Apple est vraiment décidée à faire trainer cette affaire en longueur. Condamnée mi-octobre à verser 48 millions d’euros pour avoir imposé des clauses illégales à Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free en 2013, la Pomme fait appel du jugement. « Nous contestons cette décision, qui concerne une affaire remontant à plus de dix ans, et nous faisons appel », nous a fait savoir un porte-parole. Et d’ajouter sans transition : « Comme toujours, notre priorité est d’offrir des expériences exceptionnelles à nos clients en France et dans le monde entier. »
Cet appel n’est pas une surprise. Les avocats d’Apple avaient déjà employé jusque-là toutes les méthodes à leur disposition pour repousser l’échéance aussi loin que possible. Et, selon L’Informé, certaines clauses jugées illégales dans les contrats signés en 2013 sont toujours en vigueur. Si tel est le cas, Apple a intérêt à faire durer le bras de fer pour pouvoir maintenir ses pratiques jugées illicites. Interrogée sur ce point, l’entreprise ne nous a pas répondu pour l’instant.
Apple a été condamné pour neuf clauses abusives créant un déséquilibre significatif dans ses relations commerciales avec les opérateurs français. Dans les contrats de 2013, ces derniers étaient notamment contraints de financer l’intégralité des campagnes publicitaires de l’iPhone, avec pour seule contrepartie leur logo apparaissant en fin de spot. Une pratique qui, à en juger par les publicités récentes, n’a peut-être pas disparu.
De nombreux employés d’Amazon s’apprêteraient à faire leur carton. D’après plusieursmédias américains, le groupe prévoit de licencier 30 000 personnes à travers le monde à partir d’aujourd’hui même.
Le groupe, qui n’a pas encore commenté cette information, compte actuellement 1,5 million d’employés sur le globe, dont plus des deux tiers travaillent aux États-Unis, principalement dans les entrepôts ou à la livraison. Ces deux activités ne seraient pas directement concernées pour l’instant par les suppressions de postes. Les coupes viseraient essentiellement les employés de bureau, aux fonctions support par exemple.
En juin dernier, Andy Jassy, le CEO d’Amazon, avait préparé les esprits. Dans une lettre adressée à ses employés, il avait prévenu que l’intelligence artificielle allait conduire « à réduire le nombre total des effectifs » dans les années à venir. « Au fur et à mesure que nous déployons davantage d’IA générative et d’agents, cela devrait changer la manière dont notre travail est effectué », expliquait-il.
Si les cols blancs sont les premiers touchés, les travailleurs dans les entrepôts ne sont pas à l’abri non plus. Selon un rapport interne révélé par le New York Times, Amazon vise à automatiser jusqu’à 75 % de ses opérations grâce à l’IA et à la robotique. Les prévisions ne font pas forcément état de licenciements, mais plutôt d’un gel des embauches futures, les machines prenant peu à peu le relais.
La dernière grande vague de suppressions de postes chez la multinationale remonte à 2022, avec 27 000 départs. À l’époque, il s’agissait d’un retour de flamme après les embauches massives liées à la flambée du commerce en ligne pendant la pandémie. Amazon n’est pas le seul grand groupe à licencier en masse : Microsoft a déjà supprimé plus de 15 000 emplois cette année, sur fond de bénéfices records et de course à l’IA.
Amazon publiera ses résultats trimestriels le 30 octobre. Ses derniers comptes faisaient état d’un chiffre d’affaires annuel d’environ 670 milliards de dollars et d’un bénéfice net avoisinant les 70 milliards.
Nous avons hier appris qu'Apple avait été condamnée par le tribunal des activités économiques de Paris à payer 48 millions d'euros pour un ensemble de clauses imposées aux opérateurs téléphoniques français en 2013 qui ont finalement été jugées abusives. Par un court communiqué qui...
Elon Musk poursuit son ambition de rebattre les cartes du web. Après les réseaux sociaux, l’intelligence artificielle et les voitures électriques, le milliardaire s’attaque désormais au savoir en ligne avec Grokipedia, une plateforme présentée comme l’alternative libre et intelligente à Wikipédia.
