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François Bayrou dévoile la stratégie IA de la France (avec un ChatGPT de la fonction publique)
Orange ajuste le prix de son offre satellite
Sérieusement concurrencé par Starlink depuis une poignée d’années, Orange procède à un changement tarifaire pour son accès à internet par satellite. Auparavant facturé 29,99 €/mois pendant six mois puis 49,99 €/mois, l’abonnement Satellite Orange avec Nordnet coûte désormais 39,99 €/mois sans engagement. Si le coût initial est donc plus élevé, l’offre devient avantageuse pour ceux qui restent abonnés plus d’un an.
Le reste ne change pas : il faut ajouter 35 € de frais d’activation ainsi que 15 € de frais de livraison, sans oublier le kit satellite à 299 €. Le coût de ce kit est pris en charge par l’État pour les personnes éligibles au dispositif Cohésion Numérique des Territoires. L’offre, opérée par Nordnet, la filiale de l'opérateur spécialisée dans le satellite, comprend un accès à internet jusqu’à 200 Mbit/s en réception et 15 Mbit/s en envoi. Une ligne téléphonique fixe est incluse.
En comparaison, l’offre résidentielle de Starlink coûte à partir de 40 €/mois, auxquels il faut ajouter 349 € pour l’antenne (en promo actuellement à 249 €), sans subvention possible. La latence est bien moins importante avec l’offre de l’acteur américain, du fait d’une connexion satellitaire très différente : le satellite Eutelsat Konnect VHTS utilisé par Orange est situé en orbite géostationnaire à plus de 35 000 km au-dessus de nos têtes, tandis que la société d'Elon Musk exploite des satellites bien moins haut (de 550 à 1 150 km).
Starlink à l'essai : tout ce qu'il faut savoir sur cette connexion par satellite d'un genre nouveau
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Paracétamol Challenge : un « défi » débile sur TikTok qui inquiète (en supposant qu’il existe)
Google accepte finalement que son IA soit utilisée par les forces armées
Le groupe Lufthansa s'aidera des AirTags pour retrouver des bagages égarés
Les AirTags peuvent être utilisés sur les lignes du groupe Lufthansa pour aider à localiser un bagage égaré. Dans un communiqué, le groupe qui réunit les compagnies Lufthansa, SWISS, Austrian Airlines, Brussels Airlines et Eurowings annonce qu'il est maintenant possible de transmettre aux équipes au sol la position d'un AirTag glissé dans un bagage pour le retrouver.
Cette fonction de partage temporaire d'un emplacement auprès d'un tiers est apparue à la fin de l'année dernière avec iOS 18.2. Elle a été adoptée par une première vague de compagnies aériennes, parmi lesquelles figurait Lufthansa. Une compagnie peut ajouter dans son app un moyen de partager la localisation d'un AirTag lorsqu'un bagage manque à l'appel. Une info qui sera exploitée le temps de remettre la main sur la valise.
AirTag : United, Delta et Air Canada traqueront les bagages perdus avec le partage de position d'iOS 18.2
La balise d'Apple a rapidement trouvé son chemin dans les valises et sacs à dos en voyage, d'abord au grand dam des compagnies qui ont commencé par l'interdire. Mais l'usage a fait loi. Ce nouveau procédé n'est pas encore généralisé, cela se fait progressivement. Air France par exemple explique que les AirTags ne sont pas encore connectés à son système et chez EasyJet ce n'est pas différent, l'app orange n'a toujours pas cette fonction non plus.
Dans le Colorado, la police distribue des AirTags pour lutter contre les vols de voitures
ASUS Zenfone 12 Ultra : un smartphone premium misant sur l’IA
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- Grosse promo sur le robot Scuba S1 Pro (-300€) ! Le plus puissant de la gamme Aiper !
Grosse promo sur le robot Scuba S1 Pro (-300€) ! Le plus puissant de la gamme Aiper !
A peine née, Invitations Apple connait déjà sa première mise à jour...
Classement des opérateurs mobiles : l’Arcep soupçonne de la triche
Free augmente les frais de résiliation pour ses box Internet
Free fait grimper les frais de résiliation de ses Freebox. La somme demandée va passer de 49 € à 59 € pour tous les abonnés à partir du 1er avril. Les abonnés ont été prévenus par une brève ligne dans le mail annonçant l’arrivée de leur dernière facture.
Cela ne devrait pas changer grand chose pour les clients Free cherchant une nouvelle crémerie, ces frais étant généralement remboursés par leur futur opérateur. L’augmentation devrait tout de même se faire sentir chez ceux résiliant définitivement une ligne sans en reprendre une nouvelle derrière, par exemple en cas de déménagement à l’étranger.
