↩ Accueil
❌

Vue normale

index.feed.received.today — 25 avril 20257.2.1 🍏 Sites principaux

Promo : l'Apple Watch Ultra 2 en titane noir Ă  789 â‚Ź (-110 â‚Ź)

Amazon relance sa promotion sur l'Apple Watch Ultra 2 en l'amĂ©liorant. La rĂ©duction de 100 â‚Ź de la mi-avril passe Ă  110. C'est intĂ©ressant, mais trĂšs encadrĂ© puisqu'un seul modĂšle en deux tailles est proposĂ© Ă  789 â‚Ź au lieu de 899 â‚Ź.

Image Apple.

Ce modĂšle d'Ultra est le dernier en date sorti Ă  l'automne dernier. Il y a eu l'ajout de cette rĂ©fĂ©rence en titane noir, le processeur a Ă©tĂ© modernisĂ©, permettant par exemple de faire fonctionner Siri en local — sans l'aide de l'iPhone — pour certaines requĂȘtes.

Localisation précise. Image WatchGeneration.

Il y a la puce U2 pour utiliser la localisation prĂ©cise (avec des instructions plus dĂ©taillĂ©es lorsqu'on cherche son iPhone Ă  proximitĂ©). On dispose du geste de « Toucher deux fois Â» pour dĂ©clencher certaines actions (comme de valider une notification) par un pincement rapide de deux doigts, sans toucher ou mĂȘme regarder l'Ă©cran. L'Ultra a Ă©galement des GPS plus prĂ©cis, elle est plus endurante sur l'autonomie et plus costaude que les Series.

Ubisoft risque 92 millions d'euros pour non-respect du RGPD

25 avril 2025 Ă  14:01
Le gĂ©ant français du jeu vidĂ©o Ubisoft est dans la ligne de mire de l’association autrichienne Noyb (pour None of your business), qui vient de dĂ©poser une plainte officielle pour violation du rĂšglement gĂ©nĂ©ral sur la protection des donnĂ©es. L’organisation accuse l’éditeur de collecter illĂ©galement des donnĂ©es personnelles, mĂȘme lorsque les joueurs jouent hors ligne.

Microsoft a conçu une publicitĂ© par IA et personne n’a rien vu

« PrĂ©parez-vous Ă  l’intelligence artificielle avec les ordinateurs Surface Copilot+ propulsĂ©s par Intel Â», dit la publicitĂ© de Microsoft, mais ce que Microsoft n’avait pas dit, c’est que la publicitĂ© avait elle-mĂȘme Ă©tĂ© créée avec l’aide de l’intelligence artificielle. La firme de Redmond a rĂ©vĂ©lĂ© le pot aux roses cette semaine, c’est-Ă -dire trois mois aprĂšs la premiĂšre publication de la vidĂ©o. Tout le monde n’y a vu que du feu.

« Lorsque nous avons commencĂ© Ă  crĂ©er les images de clavier pour le premier lancement de la Surface Â», explique le designer Brian Townsend, « chaque clavier Ă©tait dĂ©clinĂ© dans cinq arrangements avec 26 impressions diffĂ©rentes Â». Depuis trois ans, son Ă©quipe Ă©value la possibilitĂ© d’incorporer les intelligences artificielles gĂ©nĂ©ratives dans son processus crĂ©atif, une dĂ©marche qui a trouvĂ© son premier accomplissement avec les clips publicitaires de la Surface Pro et du Surface Laptop for Business Copilot+.

AprĂšs avoir dĂ©fini un premier storyboard, les concepteurs ont utilisĂ© un premier chatbot pour transformer les descriptions textuelles des diffĂ©rents plans en courts prompts, ces « incantations Â» qu’un deuxiĂšme chatbot traduisait en images. Cette « danse itĂ©rative Â», pour reprendre les termes de Microsoft, s’est ainsi poursuivie pendant plusieurs milliers d’allers-retours, un pas aprĂšs l’autre. Le jeu en vaut la chandelle, selon Townsend, qui assure avoir « probablement Ă©conomisĂ© 90 % du temps et du cout Â» habituels.

Le rĂ©sultat est convaincant tant que l’on n’y regarde pas de trop prĂšs, mais il faut dire que les hallucinations les plus Ă©videntes ont Ă©tĂ© remplacĂ©es par des clips tournĂ©s plus traditionnellement. La marque des outils d’intelligence artificielle gĂ©nĂ©rative â€” Ă©criture dĂ©formĂ©e, objets multipliĂ©s, ombres plates — est sensible, mais on ne peut pas dire qu’elle soit Ă©vidente au premier coup d’Ɠil. En tout cas moins que les erreurs de traduction des publicitĂ©s pour Copilot.

‹Vous avez dĂ©jĂ  utilisĂ© un parkink Indigo ? Attention Ă  vos donnĂ©es

25 avril 2025 Ă  13:15
Le groupe Indigo, spĂ©cialisĂ© dans la gestion de parkings, a Ă©tĂ© victime d’une importante cyberattaque. Des donnĂ©es personnelles comme les noms, adresses, mails, numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone ou encore plaques d’immatriculation de clients ont Ă©tĂ© potentiellement dĂ©robĂ©es. L’entreprise assure qu’aucune donnĂ©e bancaire n’a Ă©tĂ© compromise, mais ça reste trĂšs problĂ©matique.

Bowers & Wilkins revoit son excellent casque Px7

Le roi est mort, vive le roi ! Bowers & Wilkins arrĂȘte la commercialisation du Px7 S2e, qui est sans aucun doute le casque supra-auriculaire Ă  rĂ©duction de bruit offrant la meilleure qualitĂ© sonore Ă  moins de 500 â‚Ź, pour lancer celle du Px7 S3, qui s’annonce comme le digne successeur d’une excellente lignĂ©e. Le fabricant britannique tire parti de la nouvelle plateforme Qualcomm Snapdragon Sound pour prendre en charge les codecs aptX Adaptive et aptX Lossless.

Image Bowers & Wilkins.

Bowers & Wilkins a redessinĂ© son casque pour amĂ©liorer le confort d’utilisation, qui est le point faible des modĂšles du fabricant britannique depuis le P5 de 2010. Les coussinets adoptent une mousse Ă  mĂ©moire de forme plus gĂ©nĂ©reuse, les oreillettes sont plus fines (et donc la boite de transport est moins encombrante) et les articulations de l’arceau assurent une meilleure conformitĂ© aux crĂąnes divers et variĂ©s. L’arrangement des boutons de contrĂŽle de la lecture et du volume a Ă©tĂ© revu pour « amĂ©liorer les interactions Â».

Pour la premiĂšre fois, Bowers & Wilkins utilise un amplificateur par oreillette pour produire « plus d’énergie et d’ampleur Â». Le fabricant a complĂštement changĂ© ses hautparleurs, qui conservent seulement leur membrane en biocellulose de 40 mm, pour augmenter la rĂ©solution tout en diminuant la distorsion. Qualcomm fournit la derniĂšre rĂ©vision de sa plateforme Snapdragon Sound pour assurer la prise en charge des codecs aptX Adaptive et aptX Lossless, mais aussi du nouveau standard LC3 et du Bluetooth LE Audio avec Auracast.

