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Reçu aujourd’hui — 21 juillet 20257.2.1 🍏 Sites principaux

Promo exceptionnelle : le SSD de 2 To pour Mac Pro à -44 %, soit 699,30 € seulement !

21 juillet 2025 à 08:21

Il y a des promotions que l’on ne voit pas tous les jours, comme ce kit de mise à jour du SSD pour le Mac Pro. L’option 2 To est actuellement proposée à -44 % par Amazon, ce qui ramène son prix de base décoiffant à un tarif que l’on ne qualifiera pas de raisonnable, disons légèrement moins absurde. À peine. Si vous êtes équipé de la tour conçue par Apple, modèle 2023 seulement, vous pouvez payer 699,30 € pour acheter cette barrette de 2 To. Notez que c’est son prix le plus bas sur Amazon.

Image MacGeneration.

Certes, c’est toujours hors de prix, même selon les standards délirants d’Apple. Pour passer le Mac Studio de ses pauvres 512 Go de base à 2 To, il faut payer 750 € de plus sur le configurateur officiel, et on aura droit à deux barrettes, ce qui veut dire de meilleures performances. Ne perdons pas de vue toutefois que le prix officiel, celui qu’Apple pratique toujours sur sa propre boutique, est bien de 1 250 € pour 2 To

Apple permet la mise à jour du stockage du Mac Pro 2023 pour 10x le prix du marché

Apple permet la mise à jour du stockage du Mac Pro 2023 pour 10x le prix du marché

Si vous avez un Mac Pro, vous avez toutefois bien d’autres options pour augmenter son stockage en interne. C’est d’autant plus vrai sur le modèle de 2023 qui n’accepte plus de cartes graphiques pour remplir ses toujours aussi nombreux emplacements PCIe.

Mais payer quasiment moitié moins pour acheter le SSD officiel d’Apple, c’est tout de même tentant, n’est-ce pas. Attention, la fiche Amazon précise qu’il ne reste que trois exemplaires du SSD en stock au moment où j’écris ces lignes, alors ne tardez pas !

Bêtas iOS 26, macOS 26 : les versions publiques et bêta 4 arrivent cette semaine

21 juillet 2025 à 08:02

En toute logique, la semaine devrait être animée sur le front des bêtas. Dans un premier temps, sans doute aujourd’hui, Apple devrait proposer aux développeurs les bêtas 4 d’iOS 26, macOS 26, watchOS 26. Dans la foulée, sans doute 24 ou 48 heures plus tard, Apple devrait proposer la première bêta publique de ses différents logiciels systèmes. À condition bien entendu que la bêta 4 ne révèle aucune mauvaise surprise.

Cette année, Apple fait les choses un peu différemment. D’habitude, les premières bêta grand public sortent dans la foulée de la bêta 3 pour les développeurs. Cette année, Apple a préféré prendre son temps. Ce n’est aucunement lié à des problèmes de stabilité logicielle. À cet égard, la cuvée « 2026 » est tout à fait correcte, si l’on met de côté les traditionnels problèmes d’autonomie ou de lenteur que l’on peut rencontrer à ce stade de développement.

Liquid Glass : le verre est dans la pomme

Liquid Glass : le verre est dans la pomme

Non, si Apple prend son temps, c’est à cause de Liquid Glass, sa nouvelle interface qui a déjà connu de gros changements depuis sa présentation en juin dernier. À vrai dire, peu de monde s’attendait à ce qu’Apple opère des changements si importants en si peu de temps. Il est plus que probable que Liquid Glass continue à connaitre des ajustements avec cette bêta 4.

De plus en plus soucieuse de ce qui se passe sur les réseaux sociaux, Apple a sans doute voulu retarder la sortie publique de ses bêtas d’une dizaine de jours de manière à être le plus sur possible de son coup, et s’éviter « une tempête médiatique ».

Microsoft trolle Apple sur Liquid Glass, mais attention au retour de manivelle

Microsoft trolle Apple sur Liquid Glass, mais attention au retour de manivelle

Ces dernières années, Apple a parfois connu des étés agités à cause de changements opérés dans ses logiciels systèmes. Le cas le plus retentissant est peut-être en 2021 Safari et sa barre flottante, qui n’a eu de cesse d’évoluer suite au mécontentement des utilisateurs. Toutefois, si une barre flottante a fait tant parler, il parait illusoire de penser qu’Apple évitera une polémique sur un sujet aussi sensible qu’une interface utilisateur, aussi réussie soit-elle.