Cette hausse a été mise en place graduellement. Elle concernait jusqu’à présent uniquement les souscriptions faites à partir du 26 novembre 2024 ou pour les abonnés ayant accepté les nouvelles conditions (déménagement, changement d’offre). Si vraiment c’est la goutte de trop, ce changement de contrat vous permet de résilier votre ligne sans frais et sans droit à dédommagement pendant 4 mois pour peu que vous mentionnez ce motif.
De mal en pis pour Sonos, qui va licencier 200 salariés
Après une année 2024 bien compliquée, Sonos ne commence pas 2025 du bon pied. Le CEO par intérim de l’entreprise Tom Conrad vient d’annoncer le licenciement de 200 personnes. Dans son communiqué, il explique avoir observé que Sonos s’était « embourbée dans trop de strates qui ont rendu la collaboration et la prise de décision plus difficiles ». Il souhaite par conséquent réorganiser ses équipes en des groupes plus petits et plus spécialisés.
C’est loin d’être la première vague de licenciement que l’on voit chez Sonos. L’entreprise s’était séparée de 7 % de ses employés à l’été 2023, puis d’une centaine de têtes au mois d’août dernier. Son CEO a démissionné fin janvier, en même temps qu’un chef produit clef. Environ 1 700 personnes travaillaient chez Sonos au mois de septembre, qui ne seront bientôt plus que 1 500.
Tom Conrad a déclaré qu’il allait réorganiser l’organisation produit de Sonos en s’éloignant des groupes uniquement dédiés à des catégories de produits individuelles. L’entreprise va maintenant fonctionner avec des équipes distinctes pour le matériel, les logiciels, la conception, la qualité et les opérations. « Le fait d'être plus petits et plus concentrés nous obligera à mieux hiérarchiser notre travail », estime-t-il.
Sonos est dans une situation très délicate depuis plusieurs mois. Sa nouvelle app est sortie trop vite du four, ce qui a entaché son image et forcé ses équipes à travailler d’arrache-pied pour corriger le tir. Le casque Sonos Ace a été bien reçu par la presse, mais ne se vendrait pas beaucoup (on le trouve régulièrement à moins de 400 € au lieu de 499 €). Son prochain gros projet serait un boîtier TV, un concept original mais risqué et qui va devoir trouver son public.
La fibre Sosh passe enfin à 1 Gbit/s, et sans changement de prix
Orange accélère significativement les débits de la Boîte Sosh, son offre fibre d’entrée de gamme sans engagement. Jusque-là cantonnée à 400 Mbit/s symétriques, la fibre Sosh passe à 1 Gbit/s maximum en réception et 800 Mbit/s en envoi. Ce gros coup d’accélérateur remet cette offre au niveau de la concurrence. Cette amélioration se fait sans changement de prix : l’abonnement coûte toujours 25,99 €/mois.
Les nouveaux débits sont a priori disponibles immédiatement pour les nouveaux clients. Pour les clients existants, Sosh indique que l’évolution se fera automatiquement et en plusieurs vagues, jusqu’à la mi-avril. Vous recevrez un email lorsque l’évolution sera déployée chez vous. Aucun changement de Livebox nécessaire pour en profiter.
En plus de cet accès internet jusqu’à 1 Gbit/s, l’offre fibre de Sosh comprend une Livebox 5 (Wi-Fi 5) et une ligne téléphonique avec les appels illimités vers les fixes. Un décodeur TV Ultra HD 4K est disponible en option à 5 €/mois.
Chez la concurrence, SFR RED commercialise une offre fibre 1 Gbit/s avec un routeur Wi-Fi 5 et téléphone à 23,99 €/mois, alors que Free fait du triple-play (fibre avec Wi-Fi 5 + téléphone + TV) avec la Freebox Révolution Light à 19,99 €/mois pendant un an puis 29,99 €/mois. Chez Bouygues, à moins de 30 €, il y a la fameuse offre B&You Pure fibre à 23,99 €/mois avec un accès jusqu'à 8 Gbit/s et Wi-Fi 6E. Mais attention, il n'y a ni téléphone ni télé et les clients ne sont pas tous éligibles aux 8 Gbit/s.
Prends ça l’Ademe : Orange lance un forfait 5G de 400 Go
Coïncidence amusante : au moment où l’Agence de la transition écologique (Ademe) remet en question les forfaits mobiles comprenant des tonnes de gigaoctets, Orange lance son offre 5G comprenant la plus grosse enveloppe de data à ce jour.