Bowers & Wilkins assure avoir amĂ©liorĂ© son systĂšme de rĂ©duction active du bruit, qui n’a jamais Ă©tĂ© mauvais, mais n’est pas aussi perfectionnĂ© que ceux de Sony et de Bose. L’autonomie atteint le chiffre honorable de 30 heures et le port USB-C ne permet pas seulement de recharger la batterie, mais aussi d’écouter de la musique. Le Px7 S3 est annoncĂ© en blanc, noir et bleu Ă  429 â‚Ź, mais devrait rapidement ĂȘtre disponible Ă  moins de 300 â‚Ź.

Razer lance sa premiĂšre souris ergonomique verticale face Ă  Logitech

Razer lance sa premiĂšre souris vraiment ergonomique concurrente de la Vertical de Logitech. La Razer Pro Click V2 Vertical Edition n'est peut-ĂȘtre un type de souris que l'on imagine prisĂ© par les gros joueurs. Razer en parle, mais il met en avant une utilisation au travail et mentionne l'inĂ©vitable programmation de boutons pour lancer Copilot ou ChatGPT. Un produit Razer se doit d'avoir un Ă©clairage lumineux et c'est le cas aussi pour ce mulot avec un halo capable de diffuser jusqu'Ă  16,8 millions de couleurs grĂące Ă  18 zones d'Ă©clairage placĂ©es sous sa base.

Image Razer.

L'aspect le plus important de cette souris est cependant son design oĂč la surface qui contient les boutons principaux et la molette a Ă©tĂ© trĂšs fortement relevĂ©e pour mettre le poignet dans une position plus naturelle. Ce n'est pas forcĂ©ment Ă©vident dit comme ça, mais la torsion est effectivement moindre â€” la fatigue musculaire aussi â€” qu'avec un avant-bras posĂ© Ă  plat, comme l'imposent les souris classiques.

La souris de Razer — rĂ©servĂ©e au droitiers — ressemble beaucoup Ă  la Vertical de Logitech, si ce n'est que l'angle d'inclinaison est encore plus ouvert. Les boutons et la molette ont Ă©tĂ© relevĂ©s Ă  71,7° sur la Razer contre "seulement" 57° sur la Logitech. Le pouce est aussi posĂ© beaucoup plus haut. Quant aux boutons programmables, Razer en a prĂ©vu 8 au total, la Logitech en possĂšde 6. La Pro Click V2 Vertical Edition fonctionne sur batterie, comme la Logitech, avec une autonomie entre deux recharges, annoncĂ©e Ă  6 mois.

Images Razer.

Ces souris ont l'air hautement inconfortables, mais une fois l'habitude prise, il est difficile — et trĂšs inconfortable pour le coup — de revenir sur un modĂšle plus standard (c'est encore pire avec le Magic Trackpad). On conseille au passage d'Ă©viter certains modĂšles similaires vendus bien moins cher, leur qualitĂ© de fabrication est proportionnelle. MalgrĂ© son anciennetĂ©, la Logitech Vertical reste une bonne souris dans cette catĂ©gorie, mais elle mĂ©riterait de voir sa molette mise au niveau des modĂšles MX Master (plus fluides et plus agrĂ©ables Ă  manipuler). La Razer a l'air mieux lotie sur ce point essentiel, au vu de son descriptif.

En mĂȘme temps que le modĂšle Vertical, Razer a lancĂ© une version Ă  l'ergonomie plus classique. Image Razer.

La nouvelle arrivante est vendue 130 â‚Ź (la Logitech est frĂ©quemment en promotion maintenant autour de 70 â‚Ź voire moins). Razer ne donne pas de dĂ©tails particuliers sur la compatibilitĂ© Mac, mais elle devrait l'ĂȘtre au minimum via la connexion Bluetooth et la page d'Amazon cite tous les grands OS.

Comment Apple rĂ©sume (mal) les commentaires de l’App Store

Avec iOS 18.4, les fiches de l’App Store ont « gagnĂ© Â» un rĂ©sumĂ© des commentaires, qui donne une idĂ©e de la teneur globale des avis sur telle ou telle application. Comme vous pouvez vous en douter, cette fonctionnalitĂ© tire parti d’« un nouveau processus utilisant un grand modĂšle de langue (LLM) Ă  plusieurs Ă©tapes Â», comme l’explique Apple sur son blog dĂ©diĂ© au machine learning.

Image iGeneration.

« ActualitĂ© Â», « diversitĂ© Â» et « fiabilitĂ© Â», tels sont les trois piliers du modĂšle entrainĂ© par Apple. Les commentaires passent par une sĂ©quence de modules, qui dĂ©gagent les principaux thĂšmes, Ă©valuent le sentiment gĂ©nĂ©ral et composent un rĂ©sumĂ© de 100 Ă  300 signes. La firme de Cupertino utilise ainsi trois LLM spĂ©cialisĂ©s pour atteindre ses objectifs de « sĂ©curitĂ©, Ă©quitĂ©, justesse et utilitĂ© Â».

C’est toute l’astuce de son systĂšme
 et tout le problĂšme. Passe encore qu’elle Ă©carte les tentatives d’arnaque et les commentaires franchement hors sujet, mais en rejetant les apprĂ©ciations les plus vives, elle dĂ©forme sciemment le sentiment gĂ©nĂ©ral. Les rĂ©sumĂ©s sont d’une tiĂ©deur affligeante, au point que l’on doive se demander s’ils n’ont pas Ă©tĂ© créés pour marginaliser les vĂ©ritables commentaires, qui gĂȘnent Apple aux entournures.

« Les utilisateurs disent que l’application est divertissante Â», dit le rĂ©sumĂ© de l’application TikTok, sans mentionner la litanie de remarques dĂ©sobligeantes Ă  l’encontre de cette arme de distraction massive. X serait « une excellente plateforme pour exprimer ses opinions Â», un parangon de « transparence et d’information sans biais Â», et tant pis si des milliers de commentaires (et les faits) prouvent le contraire. Le problĂšme des LLM, c’est qu’on peut leur faire dire tout et surtout n’importe quoi.

Tous les iPhone 17 pourraient passer Ă  12 Go de RAM

La quasi-totalité de la prochaine gamme d'iPhone serait équipée de 12 Go de RAM au lieu de 8. Le dernier coup de sonde de l'analyste Ming-Chi Kuo auprÚs des fournisseurs d'Apple laisse présager une grosse augmentation de la capacité mémoire des iPhone de l'automne prochain.

Carte logique de l'iPhone 16 Pro. Image iFixit.

L'Ă©tĂ© dernier, plusieurs rumeurs Ă©voquaient dĂ©jĂ  un passage de 8 Ă  12 Go, les dĂ©saccords ne portaient que sur les modĂšles qui en profiteraient. Pour certains, mĂȘme les iPhone 17 de base les auraient. Kuo pour sa part ne citait que le 17 Pro Max.

Rumeur : les 12 Go de RAM finalement rĂ©servĂ©s Ă  l

Rumeur : les 12 Go de RAM finalement rĂ©servĂ©s Ă  l'iPhone 17 Pro Max ?

Dans sa derniĂšre estimation, il s'attend Ă  ce que le modĂšle 17 Pro les ait aussi, tout comme l'iPhone ultra-fin qui ferait son entrĂ©e cette annĂ©e. Il y a toujours dĂ©bat sur l'iPhone 17 de base qu'Apple aimerait Ă©galement gonfler Ă  12 Go. La Pomme redouterait toutefois un manque de composants pour Ă©quiper l'intĂ©gralitĂ© des modĂšles. Une dĂ©cision doit ĂȘtre prise le mois prochain, ajoute Kuo, sinon ce sera Ă  coup sĂ»r pour l'iPhone 18.