Un écran 6K à 1300 $ taillé pour les Mac : ASUS ProArt PA32QCV

21 juillet 2025 à 07:21

Après des années de relatif calme plat, l’offre d’écran externe susceptible d’intéresser les utilisateurs Mac ne cesse de s’agrandir. On trouve de plus en plus d’écrans 4K et même 5K capable de soutenir la comparaison avec l’offre d’Apple. Et ce n’est pas terminé ! Asus annonce la commercialisation d’un écran 6K équipé de la technologie Thunderbolt 4 pour la fin du mois d’aout pour 1299 $.

Image : Asus

Cet écran 32” est donc capable d’afficher du 6016 par 3380, soit une surface d’affichage 145 % plus grande qu’un moniteur 4K à taille égale. Calibré en usine, cet écran affiche 98 % de l’espace colorimétrique DCI-P3, une luminosité maximale de 400 nits (600 nits en HDR) et un contraste maximal de 3000:1. Cet appareil possède un détecteur de luminosité environnante, une petite enceinte stéréo de deux watts, ainsi qu’une compatibilité avec la norme VESA. Il est possible d’utiliser l’écran aussi bien en mode portait que paysage.

En matière de connectique, le ProArt Display 6K PA32QCV permet, grâce au KVM automatique intégré de basculer très facilement entre deux ordinateurs avec un seul clavier/souris. Il embarque deux ports Thunderbolt 4 avec prise en charge de Power Delivery 96 W, un port HDMI 2.1, un port DisplayPort 1.4 DSC, un port USB-C (pour KVM), d’une sortie Jack, et fait office de HUB avec deux ports USB 3.2 Gen 1 de type A et un port USB-C.

Image : Asus

Le fabricant dans son communiqué insiste qu’il a été spécialement pensé pour les utilisateurs Mac. Il insiste sur le fait que son écran inclut un préréglage de couleurs “M Model-P3” pour correspondre à l’affichage macOS, et peut être paramétré depuis l’ASUS DisplayWidget Center. Cerise sur le gâteau, les touches de luminosité du Mac peuvent ajuster directement celle du moniteur.

Image : Asus

On rappellera à ceux qui ont oublié qu’Apple possède un écran 6K à son catalogue. Le Pro Display XDR d’Apple est cependant vendu beaucoup plus cher, il est proposé au prix de 5500 € ! Gurman parle de temps à autre d’ailleurs d’une révision de ce modèle sorti en 2019. 6 ans déjà !

Les CPU de nos Mac : le Core™ 2 Duo Merom 65nm du MacBook Air

Le MacBook Air fut introduit en 2008 (en 13"), par un Steve Jobs extrêmement fier de son bébé, faisant rentrer Apple dans la catégorie des ultra-portables, battant de 0,8 mm le précédent record en terme de finesse.

Mais il cachait aussi le fruit de la collaboration étroite entre Apple et Intel: un nouveau Core™ 2 Duo créé uniquement pour lui!
Pour battre le record, il fallait évidemment gagner de la place, et donc le packaging de la CPU devait être plus petit que ceux offerts alors aux concurrents.

Intel avait prévu cela, mais pour la génération suivante de ses CPU, et sous l'impulsion d'Apple a développé un Core™ 2 Duo unique.
D'abord car sur un support réduit en taille, faisant gagner de la place, indispensable pour avoir un minimum d'autonomie.

Ensuite avec des caractéristiques étonnantes dans la gamme, puisqu'avec les fréquences de 1,6 et 1,8 Ghz pour un TDP de 20W et un voltage compris entre 1,0 et 1,25V.
Il existait pourtant des Core™ 2 Duo avec des fréquences similaires et des voltages inférieurs, mais il est probable que ça soit obtenu par binning (sélection de la puce en fin de production), augmentant énormément leur prix.

Le MacBook Air est une idée de Steve Jobs, qui ne s'est concrétisée de façon si incroyable (souvenez-vous de l'enveloppe au format US Legal) que par la grâce d'une étroite collaboration avec Intel, qui était alors le roi des CPU!