DJI annonce la commercialisation en Europe de la gamme ROMO, trois robots aspirateurs qui sont vendus à partir de 1 199 €. L’entreprise chinoise n’est peut-être pas spécialiste du nettoyage, mais son expertise dans les drones s’est avérée pratique pour créer ces appareils qui doivent naviguer dans un intérieur afin de le nettoyer sans rien casser et en évitant de multiples pièges. D’ailleurs, la gestion de l’espace est assurée par un système maison qui s’inspire de ce que l’on trouve sur les drones de DJI : deux caméras ultra grand-angle associées à un LiDAR se chargent de cartographier chaque pièce et surtout de repérer le moindre obstacle.
Le haut de gamme ROMO P se distingue notamment par son design transparent. Image DJI.
Le constructeur met en avant l’aptitude de son robot à détecter des obstacles de 2 mm seulement, ce qui devrait lui permettre d’éviter les câbles. Même une simple carte posée au sol devrait pouvoir être contournée grâce à ce système, qui repose comme toujours sur une bonne dose d’algorithmes et de machine learning1. Un projecteur est même prévu pour que tout ce mécanisme continue de fonctionner dans le noir, en particulier sous un lit. Il faudra attendre des tests pour évaluer le système face à ses concurrents. Sur le papier, c’est en tout cas un avantage, les autres robots ont besoin d’obstacles plus gros pour les identifier correctement. DJI souligne aussi que le calcul de trajectoire s’inspire de son travail sur les drones et il devrait permettre à son aspirateur de facilement retrouver son chemin.
Le ROMO doit nettoyer votre maison, c’est même son objectif premier. Pour cela, DJI a mis au point un système qui repose sur un aspirateur très puissant : le constructeur annonce 25 000 Pa, ce qui est supérieur à ce que ses concurrents peuvent offrir (en général autour de 20 000). Bien sûr, ce n’est pas le seul aspect qui compte, même si c’est un critère important pour obtenir de bons résultats. Associé à l’aspiration, deux serpillères rotatives viennent nettoyer les sols quand c’est nécessaire. Si l’on trouve dans le robot tout ce qu’il faut pour collecter les débris et gérer l’eau, c’est la base associée qui se chargera de tout récupérer à chaque retour de l’appareil. Elle nettoiera et séchera également les serpillères à chaque passage, un point essentiel pour éviter les mauvaises odeurs.
Le modèle de base affiche un design moins spectaculaire, tout en offrant quasiment les mêmes fonctions pour nettement moins cher. Image DJI.
Pour le lancement, la gamme est composée de trois produits extrêmement proches. Le ROMO S constitue l’entrée de gamme et à 1 299 € (promo de lancement à 1 199 €), c’est déjà un robot aspirateur de luxe. Pour ce prix, vous aurez bien le système de détection d’obstacles et de gestion de l’espace complet, la pleine puissance d’aspiration, le système de serpillères dont l’une peut bouger pour aller dans les coins, une batterie intégrée qui doit offrir jusqu’à trois heures d’autonomie et la base avec son sac à poussière de 2,4 L et ses deux réservoirs d’eau (4 L propre, 3,2 L usée). Ajoutez 300 € et vous pourrez acheter le ROMO A, qui se distingue uniquement par la coque transparente sur le robot et qui semble une très mauvaise affaire.
Le ROMO P se hisse à 1 899 € (1 699 € en promo de lancement) et il se distingue visuellement par sa base transparente, en plus du robot. C’est un choix intrigant pour un aspirateur qui n’est jamais l’appareil le plus propre de la maison, un choix toutefois popularisé par Dyson. Par rapport aux deux autres, il gagne aussi deux petites fonctions supplémentaires : on peut ajouter du parfum pour désodoriser les sols et le sac à poussière de la base ajoute une lampe à UV. Puisque l’on parle d’accessoires, notons que le produit de nettoyage adopte un format propriétaire, tout comme les sacs.
Pour finir, ce robot aspirateur est évidemment connecté en Wi-Fi et on pourra le contrôler par le biais de l’app DJI Home. On devra en réalité le faire par ce biais, car ces produits ne seront pas compatibles avec Matter, en tout cas pas au lancement. Cela veut dire que vous ne pourrez pas les ajouter à l’app Maison et les contrôler par ce biais. En contrepartie, l’app permettra de transformer le robot en une caméra portable et papoter avec ses animaux de compagnie ou surveiller son logement à distance.
Pour une fois qu’un produit ne vante pas l’usage de l’IA… ↩︎
Nouvelle cure d’austérité pour le géant du e-commerce. D'après les médias américains, Amazon s’apprête à lancer une vaste vague de licenciements touchant jusqu’à 30 000 employés de bureau et de cadres dès cette semaine. Il s’agirait de la plus importante réduction d’effectifs menée par l’entreprise depuis 2022, où près de 27 000 postes avaient déjà été supprimés.