L’opérateur historique propose un nouveau forfait 400 Go à 80,99 €/mois avec engagement de 24 mois. Cette offre comprend un smartphone subventionné à la souscription puis tous les deux ans. Avec lui, un iPhone 16 Pro Max coûte à partir de 499 €, par exemple.
Le forfait lui-même comprend donc 400 Go de data en France, 200 Go dans les DOM et en Europe (Suisse et Andorre inclus), les appels illimités en Europe et vers l’Amérique du Nord, ainsi qu’une Multi-SIM Internet sur demande.
Les prix des autres forfaits Orange ne bougent pas. Avec engagement et un smartphone subventionné, il faut dépenser 35,99 €/mois pendant six mois puis 47,99 €/mois pour 200 Go. Sans engagement et sans smartphone, l’opérateur propose notamment 120 Go pour 24,99 €/mois.
Orange lance également aujourd’hui un nouveau forfait « 5G+ » réservé aux professionnels, qui s’appuie sur son réseau 5G Stand Alone. Pour 79 € HT/mois, les pros ont droit à 350 Go de data en France, les appels/SMS/MMS illimités ainsi que des services spécifiques quand ils se trouvent dans les zones couvertes en 3,5 GHz : connexion data maintenue en 5G lors d’un appel ; chiffrement renforcé des données d'identification de la carte SIM ; latence réduite ; network-slicing (le réseau s’adapte aux usages des clients connectés en même temps).
Numérique et environnement : une empreinte carbone alarmante
Incogni : Protégez votre vie privée en ligne avec une offre à - 55 % !
Nos données personnelles sont partout sur Internet. Elles sont collectées, revendues et utilisées sans qu'on le sache vraiment. Incogni, un service développé par Surfshark, propose une solution simple : effacer vos informations des bases de données des courtiers en données.
Et bonne nouvelle, en ce moment, vous pouvez profiter d’un abonnement annuel à - 50 %, à 101,49 € TTC.
Pourquoi utiliser Incogni ?
Les courtiers en données collectent des infos sur vous : nom, adresse, numéro de téléphone, habitudes en ligne… Tout ça est ensuite revendu à des entreprises, parfois même à des escrocs. Résultat ? Vous recevez des spams, des appels indésirables, et pire encore, vous êtes plus exposé aux usurpations d’identité.
Incogni prend tout en charge à votre place. Une fois inscrit, le service contacte automatiquement des centaines de courtiers en données pour demander la suppression de vos infos. Il relance si nécessaire et vous tient au courant de l’évolution. Bref, c’est un vrai gain de temps et une tranquillité d’esprit assurée.
Une promo qui vaut le coup
En plus des 50 % de réduction, sachez que si vous hésitez encore, Incogni propose une garantie de remboursement de 30 jours, donc vous pouvez tester sans risque. D'autant plus qu'Incogni prend jusqu'à 3 adresses e-mail en charge.
Comment ça marche ?
L’inscription est rapide. Il suffit de créer un compte et de donner l’autorisation à Incogni d’agir en votre nom. Ensuite, le service commence son travail : il contacte les courtiers en données et enclenche le processus de suppression.
Il ne se contente pas d’envoyer une demande, il suit l’évolution et relance si besoin. Vous pouvez voir les progrès en temps réel sur votre compte et constater par vous-même que vos informations disparaissent des bases de données.
Un service pour qui ?
Tout le monde peut bénéficier d’Incogni. C’est particulièrement utile si vous êtes submergé par des appels ou des e-mails publicitaires, si vous vous souciez de votre vie privée et de l’utilisation de vos données personnelles, etc. C’est aussi une bonne solution pour ceux qui veulent éviter que leurs informations soient accessibles en quelques clics sur le web.
Avec la promo actuelle (- 50 %) l’abonnement revient à finalement un peu plus de 8 € par mois pour un an, et le service est garanti satisfait ou remboursé pendant 30 jours. C’est le bon moment pour agir et reprendre le contrôle sur vos données !
-20% sur la serrure connectée Aqara compatible HomeKit et clés de maison !
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- Un malware capable de faire de la reconnaissance de caractères touche Android et iOS
Un malware capable de faire de la reconnaissance de caractères touche Android et iOS
Dans un article très détaillé, Kaspersky rapporte la découverte d'un Malware capable, une fois installé sur un appareil, d'aller rechercher dans la bibliothèque d'images de l'utilisateur toute donnée liée à un compte de crypto-monnaies que ce soit les identifiants et mots de passe que les informations pouvant conduire à la récupération d'un compte.
Le système est très sophistiqué, utilisant à la base une API OCR (reconnaissance de caractères) développée par Google. Elle est exploitée pour partir à la chasse de mots clé spécifiques dans l'essentiel des langues et envoyer les résultat à un serveur distant.
