La production du MacBook A18 devrait bientôt débuter

C'est la saison des processeurs. Après Apple avec l'A19 et l'A19 Pro, Arm et ses puces Lumex C1 qui animeront une bonne partie des futurs systèmes sur puce de 2026, c'est Qualcomm qui a annoncé le Snapdragon 8 Elite Gen 5. Un nom un peu étonnant, déjà : les trois premiers Snapdragon 8 (Gen 1 à 3) utilisaient des cœurs issus de chez Arm, le Snapdragon 8 Elite (qui est en fait une Gen 4 qui ne porte pas son nom) passait par des cœurs Qualcomm (Oryon, comme les Snapdragon X des PC portables).
Ce Snapdragon 8 Elite Gen 5 n'est donc pas réellement la 5e génération, mais la seconde. Les premières fuites (Qualcomm attend son grand raout annuel pour détailler officiellement les composants du système sur puce) indiquent qu'on reste tout de même sur la même structure : deux cœurs rapides et six cœurs… moins rapides. C'est un cas un peu particulier : le premier Snapdragon 8 Elite intégrait des cœurs Oryon de seconde génération, avec deux cœurs à une fréquence élevée (4,47 GHz au mieux) et six cœurs identiques mais avec une fréquence plus faible. Pour 2026, Qualcomm suit a priori le même mouvement, la société n'ayant pas encore de cœurs basse consommation dans son portfolio.
Les premiers résultats disponibles sur Geekbench sont encourageants : avec un score de 3 831 en single core, le gain est de l'ordre de 35 % (les modèles à base de Snapdragon 8 Elite sont aux environs de 2 800 points). La fréquence est en hausse avec 4,6 GHz (sur les deux cœurs principaux), soit 7 % de plus. Sur les cœurs secondaires, on passe de 3,5 GHz à 3,6 GHz environ, un gain plus léger. En multicœurs, avec toujours huit cœurs, on passe d'un score de 9 400 environ à 11 525 ici, soit un gain qui est tout de même de plus de 20 %. Cette puce Snapdragon 8 Gen 5 serait donc plus rapide qu'une puce Apple M4 en single core, et un rien en retrait en multi-core, essentiellement parce qu'Apple intègre dix cœurs. Face à l'A19 Pro, le Snapdragon 8 Gen 5 serait au même niveau en single core, mais nettement en avance en multi-core : Apple se limite à six cœurs.
Arm annonce les Lumex C1-Nano, Pro, Premium et Ultra, les cœurs des smartphones de 2026
Il n'y a plus qu'à attendre l'officialisation au Snapdragon Summit, du 23 au 25 septembre à Hawaii.
Depuis OS X Lion (2011), les « mises à niveau » de macOS1 sont distribuées par le biais du Mac App Store. Ce n’est pas une mauvaise idée dans l’absolu, mais comme certaines machines nécessitent des ressources supplémentaires ou des paquets différents, vous n’étiez pas toujours certain de télécharger un programme d’installation complet. Comme la situation n’a fait qu’empirer au fil des années, Apple a résolu le problème en « oubliant » de publier macOS Tahoe sur le Mac App Store.
La publication du programme d’installation de macOS dans le Mac App Store partait d’un bon sentiment… doublé d’un sens aigu du compromis. En arrêtant la commercialisation des « mises à niveau » sur un support physique, Apple avait mécontenté une partie de ses utilisateurs, d’autant qu’à l’époque, les connexions haut débit n’étaient pas légion. Le programme d’installation pouvait être archivé sur un CD ou un disque dur, voire être utilisé pour créer une clé USB d’installation avec un utilitaire dédié, comme mon bon vieux Keylifornia.
Sauf quand il ne le permettait pas : dans certains cas, notamment lorsque vous aviez sauté une mise à niveau intermédiaire, le Mac App Store fournissait un programme d’installation « allégé » pesant quelques mégaoctets. Cette coquille vide servait seulement à télécharger une version de la mise à niveau « personnalisée » pour la situation précise de la machine. Au fil des années, les exceptions sont devenues la règle, si bien qu’Apple a fini par concevoir un outil pour que les administrateurs puissent télécharger le programme d’installation complet depuis ses serveurs.
Dans le même temps, la procédure d’installation de macOS s’est complexifiée avec le chiffrement du système. Le programme d’installation prépare une nouvelle « image système » avant le redémarrage, puis l’ancienne image est remplacée par la nouvelle, comme si l’on changeait les pneus d’une voiture. Les clés d’installation sont devenues passablement inutiles : non seulement la procédure de restauration est maintenant d’une fiabilité à toute épreuve, mais la clean install est devenue pratiquement délétère.
