macOS Tahoe semble abandonner le FireWire... et le premier iPod

La longue explication, bien emberlificotée est sur YouTube (dès le début).
Craig Federighi, SVP (Senior Vice Président) d'ingénierie, y prétend qu'il y avait 2 versions prévues du nouveau Siri "intelligent", la v1 et la v2.
Que la v1 ils l'ont développée, mais qu'elle s'est avérée être un cul-de-sac technologique, ils ne l'ont donc pas proposée dans iOS 18, elle ne sera pas dans iOS 26 d'ailleurs.
Que la v2 n'est pas encore prête elle non plus. Et plus annoncée pour iOS 26. iOS 27?!?
En juin 2024, ils ont quand-même présenté une version de Siri utilisant les "intents" (intentions) lui permettant d'interagir avec d'autres logiciels comme Message ou Mail et en général toutes nos informations stockées dans nos iPhone ou Mac.
Cette démonstration me fait vraiment penser à celle-là:
Un an plus tard plus de Siri "intelligent" v1, toujours pas de Siri "intelligent" v2, et les seuls progrès observés sont dus à ChatGPT d'OpenAI tournant sur son cloud, pas d'agents intelligents locaux contrôlés par une LLM locale d'Apple.
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Les promesses d'il y a un an qui a réussi à faire vendre des iPhone 15 Pro surstockés et les futurs iPhone 16, ou des Mac ARM...
Depuis la sortie d’iOS 18 en septembre 2024, une fonction manque cruellement à macOS en Union européenne : la recopie d’iPhone. Pendant de longs mois, Apple n’a pas expliqué clairement la raison de cette absence, laissant imaginer plusieurs hypothèses. Cependant, elle n’a jamais caché que ce n’était pas un oubli, et qu’une limitation légale l’oblige à la bloquer en UE.
macOS 15.4 : les utilisateurs européens toujours privés de recopie de l’iPhone
Si vous l’attendiez pour macOS et iOS 26, n’espérez pas trop : Apple a indiqué durant la WWDC 2025 qu’elle ne l’ouvrira pas à l’UE de si tôt, comme le rapporte Numerama. Pis, Cupertino en profite pour lâcher publiquement ses griefs envers l’Union européenne, et donne des justifications précises :
Si Apple n’est pas la seule entreprise visée par les demandes répétées de la Commission européenne, cette dernière lui réserve tout de même ce qui ressemble à un « traitement de faveur », la plateforme étant particulièrement ciblée, car paraissant bien plus fermée que les autres.
Apple Intelligence : le DMA est-il vraiment la cause du retard dans l’Union européenne ?
Si le DMA a bloqué la recopie d’iPhone, il est aussi responsable de l’ouverture du paiement mobile à d’autres apps que Cartes, et l’ouverture du NFC de l’iPhone en général. Mais la Commission européenne souhaiterait aller encore plus loin, exigeant d’Apple le partage des réseaux wi-fi enregistrés sur les iPhone avec les appareils d’autres marques, ou encore l’ouverture de toutes les API propriétaires fermées qu’Apple réserve à ses produits, afin que tous les fabricants puissent en profiter au même niveau.
Si une distinction est faite entre services et fonctions, seuls les premiers étant normalement visés, les apps préinstallées font partie des éléments étroitement surveillés par l’UE. Apple indique tout faire pour ne pas supprimer des fonctions déjà existantes (contrairement à la rumeur persistante, Apple n’a pas l’intention de désactiver Airdrop en UE), les nouveaux services pourraient ne pas arriver sur le vieux continent.
Apple lutte sur le plan juridique contre l’UE, afin de continuer de proposer les mêmes services et fonctions en Europe que dans le reste du monde. Mais la Commission européenne pourrait très bien imposer les choses, et même si ça ne semble pas prévu pour iOS 26, Apple indique qu'à l'avenir la commission pourrait la pousser à proposer une version dégradée d’iOS, d’autant que ses concurrents font un lobbying intense pour pousser l’UE à sanctionner Cupertino.
Si iOS 26 apporte nombre de nouveautés au niveau design tout en prenant soin de garder compatibles les iPhone 11 (mais plus les XS et XR, sortis de la liste), malheureusement certaines fonctions resteront cantonnées aux versions les plus récentes. Faisons un petit tour de ces éléments qui n’apparaîtront pas sur tous les iPhone.
