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Reçu aujourd’hui — 19 novembre 2025 6.2 📰 Infos Monde

Nicolas Guillou, juge français de la CPI, sanctionné par les Etats-Unis : « Face aux attaques, les magistrats de la Cour tiendront »

19 novembre 2025 à 12:49
Six juges et trois procureurs de la Cour pénale internationale, dont le procureur général, Karim Khan, ont été placés sous sanctions par les Etats-Unis. Dans un entretien au « Monde », le magistrat français évoque le poids de ces mesures sur son travail et sa vie quotidienne.

© COUR PENALE INTERNATIONALE

Le juge français Nicolas Guillou prête serment au siège de la Cour pénale internationale, à La Haye (Pays-Bas), le 8 mars 2024.

EN DIRECT, Liban : une frappe israélienne dans le district de Bint Jbeil fait un mort et des blessés, selon l’agence de presse libanaise

19 novembre 2025 à 11:59
Mardi soir, 13 personnes avaient été tuées dans une frappe israélienne sur un camp de réfugiés palestiniens du sud du Liban. L’armée israélienne avait dit avoir frappé un camp d’entraînement du Hamas palestinien.

© JALAA MAREY/AFP

La frontière séparant le nord d’Israël du sud du Liban, avec le village libanais d’Ain Ebel visible en arrière-plan, le 16 novembre 2025.

La Roumanie déploie des avions de chasse après une nouvelle incursion de drone sur son territoire

19 novembre 2025 à 11:32
Deux chasseurs allemands opérant en Roumanie surveillaient la situation aérienne peu après minuit à la frontière avec l’Ukraine, à la suite de frappes aériennes russes, a annoncé le ministère de la défense roumain mercredi.

© ANDREI PUNGOVSCHI/AFP

Deux avions de chasse F-16 de l’armée de l’air roumaine effectuent une démonstration sur la base aérienne militaire roumaine de Fetesti, le 13 novembre 2023.

Guerre en Ukraine : la Roumanie déploie des avions de chasse après une nouvelle incursion de drone

19 novembre 2025 à 10:54

Désireux de relancer des négociations pour la paix actuellement dans l’impasse, Volodymyr Zelensky se rend ce mercredi 19 novembre en Turquie pour rencontrer à Ankara son homologue turc et l’émissaire américain Steve Witkoff. Selon un responsable ukrainien qui s’exprimait auprès de l’AFP sous couvert d’anonymat, l’objectif est notamment de "réengager les Etats-Unis dans les efforts de paix en imposant des sanctions contre la Russie" et en exerçant des "pressions diplomatiques" sur le Kremlin. Moscou a de son côté indiqué qu’aucun émissaire russe ne se rendrait en Turquie aujourd’hui.

Ces discussions ont lieu dans un moment très difficile pour l’armée ukrainienne, alors qu’une ville clé sur le front Est, Pokrovsk, semble sur le point de tomber. Les frappes russes se poursuivent en parallèle : au moins neuf personnes ont été tuées dans la nuit de mardi à mercredi par une attaque à Ternopil, dans l’ouest de l’Ukraine.

Les infos à retenir

⇒ Volodymyr Zelensky est en Turquie pour des pourparlers

⇒ La Roumanie déploie des avions de chasse face à une nouvelle incursion de drone

⇒ Neuf morts dans une frappe russe dans l’ouest de l’Ukraine

Volodymyr Zelensky est arrivé en Turquie pour des pourparlers

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, est arrivé en Turquie ce mercredi matin pour des pourparlers visant à raviver les efforts de paix après plus de trois ans d'invasion de la Russie, a indiqué le chef de l'administration présidentielle ukrainienne. "Arrivé en Turquie dans le cadre de la délégation conduite par le président Zelensky", a écrit sur X Andriï Iermak, ajoutant qu'il était en "communication constante" avec l'émissaire américain, Steve Witkoff, qui n'a pas confirmé sa participation aux discussions.

