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Reçu aujourd’hui — 28 novembre 2025 6.2 📰 Infos Monde

Attaque à Washington : les "unités zéro", ces "escadrons de la mort" dont le suspect a fait partie

28 novembre 2025 à 13:28

On les appelle "unités zéros". Ces forces paramilitaires, inconnues du grand public, font de nouveau parler d’elles ces derniers jours aux Etats-Unis. A l’origine de ce retour en pleine lumière : l’auteur présumé de la fusillade contre deux membres de la Garde nationale à Washington a un temps travaillé pour elles en Afghanistan. Le directeur de la CIA John Ratcliffe l’a lui-même confirmé à CBS News jeudi 27 octobre : "Le suspect a auparavant travaillé avec le gouvernement américain, y compris la CIA, en tant que membre d’une force partenaire à Kandahar", a-t-il fait savoir.

Lesdites "unités zéro" étaient exclusivement composées de ressortissants afghans et opéraient sous l’égide de la Direction nationale de la sécurité (NDS), l’agence de renseignement créée avec le soutien de la CIA pour appuyer le précédent gouvernement afghan, soutenu par les États-Unis. Anciennement connues sous le nom "d’équipes de poursuite antiterroriste", ces unités ont été entraînées à mener des raids nocturnes et des missions clandestines à travers l’Afghanistan pendant la guerre menée par les États-Unis. Au moment du retrait américain en août 2021, ces unités ont été officiellement intégrées aux services de renseignement afghans. Elles comptaient alors des milliers de membres.

Forces paramilitaires entraînées par la CIA

Lors de la prise de contrôle éclair du pays par les talibans, alors que l’armée afghane se désagrégeait et que l’armée américaine s’efforçait d’évacuer des milliers de personnes, les unités zéro ont joué un rôle essentiel dans la sécurisation des dernières bases américaines et de l’Otan à Kaboul, la capitale afghane. Certains de leurs membres ont ensuite pu être évacués vers les États-Unis. Le suspect de l’attaque survenue mercredi à Washington en fait partie. Selon trois personnes proches du dossier citées par le New York Times, il avait obtenu l’asile du gouvernement américain en avril dernier.

Au moment du retrait américain, plusieurs responsables afghans avaient déclaré au New York Times que leurs salaires pendant leur mission au sein de ces unités leur avaient été versés par la CIA. L’ONG internationale Human Rights Watch révèle d’ailleurs que la CIA était largement impliquée dans le recrutement, l’entraînement et la supervision de ces unités.

"Escadrons de la mort"

Mais ces unités avaient également la réputation d’être impitoyables, ce qui leur a souvent valu d’être qualifiées d'"escadrons de la mort" par les organisations de défense des droits de l’homme. Dans un rapport de 2019, Human Rights Watch a ainsi documenté l’implication de ces forces dans plusieurs affaires "d’exécutions extrajudiciaires et de disparitions forcées, de frappes aériennes indiscriminées, d’attaques contre des installations médicales et d’autres violations du droit international humanitaire".

En 2018, une "unité zéro" a été accusée d’avoir mené un raid contre une maison dans la province afghane de Nangarhar, au cours duquel elle aurait abattu cinq membres d’une même famille, dont une femme âgée et un enfant, toujours selon cette ONG. Si la CIA a jusqu’à présent nié les allégations de brutalité au sein de ces unités - et accusé les talibans d’être à l’origine de cette "propagande mensongère" -, le New York Times rappelle qu’un ex-combattant afghan de ces forces s’est déjà vu refuser l’asile aux Etats-Unis, sur la base d’accusations portées par Human Rights Watch.

© NurPhoto via AFP

Des soldats aghans dans la province de Nangarhar le 14 avril 2017.

Agression au lycée Jules-Lesven à Brest, vols de vélos dans le grand Ouest, DJ Snake à la Fête du Bruit de Landerneau : le point à la mi-journée

Les élèves du lycée Jules-Lesven, à Brest, qui réagissent après l’agression d’un CPE ; les gendarmes qui ont démantelé un troisième réseau de voleurs de vélos ; DJ Snake qui sera à l’affiche de la Fête du Bruit de Landerneau… Ce qu’il faut retenir de cette matinée du vendredi 28 novembre 2025 est à découvrir ici.

