macOS 26.1 en version RC, la liste des nouveautés



Cette année, l’iPhone 17 s’est imposé comme le modèle phare de la gamme, au point d’être encore difficile à trouver dans le commerce. Si vous êtes à la recherche de ce modèle, cette promotion devrait vous intéresser : il est proposé aujourd’hui à 835 €, soit 134 € de réduction. Mieux, le revendeur en question a des stocks relativement importants.
Actuellement affiché à 865 € sur Rakuten, le smartphone passe à 835 € en utilisant le code RAKUTEN30 lors de la commande. Précisons qu’il s’agit d’un modèle d’import, référencé sous le numéro A3520. C’est le même modèle que celui vendu officiellement en France, donc aucun problème de compatibilité avec les réseaux cellulaires français ou européens. Le vendeur annonce une garantie de 24 mois : la première année est assurée, la seconde, c'est toujours plus compliqué avec les modèles en import. Dans tous les cas, vu l’économie réalisée, mieux vaut souscrire un contrat AppleCare pour être tranquille.
Le prix proposé est valable pour toutes les couleurs suivantes : blanc, brume et lavande. Il est légèrement plus cher pour les modèles sauge et noir.
Notre test publié le mois dernier s’était montré très positif : l’iPhone 17 avait obtenu la note de 4 sur 5. Nous avions particulièrement apprécié son écran (le même que celui de l'iPhone 17 Pro), sa capacité de stockage portée à 256 Go, ainsi que les nouveautés photo en façade.
Test de l'iPhone 17 : une reconversion Professionnelle
Pendant ce temps, l’iPhone Air continue sa dégringolade. En saisissant toujours le code RAKUTEN30, vous pouvez obtenir le mal-aimé de la gamme pour 828,30 € seulement. La barre des 800 €, qui paraissait encore irréaliste il y a peu, n’est plus très loin. C’est complètement fou pour un modèle affiché à 1 229 € en Apple Store.
Les offres se multiplient sur ce modèle, au point qu’on ne serait guère surpris de voir Apple revoir tôt ou tard son prix public — même si ce serait, il faut bien le dire, un cruel aveu d’échec.
Enfin, si vous cherchez un téléphone polyvalent et pas trop cher, l'iPhone 16e est disponible pour 499,99 €. Pour l'obtenir à ce prix, il suffit de saisir le code CLUBR20 lors de la commande !
La toute nouvelle MX Master 4 de Logitech est sortie il y a tout juste un mois et les premières promotions commencent à arriver. Elles restent assez légères pour le moment, même si on peut l’obtenir à 114 € au lieu de 130, soit environ 12 % de réduction. Ce prix est accessible sur Rakuten, sachant que le vendeur est Boulanger et donc fiable. Le tarif de base est de 119,99 €, mais en saisissant le code RAKUTEN5 au moment de passer la commande, vous bénéficierez de 5 % de réduction de supplémentaire et vous obtiendrez les 114 € environ, frais de port inclus.
Pour ce prix, vous aurez la meilleure souris bureautique pour droitiers de Logitech. La formule MX Master est bien connue depuis des années et elle n’a pas fondamentalement changé sur cette quatrième génération, même si le fabricant a légèrement fait évoluer le design. On note surtout l’apparition d’un bouton supplémentaire sur le côté, un bouton d’action qui gère par défaut les fenêtres et espaces de macOS. Le bouton sous le pouce a aussi été entièrement revu et associé à un moteur haptique qui apporte quelques avantages.
Dans mon test de l’appareil, j’ai surtout critiqué la partie logicielle, mais salué le matériel complet et très agréable. Même si le moteur haptique n’est pas révolutionnaire, il apporte un petit quelque chose en plus et le troisième bouton latéral s’est avéré très pratique. C’est une excellente souris, qui ne devrait souffrir d’aucun défaut majeur.
Test de la souris MX Master 4 de Logitech : une souris qui nous fait vibrer ?
Si vous avez une MX Master d’ancienne génération qui fonctionne encore, la mise à jour n’est pas obligatoire. Sinon, c’est une excellente souris qui retrouve un prix plus correct grâce à ces promotions. Si vous préférez Amazon, le géant du commerce vend le modèle gris clair à 120 €.
L’offre la plus intéressante reste chez Rakuten, surtout si vous êtes membre du ClubR, une offre gratuite qui permet de récupérer de l’argent sur des commandes. En achetant la MX Master 4 à 114 €, vous ajouterez 4,8 € sur votre cagnotte, à dépenser sur un futur achat.
Alors qu’Apple devrait lancer son premier iPhone pliable l’année prochaine, Samsung s’apprête à franchir un nouveau cap. Le géant coréen pourrait présenter cette semaine le Galaxy Z TriFold, son premier smartphone à double charnière, et les premières images de l’appareil commencent à circuler sur Internet.
Présenté à l’occasion du sommet APEC 2025 en Corée, ce prototype de smartphone tri-pliant peut se transformer d’un téléphone d’environ 6,5 pouces en une tablette d’environ 10 pouces une fois déployé. Le concept reprend l’idée du Galaxy Fold, mais avec une charnière supplémentaire pour offrir un écran encore plus grand. Selon les premières informations, chacun des trois panneaux d’affichage embarquerait son propre module de batterie, ce qui permettrait d’allonger sensiblement l’autonomie globale de l’appareil.