Volodymyr Zelensky était lundi en France, puis mardi en Espagne dans le cadre d'une tournée européenne. "Demain, j'ai une réunion avec le président Erdogan. Nous discuterons avant tout avec lui des meilleures possibilités pour garantir que l'Ukraine parvienne à une paix juste", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Madrid.

Le Kremlin refuse de commenter les informations de presse faisant état d'un plan de paix américain

Le Kremlin a refusé mercredi de commenter des informations publiées par le média américain Axios selon lesquelles Washington et Moscou préparent discrètement un plan de paix pour mettre fin à la guerre en Ukraine.

"Nous n'avons rien de nouveau que nous puissions vous communiquer à ce sujet", a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors d'un briefing auquel participe l'AFP. Selon Axios, qui dit se fonder sur des sources russes et américaines, ce plan aborde les garanties de sécurité pour l'Ukraine, la sécurité en Europe et les relations Moscou-Washington sans trancher sur les questions territoriales.

La Roumanie déploie des avions de chasse face à une nouvelle incursion de drone

La Roumanie, pays membre de l’Otan et frontalier de l’Ukraine, a mobilisé tôt ce mercredi des avions de chasse en réponse à une nouvelle incursion de drone sur son territoire, a annoncé le ministère de la Défense.

Deux chasseurs allemands opérant en Roumanie surveillaient la situation aérienne peu après minuit à la frontière avec l’Ukraine, à la suite de frappes aériennes russes, a indiqué le ministère roumain de la Défense dans un communiqué de presse. "Pendant quelques minutes a été détecté le signal d’un drone ayant pénétré d’environ huit kilomètres dans l’espace aérien national" avant de disparaître des radars, a ajouté le ministère, précisant qu’une alerte téléphonique avait été envoyée aux habitants du comté de Tulcea, dans le sud-est du pays.

"Le drone est réapparu par intermittence sur le radar pendant environ 12 minutes" après des frappes aériennes russes près de la frontière roumaine avec l’Ukraine, a précisé le communiqué, ajoutant qu’aucun impact au sol n’avait été signalé. "Deux autres avions, des F-16 de l’armée de l’air roumaine, ont été mobilisés", a ajouté le ministère, précisant qu'"aucun cas d’impact d’aéronef au sol n’a (vait) été signalé".

La Roumanie a enregistré plusieurs violations de son espace aérien, notamment avec des fragments de drones tombant sur son territoire, depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022. La Moldavie voisine a également annoncé avoir constaté le survol de son territoire par un drone dans la nuit.

Neuf morts dans une frappe russe dans l’ouest de l’Ukraine

Au moins neuf personnes ont été tuées par une frappe russe à Ternopil, dans l’ouest de l’Ukraine, a indiqué mercredi le président Volodymyr Zelensky, réitérant son appel à des sanctions efficaces contre la Russie. Il s’agit de l’une des attaques les plus meurtrières sur cette capitale régionale depuis le début de l’invasion russe en février 2022.

Une attaque russe de drones a par ailleurs visé la région ukrainienne de Kharkiv pour la troisième nuit consécutive, faisant 36 blessés dans sa capitale, a rapporté la police régionale mercredi matin.

Ce mercredi matin, la totalité de l’Ukraine se trouve en état d’alerte aérienne. Au cours de la nuit, plus de 470 drones et missiles russes ont été lancés contre l’Ukraine, a indiqué Volodymyr Zelensky et de nombreuses régions évaluaient mercredi les dégâts. Le dirigeant ukrainien a estimé que ces attaques montraient que "la pression sur la Russie (était) insuffisante". "Des sanctions efficaces et une aide à l’Ukraine peuvent changer cela. Les besoins les plus urgents sont des missiles pour la défense aérienne, des systèmes supplémentaires, l’augmentation des capacités de notre aviation de combat et la production de drones pour protéger des vies", a-t-il détaillé.