Si Visual Intelligence n’est pas restée cantonnée aux iPhone 16 depuis l’arrivée de l’iPhone 16e et surtout d’iOS 18.4 qui l’ouvre aux iPhone 15 Pro et Pro Max, iOS 26 n’a pas été l’occasion d’allonger la liste. Ainsi, que ce soit pour les prises de vues directes comme les captures d’écran, Visual Intelligence demande un iPhone 15 Pro au minimum.
iPad : iPad mini (A17 Pro), iPad M1 ou ultérieur
Fonction étroitement liée à Apple Intelligence, la traduction en direct restera limitée aux iPhone 15 Pro minimum, étant gourmande en ressources. Les langues supportées sont l’anglais, le français, l’allemand, l’italien, le japonais, le coréen, le portugais, l’espagnol et le chinois simplifié dans Messages. Les discussions orales se limitent à l’anglais, le français, l’allemand, le portugais et l’espagnol.
iPad : iPad mini (A17 Pro), iPad M1 ou ultérieur
Ça paraît logique, mais Apple Intelligence étant limité aux iPhone 15 Pro et ultérieurs, la création de raccourcis exploitant les fonctions d’AI est limitée aux mêmes modèles.
iPad : iPad mini (A17 Pro), iPad M1 ou ultérieur
Disponible uniquement pour les anglophones sur un iPhone 15 Pro ou mieux, les suggestions de rappels produits par Apple Intelligence devraient s’ouvrir plus tard à d’autres langues, mais il est probable que l’appareil minimum reste figé. Il en est de même pour l’organisation automatique de ceux-ci, cantonnée aux iPhone 15 Pro et plus.
iPad : iPad mini (A17 Pro), iPad M1 ou ultérieur
Bénéficiant d’Apple Intelligence, la fonction permettant d’ajouter un suivi de commande dans l’app Cartes automatiquement d’après les mails des boutiques en ligne n’est disponible que sur les appareils supportant Apple Intelligence, donc iPhone 15 Pro ou plus.
iPad : iPad mini (A17 Pro), iPad M1 ou ultérieur
Ces deux fonctions n’étant disponibles que sur les iPhone 15 Pro et plus, il va sans dire que leur amélioration n’agrandit pas la famille des appareils compatibles. Pour rappel, Image Playground permet maintenant de faire appel à ChatGPT pour la création d’images, en plus des (maigres) performances des outils d’Apple.
iPad : iPad mini (A17 Pro), iPad M1 ou ultérieur
L’ajout de fonds personnalisés sur l’app Messages est ouverte à tous, mais la création de versions personnalisées par Image Playground, en toute logique, est attachée aux iPhone compatibles avec l’app de création d’images. De la même manière, la suggestion de sondages étant liée à Apple Intelligence, seuls les appareils compatibles la proposeront.
iPad : iPad mini (A17 Pro), iPad M1 ou ultérieur
Si l’effet 3D est du plus bel effet sur l’écran de verrouillage de l’iPhone, avec la taille de l’heure s’adaptant à l’image utilisée, cette fonction nécessitera au minimum un iPhone 12. Les iPhone 11 sont donc exclus.
iOS 26 est un gros morceau pour ce qui est de l’interface, qui n’avait pas autant changé depuis iOS 7. Mais comme toujours avec Apple, tout est affaire de détails, et des détails, il y en a ! En plus de cet aperçu des nouveautés, voici donc la liste de ce que nous avons pu remarquer dans le système.
Bien d’autres détails seront découverts dans les jours à venir, et au fil des bêta, à n’en pas douter. Si vous en avez trouvé d’autres, n’hésitez pas à les signaler en commentaires !
Apple a donné quelques détails sur la version 2026 de CarPlay lors du keynote, mais une des sessions pour les développeurs ajoute quelques détails intéressants. Le premier, c'est que les applications de navigation pourront enfin profiter d'un écran multitouch avec iOS 26. Il sera donc possible de zoomer en pinçant l'écran ou tout simplement en effectuant un double tap sur l'écran, comme dans le navigateur. Une nouveauté bienvenue, mais qui dépend évidemment du matériel : toutes les voitures n'intègrent pas un écran capacitif capable de détecter plusieurs doigts et de nombreux modèles d'autoradio CarPlay se contentent même d'un écran résistif. Dans la session, il est tout de même précisé que de nombreux nouveaux modèles de voitures sont déjà compatibles et que c'est visiblement un prérequis pour CarPlay Ultra.
