Deux coloris vert et violet seraient en compétition pour figurer dans la palette du prochain iPhone 17, affirme Majin Bu. Mais l'un des deux seulement pourrait être retenu. Dans les deux cas, ce ne serait pas une première, ces coloris ont été déjà utilisés à de multiples reprises dans différentes variations.
Rendu de couleur par Majin Bu.
Il y a du « violet intense » sur les iPhone 14 Pro, du violet tout court sur les iPhone 12 et 11 tandis que le vert plus ou moins foncé a été employé sur les 11, les 11 Pro, les 12, les 13 et 13 Pro et les 15. Le vert est presque un habitué des iPhone.
Dans un tout autre registre, le même Majin Bu publie une image de ce qui serait l'un des éléments de la chambre à vapeur des iPhone 17 Pro, à savoir la pièce de cuivre placée contre. La chambre à vapeur est un dispositif connu dans son principe, déjà utilisé sur des smartphones, mais qu'Apple utiliserait pour la première fois afin de dissiper la chaleur produite par probable A19 Pro de la future gamme.
Source Majin Bu.
Cela consiste à faire s'évaporer un liquide contenu dans cette chambre par l'action de la chaleur produite par le processeur. La vapeur est dirigée vers la zone de refroidissement de la chambre où elle se condense sous l'effet d'une température moindre et redevient liquide pour que le cycle recommence. La pièce de cuivre placée à l'extérieur de la chambre dissipe sur une large zone la chaleur amenée par la vapeur plutôt qu'en un point précis très localisé.
Le design d'Apple pour le dissipateur thermique aurait comme particularité de s'étendre jusqu'au module contenant les capteurs photo. L'hypothèse est qu'Apple ferait participer le métal entourant ces éléments à la fonction de dissipation.
Après une fête de la musique aussi chaude, il est temps de retourner aux affaires courantes : l’avenir d’Apple. Tim Cook a-t-il sorti son short de plage ? Eddy Cue va-t-il sortir la toute dernière Ferrari pour se balader sur la Riviera ? Pas sûr : selon les grandes oreilles de Mark Gurman, il se pourrait bien que les prochains mois voient Apple sortir un (très) gros chèque !
(I Can’t Get No) Satisfaction
Apple est dans une situation qu’elle a très peu connue, et qui reste fort peu enviable : pour une fois, l’entreprise est à la traîne de l’innovation. Réveillée trop tard pour prendre le train de l’intelligence artificielle à la gare, elle tente depuis des mois de le prendre en marche. Mais le souci, c’est qu’il va vite, ce train : plutôt qu’un paisible RER de banlieue, il ressemble de plus en plus à un Shinkansen !
Celui-là est un peu plus difficile à rattraper que les autres... Image Wikipedia/Maeda Akihiko, CC BY-SA 4.0.
Et pour ce qui est de courir, Cupertino court, sans relâche. Mais ça ne suffit pas, comme le prouvent les maigres avancées présentées à la WWDC 2025 : la carrosserie est refaite (et bien refaite), mais le moteur, lui, reste le même. Pas de quoi rattraper les autres. La société commence à avoir de moins en moins d’options disponibles, et devrait finir par se résoudre à faire ce qu’elle renâcle à faire depuis sa création.
If You Really Want To Be My Friend
L’acquisition : le chemin que Steve Jobs ne prenait qu’en dernier recours, et jamais pour de gros montants. Ce n’est qu’après sa mort qu’Apple a racheté des entreprises s’approchant voire dépassant le milliard de dollars, et à chaque fois les choses ne se sont pas faites sans frictions :
Beats (3 milliards de dollars) : la plus grosse acquisition d’Apple pour le moment. Si la marque est bien implantée et reste reconnue pour ses casques et écouteurs dédiés aux sportifs, l’achat semblait surprenant à l’époque. Mais ce n’était pas le plus important pour la pomme : ce qui l’intéressait vraiment, c’était Beats Music, le service de streaming naissant du fabricant, qui allait devenir quelques mois plus tard Apple Music. Le matériel n’était qu’un bonus.
