Non content d’avoir un très joli prénom, le développeur Felix Rieseberg est aussi un créateur de talent : il propose depuis peu Clippy, une application ressuscitant l’antique assistant de Microsoft en lui greffant un grand modèle de langage qui tourne en local. On peut ainsi papoter avec un LLM depuis une fenêtre reprenant les codes de Windows 95, et regarder le célèbre trombone faire sa vie quand la fenêtre est fermée.
Clippy sur mon MacBook Air M1.
Une fois lancé, Clippy peut être déplacé partout sur l’écran. Cliquer dessus ouvre une nouvelle fenêtre de chat au style rétro, qui pourra continuer de flotter au-dessus des autres apps. Felix Rieseberg présente le projet comme une « lettre d’amour à Clippy » qui ne cherche pas à être le meilleur programme pour faire tourner de l’IA en local, mais plutôt une petite plaisanterie mélangeant nostalgie et technologies modernes. Malgré son côté blague, l’app est bien fichue. Elle est réactive, dispose d’une interface épurée et est assez efficace pour une utilisation ponctuelle. Un historique des conversations est sauvegardé.
Cette application Electron propose de télécharger différents modèles : le Gemma3 de Google, Llama 3.2 chez Meta, Phi-4 chez Microsoft ou encore Qwen3 chez Gwen. Il est également possible d’ajouter manuellement un LLM, par exemple pour ceux préférant papoter avec Mistral. Une fenêtre permet d’ajuster son « prompt » de départ, qui est de base configurée pour imiter Clippy. Il n’est pas possible de connecter l’app à des services en ligne comme ChatGPT ou Gemini.
Clippy est entièrement gratuit et peut être téléchargé sur le site du développeur ou via Github. L’app est disponible en version pour Mac Apple Silicon ou Intel, mais aussi pour Windows ou Linux.
Apple aurait dans ses cartons une nouvelle version de son app Raccourcis qui intégrerait Apple Intelligence pour permettre la création d'automatisations en utilisant le langage naturel, d'après Bloomberg. Cette mise à jour aurait été prévue de longue date pour 2025, mais son développement...
Le pass Navigo Liberté + sera proposé sur iPhone et Android à partir du 23 juin, a annoncé Valérie Pécresse, la présidente de la Région Île-de-France et d'Ile-de-France Mobilités.
Le rendez-vous du mois de juin 2025 était connu depuis mars dernier mais pas le jour exact de la mise en service de ce titre. Il est destiné à ceux qui n'empruntent les transports en commun qu'occasionnellement ou pas assez pour justifier ne serait-ce qu'un abonnement à la semaine. L'autre avantage du Liberté +, valable partout en Île-de-France, est son prix, avec une remise de 20 % sur le tarif du ticket standard.
Il en coûte par exemple 1,99 € au lieu de 2,50 € avec un ticket Métro-Train-RER et 1,60 € au lieu de 2€ avec un ticket Bus-Tram. Les correspondances sont gratuites dans les 2h suivantes. Le prélèvement pour la somme des trajets est effectué le mois suivant.
Valérie Pécresse a ajouté que la région comptabilisait désormais 1,3 million d'abonnés à cette formule où l'on ne paye que pour les déplacements effectués, sur un volume de 3 millions de Franciliens qui utilisent occasionnellement les transports en commun. Le cap du million avait été franchi en mars. La prochaine étape est le pass Navigo annuel, il est supposé arriver sous une forme dématérialisée avant la fin de cette année.
Lors de la dernière Google I/O, la firme de Mountain View a présenté un paquet de nouveautés pour son assistant Gemini. Celui-ci va pouvoir proposer de meilleures suggestions de réponses dans Gmail, activer la traduction vocale en quasi-temps réel dans Meet, transformer des présentations Slides en vidéo… Mais surtout, Google a annoncé que son assistant allait pouvoir piocher dans les informations de l’utilisateur : un atout qui pourrait changer la donne lorsque Gemini sera intégré à Siri.
L’application Gemini sur iOS.
L’assistant de Google va pouvoir être personnalisé grâce aux données de l’utilisateur. Les nouvelles réponses dans Gmail se basent là-dessus : l’IA analyse les précédentes conversations pour proposer un brouillon encore plus adaptée. Elle peut également s’appuyer sur les données des différents autres services pour affiner ses propositions. Dans son communiqué, Google fournit quelques exemples :
Si votre ami vous envoie un e-mail pour vous demander des conseils sur un voyage que vous avez déjà effectué, Gemini peuvent se charger de rechercher vos anciens e-mails et fichiers dans Google Drive, tels que les itinéraires que vous avez créés dans Google Docs, afin de vous suggérer une réponse contenant des détails précis et pertinents. La réponse correspondra à vos salutations habituelles et tiendra compte de votre ton, de votre style et même de vos choix de mots préférés, le tout pour générer une réponse plus pertinente et qui vous ressemble vraiment.
En pratique, Gemini devrait être proposé comme remplaçant à ChatGPT dans Siri. L’assistant d’OpenAI a des connaissances limitées sur l’utilisateur, qui se cantonnent à son historique de conversion. S’il devient possible de connecter son compte Google à Gemini, cette nouvelle alternative devrait être bien plus intéressante pour les gros utilisateurs de Gmail et consort. On pourrait par exemple demander à Gemini ce que l’on a fait le week-end dernier, qui répondrait en se basant sur le contenu de Google Photos. Une sorte de nouveau Siri avant l’heure pour les gros utilisateurs Google.
