’Oblivion Remastered tourne sur Unreal Engine 5. On peut donc imaginer qu’il a fallu tout reprendre à un certain moment du développement et que The Elder Scrolls VI tournera sur UE5.
Et donc logiquement, la préparation du remaster de The Elder Scrolls IV, qui a dû prendre du temps de production. Un travail que l’on devine assez conséquent, vu qu’il s’agit d’une refonte entière du jeu de base, avec de nouveaux modèles et voix de personnages.
Ce petit signe de vie n’est pas grand-chose, mais au moins on peut espérer une sortie du jeu à partir de 2026. Ce remaster de The Elder Scrolls IV: Oblivion a de quoi nous occuper pendant de longs mois en attendant des nouvelles de son petit-frère.
Depuis déjà quelques jours, des bruits de couloir annonçaient le retour de The Elder Scrolls IV: Oblivion dans une version remastérisée. Bethesda a donc communiqué aujourd’hui via une longue vidéo détaillée et le titre est désormais disponible sur consoles et PC. Mais si vous êtes un joueur PC, votre configuration va-t-elle supporter l’Unreal Engine 5 ?
La hype n’est toujours pas redescendue pour The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered. Avec une disponibilité immédiate sans coût supplémentaire pour les abonnés au Xbox Game Pass, cette aventure extraordinaire s’est fait une seconde jeunesse ! Mais faut-il encore que votre PC dispose de composants suffisamment puissants pour pouvoir en profiter dans de bonnes conditions. Finalement, le jeu a l’air plutôt bien optimisé étant donné qu’il faudra « seulement » disposer d’une 1070Ti/RX 5700 pour lancer le jeu. À noter que 16 Go de RAM seront nécessaires au minimum pour lancer le titre, une norme qui s’étend de plus en plus.
En tout cas, notez qu’un OS et un processeur 64-bit seront également nécessaires. Sans plus tarder, voici les configurations PC annoncées par l’éditeur américain :
Après un partenariat remarqué avec le constructeur Samsung, qui a permis à la marque de s’implanter sur de nombreux téléviseurs notamment par le biais de l’intégration naturelle de l’application, c’est au tour des téléviseurs LG d’accueillir Xbox. Vous pourrez (presque) ranger votre Xbox dans son carton.
En réalité, gardez quand même votre console à proximité, à plus forte raison s’il s’agit d’une Xbox Series X, puisque cette dernière possède un lecteur de disque bien utile. Toutefois, si vous avez fait l’acquisition d’un téléviseur LG, vous allez pouvoir jouer bien plus facilement.
En effet, l’application Xbox est disponible depuis ce matin sur les écrans connectés de la marque, ce qui signifie que les abonnés Xbox Game Pass Ultimate pourront connecter leur manette directement à leur TV afin de lancer les jeux inclus dans l’abonnement à l’aide du Cloud, sans installation ni téléchargement. Ces mêmes abonnés pourront également lancer certains des jeux qu’ils possèdent au format dématérialisé.
Une bonne nouvelle en soi, qui ne révolutionnera pas la vie des possesseurs d’un écran LG dans leur salon, mais qui ajoute une nouveauté sympathique pour ceux qui ne possèdent pas encore de console Xbox. Pour les autres, avouez que lancer un jeu directement depuis sa TV a quelque chose d’assez sympathique dans l’idée ?
C’était dans les tuyaux depuis un moment, mais cette fois, c’est bien réel : The Elder Scrolls IV: Oblivion fait son grand retour. Ce 22 avril, Bethesda a levé le voile sur le très attendu remaster du RPG culte de 2006, entièrement reconstruit sous Unreal Engine 5. Et cerise sur le gâteau : le jeu est disponible dès aujourd’hui.
Oblivion, c’est ce jeu qui a marqué toute une génération de joueurs, en bien pour certains, notamment pour la claque visuelle de l’époque, et en moins positif pour d’autres en raison son scénario jugé soporifique. Aujourd’hui, Bethesda nous offre une seconde chance de vivre (ou revivre) cette aventure en Cyrodill avec un remaster développé par le studio Virtuos, qui tourne désormais sur Unreal Engine 5. Résultat : graphismes modernisés, système de progression retravaillé, dialogues réenregistrés et une toute nouvelle fonction de sprint – oui, enfin !
Le remaster inclut également les deux extensions, Knights of the Nine et Shivering Isles, pour une expérience complète dès la sortie… qui a lieu aujourd’hui même ! Proposé à 54,99 € ou inclus dans le Xbox Game Pass Ultimate, il est disponible sur Xbox Series X|S, PC mais aussi sur PS5 ! A savoir qu’une édition Deluxe sera également de la partie, avec quelques pièces d’équipements supplémentaires pour le prix de 64,99€. Vous pourrez aussi upgrader votre version Standard vers la Deluxe via une mise à niveau de 9,99€. Pour les fans de la première heure comme pour les curieux, c’est l’occasion rêvée de replonger dans l’un des univers les plus riches du RPG. Ci dessous, le listing des deux éditions :
Edition Standard
Le jeu de base
Extensions d’histoire Knights of the Nine et Shivering Isles
Contenu téléchargeable supplémentaire : l’extension Fighter’s Stronghold, Spell Tome Treasures, Vile Lair, Mehrune’s Razor, The Thieves Den, Wizard’s Tower, OPrrery et Horse Pack Armor
Edition Deluxe
Le jeu de base
Extensions d’histoire Knights of the Nine et Shivering Isles
Armures, Armes et Caparaçons d’Akatosh et Mehrunes Dagon Uniques
Un artbook numérique et la bande-son (application)
Contenu téléchargeable supplémentaire : l’extension Fighter’s Stronghold, Spell Tome Treasures, Vile Lair, Mehrune’s Razor, The Thieves Den, Wizard’s Tower, OPrrery et Horse Pack Armor
Si le football américain récupère de plus en plus de fans en France, la série Madden NFL a toujours eu droit à des sorties chez nous bien que sans traduction française. Madden NFL 26 est déjà planifié et selon un célèbre leaker, la date de sortie serait déjà connue et toutes les consoles ne seraient pas concernées par ce nouvel épisode.
À l’instar de ce que va proposer EA Sports avec sa franchise F1, Madden NFL devrait faire l’impasse sur la précédente génération de consoles. En effet, le titre ne devrait sortir que sur PS5, Xbox Series X|S ainsi que sur PC. Selon Dealabs Magazine, l’édition Standard serait disponible le 14 août 2025. Comme toujours, si vous investissez dans la Deluxe Edition, trois jours d’accès anticipé seront de la partie. Pour les abonnés EA Play, sachez que dix heures d’essai à partir du 11 août 2025 seront proposées.
Lors du dernier Nintendo Direct, EA Sports avait annoncé l’arrivée de la franchise sur Nintendo Switch 2. Pour le moment, ce Madden NFL 26 ne serait pas planifié pour août 2025. Reste à savoir si un portage aura lieu quelques semaines voire mois plus tard ou si une version spécifique fera son apparition l’année prochaine.
En attendant, Madden NFL 25 est toujours disponible sur PS5, Xbox Series X|S, PS4, Xbox One et PC.