Reçu hier — 20 juillet 20257.2.1 🍏 Sites principaux

L’iPhone pliable, une seconde caméra avant pour l’iPad, et la bêta publique d’iOS 26 : la semaine Apple

20 juillet 2025 à 20:30

Alors que les juilletistes s’apprêtent à lâcher la barre pour laisser la place aux aoutiens, les développeurs s’affairent sur iOS 26, et les aficionados rongent leur frein en attendant la première bêta publique... Entre temps, le matériel évolue dans les alcôves secrètes de l’Apple Park. Enfin secrètes... pas tant que ça pour Mark Gurman, qui nous donne une idée de l’avenir.

Un nième smartphone pliable ? On peut compter sur Apple pour que ce ne soit pas seulement ça. Image réalisée à l’aide d’une IA.

What’s the difference (Quelle est la différence)

Depuis le temps que cette rumeur existe, elle va bientôt pouvoir devenir réalité : le premier iPhone pliable, dont nous parlions déjà dès octobre 2018, devrait sortir l’année prochaine. Ce sera une première pour Apple, mais clairement pas pour l’industrie, qui connaît ces smartphones à écran souple depuis maintenant sept ans et le premier Samsung Fold. Si Cupertino est habituée à arriver sur un marché et renverser la table, il y a une petite nuance avec le smartphone pliable : elle arrive sur un marché déjà mûr.

Un analyste voit un iPhone à écran pliable en 2020

Un analyste voit un iPhone à écran pliable en 2020

En effet, tous les produits marquants de la pomme ont un point commun : être arrivés sur un marché certes existant, mais qui se cherchait encore.

  • le premier iPod a imposé les lecteurs MP3 avec disque dur intégré, dans un marché qui utilisait encore énormément la mémoire flash, tellement chère à l’époque qu’elle contenait à peine un ou deux albums pour 150 à 300 € (si si, 128 Mo en 2001... c’est le prix). L’iPod est arrivé avec ses 5 Go de stockage, et a imposé les disques durs jusqu’à ce que la flash devienne compétitive.
  • le premier iPhone a retourné le marché : alors que tous les téléphones comportaient un clavier empiétant d’autant sur la taille d’écran disponible, il a supprimé quasiment tous les boutons pour laisser la place à l’affichage. Depuis, tous les smartphones ont repris l’idée, ainsi que le multitouch.
  • l’iPad a grandement profité du fait que Microsoft se cherchait avec les tablettes, voulant imposer son système d’exploitation standard sur des appareils qui ne s’y prêtaient pas. Apple a dans un premier temps repris le système de l’iPhone, qu’elle a adapté au fil du temps aux exigences des clients. Android a tenté de suivre, mais l’iPad reste encore aujourd’hui la référence des tablettes.
  • l’Apple Watch a rendu gigantesque un marché de niche : les smartwatches étaient à peine effleurées, restées surtout sur le domaine sportif, alors qu’Apple a sorti une montre qui peut être utilisée en toute occasion, et qui en faisait bien plus qu’une montre sportive. La smartwatch est passée d’outil de poignet à véritable alternative à la montre « standard ».
  • les AirPods sont arrivés au moment opportun, où les écouteurs sans-fil commençaient à éclore. Avec le design iconique des EarPods d’origine, ils ont amené la « hype » des écouteurs blancs Apple dans le monde du sans-fil (bien aidés par la suppression de la prise jack, il faut l’avouer). Apple a su utiliser son aura pour imposer ses écouteurs, et les concurrents ont suivi.

Or, l’iPhone pliable devrait arriver sur un marché mature, mais en plus ne devrait pas imposer une grande révolution : non seulement le design se rapprocherait de celui du Samsung Fold, mais en plus il sera difficile d’aller chercher des capacités extraordinaires étant donné que Samsung Display fournira la dalle. Et il est facilement imaginable que la filiale de Samsung ne va pas tirer une balle contre son camp en permettant à Apple d’avoir une dalle aux caractéristiques uniques et supérieures à celles de Samsung Electronics...

Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliable

Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliable

Mais le challenge ne semble pas faire peur à Apple, et à raison : son atout, l’intégration parfaite matériel/logiciel reste intacte, Apple étant la seule à réellement maîtriser les deux facettes complètement. Elle a de plus pris le temps de se concentrer sur les deux éléments faibles des smartphones pliables actuels : le pli de l’écran, qu’elle aurait réussi à faire quasi totalement disparaître, et la charnière, qui devrait avoir un design unique et extrêmement travaillé. Autre atout pour Apple, sa base de clients fidèles : si les smartphones pliables font de l’œil à beaucoup de monde, nombre sont ceux qui attendent la version d’Apple, ne pouvant se résigner à passer sous Android. La demande est là, et devrait faire en sorte que cet iPhone cartonne.

