Le détecteur de fumée connecté de Netatmo est actuellement proposé à 70,90 € au lieu de 99,99 €, soit une réduction de 29 € sur son prix public. Il s’agit d’un modèle Wi-Fi 2,4 GHz qui a l’avantage de ne pas nécessiter de hub : une fois connecté au réseau, il peut envoyer une alerte sur votre smartphone en cas de détection de fumée.
Pensé pour fonctionner de manière autonome, le capteur embarque une batterie intégrée d’une durée de vie annoncée de dix ans — soit la durée de vie moyenne d’un détecteur de fumée. Le remplacement de la pile n’est donc pas prévu, mais il n’est de toute façon pas recommandé de garder ce type d’appareil plus longtemps. Netatmo met également en avant un système d’autotest : le détecteur surveille en permanence l’état de la batterie, du capteur et de la connexion Wi-Fi, et envoie une alerte en cas de problème.
Image : Netatmo
L’installation ne demande pas de compétences particulières : il suffit de fixer le boîtier au plafond à l’aide de la vis fournie, puis de suivre les instructions dans l’application mobile. Une alarme de 85 dB retentit localement en cas d’incendie, même si la connexion Internet est coupée, tandis que les notifications à distance nécessitent un Wi-Fi actif et un smartphone configuré. Le détecteur est également compatible avec l’app Maison d’Apple, pour une intégration dans un environnement domotique existant.
Il s'agit d'un prix intéressant. Sur Amazon, son prix est descendu jusqu'à 65 € l'année dernière à l'occasion du Black Friday.
Il y a quelques semaines, une cyberattaque a été déjouée aux États-Unis et plus de 100 000 cartes ont été saisies. Si elle semblait extraordinaire par son ampleur, un communiqué récent d'Europol (une agence européenne qui facilite l'échange d'informations entre les différents pays) montre que ce n'est pas réellement le cas. En effet, une installation du même ordre de grandeur vient d'être démantelée en Lettonie, aux confins de l'Union européenne.
Des serveurs criminels. Image Europol.
L'opération portait le nom de SIMCARTEL, et elle a permis l'arrestation de cinq personnes d'origine lettonne, ainsi que d'infrastructures complexes. Le communiqué indique que cinq serveurs ont été coupés, et que près de 1 200 dispositifs de communisations (des SIM Box) ont été saisis, avec environ 40 000 cartes SIM actives.
Les serveurs. Image Europol.
Les enquêteurs autrichiens, estoniens et lettons, avec l'aide de leurs collègues d'Europol, ont relié ce réseau criminel à près de 1 700 cas de fraudes en Autriche et 1 500 en Lettonie, pour des pertes estimées à des millions d'euros (4,5 millions en Autriche, 0,4 million en Lettonie).
Le matériel employé était visiblement assez proche de celui employé à New York, même si la finalité n'est a priori pas la même. Pendant l'assemblée générale de l’ONU, le but — selon les autorités — était de paralyser les réseaux mobiles. Dans la prise d'Europol, par contre, les cartes SIM servaient visiblement à envoyer des messages comme « Vous êtes chez-vous ? » pour tenter une arnaque.
Ces boîtiers envoient des milliers de SMS très facilement. Image Europol.
Par ailleurs, Europol indique aussi la saisie de centaines de milliers de cartes SIM inactives, de 431 000 € sur des comptes en banque, de 333 000 € en cryptomonnaies et de 4 véhicules de luxes.
Du point de vue du matériel, les appareils montrés par Europol sont similaires à ceux vus à New York : des périphériques vendus un peu moins de 4 000 $ qui contiennent l'équivalent de 64 téléphones cellulaires et acceptent 256 cartes SIM. Avec 40 000 cartes SIM actives, le nombre de messages qu'il était possible d'envoyer était donc très élevé, et Europol indique que les cartes provenaient de plus de 80 pays différents.
Vous en avez marre des sauvegardes lentes d’iTunes, des erreurs constantes, du stockage limité d’iCloud ou de la complexité de Finder ? C'est ici qu'entre en jeu DearMob iPhone Manager, une solution plus rapide, plus intelligente et plus flexible pour sauvegarder et transférer les données de votre iPhone. Toujours à jour, il prend déjà en charge iOS 26 et est entièrement compatible avec iPhone 17
Ça y est, Apple a présenté son MacBook Pro M5 ce 15 octobre. Le MacBook Air est quant à lui resté à la puce M4 et c'est normal, puisque l'ordinateur portable d'entrée de gamme d'Apple suit un rythme différé de quelques mois. Le modèle actuel a en effet été lancé début mars 2025, cinq...