Les abonnés au service Nintendo Switch Online sont déjà ravis d’apprendre l’arrivée des jeux GameCube pour Switch 2, mais cela serait sans compter l’ajout d’autres titres sortis sur d’anciennes consoles. C’est le cas de Fire Emblem : The Sacred Stones qui vient de s’ajouter au catalogue Game Boy Advance. De quoi faire plaisir aux fans de la première heure.
Deuxième épisode de la saga Fire Emblem paru sur GBA, Fire Emblem : The Sacred Stones fait son retour via la bibliothèque de jeux rétro proposée pour les abonnés Nintendo Switch Online. À l’époque de sa sortie en 2005, les joueurs avaient eu l’occasion de pouvoir jouer à cet épisode en plus de celui sur GameCube – Fire Emblem : Path of Radiance. D’ailleurs, ce volet sera ajouté au catalogue GameCube dédié à la Switch 2.
Sacred Stone raconte l’histoire du royaume en ruine de Renais suite à une invasion surprise. Eirika et Ephraim, jumeaux héritiers du royaume, partent alors en quête pour reconquérir leur terre natale. Exploration, recrutement de nouveaux chevaliers, personnalisation de son armée furent le cœur du gameplay de cet épisode qui marqua certains fans de la série.
Fire Emblem : The Sacred Stones est dès à présent disponible pour tous les membres du service Nintendo Switch Online + Pack additionnel. Vous retrouverez le titre dans la section Game Boy Advance de l’application.
Pour compléter cette sortie, l’application Nintendo Music se voit aussi enrichir de morceaux d’un autre épisode de la série Fire Emblem : Fire Emblem Engage. Alors que la semaine dernière, les utilisateurs ont eu la surprise de découvrir les musiques de The Legend of Zelda, il est désormais possible d’écouter les musiques d’Emblem. Il vous suffira de lancer l’application Nintendo Music sur votre téléphone portable, d’ouvrir la section « Franchises » et de sélectionner le volet dédiée à Fire Emblem.
Retrouvez donc Fire Emblem : The Sacred Stones sur l’application Nintendo Switch Online et les musiques de Fire Emblem Engage sur Nintendo Music dès aujourd’hui.
Les rumeurs semblent enfin se confirmer. Un live spécial se tiendra ce mardi 22 avril sur Twitch et Youtube sur les chaines de Bethesda, qui joue avec les attentes en présentant tous les signes annonçant l’arrivée du Remaster de The Elder Scrolls 4: Oblivion.
Les fuites s’enchainent et les rumeurs se succèdent à propos d’une sortie imminente de The Elder Scrolls 4: Oblivion. Bethesda vient tout juste d’afficher sur son compte X une image qui affole les fans du studios.
Ce post renvoie à un lien YouTube portant le message : Tout sera révélé. L’heure du live de Bethesda concernant les révélations sur le remaster d’Oblivion commencera à 17h pour la France ce mardi 22 avril.
Aucune information n’est pour l’instant confirmée sur les plateformes de sortie du jeu. Certaines rumeurs parlent de lancements spécifiques sur Xbox Series X|S et PC, ainsi que d’une disponibilité sur le GamePass. Une sortie Steam serait également en préparation, avec une taille de 120,94 Go. Ce qui est conséquent quand on le compare avec les 4,6 Go de la version originale du jeu. Mais ce n’est pas étonnant quand on sait qu’une version modifiée de Skyrim peut atteindre plusieurs centaines de Go avec quelques mods graphiques. Il s’agirait du plus gros jeu de la licence The Elder Scrolls sorti à ce jour.
Il y a tout lieu d’espérer que le jeu sortira donc avec toutes ses extensions connues à ce jour : les DLC The Shivering Isles et Knights of the Nine, et peut-être quelques améliorations populaires apportées par certains mods de la communauté.
Si vous pensez que cette fin d’avril serait plutôt tranquille, vous n’êtes pas prêt pour la renaissance d’un des jeux les plus appréciés de la mythique licence de Bethesda.
Quelques jours avant sa sortie sur PS5 et PC, de nouvelles informations ont été dévoilées concernant Days Gone Remastered, notamment sur sa partie technique. Que vous soyez sur PS5, PS5 Pro ou PC, de nombreuses améliorations sont prévues, mais pas toutes seront de sortie immédiatement puisque des mises à jour sont d’ores et déjà prévues.
Si vous appréciez dégommer du zombie à tout bout de champ tout en vous baladant sur une moto dans un grand monde ouvert, Days Gone est le jeu qu’il vous faut. Ce dernier revient dans une version ultime sur PS5 et PC le 25 avril prochain et nous connaissons les premiers éléments techniques. On retrouvera des améliorations concernant les éclairages et de nouveaux effets d’occlusion ambiante sans oublier une amélioration de la tonalité des couleurs avec des effets lumineux plus précis pour le ciel et le soleil.
Par ailleurs, les modes graphiques ont été détaillés sur PS5 et PS5 Pro et malheureusement, aucun mode plafonné à 120 FPS n’est prévu. Un patch arrivera après la sortie du jeu pour ajouter un mode Balanced proposant du 40 FPS et une résolution entre le mode Performance et Qualité. Voici toutes les informations connues à ce jour :
PS5 Pro
Performance : 1800p/60 FPS
Qualité : 2880p (5K)/30 FPS
Amélioré : 1584p/60 FPS avec PSSR
PS5
Performance : 1440p/60FPS
Qualité : 4K native /30FPS
Pour rappel, Days Gone Remastered sera disponible sur PS5 et PC.
Après une sortie très compliquée sur les consoles de dernière génération et PC avec un bashing comme pas permis, Star Wars Outlaws a été annoncé sur Nintendo Switch 2 très brièvement lors du dernier Nintendo Direct. L’éditeur français a de nouveau communiqué sur ce portage qui se dote désormais d’une date de sortie quelques mois après la sortie de la console.
On savait que la version Nintendo Switch 2 de Star Wars Outlaws ne serait pas disponible au lancement de la Nintendo Switch 2, mais nous attendions avec impatience la date de sortie de ce projet. L’éditeur français a calé cette sortie au 4 septembre 2025. Reste désormais à savoir comment tournera le jeu sur la prochaine console de Nintendo, et si sortie physique il y a, s’agira-t-il d’une cartouche de jeu complète ou d’une carte clé de jeu ?
En attendant, une courte et nouvelle bande-annonce a été diffusée par Ubisoft pour illustrer ce portage sur Nintendo Switch 2 :
En attendant, Star Wars Outlaws est disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC.
Il y a quelques jours déjà, Bungie nous présentait enfin du gameplay de Marathon, son futur renouveau d’une icône des années 90. Avec un accueil plutôt mitigé, dévoilant un gameplay exigeant dans un univers coloré, la question du système de financement fut posée. Bungie a été clair, Marathon sera payant, mais pas autant que nous le pensions.
Aujourd’hui, les jeux solo tablent sur des prix assez élevés allant de 60 € jusqu’à 80 €. De ce fait, quand Bungie a annoncé que Marathon ne serait pas un free-to-play, beaucoup de joueurs ont craint l’annonce de prix. En effet, difficile pour un nouveau titre, même si celui-ci porte en lui l’aura d’un gros univers marquant des années 90, de se faire une place dans le monde des extractions shooter durable.