Never Enough (Jamais assez)

En 2024, Apple a fait un choix intéressant sur l’iPad Pro : faire passer la caméra avant de la position verticale à la position horizontale. Le changement découlait du constat simple que les clients utilisaient plus souvent l’iPad à l’horizontale qu’à la verticale, surtout pour les appels. Le changement paraissait alors logique.

L’iPad Pro M5 devrait recevoir une seconde caméra avant. Image MacGeneration.

Cependant, pour ceux qui utilisent leur iPad à la verticale, le souci se pose maintenant : la main vient très souvent cacher la caméra frontale, empêchant non seulement une conversation FaceTime correcte, mais surtout un déverrouillage par Face ID. Apple aurait trouvé une solution simple pour l’iPad Pro M5 : adjoindre une seconde caméra sur le bord vertical. La solution est simple, logique, et ne devrait pas trop casser le design de l’iPad, les caméras étant très bien intégrées dans le cadre de l’écran.

Patiently Waiting (Attendant patiemment)

Nombre d’entre vous attendent la sortie de la bêta publique d’iOS 26. L’attente devrait bientôt arriver à son terme, celle-ci devant fort probablement sortir courant de semaine prochaine. Elle arrivera quasi en même temps que la bêta 4 des développeurs. Si l’arrivée de la bêta publique semble tardive cette année, il faut dire qu’Apple ajuste encore de gros détails de design de son OS, et ne voulait sûrement pas sembler trop tâtonner auprès du public. Ça ne veut pas pour autant dire que la sortie finale aura du retard, juste qu’Apple a pris son temps avec un public restreint pour dégrossir l’interface.

iOS 26 : la bêta 3 réduit encore la transparence et ajoute des fonds d’écran

iOS 26 : la bêta 3 réduit encore la transparence et ajoute des fonds d’écran

Apple se tâte encore, en témoigne les ajustements de transparence. Capture MacGeneration.

My Name Is (Mon nom est)

Si Apple peut inquiéter par moment depuis ces quelques derniers mois, il ne faut pas oublier pour autant qu’elle a toujours eu le don de retourner la table, et que son aura n’a pas tellement terni auprès du grand public. Le renouvellement de l’interface devrait faire son petit effet, et même s’il ne devrait pas casser les codes, l’iPhone pliable n’en sera pas pour autant un simple nième smartphone pliable, à n’en pas douter. En attendant, je vous souhaite une bonne semaine, et à dimanche prochain !

  • Dis Siri, mets-moi Eminem.
  • Désolé, Greg, je n’ai pas de M&M’s.
  • Un jour je te donnerai à manger à un ferrailleur...

À ma présentatrice d'iPad préférée, 26/04/2014 - 17/07/2025.

Promo Apple : Magic Trackpad et Magic Mouse en noir à prix réduit

20 juillet 2025 à 11:19

Pour une raison qui nous échappe (m’enfin, c’est que du marketing), les souris et claviers d’Apple en noir sont vendus plus cher que ceux en blanc. D’autre part, ils font l’objet de moins de promotion.

Si vous voulez alors faire l’acquisition d’une Magic Mouse noire à un prix intéressant, c’est le moment ou jamais. Le mulot d’Apple, dans sa déclinaison USB-C, est proposé aujourd’hui à 84,17 €, soit une réduction de 29 % sur son prix public. La déclinaison blanche de la souris d’Apple est proposée pour sa part à 73 €, soit une réduction de 15 % sur son prix public.

Magic Mouse noire. Image Apple

Cet écart de prix, on l’a également toujours constaté sur les Magic Trackpad. Une fois n’est pas coutume, le modèle noir est proposé à 51 centimes près au même prix que le modèle blanc : 134,48 € pour le modèle noir et 134,99 € pour le modèle blanc. Dans le cas du modèle noir, il s’agit d’une réduction de 20 %.

Image : MacGeneration

Seul regret : le Magic Keyboard dans sa déclinaison noire ne fait pas l’objet de remise particulière.

Votre Mac souffre ? BuhoCleaner 2025 lui redonne un coup de fouet (promo -68 %)

20 juillet 2025 à 10:32

Avec le temps, les Mac se remplissent, ralentissent et s’encombrent. Faut-il en changer pour autant ? Pas nécessairement.

