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- Après Pat Gelsinger, Intel désigne son nouveau patron ! Quelles sont ses priorités ?
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- Pas de backdoor pour le Royaume-Uni : Apple obtient une audience à huit clos
Pas de backdoor pour le Royaume-Uni : Apple obtient une audience à huit clos
Microsoft enterre définitivement Remote Desktop
Le Mac Studio gagne le mode Économie d’énergie

Promo : l’adaptateur double USB-C 35 W d’Apple à 50 € au lieu de 65
L’adaptateur USB-C double d’Apple est de nouveau en promotion notamment chez Amazon, cette fois à 50 € au lieu de 65. C’est son meilleur prix pour le géant du commerce, même si on l’a croisé à plus bas encore pendant des soldes. C’est aussi un très bon prix pour cet accessoire capable de charger deux appareils en même temps, même s’il faut garder à l’esprit que sa puissance totale limite les possibilités.

Avec ses 35 W au maximum, il peut alimenter deux appareils à 17,5 W ou bien laisser plus de puissance à celui qui le demande. Apple le propose avec son MacBook Air, qui n’a pas besoin d’énormément d’énergie et qui peut ainsi occuper un port, tandis que l’autre pourra servir à charger un iPhone, par exemple. Néanmoins, n’espérez pas charger rapidement le smartphone d’Apple en même temps qu’un MacBook Air, la puissance totale est trop limitée pour cela.

Mini-test de l’adaptateur secteur 35 W d’Apple à double port USB-C
C’est peut-être trop contraignant au prix de base de 65 €, c’est déjà une meilleure option à 50 €. On le trouve à ce tarif chez Amazon ainsi que sur des boutiques en ligne françaises, comme chez Boulanger.
Du côté d’Amazon, on note aussi que l’adaptateur USB-C 20 W est en promotion également, à 18 € au lieu de 25. Celui-ci est surtout intéressant pour la charge rapide d’un iPhone, ou bien pour un iPad.
iRobot va mal : bientôt la fin des Roomba ?
Sonos abandonne son projet d'Apple TV
Le HomePod à écran entrerait toujours en production cet été
Le HomePod équipé d'un écran entrerait en production dans le courant du 3e trimestre, indique l'analyste Ming-Chi Kuo. Il réitère en cela une affirmation faite en décembre dernier selon laquelle ce produit a connu des retards successifs (Kuo s'attendait à une arrivée en 2024). Le lancement de sa fabrication aurait pu intervenir ce trimestre-ci, mais des impondérables l'auraient fait reculer à cet été, après la WWDC.
L'analyste citait en décembre des difficultés sur la partie logicielle, sans les détailler. Dans un tweet, il mentionne brièvement Apple Intelligence mais aussi la nécessité pour Apple d'aligner l'interface de ce produit sur les changements prévus à l'occasion d'iOS 19 qui deviendront le nouveau visage logiciel des produits de la fin 2025.

On peut aussi se poser la question de l'importance de l'impact qu'a eu la décision de renvoyer à plus tard certaines capacités de Siri. Fin janvier, Bloomberg affirmait que ce Siri dopé à Apple Intelligence serait un élément clef de l'interaction avec ce HomePod d'un nouveau genre. La semaine dernière, Apple a très officiellement repoussé à des jours meilleurs — courant 2026 — la mise en route de ce Siri plus puissant.
Cet accessoire d'Apple serait formé d'une enceinte, d'un écran de format carré de 6 à 7" et d'une puce A18, toujours selon les informations de Ming-Chi Kuo remontant à décembre.

Apple compte bien présenter son HomePod à écran en 2025
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- Chiffrement d’iCloud au Royaume-Uni : l’audience demandée par Apple se tiendra vendredi
Chiffrement d’iCloud au Royaume-Uni : l’audience demandée par Apple se tiendra vendredi
Alors qu’Apple a modifié le comportement d’iCloud au Royaume-Uni pour se conformer autant que faire se peut à l’injonction reçue de laisser un accès aux données de toute personne passant sur le territoire britannique, elle n’a cependant pas dit son dernier mot et a déposé un recours. Sa demande d’audience a été confirmée et se tiendra vendredi, comme l’indique la BBC.

