La palette de services offerts par Wero s’élargit comme prévu. Lancée comme une application dédiée aux virements entre proches (elle succède à Paylib en France), elle permet désormais d’effectuer des paiements en ligne en Allemagne, venant marcher sur les plates-bandes d’Apple Pay ou de PayPal.
Outre-Rhin, la solution Wero pour le e-commerce est maintenant déployée par les réseaux Sparkassen et Volksbanken/Raiffeisenbanken. Dans les prochains mois, d’autres établissements partenaires suivront : Postbank et Deutsche Bank dans un premier temps, puis ING Allemagne et Revolut.
Intégration de Wero à un site d’e-commerce. Image Wero
Du côté des commerçants, Eventim, une plateforme d’achat de billets de spectacle, a déjà enclenché son intégration. D’autres enseignes suivront bientôt, parmi lesquelles Decathlon, Lidl, CEWE, Veepee et Cineplex.
Ce service de paiement en ligne arrivera en France, ainsi qu’en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas, en 2026. Dans l’Hexagone, plusieurs enseignes ont déjà signé un accord de collaboration avec EPI, le consortium bancaire à la manœuvre : Air France, E. Leclerc, l’École du Ski Français, Orange/Sosh, Veepee ou encore Dott. La Direction générale des finances publiques s’intéresse aussi à l’intégration de Wero comme moyen de paiement dans certains services publics.
Image Wero
Un peu plus d’un an après son lancement, Wero revendique 45 millions d’utilisateurs dans plusieurs pays européens, principalement en France. À terme, la plateforme entend bien s’installer aussi dans les commerces physiques. Une confrontation directe avec Apple Pay se profile, un service dont les banques goûtent peu les commissions prélevées par Apple.
Dans le petit monde des traqueurs Bluetooth, il y a les AirTags d'un côté et les modèles noname à bas prix de l'autre. Entre les deux, quelques marques tentent de se démarquer, comme eufy. Les traqueurs en question sont en promotion, dès 13 €. Nous avons testé le modèle classique, et il offre quelques fonctions supplémentaires via son application, et un code QR qui permet de retrouver le propriétaire d'un objet lié à un traqueur. Nous en parlerons bientôt, mais le modèle d'eufy offre aussi une excellente autonomie, ce qui n'est pas le cas des modèles les moins onéreux. Si vous avez besoin de plusieurs traqueurs, le pack de deux est à 23 € et celui de quatre est à 35 €.
Quatre traqueurs pour le prix d'un AirTag. Image eufy.
En plus des modèles en format jeton, deux autres traqueurs sont en promotion. Ils sont prévus pour être insérés dans un portefeuille, en format carte de crédit. La première est à 18 € au lieu de 25 € et offre une autonomie élevée (trois ans) mais avec un défaut : c'est un modèle jetable. La batterie intégrée n'est ni amovible ni rechargeable, un choix courant dans les premières générations. La seconde carte est vendue 25 € au lieu de 35 €. Cette variante est rechargeable, avec un petit adaptateur. L'autonomie annoncée est d'un an, et eufy a eu la bonne idée de ne pas mettre un câble USB-A, mais une simple prise USB-C sur l'adaptateur, ce qui va permettre de charger facilement la carte.
Ceux qui travaillent au quotidien sur un ordinateur ou une tablette connaissent l'importance de disposer de bons périphériques. Les claviers, souris, et trackpad d'Apple sont de bonne facture mais présentent un tarif élevés, ce qui rend les promotions d'aujourd'hui d'autant plus intéressantes.
Mauvaise nouvelle pour les derniers irréductibles de la tour modulaire : selon les rapports récents de Bloomberg, Apple a officiellement mis le Mac Pro au placard. Aucune mise à jour n'est prévue pour 2026 et le constructeur semble avoir définitivement tourné la page. L'avenir de la puissance de bureau chez Apple passerait désormais exclusivement par le Mac Studio et les futures puces Ultra.
Après un long déploiement progressif qui aura duré deux ans, l’application carte Vitale est finalement ouverte à tous. Plus besoin d’habiter dans un département particulier ou de passer par France Identité, l’application est accessible par l’ensemble des assurés, et ce quel que soit leur régime d’assurance maladie ou leur pièce d’identité.
Mais à quoi sert-elle ? En deux mots, elle fait office de double numérique pour la carte Vitale physique — qui reste bien valable. En présentant le QR code affiché sur son smartphone, l’assuré peut faire valoir ses droits auprès d’un professionnel de santé.