Il existe une solution simple et efficace, désormais bien connue des lecteurs de MacGeneration : BuhoCleaner, dont l’édition 2025 débarque avec une foule d’optimisations… et jusqu’à 68 % de réduction (avec le code exclusif : MAG25FR689).

Quand les performances chutent, BuhoCleaner remet de l’ordre

Même un Mac récent peut perdre en réactivité à cause de fichiers temporaires, de caches inutiles ou d’applications mal désinstallées. Avec les mois, ce désordre invisible pèse sur les performances globales. BuhoCleaner s’attaque précisément à ce problème : suppression en profondeur, désinstallation complète, libération d’espace — tout est conçu pour redonner à la machine sa fluidité d’origine.

Le premier scan ne prend que quelques secondes et affiche une vue d’ensemble claire : fichiers temporaires, journaux système, caches obsolètes… L’outil ne se limite pas aux évidences, il débusque aussi les résidus de mises à jour système ou les archives iOS oubliées. Même sur un Mac bien entretenu, plusieurs gigaoctets peuvent être récupérés en quelques clics.

Le module désinstallation d’apps mérite une mention spéciale. Là où macOS se contente d’un glisser-déposer dans la corbeille, BuhoCleaner identifie et supprime aussi les fichiers associés : préférences, logs, bibliothèques orphelines, agents de lancement. En un clic, tout disparaît proprement, sans laisser de traces.

La détection des fichiers volumineux ou anciens est tout aussi efficace. L’outil permet de récupérer un espace précieux sans avoir à fouiller manuellement dans l’arborescence du disque. Et grâce à la gestion des éléments au démarrage, le Mac retrouve un boot rapide et silencieux.

Enfin, le moniteur système intégré offre un aperçu en temps réel du CPU, de la mémoire et de l’activité disque. Plus lisible que le Moniteur d’activité natif d’Apple, il permet en un clic de fermer une application trop gourmande ou de libérer de la RAM. Tout fonctionne de manière fluide, même sous macOS Sequoia ou sur les dernières puces Apple M4.

Jusqu’à -68 % cet été (et -20 % en plus pour les lecteurs de MacG)

À l’occasion des soldes d’été, BuhoCleaner propose jusqu’à 68 % de réduction sur ses licences. Et pour les lecteurs de MacGeneration, une remise exclusive de 20 % supplémentaires est disponible avec le code MAG25FR689, à utiliser directement sur la page officielle. Attention : ce code est réservé aux 100 premiers utilisateurs.

Voici les offres disponibles :

  • Le pack individuel (1 Mac à vie) passe de 39,99 € à 15,99 €.
  • Le pack Famille (3 Macs à vie) est à 22,39 € au lieu de 69,99 €, soit moins de 7,50 € par machine (voir l'offre).
  • Le plan Business (10 Macs à vie) est affiché à 39,99 €, contre 124,99 € auparavant.

Enfin, le Pack Essentiel combinant BuhoCleaner et BuhoNTFS est disponible à 20,79 € TTC au lieu de 65,99 € — idéal pour ceux qui veulent une solution complète.

Pour les disques NTFS aussi, il y a une solution

Les utilisateurs qui travaillent régulièrement avec des disques au format NTFS savent combien il est frustrant de ne pas pouvoir écrire dessus depuis macOS. BuhoNTFS résout le problème avec une solution rapide, efficace et parfaitement intégrée.

Ici aussi, les promotions sont au rendez-vous : la licence à vie de BuhoNTFS est proposée à 11,99 € au lieu de 39,99 €. Une formule annuelle est également disponible à 7,99 €. Le code MAG25FR689 fonctionne également sur ces offres.

Avec une interface claire, une compatibilité assurée avec les dernières versions de macOS, et des remises jusqu’à -68 %, BuhoCleaner 2025 s’impose comme un investissement malin. Et quand trois Macs peuvent être couverts à vie pour moins de 23 euros, il serait dommage de laisser passer l’offre. Au-delà des 100 premiers utilisateurs, les prix grimperont — et les ralentissements, eux, reviendront.

