Dans les nombreuses rumeurs sur ce qu'Apple pourrait dévoiler le 9 septembre, il y a des choses moins mises en avant mais qui trouvent parfois un public. Et un changement assez courant est purement esthétique, avec de nouvelles couleurs pour les produits. Une méthode qu'Apple emploie parfois pour relancer les ventes après quelques mois (c'était courant avec les iPhone). Selon Mark Gurman, deux produits pourraient gagner de nouvelles couleurs : l'Apple Vision Pro et le HomePod mini.
Pour le casque d'Apple, en dehors des rumeurs sur une version compacte et moins onéreuse, Gurman indique qu'une version noire a été envisagée et pourrait arriver. Apple apprécie de passer ses produits haut de gamme en noir, et tend à éviter les couleurs dans ce cas, comme pour les MacBook Pro ou l'Apple Watch Ultra 2. Un coloris minuit ne devrait pas permettre au casque de devenir d'un coup le produit le plus couru de la gamme, mais un petit changement permet toujours a minima de relancer la machine médiatique.
Si les rumeurs bruissent et annoncent une nouvelle puce pour le HomePod mini, il y a aussi la question de la couleur. Apple a déjà ajouté deux fois de nouvelles teintes sur son enceinte : une fois pour ajouter de l'orange, du jaune et du bleu, une seconde en remplaçant le gris sidéral par du minuit (du noir, donc). Il ne s'avance pas trop sur les couleurs disponibles mais annonce du rouge.
Emission spéciale d’On refait le Mac consacrées aux meilleures apps pour iPhone et Mac ! Apple est en retard en matière d'intelligence artificielle… pas de panique, sélection d’utilitaires pour remplacer avantageusement Apple intelligence !
Le mardi 9 septembre à 19 h (heure de Paris), Apple lèvera le voile sur ses nouveaux jouets. Comme d’habitude, Mark Gurman se fait un malin plaisir de révéler le menu de la conférence quelques jours avant sa tenue. Pas de nouvelles révélations dans les confidences du journaliste de Bloomberg, mais des confirmations… si tant est qu’il ne se trompe pas, ce qui n’est pas trop son genre.
iPhone 17, iPhone 17 Air, iPhone 17 Pro et iPhone 17 Pro Max
Depuis 2020, la gamme d’iPhone compte quatre modèles, et cette année encore Apple resterait fidèle à la formule. Mais changement de casting : pas de version Plus (ni de mini, snif), remplacée par un tout nouvel iPhone 17 Air. Sa particularité ? Une épaisseur record de seulement 5,5 mm, ce qui en ferait aussi l’iPhone le plus léger. Mais qui dit finesse dit concessions : il aurait une autonomie inférieure aux autres et pas de tiroir SIM.
Pour le reste, il embarquerait un écran 6,6” ProMotion, la puce A19 et un modem cellulaire C1, pour un tarif situé entre l’iPhone 17 classique et le Pro. Suffisant pour séduire ? C’est la grande question.
De son côté, l’iPhone 17 standard grandirait légèrement (6,3” contre 6,1”) et profiterait pour la première fois d’un écran ProMotion. On ignore néanmoins si toutes les fonctions avancées seront de la partie, notamment l’écran toujours allumé.
Quant aux iPhone 17 Pro et 17 Pro Max, vus de dos, ils seraient assez différents de leurs prédécesseurs. Leur bloc photo s’étendrait sur toute la largeur, à l’instar des Pixel. Si cela peut les rendre enfin stables quand ils sont posés sur une table, on prend.
Ils abandonneraient le titane au profit de l’aluminium, moins prestigieux, mais plus léger et meilleur pour dissiper la chaleur. Et puis, il y aurait une nouvelle couleur orange, histoire de se démarquer bien comme il faut. La plupart de leurs composants seraient aussi mis à niveau : puce A19 Pro, batterie plus grosse, téléobjectif 48 Mpx, objectif à ouverture variable…
Côté accessoires, Apple préparerait une remplaçante à la controversée coque FineWoven, un bumper pour l’iPhone 17 Air (mais si, souvenez-vous, un bumper) et même une bandoulière « haut de gamme et coûteuse », dixit Gurman. On n’ose pas imaginer le prix.