Ce malware a été retrouvé sur plusieurs applications Android mais aussi une application iOS distribuée sur l'App Store, ComeCome.
Nous faisons maintenant face à une ingéniosité incroyable de ces gangs de pirates qui sont arrivés à un niveau d'expertise et d'ingéniosité impressionnants.
Réorganisation : Sonos supprime 200 emplois après une année difficile
Du foot féminin pour la saison 4 de Ted Lasso !
Le Self Service Repair Store accueille les Macs M4
App Store : des apps voleuses de cryptomonnaies sur l'iPhone
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- Raycast gère à son tour l’Hyper Key et peut ainsi remplacer un utilitaire de plus
Raycast gère à son tour l’Hyper Key et peut ainsi remplacer un utilitaire de plus
Raycast ajoute une nouvelle fonctionnalité et propose ainsi de remplacer encore un utilitaire de plus. Le lanceur multifonctions toujours réservé au Mac (des versions pour iOS et Windows arrivent) est capable de gérer lui-même l’Hyper Key, une touche qui remplace ces quatre autres : ⇧
, ^
, ⌥
et ⌘
. L’idée est de définir des raccourcis clavier très complexes composés de cinq touches, les quatre précédentes et une de votre choix, sans pour autant avoir à taper sur cinq touches à chaque fois. À la place, on utilise l’Hyper Key, qui est en général définie sur ⇪
et la deuxième touche de son choix.
L’Hyper Key peut être activée dans les réglages avancés de Raycast, avec le choix de la touche, celle du verrouillage des majuscules étant proposée par défaut. L’app propose même de garder son usage normal, ce qui est utile pour ajouter des majuscules accentuées en français, avec une pression courte. En clair, les raccourcis clavier complexes ne seront accessibles qu’en appuyant et maintenant la touche ⇪
; si vous appuyez juste dessus brièvement, macOS (dés)activera toujours bien le verrouillage des majuscules.
Ceci fait, vous pouvez utiliser l’Hyper Key dans toutes les apps qui le gèrent, dont Raycast bien entendu. À dire vrai, le lanceur savait déjà reconnaitre la combinaison de quatre touches spéciales et l’interface les remplaçait déjà par un losange qui symbolisait cette hyper touche. Tout cela ne change pas par rapport aux anciennes versions, la différence étant qu’un utilitaire comme le bien nommé Hyperkey n’est plus nécessaire pour que le raccourci simplifié fonctionne encore. Raycast remplace ainsi toujours plus de petits utilitaires spécialisés, c’est un de ses points forts, même si cela veut aussi dire que l’on confie à un seul outil énormément de fonctionnalités différentes.
À ce sujet, la version 1.91 améliore aussi Focus, le mode de concentration intégré qui a été ajouté à l’app il y a quelques semaines. Une option permet de rouvrir automatiquement les apps fermées pendant la session lorsque la tâche est terminée. Davantage de navigateurs sont gérés pour filtrer les sites web, dont Firefox, Orion, Vivaldi ou encore Zen Browser. Enfin, le minuteur est automatiquement mis en pause quand le Mac entre en veille.
Avec Focus, Raycast propose une alternative au mode de concentration de macOS
Raycast est gratuit et même si une partie des fonctions demande un abonnement payant, ce n’est pas le cas de toutes celles évoquées dans cet article. J’utilise d’ailleurs le lanceur sans payer depuis bien des années et je ne suis pas gêné, Raycast Pro étant avant tout lié à l’intelligence artificielle générative que je n’utilise pas au quotidien.
macOS 12 (Monterey) est nécessaire pour installer Raycast et son interface n’est pas traduite en français.
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- Apple étend son programme de réparation à domicile aux Mac M4 (y compris en France)
Apple étend son programme de réparation à domicile aux Mac M4 (y compris en France)
Première mise à jour corrective pour Invitations Apple
L'app de gestion d'invitations d'Apple a reçu sa première mise à jour, 48h après sa sortie. Cette version 1.0.1 apporte des corrections de bugs et des améliorations de performances, Apple n'offre que ce descriptif générique, sans plus de détails.
Lors de notre prise en main, nous n'avions pas eu de blocages ou de plantages, mais certains comportements surprenaient, comme la suppression de la présence d'invités par d'autres invités. Apple en tout cas n'a toujours pas réglé la question de la dénomination de cette app. Elle est toujours appelée Apple Invitations en son sein tandis que le communiqué de presse français et l'App Store l'appellent Invitations Apple.
Prise en main d'Apple Invitations : carton en vue pour cette nouvelle app ?