La demande venant d’un organisme très particulier du pays, lié aux services de renseignements, l’appel est tout aussi spécial : il se tient devant l’Investigatory Powers Tribunal, une cour indépendante seule à pouvoir juger les actions des services de renseignements britanniques. Bien entendu, tout comme l’injonction d’origine était censée être secrète et le rester, l’audience devant cette cour doit se tenir à huis clos, et même ses conclusions ne devraient pas sortir de l’enceinte.
Caroline Wilson Palow, directrice juridique à Privacy International, ne voit pas les choses sous le même angle, et demande que l’audience soit publique.
Cette audience ne doit pas être tenue secrète. Le public a le droit de savoir si oui ou non la sécurité d’un service utilisé par des millions, voire des milliards de personnes dans le monde est sapée.
Il faut dire que si Apple a déjà fait un pas pour satisfaire le législateur britannique, cela n’est pas suffisant au goût de celui-ci, l’injonction forçant la pomme à laisser la porte grande ouverte aux services du pays pour accéder à n’importe quelle information se trouvant sur les serveurs iCloud d’Apple, quel que soit l’utilisateur visé. La pomme ayant fait appel de la décision, l’injonction est suspendue pour le moment... en attendant le verdict.
Cette affaire, qui est remontée jusqu’aux États-Unis, a de quoi sérieusement inquiéter : la loi est faite de telle manière que l’entreprise recevant l’injonction n’a pas l’autorisation d’en faire état publiquement. Si Apple a fini par l’avouer suite à une fuite dans le Washington Post, rien ne dit pour autant que c’est la seule entreprise visée. Potentiellement, toute entreprise de la tech hébergeant des données client peut être touchée par la même injonction, la forçant à laisser libre accès à ses données, sans même pouvoir en tenir informés ses clients.
Chouette, ChatGPT va vraiment pouvoir remplacer Yann Moix
Donald Trump vient à l’aide de Tesla, qui n’en finit plus de chuter
Alors que les cours de l’action Tesla n’en finissent plus de chuter il semble que son patron, Elon Musk, commence à voir un peu plus la réalité en face : alors qu’il paraissait bien moins vindicatif lors d’une récente interview sur Fox Business, il a en parallèle lancé une campagne de pub... avec Donald Trump et le parti Républicain comme porte-drapeau.

Depuis la fin de l’année 2024, Tesla ne fait que chuter en bourse : l’action du fabricant de voitures électriques a ainsi perdu plus de 800 milliards de dollars de capitalisation en trois mois. Comme rapporté par Zone Bourse, si jusqu’à présent Elon Musk semblait inébranlable, sa dernière interview montre des signes de retour au monde réel, le patron répondant dans un soupir qu’avec le poids du DOGE, il gère ses autres entreprises « avec beaucoup de difficultés ».
C’est le moins qu’on puisse dire, et il serait temps qu’Elon Musk se rende compte que sa proximité auprès du Président des États-Unis d’Amérique, ainsi que ses prises de position pour le moins polémiques, sont difficilement compatibles avec le fonctionnement serein d’une entreprise. Voyant aux USA son image associée aux agissements du DOGE, Tesla fait l’objet de boycotts de plus en plus sévères, de manifestations, voire même d’attaques de ses points de vente. En Europe, ce n’est pas mieux voire pire, le constructeur de voitures électriques se retrouvant avec des ventes quasiment divisées par deux en janvier sur le vieux continent, alors que les voitures électriques dans leur ensemble ont progressé de 37 %.

Aux Républicains, aux Conservateurs, et à tous les bons américains, Elon Musk se plie en quatre pour aider notre Nation, et il fait un BOULOT FANTASTIQUE ! Mais les fanatiques radicaux de gauche, comme à leur habitude, essayent illégalement de faire collusion pour boycotter Tesla, l’un des plus grands constructeurs automobiles du monde, et le « bébé » d’Elon, dans le but de l’attaquer et de le blesser, ainsi que tout ce à quoi il tient. Ils ont déjà tenté de me faire la même chose durant les présidentielles 2024, mais est-ce que ça a fonctionné ? Quoiqu’il en soit, je vais acheter une Tesla toute neuve demain matin, pour montrer ma confiance et mon support envers Elon Musk, un vrai grand américain. Pourquoi devrait-il être puni pour avoir mis ses grandes capacités dans l’idée de rendre sa grandeur à l’Amérique ???
Pour contrer cette mauvaise fortune, au moins dans son pays d’adoption, Elon Musk a choisi de faire appel à son ami Donald Trump et au pouvoir de communication de la Maison Blanche et du parti Républicain. Ainsi, Donald Trump a testé et revu sous toutes les coutures toute la gamme Tesla devant les caméras, pour au final choisir une Model S Plaid rouge dont il dit faire un chèque immédiat au patron de la marque. Ce n’est pas le seul à faire part de cet achat, le panel s’étendant de plusieurs sénateurs du parti à l’éléphant jusqu’à Sean Hannity, présentateur de Fox News.