L’appareil était exposé dans une vitrine transparente, sans possibilité pour les visiteurs de le manipuler. D’après le Korea Economic Daily, le smartphone mesurerait environ 4,2 mm d’épaisseur une fois ouvert, et entre 1,2 et 1,5 cm une fois replié. Les plis de l’écran seraient à peine visibles, selon les observateurs sur place.
Here's your first look at the Samsung Galaxy Z TriFold.
— Trakin Tech English (@trakinenglish) October 28, 2025
Screen when folded: 6.5-inch
Screen when unfolded: 10-inch
It might be announced later this week.
Source: Chosun Media pic.twitter.com/EhT4i1hW2k
La vidéo diffusée sur les réseaux sociaux a en tout cas de quoi impressionner. Reste à voir comment un tel appareil résistera à l’usure du quotidien, et s’il s’avère vraiment pratique en mobilité.
Samsung pourrait lancer la production dès le mois prochain, pour une commercialisation avant la fin de 2026. Le prix n’a pas encore été communiqué, mais les analystes évoquent un tarif autour de 2 800 $. De quoi relativiser le prix du futur iPhone pliable.
Apple travaillerait sur un iPad pliant de 18 pouces, similaire à une tablette Huawei
macOS Tahoe 26.1 est disponible en Release Candidate depuis hier soir. En toute logique, Apple devrait proposer cette mise à jour au grand public soit à la fin de la semaine, soit en début de semaine prochaine. Sauf si Apple découvre un gros bogue à la dernière minute.
iOS 26.1 et macOS 26.1 en release candidate, les versions finales sont pour très bientôt
Voici les principales nouveautés de cette version :
Le réglage Liquid Glass vous permet de choisir entre l’aspect transparent par défaut ou un nouvel effet teinté qui augmente l’opacité du matériau dans les applications et les notifications sur l’écran de verrouillage.
Prise en charge de l’AutoMix d’Apple Music via AirPlay.
Amélioration de la qualité audio de FaceTime dans les conditions de bande passante limitée.
Les fonctions de sécurité des communications et les filtres de contenu Web limitant l’accès aux sites pour adultes sont désormais activés par défaut pour les comptes enfants âgés de 13 à 17 ans (l’âge varie selon le pays ou la région).
Apple ne le précise pas, mais cette version active en France le résumé des notifications sur Mac. Cette fonction, présentée comme étant encore en bêta, s’appuie sur Apple Intelligence. Déployée depuis quelques mois aux États-Unis, elle a déjà suscité quelques controverses en raison de son comportement parfois maladroit.
« Le pape François indifférent au décès de Zidane » : pourquoi Apple Intelligence résume si mal les titres d’articles
Cette mise à jour comprend également des corrections de failles de sécurité. Apple communiquera sur le sujet une fois les différentes versions de ses systèmes diffusées au plus grand nombre. macOS Tahoe 26.1 sera accompagné, comme toujours, d’iOS 26.1, iPadOS 26.1, tvOS 26.1 et watchOS 26.1.
De mémoire, jamais un Mac n’avait été aussi peu cher à l’achat. Le refurb propose aujourd’hui des Mac mini à partir de 369 € ! Le prix est d’autant plus fou qu’il s’agit d’un modèle récent. On parle du Mac mini M2 avec 8 Go de RAM et 256 Go de SSD. Précédemment, la boutique dédiée aux produits reconditionnés d’Apple proposait cette configuration à 489 €.
Apple propose également d’autres configurations de Mac mini à la vente. On trouve une configuration avec 8 Go de RAM et 512 Go de SSD pour 569 €. Également en vente : un Mac mini M2 avec 16 Go de RAM et 512 Go de SSD pour 689 €.
Test des Mac mini M2 et M2 Pro : le Mac maxi
Sur sa boutique dédié aux produits reconditionnés, Apple propose également des Mac mini M4 à partir de 589 €. Il s'agit de la configuration de base avec 16 Go de RAM et 256 Go de SSD. Si vous préférez du neuf, il est possible d'avoir le même modèle pour 619,99 € sur Rakuten via Boulanger. À titre de comparaison, rappelons que le Mac mini M4 commence à 699 € sur l’Apple Store
Utilisés sur les iPhone, les Apple Watch et les iPad Pro à l’heure actuelle, les écrans OLED devraient gagner d’autres appareils Apple prochainement. Ça parait naturel étant donné les avantages de ces écrans (finesse, souplesse, excellente qualité d’affichage…) et les multiples rumeurs déjà parues, mais Mark Gurman fait un nouveau point sur les projets d’Apple en la matière.
D’après le journaliste de Bloomberg, l’iPad mini est le prochain produit qui va bénéficier d’un écran OLED. Une excellente nouvelle pour la petite tablette qui se contente actuellement d’une dalle LCD qui n’a pas toujours été irréprochable — souvenez-vous du jelly scrolling de l’iPad mini 6 — et qui hérite généralement des innovations après ses grandes sœurs.
Ce nouvel iPad mini serait disponible dès l’année prochaine, ce qui est une autre bonne nouvelle, tant les mises à jour matérielles de ce produit sont irrégulières. Là où le bât blesse, c’est que l’écran OLED ferait augmenter son prix de 100 $, sachant que la génération actuelle coûte 499 $ HT / 559 € TTC.