Kuo prĂ©cise que le coĂ»t moyen de ces 12 Go est supĂ©rieur d'environ 50 % Ă  celui des 8 Go, ce qui ferait les bonnes affaires de Micron et de SK Hynix auprĂšs de qui Apple s'approvisionne.

Apple n'est jamais trÚs bavarde sur la quantité de mémoire dont elle dote ses iPhone. C'est une caractéristique qui ne figure pas dans les fiches techniques contrairement à la capacité de stockage. Le monde Android est généralement aussi plus généreux sur ce point.

Dans l'usage de l'appareil, cela peut faire une petite diffĂ©rence, mĂȘme si historiquement iOS est un systĂšme fluide et vif. Ce sont des rechargements de pages en moins pour Safari par exemple. L'arrivĂ©e des outils d'IA et la volontĂ© d'Apple de faire fonctionner le plus de tĂąches possible en local, oblige Ă  reconsidĂ©rer la capacitĂ© mĂ©moire des Ă©quipements. C'est ce qui s'est passĂ© sur les MacBook Air oĂč les 8 Go de base ont Ă©tĂ© supprimĂ©s pour une dotation minimale de 16 Go.

Yahoo! veut acheter Chrome

Yahoo! n’est plus que l’ombre d’elle-mĂȘme, mais cette vieille gloire du web appartient maintenant Ă  l’entreprise de « gestion alternative Â» Apollo Global Management, qui gĂšre plus de 500 milliards de dollars. Autant dire que, lorsqu’elle annonce son intention « d’étudier la question Â» d’une acquisition de Chrome, « l’acteur stratĂ©gique le plus important du web Â», il vaut mieux l’écouter.

Image Neon Tommy (CC BY-SA).

L’opĂ©rateur amĂ©ricain Verizon, qui avait achetĂ© Yahoo! pour 4,8 milliards de dollars en 2016, n’en dĂ©tient plus que 10 % aprĂšs avoir vendu le reste Ă  Apollo Global Management en 2021. Depuis le dĂ©but de l’annĂ©e, le fonds semble avoir retrouvĂ© un intĂ©rĂȘt pour son investissement, qu’il a dĂ©lestĂ© des activitĂ©s moins rentables, comme le site d’actualitĂ©s technologiques TechCrunch. Brian Provost, directeur gĂ©nĂ©ral de Yahoo! Search, assure que l’entreprise veut « revitaliser Â» son moteur de recherche.

Or la majoritĂ© des recherches passent maintenant par la barre du navigateur, qui n’est plus tant une barre d’adresses qu’une barre de recherches. VoilĂ  qui explique pourquoi depuis l’étĂ© dernier, Yahoo! « travaille activement, en interne, au dĂ©veloppement d’un prototype de navigateur Â». Devant le juge Amit Mehta, qui doit dĂ©cider des suites de la dĂ©faite de Google face au ministĂšre amĂ©ricain de la Justice, Provost a expliquĂ© que Yahoo! discutait avec plusieurs Ă©diteurs pour faire l’acquisition d’un navigateur.

Autant dire que l’hypothĂšse d’une vente de Chrome, proposĂ©e par le ministĂšre, intĂ©resse particuliĂšrement l’entreprise. Provost estime que Yahoo! Search pourrait instantanĂ©ment tripler sa part du marchĂ© de la recherche, qui tourne autour de 3 %, en achetant le navigateur de Google. L’opĂ©ration couterait « des dizaines de milliards de dollars Â», mais Apollo Global Management serait prĂȘte Ă  sortir le carnet de chĂšques. Apollo dĂ©tient dĂ©jĂ  un navigateur, qui est aussi une vieille gloire et qui avait aussi Ă©tĂ© au centre d’une procĂ©dure antitrust â€” Netscape.

Slate veut repartir de zĂ©ro avec un pick-up Ă©lectrique compact et Ă©purĂ© pour moins de 20 000 $

25 avril 2025 Ă  10:00

Slate est le nom d’un nouveau constructeur automobile aux États-Unis et mĂȘme s’il n’affiche aucune ambition europĂ©enne Ă  ce stade, son arrivĂ©e reste intĂ©ressante pour deux raisons. La premiĂšre est en rĂ©alitĂ© la moins importante : Jeff Bezos, le patron d’Amazon, serait l’un des financiers derriĂšre le projet, mĂȘme si ce n’est pas officiel. Surtout, le vĂ©hicule imaginĂ© par Slate est une sorte de retour aux origines, avec un pick-up compact qui n’est prĂ©vu par dĂ©faut que pour deux personnes et qui est volontairement Ă©purĂ©. La start-up a mĂ©ticuleusement retirĂ© tout ce qui coĂ»te cher dans une voiture moderne, pour proposer un vĂ©hicule autour des 20 000 $.

Le Slate dans sa version de base, sans aucun accessoire optionnel. Image Slate.
Le Slate est étonnamment compact pour un pick-up du milieu des années 2020 et nettement plus proche de ceux des années 1980. Image Slate.

Par rapport aux immenses pick-ups qui ont envahi les routes amĂ©ricaines, le Slate est un nain : 4,4 m de long et tout juste sous la barre des 1,8 m en largeur et hauteur, en gros l’équivalent d’un Scenic. On est nettement plus proche des modĂšles d’antan que de la production actuelle et c’est un choix fort du constructeur, qui considĂšre que les vĂ©hicules sont devenus trop gros, trop lourds, trop complexes et donc trop chers. Le cĂŽtĂ© pratique a Ă©tĂ© privilĂ©giĂ©, avec une assez longue benne de 1,5 m1 et une cabine prĂ©vue pour deux personnes seulement. CĂŽtĂ© rangements, on peut aussi compter sur un grand coffre Ă  l’avant, qui revendique 200 l, pas trĂšs loin d’un coffre de citadine.

Pour Ă©conomiser les coĂ»ts, Slate a repris la formule qui a fait le succĂšs de Tesla, mais en version radicalisĂ©e. La production se concentrera sur un vĂ©hicule unique, avec absolument aucune option. Pour autant, le constructeur a bien conscience qu’un pick-up de deux places ne suffira pas Ă  convaincre tout le monde. Si un camion avec benne ouverte ne convient pas, on peut convertir le vĂ©hicule en un SUV plus classique, avec une banquette trois places et un coffre fermĂ©. L’idĂ©e est loin d’ĂȘtre nouvelle, c’est mĂȘme un classique dans l’industrie (on pense Ă  Rivian, qui a le R1T et le R1S sur la mĂȘme base), sauf qu’ici, le client achĂšte un kit SUV et il pourra l’installer lui-mĂȘme sur la base de pick-up s’il le souhaite.

On ne dirait pas comme ça, mais c’est la mĂȘme voiture. La version SUV de droite consiste en un kit que le client pourra installer lui-mĂȘme, seule la version de gauche sera produite. Image Slate.
Le pack SUV ajoute trois places et un coffre, mais pas de portes supplĂ©mentaires : il faudra passer par l’avant pour accĂ©der au deuxiĂšme rang, c’est sans doute le plus gros compromis du vĂ©hicule. Image Slate.