Honor tease un smartphone très conceptuel avec une caméra robotisée et bras articulé. Entre IA omniprésente et design mécanique façon DJI Osmo, l'appareil intrigue et interroge. Voilà ce qu’on en sait avant le MWC 2026.
Strava cède aux exigences de Garmin dans un conflit mêlant brevets, attribution de données et règles API. Les utilisateurs Garmin ne perdront pas la synchronisation avec Strava, mais devront composer avec une visibilité accrue de la marque. En arrière-plan, Strava prépare son entrée en Bourse.
Finder qui plante en plein transfert, iCloud qui exige un énième abonnement alors que le stockage déborde, iTunes devenu obsolète. Le passage à l'iPhone 17 sous iOS 26 ravive ces frustrations : comment migrer plusieurs années de photos, vidéos et messages sans risquer la catastrophe ?
Les outils natifs d'Apple fonctionnent selon leur propre calendrier, rarement le vôtre. Pendant ce temps, votre bibliothèque de 4K s'accumule, votre stockage sature, et la synchronisation patine.
Cette dépendance forcée au cloud et aux caprices de Cupertino pousse de plus en plus de monde à chercher une alternative locale, rapide et fiable. DearMob iPhone Manager propose précisément cela : reprendre possession de ses données sans compromis.
Une alternative tout-en-un à l'écosystème Apple
DearMob iPhone Manager se présente comme un remplaçant cohérent de l'écosystème Apple officiel. Plutôt que de fragmenter les opérations entre Finder, iTunes et iCloud, ce logiciel centralise sauvegarde, restauration, transfert et gestion quotidienne dans une interface unifiée.
Compatible avec iOS 26 et l'ensemble de la gamme iPhone 17, incluant les modèles Pro, Pro Max et Air, il exploite une approche locale qui redonne la maîtrise complète de ses fichiers. Rapidité, flexibilité et sécurité constituent ses trois piliers, avec une ergonomie accessible même aux personnes réfractaires à la technique.
Le logiciel bénéficie actuellement d'une promotion substantielle : la licence à vie affiche une réduction de 62%, accompagnée de trois cadeaux supplémentaires. Cette offre limitée mérite considération pour quiconque envisage une solution pérenne de gestion iPhone.
Sauvegarde et restauration intelligentes
La sauvegarde constitue le cœur du système. DearMob permet une sauvegarde intégrale en un clic, mais autorise également une approche sélective : extraire uniquement les photos d'un album précis, archiver les messages d'une période donnée, ou isoler les vidéos récentes sans embarquer l'ensemble du contenu.
La restauration s'effectue sans effacer le contenu existant, contrainte habituelle d'iTunes qui impose un retour aux réglages d'usine. Le système supporte les disques externes, les SSD et propose un chiffrement optionnel pour les données sensibles.
Transfert et gestion des photos
Concernant les photos, la bidirectionnalité s'impose naturellement : iPhone vers ordinateur, mais également ordinateur vers iPhone, avec une gestion fine par albums, dates ou dossiers personnalisés.
Les formats contemporains comme HEIC, ProRAW, JPEG et PNG transitent à leur résolution native, sans compression destructrice. L'export exhaustif d'une photothèque complète s'exécute avec la même aisance qu'une sélection ciblée.
Vidéos et musique sans limitation
Les vidéos et fichiers audio bénéficient d'une attention similaire. L'import et l'export musical opèrent sans limitation, tandis que les vidéos 4K peuvent être compressées à la volée si nécessaire.
Les formats incompatibles subissent une conversion automatique, et le système libère les fichiers de leurs verrous DRM sans frais additionnels. Les bibliothèques volumineuses migrent à vitesse soutenue, sans les attentes interminables qui caractérisent Finder.
Gestion complète de vos fichiers
Au-delà des médias, DearMob gère contacts, SMS, calendriers, livres numériques, sonneries personnalisées, mémos vocaux et podcasts. L'export et l'import fonctionnent entre iPhone, iPad et ordinateurs Mac ou Windows. L'iPhone peut également servir de clé USB, tandis que les conversions vidéo, image et livre s'effectuent pour garantir la compatibilité avec iOS. Là encore, la suppression des DRM s'intègre sans surcoût.