Dans les autres détails, il y a des précisions sur l'intégration des widgets, une des nouveautés de CarPlay pour 2026. Techniquement, les widgets ne nécessitent pas une application directement compatible avec CarPlay, et n'importe quelle application peut donc déporter son widget sur l'écran du véhicule. Les développeurs peuvent tout de même interdire l'usage d'un widget dans le véhicule explicitement, ce qui va automatiquement bloquer les interactions avec ce dernier. C'est un point utile pour ceux qui demandent l'attention de l'utilisateur, comme les jeux, notamment pour des raisons de sécurité. Il est aussi important de désactiver les widgets qui servent uniquement à lancer une application pour des raisons évidentes : l'app n'est pas nécessairement disponible dans un véhicule.
Le troisième point mis en avant est une nouvelle fonction qui est déjà disponible avec iOS 18.4 : la possibilité d'avoir une vue spécifique pour les applications qui retransmettent des événements sportifs. Dans ce cas de figure précis, et uniquement dans les rencontres qui impliquent deux équipes ou deux participants, il est possible d'afficher les logos des équipes et le score en temps réel, en même temps que le flux audio des commentaires (par exemple).
Enfin, une nouvelle fonction est intéressante pour les véhicules avec des écrans secondaires, avec par exemple un affichage au niveau du volant : il est possible pour les applications de navigation d'afficher des icônes de navigation standardisées pour aider les utilisateurs, en plus des instructions classiques sur l'écran principal.
Apple améliore CarPlay avec iOS 26
Si les nouveaux systèmes d’exploitation d’Apple ont apporté de grands changements au niveau de l’interface, ne parler que d’eux serait bien réducteur. Comme toujours, Apple a l’attention du détail, et en voici quelques-uns, qui forment déjà une belle liste.
Si vous avez trouvé d’autres nouveautés, n’hésitez pas à les partager dans les commentaires... la liste est très longue, et d’autres changements attendent sûrement d’être découverts.
Synology continue à étendre sa gamme 25+, avec cette fois un modèle d'entrée de gamme doté de deux baies. Destiné aux petites entreprises et au grand public, il est extrêmement proche du DS224+ — vendu 350 € environ — avec deux changements qui peuvent faire la différence.
Ce modèle deux baies — ce qui permet du RAID0 pour améliorer les performances ou du RAID1 pour un peu de sécurité — n'intègre pas d'emplacements M.2 pour des SSD NVMe, contrairement aux modèles plus haut de gamme. Il est animé par un Celeron J4125 de 2019 (un modèle doté de quatre cœurs, largement dépassé par les Ryzen par exemple), de 2 Go de RAM et de la possibilité de passer à 6 Go de DDR4. On retrouve les classiques prises USB-A à 5 Gb/s et la première différence par rapport au DS224+ : une prise Ethernet à 2,5 Gb/s accompagnée d'une seconde prise à 1 Gb/s. C'est mieux que les deux prises à 1 Gb/s du modèle précédent, mais tout de même un peu léger en 2025.
La seconde différence est la même que sur toute la gamme 25+ : une limitation sur les disques durs qu'il est possible d'intégrer. Vous pourrez éventuellement récupérer des disques qui étaient déjà employés dans un NAS précédent, mais si vous partez de zéro, vous ne pourrez installer que des disques durs Synology. Ils ne sont pas spécialement plus onéreux que les modèles équivalents de Seagate, Western Digital ou Toshiba, mais les NAS deux baies n'ont pas non plus nécessairement besoin d'un disque dur spécifique, les contraintes ne sont pas les mêmes que dans les modèles dotés de plus de baies. Pour un particulier ou une petite entreprise, l'obligation d'installer un disque vendu par Synology sous sa marque peut être un problème plus important que dans d'autres cas. En cas de problème, il existe des scripts qui permettent de contourner les limites de Synology, bien évidemment à vos risques et périls1.
Le principal problème de ce DS225+ n'est en réalité pas les choix de Synology sur les disques durs, mais bien des évolutions très limitées compte tenu du prix attendu (a priori du même ordre que le DS224+) face à la concurrence, mais l'interface et l'aura de Synology devraient convaincre une partie des acheteurs potentiels.
À la décharge de Synology, le problème est exactement le même sur un modèle de la gamme précédente : si vous installez deux disques grand public basiques ou des disques durs de récupération, vous avez plus de risques de panne. ↩︎
La FAA (Federal Aviation Administration, qui s'occupe de la réglementation et des contrôles de l'aviation civile aux États-Unis) vient de publier un rapport sur ses futurs efforts de modernisation. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les tours de contrôle et tous les sites qui dépendent de l'agence en ont besoin : ils reposent sur des technologies anciennes et peu fiables.