Le nouveau Gemini connaissant mieux l’utilisateur sera disponibles pour les abonnés payants dans le courant de l'année. Cela fait plusieurs mois que les rumeurs sur une intégration de Gemini à Siri circulent : Sundar Pichai a confirmé il y a peu qu’il comptait bien amener son modèle sur les plateformes de Cupertino. Reste à voir si Apple autorisera une intégration aussi poussée.
Avec la mise à jour de son programme de certification WHCP, Microsoft impose enfin une norme stricte pour les ports USB-C sous Windows 11 : tous devront gérer données, charge et affichage. De quoi mettre fin au flou généralisé qui entoure les connectiques USB-C sur PC portables. Mais ça va prendre du temps.
Le Mac mini M4 est disponible sur la boutique officielle de produits reconditionnés par Apple, permettant de s'offrir cette excellente petite machine à un tarif nettement plus intéressant.
Le coréen prépare un partenariat stratégique avec Perplexity AI : app préinstallée, assistant par défaut sur Galaxy S26 et intégration dans Bixby. Objectif : s’émanciper de Google, alors qu’Apple lorgne aussi du côté de la start-up.
Si vous utilisez encore un vieil iPhone comme téléphone secondaire (par exemple vous installez des bêta ou vous avez une ligne pro) ou de secours, il est peut-être temps de vérifier votre version d’iOS.
Depuis ce dimanche 1er juin, WhatsApp a cessé officiellement de fonctionner sur plusieurs modèles de smartphones jugés obsolètes, dans le cadre de son cycle de mises à jour régulières.
Apple aurait dans ses cartons une version revue de l’app Raccourcis. Selon Mark Gurman, cette nouvelle version devrait carburer à l’IA avec un concept intéressant : la création de raccourcis aidée par les modèles Apple Intelligence. La sortie était initialement prévue pour le courant 2025, mais le projet a été repoussé à 2026.
La présentation de Raccourci sur Mac en 2021. Image Apple.
Les détails sont maigres, mais on imagine que l’app aura droit à un ravalement de façade ainsi qu’à diverses nouvelles options. L’arrivée d’Apple Intelligence devrait permettre de créer des raccourcis en les décrivant de façon naturelle. On pourra ainsi demander quelque chose comme « Active le mode silencieux quand j’arrive au travail », et l’application devrait pouvoir proposer quelque chose qui tient la route. C’est une bonne idée, car si l’interface de Raccourcis est assez accessible, bon nombre d’utilisateurs ne prennent pas le temps de s’y intéresser à cause de son concept qui requiert un peu de recherche.
Apple a d’autres nouveautés liées à l’IA dans ses cartons, bien que le sujet ne devrait pas être au cœur de la conférence de lundi prochain. Les développeurs devraient gagner accès aux modèles d’IA d’Apple pour intégrer de nouvelles fonctions dans leurs apps, tandis que l’app Traduire devrait être revue pour faire la part belle à l’IA. Certaines fonctions de Safari, de Photos et d’autres apps devraient être revues et présentées comme étant « optimisées par l’IA ».
On savait que cela serait pour le mois de juin, il manquait encore la date exacte : Valérie Pécresse a annoncé sur CNEWS que l'intégration du passe Navigo Liberté+ à l'iPhone se fera le lundi 23 juin, dans trois semaines. Les smartphones Android seront également concernés. Le passe Navigo a...
Depuis plusieurs mois, les fuites autour de l’iPhone 17 Pro convergent vers une refonte esthétique majeure, celle du bloc photo. Ce dernier abandonnerait sa présentation dans un carré situé en haut à gauche pour prendre la forme d’une barre horizontale sur toute la largeur du dos de l’appareil.
Selon les dernières informations officieuses, Apple disposerait déjà en interne de versions bien plus puissantes d’Apple Intelligence -y compris un bot Siri sur le cloud, à la hauteur des derniers modèles de ChatGPT. Pour autant, on ne voit rien venir à l'horizon !
Nous voici à une semaine de la WWDC 2025, dont la conférence inaugurale se tiendra le lundi 9 juin à 19 heures. Cette nouvelle édition devrait être plus modeste en annonces que les deux précédentes, selon Mark Gurman sur Bloomberg : Apple n'aurait pas de nouveau produit à présenter comme...
Selon les sources bien informées de Bloomberg, Perplexity et Samsung seraient sur le point de conclure un accord afin d’intégrer les services du premier dans les téléphones du second.
Le Galaxy S25, dernier né de Samsung. Image Samsung.
Les deux entreprises se seraient rencontrées récemment pour signer un accord en Corée du Sud, permettant à Samsung d’intégrer en profondeur les services d’IA de Perplexity dans sa gamme Galaxy, dans un premier temps en préinstallant l’app dans tous les prochains appareils Samsung, ainsi que dans le navigateur maison du constructeur sud-coréen, mais aussi prochainement d’améliorer l’efficacité de l’assistant vocal Bixby avec les technologies de Perplexity AI.
De plus, Samsung aurait une importance capitale dans la prochaine levée de fonds de la start-up, qui projette de récolter 500 millions de dollars d’investissements, portant sa valeur à 14 milliards de dollars.
Le partenariat pourrait devenir encore plus conséquent à l’avenir, les deux entreprises étant en discussions pour créer des OS et autres apps où les services de Perplexity seraient profondément imbriqués.
Si Apple a engagé des discussions de son côté avec Perplexity AI, cet accord entre la start-up et son rival sud-coréen aura-t-il des répercussions sur un possible partenariat ? Aucune des parties n’a souhaité répondre aux questions du journal, que ce soit pour confirmer l’accord Perplexity-Samsung, ou sur la suite des discussions entre Apple et Perplexity.