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Un double numérique pour éviter les oublis…
Cette dématérialisation vise d’abord à éviter les situations fréquentes où la carte physique manque à l’appel. D’après un sondage Ipsos–BVA commandé par l’Assurance Maladie et publié ce mois-ci, 25 % des Français déclarent avoir déjà eu des difficultés à retrouver leur carte au moment où ils en avaient besoin de manière urgente. Ce sont en particulier les parents pour 37 % d’entre eux et les jeunes adultes à hauteur de 46 % qui sont les plus étourdis.
Il y a moins de risque d’oublier son smartphone, un appareil presque indispensable dans la vie de tous les jours. L’Assurance Maladie justifie d’ailleurs la dématérialisation de la carte Vitale en donnant d’autres statistiques sur la place des outils numériques : 9 répondants sur 10 suivent leurs remboursements de soins en ligne et 8 sur 10 reçoivent des ordonnances ou résultats par voie numérique.
Activée à ce jour par 1,8 million de personnes, l’application carte Vitale devrait connaitre un gros coup d’accélérateur avec cette génération : 28 millions de personnes supplémentaires peuvent maintenant en tirer parti. D’ailleurs, près de 7 Français sur 10 se déclarent prêts à la télécharger, selon le même sondage.
L’application a aussi un rôle à jouer en cas d’imprévu : près d’un million de cartes sont déclarées perdues ou volées chaque année (chiffres pour le régime général). L’app permet alors d’obtenir rapidement un double numérique sur son smartphone.
Elle fluidifie aussi les remboursements. « Il y a un vrai bénéfice potentiel pour l’acquisition des droits », nous expliquait fin 2023 Valérian Ponsinet, chargé du numérique à la Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France. Alors que la carte porte elle-même les informations sur les droits des assurés — informations qui peuvent être obsolètes faute d’actualisation récente de la carte —, l’appli sert uniquement de support d’identification.
En scannant le QR code du patient, le pharmacien (ou tout autre professionnel de santé) prend connaissance de ses droits en temps réel grâce à un accès direct aux bases de l’Assurance Maladie — c’est le système nommé ADRi dans le milieu. En résumé, dans le cadre du tiers payant, l’application va permettre aux pharmaciens d’être payés plus facilement par la sécu.
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… mais la carte physique reste bien utile pour l’instant
Encore faut-il que les professionnels soient équipés. La bascule vers une authentification par QR code (ou par NFC sur certains smartphones Android) impose d’utiliser une « douchette », un outil qui n’est pas encore généralisé. Aujourd’hui, près de 80 % des pharmacies dans les territoires où les deux parcours étaient déployés facturent déjà avec l’application. À l’échelle du pays, environ deux tiers s’en servent, selon l’Assurance Maladie.
Chez les médecins généralistes, le rythme est plus lent, comme l’avait prédit le docteur Nogrette, secrétaire général adjoint de MG France, interrogé par nos soins il y a deux ans. Actuellement, seuls un quart ont déjà utilisé l’application au moins une fois. Et les chiffres chutent en Île-de-France, absente du lancement initial : une pharmacie sur deux et seulement un praticien sur huit sont équipés.
Comme peu de patients présentent leur smartphone, « ce n’est pas encore rentré dans les habitudes des professionnels de santé », reconnaît Thomas Fatôme, directeur général de la Caisse nationale de l’Assurance Maladie, dans Le Parisien. Pour accélérer l’adoption, une incitation financière est prévue : lorsqu’un médecin télétransmet une première facture avec l’application après s’être doté d’un lecteur compatible, il perçoit 280 €. L’an prochain, cette somme sera divisée par deux.
Côté assurés, l’application va aussi évoluer. Pour l’heure, elle permet donc de faire valoir ses droits ainsi que de consulter ses dépenses de soins. À terme, elle pourra servir de moyen d’identification pour accéder à d’autres services, comme Mon espace santé, et elle pourra intégrer la complémentaire santé. Les professionnels pourront ainsi gérer le tiers payant sur la part obligatoire et sur la part complémentaire directement via l’application. L’Assurance Maladie n’en dit rien, mais on espère aussi des progrès côté ergonomie, notamment un parcours d’activation plus simple. D'ailleurs, l'application gère maintenant Face ID, mais pour les utilisateurs existants il est nécessaire de refaire son inscription pour en profiter.
Si l’ancien ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau avait relancé l’idée d’une intégration de la carte Vitale dans France Identité, les deux applications sont parties pour continuer leur route séparément. Elles relèvent de structures distinctes : le GIE SESAM-Vitale pour l’une et France Titres (ex-Agence Nationale des Titres Sécurisés) pour l’autre.