Sécurité, confidentialité et performances
La sécurité traverse l'ensemble des fonctionnalités. Les sauvegardes acceptent le chiffrement, le stockage reste strictement local sans obligation cloud, et l'éditeur affiche une politique explicite de non-collecte des données personnelles.
Les performances accompagnent cette approche : cent photos 4K transitent en huit secondes environ, cent morceaux musicaux en trente-cinq secondes, et un film d'un gigaoctet en cinquante secondes. La comparaison entre version gratuite et complète détaille précisément les capacités de chaque édition.
Le public visé dépasse largement les seules personnes averties. Ceux qui recherchent une sauvegarde sans complication trouveront leur compte dans la simplicité d'exécution.
Les créateurs de contenu et photographes, confrontés à des bibliothèques massives, apprécieront la vélocité des transferts et la préservation de la qualité originale. Ceux qui répugnent à confier leurs données personnelles au cloud disposeront enfin d'une alternative locale robuste. Les entreprises et administrateurs IT gérant plusieurs terminaux découvriront un outil centralisé cohérent.
Comment l'utiliser ?
L'utilisation pratique ne requiert aucune expertise particulière.
Le logiciel fonctionne sous Mac et PC avec une installation directe. Première étape : connecter l'iPhone, l'iPad ou l'iPod via USB, ou en Wi-Fi si l'appairage existe déjà.
Deuxième étape : accéder à l'ensemble des fonctions depuis une interface épurée et logique. Troisième étape : sauvegarder, restaurer, transférer ou administrer les fichiers selon les besoins, avec une courbe d'apprentissage minimale même pour les néophytes. Quelques minutes suffisent à maîtriser les opérations courantes.
Une offre limitée à saisir
La promotion actuelle représente une fenêtre d'opportunité tangible pour acquérir une licence définitive à tarif réduit avec 62% de réduction, accompagnée de trois bonus. Cette offre temporaire mérite attention avant expiration.
Questions fréquentes
Quelques interrogations légitimes méritent réponse.
DearMob iPhone Manager est-il sûr ? Absolument, l'éditeur Digiarty jouit d'une réputation établie dans l'univers logiciel multimédia.
Fonctionne-t-il avec tous les appareils ? Il requiert Windows ou macOS avec un GPU moderne pour optimiser les performances.
Supporte-t-il l'iPhone 17 et iOS 26 ? Les mises à jour suivent le rythme des sorties Apple, garantissant une compatibilité immédiate.
Risque-t-il d'écraser les données ? Non, la restauration sélective préserve le contenu existant.
Quelle est la rapidité réelle ? Les vitesses annoncées correspondent aux mesures effectuées dans des conditions optimales avec connexion USB 3.0.
Offre de licence à vie
Pendant une durée limitée, procurez-vous la licence à vie pour seulement 29,95 €, un logiciel de gestion iPhone/iPad particulièrement abordable.
Votre licence comprend :
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Grosse promo aujourd’hui sur l’Apple Watch SE 3, sans doute le modèle le plus intéressant lancé cette année. La montre en taille 40 mm est à 230,10 € chez Amazon Italie, soit 15 % de moins que ce qui en est demandé en Apple Store français. La déclinaison 44 mm revient à 254,64 €, contre 299 € habituellement. Les produits sont vendus et expédiés par Amazon Italie, sachant que les tarifs s’ajustent à l’étape du paiement pour y ajouter un peu moins de 5 € de frais de port.
Image WatchGeneration
Malgré son statut de montre d’entrée de gamme, cette SE 3 est un accessoire très intéressant. Elle a gagné un écran toujours allumé, ce qui était le principal défaut des générations précédentes. La charge rapide a aussi fait son apparition, tout comme les nouveaux gestes permettant de sélectionner l’action principale ou de désactiver une alarme.
La montre a gagné une puce S10 qui améliore le micro et la fluidité générale. Les notifications d’apnée du sommeil sont désormais de la partie, tout comme la détection de la température. La version cellulaire passe de la 4G à la 5G, ce qui est intéressant. Notons également que le verre est techniquement plus résistant aux rayures.