C’est une première : Mark Gurman s’est risqué dans sa liste de diffusion dominicale à prédire le nom de la prochaine version de macOS. D’après le journaliste de Bloomberg, ce sera « macOS Tahoe », le nom d’un grand lac bien connu à la frontière entre la Californie et le Nevada. Un lieu magnifique, qui ferait d’excellents fonds d’écran au passage, qui serait aussi particulièrement apprécié des employés d’Apple si on le croit.
Il note ainsi à propos de ce choix que ce serait un lieu de villégiature privilégié pour de nombreux employés de Cupertino et même une zone où l’on trouverait de nombreuses maisons secondaires qui appartiennent à du personnel Apple. Mark Gurman ajoute que le lac est connu pour les reflets qui se projettent sur l’eau bleue, ce qui collerait bien avec l’idée d’un nouveau design inspiré par visionOS… qui est une de ses rumeurs précédentes.
Il complète son argumentaire en suggérant que les noms choisis par Apple peuvent donner un sens de l’importance d’une mise à jour de macOS. Le lac Tahoe serait un lieu suffisamment célèbre pour souligner un gros changement dans le système d’exploitation des Mac, comme l’étaient Yosemite en 2014 et Big Sur en 2020, les deux précédents changements d’interface significatifs. Big Sur a aussi changé le système de numérotation en devenant macOS 11, sans « 10. », un bouleversement que l’on devrait encore connaître cette année, puisque Tahoe devrait être macOS 26.
Est-ce que le journaliste de Bloomberg a vraiment une source fiable au sein de la division marketing de Cupertino ? On le saura dans une semaine tout juste, mais ce serait en tout cas une nouveauté. Jusque-là, les noms publics de macOS étant choisis par un tout petit groupe au sein de Cupertino, ils étaient une vraie surprise chaque année, ce qui permettait à Craig Federighi de faire une blague ou deux sur les balades californiennes de l’équipe marketing.
Instagram pourrait s'étaler sur l'écran d'un iPad dans le courant de cette année estime Mark Gurman chez Bloomberg. Le journaliste rapporte que cette adaptation de l'iPad est activement testée chez Meta et que son développement avance. On ne sera plus obligé de lancer la version iPhone sur sa tablette et d'étirer l'affichage.
Cela corrobore une précédente rumeur d'avril dernier du bien renseigné The Information. Ce dernier rapprochait la décision de Meta de consacrer enfin des ressources à ce projet de la concurrence exercée par YouTube et TikTok sur Instagram. Il y a quelques jours un vieux serpent de mer est sorti de l'eau, avec la version iPad de WhatsApp. Après Instagram, Meta pourrait décider de mettre Threads sur iPad — son concurrent de X — mais il n'y a pas eu de rumeurs à ce sujet.
Après avoir tant attendu, c'est un peu la course ! En effet, après la sortie de WhatsApp sur l'iPad, il ne faudrait plus trop longtemps à Instagram pour débarquer sur la tablette de la Pomme.
La WWDC 2025 approche, et avec elle les nouvelles annonces d’Apple. S’il y a une chose de certaine, c’est qu’Apple aura appris de ses erreurs de l’année dernière, et fera tout pour ne pas les reproduire. Et s’il y a une chose qui ne change pas, c’est la faculté de certains journalistes à percer à jour les plans diaboliques de la pomme... À ce petit jeu, Mark Gurman semble être l’espion le plus efficace... à moins que Tim « Blofeld » Cook ait brouillé les cartes ? En attendant, plongeons dans les fichiers secrets découverts par notre agent très spécial !
Mark Gurman n’a pas encore le permis de tuer (ouf !). Image MGM.
Spectre
Alors que le fantôme de la WWDC 2024 rôde encore dans les têtes des ingénieurs Apple, l’édition 2025 promet de ne pas annoncer de nouveautés que la pomme n’est pas certaine de sortir dans les mois suivants. De fait, très peu d’annonces devraient être liées à Apple Intelligence. Pari risqué ? Apple joue en effet un jeu dangereux, à sembler faire du surplace pendant un an jusqu’à la WWDC 2026 dans le domaine de l’intelligence artificielle, quand ses concurrents avancent de plus en plus vite.
Sam Altman se pose en grand vilain adversaire de la pomme, soudoyant ses anciens alliés... Image Wikipedia/TechCrunch, CC BY 2.0.
Il y a d’abord OpenAI, qui a fait les gros titres avec le rachat le plus symbolique pour Apple : en lâchant 6,5 milliards de dollars, Sam Altman s’est en effet payé le luxe d’embaucher Jony Ive et une bonne poignée d’anciens designers de la pomme, pour les mettre à la tête du département design matériel et logiciel de son entreprise. Mais Google n’est pas en reste, ayant annoncé durant sa dernière conférence une fusion de plus en plus nette de l’intelligence artificielle avec ses logiciels et systèmes d’exploitation, que ce soit sous forme de LLM ou d’outils de création de textes, vidéos et images, promettant sur ce point de rattraper voire dépasser OpenAI. Android devrait grâce à ces nouveautés creuser l’écart au niveau de l’IA avec iOS, ce qui n’est pas forcément une très bonne nouvelle pour Apple, dont l’iPhone reste la pierre angulaire.