« C’est une maladie grave qui peut être mortelle » : la vaccination contre la rougeole reste trop faible dans le monde, alerte l’OMS

28 novembre 2025 à 12:59
La vaccination contre la rougeole progresse dans le monde, mais demeure en-deçà des niveaux précédant la pandémie du Covid-19, alerte l’Organisation mondiale de la santé (OMS), pointant l’obstacle de la désinformation face aux vaccins mais surtout les difficultés d’accès aux plus vulnérables.

Ukraine : derrière le « plan de paix » de Donald Trump, la guerre d’influence entre l’atlantiste Marco Rubio et l’isolationniste JD Vance

28 novembre 2025 à 12:27
RÉCIT - Alliés en apparence, le vice-président et le secrétaire d’État défendent deux visions irréconciliables de l’Amérique. Leurs manœuvres respectives sur les négociations de paix en Ukraine esquissent les fractures qui refaçonneront le Parti républicain dans l’ère post-Trump.

© Kevin Lamarque / Reuters

Marco Rubio et JD Vance, le 18 novembre, à la Maison-Blanche

Guerre en Ukraine : la Belgique redit son opposition à l'utilisation des avoirs russes

28 novembre 2025 à 12:22

Vladimir Poutine a posé ses conditions jeudi 27 novembre, en affirmant que la Russie ne cesserait les hostilités en Ukraine que si les forces de Kiev acceptaient de se retirer des territoires dont Moscou revendique l’annexion. Faute de quoi l’armée russe les prendra "par la force", a menacé le maître du Kremlin, dont les déclarations interviennent alors que les Etats-Unis ont présenté la semaine dernière un plan visant à mettre fin à la guerre, qui a été perçu comme largement favorable aux Russes. Ce texte a été amendé le week-end dernier après des consultations avec les Ukrainiens et doit désormais être présenté à Moscou, où l’émissaire américain Steve Witkoff est attendu la semaine prochaine.

Les infos à retenir

⇒ Ukraine : des perquisitions en cours visant le bras droit de Volodymyr Zelensky

⇒ La Belgique redit son opposition à l'utilisation des avoirs russes pour financer l'Ukraine

⇒ Viktor Orban à Moscou pour rencontrer Vladimir Poutine

La Belgique redit son opposition à l'utilisation des avoirs russes pour financer l'Ukraine

Dans une lettre datée de jeudi, le Premier ministre belge Bart De Wever a réaffirmé son opposition à l'utilisation par l'UE des avoirs russes gelés pour financer l'Ukraine, menaçant ainsi la viabilité du dispositif. "Pourquoi nous aventurer ainsi dans des terrains juridiques et financiers inconnus ?", interroge le conservateur flamand dans ce courrier de quatre pages à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Ce dispositif, prévoyant un recours aux avoirs gelés de la banque centrale russe, dont l'essentiel se trouve en Belgique, est "à mon avis, fondamentalement erroné", souligne-t-il.

La Commission européenne a proposé une utilisation de ces avoirs pour financer un "prêt de réparation" de quelque 140 milliards d'euros à l'Ukraine, que Kiev ne rembourserait que si la Russie paie des réparations de guerre. L'Allemagne, les pays baltes, les pays scandinaves, la Pologne et les Pays-Bas y sont très favorables. Mais l'opération, complètement inédite, soulève de nombreuses interrogations, et pas seulement en Belgique. La Banque centrale européenne (BCE) s'inquiète d'éventuelles turbulences sur les marchés financiers, et d'une possible déstabilisation de l'euro.

Bart De Wever redoute quant à lui que son pays paie seul les pots cassés en cas de problème, et soit exposé à d'éventuelles représailles russes. "Je ne ferai jamais porter à la Belgique seule les risques et les dangers qui découleraient de l'option d'un prêt de réparation", écrit-il.

Ukraine : des perquisitions en cours visant le bras droit de Volodymyr Zelensky

Des perquisitions visant Andriy Yermak, puissant chef de cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, sont en cours ce vendredi 28 novembre, a annoncé l’agence nationale anticorruption ukrainienne (NABU). "Le NABU et le SAP (le parquet spécialisé anticorruption) mènent actuellement des actes d’enquête chez le directeur de cabinet du président de l’Ukraine. Ces opérations sont autorisées et s’inscrivent dans le cadre d’une enquête", a indiqué le NABU dans un communiqué, annonçant "plus de détails à venir".