Plus surprenant, Apple aurait testé pour la nouvelle petite tablette un châssis résistant à l’eau, une protection dont disposent les iPhone depuis longtemps. Dans ce cadre, les ingénieurs auraient exploré un nouveau système de haut-parleurs utilisant une technologie anti-vibrations afin de supprimer les trous des haut-parleurs. Cette approche diffère de la conception des iPhone, qui ont toujours des trous mais disposent de joints et d’adhésifs pour éviter les dommages.
À ce sujet, au détour d’un livre blanc publié cette année, le fabricant a glissé l’air de rien qu’il avait « lancé le premier iPad doté d’une protection contre l’infiltration de liquides », mais nous n’avons trouvé aucune autre trace de cette avancée et nos questions sont restées lettre morte.
« Le premier iPad protégé contre les liquides » : la déclaration d’Apple qui intrigue
Pour en revenir à l’OLED, Mark Gurman ne précise pas si l’iPad mini va jouir d’un écran tandem OLED (composé de deux panneaux OLED pour une luminosité supérieure) à la manière des iPad Pro ou bien d’un écran plus simple, comme d’autres sources semble l’indiquer.
Le prochain iPad Air, qui serait prévu pour le printemps 2026 et qui sera sans doute équipé d’une puce M4, aurait toujours un écran LCD. C’est dommage si ça se confirme, car cet écran (par ailleurs limité à 60 Hz) a largement fait son temps. Il faudrait attendre la génération suivante, probablement en 2027, pour goûter enfin à l’OLED sur cette tablette. Apparemment, Apple ne prendrait pas la peine d’intégrer entre temps un écran mini-LED, comme elle l’a fait pour les iPad Pro. Quant à l’iPad d’entrée de gamme, il est parti pour rester avec un écran LCD pendant longtemps.