OpenAI affronte directement Google en ouvrant ChatGPT Search à tous
Alors que jusqu’à présent la fonction était réservée aux abonnés payants, OpenAI a ouvert les vannes de la fonction ChatGPT Search à tous. Si l’information peut paraître un détail, son utilisation en quelques secondes montreront un potentiel assez considérable, et un très grand danger pour Google et son moteur de recherche : chatgpt.com est en effet disponible sans s’enregistrer, et il suffit de taper quelques mots pour avoir non pas une liste de liens plus ou moins digestes, mais une réponse compréhensible par tous.
Ainsi, il suffit de lui demander un renseignement sur une entreprise, une personne, pour avoir une réponse détaillée et efficace, comme le montre cette simple requête. Le bot non seulement donne une réponse détaillée, mais dévoile aussi les sources utilisées pour la recherche, permettant ainsi de l'approfondir ou d'être sûr que la réponse donnée est correcte.
Mais la fonction peut aussi chercher des éléments qui paraissent triviaux, mais nécessitent bien souvent de fouiner quelques temps sur divers sites internet, comme pour trouver un appareil très demandé venant de sortir :
Bien entendu, il reste à vérifier que le bot ne se trompe pas, et va bien chercher toutes les possibilités existantes histoire d’être sûr de ne pas passer à côté d’une bonne affaire ailleurs, et que les liens affichés correspondent bien à des produits disponibles. Mais pour une recherche rapide, c’est plutôt efficace.
Le bot sait aussi faire un résumé sur un article du net, ou sur un de vos fichiers si vous vous enregistrez au préalable. Bien entendu, il sait aussi expliquer une image, et la fonction est d'autant plus accessible qu'elle est à portée d'un simple clic une fois enregistré.
Tout semble montrer que si ChatGPT était pour le moment surtout une affaire de passionnés (même si nombre d’entre nous sur ce site ont déjà fait usage, au moins une fois, de ce service, il est toujours bon de se rappeler que la communauté reste spécialisée dans le domaine informatique, d’où un biais non négligeable), OpenAI met les pieds dans le plat, et vient avec cette proposition se poser en adversaire direct de Google, pour nombre de recherches effectuées tous les jours sur le moteur de recherche.
Reste que le bot n’est pas à l’abri d’erreurs, et la firme de Sam Altman a bien entendu pris les devants sur cette question, dès la page d’accueil...
Si ChatGPT était déjà sur beaucoup de lèvres, il risque maintenant de devenir un objet du quotidien pour nombre de personnes. La bataille ne fait que commencer... et risque d’être âpre et de ne faire aucun prisonnier.
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- Des soupçons de triche sur l'enquête de l'Arcep qui met en avant le meilleur réseau mobile
Des soupçons de triche sur l'enquête de l'Arcep qui met en avant le meilleur réseau mobile
Chaque année, l'Arcep1 publie vers le mois d'octobre une enquête sur la qualité des services mobiles. Même si les opérateurs tentent souvent de faire comme si tout le monde avait gagné (comme nous l'expliquions en 2022), cette enquête reste un outil intéressant pour se faire une idée du marché. Et de façon étonnante, l'enquête 2024 n'est toujours pas disponible.
Selon nos confrères de l'Informé, il y a une bonne raison à cette absence mystérieuse : des soupçons de triche. L'Arcep effectue normalement plus d'un million et demi de mesures sur les différents réseaux (2G à 5G) des quatre opérateurs français, avec 278 critères de performances pour mettre en avant le meilleur opérateur dans tel ou tel domaine. Ce qui permet à ces derniers d'en profiter pour se faire mousser dans les publicités, mais offre surtout au public un bon aperçu de l'état des réseaux.
Selon nos confrères, il y a un problème avec les mesures effectuées par un prestataire (AFD.Tech) : dans les relevés effectués entre mai et juillet, il y a de grandes disparités dans les résultats en 5G dans les zones denses (agglomérations de plus de 200 000 habitants) et intermédiaires (10 000 à 200 000 habitants). Les résultats sont visiblement considérés comme incohérents, ce qui peut avoir plusieurs causes. Il pourrait s'agir d'un bug, mais aussi d'une manipulation de la part d'un opérateur, sans en citer un en particulier.
Une enquête a donc été ouverte pour déterminer la raison de ces différences importantes, afin de vérifier l'origine exacte du problème. Un des points que les enquêteurs semblent vouloir éclaircir serait l'éventuelle présence de paramètres permettant de mettre en avant certains terminaux, encore une fois sans précisions. Une fois cette enquête administrative terminée, la traditionnelle étude pourrait donc sortir, avec peut-être des surprises à la clé.