Dans le même temps, Donald Trump en a profité pour appuyer son ami milliardaire, en attaquant directement les personnes incitant au boycott de la marque sur son réseau Truth Social. Aura-t-il la dent aussi dure face à Kia, qui a profité de l’état actuel de Tesla pour surfer sur la vague d’autocollants se multipliant à l’arrière des voitures d’Elon Musk ?
Toujours est-il que la chute du constructeur US ne semble pas devoir s’arrêter, alors que de plus en plus d’actionnaires se regroupent avec une seule demande : la tête du DG sur un plateau.
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- C’est officiel, Pokémon Go est vendu 3,5 milliards de dollars aux Saoudiens
C’est officiel, Pokémon Go est vendu 3,5 milliards de dollars aux Saoudiens
La CPU du M3 Max aussi rapide que celle du M2 Ultra?
[MàJ par Philippe]
Mêmes causes mêmes effets entre M4 Max et M3 Ultra!
[Article initial]
Attention, on va encore reparler de résultats de GeekBench 6 non-officiels, non-validés et toujours non-reproductibles. Donc là aussi, il y aura du conditionnel, et plus que cela il faut éviter de comparer des pommes et des oranges au travers d'un outil inadapté.
On a vu fleurir des articles avec les résultats GeekBench 6 du M3 Max comparés à ceux du M2 Ultra, et concluant que le premier est maintenant l'égal du second, et je dois m'inscrire en faux. Je vais vous expliquer pourquoi!
Architecture des M Ultra
Les M1 Ultra et M2 Ultra sont composés de deux M1 Max ou M2 Max accolés via un bus interne, cela permet un doublement des cœurs et donc de leurs performances théoriques. Leurs caches L3 sont aussi séparés et communiquant via ce même bus.
C'est de là que vient le problème, comme pour les Xeon des Mac Pro Intel : pour en tirer la substantifique moelle, il faut absolument éviter que des données partagées ou pire mises à jour, ne soient nécessaires sur les différents caches L3 simultanément, sauf à provoquer des allers-retours de celles-ci entre ces caches au travers du bus et des ralentissement importants.
GeekBench 6 et ses résultats étranges
Sous GeekBench 6, on peut observer le phénomène de deux façons différentes, d'abord avec le manque de montée en puissance multithread des Mac Pro Intel, le 28 cœurs (10426) ne semblant délivrer que 46% de plus que le 8 cœurs (7118). C'est faux avec des logiciels pro.
Ensuite par la faible différence de performance multithread entre un M2 Max et un M2 Ultra, 44% de plus, ne correspondant en rien au doublement de performances théoriques. C'est tout aussi faux avec ces mêmes logiciels pros.
Le problème n'est pas les Xeon, ceux qui en ont pourront en témoigner, ou le M2 Ultra, mais bien GeekBench 6...
Logiciels non-professionnels
Ce que mesure GeekBench 6 est un mélange de logiciels plus ou moins bien multithreadés dont la plupart ne sont pas aptes à exploiter des architectures avancées, professionnelles. Je résumerais en disant qu'ils représentent des logiciels grand-publics multithreadés.
Pas des logiciels professionnels.
Logiciels professionnels
Avec ses 24 cœurs un peu plus lents, le M2 Ultra est toujours le plus rapide si la charge est parfaitement répartie, incluant la localité mémoire surtout au niveau des caches, pour éviter de l'éviction à répétition et le transfert de données réutilisées d'un cache à l'autre par le bus interne.
C'est le cas des logiciels professionnels, ceux qui savaient tirer le meilleur du Mac Pro Intel 28 cœurs, et dont beaucoup ont été portés sur les Mac ARM incluant les M1 Ultra et M2 ultra. Ces logiciels sont architecturés pour ce type de matériel et ne rencontreront pas les limites observées dans GeekBench 6, qui ne les représente pas correctement.
Le M3 Max est un gros progrès mais pas comparable au M2 Ultra
J'apprécie GeekBench 6, mais il n'est pas conçu pour mettre en avant tout le potentiel des architectures très multithreadés, avec des caches L2 séparés ou de la localité mémoire (NUMA). Pour cela GeekBench 5 fournissait un tableau bien plus réaliste dans le cadre d'usage de logiciels conçus et optimisés pour ces architectures, qu'on ne retrouve que dans le monde professionnel ou les serveurs.
Si le M3 Max sera aussi rapide que le M2 Ultra sur des logiciels grand public, ça ne sera pas le cas sur les meilleurs outils professionnels, qui depuis des années sont peaufinés pour exploiter à fond les Mac Pro Intel et maintenant les doubles SoC Ultra.
Il faut toujours remettre les résultats des benchmarks dans leur contexte et GeekBench 6 n'est pas fait pour ce type d'architecture ni d'usage. C'est pour cela que nous n'avons pas reproduit ces résultats, car ils n'ont pas de valeur dans ce cadre.
GeekBench 5 est plus indiqué pour cela même si plus âgé.
En revanche, face au M2 Max 12 cœurs, le M3 Max 16 cœurs amènerait un gain en performances CPU multithread de l'ordre de 50%, un bond en avant pour les MacBook Pro ainsi que le futur Mac Studio M3 Max.
Même si la micro-architecture n'a pas évoluée, en jouant avec les fréquences et le nombre de cœurs Performance, Apple a sorti un SoC doté d'une CPU de premier plan pour les ordinateurs portables, mais qui ne se compare pas au M2 Ultra du Mac Studio!
iOS 19, un ravalement de façade pour cacher les retards ?
Alors que la rumeur de l’arrivée d’une nouvelle interface pour iOS et iPadOS 19 bruisse de plus en plus fort, chaque fuiteur habituel y va de sa petite info, et Jon Prosser n’échappe pas à la règle.
Ce n’est pas la première fois que le youtubeur adepte des fuites fait part d’une possible refonte de l’interface pour la prochaine version du système, même si jusqu’alors il ne parlait que de l’appareil photo.
Poussé par la convergence avec ses collègues, il prévoit maintenant une mise à jour de l’interface complète pour mettre un peu de cohérence entre tous les produits de la marque, en reprenant les codes introduits dans visionOS.
Changer le design... pour cacher les retards ?
Même si l’affirmation peut paraître un peu prématurée (nous en aurons le cœur net avec la WWDC 2025), une telle convergence des gros bonnets de la fuite pommée paraît trop belle pour ne pas être un poil organisée.
Le dépoussiérage de l’interface d’iOS, s’il n’est pas inutile, semble typique d’une Apple qui n’a pas grand chose à présenter de nouveau niveau mécanique : on change quelques gros éléments de design, on refait la peinture, et on sort l’argument facile du « Nous avons fait avec iOS 19 un redesign de l’interface, pour mieux nous occuper de la chasse aux bugs dans le système. Ainsi, vous disposerez cet automne du meilleur iOS sorti, totalement optimisé, avec une toute nouvelle interface ».
L’idée n’est tellement pas nouvelle que même 9to5Mac y pense, trouvant qu’un « redesign profond de l’OS de l’iPhone sera un prétexte parfait pour faire oublier les délais à rallonge des fonctions promises d’Apple Intelligence ».
Si un OS de transition n’est pas dramatique en soi, permettant au passage de chasser les nombreux bugs qui traînent depuis des années dans le code, il faut aussi se rappeler que c’est pile ou face avec les utilisateurs : au moment du passage d’iOS 6 à iOS 7, si nombreuses étaient les louanges sur la nouvelle interface, d’autres regrettaient la disparition du skeuomorphisme cher à Scott Forstall.
Au final, tout dépendra de comment Apple présentera les choses... et du retard exact annoncé en juin pour les fonctions qui étaient prévues cette année au plus tard : si celles-ci ne sont pas trop repoussées, alors le ravalement de façade suffira probablement à contenter la majorité des clients.
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- Spotify a versé 10 milliards de dollars aux artistes en 2024, qui en veulent plus
Spotify a versé 10 milliards de dollars aux artistes en 2024, qui en veulent plus
Sonos annule son projet Pinewood, concurrent de l’Apple TV
Prise dans des difficultés dont elle ne semble pouvoir se débourber, la marque Sonos annonce encore une mauvaise nouvelle : alors qu’elle prévoyait de venir sur les plate-bandes d’Apple, d’Amazon et de Google pour proposer un boîtier de streaming vidéo, elle annonce officiellement l’annulation du projet.