C’est dans un récent rapport de Forbes que Paul Tassi, rédacteur sur ce média, aurait affirmé que le prix de Marathon s’approcherait davantage de ce qu’a proposé Helldivers 2 à sa sortie. Ainsi, celui-ci serait de 40 € et non de 70 €, prix amené par de nombreuses rumeurs. Dans ce même rapport, Paul revient sur ce choix de Bungie de proposer un titre payant plutôt que gratuit. D’après lui, et malgré les plaintes, Bungie ne peut tout simplement pas se permettre de sortir un titre gratuit à l’heure actuelle. Mais l’idée n’est pas totalement fermée, elle n’est seulement pas à l’ordre du jour.
En plus d’une annonce d’un potentiel prix, Bungie a annoncé une alpha fermée le 23 avril et faisant office de test technique avant le lancement. L’idée étant de limiter le nombre de joueurs afin que les choses ne se cassent pas totalement. Pour faire preuve d’une totale transparence et pour rassurer les fans, cette alpha ne sera pas sujette à des NDA. C’est-à-dire que les testeurs pourront diffuser du gameplay aussi bien en live que sur YouTube, mais aussi donner leur avis sur les réseaux sociaux.
Quand l’alpha se terminera, Bungie aurait prévu une possible bêta ouverte en août, juste avant le lancement du titre le 23 septembre 2025. Il ne reste donc plus qu’à attendre les premiers retours pour se faire une véritable idée de ce tout nouveau venu des extractions shooter.
Le retour d’une légende approche à grands pas. Plus de deux décennies après le dernier opus majeur, Fatal Fury: City of the Wolves marque le grand come-back d’une franchise emblématique du jeu de combat. Alors que la concurrence fait rage sur la scène du jeu de combat, SNK saura-t-il imposer la franchise Fatal Fury à nouveau dans l’arène ? En attendant sa sortie imminente, voici notre avis sur ce que le jeu a dans le ventre.
Test réalisé sur PC à l’aide d’une copie envoyée par l’éditeur.
Hey, come on, come on!
Franchise culte des années 90, Fatal Fury a été l’une des pierres angulaires de l’âge d’or du jeu de combat en arcade. Née sur Neo Geo, elle a introduit des personnages devenus iconiques comme Terry Bogard, Mai Shiranui ou Geese Howard, tout en posant les bases de ce qui deviendrait plus tard The King of Fighters. Le dernier opus majeur, Garou: Mark of the Wolves, sorti en 1999, avait laissé une empreinte durable grâce à sa réalisation soignée et son gameplay affûté. Depuis ? Silence radio pendant plus de 25 ans, malgré la popularité continue de certains personnages dans d’autres licences.
C’est pas beau tout ce petit monde là ?
L’annonce de Fatal Fury: City of the Wolves en 2022, suivie d’un premier trailer en 2023, a donc été un petit événement pour les amateurs de versus fighting. Développé par SNK avec le moteur Unreal Engine (le même que The King of Fighters XV), ce nouvel opus reprend l’héritage direct de Garou, poursuivant les évènements instaurés deux décennies auparavant. Le style cel shading moderne confère au jeu une identité visuelle forte, entre respect du matériau d’origine et fraîcheur contemporaine. Le projet est né d’une volonté assumée de faire renaître la série avec ambition, en s’appuyant sur le savoir-faire accumulé par SNK depuis sa résurrection en 2016. Entre hommage nostalgique et nouvel élan, City of the Wolves veut redonner à Fatal Fury la place qu’elle mérite dans le paysage du jeu de combat actuel.
Sous la direction de Yasuyuki Oda, producteur emblématique ayant déjà orchestré la renaissance de The King of Fighters, le projet est porté par une véritable volonté de concilier tradition et modernité. Oda a plusieurs fois souligné l’importance de Fatal Fury: City of the Wolves pour SNK, le décrivant comme un « tournant majeur » pour l’éditeur. Parmi les nouveautés, on note l’introduction du système REV (Rev System), qui promet d’offrir plus de dynamisme et de créativité dans les combats, sans pour autant sacrifier la profondeur stratégique.
L’héritage fait sang neuf
Fatal Fury: City of the Wolves démarre avec un roster qui fait le pont entre les icônes de la série et de nouveaux visages. Du côté des vétérans, Terry Bogard, Rock Howard, Hotaru Futaba ou encore Tizoc répondent présents, tous retravaillés avec soin pour coller à la nouvelle direction artistique et aux mécaniques modernisées. Mais SNK ne se contente pas de recycler : de nouveaux personnages font leur entrée, comme Preecha, une combattante spécialisée en Muay ou encore Vox Reaper, un personnage à l’esthétique sombre et disciple spirituel de Grant, antagoniste majeur de Garou: Mark of the Wolves. Autre surprise, et pour le moins intriguant, Cristiano Ronaldo et le DJ Salvatore Ganacci sont tous deux présents comme personnages jouables ! Bien que la rumeur du footballeur portugais comme combattant avait été particulièrement insistante ces derniers mois, personnes n’y croyait vraiment, et pourtant !
Les dames se déchainent
Si la sélection de départ ravira de nombreux fans, quelques absences notables viennent ternir le tableau. La présence de ces deux invités empêche néanmoins Fatal Fury: City of the Wolves de réunir l’intégralité du casting de Garou: Mark of the Wolves. Les absents les plus remarqués sont Kim Jae Hoon, l’un des fils de Kim Kaphwan, ainsi que Freeman, personnage mystérieux au airs edgy et rappelant un certain Iori dans sa variation dite « Griffe ».
Le premier season pass, déjà annoncé, comprendra cinq personnages additionnels, dont certains visages familiers issus de l’univers Fatal Fury/KOF (Andy Bogard, Joe Higashi et Mr. Big), mais aussi des invités en la présence de Ken et Chun-Li de Street Fighter pour rendre la pareille à Capcom qui compte Terry et Mai dans son roster. SNK a précisé vouloir alimenter le jeu sur le long terme avec du contenu régulier, tout en écoutant les attentes de la communauté compétitive. Ce modèle en saison s’inscrit clairement dans une logique post-KOF XV, visant à garder le jeu vivant à travers des mises à jour d’équilibrages et des ajouts de contenu.
Ce REV bleu
Côté gameplay, City of the Wolves hérite de plusieurs mécaniques de Garou: Mark of the Wolves, notamment le S.P.G, grandement inspiré du TOP System, qui permet au joueur de choisir une zone dans sa barre de vie où il bénéficiera d’un boost temporaire en attaque et d’un accès à des coups spéciaux supplémentaires, notamment la possibilité d’effectuer un Rev Blow et un Hidden Gear si les ressources le permettent. Ce système stratégique, qui pousse à prendre des risques calculés, est de retour dans une version modernisée, plus lisible et intégrée au rythme actuel du versus fighting.
Le S.P.G. remplace le TOP System de Garou: Mark of the Wolves
La grande nouveauté vient du REV System, un ensemble de mécaniques unifiant les options offensives et défensives autour d’une jauge centrale. Il regroupe plusieurs mécaniques — Rev Blow, Rev Guard, Rev Arts — toutes liées à une jauge unique, le REV Meter. Ce dernier se remplit à chaque action spéciale ou défensive et, une fois surchargé, entre en surchauffe, limitant drastiquement les possibilités du joueur… et ouvrant une fenêtre dangereuse pour l’adversaire.