Tomorrow Never Dies
Apple de son côté ? Les nouveautés d’Apple Intelligence se compteront sur les doigts d’une main (et il vous restera même encore des doigts à laisser à Jaws) :
les développeurs devraient avoir accès aux modèles d’IA d’Apple pour intégrer des fonctions avancées dans leurs apps
une nouvelle fonction de gestion intelligente de l’énergie devrait faire son apparition
une fonction de traduction automatique et instantanée devrait être ajoutée aux AirPods
Beaucoup d’autres annonces concernant Apple Intelligence ne seraient qu’une sorte de « rebranding », la pomme souhaitant mettre l’accent sur le fait que certaines fonctions de Safari, Photos et d’autres apps sont « optimisées par l’IA ».
The World Is Not Enough
Ça ne veut pas dire pour autant qu’Apple se repose sur ses lauriers (il faudrait déjà en avoir dans ce domaine spécifique...). Au contraire, en interne les choses bougent très vite. Ainsi, le modèle d’IA utilisé sur les appareils d’Apple et ouvert aux développeurs utilise environ 3 milliards de paramètres, ce qui paraît peu face aux modèles concurrents, mais les ingénieurs testent à Cupertino d’autres versions plus puissantes, à 7, 33 et même 150 milliards de paramètres.
Apple Park, ou le labo de Q ? Image Wikipedia/Daniel L. Lu, CC BY-SA 4.0.
Cette plus grande version, qui se repose sur le Cloud comme les concurrents, approcherait de la qualité de ChatGPT au niveau des résultats proposés. Cependant, Apple ne la trouve pas assez fiable, effrayée par la possibilité que son IA hallucine ou diverge trop de la culture Apple. En attendant, les employés de Cupertino peuvent tester cette version interne, et même comparer les résultats avec ceux des autres IA grâce à un outil appelé « Playground ».
D’ici 2026 (ou 2027...), Apple prévoit la sortie de plusieurs éléments basés sur l’IA, dont certains étaient attendus pour 2024 avant de se voir repoussés :
un Siri « 2.0 » basé sur un LLM à la mode ChatGPT. Le but final est d’avoir un bot conversationnel complet.
une version refaite de fond en comble de Raccourcis, utilisant des modèles proposés par Apple Intelligence pour automatiser les propositions faites aux utilisateurs sans avoir à mettre les mains dans le cambouis.
une IA de santé, dont le nom de code est Mulberry, permettant une app Santé totalement revue. Elle verrait son apparition en 2026.
un chatbot concurrent de ChatGPT sur la recherche internet, que les employés ont renommé « Knowledge ». Le projet, démarré par Robby Walker qui s’est vu éliminé du projet de nouveau Siri serait cependant sur une mauvaise voie, montrant déjà des symptômes semblables à ceux de la première version du Siri amélioré tombé dans une impasse.
Si la pomme pourrait très bien montrer quelques aperçus de ces projets durant la WWDC, il est plus probable qu’elle n’en fera rien, jouant la carte de la prudence suite à la catastrophe de 2024.
You Know My Name
S’il est une petite touche de culture interne à l’entreprise attendue par les plus accros à la pomme, c’est bien le nom du futur macOS. Et même sur ce point, Mark Gurman a son idée : continuant sur la lancée de Mavericks, qui a été le premier à prendre un nom en rapport avec les lieux importants de Californie, le nouveau système s’appellerait Tahoe, en référence au Lac Tahoe, grande étendue d’eau à la frontière entre la Californie et le Nevada.
Ce grand lac bleu est bien connu des employés de Cupertino, qui pour certains y ont une résidence secondaire les pieds dans l’eau. Les paysages de ce petit coin de paradis colleraient parfaitement avec le design de la nouvelle interface, présentée en même temps en juin.
You Only Live Twice
Mais le plus gros du renommage cette année, c’est bien le passage de la numérotation habituelle des OS de la pomme à une autre se basant sur l’année. Ainsi, Apple devrait présenter macOS 26, iOS 26, iPadOS 26, visionOS 26, watchOS 26 et tvOS 26. Plusieurs raisons à cela sont avancées par Mark Gurman :
les mises à jour majeures sont maintenant pluriannuelles, des versions « .x » pouvant apporter de gros changements en cours d’année, contrairement à avant où les grosses modifications n’arrivaient qu’une fois l’an.
les OS sortent en septembre, ne laissant que peu de temps dans l’année en cours, imposant le nom « 26 » et non « 25 », qui colle aussi avec l’année fiscale d’Apple commençant en octobre.
utiliser le chiffre de l’année prochaine est aussi tout simplement et tout bêtement plus « futuristique » que de prendre l’année en cours.
Ainsi la WWDC 2026 devrait ensuite présenter les OS « 27 », et ainsi de suite. Ce changement symbolique rappelle aussi que cette année est une grosse refonte des OS de Cupertino, pour les rendre plus cohérents visuellement et fonctionnellement parlant.
Cependant, ce changement ne devrait pas arriver pour les appareils. Les utilisateurs sont habitués aux versions actuelles, et un souci d’image pourrait se poser pour la gamme : proposer à la vente des appareils qui sont au nom de l’année dernière, voire de l’avant-dernière année ne sonne pas très bien. Qui voudrait un « iPhone 24 » en 2026 ?
For Your Eyes Only
Au fil des mois, Mark Gurman a quasiment percé tous les secrets du keynote à venir :
une refonte visuelle de tous les OS avec un nouveau look basé sur visionOS.
un rapprochement de l’iPad avec le Mac, lui donnant de nouvelles fonctions de productivité venant de macOS.
l’ouverture des modèles d’Apple Intelligence aux développeurs, pour intégrer AI aux apps.
une fonction permettant d’entrer sur un appareil les données nécessaires aux wi-fi captifs une seule fois pour tous les autres appareils connectés au même compte iCloud.
une nouvelle gestion de la batterie basée sur l’intelligence artificielle.
une fonction de traduction automatique et instantanée pour les AirPods.
une option de scroll par la vue sur les Vision Pro.
une app Santé revue.
un clavier bidirectionnel Arabe/Anglais pour iOS et iPadOS.
une fonction calligraphie pour l’Apple Pencil.