Kingston est un des grands noms des SSD et de la RAM, et la société a eu une idée : une clé USB qui offre les performances d'un SSD externe. Ou un SSD externe dans le même format qu'une clé USB, selon votre point de vue. Et ce produit a un avantage : une double connectique, USB-A et USB-C.
Un SSD externe compact. Image Kingston.
Dans un volume compact — 71,85 mm x 21,1 mm x 8,6 mm, pour 13 grammes —, Kingston a donc intégré les composants d'un SSD externe classique. Il est compatible USB 3.2 Gen 2 à 10 Gb/s et les débits annoncés sont de 1 Go/s environ (1 050 Mo/s en lecture, 950 Mo/s en écriture). Ce sont évidemment des résultats dans le cache pSLC et comme tous les constructeurs, Kingston ne donne pas les détails des performances en dehors de ce cache. Compte tenu du format, c'est probablement de la mémoire QLC (4 bits par cellules) et les débits doivent être assez faibles en dehors du cache.
Un des avantages mis en avant est la présence d'une prise USB-C d'un côté, pour les appareils modernes, mais aussi d'une prise USB-A. Ce n'est pas précisé, mais elle est probablement aussi compatible avec un débit de 10 Gb/s. Attention tout de même à ce point : sur les Mac, les prises USB-A n'ont jamais dépassé 5 Gb/s (même sur les derniers Mac équipés, comme le Mac Studio). Dans le monde PC, les prises USB-A à 10 Gb/s restent assez rares, et sont généralement d'une autre couleur que le bleu classique… sans que ce soit totalement standardisé.
Deux prises USB accessibles. Image Kingston.
La disponibilité devrait être très rapide, et le prix attendu est de 130 € environ en 1 To, moins de 90 € pour 512 Go et environ 215 € pour 2 To. Des prix un peu plus élevés que la moyenne, justifiés par le format compact et probablement aussi par la hausse en cours dans le monde de la mémoire flash.
Apple travaillerait sur une nouvelle génération de coques pour iPhone. Une fuite récente, relayée sur Weibo, suggère qu'un brevet déposé en 2024 décrit un étui doté d'une surface tactile. L'objectif : offrir une seconde interface pour contrôler l'appareil via des gestes, peut-être en lien avec les rumeurs d'un iPhone sans boutons.
Cadillac pourrait bientôt rejoindre les rangs des constructeurs compatibles avec la fonction Apple Car Key via l’application Apple Wallet. Introduite par Apple en 2020, cette technologie permet de verrouiller, déverrouiller et démarrer un véhicule à l’aide d’un iPhone ou d’une Apple Watch. Un récent code découvert dans iOS 26 indique que Cadillac figure désormais parmi […]
En pleine polémique autour de Shein, voici qu’un autre acteur chinois fait parler de lui. JD.com, troisième site de vente en ligne en Chine derrière Alibaba et Pinduoduo (Temu), est suspecté de vouloir croquer l’enseigne Fnac-Darty. Il a récemment lancé le rachat de l’allemand Ceconomy, un groupe qui détient 22 % du capital de Fnac-Darty.
Ceconomy s’est surtout imposé dans le secteur de l’électroménager et de l’électronique. Le groupe possède près de mille boutiques physiques MediaMarkt et Saturn en Allemagne, en Espagne et en Italie. Il est présent dans un total de onze pays, et emploie 50 000 personnes à travers le monde. JD.com a fait une offre d’achat de 2,2 milliards d’euros et a déjà récupéré 39,4 % du capital.
Si le ministère de l’économie allemand donne son accord et que la démarche est finalisée, JD.com entrerait indirectement au capital de Fnac-Darty. Ceconomy est son deuxième actionnaire (21,95 %) avec le milliardaire Daniel Kretinsky (28,2 %). Le dossier a donc toute l’attention du gouvernement, d’autant plus pour des chaînes vendant des produits culturels ou des appareils made-in-France. Le groupe chinois n’a pas encore déposé de demande officielle d’investissement en France, une étape obligatoire si elle compte monter au capital de Fnac-Darty. L’opération doit également passer par le filtre de Bercy au titre du contrôle des investissements étrangers.
JD.com prépare son offensive et compte bien s’installer en France. Comme l’a remarqué Le Monde, le groupe a récemment posté un total de 78 annonces pour des postes variés, allant du graphiste à un juriste en passant par des gestionnaires d’entrepôt ou des directeurs de catégories de produits.