Cette affaire éclate au moment où Kiev mène des pourparlers très difficiles avec les Etats-Unis sur un plan visant à mettre fin à la guerre entre l'Ukraine et la Russie. Andriy Yermak, 54 ans, en poste depuis 2020, est le négociateur clé dans ce processus. Il a confirmé les perquisitions à son domicile : "Les enquêteurs n'ont aucun obstacle" et ont reçu un "accès complet à mon appartement", a-t-il assuré sur Telegram. "Mes avocats sont sur place et interagissent avec les forces de l'ordre", a ajouté le responsable en assurant coopérer "pleinement" avec les enquêteurs.

Ces enquêtes seraient liées à un des pires scandales de corruption de la présidence Zelensky qui secoue le pays ces dernières semaines et a déjà conduit à la destitution de deux ministres, selon plusieurs députés de l'opposition. Le scandale a éclaté début novembre, quand le NABU a dévoilé un "système criminel", orchestré selon les enquêteurs par un proche du président et qui a permis de détourner 100 millions de dollars (environ 86 millions d'euros) dans le secteur énergétique.

Ancien producteur de cinéma et juriste spécialisé en propriété intellectuelle, Andriy Yermak est largement considéré comme le deuxième homme le plus influent du pays derrière le président Zelensky. Son influence sur ce dernier suscite des interrogations jusque dans l'équipe présidentielle. Ses critiques l'accusent notamment d'avoir concentré trop de pouvoir.

Vladimir Poutine salue la position "équilibrée" de Viktor Orban sur l'Ukraine lors d'une rencontre à Moscou

Le président russe Vladimir Poutine a salué vendredi la position "équilibrée" de la Hongrie sur l'Ukraine, lors d'une rencontre au Kremlin avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban. "Je connais votre position équilibrée sur la question ukrainienne", a déclaré le président russe à Viktor Orban, qui s'oppose au sein de l'Union européenne aux sanctions contre la Russie et critique le soutien à Kiev.

De son côté, le dirigeant hongrois a annoncé que son pays continuerait à acheter des hydrocarbures à la Russie à l'avenir. "Je tiens à réaffirmer que les approvisionnements énergétiques en provenance de Russie constituent actuellement la base de l'approvisionnement énergétique de la Hongrie et qu'ils le resteront à l'avenir", a-t-il déclaré selon des propos retransmis à la télévision.

Lors d'une visite aux Etats-Unis début novembre, le dirigeant nationaliste a obtenu de Donald Trump une dérogation aux sanctions américaines liées au pétrole russe, valable un an. Rare dirigeant européen proche à la fois du président américain et du président russe, Viktor Orban n’a pas cherché à diversifier réellement les importations de son pays depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022 et dépend fortement du pétrole russe. Depuis son retour au pouvoir en 2010, il a rencontré Vladimir Poutine 15 fois. La rencontre de vendredi est leur quatrième depuis le début de la guerre en Ukraine.

Sud-Africains recrutés en Russie : la fille de l'ex-président Zuma démissionne du Parlement

La fille de l'ex-président sud-africain Jacob Zuma a démissionné du Parlement après des accusations de recrutements de Sud-Africains au profit de la Russie pour qu'ils combattent en Ukraine, a annoncé vendredi lors d'une conférence de presse le directeur du parti MK, fondé et présidé par son père.

Présents dans la salle, ni Duduzile Zuma-Sambudla ni son père, président du pays de 2009 à 2018, ne se sont exprimés. Sa propre sœur l'avait accusée la semaine passée d'être impliquée dans le recrutement de 17 Sud-Africains, qui ont lancé des appels de détresse à l'actuel président Cyril Ramaphosa en se disant coincés dans la région ukrainienne du Donbass.

Selon Kiev, 1 426 ressortissants de 36 pays africains ont été identifiés dans les rangs russes, mais le chiffre des combattants étrangers pourrait être bien plus élevé.

Le chef de la diplomatie chinoise attendu en Russie

Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi doit se rendre en Russie la semaine prochaine, a annoncé vendredi son ministère, au moment où les Etats-Unis tentent de mettre fin à la guerre en Ukraine.

Le patron de la diplomatie chinoise doit prendre part lundi et mardi au 20e cycle des entretiens sur la coopération stratégique et sécuritaire entre les deux partenaires et alliés, a indiqué devant des journalistes la porte-parole des Affaires étrangères chinoises, Mao Ning. Convié par le secrétaire du Conseil de sécurité russe, Sergueï Choïgou, Wang Yi "aura des échanges de vue exhaustifs sur des questions internationales et régionales de préoccupations mutuelles", a expliqué la diplomate chinoise, sans évoquer le conflit en Ukraine.