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Autrement dit : vous ne devriez pas avoir besoin de télécharger le programme d’installation de macOS Tahoe, sauf si vous êtes un administrateur système, auquel cas vous connaissez probablement l’existence de la commande softwareupdate --fetch-full-installer --full-installer-version 26.0
permettant de récupérer le programme complet depuis les serveurs d’Apple. Il comporte toutes les ressources permettant de créer un support d’installation ou une image personnalisée pour configurer un parc de machines.
Les anciennes versions de Mac OS X peuvent toujours être téléchargées directement depuis les serveurs d’Apple :
Comme la liste de compatibilité n’a pas changé entre OS X Mountain Lion et OS X Yosemite, Apple ne propose plus OS X Mavericks, version intermédiaire dépourvue des fonctionnalités de Continuité, qui avait aussi été la première version nommée d’après un lieu californien et la première mise à niveau gratuite de Mac OS X depuis Mac OS X 10.1.
Les versions plus récentes de macOS restent disponibles dans le Mac App Store :
Attention, ces liens ne fonctionnent pas toujours dans Firefox et (les navigateurs dérivés de) Chrome. Mieux vaut utiliser Safari.
Ce que la plupart d’entre vous appellent une « mise à jour majeure », de macOS Sequoia à macOS Tahoe par exemple. ↩︎
La présentation du premier iPhone pliable approche. Selon Nikkei Asia, Apple aurait entamé les discussions pour construire une chaîne de production test de ce futur modèle à Taïwan. L’idée serait ensuite de lancer la production de masse en Inde avant de la commercialiser l’année prochaine.
Le plan d’Apple serait de créer une mini-ligne pilote dans le nord de Taïwan. S’implanter dans le pays lui permettrait d’être au plus proche de son écosystème de fournisseurs. Les ingénieurs pourraient ainsi facilement vérifier l’équipement et s’assurer que tout se passe bien à chaque étape. Une fois le plan mis au point et bien rodé, il serait recopié en Inde pour la production en série. Un tel système devrait assurer à Apple un déploiement sans heurts pour la production en Inde, d’une tout autre envergure.
Si l’idée semble bonne, elle ne sera pas facile à mettre en place et pourrait être complètement revue. Taïwan est connue pour ses puces, mais la production de smartphone est une chose bien différente : les sources du Nikkei craignent un éventuel manque de place et d’effectif, même pour une ligne pilote.
Cupertino aurait prévu une hausse de 10 % du nombre total d'expéditions de téléphones en 2026, pour un total de 95 millions d’unités. Elle s’attend à ce que la sortie d’un modèle pliable donne un coup de fouet aux ventes, y compris celles de modèles classiques. Cette ligne de test est donc capitale pour Cupertino.
Elle devrait également l’aider à se distancer un peu plus de Pékin, les récentes tensions sino-américaines sur fond de droit de douane risquant de sérieusement gripper la machine Apple. Si l’entreprise s’efforce d’améliorer ses capacités en Inde, certains fournisseurs continuent de rencontrer des problèmes. Il serait ainsi difficile d'importer certains équipements chinois, ou de faire venir des techniciens.
Apple a discrètement ajouté une fonctionnalité qui devrait s’avérer bien utile dans Maison sous iOS 26. Repérée notamment par 9to5 Mac à partir de la liste de nouveautés proposée par Apple dans un long PDF, on apprend que Maison pourra automatiser le chauffage de manière plus intéressante, rappelant fortement ce que Tado° propose depuis des années. Concrètement, Apple propose d’ajuster la consigne en fonction des mouvements des habitants, ce que des automatisations pouvaient déjà faire, mais surtout d’anticiper les besoins en se basant sur la géolocalisation et même les habitudes de sommeil, ce qui est inédit.
Comme le système de Tado° que j’avais eu l’occasion de longuement détailler dans un test, Apple propose de faire varier la consigne en fonction de la présence à domicile, mais aussi de la distance et même de la direction de votre mouvement. Concrètement, le chauffage sera baissé automatiquement dès lors que la dernière personne quitte le foyer et il sera augmenté progressivement lors du retour d’une personne. L’objectif étant de proposer la température de consigne dès votre arrivée sans pour autant gâcher de l’énergie en votre absence, ce que Maison devrait pouvoir faire automatiquement. Cette fiche support nous apprend que l’app se basera notamment sur vos habitudes, par exemple pour repérer vos horaires de travail et ajuster la consigne en fonction.
Mieux encore, ce système devrait pouvoir adapter la consigne en fonction de votre sommeil. Les détails sont encore flous, même si Apple précise que cela dépend du programme sommeil défini sur l’iPhone. Est-ce que les différents membres de la famille seront alors correctement gérés ? Comme pour la géolocalisation, cette adaptation intelligente du chauffage dépend étroitement des équipements de chacun et ne fonctionnera pleinement que dans les logements entièrement Apple. Il faudra d’ailleurs une Apple TV ou un HomePod à jour, tout comme on imagine qu’iOS 26 sera indispensable côté client.