Sous le nom de code Pinewood (comme les fameux studios où ont été tournés nombre de James Bond), le projet était pourtant très avancé : de nombreux mois de beta test étaient déjà passés, et le boîtier était prévu pour être LE grand lancement de 2025.
Officiellement, le nouveau CEO par intérim a annoncé préférer mettre toutes les équipes y compris celles dédiées à ce projet sur une nouvelle organisation, dans l’espoir d’inverser la tendance catastrophique de l’année dernière.

2024 : l'annus horribilis de Sonos
Espérons pour la marque que ce n’est que le dernier chapitre de ce mauvais scénario, et que les prévisions du nouveau CEO pour remettre la firme dans les rails se dérouleront sans accroc. Une nouvelle erreur pourrait très bien sceller le sort de l’entreprise.
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- -100€ sur le routeur Netgear Nighthawk RS700S ! 4Gb/s en Wi-Fi 7 et 10 GbE !
-100€ sur le routeur Netgear Nighthawk RS700S ! 4Gb/s en Wi-Fi 7 et 10 GbE !
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- Il y a bien un risque d'incendie avec certains Pixel 4a selon les autorités australiennes
Il y a bien un risque d'incendie avec certains Pixel 4a selon les autorités australiennes
Les problèmes liés au Pixel 4a, un smartphone Google qui a eu un certain succès en 2020, continuent. Au début de cette année, Google avait mis en ligne une mise à jour surprise pour son smartphone — abandonné en pratique depuis 2023 — qui avait amené un comportement assez gênant chez une partie des utilisateurs : une diminution drastique de l'autonomie.

Pixel 4a : une mise à jour surprise réduit l’autonomie du téléphone
Un peu après, diverses analyses montraient que la mise à jour modifiait de façon très importante la manière dont certaines batteries se chargeaient. Le smartphone a été livré à l'époque avec des batteries de deux fournisseurs différents et la correction réduit très largement la capacité pratique d'une des deux variantes. La capacité réelle passe d'environ 3 000 mAh à 1 500 mAh, avec une tension maximale en baisse (3,95 V). Le résultat est une autonomie réduite à peau de chagrin, avec dans certains cas une autonomie de l'ordre de deux à trois heures.

Officiellement, pour Google, il n'y a pas de problème : le smartphone reste utilisable sans danger. Mais la firme propose tout de même une compensation, avec trois possibilités : un changement de batterie, un remboursement de 50 $ ou une réduction de 100 $ sur un smartphone Pixel.