Si vous utilisez votre iPad comme écran secondaire ou que vous cherchez une belle manière de le ranger sur le bureau, bonne nouvelle : le support/chargeur X33 Pro de Kuxiu est actuellement en promo sur Amazon. Les différents modèles tombent à 99,99 € au lieu de 119,99 € en temps normal, soit 17 % de remise. La ristourne concerne le modèle pour iPad Pro M4/M5 13", pour sa déclinaison 11" ou encore celui pour iPad Pro et iPad Air M2/M3 13".
Image iGeneration
J’ai récemment testé ce produit, qui est assez malin. Il s’agit d’un support en aluminium intégrant un chargeur passant par le Smart Connector de la tablette. On peut ainsi regarder un film ou s’en servir avec Sidecar tout en remplumant la batterie, et cela sans brancher de câble. Le support peut être incliné dans tous les sens, passant facilement de l’horizontale à la verticale.
Kuxiu inclut un câble USB-C vers USB-C dans la boîte, mais pas de bloc de charge. Le système d’aimants est suffisamment fort pour laisser sa tablette sans crainte, et reste stable si l’on dessine ou quand on tape à l’écran.
Avec mon iPad Pro M4, la recharge est efficace étant donné qu’elle monte jusqu’à 18 W. L’accessoire a l’avantage de laisser l’accès libre au port USB-C, que l’on pourra par exemple utiliser pour brancher un SSD. N’hésitez pas à relire notre test pour plus de détails :
Si l’aspect recharge ne vous intéresse pas, on notera que Kuxiu propose une version moins chère faisant office de simple support. La déclinaison pour l’iPad Pro M4 13" est à 79,99 €, tout comme celle de la version 11". Les iPad Air et Pro plus anciens en format 13" sont également concernés, ainsi que les modèles 11". Ils ne sont malheureusement pas en promotion pour le moment, mais on garde l’œil dessus.
DJI, leader du drone, se lance sur le marché ultra-concurrentiel des aspirateurs robots. Le fabricant présente aujourd'hui sa gamme ROMO, qui intègre ses technologies de détection Lidar et fisheye issues des drones pour éviter les obstacles au millimètre. Une entrée par le très haut de gamme, avec un modèle premium à 1899 €.
IBM fait un pas décisif dans la finance numérique. Le géant américain vient en effet de dévoiler Digital Asset Haven, une plateforme destinée aux institutions financières, gouvernements et grandes entreprises souhaitant gérer leurs actifs numériques en toute sécurité.
C'est en 2027 qu'Apple pourrait lancer son tout premier capteur photo doté de la technologie LOFIC, d'après yeux1122 sur Naver. Ce capteur, déjà évoqué par Fixed Focus Digital en août, offrirait une plage dynamique bien plus élevée tout en corrigeant les problèmes d'images fantômes et de...
Comme elle le fait régulièrement, Apple a mis à jour la liste de villes avec FlyOver, une fonctionnalité qui permet de survoler une zone en 3D. Elle existe depuis la naissance de Plans, il y a 13 ans de cela, et elle couvre désormais un grand nombre de villes dans le monde, même s’il en reste encore beaucoup à ajouter si Apple voulait proposer la fonction partout. C’est pourquoi il y a régulièrement des ajouts et ce mois-ci, Rouen est dans le lot, comme l’a signalé il y a quelques jours cette liste compilée sur Reddit.
La cathédrale de Rouen dans FlyOver. Image iGeneration.
Si vous voulez survoler la capitale du duché de Normandie, une ville extrêmement riche en histoire, vous pouvez le faire sur n’importe quel appareil Apple avec l’app Plans. Affichez le centre-ville sur la carte, basculez en mode satellite et modifiez l’orientation en glissant verticalement à deux doigts ou en touchant le bouton dédié. Vous verrez alors les bâtiments se dresser au-dessus du sol, à commencer par la cathédrale qui domine le centre.
L’app proposait à une époque des tours virtuels avec FlyOver qui permettaient de découvrir une ville avec un survol des lieux les plus connus. Cette fonction a bizarrement disparu début septembre, alors il faudra désormais le faire soi-même. À Rouen, outre la cathédrale, vous pouvez faire un tour de la Place du Vieux-Marché avec ses maisons à colombage, du palais de Justice ou encore du musée des Beaux-Arts (les Rouennais qui nous lisent peuvent ajouter leurs conseils dans les commentaires).