Face à la menace russe, l’UE veut accélérer la mobilité des armées sur le continent

L’UE présente ce mercredi un ensemble de mesures censées accélérer la mobilité des armées sur le continent, face à la menace russe. Objectif : qu’une colonne de chars basés en Espagne n’arrive pas en Pologne "après la guerre", résume un responsable européen.

A ce jour, il est encore indispensable d’obtenir des autorisations, pays par pays, pour faire transiter ces chars dans l’Union européenne. Et, une fois obtenus ces laissez-passer, ils risquent fort d’être contraints d’emprunter quantité d’itinéraires bis pour éviter des routes ou des ponts trop fragiles pour les supporter.

Pour remédier à ces goulots d’étranglement, la Commission propose notamment d’instaurer un "permis unique" valable dans toute l’Union européenne, afin d’éviter cette succession de demandes d’autorisations, dont certaines doivent être faites 45 jours à l’avance. En cas d’urgence, elle veut aussi fixer des règles claires en instaurant par exemple des autorisations de passage prioritaires, pour éviter tout blocage.

© afp.com/Andrei Pungovschi

Un avion de chasse F-16 lors d'une démonstration à Fetesti, en Roumanie, le 13 novembre 2023

Assassinat de Jamal Khashoggi : en défendant MBS, Donald Trump contredit les conclusions de la CIA

19 novembre 2025 à 09:15

En plus d’offrir à Mohammed ben Salmane, "MBS", une spectaculaire réhabilitation diplomatique assortie d’importants accords dans la défense et l’énergie, Donald Trump a défendu avec vigueur mardi 18 novembre le prince héritier saoudien concernant l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en 2018.

"Vous parlez d’une personne extrêmement controversée. Beaucoup de gens n’aimaient pas ce monsieur dont vous parlez. Que vous l’aimiez ou pas, des choses se sont produites", a lancé le républicain de 79 ans en réponse à une question d’une journaliste de la chaîne ABC sur Jamal Khashoggi, ancien chroniqueur du Washington Post. Mohammed ben Salmane "n’était au courant de rien", a ensuite affirmé Donald Trump, qui s’en est pris violemment à la journaliste qui posait la question. Il l’a accusée, pendant un échange dans le bureau Ovale en compagnie du prince héritier, de chercher à "embarrasser" celui qu’il qualifie de "très bon ami". "Vous n’avez pas besoin de mettre notre invité dans l’embarras en lui posant une telle question", a-t-il ajouté.

Reçu avec une garde à cheval, des coups de canon et un survol d’avions de combat, le dirigeant de facto du royaume saoudien a même eu droit aux louanges du président américain pour son bilan "incroyable en matière de droits humains."

Un rapport accusateur de la CIA

Des "déformations" de la réalité qui "sont en contradiction avec les faits et sont indignes de la fonction présidentielle", selon un éditorial du Washington Post ce mercredi.

Résidant aux Etats-Unis, critique du pouvoir saoudien après en avoir été proche, Jamal Khashoggi a été tué en 2018 dans le consulat saoudien à Istanbul par des agents venus d’Arabie saoudite, comprenant des membres de la sécurité personnelle de Mohammed ben Salmane. Son corps a été démembré par ces agents et n’a jamais été retrouvé.

Si aucune preuve directe de l’implication de Mohammed ben Salmane n’a jamais été publiée, la CIA avait conclu en 2018, dans un rapport déclassifié trois ans plus tard, qu’il avait bel et bien validé l’opération, ce qui a d’ailleurs quasiment gelé, pendant un temps, la relation de l’Arabie saoudite avec les Etats-Unis.

"Nous sommes parvenus à la conclusion que le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane a validé une opération à Istanbul, en Turquie, pour capturer ou tuer le journaliste saoudien Jamal Khashoggi", écrit ainsi le renseignement américain dans un document de quatre pages, déclassifié en 2021 à la demande de l’ancien président Joe Biden alors que son prédécesseur Donald Trump l’avait gardé secret. Le rapport souligne que le jeune dirigeant disposait d’un "contrôle absolu" des services de renseignement et de sécurité, "rendant très improbable" une telle opération sans son "feu vert". Il contient une liste d’une vingtaine de personnes impliquées dans l’opération, dont l’ex-numéro deux du renseignement saoudien Ahmed al-Assiri, proche de MBS, et l’ex-conseiller du prince Saoud al-Qahtani, tous deux blanchis par la justice de leur pays.