© afp.com/NICOLAS TUCAT

Le Premier ministre belge Bart De Wever s'exprime lors d'un sommet européenne à Bruxelles le 23 octobre 2025

Vivre au milieu des mines : le périlleux retour des habitants à la frontière syro-irakienne

28 novembre 2025 à 12:09
Depuis la chute du régime syrien en décembre dernier, l’ONG Handicap international a recensé 725 accidents et près de 1 400 victimes de ces engins explosifs dans tout le pays, contre 933 victimes en 2023. L’augmentation de ces derniers mois est en partie due aux retours des habitants dans des zones ravagées par la guerre, jusqu’alors occupées par les forces de Bachar al-Assad.

Baïkonour : le cosmodrome russe endommagé lors du décollage d’une fusée vers l’ISS

28 novembre 2025 à 11:15

Le pas de tir du cosmodrome russe de Baïkonour, au Kazakhstan, a subi des dommages jeudi 27 novembre lors du décollage d’une fusée Soyouz emportant un équipage russo-américain vers la Station spatiale internationale, a indiqué l’agence spatiale russe Roscosmos. "Nous avons relevé des dommages sur plusieurs éléments" du pas de tir, a écrit Roscosmos sur les réseaux sociaux, après l’inspection de ces installations qui sont les seules à permettre à la Russie de faire décoller des vols habités.

L’agence spatiale a cependant assuré que "tous les matériels de réserve sont disponibles pour la réparation", et que le pas de tir serait remis en état "dans les plus brefs délais".

Des dommages importants, selon des blogs spécialisés

Des blogs russes spécialisés ont de leur côté affirmé que la Russie ne serait durablement pas en mesure d’assurer le lancement de vols habités, estimant que les dommages subis par les installations lors du décollage de jeudi étaient importants.

La mission Soyouz MS-38, emportant les cosmonautes russes Sergueï Koud-Svertchkov et Sergueï Mikaïev ainsi que l’astronaute américain Chris Williams, a décollé de Baïkonour jeudi à 10h27 (heure française). Le vaisseau s’est par la suite arrimé à la Station spatiale internationale (ISS) sans dommage, selon Roscosmos.

L’espace est un des rares domaines dans lesquels s’est poursuivie la coopération entre la Russie et les Etats-Unis après le début de l’offensive russe en Ukraine en février 2022.

© AFP

Décollage d'une fusée Soyouz transportant un équipage russo-américain, à Baïkonour le 27 novembre 2025.

Défense : avec "Michelangelo", l’Europe bientôt dotée de son "dôme de fer" ?

28 novembre 2025 à 10:47

Vers une défense antiaérienne européenne connectée ? C’est la promesse faite par l’entreprise publique italienne Leonardo, qui a présenté jeudi 27 novembre un système pointu d’intelligence artificielle. Sa mission : connecter les radars, missiles et systèmes de commandement européens pour neutraliser de potentielles menaces russes. Un fonctionnement inspiré du dôme de fer israélien, opérationnel depuis 2011. "Il s’agit d’un modèle important pour la sécurité de l’Italie, de l’Europe et des pays de l’Otan dans les années à venir", a déclaré Roberto Cingolani, directeur général de Leonardo, lors de la présentation du système aux hauts responsables de l’armée italienne. Selon lui, ce système baptisé "Michelangelo" sera opérationnel dès "fin 2027".

L’idée est de permettre à n’importe quel pays européen de pouvoir l’utiliser, alors que chacun empile aujourd’hui des systèmes différents, achetés à des industriels et à des pays parfois concurrents. D’un côté, l’Allemagne a pris la tête d’un projet de bouclier aérien européen (ESSI) basé notamment sur des équipements américains (Patriot) et israéliens (Arrow 3) et a été suivie par une vingtaine de pays - dont le Royaume-Uni, la Suède et la Finlande. De l’autre, plusieurs Etats comme l’Italie ou la France se sont montrés critiques d’un système basé sur des technologies non-européennes et ont préféré privilégier le système franco-italien SAMP-T.