À ce prix là, c’est donc une très bonne montre connectée qui fera autant l’affaire pour les sportifs que pour ceux voulant garder un œil sur leurs notifications. La Series 11 conserve quelques avantages, comme la mesure de l’oxygène sanguin et sa détection de l’hypertension, mais cette SE 3 fait le principal pour la majorité des utilisateurs pas forcément très à cheval sur les fonctions de santé.
On notera qu’il n’y a malheureusement pas de réduction similaire sur Amazon France, où la montre est à son tarif habituel de 269 € ou de 319 €. Même chose pour la Series 11 ou la Ultra 3 : ces produits venant de sortir, il faudra sans doute attendre encore quelques semaines avant de voir des remises intéressantes dans l’Hexagone.
Si les iPad et MacBook Pro à base d'Apple M5 ne sortent pas avant le 22 octobre, les premiers benchmarks sur le logiciel le plus classique pour cet usage, Geekbench, viennent de tomber. Et Apple reprend la tête dans les charts, avec plus de 4 200 points pour le MacBook Pro M5 dans Geekbench 6.
Apple M5.
Sur Geekbench 6, sur un seul cœur, les puces M4 atteignent en moyenne environ 3 700 points avec une fréquence de 4,4 GHz. Les puces M4 Pro et M4 Max, qui ont une fréquence légèrement plus élevée (4,5 GHz) et une mémoire vive un peu plus rapide (LPDDR5X-8533 contre -7500) montent aux environs de 3 900 points. Des valeurs largement au-delà de celles des puces x86 (AMD atteint environ 3 300 points sur ses puces Zen 5), mais en deçà des nouvelles puces ARM de Qualcomm. Le Snapdragon X2 Elite atteint en effet un score d'un peu plus de 4 000 selon Qualcomm. Mais les puces M5 sont nettement supérieures.
Deux excellents résultats.
Dans les iPad Pro M5, la puce fonctionne à 4,4 GHz et le score confirme celui du Youtubeur russe qui a grillé la sortie de l'iPad Pro M5 : il dépasse 4 100 points (4 138). Le premier MacBook Pro testé, lui, atteint même 4 263, un record. Il est plus rapide que l'iPad grâce à une fréquence plus élevée, 4,6 GHz.
Sur plusieurs cœurs, la puce d'Apple est évidemment désavantagée. La puce M5 est un composant d'entrée de gamme, comparable sur ce point aux Core (i)3 et autres Ryzen 3. Apple n'intègre que dix cœurs, en configuration 4+6 (quatre cœurs performants, six cœurs basse consommation). Le résultat reste malgré tout assez élevé : 16 366 sur un iPad Pro (environ 18 % de plus qu'un iPad Pro M4 tout de même) et 17 862 pour le MacBook Pro (21 % de plus que la version M4). Un résultat loin d'être ridicule : il dépasse la moyenne des Mac équipés d'une puce M3 Pro (aux alentours de 15 000 points) et s'approche du score du Mac Studio équipé d'une puce M1 Ultra (vers 18 500).
Si les processeurs de PC équipés de bien plus de cœurs sont mécaniquement beaucoup plus performants, ces résultats augurent des valeurs extrêmement élevées pour les futures puces M5 Pro et M5 Max. Même en gardant le même nombre de cœurs que dans les variantes actuelles (10+4 pour le M4 Pro, 12+4 pour le M4 Max), la barre des 30 000 points pourrait être franchie.
Après bien des rumeurs, c’est officiel : Apple TV vient de remporter les droits exclusifs de diffusion de la Formule 1 aux États-Unis, pour un montant estimé à 140 millions de dollars par an.
Cela flottait dans l’air depuis un moment et Eddy Cue avait quasiment vendu la mèche : Apple va devenir le diffuseur exclusif de la Formule 1 aux États-Unis à partir de l’année prochaine, et ce pour une durée de cinq ans.
Les abonnés à Apple TV (le service qui a récemment perdu son « + ») pourront regarder l’intégralité de la compétition, des essais aux qualifications jusqu’aux Grands Prix. Contrairement au championnat nord-américain de football qui nécessite une souscription supplémentaire au MLS Season Pass, la F1 sera incluse dans l’abonnement Apple TV à 12,99 $/mois — cela peut expliquer l'augmentation récente. Certaines courses seront même diffusées gratuitement dans l’application Apple TV au cours de la saison.