Le site Joybuy. Image MacGeneration
Le groupe a commencé à construire un concurrent d’Amazon appelé Joybuy en France. Comme pour Amazon, l’idée serait de vendre des produits de marques internationales dans des domaines variés, avec un abonnement pour avoir des réductions et la livraison gratuite. Une app mobile est en phase de rodage, et si aucune annonce de lancement n’a été faite, la marque s’active sur les réseaux sociaux et prépare sa logistique. Elle a déjà commencé à livrer en France via sa propre flotte de livreurs, et a loué d’importantes surfaces d’entrepôts en Île-de-France et dans la Somme. Une première tentative d’incursion dans l’Hexagone avait eu lieu en 2018, mais l’antenne française avait fermé un an plus tard.
Un drone compact à glisser dans les sacs est un allié de choix pour ramener des images qui se démarquent. Une promotion permet aujourd'hui de s'offrir le DJI Mini 4 Pro à un meilleur tarif.
Le départ d’Abidur Chowdhury, le designer qui a présenté l’iPhone Air en septembre, secoue Apple. Son départ pour une start-up d’intelligence artificielle n’est pas un cas isolé, mais le dernier symptôme en date de la refonte quasi complète de l’équipe de design de l’entreprise depuis le départ de Jony Ive. Le départ d’une étoile montante […]
Le studio derrière Ulysses annonce une mise à jour majeure de son application d’écriture, qui adopte pleinement le design “Liquid Glass” introduit par Apple. Au menu : interface revue, gestes plus fluides, meilleures intégrations et plus d’options sur iPad et iPhone.
Alors que tous les regards étaient tournés vers l’Europe, c’est finalement le Japon qui sera le premier pays à pouvoir remplacer Siri par un autre assistant vocal par défaut sur l’iPhone avec iOS 26.2. La documentation pour développeurs d’Apple a confirmé les indices découverts dans iOS 26.2, précisant les contours de cette ouverture majeure. Un […]
Apple a proposé cette semaine la bêta 3 d’iOS 26.2 au téléchargement. Cette version comprend des nouveautés par rapport à la précédente sortie la semaine dernière. C’est l’occasion de les retrouver ici. Les nouveautés de la bêta 3 d’iOS 26.2 – AirDrop ajoute un système de codes uniques qui peuvent être partagés. Il est ainsi […]
Les plus anciens ont connu le jeu Snake sur les téléphones de la marque Nokia dans les années 90. C’est bien avant, en 1976, que ce concept est apparu avec le jeu Blockade. Le concept es...
Dévoilé lundi dernier, l'iPhone Pocket a été officiellement lancé le vendredi 14 novembre. Les dernières unités en stock ont été vendues hier soir, et plus aucun modèle n'est à ce jour disponible en France. Cette pochette conçue en collaboration avec la marque japonaise ISSEY MIYAKE...
Entre le 17 et le 29 novembre, pCloud solde ses formules à vie avec des réductions qui oscillent entre 53 et 60 %. Pour ceux qui suivent le secteur, c'est l'une des rares occasions où un stockage cloud se paie une seule fois, définitivement.
Ce que propose réellement le pack 3en1
Le pack à 599 € regroupe trois services : 5 To d'espace, le module de chiffrement Encryption, et Pass, leur gestionnaire de mots de passe. Sans la réduction, l'addition grimpe à 1 497 €. Ce n'est pas du marketing : c'est leur tarif habituel, consultable sur leur site hors promotion.
L'intérêt ? Ne plus réfléchir pendant vingt ans à renouveler un abonnement. Les 22 millions d'utilisateurs que revendique pCloud témoignent d'une certaine pérennité de l'entreprise, un critère non négligeable quand on achète quelque chose à vie.
Le chiffrement : pas juste un argument commercial
pCloud Encryption fonctionne côté client. Concrètement, vos fichiers sont verrouillés sur votre machine avant d'être envoyés. Même les employés de pCloud ne peuvent techniquement pas y accéder. La clé reste sur vos appareils. C'est ce qu'on appelle une architecture zero-knowledge.
Pourquoi ça compte ? Parce que la plupart des services cloud chiffrent vos données... mais conservent les clés. Ce qui signifie qu'une réquisition judiciaire, un piratage de leurs serveurs, ou une simple erreur humaine peut exposer vos fichiers. Avec Encryption, ce scénario devient caduc.
pCloud est domicilié en Suisse, ce qui le soustrait aux juridictions européennes et américaines plus intrusives. Vos données reposent soit au Luxembourg, soit aux États-Unis, vous choisissez. Cette latitude géographique n'est pas anodine si vous travaillez avec des informations sensibles.