C’est là que le bât blesse. Si l’idée de punir un joueur trop gourmand ou trop défensif peut sembler juste, la gestion actuelle du REV Meter pose question. En effet, il suffit que l’adversaire enchaîne les pressions sur garde pour faire monter la jauge de l’autre joueur, le poussant malgré lui vers la surchauffe — sans même avoir abusé de ses propres options. Une fois en surchauffe, non seulement les Rev Arts deviennent inaccessibles, mais la barre de garde devient vulnérable, exposant le joueur à un guard crush brutal. L’intention est claire : favoriser l’agressivité, maintenir la tension… mais le sentiment de contrôle en prend un coup.
Ce déséquilibre se double d’un buffer d’input assez raide, qui ne pardonne pas les approximations, même pour des links simples. Cela accentue la sensation de rigidité dans un jeu qui se veut pourtant nerveux. À vouloir s’inspirer du Drive System de Street Fighter 6 — avec son propre système de gestion de ressources et de surchauffe — SNK semble avoir cherché à éviter le plagiat direct, quitte à introduire des mécaniques qui manquent encore de finesse dans leur implémentation. Le résultat est un gameplay au potentiel indéniable, mais dont les fondations doivent encore être affinées pour que le système REV tienne ses promesses sans frustrer.
Au-delà du REV System et de la gestion perfectible de ses ressources, Fatal Fury: City of the Wolves souffre également de choix de design qui complexifient inutilement l’expérience, notamment autour des systèmes de Brake et de Feint. Ces mécaniques, héritées de Garou: Mark of the Wolves, sont censées permettre aux joueurs avancés d’interrompre certaines attaques ou d’exécuter de fausses animations pour piéger l’adversaire. Sur le principe, elles enrichissent le gameplay en ajoutant une couche de mind game. Mais dans les faits, leurs manipulations sont tout sauf intuitives.
Le mode Défis vous offre le strict minimum.
Les commandes de Brake et de Feint reposent sur des combinaisons de touches distinctes et souvent inconfortables, demandant des enchaînements peu naturels qui fatiguent rapidement les mains — surtout sur sessions prolongées. Une question se pose alors : pourquoi ne pas avoir unifié leur exécution, en laissant au contexte (attaque en cours ou timing) le soin de définir l’action déclenchée ? Ce choix aurait non seulement fluidifié la prise en main, mais aussi permis une meilleure lisibilité pour les nouveaux venus comme pour les vétérans. En l’état, on se retrouve avec deux systèmes proches sur le papier, mais dont l’accès semble inutilement contraignant.
Ce problème s’ajoute à une autre décision surprenante : l’introduction d’un cinquième bouton dédié au REV Guard et à l’activation du Hidden Gear quand le contexte s’y prête. Alors que les quatre boutons traditionnels suffisent largement à couvrir les besoins de gameplay, l’ajout de cette touche spécifique — la touche Rev — soulève des interrogations. Son rôle semble redondant, puisque toutes ses actions pourraient être exécutées via des combinaisons classiques. On a l’impression que cette touche a été ajoutée pour marquer le système REV sans réelle nécessité, au prix d’un bouton de plus à mapper et à gérer… pour un gain fonctionnel assez limité.
Entre charme old school et limites modernes
Visuellement, Fatal Fury: City of the Wolves affiche une direction artistique assumée, portée par un style cel-shading à mi-chemin entre le manga et l’animé, qui colle bien à l’identité de la saga de SNK. Certains designs et effets de coups sont franchement réussis, et le jeu a du caractère… mais il faut bien admettre que l’exécution technique reste en retrait par rapport aux standards actuels du genre. Quand on compare à des productions comme Guilty Gear Strive ou Street Fighter 6, City of the Wolves semble parfois figé dans le passé. Les animations, en particulier, manquent souvent de fluidité, ce qui accentue une sensation de raideur déjà ressentie dans le gameplay. Certains mouvements paraissent abrupts, et les transitions entre les attaques manquent de liant, ce qui nuit à l’impact visuel comme au plaisir des combos.
Oubliez les cutscenes animées et autres CGI, Fatal Fury: CotW préfère les images fixes à l’ancienne.
Mais là où la déception est encore plus marquée, c’est du côté de la bande-son. Garou: Mark of the Wolves avait laissé un souvenir impérissable avec ses thèmes mémorables, à commencer par celui de Rock Howard, au chorus clairement inspiré de Children de Robert Miles — un plagiat ? Peut-être. Mais un plagiat de qualité. Ici, City of the Wolves tente bien de rejouer la carte nostalgique avec quelques réorchestrations de thèmes issus de Garou, mais celles-ci manquent cruellement d’inspiration. Quant aux nouvelles compositions, elles s’avèrent insipides, voire anecdotiques, à tel point qu’on peine à s’en souvenir après quelques matchs. Mention (peu) honorable au thème du training stage, dont la mélodie générique évoque plus une publicité de café tiède qu’un champ de bataille pour futurs champions.
Un contenu très classique
Côté contenu, Fatal Fury: City of the Wolves reste dans une offre très classique, voire minimaliste, pour un jeu de combat censé marquer le grand retour d’une série culte. En solo, on retrouve les modes attendus : Arcade, Training, un tutoriel de base, et un mode Missions qui se divise en trois variantes — Défis personnages, Survie et Contre-la-montre. Des ajouts bienvenus, mais qui manquent cruellement de générosité : les défis sont peu nombreux, peu inspirés, et surtout n’explorent pas vraiment la profondeur du système de jeu, ce qui est regrettable, surtout pour les nouveaux venus qui cherchent à s’initier.
Le mode Episodes of South Town est d’un ennui et d’une austérité sans nom.
Le soi-disant mode histoire, baptisé Episodes of South Town (EOST), se veut plus ambitieux avec une composante RPG : le joueur progresse sur une carte de South Town découpée en trois zones, enchaînant des combats à objectifs variés. Sur le papier, ça intrigue. En pratique, l’ensemble est d’une platitude confondante. Les affrontements sont mous, les variations d’objectif anecdotiques, et surtout les histoires sont d’un ennui abyssal. Pire encore : aucune cinématique, aucun doublage, juste des boîtes de texte fades et impersonnelles — un comble, quand le mode arcade propose, lui, des dialogues doublés et quelques bribes de mise en scène. Un cruel déséquilibre qui illustre un certain manque d’ambition narrative.
Du côté du multijoueur, on retrouve les standards : Versus local, matchs en ligne en casual, ranked ou salons privés. À noter également la présence d’un Clone Mode, dans lequel une IA adaptative à la Tekken 8 apprend des styles de jeu pour les répliquer — un ajout prometteur sur le papier, mais que nous n’avons pas pu tester, les serveurs n’étant pas encore accessibles au moment du test. On peut toutefois s’attendre à une expérience similaire à celle offerte durant la seconde phase de bêta ouverte, qui, sans être révolutionnaire, avait le mérite d’être stable et fonctionnelle.
Vous pouvez créer vos propres couleurs pour vos personnages favorisApprends à t’ouvrir la main avec Marco Rodrigues !
Enfin, quelques options annexes comme le Color Edit et le Jukebox viennent étoffer l’interface, mais ne suffisent pas à compenser l’impression globale d’un contenu de lancement squelettique. Pour un retour attendu depuis 25 ans, City of the Wolves donne parfois l’impression de jouer la prudence à outrance, au lieu de livrer un package digne de son héritage.