Le rapport indique que tout se base encore sur des technologies analogiques parfois datées et peu fiables, réparées avec des bouts de ficelle — ou des feuilles de papier d'aluminium au vu des photos —. Une partie de la modernisation va donc passer par l'abandon du cuivre et de l'analogique pour passer sur des infrastructures à base de fibre optique et de VoIP. De même, les systèmes basés sur des communications radio classiques vont être remplacés, et beaucoup de fonctions automatisées.
Selon NPR, l'état des équipements est aussi à mettre en cause : beaucoup de centres sont encore équipés d'ordinateurs sous Windows 95 — qui va fêter ses 30 ans —, avec des données enregistrées sur des disquettes, des CD-ROM ou même des bandes de papier. À l'heure où Windows 10 est en passe d'être abandonné par Microsoft, c'est évidemment un problème. Rappelons qu'au delà des risques de cyberattaques, les vieux ordinateurs posent des problèmes évidents au niveau de la maintenance : trouver des composants acceptés par des plateformes de cet âge devient extrêmement compliqué, tout comme des médias dans le cas des disquettes. Et le rapport est assez clair sur ce point : les risques de pannes sont assez élevés dans certaines régions, ce qui n'est pas très rassurant.
Après l'avoir fait pour Android, Free active la 5G+ pour ses clients sur iPhone. Sont concernés par cette amélioration du service tous les modèles à partir de l'iPhone 15 et leurs propriétaires abonnés à un forfait Free comprenant la 5G.
L'opérateur indique la démarche suivante pour activer cette capacité :
Sur l'iPhone il convient d'aller dans les Réglages d'iOS puis Données cellulaires puis Options et, dans Voix et données, de sélectionner 5G auto puis d'activer les options 5G SA et Voix sur 5G Standalone.
Cette 5G+ utilise uniquement les infrastructures 5G et non pas le cœur de réseau 4G, il doit en résulter une hausse des débits et une latence en baisse.
Orange et Bouygues ont déjà ou s'apprêtent à utiliser aussi la 5G+ pour leurs clients.
Alors que Bouygues Telecom abandonne ses offres prépayées à la fin du mois de juin, Free prépare le lancement de ses propres offres de ce type. En effet, Free mobile ne proposait que des abonnements classiques jusqu'à maintenant, mais les pages sur les offres prépayées sont maintenant en ligne.
Trois pages sont en ligne, une pour les offres grand public, une pour les offres professionnelles et une avec la brochure tarifaire. Les trois ont été mises en avant par Tiino-X83, habitué des informations sur Free.
Les offres sont prépayées, c'est-à-dire que vous allez payer le prix de la carte SIM (5 €) et d'une recharge. Elles valent 5, 10, 15, 20, 30 ou 50 €, avec une durée de validité de 30 jours (5 €), 45 jours (10 et 15 €) et 90 jours (les autres). Les appels sont facturés 0,05 € la minute, les SMS et les MMS valent 0,05 € et le mégaoctet de données est aussi à 0,05 €. Dans tous les cas, la carte est désactivée 30 jours après la fin de la dernière recharge, en entraînant la perte du numéro. Ces recharges ont peu d'intérêt en 2025, tant les tarifs sont élevés.
Free propose aussi des pass prépayés. Le premier (5 €) propose des appels et SMS illimités et 5 Go en 4G/5G en France et en Europe, pour 30 jours. La version à 10 € ajoute 100 minutes vers des destinations étrangères (États-Unis, Canada, Chine, etc.) et les téléphones fixes de 100 pays et passe à 200 Go pour les données (10 Go en Europe). À 15 €, les SMS sont illimités vers les DOM, et les appels vers les destinations étrangères citées plus haut aussi. De plus, les données passent à 300 Go (17 Go en Europe). Pour 20 €, vous aurez 350 Go et 22 Go depuis l'Europe et d'autres pays. Enfin, un pass France/Algérie intègre les appels illimités en France, les appels illimités vers les mobiles d'Algérie Mobilis (un opérateur algérien), les SMS/MMC illimités, 100 Go en France, 14 Go en Europe et 5 Go en Algérie.