Slate a poussĂ© trĂšs loin le concept de la libertĂ© de rĂ©paration. MĂȘme si un rĂ©seau de rĂ©parateurs agréés est prĂ©vu, le constructeur compte proposer Ă  ses clients des tutoriels vidĂ©o pour leur permettre de tout faire sur leur voiture, que ce soit pour la rĂ©parer ou bien pour lui ajouter des fonctionnalitĂ©s. Pour y parvenir et Ă©galement pour rĂ©duire les coĂ»ts, le constructeur a aussi optĂ© pour une unique carrosserie en plastique2, composĂ©e de piĂšces indĂ©pendantes faciles Ă  remplacer en cas de besoin. La surface est aussi prĂ©vue pour ĂȘtre recouverte par un film (wrap), ce qui permettra d’avoir une Slate dans une autre couleur que le gris de base, puisque le vĂ©hicule ne sera jamais peint de maniĂšre traditionnelle.

La simplification passe aussi par un intĂ©rieur bien vide, pour ne pas dire dĂ©pouillĂ©. On retrouve quand mĂȘme un volant et les leviers pour passer les vitesses ou gĂ©rer les clignotants et essuie-glaces, il y a un petit Ă©cran derriĂšre pour afficher les informations essentielles et quelques contrĂŽles pour la climatisation, mais c’est tout. Pas d’écran central pour l’infodivertissement, puisqu’il n’y a pas d’infodivertissement ni mĂȘme de haut-parleurs. À la place, Slate a prĂ©vu un support pour smartphone ou tablette et de la place pour caser une enceinte Bluetooth, voire une barre de son. Autant d’idĂ©es qui Ă©voquent l’Ami de CitroĂ«n, mĂȘme si le format n’a rien Ă  voir. Pas de conduite semi-autonome non plus, c’est un autre coĂ»t majeur des vĂ©hicules modernes qui a Ă©tĂ© Ă©liminĂ© ici.

L’intĂ©rieur est tout aussi vide, avec quasiment rien sur le tableau de bord, si ce n’est le volant devant une instrumentation numĂ©rique et une poignĂ©e de contrĂŽles physiques. En parlant de contrĂŽles physiques, notez la manivelle pour ouvrir et fermer les fenĂȘtres : est-ce dĂ©licieusement rĂ©tro en 2025 ? Image Slate.

Sur le plan technique, Slate a prĂ©vu une unique version sans surprise, avec un moteur de 150 kW placĂ© sur l’essieu arriĂšre qui ne devrait pas offrir d’accĂ©lĂ©rations exceptionnelles, mais qui devrait faire l’affaire pour les 635 kg de charge et 450 kg de charge tractĂ©e prĂ©vues par le constructeur. De base, la batterie aura une capacitĂ© de 52,7 kWh, ce qui est trĂšs peu sur ce segment et le constructeur espĂšre en tirer 240 km d’autonomie selon la norme EPA (plus stricte que la norme WLTP europĂ©enne). Vous avez besoin de plus ? Parmi les kits prĂ©vus aprĂšs achat, on pourra compter sur une plus grosse batterie de 84,3 kWh et espĂ©rer alors atteindre autour des 390 km d’autonomie.

À un tel tarif, il ne faut pas s’attendre Ă  des performances dĂ©coiffantes, ce qui est aussi le cas cĂŽtĂ© charge, avec la promesse d’un 20 Ă  80 % en trente minutes, ce qui laisse envisager une charge DC assez lente (120 kW maximum). Slate prĂ©fĂšre insister sur la recharge Ă  domicile, qui est en effet la plus courante pour ceux qui peuvent en bĂ©nĂ©ficier et qui pourra apparemment monter Ă  11 kW, un bon point. MalgrĂ© la conception lĂ©gĂšre, le constructeur insiste aussi sur la sĂ©curitĂ© de son vĂ©hicule et vise les cinq Ă©toiles aux crash-tests, mĂȘme si les mesures n’ont pas encore Ă©tĂ© effectuĂ©es.

En plus du kit SUV bien carrĂ©, Slate a prĂ©vu un « Fastback Â» avec un coffre plus inclinĂ©. Image Slate.
Pas de peinture ne veut pas dire voiture unique. Au contraire, le constructeur mise sur la personnalisation avec de nombreux Ă©lĂ©ments qui pourront ĂȘtre modifiĂ©s, des roues aux feux diurnes, en passant par des autocollants. Image Slate.

Slate a ouvert des prĂ©commandes aux États-Unis et le constructeur espĂšre livrer les premiers exemplaires dĂšs la fin de l’annĂ©e 2026. Le prix final n’est pas encore connu, en partie parce que l’annonce d’un tarif infĂ©rieur Ă  20 000 $ dĂ©pend du bonus de 7 500 $ qui est encore en place dans le pays, mais qui est menacĂ© par Donald Trump. Quoi qu’il en soit, on devrait rester sous les 30 000 $ Ă  l’arrivĂ©e, en tout cas si la jeune start-up tient ses promesses.

La prĂ©sence de Jeff Bezos dans l’ombre en rassurera certains, le fait aussi que le constructeur, qui compte dĂ©jĂ  plusieurs centaines d’employĂ©s d’aprĂšs son site, ne se contente pas d’un vague concept et promet une commercialisation dans un an et demi seulement. MalgrĂ© tout, on a vu tant de marques disparaĂźtre avant mĂȘme de livrer un seul vĂ©hicule que la prudence reste de mise.


  1. À titre de comparaison, c’est 30 cm de moins que la benne du Cybertruck, mais ce dernier mesure 1,3 m de plus en longueur !  â†©ïžŽ

  2. Au-delĂ  des matiĂšres premiĂšres, les piĂšces de mĂ©tal qui composent une carrosserie traditionnelle demandent d’énormes machines et donc d’énormes usines. En comparaison, Slate devrait produire la voiture sur le sol amĂ©ricain dans des usines beaucoup plus petites et pas spĂ©cialement dĂ©diĂ©es Ă  la voiture.  â†©ïžŽ

Amazon attaque la chronologie des médias en France

25 avril 2025 Ă  09:29
AprĂšs Netflix, Amazon passe Ă  l’offensive. La plateforme Prime Video a confirmĂ© avoir dĂ©posĂ© un recours auprĂšs du Conseil d’État, pour contester les rĂšgles actuelles de la chronologie des mĂ©dias en France. Cette dĂ©cision intervient quelques mois aprĂšs l’entrĂ©e en vigueur d’un nouvel accord qui l’oblige Ă  attendre 17 mois pour diffuser un film aprĂšs sa sortie en salles.

Un pays fait tout pour freiner l'exode de l'iPhone

25 avril 2025 Ă  08:01
Apple continue de chercher Ă  rĂ©duire sa dĂ©pendance Ă  la Chine pour la production de ses iPhone. Mais ses efforts se heurteraient Ă  une rĂ©sistance active des autoritĂ©s chinoises, bien dĂ©cidĂ©es Ă  ne pas laisser filer aussi facilement une part stratĂ©gique et lucrative de la chaĂźne d’approvisionnement.

Apple voudrait rapidement produire en Inde 100% des iPhone américains

Apple envisage de faire fabriquer en Inde 100 % des iPhone destinĂ©s au marchĂ© amĂ©ricain, et ce dĂšs l'annĂ©e prochaine. Le contentieux sur les droits de douane provoquĂ© par les États-Unis et dont la Chine est la cible principale aurait obligĂ© la Pomme Ă  accĂ©lĂ©rer ses efforts de dĂ©localisation.

Image Apple.