À propos de prérequis, l’entreprise précise dans une note de bas de page que la fonctionnalité est réservée aux thermostats Matter, une restriction étonnante quand on sait qu’il existe de nombreux modèles HomeKit sur le marché. J’ai pu en tout cas vérifier que mes thermostats Home Assistant ajoutés à Maison par le biais du bridge HomeKit ne permettaient pas d’avoir des fonctions supplémentaires, mais c’est peut-être parce que l’app les identifient comme des appareils non certifiés.
C’est peut-être aussi parce que la fonctionnalité n’est pas tout à fait déployée pour le moment. Si vous avez un système de chauffage HomeKit ou Matter, n’hésitez pas à regarder dans Maison si vous voyez une nouvelle fonction pour le contrôler automatiquement et apporter votre témoignage en commentaire le cas échéant.
Grosse journée demain en perspective pour les livreurs avec la commercialisation simultanée des nouveaux iPhone, Apple Watch et AirPods Pro 3. À en croire les premiers échos, la demande est forte, notamment pour les nouveaux téléphones d'Apple. Comptez 2 à 3 semaines d'attente sur l'Apple Store pour un iPhone Pro 256 Go en orange.
De son côté, Amazon semble être confiante quant à sa capacité à honorer assez rapidement les commandes de ses clients sur un bon nombre de références. Pour une commande passée aujourd'hui, elle annonce être en mesure de livrer lundi un iPhone 17 Pro bleu 256 Go. Même constat pour le modèle 1 To en orange.
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Le géant du commerce en ligne annonce des délais similaires pour l'iPhone Air. Ce n'est pas vraiment une surprise. D'après les premiers retours que nous avons eus, le petit nouveau de la gamme est pour l'heure le modèle le moins demandé. Enfin, si vous souhaitez commander un iPhone 17, qui s'annonce être comme la bonne surprise de cru 2025, là aussi, en passant commande aujourd'hui, vous devriez être livré dès lundi.
Ce qui nous laisse à penser qu'Amazon est plutôt sérieux dans ces estimations, c'est que l'iPhone 17 Pro Max qui est souvent le modèle le plus demandé en début de cycle, est en rupture de stock.
Au passage, rappelons qu'Amazon propose 10 € de réduction sur les coques Apple pour ses nouveaux iPhone. La réduction est valide aussi bien sur les coques en polycarbonate, en silicone, qu'en tissage technique. La réduction est aussi bien valable sur les modèles pour iPhone 17, iPhone 17 Pro, iPhone 17 Pro Max que pour l'iPhone Air.
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Le best-seller inattendu de cette fin d'année, ce pourrait bien être l'Apple Watch SE 3. Cette montre, vendue à partir de 269 €, a tout ce qu'il faut pour séduire le commun des mortels. Seule son autonomie pourra éventuellement être pointée du doigt. Quoi qu'il en soit, là aussi, Amazon a du stock et promet pour bon nombre de modèles une livraison le 22. Même constat pour l'Apple Watch Series 11 qui ne semble pas cette année déchainer les passions.
Ce qui est davantage intéressant, c'est qu'Amazon semble être en mesure également de livrer rapidement les Apple Watch Ultra 3. De nombreuses références sont en stock avec une livraison le 22 septembre.
Revue de tests des Apple Watch SE 3, Series 11 et Ultra 3 : des fortunes très diverses
Un mot concernant les AirPods Pro 3. À l'heure où nous écrivons ces lignes, les écouteurs d'Apple sont susceptibles d'être livrés dès demain !
Lors de son test des derniers, iPhone sur CNN, Henry T. Casey, a noté la présence de curieux artefacts dans certaines de ses photos. Elles avaient été prises lors d'un concert où le groupe jouait devant un mur de LED. Des blocs noirs sont apparus dans cet arrière-plan de même que de petites taches de la même couleur par-dessus des zones de couleur claire.
Le journaliste avait utilisé tantôt son iPhone Air, tantôt son 17 Pro Max. Cela ne se produisait pas systématiquement, mais grosso modo une fois sur dix.
Apple lui a donné une explication et promis l'arrivée prochaine d'une mise à jour corrective : « C'est quelque chose qui peut se produire dans de très rares cas lorsqu’un écran LED est extrêmement lumineux et braqué directement sur l’appareil photo. » Il n'est pas précisé si cela affecte aussi l'iPhone 17, mais il est possible que le 17 Pro standard soit concerné au même titre que le Pro Max.
La fin de l’année 2025 devrait être relativement calme pour le Mac. Mais, à l’image de l’iPhone, l’année suivante s’annonce beaucoup plus excitante. Si les rumeurs se confirment, elle pourrait même être spectaculaire avec l’arrivée d’un MacBook Air proposé à un prix défiant toute concurrence.