Apple Watch SE 3, Apple Watch Series 11 et Apple Watch Ultra 3
L’Apple Watch SE aurait droit à une mise à jour trois ans après la précédente. La montre d’entrée de gamme jouirait d’un écran légèrement plus grand et d’un processeur plus rapide. On espère également un écran toujours allumé, mais ce n’est pas gagné.
Après une Series 10 bien affinée, la Series 11 serait sans surprise très proche au niveau du design. Elle aurait essentiellement un écran plus lumineux et de nouveau coloris.
Le gros morceau, littéralement, sera de toute évidence l’Apple Watch Ultra 3. Elle aurait un écran encore plus grand — les poignets des clients sont-ils vraiment extensibles à ce point ? —, une connexion 5G et une connexion satellitaire en cas d’urgence.
Peut-on faire mieux que les AirPods Pro 2, excellents à leur lancement et encore meilleurs aujourd’hui grâce à de nombreuses améliorations logicielles ? Apple va apparemment relever le défi avec les AirPods Pro 3. Comme les Powerbeats Pro 2, les nouveaux écouteurs auraient un capteur de fréquence cardiaque. Ils auraient aussi un boitier significativement plus petit. Pas que l’actuel soit énorme, mais un peu de place gagnée dans la poche, ça ne se refuse pas.
Tous les produits ne seraient pas pour le 9 septembre, d’autres suivraient dans les semaines suivantes. Voici lesquels avec leurs améliorations principales :
AirTag 2 : puce sans fil plus précise et portée améliorée
iPad Pro : puce M5 dernier cri et seconde caméra en façade
Vision Pro : puce M4 ou M5 en remplacement de la M2
Apple TV : puce A17 Pro et modem réseau maison
HomePod mini : puce boostée, prête pour Apple Intelligence
On vous donne rendez-vous le mardi 9 septembre à 19 h sur LeKeynote.fr pour le suivi de la conférence en direct.
Si vous regardez du streaming sur Twitch, vous devez connaître Nanoleaf : cette marque propose des kits de panneaux lumineux qui permettent d'obtenir un décor digne des années 80 sur vos murs. Pendant quelques jours (du 5 septembre au 8 septembre), la marque propos de nombreuses promotions, qui peuvent atteindre 50 %.
Dans tous les cas, les kits sont compatibles Apple Home, avec en plus la possibilité de passer par l'app Nanoleaf pour certains réglages. En plus des offres sur les kits de démarrage, vous pourrez aussi obtenir des ampoules GU10, un interrupteur ou quelques autres accessoires avec 50 % de réduction à l'achat d'un kit.
Alors que le film sur la Formule 1 se fait encore attendre, Apple TV+ dévoile un nouveau long-métrage original : Highest 2 Lowest. Porté par Denzel Washington et réalisé par Spike Lee, ce thriller dramatique revisite un classique d’Akira Kurosawa.
Décidément, il est grand temps que la semaine se termine pour Google. L'amende de 325 millions d'euros dressée par la France hier est finalement bien petite comparée à l'énorme montant retenu par la Commission Européenne. Cette dernière vient de prononcer une sanction record de 2,95 milliards d'euros à son encontre pour pratique abusives en matière d'affichage publicitaire.
Bose vient de lancer une nouvelle version de son casque QuietComfort Ultra, qui a environ deux ans. Cette nouvelle version est un peu dans la veine du casque AirPods Max, avec assez peu de nouveautés.
Le nouveau casque. Image Bose.