Verdict
Fatal Fury: City of the Wolves signe un retour à la fois audacieux — de la part de SNK qui relance une série laissée en sommeil depuis 26 ans — et frustrant d’une licence mythique. Si l’ambition est palpable, entre un nouveau système REV prometteur, un casting bien équilibré et une direction artistique marquée, l’exécution laisse un goût d’inachevé. Rigidité du gameplay, décisions de design discutables, contenu solo anémique et technique perfectible ternissent une formule qui méritait mieux pour marquer les esprits. Un bon geste toutefois : le premier Season Pass est offert pour toute précommande jusqu’au 23 avril, un petit coup de pouce bienvenu pour accompagner les débuts du jeu. Il nous tarde désormais de voir la réponse de la communauté et, surtout, si SNK saura entretenir l’intérêt sur la durée, un défi de taille, tant ses jeux peinent souvent à rester vivants hors d’Asie et d’Amérique Latine.
Mandragora: Whispers of the Witch Tree est ce qu’on pourrait appeler le metroidvania souls-like de la saison. Le jeu reprend une formule maintenant classique : un gameplay dynamique, des mécaniques de game design inspirées par les jeux de FromSoftware et une exploration horizontale dans un monde sombre destiné à la déchéance. Mandragora réutilise une recette qui fonctionne, mais avec un charme nouveau qui lui est propre, donnant ce sentiment d’une œuvre à la fois rassurante et innovante.
Mandragora: Whispers of the Witch Tree, produit par Primal Game Studio, est à la base un projet Kickstarter ayant eu son petit succès avec plus 270 000 $ récoltés pour 5 000 contributeurs. La promesse était de créer un titre combinant plusieurs éléments d’œuvres bien connues : l’exploration d’un Castlevania, les mécaniques de combats de Dark Souls, la richesse narrative de The Witcher et la beauté graphique de Ori and the Will of the Wisps. Ainsi, Mandragora: Whispers of the Witch Tree assume fortement ses références et s’en inspire avec justesse pour être une œuvre brillante malgré quelques défauts.
Le cri d’un univers à l’agonie
Son monde se nomme Faeldumm et il se meurt. Les monstres ont envahi la majorité des régions et seules quelques cités et villages parviennent à survivre au milieu des ténèbres, repoussant les attaques sauvages grâce à des murs épais et des combattants endurcis. Les puissants de ce monde contiennent ce chaos en entretenant l’espoir et l’obéissance du peuple. Ils pointent du doigt les entités responsables de la déchéance de cet univers : les sorcières, créatures cruelles et profanes qui souillent l’ordre du monde.
Un monde autrefois magnifique qu’il faut protéger
Dans tout ceci nous incarnons un inquisiteur, un orphelin ayant survécu grâce à ses dons magiques, élevé pour servir le puissant prêtre-roi. Afin de lui arracher ses sombres secrets, notre maître nous ordonne d’aller capturer une sorcière. Évidemment, notre mission ne se déroulera pas comme prévu. Une mystérieuse voix fait son apparition pour nous guider… qui sait si ses paroles sont des mensonges qui servent à condamner le monde ou des vérités salvatrices, oubliées depuis bien trop longtemps ?
Dans un premier temps, il convient de dire que Mandragora porte très bien son titre de Souls-like, on y retrouve des mécaniques qui appartiennent au genre et surtout, un univers qui souhaite nous échapper et qui s’interprète. Le monde est cohérent, avec une narration agréable sans pour autant être trop cryptique. Un habile mélange des genres, entre le mystérieux du souls-like et le direct d’un RPG classique, qui permet d’apprécier une histoire efficace et franche, tout en soulevant des pointes de mystère de temps en temps.
Concernant l’écriture du titre, elle se révèle assez simple, mais permet d’avoir une aventure aussi humaine qu’épique. Certains choix que l’on peut faire durant les dialogues permettent de débloquer différentes fins, mais cela n’est pas toujours évident à distinguer. Si les textes des PNJ sont bien écrits, ceux des joueurs, en revanche, manquent cruellement de finesse, voire comportent des erreurs de vocabulaire. Certaines phrases n’ont tout simplement pas de sens et risquent de déclencher des avancées vers des fins que l’on ne souhaite pas forcément par manque de compréhension. Heureusement, notre personnage parle peu et cette impression s’oublie vite quand on le compare avec le reste.
Les PNJ sont de sacrés personnages
En effet, on se plaît à discuter avec chaque PNJ, qui bénéficient tous d’un excellent doublage anglais et d’une bonne écriture. Leurs comportements sont assez réalistes et correspondent à comment des personnes peuvent agir dans un univers sombre et oppressant, avec quelques touches d’humour, preuve de la résilience humaine. Il est d’ailleurs très plaisant de remarquer l’utilisation d’expressions, de chansons populaires ou encore de subtiles références d’Internet faisant partie de la culture française. Une chouette attention de la part des traducteurs qui fait sourire. Chaque rencontre est un plaisir pour les oreilles et l’occasion de retrouver un peu d’humanité, pour le meilleur comme pour le pire.
Mortel, mais de toute beauté
Mais avant son histoire, ce qui est saisissant dans Mandragora, c’est sa direction artistique. Le jeu tourne sous le moteur Unreal Engine qui exploite à merveille les graphismes en 2.5D. Les modèles des bâtiments et des personnages sont simples, mais cela leur permet de rester la plupart du temps lisibles et compréhensibles, surtout quand de nombreux ennemis sont présents à l’écran ou que des effets de particules se superposent. On peut souligner l’utilisation d’un filtre donnant un effet de flou gaussien, appuyant l’ambiance onirique des lieux et donnant lieux à de superbes jeux de lumières
Dans l’ensemble, le jeu gère avec efficacité ses décors, en proposant des visuels magnifiques en arrière-plan qui montrent la richesse des environnements que l’on parcourt, tels que des moulins parmi les champs, les bois embrumés d’un marécage ou des étendues d’eau scintillantes dans le soleil couchant. Chaque zone possède un vécu qui est retranscrit par une narration environnementale maîtrisée. Il est un peu dommage que la profondeur de champ ne serve pas à montrer des événements de l’histoire, comme la présence d’un boss ou des déplacements de monstres, à l’image de certains metroidvania.
Des décors à l’ambiance réussie
En revanche, les illustrations des cinématiques et des personnages sont particulièrement bluffantes. Elles utilisent ce qui est appelé un style pictural, ressemblant ainsi à de véritables peintures avec de légères animations, changeantes en fonction de l’humeur du PNJ représenté. On se surprend souvent à contempler un visage pourtant peu agréable, mais saisissant de vie, unique à cet art brut. Cela fait beaucoup penser au style du studio Vanilla Ware, qui utilise une animation semblable pour certaines de ses illustrations, mais avec un aspect plus réaliste et occidental.
Il est regrettable que la carte n’ait pas bénéficié de la même attention graphique. Son apparence est bien trop simple quand on la compare avec les illustrations, ce qui casse l’immersion. Ce choix peut s’expliquer par le fait qu’elle montre toutes les ressources à collecter et certains obstacles découverts, ce qui pourrait devenir illisible. On aurait quand même bien apprécié un entre-deux entre le style épuré et l’imagerie générale.