D'aprĂšs le Financial Times, Apple prĂ©voit de faire fabriquer en Inde la totalitĂ© des iPhone qu'elle destine aux États-Unis. Cela reprĂ©sente un volume annuel de l'ordre de 60 millions d'appareils alors que l'Inde en assemble aujourd'hui entre 30 et 40 millions, selon les estimations, et pas uniquement pour les États-Unis.

Coups bas et mauvaises maniĂšres entre l

Coups bas et mauvaises maniĂšres entre l'Inde et la Chine pour la fabrication des iPhone

Alors que la Chine est frappĂ©e par des droits de douane de 145 % — mis en pause pour trois mois comme pour les autres pays — l'Inde s'Ă©tait vu promettre un taux de "seulement" 27 %. Celui-ci fait l'objet de nĂ©gociations entre les deux pays.

Apple avait prĂ©vu de continuer de diversifier ses sources de production d'iPhone grĂące Ă  l'Inde, mais cette nouvelle guerre commerciale dont l'issue est tout aussi imprĂ©visible que le prĂ©sident amĂ©ricain qui l'a provoquĂ©e, a visiblement prĂ©cipitĂ© les choses. Les iPhone « Made in India Â» pourraient ainsi dĂ©ferler sur les États-Unis avec les deux prochaines gĂ©nĂ©rations.

Donald Trump voudrait qu

Donald Trump voudrait qu'Apple visse ses iPhone aux États-Unis

John Giannandrea aurait aussi perdu l'équipe en charge de la robotique chez Apple

Le développement de produits robotiques change de tutelle chez Apple dans le cadre d'une vaste réorganisation aprÚs des ratés dans l'intelligence artificielle.

John Giannandrea, Monsieur IA chez Apple, a perdu le contrÎle de l'équipe en charge d'imaginer des produits liés à la robotique affirme Bloomberg. Ce groupe, supervisé par Kevin Lynch, passe sous la responsabilité de John Ternus dont le périmÚtre couvre tous les développements de matériels, du Mac, aux iPad en passant par les iPhone et les AirPods. Il s'occupa un temps du Vision Pro avant que celui-ci ne fût pris en charge par Mike Rockwell.

Image Apple.

Kevin Lynch pilota avec succĂšs l'Apple Watch avant de se voir confier le projet automobile d'Apple lorsqu'il vivait ses derniĂšres heures. Ce chantier abandonnĂ©, Lynch a pris les commandes de la recherche de produits apparentĂ©s Ă  la robotique.

Apple imaginerait des robots humanoĂŻdes et un assistant autre que Siri

Apple imaginerait des robots humanoĂŻdes et un assistant autre que Siri

Apple dévoile ses recherches avec un modÚle comportemental pour un robot-lampe

Apple dévoile ses recherches avec un modÚle comportemental pour un robot-lampe

Apple n'a communiquĂ© sur aucun des mouvements dĂ©crits ces derniers temps par la rumeur et qui tiennent du feuilleton. John Giannandrea aurait prĂ©cĂ©demment perdu le contrĂŽle du dĂ©veloppement de Siri, confiĂ© Ă  Mike Rockwell. Ce dernier aurait fait venir plusieurs de ses hommes de l'Ă©quipe Vision Pro et visionOS pour remettre Ă  flot l'assistant intelligent et tenir les promesses faites l'Ă©tĂ© dernier avec les dĂ©monstrations d'un Siri beaucoup plus polyvalent.

Image Apple.

Le groupe de John Giannandrea se recentrerait sur le développement des modÚles nécessaires au fonctionnement de l'IA dans les produits d'Apple. Pour l'heure, la page de la haute direction d'Apple ne reflÚte rien de l'agitation en interne, chacun est toujours à sa place, sans changement dans la description des champs d'activité.

Apple rĂ©organise Siri avec des Ă©quipes du Vision Pro

Apple rĂ©organise Siri avec des Ă©quipes du Vision Pro

Le nouveau Siri montré en 2024 n

Le nouveau Siri montré en 2024 n'aura été qu'une fable et une fumisterie

Grosse rĂ©organisation interne chez Apple !

25 avril 2025 Ă  07:14
Apple continue de rĂ©organiser ses Ă©quipes autour de l’intelligence artificielle. AprĂšs un remaniement dans la division Siri, Cupertino vient de retirer Ă  John Giannandrea la supervision de sa division robotique. Ce changement s’inscrit dans une volontĂ© plus large de donner la prioritĂ© Ă  Apple Intelligence et de mieux structurer les projets hardware en cours.
index.feed.received.yesterday — 24 avril 20257.2.1 🍏 Sites principaux

iPadOS 19 verrait apparaĂźtre une barre de menus sur iPad

24 avril 2025 Ă  23:05

Apple aurait-elle dĂ©cidĂ© d’écouter les utilisateurs demandant une fusion un peu plus Ă©laborĂ©e entre les diffĂ©rents OS de la marque, afin de faire de l’iPhone un ordinateur d’appoint, et de l’iPad un vĂ©ritable ordinateur portable ? Entre la possibilitĂ© d’une interface avancĂ©e sur Ă©cran externe pour iOS 19, et maintenant le mĂȘme fuiteur qui annonce l’apparition d’une barre de menus sur un iPad reliĂ© Ă  un Magic Keyboard, il semble bien que Cupertino pourrait rĂ©pondre Ă  de nombreuses attentes !

BientĂŽt une barre de menus sur l’iPad ? Capture MacGeneration.

Il y a quelques semaines, Mark Gurman avait dĂ©jĂ  prĂ©dit que la prochaine version d’iPadOS se rapprochera un peu plus de macOS dans son fonctionnement, sans aller plus loin dans les dĂ©tails. Mais Majin Bu, comme rapportĂ© par MacRumors, nous en dit un peu plus, avec une proposition intĂ©ressante : une fois connectĂ© Ă  un Magic Keyboard (et possiblement aussi avec un couple clavier/souris externe), l’iPad verrait apparaĂźtre une barre de menus en haut de l’écran, dans l’esprit de l’interface existant depuis le premier Macintosh.

Toujours dans un esprit de rapprochement avec macOS, iPadOS 19 verrait apparaĂźtre une nouvelle version de Stage Manager, permettant l’utilisation de plusieurs apps en mĂȘme temps sur un Ă©cran externe.

Comme toute rumeur, c’est bien entendu Ă  prendre avec des pincettes tant que la WWDC ne l’a pas annoncĂ©, mais voilĂ  de quoi rĂ©chauffer le cƓur de tous ceux qui attendent un comportement digne d’un ordinateur de la part d’un iPad, d’autant plus quand l’iPad Pro fait quasiment jeu Ă©gal avec un MacBook Air niveau puissance de calcul.

Huit ans aprĂšs DeX, Apple s’ouvrirait peu Ă  peu Ă  un bureau sur Ă©cran externe pour iOS 19

24 avril 2025 Ă  23:00

Nombreux sont les utilisateurs d’iPhone qui rĂȘvent de n’avoir qu’un seul produit dans les mains, pouvant ĂȘtre un simple smartphone en balade, et devenant un vĂ©ritable Mac une fois connectĂ© Ă  un Ă©cran, un clavier et une souris, comme le fait DeX de Samsung depuis maintenant plusieurs annĂ©es... dĂ©jĂ  en 2017, nous avions Ă©crit un article sur cette possibilitĂ©. Selon MacRumors, Apple pourrait faire un pas vers cet usage, mais un tout petit pas.