De nombreuses questions se posent sur la mise à jour qui réduit l'autonomie des Google Pixel 4a
Mais comme Ars Technica, qui a suivi cette saga, le montre, il y a tout de même un gros problème. L'ACCC (Australian Competition and Consumer Commission, un organisme de régulation australien) indique explicitement que la mise à jour est là pour réduire un risque de surchauffe, et que cette surchauffe amène un risque d'incendie ou de brûlure pour le propriétaire. L'ACCC recommande de vérifier que la mise à jour a bien été appliquée, justement pour éviter ce risque.

Si — comme nous l'avions noté — il n'y a toujours pas d'exemples d'incendie provoqué par un Pixel 4a (et c'est plutôt une bonne nouvelle), la communication de l'ACCC n'est pas exactement la même que celle de Google. L'organisme met bien en avant un risque qui a été corrigé par la mise à jour, quand Google se contente de parler d'une amélioration de la stabilité des performances de la batterie, ce qui semble tout de suite moins alarmant.
Dans tous les cas, si vous avez un Pixel 4a, la mise à jour semble donc indispensable… même si elle rend le smartphone plus ou moins inutilisable.
Un nouveau scandale éclabousse Mark Zuckerberg et Facebook
Le légendaire xeyes disponible sur le Mac App Store
Connaissez-vous xeyes ? Ce petit utilitaire amusant (et totalement inutile) est disponible dans une version optimisée pour les Mac Apple Silicon, sur le Mac App Store. xeyes n'est pas nouveau et le portage présenté ici non plus (il a près de 10 ans et est open source) : c'est un logiciel apparu en 1988 et porté ensuite sous X11. xeyes ne fait rien d'utile : il s'agit juste d'une paire d'yeux qui va suivre le curseur de votre souris, comme si une personne dans l'ordinateur regardait ce que vous faites.
Il faut se mettre dans le contexte de l'époque, surtout pour ceux qui n'avaient pas un Macintosh : dans les années 80, les interfaces graphiques fluides et les interactions avec cette dernière étaient parfois rudimentaires. Dans les premières versions de Mac OS (qui ne s'appelait pas encore Mac OS) ou de Windows, le déplacement d'une fenêtre n'affichait pas le contenu de cette dernière, par exemple. xeyes, surtout avec X11 qui était le gestionnaire de fenêtre le plus courant avec les systèmes UNIX, permettait une interaction amusante et le programme a donc souvent été installé par défaut. La version distribuée sur le Mac App Store n'est pas la première qui existe pour le système d'Apple, mais elle est gratuite et peut amener une petite bouffée de nostalgie pour les plus vieux d'entre-vous (et c'est déjà pas mal en 2025). Enfin, si vous aimez le genre, l'app Googly Eyes fait à peu près la même chose, mais avec un design différent (et plus moderne) pour les yeux et une intégration dans la barre de menus.
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- Apple retarde son HomePad : des difficultés avec iOS 19 et Siri Intelligent
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- Le clavier ergonomique Logitech Wave Keys en vente flash à -39% : son meilleur prix !
Le clavier ergonomique Logitech Wave Keys en vente flash à -39% : son meilleur prix !
Feu vert pour la Commission d'enquête sur la toxicité de TikTok
iRobot présente les aspirateurs-robots Roomba de la dernière chance
Pour oublier l’annus horribilis qu’a été 2024, iRobot présente « la gamme la plus importante et la plus complète des 35 ans d’histoire de la société », qui ne compte pas moins de huit nouveaux modèles. Pour la première fois et comme de nombreux concurrents chinois, les aspirateurs-robots Roomba naviguent et cartographient leur environnement à l’aide d’un lidar.