Le nouveau casque, attendu dès le 2 octobre 2025 pour 450 $ (contre 430 $ pour son prédécesseur, qui se déniche en pratique vers 400 € (il n'est pas disponible actuellement). Il gagne une meilleure autonomie théorique, qui passe de 24 heures à 30 heures, et un mode qui permet de couper la réduction de bruit pour gagner quelques heures supplémentaires (45 heures dans ce cas). Dans les autres petites nouveautés, on trouve un mode cinéma, évidemment optimisé pour l'écoute de films, et Bose a supprimé l'intégration des assistants vocaux dans le casque. La principale nouveauté, en dehors de l'autonomie, vient de la possibilité d'utiliser le casque en USB-C.
Le nouveau casque. Image Bose.
C'est une nouveauté aussi apparue avec la version USB-C du casque d'Apple, et elle permet de contourner la compression avec pertes du Bluetooth. Le casque de Bose peut donc être employé directement en USB-C avec un smartphone ou un ordinateur, avec de l'audio sans pertes. Bose n'indique pas les possibilités du DAC intégré dans le casque, mais beaucoup de modèles permettent a minima une fréquence d'échantillonnage de 48 kHz et une quantification sur 24 bits dans ce cas, et parfois la possibilité de monter à 96 kHz. Cette nouveauté est un ajout intéressant, surtout étant donné que le casque de Bose garde la connectique audio analogique du modèle précédent, à travers une prise jack 2,5 mm (un câble 2,5 mm vers 3,5 mm est fourni). Il propose donc de l'audio sans fil avec compression, de l'audio analogique et de l'audio numérique1.
En violet. Image Bose.
Le casque est annoncé en noir, violet, sable et blanc.
Il faudra peut-être attendre la prochaine version pour de l'audio numérique sans fil. ↩︎
Vous voulez un produit qui est à la limite de la diablerie ? Une startup britannique, Somni, a dévoilé les SomniBuds, des écouteurs conçus pour le , qui seraient à la fois sans fil et... sans batterie. Une solution inédite pour ceux qui cherchent à s'endormir en écoutant de la musique ou des podcasts.
Les contrôles électroniques à la frontière explosent, surtout aux États-Unis. Faut-il s’en inquiéter ? La CNIL met en garde depuis bien longtemps, et ses conseils sont pour le moins radicaux : voyagez avec un smartphone vide. Voici pourquoi.
La Commission européenne sanctionne lourdement Google avec une amende de 2,95 milliards d'euros, pour pratiques abusives dans les technologies publicitaires en ligne.
Nouvelle tuile financière sur la tête de Google qui écope cette semaine d'une seconde amende de grande envergure. Cette fois c'est le toit qui lui tombe sur la tête. Après la CNIL qui l'a sanctionné en début de semaine à hauteur de 325 millions d’euros pour des manquements dans la gestion des données personnelles au sein de ses activités publicitaires, c'est Bruxelles qui frappe le groupe américain d'une amende retentissante de 2,95 milliards d'euros.
Source Commission de Bruxelles.
La Commission reproche à Google d’avoir favorisé ses propres services de publicité en ligne au détriment des prestataires concurrents, des annonceurs et des éditeurs en ligne, explique le communiqué. La Commission lui ordonne de mettre fin à ces pratiques d’autopréférence et d'engager des mesures pour supprimer ses conflits d’intérêts dans toute la chaîne de ses services publicitaires.
Google dispose de plusieurs services qui servent d'intermédiaires entre les annonceurs et les éditeurs pour afficher des publicités sur des sites web ou des applications mobiles. Il utilise deux outils d’achat d’espaces publicitaires – « Google Ads » et « DV360 » ; un serveur publicitaire pour éditeurs, « DoubleClick For Publishers » (ou DFP) ; et une place de marché publicitaire —, détaille la Commission.
L'enquête ouverte sur cette activité a révélé que depuis au moins 2014 et jusqu'à aujourd'hui, Google jouit d'une position dominante — ce qui n'est pas répréhensible en soi, rappelle Bruxelles — mais qu'il en abuse de deux manières :
En favorisant sa propre place de marché publicitaire, AdX, dans le processus de sélection des annonces de son serveur publicitaire DFP. Par exemple, en informant AdX, à l’avance, de la valeur de la meilleure enchère d’un concurrent afin de la dépasser pour remporter l’enchère ;
En favorisant sa place de marché AdX dans la manière dont ses outils d’achat Google Ads et DV360 soumettaient leurs offres sur les places de marché. Par exemple, Google Ads évitait de recourir aux places de marché concurrentes et concentrait principalement ses enchères sur AdX, le rendant ainsi plus attractif que ses rivaux.