En 2018, le Wall Street Journal révélait par ailleurs que la CIA avait constaté que le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane avait envoyé "au moins 11 messages à son plus proche conseiller, qui supervisait l’équipe ayant assassiné le journaliste Jamal Khashoggi, dans les heures qui ont précédé et suivi la mort de ce dernier en octobre." Il n’est pas fait mention de ces SMS dans le rapport déclassifié de la CIA. Le Washington Post, lui, écrivait en 2018 que "la CIA a examiné plusieurs sources de renseignements, notamment un appel téléphonique entre le frère du prince, Khalid ben Salmane, ambassadeur saoudien aux États-Unis, et Khashoggi", lors duquel l’ambassadeur aurait dit au journaliste qu’il devait se "rendre au consulat saoudien à Istanbul pour récupérer des documents" et qu’il ne courrait aucun danger. "On ne sait pas si Khalid savait que Khashoggi allait être tué", ajoutait alors le Washington Post.

"Une énorme erreur" selon Mohammed ben Salmane

Le Sénat des Etats-Unis, qui avait déjà eu accès aux conclusions du renseignement américain, avait aussi jugé dès 2018 que le prince était "responsable" du meurtre. Mais Mike Pompeo, alors secrétaire d’Etat de Donald Trump, avait lui affirmé que le rapport de la CIA ne contenait "aucun élément direct liant le prince héritier à l’ordre de tuer Jamal Khashoggi".

Tout en niant la responsabilité du meurtre - la version de Riyad étant que les agents saoudiens ont agi seuls -, le prince hériter saoudien a de son côté répondu mardi à la journaliste d’ABC que "c’est douloureux et c’est une énorme erreur et nous faisons de notre mieux pour que cela n’arrive pas à nouveau". "Nous avons amélioré notre système pour nous assurer que rien de tel ne se reproduise", a-t-il déclaré. Une réponse que le Washington Post considère dans son éditorial comme insuffisante mais "meilleure que celle de Donald Trump".

La veuve de Jamal Khashoggi l’a ensuite interpellé : "Le prince héritier a dit qu’il était désolé, il devrait donc me rencontrer, me présenter ses excuses et m’indemniser pour le meurtre de mon mari", a écrit Hanan Elatr Khashoggi sur X. Comme le rappelait l’AFP en 2021, à l’issue d’un procès opaque en Arabie saoudite, cinq Saoudiens impliqués dans le meurtre ont été condamnés à mort et trois autres à des peines de prison - les peines capitales ont depuis été commuées.

Donald Trump n’a jamais voulu blâmer publiquement Mohammed ben Salmane, pour préserver l’alliance avec Riyad, pilier de sa stratégie anti-Iran, premier exportateur mondial de pétrole brut, et gros acheteur d’armes américaines. Hier, le prince saoudien a déclaré que son pays envisageait d’investir 1000 milliards de dollars dans l’économie américaine, ajoutant que les opportunités "se multipliaient de plus en plus". Il a obtenu plusieurs faveurs du président des Etats-Unis, comme la désignation de l’Arabie saoudite comme "allié majeur non-membre de l’Otan", mais aussi la promesse d’une livraison "future" d’avions de combat F-35, d’une coopération renforcée dans le nucléaire civil, et d’un accès aux technologies américaines avancées en matière d’intelligence artificielle.