L'ergonomie au quotidien
pCloud Drive monte comme un disque dur classique sur Windows, Mac ou Linux. Pas d'interface web obligatoire, pas de manipulation laborieuse. Vous glissez un fichier dans ce dossier, il se synchronise. Vous le supprimez, il disparaît du cloud. C'est transparent.
Les applications mobiles intègrent un téléversement automatique des photos, utile pour libérer l'espace d'un iPhone saturé. La fonction Souvenirs vous rappelle les clichés pris à la même date les années précédentes. Le scanner de documents transforme votre smartphone en photocopieur portable. Des détails, mais qui épargnent l'installation d'applications tierces.
pCloud Photos et l'éditeur : nouveautés incluses
Depuis peu, pCloud propose une galerie photo intelligente. Vos images s'organisent chronologiquement, vous naviguez par année, vous excluez les dossiers de travail pour ne garder que les souvenirs personnels. Rien de révolutionnaire, mais c'est intégré et ça fonctionne sans abonnement supplémentaire.
L'éditeur photo permet des retouches basiques : huit filtres (Retrofilm, Vintage, Duotone...), ajustements de luminosité, contraste, recadrage. Pas de quoi remplacer Lightroom, mais suffisant pour corriger un cliché avant de le partager. Et tout se fait dans l'interface, sans exporter vers une application externe.
Les tarifs déchiffrés
Pack 3en1 (5 To + Encryption + Pass) : 599 € au lieu de 1 497 €
1 To seul : 199 € au lieu de 435 €
2 To seul : 279 € au lieu de 595 €
10 To seul : 799 € au lieu de 1 890 €
Un abonnement mensuel à 10 € pour 2 To coûte 1 200 € sur dix ans. Ici, vous déboursez 279 € une fois. L'amortissement survient avant trois ans. Après, c'est du bonus.
Les limites à connaître... et une promotion à ne pas louper !
Le chiffrement Encryption n'est pas inclus dans les formules de base, uniquement dans le pack 3en1 ou en achat séparé. Si la confidentialité totale est votre priorité, vérifiez bien ce que vous achetez.
Enfin, à vie signifie la durée de vie du service. pCloud existe depuis 2013, mais aucune entreprise n'est éternelle. Cela dit, leur modèle économique (paiements uniques, pas de frais récurrents) les rend moins dépendants d'une croissance effrénée. C'est un point en leur faveur.
Cette promotion s'adresse à ceux qui saturent de payer chaque mois pour stocker leurs fichiers. Elle convient aux indépendants qui manipulent des données clients, aux photographes qui accumulent des téraoctets de RAW, aux particuliers qui veulent centraliser photos, documents et mots de passe sans se ruiner.
Si vous hésitez entre plusieurs services cloud, pCloud ne joue pas dans la même catégorie tarifaire que les abonnements classiques. L'investissement initial est plus lourd, mais il se dilue rapidement. Et la fenêtre se referme le 29 novembre.
Pour la première fois, une pression longue sur le bouton latéral de l'iPhone va permettre d'invoquer un autre assistant vocal que Siri... en tout cas au Japon avec iOS 26.2, dont la troisième version bêta lancée hier soir a activé cette possibilité. Apple a mis en place la documentation...
Quand faut-il fêter l’anniversaire des premiers Mac Apple Silicon ? Le 10 novembre, date de leur présentation, ou le 17 novembre, date de leur commercialisation ? Si nous avons plutôt retenu la première option, Greg Joswiak, lui, a choisi la seconde pour célébrer les cinq ans de cette architecture dans sa communication.
Le responsable marketing d’Apple n’a pas mis les petits plats dans les grands pour marquer le coup, il s’est contenté d’un court message sur les réseaux sociaux.
Hard to believe it’s been five years since Apple silicon transformed the Mac. The performance, battery life, new designs, amazing features, and user creativity it unlocked have been remarkable. The impact has been profound, and the Mac has never been better!
Difficile de croire que cela fait déjà cinq ans qu’Apple Silicon a transformé le Mac. Les performances, l’autonomie, les nouveaux designs, les fonctionnalités incroyables et la créativité des utilisateurs que cela a rendue possible ont été remarquables. L’impact a été profond, et le Mac n’a jamais été aussi bon.