Le MacBook A18 Pro entrerait en production à la fin de l’année, pour un prix d’entrée de 599 dollars
Mais pour les amateurs de technologies, c’est surtout le MacBook Pro M6 attendu entre fin 2026 et début 2027 qui devrait marquer les 12 à 18 prochains mois. Avant cela, Apple lancera dès le début de l’année prochaine le MacBook Pro M5, un modèle qui serait "une simple mise à jour".
Intéressons-nous donc aux technologies qui pourraient réellement faire la différence sur ce futur MacBook Pro M6.
Quel est le qualificatif le plus souvent associé au terme OLED lorsqu'il s'agit de rumeurs ? C'est bien évidemment le retard, mais, tôt ou tard, cette technologie finira par être plus présente sur les terminaux Apple. Alors que l’iPad Pro en bénéficie depuis plus d’un an, cette technologie devrait enfin faire son entrée dans la gamme MacBook Pro M6.
D'un point de vue industriel, cette hypothèse n'a rien de délirant. En septembre 2024, l’expert du marché des écrans Ross Young avançait pour sa part que la chaîne d’approvisionnement disposerait d’une capacité de production suffisante en 2026 pour équiper les ordinateurs d'Apple. Une hypothèse depuis confirmée par Mark Gurman.
Le premier MacBook Pro OLED sortirait bien en fin d’année prochaine
Sur le papier, l'OLED n'a que des avantages ou presque. Par rapport aux modèles actuels dotés de dalles mini-LED, l’OLED offre une luminosité accrue, un contraste encore plus marqué avec des noirs profonds, une meilleure efficacité énergétique ainsi qu’une qualité d’affichage globale supérieure. Grâce à cette technologie, la dalle pourrait aussi être plus fine, laissant à Apple la possibilité d’agrandir légèrement l’écran sans modifier le gabarit de l’ordinateur.
Il ne faut jamais dire jamais. Chez Apple, c’est même devenu une règle : plus l’entreprise répète qu’elle ne fera jamais quelque chose, plus il y a de chances que cela finisse par arriver. L’idée peut sembler saugrenue, mais quand Ming-Chi Kuo et Mark Gurman avancent la même rumeur, difficile de ne pas tendre l’oreille. Après tout, si l’iPad a fini par adopter une barre de menus, pourquoi le Mac n’aurait-il pas droit à un écran tactile ? Et nul doute qu’Apple trouvera une justification bien à elle, peut-être en expliquant que c’est le Liquid Glass qui change tout.
Kuo : Apple lancera un MacBook Pro à écran OLED tactile fin 2026
D'après Ming-Chi Kuo, la dalle utiliserait la technologie on-cell touch, qui intègre directement les capteurs tactiles dans la couche supérieure de l’écran, plutôt que de recourir à une couche dédiée. Si la rumeur se confirme, Microsoft aura sans doute beau jeu de rappeler qu’il proposait déjà des PC tactiles depuis des années. Mais, comme on dit : il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.
Avec les iPad Pro et l'iPhone Air, Apple donne l'impression de revenir à ses fondamentaux. La finesse est en train de revenir en odeur de sainteté chez Cupertino. Lors de la présentation de l’iPad Pro M4 en mai 2024, la firme n’avait pas hésité à vanter son "produit le plus fin jamais conçu". Mark Gurman y voyait même "le début d’une nouvelle génération d’appareils Apple", ajoutant que le MacBook Pro suivrait le même chemin "dans les prochaines années". L’objectif affiché : concevoir l’ordinateur portable le plus fin possible, sans sacrifier l’autonomie ni les fonctionnalités essentielles.
Les MacBook Pro de 2026 auraient un design largement remanié
Un défi de taille, car le MacBook Pro est devenu plus épais et plus lourd lors de sa refonte de 2021, principalement pour réintégrer des ports qui avaient disparu au nom de la finesse. Comment Apple compte affiner à nouveau son MacBook Pro sans revenir en arrière sur ces ajouts reste donc la grande question.
Avant la grande refonte du MacBook Pro, Apple devrait mettre à jour sa gamme avec les puces M5 attendues début 2026. Gravées par TSMC en 3 nm de troisième génération (N3P), elles offriront les habituels gains annuels en performances et en efficacité énergétique par rapport à la série M4.
Mais c’est surtout avec la génération suivante que les choses sérieuses devraient commencer. Les MacBook Pro redessinés embarqueraient les puces M6, qui pourraient inaugurer un tout nouveau procédé d’assemblage. Selon une rumeur, l’A20 qui équipera l’iPhone 18 en 2026 abandonnerait le packaging InFo (Integrated Fan-Out) pour adopter le WMCM (Wafer-Level Multi-Chip Module). Cette technologie permet d’intégrer plusieurs composants dans un même boîtier : CPU, GPU, DRAM et Neural Engine pourraient ainsi être encore plus étroitement liés.
