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L’iPhone cartonne, mais l’incertitude plane sur les droits de douane en 2025
Alors que l’IA s’impose, Google se cherche
Les IA génératives inquiètent Google : la nouveauté est une des premières à attaquer frontalement sa domination dans le domaine de la recherche en ligne. En interne, Google peinerait à se projeter. The Information affirme que les dirigeants d’Alphabet ont eu du mal à formuler une vision pour l'avenir de la recherche.

Rajan Patel, le chef des produits liés à la recherche, a confié en interview qu’il ne savait pas à quoi ressemblerait Google dans deux ans. Il estime cependant que l’organisation de la recherche devrait s’appuyer sur les « résumés IA » (des réponses créées par une IA générative), un tchatbot et la recherche multimodale comme depuis une photo ou une vidéo. « Ce sera le résultat d'un grand nombre d’expérimentations », a-t-il déclaré.
Selon d’anciens employés de Google, les plans dans le domaine de la recherche seraient en perpétuelle évolution. Certaines fonctions d’IA présentées lors du dernier Google I/O ont été lancés auprès du grand public, et d’autres non. L’entreprise tarde par exemple à déployer ses séances d’entraînement par IA. D’autres fonctions comme la recherche par vidéo ont été mises en ligne avant de disparaître discrètement.
Google s’est pris les pieds dans le tapis sur certains aspects. Elle a par exemple ajouté des « résumés IA » pour ses recherches, pour le moment indisponible en France et qui ont fait parler d’eux à leur lancement pour certaines affirmations stupides. Si ceux-là répondent désormais mieux, le déploiement ne doit pas être trop rapide pour ne pas rogner sur les marges publicitaires habituelles, étant donné que les pubs ne sont présentes que sur mobile aux États-Unis. L’entreprise aurait du mal à sortir une fonction permettant au service d’effectuer des actions pour l’utilisateur, par exemple en lui réservant des billets d’avion.

Le nouveau Google carburant à l’IA recommande aux internautes de manger de la colle
Il faut dire que Google est sous pression : ses parts de marché dans le domaine de la recherche sont tombées sous les 90 % pour la première fois depuis 10 ans selon Statcounter. L’arrivée de ChatGPT a donné un coup de pression à l’entreprise, qui s’est retrouvée avec un nouveau concurrent de taille. Le tchatbot d’OpenAI peut faire une bonne alternative à Google pour de nombreuses requêtes, et peut lui aussi chercher sur le web. En interne, plusieurs employés s’inquiéteraient de voir des utilisateurs quitter le navire pour les services de Perplexity ou d’OpenAI.
Tout n’est pas perdu pour autant, et Google a plusieurs cartes à jouer. Les employés travaillant sur la recherche estiment que le nombre de nouvelles fonctions est en hausse depuis quelques mois. Les réponses par IA sont de plus en plus populaires chez les jeunes, selon Sundar Pichai, qui n’a pas dévoilé de chiffres étayant cette affirmation. Sur un autre registre, Gemini resterait plus efficace que le pourtant tout frais ChatGPT 4.1, présenté cette semaine.
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- Fin d'une époque ! Tous les Mac mini Intel sont désormais vintage ou obsolètes
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- Les produits Apple sont maintenant « Conçus pour Apple Intelligence »… même aux États-Unis
Les produits Apple sont maintenant « Conçus pour Apple Intelligence »… même aux États-Unis
Aux États-Unis, Apple a changé sa façon de communiquer sur Apple Intelligence. À la sortie des iPhone 16, le slogan choisi était « Hello, Apple Intelligence » sur les images promotionnelles. La police choisie était assez grande, avec notamment les couleurs choisies pour le nouveau Siri. Mais après la sortie d'iOS 18.4, qui a ajouté de nombreuses fonctions à Apple Intelligence, Apple a décidé de communiquer d'une autre manière. C'est Basic Apple Guy qui le montre : le slogan est devenu « Built for Apple Intelligence », avec l'idée (probablement) de faire croire que la stratégie d'Apple était évidemment d'intégrer toutes les fonctions dans les iPhone.