C’est en tout cas un rôle que remplit parfaitement la bande-son. Mandragora possède une ambiance sonore qui nous plonge parfaitement dans son univers sombre en proposant des thèmes représentant la mélancolie des lieux ou l’hostilité qui s’en dégage, auxquels s’ajoutent les sons d’ambiance propres aux niveaux ainsi que ceux que produisent les ennemis au loin : insultes, grondements ou raclements, par exemple. Cela nous fait d’autant plus remarquer les rares et véritables musiques du jeu qui possèdent une atmosphère chargée de mystère.
Patience et puissance
Comme mentionné plus haut, Mandragora: Whispers of the Witch Tree est à la fois un souls-like et un metroidvania, avec des notions de difficultés propres à ces deux genres. La prise en main du gameplay est rapide, mais il faut constamment faire preuve de prudence, d’attention et de méthode. Le jeu propose de nombreux moyens pour que le joueur puisse accomplir sa quête, que ce soit en gérant son équipement avec les marchands recrutables ou en se renforçant grâce aux impressionnants arbres de compétences.
Ces derniers, au nombre de 6, constituent le cœur du gameplay du jeu et peuvent se comparer à des classes connues des RPG, comme le paladin, le druide ou l’assassin. Les premiers niveaux servent à se familiariser avec une seule de ces spécialités, avant de débloquer les autres après quelques heures de jeu une fois niveau 25. Mandragora possède un système avec un fort potentiel de combinaisons de capacités.
Un arbre de compétences bien fourni, mais qui reste simple
Si les arbres de compétences semblent compliqués, ils sont pourtant très simples. Chaque classe ne possède en réalité que 16 capacités passives que l’on peut débloquer ; les autres cercles représentent des gains de caractéristiques. Il est possible de privilégier différents chemins en fonction de son style et de mettre en place des synergies de compétences pour des effets dévastateurs.
Les sorts et capacités actives, quant à eux, ne se débloquent qu’à mesure que vous progressez dans l’aventure, que ce soit en vainquant des ennemis, en les achetant auprès de marchands ou dans des coffres cachés. Ce qui peut se révéler frustrant si jamais votre cheminement vous emmène loin des sorts spécifiques à votre choix de départ. D’autant plus que certains ennemis peuvent se révéler être de sérieux obstacles dans votre exploration de Faeldumm.
Sur le même sujet, il faudra environ une bonne cinquantaine d’heures pour terminer Mandragora: Whispers of the Witch Tree, sans pour autant pousser l’exploration à fond. La plupart des améliorations de déplacement se découvrent à partir d’une dizaine d’heures, en suivant la quête principale et elles se révèlent vite indispensables pour tous bon explorateur. En effet, Le jeu possède de nombreuses plateformes où il est difficile de se déplacer, les ennemis peuvent attaquer en nombre ou profiter d’une position avantageuse où une mauvaise esquive peut conduire à une chute mortelle.
Des affrontements éreintants
Comme le dit Primal Game Studio, Mandragora n’est pas un jeu de combat où il est possible d’échanger des séries de coups avec vos ennemis sans broncher. Ils sont bien trop nombreux, voire résistants. La stratégie est de mise et il faudra anticiper leurs attaques pour s’en sortir. Évidemment, cela se révèle essentiel contre tous les boss, qui seront souvent de formidables adversaires qu’il faudra prendre le temps de bien analyser pour leur survivre. Même si la plupart peuvent se montrer assez simples, ils possèdent généralement une attaque difficile à comprendre et capable de faire fondre la barre de vie, imposant un pic de difficulté inattendu au milieu d’un combat et jouant avec votre santé mentale.
Certains combats demandent de dépasser ses limites avec finesse
Surtout si on prend en compte le fait que, à notre goût, la plupart des ennemis possèdent bien trop de points de vie. Cela concerne aussi bien les boss qui peuvent se révéler assez épuisants, que les monstres de base. Heureusement, Mandragora en est conscient et propose de réduire certains paramètres, comme les dégâts subis par le joueur, les coûts d’endurance ou la santé des ennemis jusqu’à 70 % de leur montant initial. Ce qui nous parait correct pour une bonne expérience de jeu.
On pourrait rétorquer qu’il est possible de foncer à travers les hordes de monstres pour éviter de perdre du temps ou des ressources, mais cela est sans compter les récompenses lâchées à leurs morts : de l’essence pour monter de niveau, de l’or pour les marchands et des matériaux pour fabriquer vos équipements. Et vu l’importance de la fabrication dans ce jeu, il vaut mieux posséder le plus de ressources possible.
S’équiper pour briller
Mandragora: Whispers of the Witch Tree fait la part belle aux marchands, bien plus que ne le font les autres titres du genre. Ils sont un élément essentiel dans la progression du personnage et permettent de grandement faciliter la survie, que cela soit en fabriquant des armes, des armures, des potions ou pour l’enchantement. La récolte est une nécessité dans ce jeu.
L’introduction des marchands se fait en douceur et récompense naturellement l’exploration. Presque la totalité d’entre eux sont optionnelles et demandent de faire preuve de curiosité pour les recruter, que ce soit en leur parlant dans les villages, en accomplissant des quêtes ou en les sauvant de griffes de monstres. Chaque marchand est une belle rencontre qui apporte son lot de mystère et là possibilité de se renforcer, à condition d’investir dans son activité.
Et oui… malheureusement le commerce et l’artisanat ne sont pas des activités faciles ni florissantes dans ce monde, vos compagnons vont bien vous le faire comprendre. Les commerces possèdent un système de niveau qu’il faut faire progresser, que ce soit en fabriquant des objets ou en donnant des diagrammes, sortes de parchemins trouvables un peu partout. Plus un marchand possède une activité de haut niveau, plus il proposera des équipements de qualité et réduira ses prix. D’où la furieuse nécessité de récolter le plus de matériaux possible, que cela soit sur des monstres ou en les récoltant dans l’environnement.
Entretenez un petit jardin chez votre alchimiste favorite
En soi, Mandragora: Whispers of the Witch Tree possède une boucle de gameplay assez vertueuse, plus on explore, plus on est familier avec les adversaires sur lesquelson trouve de matériaux, plus il est possible de se créer un équipement puissant. De plus, on s’attache bien vite à la personnalité de chacune de nos rencontres et on peut même regretter qu’il n’y ait pas plus d’interactions entre eux pour développer un esprit de communauté.
Verdict
Malgré quelques défauts, Mandragora: Whispers of the Witch Tree s’est fait sa place parmi les références du genre metroidvania souls-like. C’est un pari réussi de la part des développeurs de chez Primal Game Studio qui ont fait preuve aussi bien de passion que d’expertises. Il aurait été agréable que le jeu exploite bien plus de concepts, comme l’utilisation de l’arrière-plan ou les interactions entre PNJ. Heureusement, la gestion des compétences avec les arbres de classes et la fabrication d’équipements constituent des mécaniques de jeu qui s’apprécient grandement. Si vous cherchez une bonne expérience d’exploration, dans un univers sombre et avec des combats intéressants, malgré quelques pics étranges de difficulté, alors ce jeu trouvera sans problème sa place dans votre collection.
Legion Studios vient de dévoiler une nouvelle bande-annonce de Covenant, leur prochain jeu de combat dark fantasy en vue à la première personne, actuellement en développement sur PC (Steam). Pas encore de date de sortie, mais le ton est donné : du Soulslike, des boss, du combat viscéral, et une ambiance bien sombre.
C’est quoi Covenant ?