Apple va mobiliser tout son écosystème pour promouvoir ce sport automobile de plus en plus en vogue outre-Atlantique : Apple News, Plans, Music ou encore Fitness+ proposeront du contenu dédié. L’application Apple Sports sera également mise à contribution pour afficher les résultats en direct, les classements et diverses statistiques. F1 TV Premium, l’offre maison des organisateurs de la compétition, sera disponible aux États-Unis uniquement via un abonnement Apple TV (l’application) et sera gratuite pour les abonnés Apple TV (le service), si on a bien tout compris.
« Nous sommes ravis d’élargir notre partenariat avec la Formule 1 et d’offrir aux abonnés d’Apple TV aux États-Unis une place au premier rang pour l’un des sports les plus passionnants et en plus forte croissance au monde, déclare Eddy Cue, le patron des services d’Apple, dans le communiqué de l’annonce. L’année 2026 marquera une nouvelle ère de transformation pour la Formule 1, avec de nouvelles équipes, de nouveaux règlements et des voitures pilotées par les meilleurs pilotes du monde. Nous avons hâte de proposer à nos clients une couverture premium, innovante et centrée sur les fans, comme seule Apple sait le faire. »
Brad Pitt, Lewis Hamilton, Tim Cook et Damson Idris à l’avant-première de F1 le film. Image Apple.
Le montant du contrat n’a pas été dévoilé officiellement, mais d’après Variety, Apple déboursera 150 millions de dollars par an, soit 750 millions au total. La firme de Cupertino a fait des pieds et des mains pour décrocher les droits de la F1 sur ses terres. Outre la (modeste) participation de Tim Cook à un Grand Prix dès 2022, l’entreprise a dépensé des centaines de millions de dollars dans la production de F1 le film. Un pari payant : le blockbuster avec Brad Pitt au volant a été un très gros succès au box-office.
« Nous ne sommes pas des inconnus l’un pour l’autre, puisque nous avons passé les trois dernières années à collaborer sur F1 le film, qui s’est déjà imposé comme un immense succès à travers le monde, commente Stefano Domenicali, le CEO de Formula 1. Nous partageons la même vision : faire découvrir ce sport extraordinaire à nos fans aux États-Unis et séduire de nouveaux publics grâce à des retransmissions en direct, des contenus captivants et une approche à l’année pour les fidéliser. »
Ce nouvel accord impose un peu plus Apple comme un acteur qui compte dans le monde du sport. Elle diffuse déjà du baseball dans de nombreux pays ainsi que du football dans le monde entier depuis une poignée d’années. Avec la Formule 1, la marque met la main sur un contenu plus prestigieux encore — même si, pour l’instant, les droits ne concernent que les États-Unis. En France, c’est Canal+ qui conserve l’exclusivité de la diffusion jusqu’en 2029.
Deux jours après la présentation du MacBook Pro M5 de 14 pouces, Apple a déjà envoyé des exemplaires de test à la presse spécialisée et les premiers tests de performance de la nouvelle puce Apple M5 commencent à apparaître sur Geekbench. Côté puissance brute, la puce M5 atteint un score...
Apple continue de miser sur les documentaires poignants avec un nouveau film déjà salué par la critique : Come See Me in the Good Light. Lauréat du Festival Favorite Award au dernier Sundance Film Festival, le documentaire consacré à la poète américaine Andrea Gibson sera disponible le 14 novembre sur Apple TV et dans une sélection de salles de cinéma à travers le monde.
Pas de bol si vous économisiez pour acheter le futur iPhone pliant : sa sortie pourrait bien être repoussée à 2027. C’est tout du moins ce qu’affirme la société d'investissement et de courtage japonaise Mizuho Securities. Selon un rapport vu par The Elec, Apple prendrait plus de temps que prévu à décider de certains éléments clés de la conception, comme la charnière.
Montage iGeneration
Un lancement l’année prochaine n’est pas complètement à exclure. Cependant, la production d'écrans pour ce modèle pliable serait passée de 13 millions à environ 9 millions de pièces. Le nombre d'appareil fabriqué serait donc inférieur et pourrait accuser un retard de 5 à 7 millions d’unités.