Originellement créée pour concevoir des robots militaires, iRobot a réalisé le vieux rêve de l’aspirateur-robot en mettant au point un système de navigation par tâtonnements. Lorsque son pare-chocs mécanique bute contre des objets, le Roomba change de direction en mesurant ses déplacements relatifs, progressant ainsi de proche en proche jusqu’à nettoyer toute la maison. Des projecteurs de lumière infrarouge aux caméras en passant par les capteurs acoustiques, iRobot n’a cessé d’améliorer les capacités de ses aspirateurs-robots, mais n’a jamais cédé aux sirènes du lidar.
Ses concurrents chinois ont pourtant fait d’immenses progrès en utilisant ce système d’estimation de la distance par laser. Les aspirateurs-robots dotés d’un lidar circulent plus rapidement sans autant buter contre les obstacles. Avec la technologie de navigation ClearView Lidar, qui rejoint la fonctionnalité de reconnaissance des objets PrecisionVision et les autres mécanismes de détection et d’évitement des objets, iRobot reconnait que son bon vieux système de progression par tâtonnements n’est plus le nec plus ultra.
La nouvelle gamme Roomba, qui sera disponible à partir du 18 mars prochain en précommande et du 23 mars prochain en magasins, compte huit modèles entre 299 et 799 €. Le série 105 inaugure le nouveau système d’aspiration qui équipe toute la gamme, qui comporte quatre niveaux jusqu’à 7 000 Pa, soit 70 fois plus que les anciens modèles de la série 600. Le Roomba 205 possède un « compacteur » qui lui permet de stocker des mois de saletés sans station d’accueil, alors que les Roomba 405 et 505 sont fournis avec la base AutoWash sans entretien.
Ces deux modèles sont équipés, autre première chez iRobot, d’une paire de serpillières rotatives. Avec son système de nettoyage et de séchage de la serpillière, sa base contenant un réservoir de 2,3 L de liquide souillé et 3 L d’eau fraiche, et son système ultrasonique de détection des tapis, le Roomba 505 vient directement concurrencer les modèles de Roborock et Dreame. Les appareils sont déclinés en plusieurs variations et plusieurs couleurs pour un total de huit déclinaisons.
Le fait est que les aspirateurs-robots d’iRobot n’ont jamais autant ressemblé à leurs concurrents. C’est peut-être ce qu’il faut pour faire oublier le tumulte de l’année 2024, pendant laquelle l’entreprise américaine a dû abandonner son projet d’acquisition par Amazon, a perdu son fondateur et CEO, et licencié de nombreux salariés. Les ennuis ne sont pas finis : iRobot doit encore rembourser le prêt de 200 millions de dollars qu’elle a contracté auprès du Carlyle Group. Si la nouvelle gamme ne suffisait pas à convaincre les clients, l’entreprise pourrait passer par pertes et profits.
Meta a pillé des livres français pour entrainer son IA
Le navigateur Horse propose désormais une période d'essai de 7 jours
Nous vous avons présenté en début d’année le navigateur Horse, qui se base sur Chromium et qui a comme particularité de ne pas disposer d’onglets traditionnels. Si le concept est intrigant, les développeurs ne proposaient jusqu’à présent aucune manière de l’essayer sans passer à la caisse. L’équipe a décidé de revenir sur cette décision en lançant une période d’essai de 7 jours, ce qui devrait vous laisser le temps de vous faire une idée.

En plus d’afficher beaucoup de photos de chevaux, Horse se démarque par son parti pris sur la question des onglets : il n’y en a pas, et la navigation se fait à l’aide de « Trails » (sentiers). Chaque page visitée apparaît sur la gauche, et chaque lien cliqué vient enrichir ce sentier. Il est possible de le réorganiser ou de l'exporter, et son concept est idéal pour s’y retrouver facilement en cas de longue recherche sur un sujet.
Le navigateur fait certains choix radicaux, supprimant par exemple la barre d’URL ou ne laissant ouvrir qu’une seule fenêtre. Certaines limitations restent présentes, comme l’absence de navigation privée ou d’extensions Chrome. Ce curieux projet développé par deux personnes mérite tout de même le détour maintenant qu’il est testable gratuitement. Si vous êtes convaincu, on notera que les tarifs ont bien augmenté depuis janvier. Il vous en coûtera 144 $ en achat unique ou 48 $ par an sur abonnement. Horse est également disponible pour macOS, Windows et Linux.
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- Vrais Voisins, Faux Amis ! Quelle est la nouvelle série prometteuse sur Apple TV+ ?
Vrais Voisins, Faux Amis ! Quelle est la nouvelle série prometteuse sur Apple TV+ ?
TSMC veut sauver Intel (et embarquer Nvidia, AMD et Broadcom)
Vers une taxe française sur les géants du numérique américains ?
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- La fin des iPhone avec un écran LCD est un problème pour ceux qui sont sensibles au scintillement des écrans OLED
La fin des iPhone avec un écran LCD est un problème pour ceux qui sont sensibles au scintillement des écrans OLED
L'iPhone 16e, dans un sens, est une révolution : avec l'arrivée de ce modèle, tous les iPhone possèdent maintenant un écran OLED. C'est une transition qui a pris quelques années : le premier iPhone OLED, l'iPhone X, date de 2017. Mais avec la disparition des écrans LCD, un problème peut se poser : certaines personnes sont sensibles au scintillement des écrans OLED.

Essayons de faire simple : un écran OLED n'a pas de rétroéclairage et le seul moyen simple de jouer sur la luminosité consiste à travailler en PWM (Pulse Width Modulation). Le fonctionnement est basique : les pixels sont allumés pendant une durée définie (variable) puis éteints, avec une fréquence normalement assez élevée pour que ce soit invisible grâce à la persistance rétinienne. Dans les iPhone, la fréquence est généralement de 480 Hz, alors que quelques dalles OLED descendent à 240 Hz ou montent à des valeurs plus élevées (parfois 960 ou 1 920 Hz). Il faut bien séparer cette fréquence de celle liée à l'affichage : dans un iPhone 16e, par exemple, la dalle travaille à 480 Hz en PWM, mais n'affiche une nouvelle image qu'à 60 Hz.
En jouant ensuite sur la durée pendant laquelle les pixels sont allumés et celle pendant laquelle ils sont éteints, il est possible de faire varier la luminosité. Les pixels sont allumés la majorité du temps quand la luminosité est la plus élevée, et une minorité du temps pour avoir une luminosité plus faible. Le problème principal de ce fonctionnement, c'est que certaines personnes perçoivent les changements de luminosité liés, même avec une fréquence relativement élevée comme dans les iPhone. Et cette perception s'accompagne parfois de nausées ou de maux de tête, en fonction des cas. L'effet est amplifié dans certaines conditions, comme une luminosité faible.