Côté Mac, toujours selon Mark Gurman, les MacBook Pro seront les premiers à profiter de l’OLED, et ce fin 2026 ou début 2027. En attendant, ils peuvent toujours compter sur leur écran mini-LED qui a quelques caractéristiques communes. Apple aurait aussi commencé à plancher sur l’intégration d’un écran OLED pour le MacBook Air, mais l’amélioration ne se concrétiserait pas avant 2028.
Que ce soit pour l’iPad mini, l’iPad Air ou le MacBook Pro, cette technologie d’écran qui offre notamment des noirs profonds et un contraste saisissant doit servir de nouvel argument d’achat. Un argument d’autant plus convaincant sur tablette que les habituelles hausses de puissance ne se ressentent pas toujours au quotidien.
OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire
Apple distribue ce soir iOS 26.1, iPadOS 26.1, macOS 26.1, tvOS 26.1, visionOS 26.1 et watchOS 26.1 en release candidate pour les développeurs. C’est la dernière étape avant la sortie de ces mises à jour en version finale pour tout le monde dans quelques jours. À noter la disponibilité d’iOS 18.7.2 et iPadOS 18.7.2 en RC également.

Les changements apportés par iOS 26.1 sont nombreux. Apple Intelligence s’ouvre à davantage de langues encore, avec les ajouts du danois, néerlandais, norvégien, portugais (Portugal), suédois, turc, chinois traditionnel et du vietnamien. Les AirPods hors d’Europe peuvent également traduire plus de langues.
Le nouveau design logiciel d’Apple, qui n’est pas toujours lisible, a été retouché à certains endroits. Sur macOS 26.1, un bug visuel a été corrigé. Mais surtout, on a une nouvelle option pour réduire sa transparence sur Mac, comme sur iPhone et iPad.

En revanche, sur Mac, Apple a mis fin à une bidouille qui permettait de désactiver complètement Liquid Glass.
Dans iOS 26, Apple a fait le choix d’agrandir les boutons du réveil. Cela n’a pas plu à certains, qui éteignent par mégarde leur réveil. Nouveau changement dans iOS 26.1 : il faut maintenant faire glisser son doigt pour désactiver complètement l’alarme.

Apple a entendu les critiques : iPadOS 26.1 restaure une fonctionnalité qui avait disparu avec le nouveau système de fenêtrage. Slide Over fait son retour et même si ce n’est pas exactement sous la forme précédente, c’est une solution qui devrait satisfaire ceux qui regrettaient son absence. On peut glisser une app vers la droite pour la masquer temporairement et la remettre en place avec un glissement vers la gauche.
On peut faire glisser son doigt sur le titre en cours de lecture dans Musique pour passer au morceau suivant ou précédent.
iOS 26 avait supprimé un geste lié aux menus contextuels ? iOS 26.1 le restaure. Glisser sur la bulle vers la gauche de l’écran affiche toutes les options, comme si on avait touché l’icône tout à droite.
Apple a modifié l’alignement des icônes et du texte dans l’app Réglages. Les sections comportant un en-tête avec du texte affichent désormais ce dernier aligné à gauche, alors qu’il était auparavant centré.