Apple devrait aussi présenter une toute nouvelle app présente à la fois sur macOS, iOS et iPadOS. Se voulant la descendante du Game Center, elle devrait rassembler non seulement les jeux présents sur l’App Store, mais aussi d’autres qui sont extérieurs aux girons d’Apple. Permettant de voir les scores de ses amis et de communiquer avec eux, c’est une nouvelle tentative de Cupertino après l’approche de 2010 qui n’a pas eu un très grand succès. Même si les jeux avancent petit à petit sur les plateformes d’Apple, la firme n’a pas l’ambition de venir lutter contre Sony ou Microsoft dans le domaine.
No Time to Die
Si Apple a décidé d’être plus prudente avec ses annonces, la WWDC devrait tout de même montrer des choses intéressantes, une refonte majeure de tous les OS à la fois n’étant pas chose courante. Pour la suite, et les grandes manœuvres sur l’IA et le matériel, il faudra attendre 2026.
Stéphane Tapie, le fils de l’iconique Bernard Tapie, a récemment frôlé le pire et doit une fière chandelle à son Apple Watch Ultra. Une histoire qui rappelle, une fois de plus, que la montre connectée de Cupertino n’est pas qu’un simple gadget pour geeks.
Alors que la WWDC 2025 n'est plus qu'à une semaine, les annonces autour d’Apple Intelligence risquent bien d'être absentes. Mark Gurman (Bloomberg) vient de couler les espoirs dans sa dernière newsletter. Apparemment, l’édition de cette année pourrait être particulièrement décevante de ce côté, alors que Google vient d'accélérer la cadence !
Dans une semaine, se tiendra la WWDC 2025 et Apple y présentera les futures versions de ses systèmes d’exploitation. Parmi les traditionnels petits jeux, nombreux sont ceux à essayer de devenir le surnom du nouveau macOS.
Coup de théâtre dans le spatial américain : Donald Trump retire la nomination de Jared Isaacman à la tête de la NASA, évoquant un “examen approfondi de ses associations passées”. Proche d’Elon Musk, Isaacman voit donc sa nomination annulée à la dernière minute, en pleine tempête budgétaire pour l’agence spatiale.
Après macOS Sequoia l'année dernière, Apple dévoilerait cette année macOS Tahoe, d'après les sources de Mark Gurman sur Bloomberg. Ce nouveau nom rendrait ainsi hommage au lac Tahoe, situé au nord-est de San Francisco dans le massif de la sierra Nevada, entre la Californie et le Nevada. Ce...
Netflix a enfin levé le voile sur la dernière saison de Stranger Things. Diffusée en trois parties, à trois dates, elle débutera le 27 novembre avant de s’achever le matin du 1ᵉʳ janvier. Un découpage événementiel pour conclure la série culte, près de dix ans après ses débuts.
Après TikTok qui prodigue d'incroyablement bon conseils pour maigrir (ou en mourir) ou passer plus de jours à l'hôpital pour les ados, le but maintenant de la Chine est de vous protéger avec des VPN gratuits. Avec la complicité d'Apple via l'App Store. Ayez confiance. Ayyyyeezzz connfffiiiiaanceeee....
Après tout les VPN vous protègent. Non?!? C'est le discours ambiant des vendeurs de VPN s'appuyant sur des influvoleurs facilement achetables, alors que des spécialistes en sécurité font le tri et déconseillent absolument l'usage des VPN proposés, offrant plutôt de créer le votre (sur votre Routeur ou avec un Raspberry Pi et Pi VPN utilisant Wireguard). Les vrais spécialistes en sécurité ont moins d'audience ceci dit.
Voilà qu'au lieu d'indiquer à Orange, Free ou autres, ou au gouvernement Français et ses boîtes noires, où vous vous connectez ou ce que vous visitez, ces informations iront directement à une société liée au Parti Communiste Chinois PCC voire au gouvernement Chinois. Cette même Chine qui interdit absolument tout VPN à sa population... C'est un immense progrès pour votre sécurité et la protection de votre vie privée!
Une étude a montré que parmi les VPN proposés par Apple (qui est totalement responsable) sur l'App Store pour iOS, de nombreux VPN gratuits sont proposés par des sociétés liée à la Chine et au PCC en utilisant des sociétés-écrans pour masquer ce fait.
Dans les faits et pour moi, Apple est complice puisqu'édictant ses règles et les faisant respecter! Qu'est prêt à faire Apple pour pouvoir gagner des parts de marché en Chine?!?
S’il est une phrase bien connue d’un italien célèbre, c’est bien celle-ci : « Je vais lui faire une offre qu’il ne pourra pas refuser »... et le parrain du jour, justement, c’est Amazon Italie.
Alors que l’iPhone 15 128 Go se vend 869 € chez Apple, et au mieux 719 € chez Amazon France, son pendant italien le propose à 645 €, soit un beau 26 % de réduction !
Pour ce prix, vous aurez le choix entre deux couleurs seulement, bleu ou noir, mais rassurez-vous, Jeff Bezos ne vous demande d’éliminer aucun ennemi, et aucun livreur ne glissera à priori de tête de cheval dans votre lit en même temps qu’il glissera l’iPhone à votre porte...
Attention, comme toute proposition indécente, aucune limite de temps n’a été indiquée, mais elle ne durera pas éternellement... Buon fine settimana a tutti, ragazzi e ragazze.