La branche modems d’Intel (1 milliard de dollars) : voulant s’émanciper de Qualcomm, Apple avait peu d’autres possibilités que de racheter l’équipe dédiée aux modems d’Intel, le domaine étant très cloisonné par les différents brevets. La culture d’entreprise étant très différente, les choses ont pris du temps, mais 6 ans plus tard, ça commence à porter ses fruits, avec le premier modem maison d’Apple, le C1.
L’investissement dans DiDi (1 milliard de dollars) : la plus grosse catastrophe financière d’Apple dans les rachats. Alors que l’entreprise avait les moyens de devenir le « Uber chinois », tout a volé en éclats quand le gouvernement a décidé de bloquer la société, lui interdisant le recrutement de nouveaux clients et faisant supprimer son app des App Stores, le temps d’une enquête. 18 mois plus tard, les restrictions sont levées, mais le mal est fait : DiDi doit rattraper son retard, et son action aura du mal à s’en remettre.
De leur côté, les concurrents ne se privent pas : Google rachète Motorola Mobility en 2011 pour 12,5 milliards de dollars, Facebook se paie WhatsApp pour 19 milliards en 2014, et Microsoft se déleste de 69 milliards de dollars en 2023. Une paille !
Ceci dit, la frilosité d’Apple lui a permis de s’éviter quelques soucis, même si elle a aussi quelques beaux actes manqués à son palmarès :
Beaucoup pressaient Tim Cook de racheter Netflix, ou un gros studio de production. Au final, Apple a monté son service Apple TV+ de toutes pièces, et est partie pour un succès lent à monter, mais qui progresse de manière solide.
Avant l’acquisition de Beats et de son petit service Beats Music, beaucoup voyaient en Spotify la prochaine cible d’Apple. À la place, Cupertino a racheté Beats, et a fait de son petit service de streaming le plus gros concurrent actuel de Spotify. Au vu des conflits de personnalité entre les directions d’Apple et de Spotify, on imagine mal comment l’alchimie aurait pu prendre en cas de rachat. Certains voyaient aussi Apple racheter Pandora : au vu de ce qu’est devenue l’entreprise...
Le plus gros acte manqué d’Apple reste sûrement la possibilité de racheter Tesla : alors que l’entreprise était encore d’une taille raisonnable, et coinçait à la réalisation de la Model 3, Apple aurait eu plusieurs fois l’occasion de racheter le constructeur automobile, et ainsi se faciliter la création de l’Apple Car. Mais l’acquisition n’est jamais allée plus loin qu’une discussion brève, et Apple a fini par enterrer le projet Titan, et ses rêves d’automobile avec.
Reste que si Apple devait racheter une entreprise dans le domaine de l’intelligence artificielle, pourquoi mettre le focus sur Perplexity, et pas un autre ? Tout est question de taille, de convergences et d’intérêts.
OpenAI : trop gros, avec une valorisation à 300 milliards de dollars, un tel rachat serait bien trop conséquent, même pour Apple, qui n’a « que » 130 milliards de dollars de liquidité. De plus, les liens avec Microsoft sont très forts.
Anthropic (Claude) : bien que plus raisonnablement cotée à 60 milliards de dollars, ce sont ses clients avec Amazon et Google qui pourraient poser de gros soucis. Mais rien qu’au niveau financier, engloutir quasiment la moitié des liquidités de Cupertino serait un gros pari.
De plus, l’achat de l’une de ces deux sociétés lèverait à n’en pas douter quelques sourcils chez le régulateur américain, qui n’a pas besoin de ça pour venir accuser Apple d’abus de position dominante.
Si une acquisition devait avoir lieu, Apple aimerait autant que possible que la justice US ne se réveille pas... Image Wikipedia, CC BY-SA 3.0.
Il y a beaucoup d’autres petites start-up dans le domaine, comme Sierra Ai, Cohere, Databricks ou Mistral, mais leurs propriétés sont bien moins intéressantes pour Apple, leurs recherches étant bien moins avancées et les résultats concrets trop faibles. Mistral pourrait tout de même être une cible correcte, mais son domaine de compétence est plus lié aux modèles à haute performance et à portée scientifique, plus éloigné du grand public que certains de ses concurrents.