« La Commission a conclu que ces comportements visaient délibérément à donner à AdX un avantage concurrentiel et ont pu évincer les places de marché rivales. Cela a renforcé le rôle central d’AdX dans la chaîne d’approvisionnement de l’adtech ainsi que la capacité de Google à prélever des frais élevés pour son service », résume le communiqué.
Google a contesté cette décision mais sans s'attarder sur les points problématiques qui ont été mis en évidence : « La décision de la Commission européenne concernant nos services de technologies publicitaires est erronée et nous allons faire appel. » a déclaré Lee-Anne Mulholland, vice-présidente, directrice mondiale des affaires réglementaires, ajoutant : « Elle impose une amende injustifiée et exige des changements qui vont nuire à des milliers d’entreprises européennes en rendant plus difficile leur capacité à gagner de l’argent. Il n’y a rien d’anticompétitif à fournir des services aux acheteurs et aux vendeurs de publicité, et il existe aujourd’hui plus d’alternatives à nos services que jamais auparavant ».
Google a 60 jours pour informer la Commission des changements qu'il entend mettre en place. Cette dernière souligne au passage que cette enquête révèle des agissements qui ont été constatés également aux États-Unis, où le Département de la Justice doit ouvrir un procès contre Google le 22 septembre prochain. Le groupe ne pourra guère plaider un harcèlement venu exclusivement de l'Europe.
Mise à jour : Google a communiqué sur cette amende, voici la réaction de Lee-Anne Mulholland, responsable chez Google.
« La décision de la Commission européenne concernant nos services de technologies publicitaires est erronée, et nous allons faire appel. Elle impose une amende injustifiée et exige des changements qui nuiront à des milliers d’entreprises européennes en rendant plus difficile pour elles de générer des revenus. Il n’y a rien d’anticoncurrentiel à fournir des services aux acheteurs et aux vendeurs d'espaces publicitaires, et il existe plus d'alternatives que jamais à nos services. »
Google explique par ailleurs que cette affaire ne concerne pas les annonces liées au moteur de recherche, mais l'activité de publicité tierce de la firme, qui aide ses clients à générer des revenus. Selon eux, la Commission européenne a une vision erronée du secteur des adtech et cette amende de 3 milliards d'euros est injustifiée et est vue comme une attaque disproportionnée de l'Europe envers une entreprise américaine.
Alors qu’Apple s’apprête à dévoiler sa gamme iPhone 17 lors de l’événement du 9 septembre, les rumeurs continuent de s’accumuler autour du design et des nouveautés techniques.
Les utilisateurs de vieilles versions de macOS peuvent toujours compter sur Firefox qui va continuer de recevoir des mises à jour de sécurité.
macOS Sierra, High Sierra et Morave, sortis entre 2016 et 2018, peuvent toujours recourir à Safari, Chrome ou Firefox si ce n'est que les deux premiers ont cessé de recevoir des mises à jour de sécurité sur ces systèmes. Apple en a encore distribué cette année, mais pour le Safari 18 utilisable dans Ventura (macOS 13, 2022) tandis que Chrome peut descendre jusqu'à Monterey (macOS 12, 2021).
Image Mozilla.
À l'inverse, Firefox version 115 (la dernière en date est la 142) qui fonctionne sur les trois systèmes cités en introduction a vu son bail prolongé. Il s'agit d'une version dite "ESR" pour "Extended Support Release". Initialement, la fondation Mozilla avait prévu d'arrêter de fournir des patchs de sécurité pour ce Firefox en septembre 2024. Puis la date limite avait été repoussée à 2025.