Cinq ans plus tard, un pari largement gagné
On rappellera qu’après des années de rumeurs, Apple avait officialisé en juin 2020, lors de la WWDC, son intention de migrer toute la gamme Mac vers ses propres puces, abandonnant progressivement les processeurs Intel. Pour aider les développeurs à se préparer à cette transition majeure, Apple avait mis à leur disposition un DTK, un Mac mini équipé d’une puce d’iPad. Puis, en novembre, la firme lançait ses premiers Mac dotés d’une puce M1 : le MacBook Pro 13 pouces, le MacBook Air et le Mac mini.
Pour le plus grand malheur d’Intel, le succès a été immédiat. Le gain de performances, notamment sur les portables, a été considérable. Et les tests d’autonomie sont vite devenus un cauchemar pour les testeurs, tant ces machines sont endurantes.
Apple travaillerait sur des coques d’iPhone capables d’agir comme de véritables interfaces tactiles secondaires, selon une rumeur en provenance de Chine.
D’après le leaker Instant Digital sur Weibo, la firme envisagerait de concevoir des coques pour ses modèles Pro intégrant directement des couches de capteurs tactiles.
Le leaker ne donne pas plus de détails, mais les pistes ne manquent pas dans les travaux déjà menés par Apple. Un brevet déposé en 2024 décrit en effet une « coque dotée d’entrées pour appareil électronique », pensée non pas comme une simple protection, mais comme une surface d’interaction.
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Le document évoque des zones sensibles au toucher — basées sur des capteurs capacitifs ou de pression — capables de déclencher des actions habituellement gérées par les boutons physiques de l’iPhone. Une fois la coque attachée, l’iPhone serait en mesure de la détecter et de rediriger certaines commandes : tap, pression, ou glissement sur la coque pourraient activer les fonctions système.
Le brevet détaille aussi la manière dont la coque communiquerait avec l’appareil, notamment via une identification et un échange de données par NFC. Certaines variantes vont plus loin et prévoient même l’intégration d’un lecteur biométrique, permettant par exemple à un capteur Touch ID situé dans la coque de déverrouiller certaines fonctions du téléphone.
Autrement dit, Apple a déjà exploré l’idée d’une coque servant d’extension aux commandes de l’iPhone. Ce concept prend d’autant plus de sens que l’entreprise travaillerait sur un iPhone bord à bord, sans bords apparents. Pour le modèle du 20e anniversaire, Apple envisagerait un écran entourant l’appareil sur ses quatre côtés.
Une telle approche pourrait laisser très peu de place aux boutons mécaniques. Plusieurs rapports indiquent d’ailleurs qu’Apple pourrait passer à des couches capacitives à l’état solide, permettant un design sans rupture visuelle — un terrain idéal pour une coque interactive.
Un concept qui colle avec un iPhone sans boutons
Avec des zones tactiles intégrées, la coque pourrait déplacer certaines commandes comme le volume ou les raccourcis photo vers des surfaces plus larges et plus ergonomiques, tout en limitant les faux contacts sur un appareil entièrement recouvert d’écran. En pratique, la coque apporterait les repères tactiles et les contrôles liés à la prise en main qu’un iPhone quasi dépourvu de boutons ne pourrait plus offrir seul.
Impossible de dire pour l’instant si ces travaux sont liés au futur modèle anniversaire, mais la convergence des rumeurs nourrit un ensemble de possibilités intéressantes autour de ce modèle attendu pour l’automne 2027.
Après le retour de la fonctionnalité Slide Over sur iPadOS 26.1 lancé il y a deux semaines, la troisième bêta d'iPadOS 26.2 envoyée aux développeurs hier soir rétablit le glisser-déposer des apps depuis la bibliothèque d'apps, le Dock et Spotlight vers Slide Over ainsi que les vues en...
iOS 26.2 va permettre de d'échanger un code à usage unique avec une personne n'étant pas dans ses contacts afin de permettre un appairage de 30 jours pour la fonctionnalité AirDrop. Cette nouveauté avait été repérée il y a deux semaines dans le code source de la première bêta de cette...
C’est officiel : à partir de ce mardi 18 novembre 2025, tous les Français peuvent installer l’application Carte Vitale sur leur smartphone, sans aucune condition préalable. Finies les restrictions par département ou l’obligation de passer par France identité avec la carte d’identité nouvelle génération : le déploiement national est complet.
Parmi les nouveautés à venir sur l'iOS 26.2, Apple semble poser les premières briques d’un changement majeur pour l’iPhone en Europe : la possibilité de choisir un assistant vocal par défaut autre que Siri.