Renforcer l’intégration des systèmes de défense européens

Pour Leonardo, Michelangelo pourrait permettre de réconcilier ces deux visions : "Le système est conçu pour être ouvert, c’est-à-dire compatible avec les actifs et les plateformes défensives d’autres pays et conformément aux normes de l’Otan, précise le groupe italien. Roberto Cingolani a également fait valoir que ce système sera essentiel pour les pays d’Europe de l’Est, "qui ne sont peut-être pas en mesure d’utiliser des systèmes haut de gamme tels que le F-35 ou le Patriot, mais pourraient néanmoins intégrer leurs ressources existantes dans un bouclier plus large".

Le dispositif a aussitôt reçu le soutien du ministre italien de la Défense, Guido Crosetto, qui a à son tour souligné que "chaque pays peut y intégrer ses propres technologies". "Ensemble, nous pouvons coopérer pour créer un système de défense très avancé contre tous les types de menaces, des missiles hypersoniques aux petits drones, car les menaces se présentent aujourd’hui sous de nombreuses formes différentes", a-t-il ajouté depuis Paris après une rencontre avec son homologue française Catherine Vautrin. Reste à voir si les gouvernements européens iront au-delà d’un soutien rhétorique et s’accorderont pour financer ce projet de défense de leur espace aérien.

© afp.com/MARCO BERTORELLO

Le logo du géant italien Leonardo à Milan, en Italie, le 16 octobre 2024

La CPI rejette de nouveau la demande de libération provisoire de l’ancien président philippin, Rodrigo Duterte

28 novembre 2025 à 12:31
Malgré des arguments médicaux avancés par la défense, la CPI estime que la détention de Rodrigo Duterte demeure indispensable au regard des risques identifiés, à savoir un risque de fuite et l’influence de témoins.

© Peter Dejong via REUTERS

L’ancien président philippin, Rodrigo Duterte, apparaît sur un écran dans la salle d’audience de la Cour pénale internationale, à La Haye (Pays-Bas), le 14 mars 2025.

EN DIRECT, guerre en Ukraine : Viktor Orban a rencontré Vladimir Poutine en Russie

28 novembre 2025 à 12:22
La Hongrie continuera d’acheter des hydrocarbures à la Russie, a affirmé le premier ministre hongrois lors de sa rencontre avec le président russe, vendredi au Kremlin. Par ailleurs, Moscou a affirmé avoir reçu une nouvelle mouture du « plan de paix » américain.

© ALEXANDER NEMENOV/AFP

Le premier ministre hongrois, Viktor Orban, et le président russe, Vladimir Poutine, au Kremlin, à Moscou, le 28 novembre 2025.

Donald Trump insulte, une nouvelle fois, une journaliste

28 novembre 2025 à 12:13
Nancy Cordes, journaliste de CBS, demandait au président des Etats-Unis pourquoi il blâmait son prédécesseur Joe Biden, alors que certains membres de sa propre administration avaient affirmé que les Afghans réinstallés aux Etats-Unis avaient été soigneusement contrôlés.

© JIM WATSON/AFP

Le président américain, Donald Trump, s’adressant à la journaliste Nancy Cordes, dans sa résidence de Mar-a-Lago, à Palm Beach (Floride), le 27 novembre 2025.

Droits de douanes: des patrons suisses sous enquête pour corruption envers Trump

Par :RFI
28 novembre 2025 à 12:05
Deux députés suisses ont saisi le procureur de la Confédération helvétique pour déterminer si le cadeau offert à Donald Trump par les plus grands patrons du pays constitue une infraction. Une horloge Rolex et un lingot d’or avaient été remis au président américain lors de leur visite à la Maison Blanche début novembre 2025, quelques jours avant la réduction des droits de douane sur les produits suisses.

Au Pérou, deux anciens présidents rejoignent la liste des ex-chefs d’Etat condamnés à de la prison dans ce pays

28 novembre 2025 à 12:01
Martin Vizcarra, chef de l’Etat péruvien de 2018 à 2020, a été condamné mercredi 26 novembre à quatorze ans de prison dans une affaire de pots-de-vin ; jeudi, Pedro Castillo, élu en 2021, a, lui, reçu une peine de onze ans d’emprisonnement pour « conspiration en vue d’une rébellion » après avoir dissous le Congrès en décembre 2022.

© Gerardo Marin / REUTERS

L’ancien président péruvien Martin Vizcarra peu après l’énoncé de sa condamnation à quatorze ans de prison, au tribunal de Lima, le 26 novembre 2025.
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