Elle l'est de nouveau avec une échéance cette fois en mars 2026. Et ce ne sera pas forcément la fin de l'histoire, une évaluation est prévue en février pour décider de la suite (on peut supposer que Mozilla fera le compte à ce moment-là des instances de ce Firefox détectées sur le web).
Dans le même temps, Mozilla recommande tout de même de passer autant que possible sur des systèmes plus récents et capables de faire fonctionner des versions plus robustes du navigateur. Sans parler de sites web qui ne sont pas toujours accessibles à des navigateurs trop anciens.
Cette extension du délai vaut également pour Firefox 115 sur Windows 7, 8 et 8.1.
C'est une offre particulièrement généreuse. PayPal et le moteur de recherche IA Perplexity ont annoncé un partenariat permettant aux utilisateurs de PayPal en France de bénéficier d'un an d'abonnement gratuit à Perplexity Pro. Une économie de 200 euros.
La seconde génération de HomePod mini devrait être lancée « dans un futur proche » mais peut-être pas dès l'Apple Event de ce 9 septembre, affirme aujourd'hui Mark Gurman. Le journaliste de Bloomberg avait déjà évoqué une sortie d'ici la fin de cette année 2025, le positionnement...
Apple aurait bien prévu de nouveaux accessoires pour accompagner sa gamme d'iPhone 17 qui sera dévoilée ce mardi 9 septembre, confirme Mark Gurman sur Bloomberg. De nouvelles coques feraient notamment leur apparition, avec un nouveau matériau en complément du silicone : après l'échec des...
L'iPhone 17 Air serait équipé de la puce A19 standard comme l'iPhone 17 d'entrée de gamme, affirme Mark Gurman sur Bloomberg. Ce modèle très fin et léger n'aurait ainsi pas droit à la puce A19 Pro qui serait réservée à l'iPhone 17 Pro et à l'iPhone 17 Pro Max. Cela paraît plutôt...
La seconde version de Backdrop propose d'afficher une vidéo comme illustration de fond pour l'écran verrouillé de macOS. Le système propose déjà quelque chose de similaire, mais Backdrop 2 est plus souple. On peut piocher des animations et vidéos dans une ample collection intégrée au logiciel ou sélectionner des vidéos parmi son propre stock et la version 2 étend son action à l'écran verrouillé du Mac.
La galerie intégrée dans Backdrop. Image MacGeneration.
Les clips choisis peuvent être en 4K, on dispose d'un petit outil d'édition pour sélectionner une partie dans une vidéo trop longue. Il permet d'incruster un texte et de choisir une autre vitesse de lecture, plus lente ou accélérée (mais pas dans la version démo).
L'éditeur pour préparer sa vidéo. Image MacGeneration.
L'interface est soignée — mais on aurait aimé pouvoir choisir une vidéo dans Photos directement depuis le logiciel au lieu de devoir l'exporter — et le résultat est conforme aux attentes. Si vous utilisez plusieurs écrans, ils pourront chacun avoir une vidéo différente. Pour l'avoir essayé sur un MacBook Air M3 branché à un écran externe 4K, il n'y a pas de ralentissement perceptible lors de l'utilisation d'autres logiciels en parallèle.
L'éditeur explique que son shareware s'attache à utiliser tout ce qui peut fluidifier son fonctionnement (accélération par le GPU, adaptation en fonction de la charge du système, mise en pause lorsqu'on a une app affichée en plein écran, etc.). On a noté un petit bug — à moins que ce ne soit une limitation — avec les widgets sur le bureau. Ils sont transparents avec Liquid Glass dans macOS 26, mais on ne voit pas la vidéo passer en dessous, le fond de ces modules reste figé, à l'inverse du fond transparent du Dock qui laisse voir ce qui passe en dessous.