Soyons clairs, c'est probablement faux : les iPhone 16 et les produits sortis à la fin de l'année 2024 ont été imaginés bien avant les premières mentions d'Apple Intelligence. Même si rien n'est véritablement officiel, Apple a pris le train de l'IA assez tard et le développement de l'iPhone 16 était a priori bien avancé. Mais la police plus petite et le slogan sont là pour tenter d'inspirer la confiance dans les outils d'Apple. Il faut noter que le premier slogan n'a pas été utilisé en France, car Apple Intelligence n'était pas disponible. Apple a commencé directement avec « Conçu pour Apple Intelligence » dans nos contrées, en parallèle de la sortie d'iOS 18.4. Reste que dans les deux cas, quel que soit le slogan, les outils d'Apple semblent tout de même à la peine par rapport à ce que propose la concurrence.


iOS 18.4 est disponible avec Apple Intelligence et beaucoup d'autres nouveautés
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- Voici comment refuser l'utilisation de ses données personnelles par Meta (avant le 27 mai)
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L'impossible iPhone « Made in USA »
Spotify est dans les choux
Pas de bol si vous comptiez passer l’après-midi en musique : Spotify est en panne. La mauvaise nouvelle a été confirmée par l’entreprise sur son compte Twitter. Les contenus sauvegardés en cache fonctionnent, mais les autres prennent pas mal de temps à se charger. Nous mettrons l’article à jour quand le problème sera résolu.
We’re aware of some issues right now and are checking them out!
— Spotify Status (@SpotifyStatus) April 16, 2025
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- Un clavier aux couleurs de Severance, pour ceux qui veulent raffiner des macrodonnées
Un clavier aux couleurs de Severance, pour ceux qui veulent raffiner des macrodonnées
Vous avez aimé Severance ? Vraiment aimé ? Bonne nouvelle, une société propose un clavier en édition limitée, qui reprend le format de celui utilisé dans le département du raffinement des macrodonnées dans la série. Il est proposé par Atomic Keyboard, qui travaille avec Keeb AI, spécialisée dans les claviers en éditions limitées.

Le clavier de la série est inspiré de celui du Data General Dasher, un terminal de commande qui date de la fin des années 70. La version de la série (et celui qui devrait être proposé à la vente) intègre un trackball à droite, à la place du pavé numérique, et le bloc de flèches n'est pas identique à celui de la version originale. C'est un clavier avec 73 touches, dans un agencement 70 %, sans touches esc
, control
ou option
, ce qui nécessite évidemment un peu d'apprentissages. La marque explique qu'il va se connecter en USB-C et nos confrères de Toms Hardware indiquent un prix (élevé) de 400 $. Notons tout de même que si le clavier peut être tentant, le prix élevé et le manque d'informations légales sur le site incitent à la prudence.
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- « Ne Zha 2 », le film d’animation le plus rentable de l’histoire, arrive enfin en France
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- Washington prolonge finalement le financement du programme CVE, qui recense les failles informatiques
Washington prolonge finalement le financement du programme CVE, qui recense les failles informatiques
Les choses vont bientôt se compliquer pour le Common Vulnerabilities and Exposures (CVE). Ce système est utilisé par de grandes entreprises de la tech comme Apple, Google ou Intel pour suivre et identifier les failles de cybersécurité. Il est financé par le gouvernement fédéral américain, qui va bientôt fermer les vannes. MITRE, l’organisation à l'origine de ce programme, a confirmé à The Verge que son contrat pour développer le CVE prendrait fin aujourd'hui.