Découvrir toutes les offres BuhoCleaner

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Cyberpunk 2077 sur Mac Apple Silicon

Bon les Mac Intel on oublie, c'est pas moi, c'est pas une critique, mais sur Mac Intel il faut utiliser Bootcamp et Windows. Il y a des Mac intel très capables pour ça.
Cyberpunk 2077 tourne sous mac OS uniquement en natif ARM sur M1 et suivants.
Avec 16 Go de RAM, apparemment le coup des 8 Go Mac = 16 Go PC ça ne marche pas...
Ceci dit ça montre la polyvalence du M1 de base (avec 16 Go de RAM!).

Ensuite je me demande qui va jouer à Cyberpunk 2077 sur son Mac?!?
Tous ceux qui ont un Mac et jouent aux jeux AAA ont soit une console (moi une PS4 Pro) soit un gros PC pour cela. Et ma moitié a acheté et joué à Cyberpunk 2077. Fait!

Et la plupart des Mac vendus sont des MacBook avec un trackpad.
Bonjour la jouabilité sauf à acheter une souris (comme ceux qui ont un PC avec un trackpad inutilisable). Le combo souris + casque avec micro. Le combo PC portable vendu inutilisable.
Vous avez vu cela: ils ont un PC sur Zoom, Teams, et les autres, et vous savez qu'ils ont un PC car ils ont un casque avec un micro!

Je me demande ce qui est passé au travers de la tête de l'éditeur pour faire cette adaptation, où soit les gens y ont déjà joué, et souvent dans de meilleures conditions (PC + bonne GPU), soit se désintéressent des jeux vidéos...

Je me demande combien Apple a payé?!?

PS: comptez de 100 Go à 155 Go d'espace de stockage utilisé, au prix Apple.


Sortie de veille : Safari éclipsé par Comet ? Notre avis sur le navigateur de Perplexity

19 juillet 2025 à 08:00

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

Après avoir dépoussiéré la recherche en ligne, Perplexity s’attaque aux navigateurs. La start-up a récemment dévoilé Comet, un navigateur bourré d’intelligence artificielle que l’on a pu essayer avant sa sortie grand public. Cette Comet va-t-elle faire de l’ombre à Chrome et Safari ? On en discute dans cette émission, la dernière de la saison.

Dans le reste de l’actu, la recharge sans fil va bientôt passer un nouveau cap et Cyberpunk 2077 est enfin dispo sur Mac !

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

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  • Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez l’émission directement dans ce lecteur :

Bonne écoute et bonnes vacances !

Image d'accroche : NASA (CC BY)

La batterie de l’iPhone 17 Air devrait faire moins de 3 000 mAh

18 juillet 2025 à 21:45

L’une des inquiétudes les plus sévères concernant l’iPhone 17 Air, de par sa finesse, c’est bien l’autonomie de sa batterie. C’est Instant Digital, fuiteur chinois suivi par plus de 1,4 million de personnes, qui donne quelques indices sur celle-ci.

Et le moins qu’on puisse dire, c’est que la finesse reste l’ennemi de l’autonomie : la batterie de l’iPhone 17 Air devrait contenir moins de 3 000 mAh, chose qui n’avait pas été vue depuis l’iPhone 12. Pour éviter de voir les utilisateurs de cette nouvelle version être à la recherche permanente d’une prise, Apple compte sur sa nouvelle fonction de suivi de la batterie par IA, permettant ainsi de maximiser l’autonomie avec une batterie pourtant fine.

iOS 26 : Apple met de l’intelligence artificielle dans les batteries

iOS 26 : Apple met de l’intelligence artificielle dans les batteries

Cependant, il reste difficile de lutter contre les lois de la physique, et les équipes d’Apple estiment que seuls 60 à 70 % des utilisateurs parviendront à tenir toute la journée sur une seule charge avec le nouvel appareil, quand les autres iPhone satisfont entre 80 et 90 % des utilisateurs. Pour corriger ce souci, Apple devrait sortir une batterie MagSafe nouvelle génération, après avoir arrêté la production de la première version en septembre 2023.

Apple abandonne la batterie externe MagSafe et le chargeur double MagSafe… pour le moment

Apple abandonne la batterie externe MagSafe et le chargeur double MagSafe… pour le moment

NoName057(16), ou quand le piratage massif devient un jeu en ligne

18 juillet 2025 à 21:15

Après avoir été démantelé par les services d’Europol et consorts, le groupe de hackers russes NoName057(16) commence à dévoiler quelques secrets. Et parmi ceux-ci, l’un d’eux a attiré l’œil de Bloomberg : la façon dont les dirigeants du groupe attiraient les jeunes pirates, pour les faire travailler encore et toujours plus pour la cause.