De là à imaginer qu’Apple combine le procédé 2 nm avec ce packaging WMCM pour donner naissance à une puce M6 surpuissante, il n’y a qu’un pas…
Depuis le passage aux puces Apple Silicon, une question revient régulièrement : quand Apple proposera-t-elle enfin un Mac doté d’une connexion cellulaire, à l’image de l’iPad ? Pendant longtemps, la rumeur prêtait à Apple l’intention de franchir ce cap grâce à ses propres modems maison. Avec l’arrivée du C1 dans l’iPhone 16e et du C1X dans l’iPhone Air, le scénario semble aujourd’hui plus crédible que jamais.
D’après Mark Gurman, Apple étudierait la possibilité d’intégrer une puce modem de seconde génération, le C2, dans un futur Mac dès 2026. On peut y croire…
Précisons que la puce C2 devrait être compatible avec les ondes millimétriques. Dans de rares cas, cela devrait permettre au portable d'Apple d'afficher des débits record. De quoi séduire les utilisateurs nomades enfin, notamment aux États-Unis, où cette technologie est déployée.
Bonne nouvelle pour ceux qui n’ont jamais vraiment digéré l’encoche des MacBook Pro. Selon une feuille de route partagée par le cabinet Omdia, Apple prévoirait de s’en débarrasser dans la prochaine refonte de ses portables haut de gamme. Les modèles 14 et 16 pouces redessinés adopteraient à la place un poinçon discret pour loger la caméra en haut de l’écran. Résultat : quelques pixels supplémentaires de gagnés et surtout une surface d’affichage plus homogène, sans coupure visuelle.
Apple effacerait l'encoche des MacBook Pro en 2026
Une évolution qui rappellerait celle de l’iPhone : l’encoche, apparue en 2017, a fini par céder la place à la Dynamic Island sur les modèles Pro à partir de 2022. Reste à voir si Apple compte intégrer la même logique interactive sur Mac, ou si ce ne sera qu’un choix esthétique. Dans tous les cas, ce changement répondrait à une critique récurrente : une encoche qui empiète depuis des années sur la barre de menus de macOS.
Sur le papier, la proposition a de quoi séduire. Une telle machine pourrait bien convaincre de nombreux utilisateurs des premières générations de MacBook Pro Apple Silicon de passer à la caisse. Entre performances revues à la hausse, design repensé et nouvelles technologies, les arguments ne manquent pas. Mais face à une fiche technique aussi ambitieuse, une question se pose déjà : à quel prix Apple osera-t-elle lancer ce nouveau MacBook Pro ?
C’est en plein milieu de la nuit pour nous européens que Meta a décidé de mettre les pieds dans le plat : en plus de présenter les Ray-Ban Meta 2 (qui ne sont qu’une mise à jour pour rattraper les Oakley récemment sorties), la firme de Mark Zuckerberg a présenté les Ray-Ban Meta Display, premières lunettes avec écran intégré.
Meta lance donc ses lunettes à écran intégré (dans le verre droit précisément), au tarif de 799 dollars. Si déjà pour ce prix vous obtenez une grande première (si l’on omet la tentative des Google Glass, qui faisaient ressembler l’utilisateur à un Borg plus qu’à autre chose), les binocles se veulent en plus relativement utiles, comme l’indique Bloomberg : l’écran intégré peut afficher des messages écrits, des appels vidéos, des directions étape par étape pour le GPS, le résultat des recherches de l’intelligence artificielle de Meta, des photos, l’interface de contrôle des musiques ou encore le viseur pour l’appareil photo intégré.
Selon Andrew Bosworth, CTO (Chief Technology Officer) de Meta, ces lunettes sont « le type d’appareil qui vous permet de laisser de plus en plus votre téléphone dans votre poche au cours de la journée ». Même si pour le moment elles ont toujours besoin d’un téléphone pour fonctionner, le but est d’offrir un accès plus facile à l’information et aux fonctions habituelles d’un smartphone.
L’écran intégré, puisqu’il n’y en a qu’un, offre un angle de vision limité de 20 degrés, et une luminosité allant de 30 à 5 000 nits pour une résolution de 600x600 pixels. Selon Bloomberg, qui a pu tester les lunettes, cela suffit à la majorité des utilisations, qu’elles soient en extérieur ou en intérieur. Le plus surprenant, selon les retours de TheVerge, c’est le côté « invisible » pour l’entourage : même allumé, l’écran est totalement transparent pour l’extérieur, et aucune image n’est visible pour l’entourage. Seul l’utilisateur la voit.