Le CVE a pour but d’aider les ingénieurs à déterminer la gravité d’une faille et à établir les priorités afin de corriger le tir. Le programme dispose d’un moteur de recherche, et Apple ajoute régulièrement ses retours en lien avec ses différents systèmes. Les références sont données dans les notes de mises à jour d’Apple (par exemple ici), dans lesquels elle indique les multiples failles corrigées. Elles prennent souvent la forme d’une suite de chiffres et de l’année en cours, comme « CVE-2025-24202 ».
Une telle nouvelle effraye logiquement les spécialistes du domaine. Le chercheur en sécurité Lukasz Olejnik anticipe « un chaos total et un affaiblissement soudain de la cybersécurité dans tous les domaines ». Il estime que ce changement va amener une rupture de la coordination entre les entreprises, les analystes et les systèmes de défense, étant donné que personne ne pourra être sûr de faire référence à la même vulnérabilité. En face, MITRE nuance en affirmant que « le gouvernement continue à faire des efforts considérables » pour la soutenir et explique rester engagé pour le CVE. Cependant, elle note que le projet Common Weakness Enumeration (qui recense des faiblesses de manière plus globale) sera également touché.
La structure va peut-être devoir se réinventer. Un communiqué signé par la « CVE Foundation » a été publié dans la journée. Cette nouvelle organisation qui se dit gérée par « un groupe de membres actifs de longue date du conseil d'administration du CVE » promet de faire passer le projet sur une fondation à but non lucratif. Les membres expliquent s’être préparés à un arrêt des financements depuis des années, et que cette nouvelle structure se concentrera uniquement sur la mission du CVE. Son communiqué ayant été publié sur un site basique dont le nom de domaine a été enregistré dans la nuit, on attendra d’en savoir plus avant de s’enthousiasmer. La CVE Foundation promet des détails supplémentaires dans les jours qui viennent.
Mise à jour le 16 avril à 15:30 : Finalement, le gouvernement américain a décidé à la dernière minute de prolonger son financement. L’information a été confirmée à Forbes par l'Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures américaines (CISA). « Le programme CVE est inestimable pour la cybercommunauté et constitue une priorité de la CISA », a déclaré un porte-parole, ajoutant qu'il n'y aura pas d'interruption des services CVE essentiels.
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Un trailer pour Marathon, qui ne sortira pas sur les Mac
Si vous avez eu un Macintosh dans les années 90, vous avez peut-être joué à Marathon. Il s'agit d'un des premiers FPS, sorti peu après Doom, et il était disponible exclusivement sur les machines d'Apple1. Il permettait notamment de montrer la supériorité graphique des Macintosh, avec du 640 x 480 quand Doom se contentait du 320 x 200 des PC. Bungie (qui appartient à Sony depuis quelques années) a décidé de proposer une suite à ce jeu qui se place dans le même univers qu'Halo, et vient d'annoncer une date de sortie, le 23 septembre 2025. Le titre est plutôt attendu, notamment grâce à une direction artistique plutôt réussie.

Et malheureusement, comme nous l'avions déjà annoncé lors de l'annonce, il n'est pas prévu sur les Mac. Il est attendu uniquement sur les Xbox Series, la PlayStation 5 et les PC. Si vous aviez poncé les trois opus avec votre PowerPC flambant neuf dans les années 90, il faudra donc changer de crèmerie…
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Dont la Pippin. ↩︎
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Linux pourrait abandonner le HFS et le HFS+ d'Apple cette année
Apple, au fil des années, a fait évoluer ses systèmes de fichiers et en a abandonné certains. Si le HFS+ (qui date de la fin des années 90 avec Mac OS 8.1) est encore pris en charge, ce n'est par exemple plus le cas du HFS original, apparu en 1985 avec les premiers disques durs pour Macintosh. Si Microsoft n'a jamais pris en charge le HFS/HFS+, les distributions GNU/Linux le font encore… mais peut-être uniquement pendant quelques mois.

Christian Brauner, un développeur qui travaille sur le noyau, vient en effet de proposer de supprimer la prise en charge du HFS et du HFS+ dans le noyau, d'ici fin 2025. Les modules ne sont plus maintenus depuis une dizaine d'années, et Phoronix explique qu'il existe des pilotes en espace utilisateur pour ceux qui en ont besoin. La différence entre un module pour le noyau et un pilote en espace utilisateur est simple : le premier dispose de privilèges plus importants et un bug peut planter littéralement tout le système, contrairement au second.
Le HFS+ reste encore utile
Le problème principal de cette suppression est simple : il existe encore de nombreux médias formatés en HFS+. Les Mac Intel un peu anciens (ceux qui datent d'avant macOS High Sierra) ne prennent pas en charge l'APFS directement et une partie des partitions cachées nécessaires pour le démarrage reposent encore sur le HFS+. De même, le passage en espace utilisateur n'est pas nécessairement une solution : elle implique qu'il soit possible d'installer des logiciels. Des appareils comme les téléviseurs ou les décodeurs acceptent généralement les disques durs formatés en HFS+, parce que le module nécessaire est présent. La suppression des modules du noyau risque donc d'amener des incompatibilités à ce niveau, notamment pour ceux qui voudraient installer une distribution GNU/Linux sur un vieux Mac Intel ou un Mac à base de PowerPC.