Covenant vous met dans la peau du dernier messager vivant d’un monde mythique, un ange guerrier chargé de découvrir ce qui a fait sombrer Malach, un ancien héros tombé dans l’abîme. Pour comprendre sa chute, vous devrez traverser un monde ouvert interconnecté, affronter des monstres, résoudre des énigmes, et surtout… survivre à tout ce qui veut votre peau.
Les mécaniques clés
Un univers Dark Fantasy à la Dark Souls avec de l’exploration libre, des raccourcis à débloquer, des secrets à dénicher, des plateformes et énigmes sur le chemin.
Des combats en vue FPS ultra physiques : frappes, coups de pied, roulades et saisies des ennemis à la gorge.
Des mouvements dynamiques : glissades, sauts muraux, esquives… tout est fluide, mais demande du skill.
Système de posture et d’arme 1 main/2 mains que l’on retrouve dans les Soulslike : plus de puissance ou plus de mobilité, à vous de choisir.
Sorts, auras, stances : la manière de bouger et de se battre change complètement selon la posture choisie.
PVP : duels en 1v1, 2v2, et 3v3 dans des arènes dédiées.
De la co-op possible pour faire la campagne à plusieurs ou affronter les boss en bande.
Système de craft de build poussé : armes, sorts, anneaux, tenues, catalyseurs… plein de façons d’adapter votre style de jeu.
Covenant, c’est un gros mélange entre Dark Souls, Destiny et un FPS brutal à la DOOM, le tout dans un univers de fantasy sombre et mystique. Si vous aimez les défis, le lore cryptique, et les duels qui font suer, gardez un œil dessus.
Le prochain contenu additionnel de Star Wars Outlaws, intitulé A Pirate’s Fortune, a été dévoilé. La bande-annonce, initialement destinée à être révélée lors de la Star Wars Celebration, a été mise en ligne brièvement hier dans la fin de journée avant d’être retirée par Ubisoft. Depuis, elle a été postée officiellement par le compte Star Wars.
Prévu pour une sortie le 15 mai 2025, A Pirate’s Fortune poursuit les aventures de Kay Vess et de son compagnon Nix. Cette fois, le duo met le cap sur le système Khepi. Au cœur de cette nouvelle intrigue, les joueurs feront équipe avec le célèbre pirate Hondo Ohnaka, figure emblématique de l’univers étendu de Star Wars. Ensemble, ils devront faire face à Stinger Tash et à sa bande de pillards.
Le contenu ajoute également une nouvelle faction : la Ligue commerciale Miyuki. Cette organisation offrira des missions de contrebande à haut risque, en échange de précieuses récompenses. De quoi ravir les amateurs d’actions clandestines et de profits interstellaires. En parallèle du DLC, une mise à jour gratuite intégrera des objets cosmétiques inspirés de la série Star Wars: Skeleton Crew, dont une nouvelle tenue pour Nix et divers éléments décoratifs pour personnaliser ses véhicules.
Enfin, pour attirer de nouveaux joueurs, Ubisoft a lancé une démo gratuite de trois heures. Bien que la progression ne soit pas transférable, elle permet de découvrir un aperçu de Star Wars Outlaws.
Mario Kart World, le nouvel opus de sa franchise culte, prévu pour le 5 juin 2025 sur Nintendo Switch 2, se veut révolutionner la formule. Monde ouvert, météo dynamique, nouveaux modes de jeu et multijoueur jusqu’à 24 joueurs : ce jeu s’annonce comme le plus ambitieux de la série. Voici tout ce qu’il faut savoir.
Nintendo a récemment partagé plus d’informations sur Mario Kart World lors de sa présentation Mario Kart World Direct, révélant ce qui s’annonce comme le jeu le plus ambitieux de la série à ce jour. Exclusif à la Nintendo Switch 2, ce nouvel opus sortira le 5 juin 2025, avec également un bundle incluant la console et un code de téléchargement du jeu. Pour la première fois, Mario Kart propose un monde interconnecté : un vaste univers ouvert où les joueurs peuvent rouler librement entre les différentes régions. Villes, plaines, désert et même océan, dans des conditions dynamiques avec cycle jour/nuit et météo changeante.
Parmi les modes de jeu phares, on retrouve le traditionnel Grand Prix, qui vous fait enchaîner quatre courses par coupe, mais avec une nouveauté : il faut désormais conduire entre les circuits. Le mode Survie, quant à lui, est une sorte de marathon à élimination avec checkpoints, obstacles et pièges en tout genre. Pour une expérience plus détendue, le mode Balade permet d’explorer librement ce monde, de prendre des photos, découvrir des missions ou encore chercher des secrets cachés. Le tout est jouable en solo, localement ou en ligne, jusqu’à 24 joueurs, un record pour la série.
Mario Kart World introduit aussi de nouvelles techniques de conduite comme le Saut Chargé, qui permet de rouler sur des rails ou brièvement sur les murs, et la fonction Rembobiner, idéale pour corriger une erreur de pilotage. Le retour du Battle Mode (avec Bataille de Pièces et Bataille de Ballons), les modes Time Trials et VS Race, ainsi que des options d’assistance comme la conduite assistée ou la compatibilité avec les volants Joy-Con 2 viennent enrichir l’expérience.
Côté contenu, attendez-vous à une grande variété de circuits inédits, mais aussi des classiques revisités, une galerie de 24 personnages jouables, de nouveaux objets délirants comme la Carapace à Pièces ou la magie de Kamek, et même un système de restauration façon Drive-In chez Yoshi pour booster votre kart ou débloquer des tenues. Enfin, grâce aux nouveautés de la Switch 2, comme le chat vocal intégré ou CameraPlay pour afficher les visages des joueurs, Mario Kart World promet une immersion encore jamais vue dans l’univers de la course Nintendo.
Mario Kart World sera disponible le 5 juin au prix de 79,99€ en dématérialisé ou bien à 89,99€ en version physique. Un bundle regroupant la Nintendo Switch 2 et le jeu est disponible au prix conseillé de 509,99€.
EA Sports FC (ou anciennement FIFA) est le roi des terrains de football depuis maintenant de longues années, eFootball continue de faire de la résistance. Comme en témoigne cette mise à jour 4.4.0, les développeurs ne lâchent pas l’affaire et proposent de nouvelles fonctionnalités attendues qui raviront les joueurs.
En optant pour un passage en free-to-play, Konami a perdu de nombreux fans de eFootball (ou anciennement PES). Après un lancement catastrophique aussi bien techniquement qu’au niveau de son gameplay, le titre a vécu un revirement de situation intéressant mais les joueurs ne lui ont pas vraiment laissé une seconde chance. Avec cette mise à jour 4.4.0, il est peut-être temps de relancer le titre qui mérite désormais votre attention. Cette dernière apporte notamment le cross-play pour les consoles PlayStation, Xbox ainsi que PC (Steam et Windows). Les versions mobiles ne sont pas concernées par cette nouvelle fonctionnalité.
Mais ce n’est pas le seul ajout apporté par cette nouvelle version. En effet, il est enfin possible de jouer face à des IA dans eFootball League (auparavant, seul le mode en ligne était disponible). Pour les joueurs débutants, le mode Smart Assist sera disponible dans le mode eFootball League. D’autres fonctionnalités ont été détaillées par l’éditeur japonais :
Des emplacements supplémentaires ont été ajoutés pour les joueurs présents dans votre backlog (+ 500 emplacements).