Un jour une version iOS du DeX de Samsung ? Image MacGeneration.

En effet, le fuiteur Majin Bu aurait entendu qu’une interface comme Stage Manager pourrait arriver sur iPhone, permettant l’affichage de multiples fenĂȘtres une fois le smartphone branchĂ© sur un Ă©cran externe. La fonction, prĂ©vue pour iOS 19, pourrait ĂȘtre prĂ©sentĂ©e durant la prochaine WWDC, sans pour autant avoir l’assurance de la voir apparaĂźtre dĂšs la premiĂšre version du prochain OS.

Si c’est un premier pas, l’interface selon Majin Bu ne serait pas aussi complĂšte que le Stage Manager de l’iPad, et nĂ©cessiterait un iPhone avec port USB-C pour ĂȘtre utilisable, donc Ă  partir de l'iPhone 15. Ce serait tout de mĂȘme un pas en avant, et pour Apple un dĂ©but d’ouverture sur l’idĂ©e de faire de l’iPhone une machine complĂšte une fois branchĂ©e Ă  un Ă©cran.

Les procÚs antitrust contre les GAFAM se poursuivent aux USA, malgré les changements de présidence

24 avril 2025 Ă  21:30

L’Union europĂ©enne est certes connue pour ĂȘtre trĂšs stricte et accumuler les procĂšs et amendes auprĂšs des GAFAM, mais de l’autre cĂŽtĂ© de l’Atlantique, l’herbe n’est pas forcĂ©ment plus verte, comme le rapporte Bloomberg.

La cour fĂ©dĂ©rale de Washington, oĂč se dĂ©roulent les procĂšs d’Alphabet et Meta. Image Wikipedia/Toohool, CC BY-SA 4.0.

En effet, dans un pays oĂč la justice a plus de liens politiques que dans nos vieux pays europĂ©ens, il serait tentant de croire que les changements de prĂ©sidence permettent de ralentir voire de supprimer certains procĂšs de grandes sociĂ©tĂ©s, et c’est ce que craignaient certains concernant les GAFAM. Or, il semble qu’il n’en soit rien : Google et Meta, entreprises sur lesquelles les enquĂȘtes ont commencĂ© sous la premiĂšre prĂ©sidence Trump, ont vu celles-ci se poursuivre sous Biden, et devraient se conclure sous la seconde prĂ©sidence Trump.

Concernant Google, l’entreprise est accusĂ©e d’abus de position dominante dans le domaine des publicitĂ©s sur Internet entre autres, et pourrait se voir obligĂ©e de vendre Chrome. Les juges sont d’autant moins enclins Ă  la gentillesse qu’aprĂšs avoir tapĂ© sur les doigts d’Alphabet pour ses contrats au long cours avec Apple, ils ont repris l’entreprise la main dans le sac concernant un accord avec Samsung, faisant de Gemini AI l’intelligence artificielle des Galaxy pour une somme consĂ©quente.

Pour Meta, la FTC (Federal Trade Commission) lui reproche un poids inacceptable dans le domaine des rĂ©seaux sociaux avec Facebook, Instagram et WhatsApp, et menace de forcer l’entreprise Ă  se sĂ©parer des deux derniers.

Qu’ils soient RĂ©publicains ou DĂ©mocrates, les sĂ©nateurs amĂ©ricains semblent avoir dĂ©cidĂ© qu’il Ă©tait temps de mettre fin Ă  la domination sans partage de certaines entreprises de la tech. En plus d’Alphabet et de Meta, d’autres sont ainsi dans le viseur : Apple, Microsoft, Amazon et Nvidia sont toutes ciblĂ©es, Ă  chaque fois pour abus de position dominante, et risquent pour la plupart de devoir se sĂ©parer de certaines de leurs divisions.

Pour chacune de ces entreprises, la raison invoquĂ©e par les sĂ©nateurs, qu’ils soient d’un bord ou de l’autre, est le pouvoir que celles-ci ont accumulĂ© sur la libertĂ© d’expression, les donnĂ©es personnelles des citoyens ainsi que l’accĂšs Ă  l’information. Des accusations ressemblant fortement aux raisons pour lesquelles la Commission europĂ©enne inflige nombre d’amendes depuis des annĂ©es aux GAFAM.

Reste que cette coalition RĂ©publicains/DĂ©mocrates est fragile, et pourrait ĂȘtre mise Ă  mal si le prĂ©sident des États-Unis d’AmĂ©rique venait Ă  s’en mĂȘler, dans un sens ou dans l’autre. Pour le moment, les sĂ©nateurs fĂȘtent les victoires obtenues par leur alliance, comme le dit Reed Showalter, ancien du gouvernement Biden : « Il reste encore des conservateurs et des progressistes qui sont profondĂ©ment contre les monopoles Â».

Mais c’est quoi cette histoire de bonbons vendus partout sur TikTok ?

24 avril 2025 Ă  21:05
De plus en plus prĂ©sents sur TikTok, des lives complĂštement improbables de vente de bonbons sĂ©duisent un jeune public grĂące Ă  leur mise en scĂšne et Ă  l’attrait de produits venus de l’étranger. Mais entre prix exagĂ©rĂ©s et risques rĂ©els pour la santĂ©, ces friandises ne sont pas toujours sans danger, loin de lĂ .

L’iPhone 16 dans une nouvelle rĂ©clame mettant en avant sa soliditĂ©

24 avril 2025 Ă  21:00

Si les Ă©quipes dĂ©diĂ©es Ă  Siri semblent avoir des difficultĂ©s, ce n’est certainement pas le cas de la branche communication de la pomme, qui vient de sortir une nouvelle publicitĂ© Ă  la gloire de l’iPhone 16.

Sur celle-ci, Cupertino met en avant la soliditĂ© du verre Ceramic Shield utilisĂ© dans son smartphone, avec une famille souhaitant un souvenir de son passage dans une fĂȘte foraine, et demandant Ă  un quidam de la prendre en photo. Malheureusement, le passant fait tomber l’appareil... mais heureusement, c’est un iPhone 16. Le smartphone sort donc intact de sa mĂ©saventure.

Bien entendu, comme toujours, « Cette cascade a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e par des professionnels, ne tentez pas de la reproduire chez vous Â»...

TSMC annonce la gravure en 1.4 nm, quand la Russie espĂšre atteindre les 28 nm en 2030

24 avril 2025 Ă  20:20

Alors que les derniers SoC d’Apple, que l’on retrouve partout de l’iPhone au Mac Studio en passant par l’iPad, sont gravĂ©s en 3nm par TSMC, le fondeur leader mondial de la gravure ne s’endort pas sur ses lauriers.

Le centre de R&D de TSMC Ă  Hsinchu. Image Wikipedia/曟 成蚓, CC BY 2.0.

L’entreprise taĂŻwanaise a ainsi annoncĂ© l’arrivĂ©e prochaine de son process de gravure « A14 Â» (Ă  ne pas confondre avec le processeur du mĂȘme nom chez Apple), permettant d’atteindre une finesse inĂ©galĂ©e de 1,4 nm ! VoilĂ  de quoi encore amĂ©liorer les performances, le fondeur promettant jusqu’à 30 % de rĂ©duction de consommation pour la mĂȘme vitesse, et 20 % de transistors en plus sur la mĂȘme surface.