Le cas du HFS classique est plus compliqué. D'un point de vue pratique, il reste rare : il a essentiellement été employé dans les Mac à base de CPU 68000 et dans les premiers PowerPC. Apple a pris en charge le HFS en lecture et écriture jusqu'à Mac OS X Leopard, et en lecture uniquement entre Mac OS X Leopard et macOS Catalina. Depuis, il n'est plus possible de lire les volumes formatés en HFS, ce qui peut poser des soucis avec les CD-ROM et certains CD Audio. En effet, les bonus proposés sur les CD Plus sont par exemple souvent formatés en HFS pour les Mac.
Dans le cas du noyau Linux, un compromis pourrait être de supprimer le HFS et de garder le HFS+, mais il ne réglerait probablement pas les problèmes de maintenance du code.
Promo : 10 % de remise sur les MacBook Pro et MacBook Air M4
Grosses promos aujourd’hui chez Amazon, qui affiche des remises sur tout un tas de produits Apple depuis ce matin. Le tout frais MacBook Air M4 est par exemple en promo : il perd 87 € dans sa version entrée de gamme avec 256 Go pour tomber à 1 112 €. La déclinaison 512 Go est de son côté à 1 356 €, soit 93 € de moins que ce qu’en demande Apple en boutique. Plusieurs coloris sont proposés, avec des remises variables. Le modèle 15 pouces n’est malheureusement pas concerné.

On peut également faire de bonnes affaires sur les MacBook Pro M4. L’entrée de gamme avec une puce M4 et 512 Go de stockage revient à 1 709 €, contre 1 899 € chez Apple : c’est 10 % de moins. On peut monter à 1 To avec la même ristourne, et ce rabais s’applique aussi à la déclinaison M4 Pro avec 512 Go de stockage pour 24 de RAM, qui perd 240 € pour tomber à 2 159 €. Ceux voulant grimper à 1 To devront débourser 2 609 €, ce qui est toujours 290 € de moins qu’en Apple Store. La plus grosse configuration proposée comporte une puce M4 Max, 36 Go de RAM et 1 To de SSD pour 3 539,99 € (-360 €).
Quelques versions 16 pouces sont également en promo. La configuration 512/24 avec une puce M4 Pro est à 2 609 € au lieu de 2 899 € (-10 %), tandis que celle en 36/1 To et une puce M4 Max tombe à 3 779 € (-420 €). La Fnac et Darty affichent des remises similaires, ce qui sera pratique si vous avez des bons d’achat. N’hésitez pas à relire nos tests pour plus de détails sur ces différentes machines, qui sont globalement toutes excellentes.
Leboncoin commence à faire payer les vendeurs un peu trop actifs
Leboncoin change discrètement ses règles. Les particuliers qui vendent trop de voitures ou d’utilitaires devront désormais payer pour publier leurs annonces. Objectif affiché : éviter les abus et mieux distinguer les particuliers des vendeurs quasi professionnels.
iMessage, l’argument surprise de Meta pour échapper au démantèlement
ChatGPT doit-il craindre l'assistant vocal de Claude (Anthropic) ?
En Apple Store, -10% sur un accessoire pour le recyclage d'un appareil

Aldebaran joue sa survie après deux mois de redressement judiciaire
Google va mettre un terme à Google.fr !
Google va abandonner google.fr
Google vient d'annoncer que le nom de domaine google.fr
(et de nombreux autres) allait être abandonné. Dans les prochains mois, le moteur de recherche va en effet rediriger toutes les versions locales qui reposent sur un domaine de premier niveau national (ccTLD, pour country code top-level domain) vers google.com
. Selon Wikipédia, Google disposerait de 194 variantes (google.com
compris), en 129 langues.

Ce changement devrait majoritairement être transparent pour les utilisateurs, pour une bonne raison, expliquée par Google : les résultats ne dépendent plus du nom de domaine depuis 2017. Le moteur de recherche vous localise à travers votre IP (et demande éventuellement l'accès à une information plus précise à travers votre navigateur) et fournit donc les mêmes résultats si vous êtes sur google.com
, google.fr
ou google.com.vc
1. Ce changement devrait peut-être vous obliger à confirmer quelques réglages, mais ne devrait rien changer d'autre. Bien évidemment, les restrictions nationales (notamment liées à l'Union européenne) restent en place. Le seul éventuel problème pourrait venir de vieux navigateurs ou de signets enregistrés, qui codent l'adresse google.fr
en dur.
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Connaissiez-vous Saint-Vincent-et-les-Grenadines ? ↩︎
SFR amorce un rebond après une année 2024 chaotique
2024, l’annus horribilis de SFR ? C’est peu dire : l’opérateur a perdu 248 000 abonnés fixe l’année dernière, et pas moins de 629 000 côté mobile. Au premier trimestre, l’opérateur était carrément passé sous la barre symbolique des 20 millions de clients mobile. L’hémorragie semble ralentir, et si les voyants restent au rouge, SFR commence à reprendre des couleurs.