Mizuho Securities appuie une rumeur voulant que la présentation des prochains iPhone se fasse en deux temps. Apple aurait prévu d’étaler les lancements pour éviter l’overdose : les modèles 18 Pro arriveraient en septembre prochain aux côtés du modèle pliable, tandis que les iPhone 18 et 18e attendraient le début de 2027.
Selon les rumeurs, ce futur iPhone pliant s’inspirerait du Galaxy Fold de Samsung avec un format livre. Apple aurait misé sur un duo d’écrans, avec 5,38" à l’extérieur et 7,58" pour la dalle intérieure. Elle aurait réussi à gommer le pli de la charnière, impalpable sous le doigt. Le smartphone resterait fin, avec 9 mm replié pour 4,5mm une fois ouvert.
Apple pourrait bien faire l’impasse sur Face ID pour une question de place. Il serait remplacé par Touch ID, situé dans le bouton d’allumage à la manière des iPad. Contrairement à l’iPhone Air, deux objectifs seraient présents au dos, à savoir un grand angle et un ultra grand angle. On s’attend à ce que le tarif soit élevé : les téléphones similaires de Google et Samsung coûtant entre 1 900 € et 2 100 €.
Mizuho Securities explique qu’Apple aurait prévu des changements pour la gamme iPhone 19, qui marquera l’année des 20 ans de l’iPhone en 2027. L’idée serait ensuite de rendre le modèle pliant sortant cette année-là plus abordable afin de créer un engouement.
Les rumeurs avaient vu juste : Apple TV sera bien diffuseur de la Formule 1 aux États-Unis à compter de l'année prochaine. Apple vient de l'annoncer par communiqué de presse, précisant que ce partenariat a été signé pour une durée de cinq ans. Certaines courses et les séances d'essais...
En réalité, macOS Tahoe ne comprend pas véritablement 150 « nouvelles fonctionnalités », car ce document brasse large et le découpage des changements est très fin. Côté design, par exemple, la Pomme mentionne évidemment le Liquid Glass dans son ensemble, mais aussi les barres translucides, les widgets et icônes transparentes, ou encore les coins plus arrondis des fenêtres.
Le document liste aussi des jeux récents ou à venir : Sniper Elite 5, Hitman : World of Assassination, Cronos : The New Dawn, InZOI… On aimerait bien qu’ils soient inclus avec Tahoe, mais ce n’est malheureusement pas le cas.
Les fonctions liées à Apple Intelligence sont signalées par une icône spécifique. Tous les Mac équipés d’une puce Apple Silicon sont compatibles, contrairement aux derniers modèles Intel encore capables de faire tourner Tahoe.
Alors qu'Orange, Bouygues Telecom et Free tentent de racheter SFR, les 25 millions d’abonnés de l’opérateur s’interrogent. Migration, hausses de prix, continuité de service : l’incertitude domine. Retour sur une opération toujours en suspens, mais qui pourrait bien bouleverser le paysage télécom en France.
Un détecteur de fumée connecté peut s'avérer salvateur afin d'être prévenu le plus tôt possible d'un éventuel incident. Le modèle Netatmo compatible HomeKit est actuellement proposé en promotion à -29%.
C’est une nouvelle page d’histoire qui se tourne pour la musique et la culture pop. Après plus de 40 ans d'existence, Paramount Global a annoncé cette semaine la fermeture définitive de cinq chaînes emblématiques de MTV : MTV Music, MTV 80s, MTV 90s, Club MTV et MTV Live.
Apple n’est pas la seule à chercher à s’émanciper de la Chine. D’après Nikkei Asia, Microsoft envisagerait de transférer, dès 2026, la production de ses tablettes-PC Surface hors du pays. La décision toucherait notamment les composants, les pièces et l'assemblage des futurs matériels et serveurs Surface. L’entreprise projette également de relocaliser ses centres de données.
Le Surface Laptop
Selon les sources de Nikkei, Microsoft aurait contacté plusieurs de ses sous-traitants pour les prévenir, et aurait déjà déplacé une partie de sa production de serveurs en dehors de Chine. Elle ferait également en sorte de fabriquer ses consoles Xbox ailleurs, sans détail sur les pays visés.
Microsoft n’est pas la seule à délocaliser sa production dans les pays voisins. AWS cherche à dépendre le moins possible de la Chine pour ses data centers d’IA, tandis que Google a demandé à fortement étendre la production de serveurs en Thaïlande.