La technologie prĂ©cĂ©dente, la N2 pour 2 nm, devrait entrer en production de masse cette annĂ©e, et Apple fait bien entendu partie des clients privilĂ©giĂ©s et en profiterait dĂšs l’annĂ©e prochaine pour les prochains iPhone 18, comme le rapporte MacRumors. Elle n’est cependant pas la seule intĂ©ressĂ©e et assez argentĂ©e pour attirer les bonnes grĂąces de TSMC, le domaine de l’intelligence artificielle Ă©tant particuliĂšrement friand de nouveaux process de gravure, permettant des Ă©conomies substantielles sur la consommation des datacenters.

L’entreprise annonce avec l’arrivĂ©e du process A14 tout un train de nouvelles possibilitĂ©s, de l’amĂ©lioration de l’empilement 3D permettant de mettre les uns sur les autres les diffĂ©rents Ă©lĂ©ments d’un SoC (System on Chip), du CPU Ă  la mĂ©moire en passant par le GPU, jusqu’à l’intĂ©gration des rĂ©gulateurs de tension sur le SoC, permettant une gestion plus fine et plus efficace de l’énergie envoyĂ©e au CPU.

Pendant ce temps, en Russie...

De son cĂŽtĂ©, selon Tom’s Hardware, le pays des poupĂ©es russes espĂšre toujours pouvoir produire ses premiers processeurs Ă  la finesse de 28 nm d’ici 2030... soit 19 ans aprĂšs l’apparition de cette gravure en Occident.

Le pays accumule les difficultĂ©s dans le domaine : depuis son opĂ©ration spĂ©ciale, plus aucun fournisseur ne veut lui laisser accĂšs Ă  l’architecture x86, le condamnant Ă  se rabattre sur le dĂ©veloppement de son propre processeur, le Elbrus, basĂ© sur l’architecture SPARC. Les autoritĂ©s taĂŻwanaises ont aussi bloquĂ© tout envoi de puces modernes en Russie depuis la mĂȘme date.

Pour le moment, les Russes sont donc coincĂ©s avec une technologie de gravure Ă  350 nm, dont la production de masse n’a mĂȘme pas commencĂ©. Avant mĂȘme de parler de 28 nm, l’un des fondeurs maison ZNTC en est encore Ă  mettre au point une chaĂźne de gravure Ă  130 nm. L’un des plus grands espoirs repose sur un autre fondeur russe, MCST, qui aurait rĂ©ussi Ă  faire entrer dans le pays des machines provenant d’ASML (le fabricant de matĂ©riel de gravure nĂ©erlandais, qui fournit le monde entier y compris TSMC) permettant la gravure en 90 nm. Quoiqu’il en soit, entre les technologies de gravure trĂšs en retard, et le changement forcĂ© d’architecture, les choses sont dĂ©cidĂ©ment trĂšs complexes pour la Russie dans le domaine...

Drogue : gĂ©nĂ©raliser la saisie des tĂ©lĂ©phones des consommateurs est-elle justifiĂ©e ?

24 avril 2025 Ă  18:30
Le ministre de la Justice GĂ©rald Darmanin vient d'annoncer une nouvelle mesure dans la lutte anti-drogue avec un version plutĂŽt tech. Ce jeudi 24 avril, le garde des Sceaux a confirmĂ© sur franceinfo la gĂ©nĂ©ralisation de l’expĂ©rimentation de la confiscation des tĂ©lĂ©phones portables des consommateurs de drogues, initiĂ©e rĂ©cemment Ă  Bayonne.

Coups bas et mauvaises maniĂšres entre l'Inde et la Chine pour la fabrication des iPhone

Apple a réussi à transférer en Inde une part de la production de ses iPhone, mais la Chine ne s'en laisse pas compter et lui met parfois des bùtons dans les roues pour freiner cette diversification.

20 % des iPhone sont aujourd'hui produits en Inde (de l'ordre de 30 Ă  40 millions d'unitĂ©s) et Apple entend augmenter ce volume de 10 % cette annĂ©e. À plus long terme c'est environ la moitiĂ© de sa production d'iPhone qu'Apple entend dĂ©localiser de Chine, ont expliquĂ© Ă  The Information des sources au fait de ces projets et de la situation entre les deux pays (lire aussi Apple voudrait produire 25 % de ses iPhone en Inde d'ici 2025).

Tim Cook rencontrant Narenda Modi en avril 2023. Image Apple.

Un objectif ambitieux qui se heurte parfois à des obstacles, car les coups bas ne manquent pas pour freiner ce mouvement. Cette expatriation de la Chine vers d'autres pays et vers l'Inde en particulier est diversement appréciée par le gouvernement chinois.

CĂŽtĂ© pile, la dĂ©cision d'Apple de dĂ©placer vers le Vietnam la fabrication d'AirPods, d'Apple Watch ou d'autres produits aux volumes moindres que ceux des iPhone a Ă©tĂ© vue d'un bon Ɠil par la Chine. Elle y a perçu un moyen d'Ă©tendre la zone d'influence gĂ©ographique de ses industriels. En outre, le petit Vietnam n'est pas de taille Ă  Ă©branler l'appareil productif chinois, Apple s'y trouvera nĂ©cessairement limitĂ©e dans ses capacitĂ©s d'expansion.

Apple veut faire assembler ses derniers produits en dehors de Chine

Apple veut faire assembler ses derniers produits en dehors de Chine

CĂŽtĂ© face, c'est une tout autre affaire avec l'Inde, d'autant que les relations politiques entre les deux gĂ©ants de cette partie du monde restent conflictuelles. L'article raconte qu'en dĂ©but d’annĂ©e, les autoritĂ©s chinoises ont interdit Ă  un fournisseur d'Ă©quipements — destinĂ© aux tests de production du prochain iPhone 17 â€” d'exporter son matĂ©riel de Chine vers l'usine indienne d'un sous-traitant d'Apple. Ce fournisseur a alors créé une filiale dans un autre pays d'Asie du Sud-Est oĂč il n'y avait pas de barriĂšre Ă  l'exportation. Puis aprĂšs cette escale le matĂ©riel est parti vers l'Inde pour rejoindre une usine gĂ©rĂ©e par le TaĂŻwanais Foxconn.

Assemblage d'Apple Watch au Vietnam. Image Apple.

Ce n'est pas le seul exemple. Foxconn a vu l'obtention des autorisations d'export de ses machines de la Chine vers l'Inde passer de 15 jours à parfois quatre mois. Il arrive aussi que ces demandes soient rejetées sans aucune explication. Les machines qui retiennent l'attention des douanes servent à assembler des piÚces d'iPhone par laser, d'autres à vérifier si l'iPhone résiste à l'eau comme prévu. Il y a aussi des machines employées pour déplacer des piÚces d'un endroit à l'autre d'une chaßne d'assemblage.

La Chine peut lĂ©gitimement voir d'un mauvais Ɠil la montĂ©e en puissance de son voisin dans la chaine de production d'Apple. Cette derniĂšre a apportĂ© une contribution importante Ă  l'organisation et au perfectionnement de l'appareil logistique et manufacturier chinois pour les produits Ă©lectroniques. Les compĂ©tences acquises par les acteurs locaux les rendent plus compĂ©titifs et cela profite, par ricochet, aux entreprises et produits strictement chinois. S'y ajoute l'inquiĂ©tude devant la perte possible d'emplois si cet exode vers l'Inde reste soutenu.