Il est possible d’obtenir les lunettes avec une correction optique intégrée, mais cela reste limité à quelques possibilités et uniquement sur demande. L’appareil photo intégré a un capteur 12 MPixels, et permet l’enregistrement de vidéos 1080p.
Malgré l’ajout d’un écran, Meta indique une durée de la batterie de 6 heures par charge (dont 1 heure avec l'écran allumé), et le boîtier des lunettes permet 30 heures supplémentaires.
Pour contrôler toutes les fonctions, les Ray-Ban Meta Display intègrent un nouveau contrôleur : en plus de la fonction de « swipe » sur le cadre des lunettes comme sur les Ray-Ban Meta habituelles, elles ajoutent un bracelet permettant au porteur d’utiliser ses mains pour interagir avec l’interface.
Ainsi, l’utilisateur peut sélectionner un élément en pinçant le pouce et l'index, passer d’un élément à l’autre en glissant le pouce sur la main, ou encore taper deux fois avec le pouce pour invoquer l’assistant IA de Meta. Pour régler le volume et pour d’autres éléments de l’interface, il suffit de tourner sa main devant soi, comme on le ferait sur une molette de volume imaginaire.
Bien entendu, les lunettes incluent aussi la reconnaissance vocale. Ce qui leur permet, avec l’écran intégré, de proposer la traduction instantanée écrite, comme si des sous-titres vous étaient présentés. La fonction d’appel visio permet de voir l’interlocuteur sur le verre, pendant que celui-ci voit ce qui est devant vous. Il est aussi possible de répondre aux messages textuels par un enregistrement audio, ou en dictant la réponse, mais une autre méthode apparaîtra plus tard dans l’année : la possibilité de répondre en écrivant les lettres devant vous, grâce au bracelet. Concernant l’autonomie de ce dernier, sa batterie est donnée pour durer 18 heures.
L’arrivée de ces lunettes, en plus des versions standard Ray-Ban ou Oakley, montre que le partenariat entre Meta et EssilorLuxottica est particulièrement fort, même si la multinationale ne croyait pas tellement au produit dans un premier temps, hésitant à y placer sa marque phare, comme l’indique Andrew Bosworth :
La vérité, c’est que lorsque nous avons commencé ce projet, Ray-Ban n’était même pas sûr que cela serait suffisamment élégant pour être un produit Ray-Ban. Au départ, ce n’était censé être que des lunettes Meta Display. Et nous avons énormément travaillé pour en arriver à un point où ils se sont dit : « Oh, d’accord, en fait on peut vraiment envisager que ce soit un produit Ray-Ban ».
Si les Ray-Ban Meta Display seront disponibles à partir du 30 septembre au prix de 799 dollars, ce sera pour le moment uniquement dans certaines boutiques physiques, afin de mieux vérifier l’ajustement des lunettes et du bracelet pour chaque utilisateur.
Meta, qui semble ne plus s’arrêter dans le domaine, en a profité pour investir fortement dans son partenaire : la firme de Mark Zuckerberg a ainsi pris 3 % de parts dans EssilorLuxottica, pour 3,5 milliards de dollars. Mais pour Andrew Bosworth, cet investissement est tout à fait normal et justifié :
Nous investissons beaucoup d’argent. Nous pensons qu’il s’agit d’un investissement dont nous attendons un retour. Nous pensons pouvoir y parvenir aussi bien du côté matériel que du côté logiciel et services.
Ces lunettes sont le premier test grandeur nature pour des binocles intelligentes à écran intégré : la firme prévoit d’en vendre 100 000 d’ici la fin 2026. Il faut dire qu'elle se limitera à quelques pays pour le moment : les USA au départ, puis la France, le Canada, l’Italie et la Grande-Bretagne courant 2026. Bien entendu, les prochaines versions arriveront par la suite, améliorant l’écran intégré, puis en ajoutant un second sur l’autre verre pour proposer une interface en 3D naturelle. La firme pense à un futur App Store pour ses lunettes, mais ça n’arrivera pas avant quelques temps : le SoC intégré n’a pour le moment pas les capacités nécessaires à gérer des apps tierces (contrairement aux versions sans écran qui s’ouvrent maintenant aux développeurs).
Meta a encore de nombreux projets dans les cartons concernant la réalité augmentée, selon son CTO. Avec pourquoi pas, un jour, des lentilles de contact à la place des lunettes. Si cela relève encore de la science-fiction, « Nous ne mettons de côté aucune option » rappelle Alex Himel, l’ingénieur responsable de l’équipe Reality Labs de Meta.
Une série de mises-à-jour pour macOS, avec macOS Sequoia 15.7, et bien sûr l'arrivée de macOS Tahoe 26 pour les plus aventureux. Mettez à jour.