Introduite avec iOS 16, la fonction Rapid Security Responses devait faciliter l’installation rapide des correctifs de sécurité sans mise à jour complète d’iOS. Peu exploitée jusqu’ici, elle laisse place avec iOS 26.1 à un nouveau système baptisé Background Security Improvements, qui vise à appliquer automatiquement ces correctifs en arrière-plan.
Depuis iOS 26, on peut enfin créer des entraînements personnalisés sur son iPhone dans l'app Forme. Avec la mise à jour, Apple a ajouté des paramètres supplémentaires. On peut choisir le type d’exercice, définir les calories actives estimées, le niveau d’effort, la durée et l’heure de début de la séance.
Un nouveau composant ajouté au framework PhotoKit permet aux apps tierces de sauvegarder des photos en tâche de fond. On imagine que les concurrents d’iCloud Photos, comme Google Photos, ne tarderont pas à prendre en compte cette fonctionnalité attendue de longue date.
AppMigrationKit vise à simplifier la migration des données gérées par une app. Cette nouveauté permet aux développeurs de proposer à leurs utilisateurs un transfert des données simplifié depuis un iPhone ou iPad vers un smartphone ou une tablette Android.
Apple continue d’ajuster les nouvelles icônes introduites dans macOS Tahoe et qui ont fait débat. L’icône du stockage interne a perdu ses trous sur la tranche inférieure qui n’avaient pas vraiment de sens.

Selon toute évidence, les versions finales seront distribuées dans les prochains jours, à moins qu’un bug bloquant n’oblige la compilation d’une nouvelle RC. En parlant de bugs, les bêtas d’iOS 26.1 et iPadOS 26.1 n’ont pas corrigé un problème d’écran tactile figé qui traîne depuis les premières builds d’iOS 26 et on doute que la RC améliore la situation.
Si le MacBook Air M4 est régulièrement en promotion, il faut souvent se contenter des petites capacités de mémoire vive ou de stockage. Amazon fait en ce moment une promo sur un modèle (couleur minuit) plus musclé équipé de 24 Go de RAM et d’un SSD 512 Go. Son prix : 1 347 €, au lieu de 1 599 € chez Apple. C’est normal si vous voyez un tarif de 1 585 € sur Amazon, la réduction de 15 % s’applique juste avant de passer la commande.

Le MacBook Air M4 est un ordinateur portable que l’on recommande les yeux fermés au plus grand nombre. Il a tout pour lui : il est léger, il a une excellente autonomie, il est puissant… Seuls les 16 Go de RAM et surtout les 256 Go de stockage de base peuvent être justes, mais le problème est résolu avec cette configuration 24 / 512 Go.
Son successeur n’est pas attendu avant l’année prochaine et il ne devrait pas révolutionner la formule, alors le MacBook Air M4 peut s’acheter en toute tranquillité.
Test des MacBook Air M4 : faut-il lâcher la M1 ?
L’Apple Watch Ultra est en promotion à seulement 599 € sur Amazon Italie en ce moment. C’est le prix le plus bas à ce jour pour cette montre. Le tarif passe même à 594,30 € lors de la commande du fait des différences de taxe et des frais de livraison vers la France. Vous pouvez passer commande avec votre compte Amazon français.
La seule contrainte de cette très bonne offre, c’est que vous n’avez pas le choix du modèle : seul le boîtier en Titane naturel avec un bracelet Boucle Alpine dans le coloris Sahara, taille S, est disponible à ce prix record. Attention, il ne reste plus que quelques exemplaires, donc il faut commander vite si vous êtes intéressé.

L’Apple Watch Ultra 2 a le grand avantage d’avoir une bonne autonomie, enfin une autonomie meilleure que les autres Apple Watch en tout cas. Elle bénéficie aussi d’un boîtier résistant, d’un grand écran, de la prise en charge des réseaux cellulaires et de plusieurs fonctions avancées qui parleront aux aventuriers en herbe (compatibilité avec la plongée, GPS double fréquence, sirène…). En comparaison, la montre est vendue 789 € minimum sur Amazon France.
Deux ans après sa sortie, que vaut l'Apple Watch Ultra 2 par rapport à la concurrence ?