Possibilité de libérer plusieurs joueurs en même temps.
Mise en plance d’un nouveau programme d’entraînement qui augmente les chances du joueur d’acquérir une compétence spécifique.
Possibilité de supprimer des compétences spécifiques.
Toutes ces nouvelles fonctionnalités ont été détaillées dans le eFootball Connect qui a eu lieu il y a seulement quelques heures :
Pour rappel, eFootball est disponible gratuitement sur consoles (hors Nintendo Switch), PC et mobiles.
Sorti il y a seulement quelques semaines sur les consoles de dernière génération et PC, Split Fiction n’avait pas eu droit à une sortie sur Nintendo Switch. Et pour cause, le projet était prévu pour être disponible lors du lancement de la Nintendo Switch 2. Hazelight Studios a détaillé les fonctionnalités de cette version avec notamment la prise en charge du GameChat ou encore du GameShare.
Split Fiction est l’un des jeux de cette année 2025. Avec une histoire soulevant notamment les problématiques des technologies les plus récentes et des personnages toujours aussi opposés, nous avions apprécié le titre lors de sa sortie à la mi-mars. La version Nintendo Switch 2 sera disponible dès le lancement de la console, à savoir le 5 juin 2025. Concernant les précommandes, ces dernières seront ouvertes à partir du 24 avril 2025 contre la modique somme de 49,99€. Mais ce n’est pas tout puisque le titre sera bien optimisé pour la console de Nintendo avec notamment l’intégration des features uniques de la console.
En effet, GameChat sera bien de la partie. Pour rappel, cette fonctionnalité est réservée aux possesseurs d’un abonnement au Nintendo Switch Online. Le micro de la console sera ainsi utilisable pour coopérer à distance tandis que la caméra sera également prise en charge avec l’incrustation des têtes des joueurs dans le jeu. Mais la fonctionnalité la plus intéressante reste cependant le GameShare. En effet, il sera possible de jouer en local avec deux consoles avec seulement une seule copie du jeu. Mais la cerise sur le gâteau, c’est que cette deuxième console peut être une Nintendo Switch. Le deuxième joueur ne sera donc pas obligé d’acquérir une Nintendo Switch 2 pour jouer à Split Fiction. Le Pass Ami sera lui toujours de la partie et le cross-play également pour jouer avec des amis qui disposent d’autres consoles.
Vous pouvez retrouver toutes les annonces des développeurs dans la vidéo publiée par Nintendo France ci-dessous :
Pour rappel, Split Fiction est également disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC.
Microsoft poursuit sa stratégie d’accessibilité en matière de cloud gaming en généralisant une fonctionnalité attendue : la possibilité de jouer à ses propres jeux Xbox via le cloud gaming hors Game Pass. Désormais, tous les abonnés au Xbox Game Pass Ultimate peuvent jouer aux jeux qu’ils possèdent en cloud gaming parmi une liste de jeux compatibles.
Auparavant accessible uniquement au programme Xbox Insider, tous les abonnés au Xbox Game Pass Ultimate peuvent désormais profiter de cette nouveauté depuis leur console Xbox One ou Xbox Series X/S. Introduite en novembre 2024, cette fonctionnalité permettait de jouer à certains jeux de sa bibliothèque personnelle sur une large gamme d’appareils : PC, smartphones, tablettes, téléviseurs connectés Samsung, Amazon Fire TV, Meta Quest ou même encore depuis un navigateur Web.
Concrètement, cela permet de jouer en cloud à des jeux, depuis n’importe quel support, même si ces derniers ne font pas partie du catalogue du Xbox Game Pass. Il faut cependant que les jeux soient compatibles avec le streaming et le stream your own game de Microsoft dont vous pouvez retrouver la liste sur le site officiel. Plusieurs licences sont à l’honneur, telles que les Assassin’s Creed ou The Witcher et bien d’autres.
Cette avancée permet également aux possesseurs de Xbox One de jouer en streaming à des titres réservés à la génération suivante, notamment ceux conçus pour les Xbox Series X/S. Cela prolonge significativement la durée de vie de leur console sans nécessiter de mise à niveau matérielle. De plus, le cloud offre une alternative précieuse au téléchargement, permettant d’économiser un espace de stockage souvent limité, en particulier pour les utilisateurs de la Xbox Series S.
Disponible depuis la fin du mois de mars sur consoles et PC, Assassin’s Creed Shadows est le dernier-né de la franchise phare de l’éditeur français Ubisoft. Comme tous les open-world, les mises à jour s’enchaînent pour régler les petits soucis rencontrés par les joueurs et c’est l’heure de l’update 1.0.3 de sortir sur nos machines.
Après le déploiement de la mise à jour 1.0.2 ajoutant normalement le PSSR pour les possesseurs d’une PS5 Pro, un problème de compatibilité avec le HDR avait été remonté. Ubisoft conscient de l’incident a ainsi déployé en urgence la version 1.0.3 qui corrige ce problème. Mais ce n’est pas tout puisque d’autres soucis ont été corrigés avec notamment une amélioration de la stabilité. L’éditeur français a notamment indiqué la taille des patchs avec 11 Go à télécharger sur Xbox Series X|S, 9,03 Go sur PC, et seulement 492 Mo sur PS5 et 400 Mo sur PC via Steam.
Voici le changelog complet de cette nouvelle mise à jour 1.0.3 :
Gameplay
Désactivation des fonctionnalités de ventes multiples dans les boutiques en raison de problèmes inattendus.
Correction d’un problème où l’option d’appeler les alliés était manquante.
Stabilité & Performances
Correction des problèmes de ralentissements sur PC.
Correction d’un plantage survenant pendant le prologue.
Correction d’une distorsion graphique sur la tenue de Yasuke après une esquive.
Correction des plantages et problèmes visuels avec l’apparence ‘Griffe du Dragon’ lorsqu’elle est appliquée aux armes.
REMARQUE : La personnalisation visuelle pour cette arme sera réactivée avec cette mise à jour.
Audio
Résolution d’un problème de perte audio.
PlayStation 5 et PlayStation 5 Pro
Correction des problèmes de plantage sur PlayStation 5.
Correction d’un problème graphique lors de l’activation du HDR et du PSSR pour PlayStation®5 Pro.
Pour rappel, Assassin’s Creed Shadows est disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC.
Et si les nombreux jours fériés prévus en ce mois de mai étaient l’occasion de relancer Among Us dans une nouvelle version ? Après plusieurs semaines d’attente, nous connaissons enfin la date de sortie de la version 3D du titre et cette dernière est prévue dans seulement quelques jours.
Qui n’a jamais joué à Among Us ? L’un des titres du confinement n’a cessé de recevoir des mises à jour au cours des dernières années avec notamment l’ajout de nouvelles maps ou de nouveaux rôles. Among Us VR est également sorti entre-temps, et c’est désormais au tour d’Among Us 3D d’arriver dans un premier temps sur PC via Steam. La date de sortie du projet est calée au 6 mai 2025 et il est désormais possible d’ajouter cette production en wishlist.
Par ailleurs, une nouvelle bande-annonce a été diffusée pour l’occasion :
RELEASE DATE REVEAL
Among Us 3D launches on PC via Steam on May 6, 2025!!
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