Depuis quelques années maintenant, le Dock de macOS affiche la liste des dernières applications ouvertes qui ne sont pas présentes de façon permanente dans le Dock. Par défaut, le nombre d'applications est de trois, mais il est possible de modifier cette valeur en ligne de commande. Vous pouvez changer la valeur pour agrandir (ou réduire) cette zone qui se place à droite des autres applications et à gauche de la corbeille.
L'option pour activer les applications récentes sous macOS Sequoia. Image MacGeneration.
Premièrement, il est évidemment nécessaire d'activer la fonction. Elle se trouve dans Réglages Système > Bureau et Dock > Afficher les apps suggérées et récentes dans le Dock. Vous trouverez aussi cette option dans les préférences si vous avez une version plus ancienne de macOS, elle est apparue avec macOS Mojave.
Trois apps en haut, entre celles placées à demeure et la corbeille. Cinq en bas, après modification. Image MacGeneration.
Pour modifier le nombre d'applications, il faut lancer le Terminal de macOS (dans Applications > Utilitaires) et taper les deux lignes suivantes. La valeur après -int (ici 5) est le nombre d'apps à afficher dans le Dock. Nous vous conseillons d'adapter la valeur à la largeur de votre écran, mais aussi au nombre d'apps que vous avez déjà choisi de garder dans le Dock.
defaults write com.apple.dock show-recent-count -int 5;
killall Dock
Pour revenir à la valeur par défaut, il suffit de taper les deux mêmes commandes en mettant un 3 à la place du 5.
Un bug massif sur Google Maps a affiché à tort la fermeture de nombreuses autoroutes allemandes en plein week-end prolongé, provoquant confusion, embouteillages et saturation des itinéraires secondaires.
Apple va-t-elle priver l'iPhone 17 de base de la puce A19 ? Selon l'analyste Jeff Pu cité par MacRumors, ce futur modèle d'entrée de gamme serait toujours équipé de la puce A18, avec 8 Go de RAM comme sur l'iPhone 16. L'iPhone 17 Air, ce modèle très fin et léger destiné à remplacer le...
Le Self Service Repair Store d'Apple s'est ouvert à de premiers modèles d'iPad cette semaine. Cela concerne l'iPad A16, les iPad Air M2 et M3, l'iPad mini A17 Pro ainsi que les iPad Pro M4. Comme d'habitude, Apple a mis en ligne les manuels détaillant les étapes pour remplacer les différentes...
Un SMS, une excuse banale, et un lien frauduleux. L’arnaque au colis n’a rien de spectaculaire, mais elle fonctionne. Pourquoi ? Parce que vos données personnelles sont déjà dans la nature. C’est là que le vrai problème commence.
« Votre colis n’a pas pu être livré. Merci de programmer une nouvelle tentative ici. »
Ce genre de SMS arrive sans prévenir. Il ne contient ni nom, ni adresse. Mais il tombe parfois au mauvais moment : le jour où vous attendez réellement une livraison. Et c’est ce hasard qui le rend crédible !
L’arnaque repose sur un principe vieux comme le monde : utiliser un contexte plausible pour inciter à cliquer. Mais ce qui a changé, c’est la précision avec laquelle ces attaques sont calibrées. Et cette précision, elle vient d’ailleurs.
La face cachée des data brokers
Chaque fois que vous laissez vos coordonnées pour une commande, un jeu-concours, un devis, elles peuvent être partagées avec des partenaires. Comprendre : des entreprises spécialisées dans la collecte, le croisement et la revente de données personnelles.
Ces data brokers nourrissent un marché opaque mais parfaitement légal, dans lequel votre nom, votre adresse, votre numéro de téléphone et même vos habitudes d’achat deviennent une marchandise. Ce n’est pas un piratage. C’est un business. Et c’est précisément ce qui rend les arnaques plus convaincantes.
Agir : limiter la diffusion à la source
Face à ça, il n’y a pas de solution miracle. Mais il existe une réponse concrète : faire valoir ses droits et demander la suppression de ses données auprès de ces courtiers. Le RGPD, en Europe, vous y autorise.
Problème : cela implique de contacter des centaines d’entreprises, une par une, souvent à l’étranger, souvent récalcitrantes. C’est ici qu’intervient ce service automatisé, qui effectue ces démarches à votre place.
L’idée est simple : une fois inscrit, vous signez un mandat. Le service se charge ensuite d’envoyer les demandes de suppression à une longue liste de brokers, de suivre leurs réponses, et de vous tenir informé de l’avancement dans un tableau de bord clair. Moins vos données traînent dans ces fichiers, moins elles risquent de tomber entre de mauvaises mains.
Prévention passive, mais impact réel
Ce type d’outil ne prétend pas vous rendre invisible. Mais il réduit la surface d’exposition. Il coupe les sources. Il agit en profondeur, là où les antivirus et les bloqueurs de pub ne peuvent rien. Et c’est ce qui le rend utile face à des menaces modernes, diffuses, mais bien réelles.
De plus, l’interface permet de suivre l’efficacité en temps réel : combien de demandes envoyées, combien traitées, combien acceptées. C’est transparent, et ça vous redonne un minimum de contrôle.