Vous vous demandez pourquoi votre abonnement au Creative Cloud coûte plus cher qu’il y a un an ? Adobe tente de justifier la douloureuse en sortant un feu d’artifice de nouveautés pour ses logiciels. Comme d’habitude, les technologies d’IA génératives occupent une place majeure lors de la conférence Adobe MAX 2025 qui vient de débuter.

Firefly, le studio de création d’images et de vidéos, sait désormais tout faire, ou presque. On peut générer des bandes-son (utilisables à des fins commerciales si besoin) et des voix off, histoire de produire des vidéos complètes, et plus seulement des films muets. Dans la même veine, Adobe y ajoute un outil de montage maison, encore en bêta privée.
Firefly, c’est aussi le nom d’un modèle d’IA. Sa cinquième version, qui est au stade de la preview, est capable de générer des images photoréalistes de 4 mégapixels. À l’instar du modèle Nano Banana de Google, Firefly Image Model 5 est aussi capable de réaliser des montages précis. Concrètement, on peut lui demander de retoucher un élément particulièrement d’une image, et il le fera sans toucher au reste. C’est une compétence que les modèles d’IA n’ont pas encore tous.
En parlant de modèles, Firefly (le studio) accueille des technologies supplémentaires venant de Google, OpenAI, Luma AI ou encore Runway. Certains modèles sont gratuits, d’autres payants. Adobe propose plusieurs formules Firefly à partir de 11 €/mois pour lever des limites. Jusqu’au 1er décembre, les clients Creative Cloud Pro et à l’offre Firefly peuvent profiter d’un nombre illimité de générations d’images avec tous les modèles Firefly et partenaires.
Même si Firefly étend ses capacités d’année en année, Photoshop n’a pas dit son dernier mot. Le logiciel phare d’Adobe se dote d’un… Assistant IA. On peut demander à ce robot conversationnel d’effectuer des tâches de création, de donner des conseils ou encore de fournir des tutoriels. Il est pour l’instant réservé à la version web de Photoshop — oui, il y a une web app depuis quelques années.

Outre cet agent, Photoshop autorise maintenant des remplissages génératifs précis grâce à de nouveaux modèles d’IA (Gemini 2.5 Flash Image, Black Forest Labs FLUX.1 Kontext…). L’application accueille aussi la technologie renommée de Topaz Labs pour faire des agrandissement génératifs, c’est-à-dire pour transformer des images basse résolution en versions haute définition de bonne qualité. À cela s’ajoute la fonction Harmoniser, un outil de compositing qui intègre des éléments dans les scènes de manière réaliste en réglant automatiquement l’éclairage, les couleurs et la tonalité.
Grosse mise à jour aussi pour Lightroom. L’application professionnelle de photographie gagne un outil de tri assisté, qui permet d’identifier rapidement les meilleures images dans de vastes collections de photos. Il comprend des options de filtrage en fonction de l’angle, de la mise au point et du degré de netteté. Toujours en matière de tri, l’application gagne une fonction d’empilage automatique de clichés qui rappellera des souvenirs aux utilisateurs d’Aperture.