Sur le premier trimestre 2025, le groupe a enregistré une perte de seulement 3 000 clients sur le fixe, à comparer avec la fuite de 17 000 abonnés au trimestre précédent. Pour le mobile, SFR a réussi à attirer 17 000 nouveaux clients, là où il en a perdu 60 000 en fin d’année 2024. Ce n’est pas une performance incroyable, mais toute bonne nouvelle est bonne à prendre pour l’opérateur qui a perdu plus d’un million d’abonnés sur ces dernières années.
Pourquoi cette fuite massive ? SFR a rehaussé ses prix à la sortie du COVID, ce qui a énervé bon nombre de clients. Mathieu Cocq, PDG de SFR, regrette cette pratique et affirme au Figaro qu’on ne l’y reprendra plus. « Nous ne sommes pas l’opérateur le moins cher du marché, mais on a gommé l’incertitude tarifaire en simplifiant nos gammes et en éliminant les promotions. Désormais nos tarifs sont les plus lisibles du marché », assure-t-il. Le PDG ajoute même être désormais le seul opérateur à ne pas revoir ses prix après une période de promo.
En interne, le groupe est en état d’alerte face à la tempête de ces derniers mois. Il a remplacé deux tiers de son équipe de direction par des cadres provenant d’autres opérateurs. SFR affirme mettre l’accent sur la satisfaction client depuis plusieurs années, et s’est lancé à corps perdu dans la course aux promos qui agite le secteur. L’opérateur se montre désormais plus agressif, proposant par exemple 100 Go de 5G pour 7 € par mois. Il affirme que les indicateurs de rétentions se sont améliorés.
SFR peut également souffler suite à son désendettement partiel prononcé au mois de février. Des rumeurs voudraient qu’Orange et Bouygues Telecom aient envisagé un rachat, mais la démarche ne sera pas simple et il faudra avoir les reins solides pour se lancer dans l’aventure. Si la direction se veut optimiste, le chiffre d’affaires total de SFR reste en baisse et a chuté de 5,6 % pour 2025. L’EBITDA a chuté de 9,4 %.
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- Avec le BPS, la TNT américaine sert aussi pour la géolocalisation, en parallèle du GPS
Avec le BPS, la TNT américaine sert aussi pour la géolocalisation, en parallèle du GPS
La géolocalisation de nos appareils et de nombreux périphériques est de plus en plus cruciale à notre époque, et les attaques dans ce domaine sont nombreuses. Les États-Unis viennent de commencer à mettre en place une solution intéressante pour éviter les attaques sur le GPS, le système de localisation par satellite maison. Le BPS — Broadcast Positioning System — repose sur le réseau de télévision hertzien, et permet d'obtenir une localisation imprécise, mais suffisante pour détecter une attaque sur le réseau GPS.

C'est un problème de plus en plus important : comme les signaux issus des satellites — quelle que soit la constellation employée — sont assez faibles, il est simple de le brouiller pour empêcher la géolocalisation ou d'envoyer des données modifiées pour fournir une position faussée. Si les appareils mobiles peuvent profiter du réseau cellulaire et du Wi-Fi pour valider la position ou détecter l'attaque, ce n'est pas le cas de tous les appareils et c'est là qu'intervient le BPS.

La technologie derrière le BPS est la même que le GPS sur le fond : une base de temps est fournie via les antennes émettrices, dont la position est connue. En mesurant le temps nécessaire aux ondes pour atteindre le récepteur, il est possible de trianguler la position de ce dernier. Le BPS dépend de la norme ATSC 3.0 — l'équivalent du DVB-T2 utilisé en France pour la TNT en Ultra HD — et le déploiement est en cours aux États-Unis, avec deux phases de test (2025 à 2027, puis 2027 à 2029) et une mise en place en 2029. Un récepteur adapté sera bien évidemment nécessaire, et la précision attendue reste assez faible, de l'ordre de 100 mètres. Une valeur parfaitement suffisante pour un véhicule terrestre, un bateau ou un système critique installé dans un bâtiment, tout du moins pour détecter une compromission du réseau GPS. Qui plus est, la technologie pourrait être intégrée dans les récepteurs GNSS1 de nos appareils, pour fournir une solution de repli supplémentaire.
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