Combien coûte Incogni
Vous ne pouvez pas empêcher l’arrivée des SMS malveillants. Mais vous pouvez éviter de leur fournir, sans le vouloir, tout ce qu’il leur faut pour fonctionner. Voici les prix d'Incogni, sans frais cachés, et désormais pensés pour l’Europe :
Individuel mensuel : 14,48 €
Individuel annuel : 87,48 € (soit 7,29 €/mois)
Famille mensuel : 30,98 €
Famille annuel : 185,88 € (15,49 €/mois)
Formule “Unlimited” annuelle : 12,99 €/mois (individuel) ou 25,49 €/mois (famille)
Dans un récent billet de blog, l'éditeur de logiciel de sécurité japonais Trend Micro attire notre attention sur l'utilisation de TikTok faite par les hackers. Cet article est un tutoriel pour éviter de vous faire piéger.
La MX Master 4 vient d’obtenir sa certification Bluetooth au Brésil, et une image promotionnelle a brièvement fuité sur Instagram. Ces éléments confirment une sortie imminente pour la prochaine itération de la souris phare de Logitech.
Lors de sa dernière apparition officielle à la Maison Blanche, Elon Musk est apparu avec un œil au beurre noir. Entre ses explications sur son fils qui en serait le responsable, et soupçons sur sa prise de drogues, le départ du patron de Tesla du gouvernement Trump ne passe pas inaperçu.
Vous êtes peut-être passé à côté : depuis quelques mois, MacGeneration propose un tout nouveau moteur de recherche. Le changement est lié à la refonte de nos sites effectuée pendant l’été 2024 : alors qu’ils tournaient jusque-là sur une base de Drupal, le gestionnaire de contenus historique de l’entreprise, nous sommes passés sur un site basé sur une solution créée en interne. Puisque le moteur de recherche dépendait lui aussi de Drupal, il lui fallait un successeur, que vous pouvez découvrir sur nos trois sites ou bien sur celui du Club iGen.
Le moteur de recherche en action, ici depuis MacGeneration. Image MacGeneration.
Peu importe le site que vous utilisez pour effectuer votre recherche, les résultats seront identiques partout. C’est en effet la plus grosse différence apportée par la nouveauté : la recherche propose désormais des résultats indifféremment piochés sur MacGeneration, iGeneration ou WatchGeneration. Vous n’avez pas besoin de sélectionner un site au préalable, il vous suffit de saisir une demande dans le champ de texte et les résultats s’afficheront instantanément. C’est l’un des autres avantages de cette base plus moderne, il n’est plus nécessaire d’attendre pour voir des résultats une fois sur la page dédiée.
Pour les plus curieux, nous utilisions auparavant Solr, un moteur de recherche créé par la Fondation Apache et l’un des plus utilisés. C’est un outil très puissant, parfaitement intégré à Drupal que nous utilisons depuis bien des années, ce qui en faisait un choix logique. Nos développeurs sont repartis sur des bases plus modernes pour les nouveaux sites, avec des API créées grâce au framework NestJS et une interface qui repose sur Nuxt.JS. Pour l’accompagner, ils ont choisi le moteur de recherche Meillisearch, qui a été créé en France, qui est open-source, pensé pour des recherches instantanées et plus facile à prendre en main, ce qui est essentiel pour une petite équipe comme la nôtre.
Si vous voulez en savoir plus sur la partie technique, Cédric et Robin ont levé le voile sur quelques aspects de ces nouveaux sites dans un épisode de Kernel Panic publié à l’automne.
Ce nouveau moteur de recherche est accessible sur nos sites web ainsi que dans la future app du Club iGen, actuellement en bêta-test auprès de quelques lecteurs abonnés au club (si vous voulez participer, tout se fait depuis le Discord du Club iGen). L’app iGeneration actuellement sur l’App Store exploite toujours le moteur de recherche précédent et nous n’avons pas prévu de la faire évoluer, elle repose sur notre ancienne infrastructure et sera remplacée à terme par une nouvelle app.
Pour utiliser la recherche, cliquez sur l’icône de loupe affichée en haut à droite de nos différents sites. Vous pouvez aussi enregistrer la page de recherche à vos favoris, par exemple https://www.macg.co/search ou bien https://clubigen.fr/search si vous êtes abonné au club. Saisissez les termes de votre recherche, validez avec la touche ↩︎ si vous n’êtes pas déjà sur la page dédiée et vous verrez les articles qui correspondent à la demande. Quelques fonctions supplémentaires sont proposées pour trier les résultats par pertinence (défaut) ou par date de publication. Un autre champ permet de restreindre les résultats à une année précise, si vous le souhaitez.
Utilisation de la recherche, ici depuis le site d’iGeneration. Une fois sur la page de résultats, vous pouvez modifier la requête à tout moment et obtenir de nouveaux articles instantanément. Image MacGeneration.
Nous avons plusieurs idées pour améliorer encore cette recherche, à commencer par un système de filtres bien plus développés. On parle de facettes dans le milieu et vous pouvez avoir une idée de ce qu’il s’agit sur un gros site de commerce, comme Amazon. Le principe est d’avoir d’autres critères avancés pour filtrer les résultats et limiter la liste aux seuls tests, à une catégorie précise, à un site donné ou même à un seul auteur.
Utiliser le moteur de recherche depuis les lanceurs
Si vous utilisez un lanceur sur votre Mac, vous pouvez lancer une recherche sur nos sites par ce biais. L’URL à configurer est très simple : https://www.macg.co/search?q= suivie des termes à chercher. Par exemple, pour une recherche sur Steve Jobs, l’URL sera https://www.macg.co/search?q=Steve+Jobs et en l’ouvrant dans le navigateur de votre choix, vous verrez les résultats correspondants.
J’utilise ici Alfred pour lancer une recherche sur MacGeneration. Image MacGeneration.
Voici comment configurer notre moteur de recherche dans les principaux lanceurs actuellement disponibles sur le Mac.