Comme d'habitude avec un nouvel OS, je recommanderais d'attendre macOS 26.3 au moins que tout soit bien stabilisé, dont l'interface LiquidGlass qui pourrait encore évoluer si on est chanceux.
Pour iOS, bien sûr iOS 26 avec là aussi le même bémol, et iOS 18.7 que je recommanderais fortement, iOS 16.7.12 et même iOS 15.8.5 supportant l'iPhone 6S dix ans après sa sortie, un beau record!
Les iPad sont touchés aussi. Mettez-à-jour.
Le point le plus essentiel c'est le retour d'une faille dans le traitement des images, CVE-2025-43300, avec un beau score CVSS 3 de 8.8/10, signifiant que c'est très probablement exploitable à distance et sans intervention de l'utilisateur avec une prise de contrôle ou au moins l'implémentation d'un malware.
Donc comme d'habitude bien probablement au travers de Message!
Cette même faille était annoncée comme comblée par Apple le 20 août 2025. Apparemment pas!
Les rumeurs s’accumulent sur la possible arrivée d’un MacBook d’entrée de gamme, embarquant un processeur venant de l’iPhone. Si cet appareil restait jusqu’à présent une hypothèse, selon Ming-Chi Kuo, la production commencerait à la fin de cette année.
Les détails se font de plus en plus précis sur cette machine se voulant abordable : l’écran devrait être aux alentours de 13 pouces, ce qui en ferait une machine de la taille d’un MacBook Air actuel. Concernant les couleurs, Apple mettrait un peu de fantaisie, le proposant en argent, bleu, rose ou jaune.
Selon DigiTimes, la machine serait vendue entre 599 et 699 dollars aux USA, ce qui peut donner un prix de vente entre 700 et 800 euros en France. Avec un tel tarif, un SoC A18 Pro repéré dans le code d’Apple Intelligence au mois de juillet, un écran de bonne facture, un poids très contenu et une autonomie confortable, la machine pourrait devenir un hit absolu pour les étudiants.
Une puce A18 Pro pourrait-elle battre une M1 dans un MacBook « SE » ?
Du côté mémoire, aucune donnée ne transpire, mais il est imaginable qu’elle soit dotée d’un minimum de 8 Go, voire plus probablement 12 ou 16 Go, pour être confortable avec Apple Intelligence. Apple aurait aussi la puce toute trouvée pour une prochaine génération en 2027, avec l’A19 Pro présenté ce mois-ci dans l’iPhone 17 Pro. De la même manière, si le nombre de ports n’est pas encore précisé, il est plus que probable qu’un MacBook A18 Pro se contente de l’USB-C, et de la possibilité d’un seul moniteur externe.
Une telle configuration pourrait ressusciter le nom « MacBook », abandonné avec le MacBook 12 pouces, première machine portable moderne d’Apple à être sortie avec un refroidissement passif. Mal positionnée en tarif à l’époque, équipée d’un processeur Intel Core m chauffant trop et étant touchée par les fameux « claviers papillon », elle n’avait pas eu le succès escompté par Apple.
Reste à savoir quand Apple sortirait une telle machine. Courant du premier semestre, comme les autres ? Ou plus vers la rentrée, marquant le côté « machine pour étudiants » ? Réponse en 2026, quoi qu’il arrive.
Les AirPods Pro 3 viennent équipés d’une puce U2, qui selon Apple permet d’améliorer la distance à laquelle les écouteurs peuvent être retrouvés (s’ils sont dans le boîtier, étant donné que seul celui-ci est équipé de la puce en question). Cependant, le diable est dans les détails : en bas de la page de présentation, il est précisé que la portée 1,5x plus élevée nécessite un iPhone 17 ou un iPhone Air.
Les AirPods Pro 3 coûtent 30 € de moins, mais sont livrés sans câble USB-C
Pourtant, cette fameuse puce U2 existe déjà depuis deux générations d’iPhone : elle est apparue avec les iPhone 15. Deux hypothèses possibles à cette limitation : la première voudrait qu’Apple n’ait testé la précision exacte de cette fonction que sur les nouveaux appareils, et donc ne veuille pas se prononcer sur la distance utile avec les iPhone 15 et 16 (le côté procédurier de certains pays, y compris le pays d’origine d’Apple étant légendaire, il vaut mieux faire attention aux promesses de ce type) ; la seconde que cette amélioration ne touche que les nouveaux iPhone.
Revue de test des AirPods Pro 3 : une formule aboutie pour un mode traduction perfectible
Si vraiment seule la nouvelle gamme profite de cette amélioration de la portée, il faudra éclaircir le motif : nouvel agencement des antennes ? Changement logiciel ? Changement dans la référence de la puce U2 ? Ou aucune raison sérieuse ? Quoi qu’il en soit, nous profiterons bien entendu de l’arrivée de ces écouteurs et des nouveaux iPhone pour faire un petit test, et comparer avec les anciens.