En Europe, on note aussi les ajouts de Bilbao en Espagne, Thun en Suisse, Udine en Italie et plusieurs villes du Royaume-Uni, surtout en Écosse : Air, Carlisle, Inverness et Perth. L’Australie a aussi droit à quatre ajouts (Ballina, Byron Bay, Gatton et Lismore) et deux pour les États-Unis qui sont probablement déjà les mieux couverts : Middletown sur la côte Est, Paso Robles sur celle de l’Ouest.
C’est plus rare, mais cela arrive manifestement : il y a aussi eu un retrait ce mois-ci. Bastia était couverte par FlyOver, la ville corse n’y a plus droit pour une raison qui reste mystérieuse. Peut-être qu’une mise à jour est en préparation, puisque Apple ne se contente pas de survoler une fois chaque ville, elle met à jour régulièrement ses données par la suite. En octobre, on a 21 mises à jour, dont un bon paquet en France : Arcachon, Besançon, Béziers, Carcassonne, Chenonceaux, Le Mans, Limoges, Millau, Mont-Saint-Michel, Montpellier, Saint-Étienne et Toulouse.
Le Black Friday est déjà là chez Proton : l’entreprise propose aujourd’hui de grosses ristournes sur son service de mail et de VPN. La messagerie passe à 1,99 € par mois pendant 1 an, tandis que le VPN est facturé 2,49 € par mois. Cela représente respectivement 60 % et 75 % de remise sur ces deux services de qualité disposant d’apps pour iOS et macOS. Proton propose habituellement ses meilleures promotions à l’occasion du Black Friday, ce qui en fait une bonne occasion de craquer. Le gestionnaire de mot de passe Proton Pass n’est pas en reste, tombant à 1,99 € au lieu de 4,99 € en temps normal (-60 %).
Proton Mail est un service de messagerie suisse axé sur la confidentialité proposant un chiffrement de bout en bout. Complet et bien fichu, son client iOS a récemment été revu, gagnant un mode hors connexion. Notons qu’il est possible d’obtenir une adresse mail gratuitement avec un stockage limité permettant d’essayer le service.
De son côté, Proton VPN est un service de réseau privé virtuel (VPN) mettant en avant sa politique stricte de non-journalisation des activités (no-logs) et un chiffrement poussé. Il propose un large réseau de serveurs à travers le monde ainsi que des fonctionnalités pour les utilisateurs avancées. Ici aussi, il est possible de l’essayer sans sortir sa CB avant de craquer pour une formule payante.
J’ai abandonné Google pour Proton il y a maintenant plus d’un an et suis satisfait de mon abonnement Unlimited, qui me sert principalement pour le mail et occasionnellement le VPN. Les services sont fiables et les apps Mac correctes. Le Drive peut être synchronisé avec la photothèque iCloud, et le gestionnaire de mot de passe prend en charge les réseaux Wi-Fi, les licences de logiciels ou les comptes bancaires. C’est donc une offre intéressante si vous cherchez à moins dépendre de Google ou de votre fournisseur de mail actuel tout en récupérant au passage quelques services multi-plateformes.
Lors de la conférence Money20/20 USA qui a eu lieu cece week-end, Jennifer Bailey —VP Apple Pay et Apple Wallet— a partagé de nouveaux chiffres sur les performances du service de paiement d’Apple. Des informations plutôt rares, la firme n'aimant pas trop dévoilé ce genre de datas mais l'approche des résultats financiers pourrait bien motiver ces révélations.
Apple semble avoir beaucoup plus d’ambition pour l’iPhone 16e que pour la gamme SE. Le constructeur californien donnerait désormais un rythme annuel à son modèle “entrée de gamme” — un virage clair dans sa stratégie. Si Apple respecte ce calendrier, l’iPhone 17e devrait voir le jour au printemps prochain. Et vu le bond en avant réalisé par l’iPhone 17, ce futur modèle pourrait bien séduire un large public.
Une sortie au printemps 2026
Ming-Chi Kuo et Mark Gurman sont tous les deux d’accord sur ce point : l’iPhone 17e verrait le jour au premier semestre 2026, marquant ainsi le passage à un cycle de mise à jour annuel pour ce modèle.