Comme à chaque fois, on a droit à des améliorations de performances, en l’occurrence concernant les d’aperçus d’images en survolant les Paramètres prédéfinis, l’Historique et les Instantanés. Mais ce qui va vraiment faire gagner du temps, c’est l’outil de détection et de suppression automatique de la poussière. On ne parle pas de la poussière présente sur les objets pris en photo, mais de celle qui se pose parfois parfois sur le capteur ou l’objectif. Plus besoin de multiplier les coups de gomme pour effacer les impuretés. Nous n’avons pas encore pu tester cette nouveauté, car l’application Creative Cloud pédale dans la semoule actuellement et empêche de mettre à jour Lightroom.
Les autres logiciels du Creative Cloud profitent aussi de leur lot d’améliorations : InDesign dispose d’une conversion automatisée de PDF, Illustrator gère mieux les couleurs et les flux de travail complexes sur les plans de travail multiples, etc. Au total, Adobe annonce plus de 100 nouveautés.
L’abonnement « Tout Creative Cloud », qui regroupe plus de 20 logiciels, est passé dernièrement de 67,01 €/mois à 78,65 €/mois avec engagement d’un an. Pour faire passer la pilule, Adobe l’a rebaptisé « Creative Cloud Pro ». Pas sûr que ça console grand monde. Sinon, l’éditeur propose toujours plusieurs formules plus ciblées, avec des packs d’apps ou des applications à l’unité.
Apple a brièvement franchi la barre des 4 billions de dollars de valorisation boursière lors de l’ouverture des marchés financiers américains il y a quelques heures. Le cours d’AAPL est redescendu depuis, si bien que la firme de Tim Cook est repassée sous cette barrière hautement symbolique, tout en restant dans le club hyper sélect des entreprises qui valent au moins 4 000 milliards de dollars. Elle a rejoint Nvidia, qui a ouvert le club au cours de l’été et Microsoft qui l’a rejoint peu après, même si le créateur de Clippy s’est ensuite stabilisé autour des 3,9 billions (avant de remonter ce matin au-dessus des 4) alors que celui des cartes graphiques est en bonne voie pour franchir le seuil des 5.
On s’attendait à ce qu’Apple atteigne les quatre billions de dollars de valorisation boursière. L’entreprise a dépassé les trois au début de l’année 2022, la barrière des deux remontait à l’été 2020 et le premier mille milliards de dollars avait été atteint en août 2018. La croissance se poursuivant, on pouvait imaginer que l’étape suivante soit franchie en début de cette année et le fait qu’on ait attendu quasiment Halloween est presque inquiétant (du moins si on est actionnaire, ce qui n’est hélas pas le cas de l’auteur de ces lignes).
Apple devrait atteindre une valorisation de 4 billions de dollars début 2025
Le décalage pourrait être lié à l’intelligence artificielle générative, un domaine qu’Apple n’a pas très bien géré jusque-là, alors qu’il fait la fortune de Microsoft et plus encore de Nvidia. Le vendeur de pelles de cette nouvelle ruée vers l’or est gagnant quoi qu’il arrive grâce à ses cartes graphiques que tout le monde s’arrache depuis des années et pour l’heure, sa croissance semble inexorable. En tout cas, sa valorisation boursière dépasse les 4,7 billions de dollars en ce moment et on s’attend à ce qu’elle batte le record suivant dès 2026.
Alors qu’Apple avait battu les trois premiers records, elle semble quoi qu’il en soit bel et bien avoir cédé sa place au profit de Nvidia. La Pomme doit principalement sa place sur le podium grâce à l’iPhone, qui reste son plus gros moteur. Les bons résultats des iPhone 17, surtout sur le haut de gamme, ont donné des ailes à l’action et c’est largement ce qui justifie le seuil qu’AAPL vient de franchir.
Quand l’iPhone va, tout va : Apple retrouve des sommets en bourse
Comme le relève MacRumors, aucune autre entreprise n’est proche des quatre mille milliards de dollars de valorisation boursière pour le moment. Google (enfin, Alphabet), qui cartonne pourtant dans le monde des IA, est loin derrière avec 3,25 billions, Amazon n’est même pas dans le rétroviseur avec ses 2,42 billions et ne parlons pas de Meta qui se traine sous la barre des deux.
Même si l’iPhone reste le moteur principal d’Apple, la croissance vient aussi en grande partie des services, une tendance ancienne qui se confirme au fil des années. La preuve, cette division pourrait dépasser les 100 milliards de chiffre d’affaires sur l’année 2025, d’après le Financial Times. Nos confrères citent les chiffres d’un cabinet d’analyse qui estime que les revenus liés aux services pourraient monter à 108,6 milliards de dollars à la fin de l’année, une hausse de 13 % par rapport à 2024.
Ce serait la première fois que les services surpassent cet autre seuil symbolique. Comme le site le souligne, les revenus de cette seule division d’Apple seraient alors plus gros que ceux d’entreprises entières comme Disney, Tesla ou le chinois Tencent. Voilà qui donne une bonne idée de l’importance des services pour le concepteur de l’iPhone. Si les estimations sont justes, les services pourraient représenter un quart du chiffre d’affaires total d’Apple, mais quasiment la moitié de ses bénéfices.
Un essor incroyable, même si cette croissance pourrait être menacée dans les prochaines années. Non pas à cause des services vraiment gérés par Apple, que ce soit du côté du streaming, du stockage en ligne avec iCloud ou encore des jeux vidéo ou du sport, qui sont tous assez insignifiants en réalité. Cette branche s’enrichit surtout grâce aux revenus liés à l’App Store et ceux-là sont attaqués par le DMA européen et d’autres mouvements juridiques similaires ailleurs dans le monde. Son accord avec Google pour le moteur de recherche par défaut est un autre apport majeur, et si les derniers rebondissements judiciaires vont en faveur de son maintien, cela reste une dépendance potentiellement problématique.
Apple préserve sa manne : le pacte Safari–Google à 20 milliards de dollars est maintenu
Apple présentera cette semaine ses résultats financiers pour le quatrième trimestre fiscal 2025. Ce sera le jeudi 30 octobre et vous pouvez naturellement compter sur nous pour les analyser. On suivra en particulier de près l’évolution de la division des services.
Cela fait de nombreuses années qu’Apple n’a pas mis à jour sa Magic Mouse, qui n’a pas gagné de nouvelles fonctionnalités depuis sa première génération en 2009. Un groupe d’ingénieurs japonais s’est mis en tête de corriger le tir avec la Melt Mouse, un mulot reprenant l’esthétique épurée d’Apple en y ajoutant de nombreux éléments personnalisables. Le projet est actuellement en phase de financement sur Kickstarter.