Les bureaux d’Europol à La Haye, Pays-Bas. Image Wikipedia/OSeveno, CC BY-SA 3.0.

En effet, le groupe au plus fort de son activité regroupait plusieurs milliers « d’utilisateurs » de ses outils de hack dans de nombreux pays : plus de 100 serveurs de par le monde, 17 administrateurs et plus de 4000 utilisateurs ! Comment avoir autant de personnes à leur service, et comment faire en sorte qu’ils s’engagent à fond pour les différents piratages ? Transformer le piratage en jeu.

Les administrateurs utilisaient le crowdsourcing pour recruter les participants, et les incitaient à se dépasser par la même méthode que les jeux en ligne : tableau des meilleurs scores, badges de victoires, et récompenses (sous forme de cryptomonnaie, bien entendu). Tout le principe utilisé dans d’inoffensifs jeux comme Pokémon Go ou encore le bon vieux Candy Crush, mais au lieu de collecter les petites bestioles ou les bonbons... vous collectez les DDoS.

Bien entendu, une couche de manipulation était rajoutée par-dessus le système, gavant les utilisateurs de discours utilisant le narratif de la défense de la Russie face aux méchants occidentaux, ou pour contrer des événements politiques adverses. Si les attaques DDoS légères sont maintenant plus des pichenettes que de véritables catastrophes pour les gros serveurs, les hackers ont trouvé de nouvelles méthodes pour gripper des groupes comme X, ChatGPT ou Microsoft, avec toujours plus de bots.

Au total, le groupe NoName057(16) a été responsable de plus de 1500 attaques DDoS envers de nombreux pays membres de l’OTAN. S’il y a une leçon à retenir de ce groupe, c’est bien l’inventivité toujours plus développée des hackers, et la puissance que peut avoir une alliance d’un de ces groupes avec une volonté politique, pouvant mobiliser plusieurs milliers de personnes pour atteindre des serveurs qui deviennent de véritables cibles numériques.

AI Act : Meta refuse de signer le code de bonne conduite de l’Union européenne

18 juillet 2025 à 20:15

Il y a maintenant quelques mois le Parlement européen a adopté l’AI Act, texte ayant pour but d’imposer quelques règles et limites concernant les intelligences artificielles. Ce pack législatif contient entre autres un code de bonne conduite pour les créateurs d’IA, qui vient déjà de se prendre une porte dans le nez : Meta refuse de le signer.

AI Act : la législation adoptée au Parlement européen

AI Act : la législation adoptée au Parlement européen

C’est Joel Kaplan, Chief Global Affairs Officer chez Meta, qui l’annonce sur son profil LinkedIn :

L’Europe est sur la mauvaise pente concernant l’IA. Nous avons relu attentivement le code de bonne conduite de la Commission européenne concernant les modèles d’IA généralistes, et Meta ne le signera pas. Ce code introduit un flou légal important pour les développeurs de ces modèles, ainsi que des mesures qui vont bien au-delà de la portée logique de l’AI Act. Nombre d’entreprises et de décideurs politiques se sont élevés contre cette régulation dans toute l’Europe. Au début du mois, plus de 40 des plus grosses entreprises européennes ont signé une lettre appelant la Commission a faire une pause dans son implémentation. Nous partageons les inquiétudes de ces entreprises sur la crainte que ces régulations puisse créer des frontières bloquant le développement de l’IA en Europe, et empêchent les entreprises européennes de créer des opportunités grâce à elle.

Si les inquiétudes de Meta peuvent s’entendre, il est cependant difficile de comprendre le refus en bloc de ce code de bonne conduite, qui semble basé sur le bon sens : entre autres, interdire le développement sur la base de données piratées, ne pas utiliser des données d’un utilisateur ou d’une entreprise qui a refusé leur utilisation, ou encore ne pas se servir de l’IA à des fins de manipulations de la population ou de classement social.

En refusant en bloc le texte, Meta tente surtout le coup de poker de faire plier l’UE, espérant l’arrivée d’autres entreprises de poids du domaine dans son camp, comme OpenAI ou pourquoi pas Mistral, plutôt que de discuter pour obtenir un compromis.

Comme souvent, l’Union européenne est très transparente sur le sujet, et a mis en ligne le code de bonne conduite que Meta refuse de signer, consultable librement sur le site de l’UE.

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