Les grandes entreprises de la tech craignent les tensions entre le gouvernement américain et le Parti communiste chinois. Donald Trump a récemment menacé le pays de nouveaux droits de douane, tandis que la Chine a ordonné à ses entreprises de bannir les puces Nvidia. La question des terres rares est également un enjeu grandissant, Pékin ayant exigé que les sociétés étrangères disposent d’une autorisation spéciale pour exporter ces matériaux indispensables à la fabrication de nombreux équipements.
Apple a senti le vent tourner depuis quelques années. La période du COVID a marqué le fabricant, qui avait vu ses chaînes paralysées plusieurs semaines et des émeutes éclater dans ses usines. Il a depuis mis le cap sur l’Inde et le Vietnam, ce dernier produisant des AirPods, des iPad ou des Apple Watch et étant potentiellement le pays du futur « HomePod à écran » que voient venir les rumeurs. L’Inde met le paquet sur la production d’iPhone et en aurait fabriqué environ 43 millions sur 2024.
Le Monde s’est justement intéressé à l’Inde dans un reportage publié hier donnant des détails sur les conditions de travail. Les usines de smartphones tournent 24/24 et emploient 80 % de femmes. Elles dorment à 8 par chambre dans un cadre strict, les usines étant surveillés par des gardes. Bien que toutes majeures, les sorties lors des jours de repos sont soumis à l’autorisation des parents. Les ouvriers ne se laissent pas marcher dessus pour autant : un projet visant à faire passer les journées de travail de 8 à 10 h a été abandonné suite à une levée de bouclier massive.
Bruxelles veut aller plus loin avec l’USB-C. La Commission a publié en début de semaine un document indiquant que les fabricants devront prochainement fournir des chargeurs USB-C détachables et non soudés. C’est le cas depuis un moment chez Apple, mais certains acteurs du monde PC proposent encore des blocs avec un câble non détachable, obligeant à tout mettre à la poubelle en cas de problème.
Le chargeur d’une ROG Ally. Image MacGeneration
La commission veut que la plupart des chargeurs inférieurs à 240 W vendus dans l’UE soient USB-C. Un nouveau logo devrait apparaître sur ceux-là, indiquant qu’il s’agit d’un chargeur commun de l’UE. Il aura donc un câble détachable, un port USB-C et Bruxelles demande également une meilleure résistance aux surtensions. Un tel logo permettra de savoir facilement si l’on se trouve face à un appareil certifié ou à un autre plus douteux. Quelques limites seront imposées pour limiter le gaspillage d’énergie, comme une veille obligatoire pour les chargeurs sans fil ou des exigences d’interopérabilité pour les plus gros blocs.
Actuellement, la réglementation sur le chargeur universel concerne les smartphones, les tablettes et liseuses, les consoles, les casques, les souris, les claviers et les systèmes de navigation portables. Un élargissement est envisagé, par exemple aux routeurs Wi-Fi, aux décodeurs ou à certains accessoires de bureaux. Bruxelles mentionne également les chargeurs pour petits appareils, ce qui est assez vaste : on peut penser à différents gadgets, comme les ventilateurs portatifs ou les lampes de bureau USB. Cette première vague de changement pourrait être mise en place vers la fin 2028 au plus tôt.
La commission explique avoir écarté certaines mesures, comme des exigences en matière de réparabilité ou un éventuel label énergétique européen. Certaines catégories, comme les jouets pour tous petits, les appareils à utiliser au contact de l’eau et les aspirateurs ont aussi été laissés de côté. Même chose pour les appareils montés comme les stores à enrouleur ou les panneaux de commande muraux. Les chargeurs des moyens de transport, comme les vélos électriques ou les trottinettes, ne sont pour le moment pas concernés par la réglementation liée au chargeur commun. L’Union européenne réfléchit à les inclure plus tard, et le sujet reviendra dans une prochaine révision
À la sortie de l’iPhone Air, Didier titrait son test avec l’accroche suivant « déçu en bien ». Un mois plus tard, après une utilisation quotidienne, voici mon retour à moi, point par point, en écho à son expérience. Loin du choc de la nouveauté, l’usage révèle peut-être des limites plus concrètes. Mais est-ce que je regrette ?