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Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse ↩︎
Tous les détails de la connexion Starlink sur iPhone par T-Mobile
L’annonce avait créé la surprise il y a une petite semaine quand la compatibilité de l’iPhone avec le réseau Starlink avait été annoncé par Apple et T-Mobile. Avec un peu de recul, les détails commencent à arriver, comme relevé par 9to5Mac.
Si le service est pour le moment limité aux États-Unis d’Amérique, et encore, pour une portion très faible des utilisateurs de T-Mobile, il est fort à parier que la chose est amenée à être étendue à d’autres pays au fur et à mesure que les essais apportent des résultats concrets. Il est à rappeler que si la France est très peu concernée par les zones blanches (après tout, notre territoire est plutôt limité et très bien couvert), ce n’est pas le cas d’autres endroits comme le Canada par exemple, qui doit faire face à une étendue considérable et des populations plutôt concentrées, n’incitant pas à installer des antennes-relais partout dans le pays.
Reste à éclaircir le fonctionnement de cette proposition, et de lever quelques doutes sur l’utilisation. Dans un premier temps, s’il semble qu’une vague sur les réseaux sociaux indique que l’acceptation de la mise à jour iOS 18.3 amène systématiquement la connexion au réseau de SpaceX, rappelons que ce n’est pas le cas : l’utilisateur peut, s’il ne souhaite pas l’utiliser, désactiver l’option en allant dans Réglages => Cellulaire => Numéro de téléphone et désactiver l’option « Satellite », quand celle-ci est disponible.
Si celle-ci est présente, cela indique que votre téléphone est non seulement compatible, mais aussi que votre opérateur la propose (pour rappel, seulement T-Mobile et uniquement aux USA pour le moment). Très exactement, voici les éléments nécessaires à la voir apparaître, comme listés sur cette page :
- un iPhone 14, 15 ou 16 (Pro ou normal, peu importe)
- la dernière version d’iOS (donc la 18.3 actuellement)
- un opérateur supportant l’option (uniquement T-Mobile USA pour le moment)
- si requis par l’opérateur, un abonnement spécifique
Une fois toutes les conditions réunies, durant la traversée d’une zone sans réseau mobile, l’iPhone affichera « SAT » à la place du nom de l’opérateur, et permettra d’envoyer et recevoir des SMS. Contrairement à la version du partenariat Apple/Globalstar, il n’est pas nécessaire de tenir son iPhone dans une position particulière pour capter les satellites de la constellation Starlink.
Pour le moment, seuls les SMS sont disponibles avec cette fonction. Cependant, il est déjà prévu que d’autres possibilités soient ajoutées, comme les communications audio, et à terme, il devrait être possible d’utiliser la data et de passer des appels vidéo. Toutefois, Starlink n’étant pas considéré comme un opérateur mobile à part entière, il faudra toujours passer par son opérateur mobile standard pour avoir accès à ces fonctions, qui pourront être facturées par l’opérateur mobile comme bon lui semble (attention à la note donc, surtout si la possibilité est une exclusivité d’un seul opérateur dans le pays !).
Pour les amoureux des détails techniques, le réseau Starlink se connecte aux téléphones par l’intermédiaire de la fréquence 1 900 MHz, très exactement la bande 25. On peut donc facilement se rendre compte par la page idoine sur le site Apple que les iPhone européens devraient pouvoir eux aussi profiter de l’option, une fois celle-ci proposée par un opérateur local.
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- Prise en main d'Apple Invitations : carton en vue pour cette nouvelle app ?
Prise en main d'Apple Invitations : carton en vue pour cette nouvelle app ?
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- Les pièces et outils pour réparer les Mac M4 déjà disponibles sur le site self-repair d'Apple
Les pièces et outils pour réparer les Mac M4 déjà disponibles sur le site self-repair d'Apple
Mise à jour à 21:50 : Les pièces sont maintenant disponibles sur la partie européenne du site, et donc en France notamment.
Si Apple a longtemps lutté pour éviter que ses clients puissent réparer par eux-mêmes leurs appareils, la nouveauté de ce soir montre qu’il s’agit définitivement d’une histoire ancienne, que ce soit par la propre volonté d’Apple, ou plus probablement par une contrainte législative bien trop forte.
Ainsi les nouveaux Mac M4, à savoir le Mac mini, les MacBook Pro 14 et 16”, ainsi que l’iMac sont maintenant disponibles en pièces et en outils sur le self-repaire américain, comme rapporté par 9to5Mac. Alors certes, ce n’est pas encore le cas en Europe ; cependant, l’arrivée sur la version US est généralement le signe que ça ne va pas trop tarder en UE, en tout cas pour ce qui est de cette mise à disposition des pièces et outils (c’est beaucoup moins vrai pour d’autres services... coucou Apple News).