Comme souvent avec les premières versions des nouveaux systèmes, quelques incompatibilités peuvent survenir. Souvent documentées par Apple elle-même (qui réagit la plupart du temps au quart de tour quand ça concerne un produit de sa propre enseigne), elles sont corrigées assez rapidement. Espérons que ce soit le cas pour celle de macOS 26, qui touche pour le coup non pas un accessoire, mais une machine spécifique d’Apple : le Mac Studio M3 Ultra.
En effet, de nombreux retours que ce soit sur Reddit ou sur les forums d’Apple font état d’une installation impossible sur les Mac Studio M3 Ultra (et ce processeur spécifiquement, pas d’inquiétude pour les autres à priori), qui ne vont pas jusqu’au bout du process et affichent une erreur bloquant l’installation.
Le souci intervient quelle que soit la précédente version de macOS installée, certains ayant tenté depuis macOS 15.7 sorti en même temps que macOS 26 avec le même résultat. La machine étant relativement peu diffusée par rapport à d’autres étant donné son tarif, le nombre de retours documentés sur Reddit ou les forums Apple montre qu’une bonne partie si ce n’est toute la série de Mac Studio M3 Ultra est touchée. En attendant une mise à jour qui ne tardera sûrement pas de la part d’Apple, si vous avez un Mac Studio M3 Ultra, il est plus sage de rester sur macOS 15.7 Sequoia.
Les premières prises en mains des nouveaux iPhone sont disponibles. On y apprend notamment davantage sur l'autonomie et les performances de ces nouveaux modèles.
Les tests confirment que les iPhone 17 Pro et 17 Pro Max ont bel et bien un gain significatif en autonomie par rapport à l'année dernière, de l'ordre de 10%.
Sans surprise, l’iPhone Air, bien qu’équipé de la même puce A19 Pro que les modèles 17 Pro, reste nettement derrière en termes d'autonomie. Sa finesse se paye cher : il offre une endurance réelle inférieure de 30 à 40 % à celle d’un iPhone 17 Pro. Le lancement de la batterie MagSafe, uniquement compatible avec ce modèle, prend tout son sens...
L'iPhone 17, de son côté, obtient quasiment les mêmes chiffres d'autonomie que le 17 Pro ce qui ne fait que confirmer mes premières impressions lors de la Keynote : l'iPhone 17 semble bel et bien être, de loin, le "modèle [d'iPhone] au meilleur rapport qualité-prix depuis un certain temps" (moi).
A noter que ces chiffres se basent sur des modèles canadiens qui, tout comme ceux des Etats-Unis, sont dépourvus de nano-SIM et donc disposent d'une autonomie légèrement supérieure à ceux qui seront disponibles chez nous.
Niveau performances, la review de Dave2D propose le graphique ci-dessus. Les gains en performances sont là. Les modèles Pro conservent également leurs performances bien plus longtemps grâce à la dissipation thermique améliorée. On notera que les modèles 17 Pro, Pro Max et Air ont tous 12 Go de RAM contre 8 pour le 17 (à titre comparatif, toute la gamme d'iPhone 16 et 16 Pro de l'année avait 8 Go de RAM).
En ce qui concerne les caméras, les modèles 17 Pro ont bel et bien un zoom optique 4x au lieu de 5x de l'année dernière mais le fait que le capteur soit bien plus large semble offrir des capacités supérieures (et d'atteindre les fameux 8x "optiques"). La caméra frontale, la même sur toute la gamme de cette année, est apparemment une très nette amélioration. Cela renforce encore plus mon point plus haut concernant l'iPhone 17 (la dalle OLED 120 Hz du 17 étant également quasiment la même que sur les Air et Pro).
La gamme d'iPhone de cette année semble finalement proposer un iPhone 17 au rapport qualité-prix imbattable, des 17 Pro et 17 Pro Max excellents et un iPhone Air qu'on pourra qualifier de "novateur" au niveau de l'ergonomie de ses composants internes (peut-être un modèle de passage avant les modèles pliants, ce qui expliquerait l'absence de "17" dans son nom).
Pour rappel, l'ensemble de ces modèles sont disponibles à la précommande pour une sortie ce vendredi 19 septembre. A ce jour, au vu de l'écoulement des stocks, les dates de livraisons sur site d'Apple ont glissé au mois d'octobre. Il est cependant toujours possible de précommander son iPhone sur le store officiel d'Apple sur Amazon pour l'obtenir dès cette semaine avec les mêmes garanties (et soutenir MacBidouille par la même occasion).
Et vous, que pensez-vous de cette nouvelle game ? Les améliorations vous pousseront-elles à mettre à jour votre modèle cette année ?
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