Pour les personnes qui se déplacent en dehors de l'Europe, il y a plusieurs autres offres. Pour le Maroc, trois offres proposent des appels depuis la France vers les clients d'Orange Maroc : 5 € pour 110 minutes (valide 15 jours), 10 € pour 250 minutes et 20 € pour 600 minutes (une offre valide 30 jours dans les deux cas). L'équivalent pour la Tunisie, vers les clients d'Orange Tunisie, offre 50 minutes (5 €), 120 minutes (10 €) ou 280 minutes (20 €), avec 15, 30 et 30 jours de validité. La même formule se répète pour le Cameroun, vers Orange Cameroun : 5 € pour 50 minutes, 10 € pour 110 minutes et 20 € pour 290 minutes. Pour Madagascar, vous aurez 60, 130 et 280 minutes d'appels pour les mêmes prix, vers Orange Madagascar. Enfin, pour le Mali (et Orange Mali), c'est 70, 150 et 320 minutes d'appel.
Notons que la carte SIM est donc facturée 5 €, comme le changement de carte ou de numéro de téléphone, mais la portabilité est offerte. Vous trouverez de nombreux détails dans la brochure tarifaire, qui est datée du 1er juin 2025. Comme Free n'a pas encore officialisé l'offre, les détails pourraient légèrement changer. Enfin, la brochure ne fait pas référence aux eSIM.
Dans la pratique, les offres ciblent essentiellement les touristes, et probablement ceux qui ne viennent pas de l'Union européenne. En effet, les personnes qui ont un forfait européen disposent habituellement d'une enveloppe de données dans les autres pays de l'Union (dont la France). Mais pour les Américains, les Africains ou les Asiatiques, les offres de Free peuvent fournir un bon moyen d'avoir accès à une connexion à Internet tout en restant — avec certains des pass — en contact avec leur famille.
Dans le budget de la famille, le poste de l'abonnement à YouTube franchit un nouveau seuil. Cette formule pour 6 personnes coûte désormais 29,99 € par mois. Si vous êtes déjà client, un courriel a dû arriver pour vous informer de cette hausse qui s'appliquera sur la prochaine facture.
Cette augmentation s'apprécie davantage lorsqu'on rappelle que le précédent tarif était de 23,99 €. On frôle les 25 % de hausse. Cette précédente révision datait de 2023 tandis qu'à son lancement en France cette formule famille coûtait 17,99 €.
Le courrier envoyé par Google ne donne pas d'autre justification que le refrain habituel d'une amélioration du service et rien n'est proposé de neuf pour faire avaler la pilule. Il y a toujours les mêmes services : pas de pub, lecture en arrière-plan, téléchargement pour une utilisation hors connexion. Les deux autres abonnements, Particulier et Étudiant, campent sur leurs prix respectifs de 12,99 et 7,99 €. Tandis que l'offre pour deux abonnés n'est pas encore formellement apparue. Vu son possible prix — 20 € — elle se retrouverait bien moins en concurrence avec l'offre Famille à l'issue de cet ajustement.
YouTube teste une formule Premium pour deux à 20 €
Ces dernières semaines, ce sont Netflix puis Spotify qui ont touché à leurs grilles. Le premier les a toutes réévaluées (en termes de coût) et Spotify a fait de même mais il a proposé dans le même temps de rester sur un prix inchangé moyennant la suppression des heures d'écoute gratuites de livres audio.
Les fabricants de produits électroménagers aiment bien connecter leurs appareils, ce qui permet de mettre en avant des appareils qui sont parfois vus comme banals sans ce type d'artifices. Et la dernière génération de réfrigérateur Samsung est un très bel exemple : la marque coréenne a choisi Bixby1 pour détecter la voix des utilisateurs.
Vous vous demandez probablement à quoi peut servir la reconnaissance vocale sur un réfrigérateur, a fortiori avec une détection de la personne. Samsung a la réponse : affichez un calendrier personnalisé et des photos adaptées sur l'écran placé dans la porte. Il sera aussi possible d'activer Bixby à la voix pour lui demander de faire sonner votre téléphone — imaginez, vous l'avez perdu dans votre maison et il est justement dans le réfrigérateur — ou de synchroniser les réglages de votre réfrigérateur Samsung avec votre smartphone Samsung. Enfin, il sera aussi possible d'appeler Bixby en tapant deux fois sur l'écran du réfrigérateur.
Les fonctions devraient débarquer avec une mise à jour dans les modèles de la gamme Bespoke AI sortis en 2025, avant d'être élargies à d'autres appareils dans la gamme. Notons enfin que si Bixby arrive dans les réfrigérateurs, il n'est plus l'assistant par défaut des derniers Samsung Galaxy S, où il a été remplacé par Gemini.