L’idée reste de proposer une souris à la surface principale en verre et au corps en aluminium. La partie basse pourra accueillir des « MagSole » permettant de la personnaliser, à savoir des parties en plastique translucide qui ne sont pas sans rappeler l’iMac G3. Deux boutons sont situés sur la tranche afin par exemple d’avancer ou de reculer d’une page dans un PDF.
L’intérêt principal vient de sa surface en verre, multi-touch et pouvant afficher 12 points lumineux. On pourra ainsi y effectuer tout un tas de gestes, sachant que l’accessoire peut reconnaître la position des doigts pour des raccourcis personnalisés. Les boutons ne sont pas physiques mais haptiques. On nous promet quelque chose d’ultra-ajustable, que ce soit dans le défilement de la molette comme de la profondeur du clic.

L’accessoire se connecte en Bluetooth comme en filaire grâce à un port USB-C inclus qui n’empêche pas de s’en servir. La batterie devrait durer entre 2 semaines et 1 mois selon l'utilisation. À la manière de produits Logitech, un bouton pour rapidement alterner entre 3 appareils est prévu sous l’accessoire.
Quelques particularités sont à noter. On pourra alterner entre plusieurs modes, par exemple pour transformer sa souris en pavé numérique ou en trackpad d’appoint. Un logiciel est inclus pour personnaliser tout cela, et on pourra créer des profils pour ses différentes apps. L’utilitaire sera disponible sur Windows et macOS. Le produit semble déjà bien avancé, les créateurs ayant publié des vidéos montrant comment utiliser différents raccourcis (clic de la molette, défilement…).
La page Kickstarter est en ligne, avec un planning annonçant une expédition pour le troisième trimestre 2026. Le tarif n’est pas donné : 36 000 ¥, soit un peu plus de 200 € avec l’offre Early Bird. S’ajoute une vingtaine d’euros de frais de livraison vers la France. L’objectif initial de 32 824 $ a largement été atteint, le compteur ayant dépassé les 145 000 $ alors qu’il reste 18 jours avant la fin de la campagne.