La liste des appareils réparables sans passer par la case Apple Store ou service agréé ne cesse d’augmenter avec le temps, ayant commencée avec les iPhone 12, 13 et SE3, ainsi que les MacBook Air et MacBook Pro M1. Toutefois, attention : si les pièces sont disponibles sur le site d’Apple, certaines nécessitent des outils particuliers pour être remplacer le plus facilement possible (on pensera tout particulièrement aux iPhone, nécessitant une chauffe de plus en plus conséquente pour être ouverts). Lisez bien le guide avant de vous lancer dans la commande, et n’oubliez pas dans le coût total la location voire l’achat de certains de ces outils.
Bagages perdus : Lufthansa mise sur les AirTags !
Disney+ perd 700 000 abonnés au dernier trimestre
- 7.2.1 🍏 Sites principaux
- Dailymotion va supprimer les vidéos que personne n'a regardées l'année dernière
Dailymotion va supprimer les vidéos que personne n'a regardées l'année dernière
Vous vous souvenez de Dailymotion ? Le service d'hébergement de vidéos, un temps vu comme un concurrent de YouTube, vient d'envoyer un message à certains de ses utilisateurs. En effet, Dailymotion compte supprimer les vidéos qui n'ont pas été regardées depuis douze mois.
Plus exactement, comme expliqué dans le message, la suppression n'est pas automatique. Une fois le message reçu, il est tout simplement possible d'aller regarder la (ou les) vidéo concernée, ce qui remet le compteur à zéro. Si elle n'est pas vue pendant les trois mois qui suivent l'envoi du message, elle sera archivée par le système. Elle sera donc invisible, mais une copie sera encore accessible avec une demande au support. Trois mois après cet archivage, la vidéo sera réellement supprimée, sans possibilité de restauration.
L'argument officiel est simple : limiter l'impact environnemental du service. Mais comme l'indique Allo Forfaits, Dailymotion est passé en décembre 2024 sur l'infrastructure AWS d'Amazon. Cet archivage des vidéos inactives pourrait donc être une manœuvre pour réduire les coûts d'hébergement de Dailymotion. Qui plus est, l'archivage pendant trois mois semble probablement être un passage sur l'infrastructure Glacier d'Amazon, du stockage « froid » qui nécessite des manipulations spécifiques pour récupérer les données, qui ne sont donc pas accessibles directement.
Dans tous les cas, c'est le moment d'aller vérifier vos anciennes adresses mail ou les spams de votre adresse actuelle si vous avez un vieux compte Dailymotion.
Apple Invitations : les développeurs de Partiful se sentent sherlockés
Apple a dévoilé hier sa nouvelle application baptisée Invitations : celle-ci permet d’envoyer des invitations pour un évènement à ses contacts et de gérer les participants. Une idée intéressante… qui ressemble fortement à celle de Partiful, une app au concept similaire disponible depuis plusieurs années. L’annonce d’Apple n’a évidemment pas plu à son développeur, qui a sous-entendu qu’Apple l’avait sherlocké tout en violant les règles de son propre App Store.
Le compte Twitter de Partiful a partagé une capture d’écran des règles de la boutique d’Apple. Cupertino invite les développeurs à « trouver leurs propres idées » et à ne pas se contenter de « de modifier légèrement le nom ou l'interface d'une autre application et de la faire passer pour la vôtre ». Apple indique que tout cela « rend l'App Store plus difficile à parcourir » et que ce n'est « tout simplement pas équitable pour les autres développeurs ». Partiful n’est pas une application totalement inconnue : elle a été finaliste des App Store Awards 2024.
Cette app tierce est plus avancée sur certains points et a l’avantage de tourner même sur iOS 15.1. Elle permet de créer des cartons d’invitation de manière un peu plus poussée et est aussi disponible sur Android ou via navigateur. Elle permet d’envoyer des invitations gratuitement, là où il est nécessaire d’avoir un abonnement iCloud+ pour faire la même chose avec le service d’Apple.
Rien ne dit qu’Apple s’est inspirée spécifiquement de Partiful, qui est loin d’être la seule application du genre sur l’App Store : citons par exemple Punchbowl ou Evite, qui est plus ancienne. Certains y voient un lointain cousin de Cards, une app Apple lancée en 2011 qui permettait de créer des cartes postales jusqu’à son abandon en 2013.