Vous vous souvenez de Bixby ? ↩︎
Safari 261 comporte 67 nouveautés et 107 améliorations, selon Jen Simmons et les membres de l’équipe WebKit, trop pour une brève au beau milieu de la WWDC. Les développeurs pourront toujours étudier la liste des bugs corrigés, mais pour le reste d’entre nous, rien n’est aussi important que la prise en charge pleine, entière et fort trop tardive des applications web progressives.
Apple abdique : les sites web peuvent maintenant être installés comme des applications à part entière sur l’écran d’accueil de l’iPhone et de l’iPad. Vous pouviez déjà déposer des signets sur l’écran d’accueil, mais ils s’ouvraient dans Safari, sauf si le développeur avait prévu un « manifeste » d’application web. Bien qu’elle ait été standardisée par le W3C en 2013 et qu’elle ait été adoptée par la plupart des navigateurs en novembre 2014, cette spécification n’avait pas été intégrée dans Safari avant mars 2018.
Avec macOS Sonoma, Apple avait inauguré la possibilité d’ajouter un site web au Dock, c’est-à-dire de l’encapsuler dans une coquille utilisant le moteur de rendu WebKit. Avec iOS 26 et iPadOS 26, elle reprend ce fonctionnement pour transformer tous les sites en applications, qu’ils possèdent un manifeste ou pas. Les utilisateurs qui préfèrent les simples signets peuvent toujours décocher l’option Ouvrir comme app web.
Safari 26 termine aussi le travail d’adaptation du navigateur aux possibilités (et aux contraintes) de l’informatique spatiale. Apple n’a pas attendu la standardisation de l’élément
pour proposer cette manière d’incorporer des contenus 3D interactifs aussi facilement qu’une image ou qu’une vidéo. Comme visionOS 26 peut maintenant reproduire les vidéos à 180 et 360°, Safari 26 prendra en charge le streaming de vidéos spatialisées.
Les développeurs pourront enfin utiliser WebKit avec SwiftUI et contrôler la cohérence des données soumises par l’utilisateur avec Trusted Types API. Entre autres nouveautés, WebKit prend maintenant en charge WebGPU, le positionnement avec anchor()
, les animations déclenchées par le défilement et le ferrage du texte avec text-wrap: pretty
.
Safari adopte la même numérotation annuelle que les systèmes d’exploitation, ou plutôt adoptera, car les premières bêtas intègrent Safari 19. ↩︎
On doit confesser qu’on l’a un peu oublié et, pourtant, c’est un très bon smartphone. Depuis qu’Apple a décidé de le commercialiser, l’iPhone Plus vit dans l’ombre. Dans nos têtes, on l’a déjà troqué par l’iPhone Air qui doit sortir à la rentrée.
Quoi qu’il en soit, si vous voulez vous équiper avant les grandes vacances, c’est un modèle à prendre en considération. L’iPhone 16 Plus n’aura aucun mal à exploiter Apple Intelligence ou la nouvelle interface d’iOS 26. Sachez que ce modèle est actuellement en promotion à 966 € chez CDiscount. Pour l’obtenir à ce prix, pensez à saisir le code APPLE50D799
lors de la commande. Notez que ce modèle est encore proposé un peu moins cher sur Amazon Italie. Il est affiché au prix de 949 €. La TVA étant moins élevée en France qu’en Italie, il vous en coutera un peu moins de 949 € malgré les frais de port. À titre de rappel, le même modèle est facturé 1119 € en Apple Store.
Test de l’iPhone 16 et de l’iPhone 16 Plus : une génération intelligente
Toujours sur Amazon Italie, vous pouvez faire l’acquisition d’une Apple Watch Series 10 à des prix intéressants. On parle ici de réductions supérieures à 20 %.
Il est ainsi possible d’acquérir le petit modèle pour 348,16 € au lieu de 449 €. Le grand modèle est affiché à 377,70 € au lieu de 479 €. Bref, si vous avez envie de changer d’Apple Watch sans vous ruiner, c’est sans doute le bon moment.
Test de l'Apple Watch Series 10 : ce n’est pas l’Apple Watch X, mais ce n’est pas grave
Dans notre test, l’Apple Watch Series 10 affiche la note de quatre sur cinq. On regrettait juste que ce modèle des 10 ans n’affiche pas la même césure que l’iPhone X en son temps, mais c’est un excellent modèle !