L'Inde, contre toute attente, ne s'est pas privĂ©e de mettre des bĂątons dans les roues des fournisseurs d'Apple en Chine, quand bien mĂȘme cela allait Ă  l'encontre de ses intĂ©rĂȘts. L'acrimonie est importante entre les deux pays qui ont connu des incidents frontaliers mortels entre leurs armĂ©es ces derniĂšres annĂ©es.

À certaines occasions, des spĂ©cialistes dans les usines chinoises d'Apple ont eu toutes les peines du monde Ă  dĂ©crocher un visa de travail en Inde pour venir Ă©pauler leurs collĂšgues dans la mise au point des chaines d'assemblage (l'Inde est aujourd'hui capable de sortir en mĂȘme temps que la Chine les tout derniers modĂšles d'iPhone au jour J de leur lancement, ndr).

Des tracasseries administratives sans logique claire puisque le bĂ©nĂ©fice de ces venues Ă©tait pour le cĂŽtĂ© indien. Les autoritĂ©s indiennes ont Ă©galement empĂȘchĂ© des fournisseurs chinois d'Apple comme Luxshare Precision Industry Co, qui travaille aussi Ă  l'assemblage d'iPhone, d'investir dans le pays. CĂŽtĂ© Chinois, des fournisseurs se sont vu intimer d'y rĂ©flĂ©chir Ă  deux fois s'ils escomptaient tailler dans les effectifs de leurs usines.

Assemblage d'iPhone en Inde. Image Apple.

En 2023, Apple a demandé à ses équipes chargées des relations avec les fournisseurs de ne pas prendre en compte de sociétés chinoises lors de la préparation de la production d'AirPods en Inde. La Pomme craignait que les tensions entre les deux pays ne finissent un jour par faire dérailler les chaßnes de production de ses écouteurs. C'est finalement Foxconn qui fut choisi.

Apple a Ă©galement signĂ© un contrat avec Tata Group pour fabriquer des iPhone en Inde. Ce partenaire a Ă©vincĂ© deux sociĂ©tĂ©s habituĂ©es Ă  travailler avec Apple â€” Wistron et Pegatron â€” qui peinaient Ă  rentabiliser leur contrat. Leurs usines ont changĂ© de propriĂ©taire, mais leurs salariĂ©s ont continuĂ© Ă  assembler le tĂ©lĂ©phone d'Apple et tout cela sous le regard bienveillant du gouvernement indien.

Un autre pan des difficultés d'Apple avec l'Inde tient dans certaines différences culturelles avec la Chine. Le copier-coller d'un fonctionnement éprouvé dans le premier pays ne fonctionne pas dans le second. En Chine, les chaßnes tournent en général sur un rythme de 2x12h alors qu'en Inde la loi oblige à faire les trois-huit, ce qui implique d'embaucher davantage d'ouvriers. Apple est parvenue en 2023 à obtenir une dérogation pour reproduire le modÚle chinois, mais ce sont les employés indiens qui ont refusé qu'il soit mis en place.

Le parcours semé d

Le parcours semé d'embûches de la fabrication des iPhone en Inde

De multiples petits obstacles ont parsemĂ© le chemin : des machines avec des interfaces en chinois uniquement ; une difficultĂ© pour les Indiens Ă  assembler certaines parties dĂ©licates des iPhone. La tĂąche est revenue aux usines chinoises qui envoient ensuite des iPhone partiellement assemblĂ©s en Inde pour y ĂȘtre terminĂ©s.

Ces complications multiples poussent Apple à demander à des fabricants de machines industrielles à s'installer en dehors de Chine en échange de contrats. Mais se pose le problÚme d'y trouver suffisamment de personnel qualifié et de vendeurs des piÚces nécessaires à leur fabrication. Pendant ce temps, lorsque les machines attendues en Inde tardaient à arriver, les ouvriers réalisaient certaines opérations à la main.

Quelle relation peuvent bien avoir Tim Cook et Donald Trump ?

24 avril 2025 Ă  18:00
Alors que les mesures fiscales sont en pause, une lettre du SĂ©nat amĂ©ricain attire l’attention sur les liens Ă©troits entre Apple et Donald Trump. SignĂ©e par la sĂ©natrice Elizabeth Warren, elle questionne directement Tim Cook, sur ses interactions avec l’administration Trump, notamment autour des exemptions tarifaires.

Clair Obscur Expédition 33, le RPG français qui réinvente le genre

24 avril 2025 Ă  17:01
Disponible depuis aujourd'hui jeudi 24 avril, Clair Obscur: Expedition 33 se veut bien plus qu’un simple RPG. Ce premier projet ambitieux portĂ© par le jeune studio montpelliĂ©rain Sandfall Interactive veut offrir une vraie identitĂ© culturelle Ă  un genre dominĂ© par les rĂ©fĂ©rences japonaises ou amĂ©ricaines.

Amazon va fĂȘter ses 25 ans en France avec une semaine de promos du 30 avril au 6 mai

Amazon s’apprĂȘte Ă  cĂ©lĂ©brer ses 25 ans en France et compte bien marquer le coup : le groupe a prĂ©vu « une semaine d'offres exceptionnelles Â» qui se dĂ©roulera du 30 avril au 6 mai 2025. Les produits high-tech seront concernĂ©s, et si Apple n’est pas directement citĂ© dans le communiquĂ©, il y aura sans doute moyen de dĂ©nicher de bonnes affaires sur diffĂ©rents accessoires. Une page inactive est en ligne, qui devrait se remplir Ă  l’approche du jour J.

Le communiquĂ© annonce des promos sur des marques comme Lenovo, Lego Star Wars, Samsung, HP ainsi que sur diffĂ©rentes enseignes françaises (Moulinex, Petit Bateau, Aigle
). Contrairement aux Prime Days, tous les clients du site pourront profiter des offres. De plus, la plateforme offrira chaque jour dĂšs 9 heures un bon d’achat de 25 â‚Ź Ă  25 000 clients. Il sera valide sur les paniers dĂ©passant les 75 â‚Ź.

L’entreprise a profitĂ© de l’occasion pour publier une rĂ©trospective de ses 25 ans en France, rappelant que la plateforme a Ă©tĂ© lancĂ©e en 2000 dans l’Hexagone : les prix Ă©taient alors en francs et la livraison se faisait sous 3 Ă  5 jours ouvrĂ©s. Elle y revient sur certains de ses produits les plus vendus, allant de L'Ordre du PhĂ©nix de la saga Harry Potter dans les annĂ©es 2000 aux consoles Xbox et PlayStation fin 2010. L’abonnement Prime est arrivĂ© en 2008, tandis qu’Alexa et les enceintes Echo ont suivi 10 ans plus tard. Sur un autre registre, Amazon France se fĂ©licite Ă©galement d’avoir dĂ©passĂ© le seuil des 25 000 salariĂ©s en CDI en France pour ses 25 ans.

Combien de milliards Elon Musk a fait Ă©conomiser Ă  Donald Trump ?

24 avril 2025 Ă  16:16
AprĂšs plusieurs mois passĂ©s Ă  la tĂȘte de la commission pour l’efficacitĂ© gouvernementale (DOGE), Elon Musk a dĂ©cidĂ© de prendre ses distances avec l’administration Trump. Le patron de Tesla, fragilisĂ© par des rĂ©sultats trimestriels dĂ©cevants et des tensions croissantes autour de sa proximitĂ© avec la Maison Blanche, souhaite dĂ©sormais se consacrer pleinement Ă  son entreprise.
❌