Les concepteurs de Partiful ne sont pas les premiers à se faire « sherlocker » leur idée. Chaque grosse mise à jour d’iOS/macOS apporte de nouvelles fonctions potentiellement déjà disponibles via des apps tierces. Si cela renforce l’offre logicielle d’Apple, c’est généralement un coup dur pour les développeurs, qui l’apprennent au dernier moment. Ils doivent alors se spécialiser davantage pour se démarquer ou se réinventer complètement afin de se différencier.
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- Ce mignon robot chargeur est en promo à -25% : une idée cadeau pour une Saint-Valentin geek !
Ce mignon robot chargeur est en promo à -25% : une idée cadeau pour une Saint-Valentin geek !
Google veut investir 75 milliards dans l'IA en 2025
L'Apple M5 serait en production
L'Apple M5 serait entrée en production, selon diverses rumeurs. La version de base de la puce d'Apple, qui pourrait trouver sa place assez rapidement dans des iPad, resterait gravée en 3 nm, mais avec une version un peu plus avancée de la technologie de TSMC (N3P), qui améliorerait les performances de 5 % (nous parlons ici de la fréquence, pas des performances stricto sensu) avec une efficacité améliorée de 5 à 10 %.
ETNews (en coréen) semble par ailleurs confirmer deux rumeurs récurrentes. La première serait que la puce M5 emploierait bien la technologie « 3D » de TSMC, connue sous le nom de SoIC (System on Integrated Chip). Elle permet d'empiler directement des composants pour — par exemple — rapprocher encore un peu plus la mémoire du système sur puce ou ajouter de la mémoire cache (comme chez AMD). Apple pourrait suivre cette voie en augmentant à moindres frais la capacité du cache SLC1 — System Level Cache —, ce qui permettrait d'améliorer significativement les performances sur les calculs liés à l'IA, très friands d'une bande passante mémoire élevée.
La technologie « 3D » de TSMC pourrait trouver sa place dans les Apple M5
La rumeur confirme aussi implicitement en partie une chose : les versions Pro, Max et probablement Ultra de la puce M5 pourraient partir sur une autre conception. Actuellement, toutes les puces Apple sont monolithiques (même si les variantes Ultra sont composées de deux puces M concaténées), une voie qui commence à atteindre ses limites. Divers bruits de couloirs indiquent que les puces M5 Pro et M5 Max pourraient employer une conception en chiplets, qui consiste à séparer certains éléments du système sur puce pour les produire séparément. Cette solution a l'avantage de permettre un meilleur rendement à la production, tout en offrant un peu plus de flexibilité sur la segmentation des puces. AMD l'utilise sur les Ryzen de bureau depuis quelques années avec succès, et les derniers CPU Intel sont aussi de ce type.
Avec les M5 Pro, Apple pourrait séparer CPU et GPU dans une conception 3D
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Le cache SLC des systèmes sur puce n'a pas de rapport avec le cache pseudo SLC des SSD, mais le sigle est le même. ↩︎
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Les puces M5 déjà en production ?
Concurrence : la Chine s’apprêterait à ouvrir une enquête sur l’App Store
Pékin aurait Apple dans le collimateur. Bloomberg affirme que le régulateur de la concurrence local préparerait une enquête sur l’App Store et la commission prise aux développeurs. D’autres règles, comme l’interdiction des boutiques tierces ou des moyens de paiements alternatifs sur iOS, seraient également passées au crible.
Plus précisément, le régulateur chinois estime qu’Apple pourrait facturer des commissions « déraisonnablement élevées » aux développeurs locaux, et pense que les restrictions sur les boutiques et les modes de paiement limitent la compétition tout en desservant les consommateurs. Une enquête officielle pourrait être ouverte si Apple ne se plie pas à certains changements.
Des agents du gouvernement auraient discuté avec les dirigeants d'Apple et des développeurs d'applications depuis l'année dernière. Les choses pourraient accélérer avec le retour du président américain Donald Trump, qui a mis en place de nouveaux droits de douane contre la Chine. Le pays avait d’ailleurs immédiatement rétorqué face à cette annonce en ouvrant une enquête sur d’éventuelles pratiques anticoncurrentielles de Google : Apple pourrait être la prochaine sur la liste si les tensions continuent de monter.
L’ouverture d’iOS et d’iPadOS en Chine serait un nouveau défi pour Apple, qui a déjà dû se plier à un tel changement dans l’Union européenne. Sur un autre registre, la firme de Cupertino a des difficultés à lancer Apple Intelligence dans le pays à cause de la censure imposée par le gouvernement. De manière plus générale, l’entreprise a toujours du mal en Chine, où elle en est à son sixième trimestre d’affilée de baisse de chiffre d’affaires.