© afp.com/Brendan SMIALOWSKI

Donald Trump et le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane dans le bureau Ovale de la Maison-Blanche, le 18 novembre 2025

EN DIRECT, guerre en Ukraine : plusieurs villes ukrainiennes attaquées par la Russie, au moins 20 personnes tuées et une centaine d’autres blessées

19 novembre 2025 à 11:02
La situation est particulièrement difficile à Ternopil, où l’attaque de drones et de missiles a fait 20 morts et plus de 60 blessés, dont 14 enfants, selon les autorités ukrainiennes. Les villes de Lviv et d’Ivano-Frankivsk, situées loin du front de l’est, ont également été visées.

© Vlad Kravchuk/AP

Un immeuble résidentiel fortement endommagé après une frappe russe sur Ternopil, en Ukraine, le 19 novembre 2025.

Yosra Frawes, avocate : « Le président tunisien, Kaïs Saïed, n’a jamais été acquis ni aux droits des femmes, ni aux libertés, ni aux droits humains »

19 novembre 2025 à 11:00
La militante féministe et défenseuse des droits humains réagit, dans une tribune au « Monde », à la suspension administrative de l’Association tunisienne des femmes démocrates, une « sanction collective contre celles qui se battent pour une Tunisie libre, juste et égalitaire ».

© « Le Monde »

Dans la Manche, les migrants pilotes de « small boats » de plus en plus poursuivis par la justice

19 novembre 2025 à 11:00
Simples candidats à l’exil ou complices des passeurs ? Ceux qui acceptent de prendre la barre des embarcations, pour un prix de traversée réduit, se voient reprocher de l’aide au séjour irrégulier, voire des homicides involontaires.

© DAN KITWOOD / Getty Images via AFP

Un policier observe une embarcation de migrants se faisant approcher par un bateau de la gendarmerie maritime, sur la plage de Gravelines (Nord), le 2 juillet 2025.

Cristiano Ronaldo invité au gala organisé par Donald Trump en l'honneur du prince saoudien Mohammed ben Salmane

19 novembre 2025 à 10:44
Donald Trump a reçu ce mardi le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane avec tous les honneurs protocolaires, pour sa première visite à Washington depuis l'assassinat en 2018 du journaliste Jamal Khashoggi. Le footballeur Cristiano Ronaldo, qui évolue désormais dans un club saoudien, était l'un des invités de prestige du gala organisé par le président américain après la rencontre. 

Assassinat du journaliste Jamal Khashoggi: le prince héritier saoudien reconnaît "une énorme erreur"

19 novembre 2025 à 10:43
Invité à la Maison-Blanche par Donald Trump le 18 novembre, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a répondu aux questions concernant les familles des victimes du 11-Septembre. Il a ensuite réagi à une question portant sur les accusations l’impliquant dans l’orchestration du meurtre du journaliste Jamal Khashoggi.

En Birmanie, plus de 300 arrestations après une perquisition dans un centre d’escroquerie en ligne

19 novembre 2025 à 10:27
L’industrie des escroqueries en ligne en Asie du Sud-Est engrange environ 37 milliards de dollars par an, selon l’ONU en 2023. La répression de ces grands complexes est très médiatisée.

© STR / AFP

Des employés présumés d’un centre d’escroquerie et des victimes sont assis à côté d’appareils informatiques et électroniques démantelés lors d’une opération de répression menée par la Force de garde-frontière karen, à Shwe Kokko, en Birmanie, le 18 février 2025.

Au Liban, attaque meurtrière de l’armée israélienne dans le camp de réfugiés palestiniens d’Aïn El-Héloué

19 novembre 2025 à 10:18
Au moins 13 personnes ont été tuées par des frappes israéliennes dans le sud du Liban. C’est le bilan humain le plus élevé depuis le « cessez-le-feu » entré en vigueur le 27 novembre 2024 entre l’Etat hébreu et le Hezbollah.

© MAHMOUD ZAYYAT/AFP

Des sauveteurs recherchent des survivants sur le site d’une attaque israélienne qui a visé le camp de réfugiés palestiniens d’Aïn El-Héloué, au Liban, le 18 novembre 2025.
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