Le logiciel peut être testé pendant quelques jours ensuite il passe sur un abonnement (1,99 $/mois, 14,99 $/an) ou sur une licence perpétuelle (29,99 $)
Si vous avez un MacBook Pro, vous avez peut-être parfois besoin d'un second adaptateur ou — si vous avez eu un problème — vous devez remplacer celui d'origine. Bonne nouvelle : Amazon propose des promotions sur deux adaptateurs secteur Apple. Le premier est un modèle USB-C de 96 W, fourni sans câble et adapté à tous les Mac portables sortis depuis de 2015 environ. Il est à 68 € au lieu de 85 €, une réduction de 20 %. Sa puissance suffit pour tous les modèles, même si quelques MacBook Pro récents sont fournis avec une variante de 140 W.
Le chargeur USB-C. Image Apple.
Le second cible les anciens Mac, les modèles vendus entre 2012 et 2015 environ. C'est en effet un bloc de 85 W en MagSafe 2. La promotion est la même : il est à 68 € au lieu de 85 €, cette fois avec le câble, qui est intégré directement au chargeur.
Le chargeur MagSafe 2. Image Apple.
Nous en profitons pour rappeler que les copies de chargeurs Apple, spécialement les modèles MagSafe, sont souvent de mauvaise qualité et n'intègrent pas les mesures de sécurité basiques nécessaires pour éviter les accidents. C'est aussi le cas des (nombreux) adaptateurs MagSafe 2 qui permettent d'utiliser un chargeur USB-C : ils sont dangereux par conception.
Vous connaissez tous UGREEN, une de nos marques préférées en matière d'accessoires pour Mac, iPhone et iPad. Aujourd'hui, le constructeur lance une toute une gamme de produit baptisée MagFlow, qui, comme son nom l'indique, propose de la charge sans-fil à des puissances enfin intéressantes pour récupérer rapidement sa batterie !
L'iPhone 17 Pro et l'iPhone 17 Pro Max seraient les premiers smartphones d'Apple à être équipés d'un objectif à ouverture variable, affirme Mark Gurman. Le journaliste de Bloomberg confirme ainsi une rumeur lancée par The Information en juillet 2024 dont on n'a plus trop entendu parler depuis,...
STRONG -marque bien connue dans l’univers réseau- a pensé à tous ceux qui sont loin de chez eux (en déplacement ou en vacances), et propose de nouvelles solutions pratiques et sans engagement : routeurs 4G, hotspots 5G et systèmes Wi-Fi. Bref de quoi offrir une connectivité rapide, fiable et accessible à tous.
L'intelligence artificielle n'est pas encore prête à remplacer les employés de fast-food. La chaîne américaine Taco Bell vient de suspendre le déploiement de son système de prise de commande par IA dans ses "drive-in". En cause : des bugs à répétition et des clients un peu trop taquins.
Il y a quelques mois, la fin de X11, un serveur graphique historiquement employé sous UNIX, semblait actée. X11 a été remplacé par Wayland (un serveur graphique plus moderne) dans pas mal de distributions GNU/Linux, et Gnome 49 devait commencer à clouer le cercueil du vénérable X11, qui date tout de même des années 80. Cette version devait commencer par désactiver X11, avant une suppression totale dans Gnome 50. Mais la release candidate (RC, la version de test qui précède la version finale) de Gnome 49 a changé les plans, comme l'indique Next : finalement, X11 n'est pas désactivé.
Ubuntu 25.10 devrait donc garder X11.
9to5 Linux donne une explication : visiblement, la solution choisie au départ était trop compliquée. Elle devait permettre de continuer à permettre de lancer une session X11 — via XWayland, une solution qui émule X11 à travers Wayland — tout en désactivant X11 dans l'environnement de bureau. Cette tâche a finalement été trop ardue et donc X11 reste pour le moment présent et utilisable dans Gnome. Malgré tout, la fin de X11 demeure prévue : les développeurs veulent toujours se débarrasser du vieux serveur graphique. Mais ce ne sera probablement pas pour Gnome 50 et il n'y a pas de plans officiels pour le moment. Ce changement dans Gnome touche évidemment de nombreuses distributions, étant donné que l'environnement de bureau est couramment utilisé. La version 25.10 d'Ubuntu, par exemple, doit normalement intégrer Gnome 49.