Peu de solutions possibles
Le principal problème vient du fait qu'il n'y a pas réellement de solution dans le cas des écrans OLED : le PWM est l'unique voie possible pour cette technologie. Pour les personnes sensibles à ce scintillement, il faut donc soit trouver un appareil avec une fréquence élevée (par exemple 960 Hz ou 1 920 Hz) soit passer sur une dalle LCD qui fonctionne sans PWM, ce qui n'est pas systématique. En effet, les écrans LCD emploient généralement un rétroéclairage LED avec une modulation plus simple, de type DC. Dans la majorité des cas, la tension appliquée aux LED est variable, ce qui permet de régler la luminosité sans scintillement simplement en ajustant la valeur. Mais ce n'est pas systématique : les MacBook Pro dotés d'un écran Mini LED, par exemple, travaillent en PWM avec une fréquence très élevée (15 000 Hz), et de rares personnes peuvent remarquer le scintillement quand la luminosité demandée est très faible.
Plus concrètement, la seule solution si vous êtes très sensible à ce scintillement et que vous voulez un iPhone consiste à trouver un des derniers modèles dotés d'un écran LCD, comme un iPhone 11 ou un iPhone SE de 2022. Il est aussi possible de tenter de réduire le problème en forçant une luminosité élevée, mais c'est un choix qui n'est ni pratique ni bon pour la durée de vie de l'écran. Enfin, vous pouvez aussi vous tourner vers un smartphone Android, car il existe quelques modèles OLED avec une fréquence de modulation élevée et des applications qui peuvent appliquer un filtre sur l'image pour réduire la luminosité tout en gardant la valeur réelle au maximum, mais avec le même problème que celui évoqué plus haut, une réduction probable de la durée de vie de la dalle.

Reste que pour ceux qui ne sont pas sensibles à ce scintillement, l'arrivée de la technologie OLED dans l'iPhone 16e est une bonne nouvelle : elle permet un contraste bien plus élevé et offre une qualité d'image largement supérieure.

Test de l’iPhone 16e : pour tout le monde, ou presque
Le design de l'iPhone 17 Pro Max à nouveau confirmé par des moules

Avec Gemma 3, Google veut mieux concurrencer DeepSeek
À peine plus d’un an après la présentation des deux premiers modèles de la famille, Google présente Gemma 3, la nouvelle génération de modèles « ouverts et légers » construits sur les fondations de Gemini 2. Avec quatre modèles comptant entre 1 et 27 milliards de paramètres, Google veut concurrencer DeepSeek sur les appareils mobiles tout en fournissant des performances comparables à celles de Gemini sur les stations de travail.

Conçue comme une fenêtre permettant d’apercevoir les rouages de Gemini sans dévoiler ses secrets, Gemma est une famille de modèles open source que les développeurs peuvent utiliser comme bon leur semble. Avec 2 et 7 milliards de paramètres, les deux premiers modèles fournissaient des performances comparables aux plus petites versions de Llama 2 et de Mistral, mais demandaient l’emploi de stations puissantes, voire du cloud de Google.
Gemma 3 vise à résoudre cet écueil en proposant quatre modèles du plus économe au plus performant. Les modèles à 4, 12 et 27 milliards de paramètres partagent des caractéristiques similaires : une fenêtre de contexte de 128 000 tokens qui leur permet d’avaler un roman tout entier, un encodeur visuel à 417 millions de paramètres qui leur permet d’analyser des images et de courtes vidéos, ainsi qu’une intégration directe à ShieldGemma 2 pour vérifier la conformité des images à une politique prédéfinie.
Les performances de Gemma3-4B sont comparables à celles de Gemma2-27B, tandis que celles de Gemma3-27B rivalisent avec celles de Gemini-1.5. Les modèles peuvent être utilisés pour créer des « agents », ces applications qui peuvent réaliser des actions à votre place, ou adaptés à des besoins ou des langues spécifiques, comme le montrent les projets proposés dans le Gemmaverse.
Mais la principale nouveauté vient du modèle Gemma3-1B, dont la fenêtre de contexte est réduite à 32 000 tokens et qui fait l’impasse sur l’encodeur visuel, mais qui peut tourner sur un simple téléphone. Google assure que Gemma3-27B peut être utilisé avec une seule carte Nvidia H1000, soit trente-deux fois moins que DeepSeek R1 et DeepSeek V3 pour des performances comparables. La firme de Mountain View offre des crédits sur sa plateforme de calcul pour inciter les développeurs et les chercheurs à essayer sa nouvelle famille de modèles.

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Gail Slater devient le nouveau visage de l’antitrust américain
Le Sénat des États-Unis a confirmé la nomination de Gail Slater à la tête de la division antitrust du département américain de la Justice (DoJ). Une fois n’est pas coutume, cette proche du vice-président JD Vance a reçu un soutien bipartisan, preuve de la solidité de son expérience autant que du consensus sur la nécessité de réguler Apple, Google, Meta, Amazon et les autres géants de la Silicon Valley.