De son côté, Perplexity semble la cible parfaite, sur plusieurs points forts :
son produit est déjà existant, et apprécié : l’outil de recherche mis en ligne par Perplexity est déjà largement utilisé par le grand public, que ce soit à travers son site web ou ses apps. Son interface, sa commande vocale sont proches du feeling habituel d’Apple. Il pourrait être facilement intégré à Safari, Spotlight, et en peu de temps à Siri.
il répond à un besoin clair et urgent : Apple veut améliorer son LLM, et le rendre utilisable et intégré à ses systèmes. Cupertino souhaite par-dessus tout un moteur de recherche efficace et un bot conversationnel fonctionnel. Ce que propose Perplexity.
une équipe de taille raisonnable : avec 250 employés, l’équipe de Perplexity est à la fois conséquente, sans être trop grosse à absorber pour Apple. Les talents sont déjà là et pourraient rapidement aider Apple à améliorer Siri et son IA en général.
un coût raisonnable : à 14 milliards de dollars, la valorisation de Perplexity est déjà forte, mais reste dans le domaine du faisable. C’est à la fois une entreprise assez importante pour être utile et marquante, tout en étant encore éloignée des valeurs stratosphériques des autres gros du secteur.
c’est le bon moment : alors qu’Apple risque de perdre le contrat qui la lie à Google, acheter Perplexity lui permettrait de trouver une porte de sortie, et de ne pas perdre trop de plumes dans l’histoire, tout en préparant l’avenir.
Ça manque encore un peu de verre et de metal, mais rien de bien bloquant. Image Perplexity.
Si les deux entreprises ne sont pas encore en lien direct pour discuter d’un rachat, Apple serait en train de passer au peigne fin tous les atouts et faiblesses de l’entreprise, afin de valider l’intérêt qu’elle présente. Quoi qu’il en soit, Perplexity n’a jamais caché son attrait pour Apple, et Eddy Cue en a ouvertement parlé durant le procès opposant le DoJ à Google comme étant une entreprise impressionnante, avec laquelle Apple a engagé des discussions.
Si aucune des deux parties ne confirmera la moindre discussion avant que quelque chose soit décidé, les rumeurs vont bon train concernant un rapprochement des deux entreprises, et l’avenir devrait rapidement nous dire si elles étaient fondées ou non. C’est certes un gros morceau pour Apple, mais il est clair aussi que l’entreprise a besoin d’un gros coup de pouce pour revenir dans la course, et ce rachat pourrait bien être la planche de salut inespéré. En attendant, je vous souhaite une bonne semaine, et à dimanche prochain !
Le A12z n'est pas propre au Mac mini Developer Transition Kit (DTK) de mi-2020 : il était apparu sur l'iPad Pro de 4ème génération en mars de la même année. Les différences: les ports USB A, USB C, le HDMI, le TDP maintenu, plus de RAM supportée et bien sûr macOS Big Sur pour ARM!
L'A12z est un dérivé direct de l'A12 de l'iPhone XS: plus de cœurs CPU, plus de cœurs GPU. Mais essentiellement comme certains l'ont dit ou écrit "une puce de smartphone".
Bien sûr Thunderbolt n'était pas supporté, ça arrivera avec l'incroyable M1 qui a redéfini ce qu'était un Mac et son niveau de performance dès l'entrée-de-gamme (MacBook Air M1).
Après avoir reçu mon Mac mini DTK A12z, je me suis livré à des tests de performances. Apple nous l'interdisait, et fort étrangement des logiciels comme Geekbench refusaient de fonctionner sur le mien, ou plutôt sur mon DTK ça plantait et fin de l'histoire. Mais rien ne m'empêchait, même au regard des documents signés, de lui faire étudier des positions d'échecs par exemple et au passage de noter le nombre de nœuds (positions) parcourus par seconde. Ça n'est pas un logiciel de bench. @Lionel en avait parlé ici.