Dans les années à venir, le printemps devrait donc devenir la nouvelle période de lancement des iPhone standard. En 2027, Apple pourrait — si elle ne change pas ses plans — présenter simultanément les iPhone 18e et iPhone 18.
Une précédente rumeur, apparue en avril, évoquait déjà un prototype proche de la production d’essai. Selon cette fuite, Apple viserait toutefois un lancement en mai 2026, et non en février comme ce fut le cas pour l’iPhone 16e.
Un écran inchangé
Selon le média coréen The Elec, l’iPhone 17e reprendrait le même écran OLED que celui de l’iPhone 16e — un panneau initialement introduit avec l’iPhone 14. Une décision logique : la firme chercherait ainsi à réduire les coûts de production en misant sur des composants éprouvés et des chaînes déjà bien rodées.
L’iPhone 16e embarque pour rappel un écran OLED Super Retina XDR affichant un taux de contraste de 2 000 000:1. Sa luminosité atteint 800 nits en usage standard et jusqu’à 1 200 nits en HDR pour les photos, vidéos et films. La dalle affiche une définition de 2 532 × 1 170 pixels.
À titre de comparaison, l’iPhone 17 bénéficie d’un écran légèrement plus grand (6,3″ contre 6,1″) et d’une luminosité plus élevée (jusqu’à 1 600 nits en HDR et 3 000 nits en extérieur). Mais ce qui devrait surtout distinguer les deux modèles, c’est l’absence de ProMotion (120 Hz) sur l’iPhone 17e, qui restera limité à 60 Hz.
Image : iGeneration
Le même processeur que l'iPhone 17
Selon Mark Gurman, l’iPhone 17e profiterait de la même puce A19 que le reste de la gamme. Cette nouvelle génération, gravée en 3 nanomètres de troisième génération, marque une belle évolution en matière de performances comme d’efficacité énergétique.
Le processeur conserve une architecture à six cœurs — deux dédiés à la performance, quatre à l’efficacité — mais gagne en rapidité tout en consommant moins. Le GPU à cinq cœurs profite lui aussi d’améliorations notables, aussi bien pour le jeu que pour le traitement graphique du quotidien. Chaque cœur graphique intègre un Neural Accelerator, chargé d’accélérer les tâches d’intelligence artificielle locale — de Siri embarqué aux retouches photo intelligentes.
Enfin, la prise en charge matérielle du ray tracing permet de viser une qualité graphique proche des consoles, avec des effets de lumière plus réalistes et des fréquences d’image plus stables. Les gains d’efficacité de la puce A19 devraient également offrir une meilleure autonomie, un point souvent crucial sur les modèles d’entrée de gamme.
Avec ou sans Dynamic Island ?
C’est sans doute l’enjeu majeur des rumeurs autour de ce modèle. La logique voudrait que l’iPhone 17e s’inscrive dans la lignée de son grand frère et conserve une simple encoche.
Cependant, tout le monde n’est pas d’accord avec cette idée — à commencer par le leaker Digital Chat Station, qui affirme à plusieurs reprises que l’iPhone 17e passerait à la Dynamic Island et adopterait un nouveau design.
Dynamic Island vs encoche
Selon lui, l’iPhone 16e reprend les grandes lignes du design de l’iPhone 14. Dans la même logique, son successeur s’inspirerait du châssis de l’iPhone 15, qui avait justement inauguré la Dynamic Island et des bords plus arrondis.
Sur le papier, c’est séduisant. Mais Apple veille jalousement à préserver ses marges et à différencier ses gammes. De plus, cette hypothèse contredit les rumeurs évoquant l’utilisation du même panneau OLED que celui du 16e.
Un positionnement plus clair
En France, l’iPhone 16e est officiellement vendu 719 €, un tarif qui avait fait grincer des dents lors de sa sortie. Mais la perception du produit a depuis bien changé : grâce aux promotions régulières, on le trouve désormais entre 500 et 600 €. Dans cette zone de prix, nul doute que la gamme “e” d’Apple a trouvé son public.
Tout n’est pas terminé pour Fitbit. Alors qu’elle étouffe depuis quelques années la marque qu’elle a rachetée en 2021, Google vient de confirmer à 9to5Google qu’il y aurait du nouveau matériel Fitbit l’année prochaine. Une annonce surprenante alors que les sorties se sont raréfiées sur ces dernières années.