Alfred
Dans les réglages internes d’Alfred, ouvrez la section Features puis Web Search et ajoutez un élément. Dans le champ principal en haut, copiez/collez l’URL https://www.macg.co/search?q={query}, puis remplissez le titre de votre choix (si vous intégrez à nouveau la commande query, le lanceur affichera votre recherche dans le titre) et le mot-clé à utiliser pour activer la recherche depuis le lanceur.
Les réglages de la recherche sur MacGeneration dans Alfred.
Puisque l’app permet d’utiliser n’importe quelle image pour illustrer la recherche web, vous pouvez télécharger l’icône de l’app comme je l’ai fait sur mon exemple.
Raycast
Dans Raycast, il faudra créer un Quicklink avec la commande Create Quicklink. Saisissez le nom que vous voulez, puis cette URL dans le champ suivant : https://www.macg.co/search?q={argument name="Terme à rechercher"}. Vous pourrez ensuite choisir un navigateur web et éventuellement modifier l’icône, sachant que l’app reprend le favicon par défaut.
Les réglages du Quicklink dédié à la recherche sur MacGeneration dans Raycast. Image MacGeneration.
LaunchBar
Si vous utilisez LaunchBar, affichez son index en passant par la barre des menus ou le raccourci ⌥⌘I, puis cliquez sur My Search Templates dans la barre latérale et ajoutez un élément. L’app ne demande qu’un nom et l’URL, à remplir comme ceci : https://www.macg.co/search?q=*. Ce modèle de recherche devrait alors être indexé et suggéré automatiquement par l’app lorsque vous saisissez le nom.
La recherche sur MacGeneration configurée dans LaunchBar. Image MacGeneration.
QuickSilver
Ce lanceur historique permet lui aussi de créer des recherches personnalisées sur le web, même si c’est un petit peu plus compliqué. Ouvrez ses réglages, puis dans Catalog, vérifiez si vous avez déjà une liste de recherches dans la section Custom. Si ce n’est pas le cas, cliquez sur le petit + en bas de la fenêtre et choisissez l’option Web Search List. Sélectionnez ensuite la liste créée, puis cliquez sur le ⓘ en bas à droite, ou utilisez le raccourci clavier ⌘I.
Dans le tiroir délicieusement rétro qui s’ouvre, cliquez sur le bouton + en bas, saisissez un nom et cette URL : https://www.macg.co/search?q=***. Pour que la recherche s’affiche bien, il faudra au préalable effectuer une nouvelle indexation en cliquant sur la flèche en bas à gauche de la fenêtre principale ou avec le raccourci ⌘R.
La recherche sur MacGeneration configurée dans QuickSilver. Image MacGeneration.
Un moteur qui respecte le protocole OpenSearch
Pour terminer cette présentation, notre moteur de recherche respecte le protocole OpenSearch, qui est utilisé par la majorité des navigateurs web, dont Safari, Chrome et Firefox. Il permet de définir comment fonctionne la recherche sur un site web et les navigateurs peuvent ensuite l’exploiter directement depuis leur barre d’URL. Le fonctionnement diffère toutefois selon les apps.
Avec Safari, c’est très simple : par défaut, dès que lors que vous visitez un site web compatible, il sera automatiquement ajouté à la liste des moteurs de recherche connus. Dans la barre d’URL, il faut alors saisir le nom de domaine, un espace et la requête pour effectuer une recherche, par exemple « igen.fr iPhone 16 ». Safari devrait proposer en premier dans sa liste notre moteur, il ne reste plus qu’à le sélectionner pour effectuer la recherche. Vous pouvez gérer la fonctionnalité et notamment la liste de sites connus dans les réglages du navigateur, dans l’onglet Recherche puis le bouton Gérer les sites web…. On peut aussi désactiver entièrement la fonctionnalité, si on le souhaite.
Utilisation de la recherche de nos sites directement depuis la barre d’URL de Safari. Image MacGeneration.
Du côté de Chrome, les sites avec moteur de recherche OpenSearch sont aussi indexés automatiquement, mais il faut les activer à la main. Cela se fait dans les réglages du navigateur, en bas de la section dédiée aux moteurs de recherche (lien direct). Une fois activé, le raccourci peut être utilisé depuis la barre de recherche de l’app et on peut même modifier la manière de l’appeler, sachant que c’est le nom de domaine par défaut.
Firefox est le plus complexe des trois, puisque s’il identifie bien les moteurs de recherche intégrés aux sites, il n’en fait rien par défaut. Il faut faire un clic secondaire (clic droit) sur l’URL d’un site et s’il propose une recherche qui respecte le standard, le menu contextuel proposera de l’ajouter. Il n’y a aucun moyen de le savoir à l’avance, vous devrez tester sur chaque site pour savoir s’il est compatible. Le fonctionnement est aussi différent des deux autres une fois l’ajout effectué : il faut saisir une requête dans la barre d’URL et cliquer sur l’icône du site que l’on veut utiliser tout en bas de la liste de suggestions.
Ajout du moteur de recherche de WatchGeneration à Firefox. Image MacGeneration.
L’appli native GeForce Now débarque sur le Steam Deck et change beaucoup de choses pour ses utilisateurs : jeux ultra gourmands jouables en 60fps, autonomie doublée, et accès à plus de 2 200 titres, y compris hors Steam. Un vrai coup de boost pour la console portable de Valve, à condition d’avoir un bon réseau bien sûr.
Sam Altman, le nouveau Steve Jobs ? Jony Ive est de retour, mais pas chez Apple ! Le designer star de l’iMac et de l’iPhone rejoint les rangs d’OpenAI !