Avant d’être l’assistante parlementaire chargée des questions économiques de celui qui n’était encore que le sénateur JD Vance, Gail Slater a travaillé pendant dix ans à la FTC, dont quelques années pendant la présidence de Barack Obama. Après un passage dans le privé, notamment chez Roku où elle militait pour le renforcement de la législation contre les monopoles, Slater a travaillé au Conseil national économique pendant le premier mandat de Donald Trump et conseillé l’équipe du candidat républicain pendant la dernière campagne présidentielle.
Bien qu’elle se décrive comme « une grande amie de Donald Trump », Slater a ménagé la chèvre et le chou pendant son audition au Sénat. Interrogée par le sénateur républicain Mike Lee, elle a concédé que certaines poursuites judiciaires pourraient être abandonnées pour faire des économies, mais en répondant à la sénatrice démocrate Amy Klobuchar, elle a rejeté l’idée que des enquêtes puissent être motivées à des fins partisanes.
Le fait est que la politique américaine en matière d’antitrust fait consensus. JD Vance avait applaudi le travail de Lina Khan, la présidente de la FTC nommée par Joe Biden, qui avait reformé les règles encadrant les fusions-acquisitions avec l’aide de Jonathan Kanter, dont Slater prendra la suite au DoJ. Sans être associée au mouvement des néo-brandeisiens, qui a gagné en influence sous la présidence de Joe Biden, la nouvelle patronne de l’antitrust partage une partie de ses thèses.
Gail Slater devrait donc poursuivre une politique farouchement opposée à la centralisation excessive du pouvoir des acteurs privés. Après sa victoire judiciaire contre Google, la première depuis quarante ans, le DoJ réclame la vente de Chrome et un droit de regard sur Android. Slater récupérera aussi les enquêtes en cours sur Apple et Amazon, ainsi que les poursuites contre Meta.
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Dans les véhicules modernes, et spécialement les voitures électriques, de plus en plus de fonctions sont passées de commandes physiques à un bouton virtuel sur un écran tactile. Mais certains fabricants en ont visiblement assez de vendre « un iPad avec une voiture autour » (une formule attribuée à Jean-Philippe Imparato quand il était encore à la direction d'Alfa Romeo). C'est aussi l'avis d'Andreas Mindt, responsable du design chez Volkswagen.

Dans un entretien avec Autocar, il explique que les prochains véhicules intégreront des commandes physiques pour certaines fonctions : le contrôle du volume, le chauffage, la ventilation et les feux de détresse. De même, les commandes au volant seront bien des boutons physiques et pas des versions haptiques. Il explique que l'écran tactile ne va pas disparaître pour autant, notamment pour des raisons légales : dans certains pays, un écran avec une caméra de recul est une obligation. Mais selon lui, ses clients veulent des interactions physiques et il considère qu'une voiture n'est pas un smartphone. Le premier modèle qui profitera de ses modifications devrait être l'ID 2all, attendu en 2026.

Il faut tout de même noter qu'il est parfaitement possible de proposer des solutions convaincantes sans forcément passer par un bouton mécanique qui se déplace, comme pour le bouton principal de certains iPhone (dès l'iPhone 7) ou les trackpads des Mac. Mais dans un véhicule, il est probablement plus simple (et moins onéreux) de placer un véritable bouton sur le volant pour régler le volume sonore que d'installer un bouton tactile avec un retour haptique efficace. Et pour certaines fonctions secondaires et peu utilisées, un écran tactile et une interface bien pensée — ce qui n'est pas nécessairement le cas dans les voitures — ont parfaitement leur place.
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Apple a annoncé il y a quelques jours le Mac Studio 2025, équipé au choix d'une puce M4 Max ou M3 Ultra, et la société en profite pour brader les anciens modèles. On trouve donc des Mac Studio dès 1 909 €, avec une puce M2 Max. C'est une configuration assez efficace avec 32 Go de RAM et 512 Go de stockage, et elle valait encore 2 250 € récemment.

Si vous préférez 1 To de stockage, il faut débourser 2 090 €. La version avec 64 Go de RAM et 2 To de stockage est à 2 830 €. Si vous préférez la puce M2 Ultra, l'ancien haut de gamme d'Apple, il faut mettre 3 820 € au lieu de 4 500 €, avec 64 Go de RAM et 1 To de stockage. Le dernier modèle est à un prix indécent — 8 210 € — mais c'est environ 2 000 € d'économie pour cette variante avec 192 Go de RAM et 8 To de stockage.

Apple annonce des Mac Studio avec M4 Max et M3 Ultra
Nous vous rappelons que la puce M4 Max est nettement plus rapide que la puce M2 Max et que la version M3 Ultra se place entre les deux sur les tâches classiques et montre essentiellement sa puissance sur les usages (très) lourds... ce qui n'enlève rien aux bons résultats des puces M2 Max et M2 Ultra.