Les sorties de nouveaux produits se sont également réduites. Le dernier tracker remonte à 2023 (le Charge 6) et les montres à 2022 (Sense 2 et Versa 4). Techniquement, le dernier produit Fitbit est… une montre pour enfants lancée l’année dernière, qui vise donc un public très restreint. De plus, l’accessoire n’est proposé qu’aux États-Unis.
Si rien n'a été précisé, on peut imaginer que Google ne lancera pas une nouvelle tocante afin de ne pas cannibaliser les ventes de sa Pixel Watch. Un bracelet connecté pourrait intéresser certains clients et être facturé moins cher que la montre, au tarif plus salé (279 €). Le produit garderait également pour avantage sa compatibilité avec iOS.
Google n’abandonne pas complètement Fitbit et s’apprête à lancer un aperçu pour une nouvelle version de son coach… carburant à Gemini. Celui-ci analyse le sommeil, la fréquence cardiaque et les entraînements pour créer un programme sportif qui s’ajuste selon la progression et l’énergie du moment. Il est pour l'instant réservé aux abonnés américains à la formule Premium. Apple préparerait un système similaire surtout axé sur la santé.
L'administration Trump a surpris son monde en publiant une image IA de Donald Trump en Master Chief de Halo. Ce meme étrange, qui contient une erreur flagrante sur le drapeau américain, est une réaction à l'annonce de l'arrivée de Halo sur PlayStation et à une vanne de GameStop sur la fin de la guerre des consoles.
Délaissée depuis bien trop longtemps, l’application Spotify pour Apple TV bénéficie enfin d’une mise à jour majeure. De quoi réduire un petit peu le fossé béant qui la séparait d’Apple Music sur la même plateforme.
Nouvelle application Spotify sur Apple TV. Image iGeneration
Entièrement revue, l’application doit offrir une expérience utilisateur « plus rapide, plus intelligente et plus visuelle », d’après le service suédois. L’interface reste simple, avec trois sections principales (Accueil, Rechercher et Bibliothèque), là où Apple Music distingue plus finement ses contenus. On note quand même des améliorations dans la navigation. On peut revenir rapidement au morceau en cours de lecture grâce à un raccourci en haut à gauche de l’écran.
Lecture d'un morceau. Image iGeneration
Incroyable mais vrai, on a accès à la file d’attente pour sauter des morceaux qu’on ne veut pas écouter. Par contre, impossible de réorganiser cette file comme on le ferait sur iPhone ou Mac. Ne vous attendez pas non plus à pouvoir parcourir facilement la discographie d’un artiste ou à accéder aux fonctions avancées disponibles sur les autres plateformes.
File d’attente. Image iGeneration.
Les paroles arrivent enfin sur l’Apple TV. Il était temps, car elles sont disponibles depuis trois ans sur Android TV ! C’est pratique pour chanter lors des soirées entre amis… mais ça ne vaut toujours pas le mode karaoké d’Apple Music, qui synchronise les paroles, coupe le micro du chanteur et propose même des traductions et prononciations pour certaines langues étrangères depuis iOS 26.
Paroles. Image iGeneration.
Autre ajout bienvenu : des commandes spécifiques pour les podcasts et les vidéos, permettant d’avancer ou reculer de 15 secondes et d’ajuster la vitesse de lecture (de 0,5x à 3x). En parlant de vidéo, les clips et les podcasts vidéo qui étaient inexistants ou introuvables sont maintenant bien mis en avant.
Options de lecture pour les podcasts. Image iGeneration.
La fonction Spotify Connect permet quant à elle de contrôler la lecture sur l’Apple TV depuis un autre appareil relié au même compte. Et pour les mélomanes exigeants, cette version prend en charge la qualité lossless récemment déployée pour les abonnés premium.
En résumé, cette nouvelle application Spotify pour tvOS est bien meilleure que la précédente — ce n’était pas difficile — et rattrape son homologue sur Android TV. Néanmoins, elle est encore très loin du niveau d’Apple Music, plus complète, plus fluide et plus élégante sur les téléviseurs.
Alors qu’un nouveau modèle d’Apple TV 4K est attendu d’un jour à l’autre, Spotify vient d’annoncer une refonte complète de son application sur tvOS. Le but est d'offrir une expérience bien plus fluide, moderne et immersive aux utilisateurs de la plateforme de streaming sur grand écran.
Microsoft ne développera pas de robots sexuels ou d'IA générant de l'érotisme. Mustafa Suleyman, le patron de l'IA chez Microsoft, qualifie cette direction de très dangereuse, marquant une rupture nette avec son partenaire OpenAI, dans lequel il a investi 13 milliards de dollars.
X prévoit de s’éloigner un peu plus de son passé : si le nom Twitter avait déjà largement disparu, on pouvait encore accéder au réseau social d’Elon Musk avec le nom de domaine twitter.com. Depuis son acquisition en 2022, le milliardaire a tout fait pour effacer l’ancien réseau social, ce qu’il a fait de manière très symbolique en le renommant X. Par défaut, le site est ainsi accessible à l’adresse x.com et ce sera peut-être la seule méthode très prochainement. En effet, un changement aura lieu le 10 novembre 2025, dans deux semaines, qui semble indiquer que l’ancien nom de domaine s’apprête à disparaître.
Image MacGeneration.
En tout cas, c’est à cette date que les clés d’accès (passkeys) et autres clés de sécurité physique type Yubikeys enregistrées du temps de twitter.com cesseront de fonctionner sur le réseau social. Comme l’a souligné le compte officiel @Safety, ce n’est pas un problème de sécurité, c’est lié à l’implémentation de ces clés de sécurité en guise de deuxième facteur. Pour faire simple, elles sont associées à un nom de domaine unique et puisque celui de X a changé, il faudra supprimer les clés avant de les enregistrer à nouveau avec x.com. Les clés créées avec le nom de domaine actuel ne sont pas concernées.
Les utilisateurs qui doivent faire la procédure recevront une alerte avant l’échéance. Si vous utilisez une clé d’accès ou clé de sécurité physique en guise de deuxième facteur, vous pouvez vérifier ce qu’il en est à cette adresse, qui devrait vous mener directement au bon endroit dans les réglages de votre compte X. L’équipe du service précise que le deuxième facteur délivré par les apps sous la forme d’un code numérique n’est pas touché, puisque cette méthode n’est pas associée à un nom de domaine.
On ne sait pas encore si le nom de domaine historique sera entièrement supprimé le 10 novembre. Le plus logique serait de le conserver, ne serait-ce que pour rediriger tous les anciens liens publiés vers Twitter. Depuis sa création en 2006, ce sont des centaines de milliers, probablement des millions, d’URL en twitter.com qui ont été disséminées sur le web et supprimer la redirection n’a rationnellement aucun sens. On ne sait jamais ce qui peut se passer avec Elon Musk, alors il faudra attendre de voir ce qui arrive le 10 novembre.
Comme le relève The Verge, twitter.com n’a pas encore disparu partout. C’est ce nom de domaine qui reste notamment utilisé si on veut intégrer un message publié sur X sur un autre site web.
Pour le prix d’un seul AirTag, vous pouvez acquérir quatre traceurs Bluetooth qui s’intègrent également à l’application Localiser d’Apple. Le lot de quatre balises Ugreen FineTrack est en effet en promotion sur Amazon à 30,99 € au lieu de 42,99 € pour une durée limitée.
Ces trackers ressemblent beaucoup à un autre modèle de Ugreen que nous avons testé récemment, mais il y a une différence majeure : pas de pile ici, c’est une batterie qui alimente le petit carré. Le fabricant promet une autonomie d’un an et la recharge s’effectue via un simple câble USB-C — un petit câble USB-A vers USB-C est d’ailleurs fourni.
Chaque traceur dispose d’une encoche pour porte-clés et d’une alarme sonore de 80 dB. Ils permettent donc de retrouver des objets depuis l’application Localiser disponible sur iPhone, iPad ou encore Mac. Par rapport aux AirTags, il leur manque juste la localisation précise (pour être guidé exactement vers eux quand on se trouve à proximité), qui est une exclusivité d’Apple. Pour retrouver une valise ou une voiture, par exemple, cette lacune n’est pas gênante.
Apple prépare une version iPad de Pixelmator Pro, a découvert Aaron Perris pour MacRumors en fouillant dans les identifiants utilisés par les applications d'Apple sur l'App Store. Concurrent frontal d'Adobe Photoshop, Pixelmator Pro a été racheté par Apple en février dernier. Il existe déjà...
Lego continue d'exploiter la nostalgie des années 80. Le constructeur officialise le set Lego Ideas The Goonies (numéro 21363), un modèle massif de 2912 pièces. Il recrée le bateau pirate l'Inferno et les scènes clés du film. Sortie prévue début novembre pour un prix fixé à 299,99 €.