La première chose que j'ai remarqué de cette "puce de smartphone", c'est qu'elle ne chauffait jamais, jamais au grand jamais, le ventilo tournait en continu mais au ralenti. Juste une sécurité je suppose. Cette "puce de smartphone" devait consommer 8W au taquet. Juste 8W!
Mais avec ses 8W elle fournissait un niveau de performance similaire à mon MacBook Pro 15" 2017 Core i7 (2.9Ghz 4 cœurs 8 threads) qui avait 2 ans, et qui lui se baffrait de plus de 45W pour le même travail! Une "puce de smartphone" alliant économie d'énergie et un bon niveau de performance déjà. Ça n'était que le début, mais un Mac mini aussi performant qu'un MacBook Pro i7 même de 2 ans, c'était une nouveauté...
Ensuite, Rosetta 2 était déjà incroyablement stable et performant. L'exception étant des logiciels qui compilent ou transpilent du code comme Chrome concernant le JavaScript. Le reste les doigts dans le nez.
Rosetta 2 nécessitant des modes d'exécutions ARM propriétaires pour exécuter du code x86 transpilés, et les cœurs CPU présentés comme identiques, cela veut dire qu'il est très probable qu'à la fois les iPhone XS, iPad Pro 4ème génération et suivants aient eux aussi bénéficié de la possibilité de faire tourner Rosetta 2 ou un équivalent!
Beaucoup ont critiqués les premiers résultats, quoique pour moi très bon pour un Mac mini, en utilisant l'expression "puce de smartphone", mais le A12z ne déméritait pas avec les 16 Go de RAM et 512 Go de stockage Flash (SSD), même avec XCode ou des tâches relativement lourdes. Une nouveauté sur un Mac mini.
Les iPhone 17 Pro et iPhone 17 Pro Max vont intégrer un système de refroidissement par chambre à vapeur et le leaker Majin B partage aujourd’hui une photo d’une prétendue plaque thermique en cuivre pour dévoiler le système. Une avancée inspirée des smartphones Android Cette évolution rapprocherait Apple de ses concurrents Android. En effet, de […]
Le premier Developer Transition Kit (DTK), c'était en 2005 : un Pentium 4 vissé sur une carte mère PC tout ce qu’il y a de plus générique, le tout calé à l’arrache dans un boîtier de PowerMac G5. Bricolo! Son seul but : permettre aux développeurs de préparer la transition vers les Mac Intel, qui allaient débarquer six mois plus tard.
Mais ce DTK-là avait un goût de vestige dès sa sortie : l’architecture NetBurst du Pentium 4 tirait sa révérence, remplacée peu après par les processeurs Core™ [1] puis Core™ 2, totalement différents côté micro-architecture et optimisation.
Pour compenser le côté rustique de l'engin, Apple avait offert aux testeurs un iMac Core™ Duo flambant neuf, bien plus performant et surtout bien plus cher. Un joli geste.
le boîtier est un Mac mini classique, mais relooké avec un traitement PVD foncé inédit
les ports USB-C n'ont juste pas encore leur marquage final
et surtout, à l’intérieur, une puce A12Z, issue des iPad Pro
Un prototype ? Non. Un Mac quasi fini, proprement emballé, avec macOS Big Sur ARM déjà bien avancé. Bref, on était loin du Frankenstein de 2005. Voir nos photos du Mac mini DTK ici.
A12z père (presque direct) du M1
La puce A12Z n'était pas un M1, mais presque. Elle en partageait la micro-architecture, posant les fondations des Mac ARM. Le kit était bien équipé : 16 Go de RAM et 512 Go de SSD, ce qui semblait le minimum syndical pour développer sérieusement à l’époque.
Ce Mac mini DTK version Apple Silicon, c’était plus qu’un kit de transition : c’était déjà un véritable Mac ARM, bien conçu, bien fini, avec un OS abouti.
Un morceau d’histoire Apple… que certains ont réussi à conserver.
Voilà les photos du Mac mini DTK équipé du A12z, destiné aux développeurs désireux de mettre la main à la pâte lors de la transition vers ARM. Deux de ces photos sont inédites, les deux autres ont été publiées sur MacBidouille.
Ces photos ont été prises par votre serviteur, avec son propre Mac mini DTK.
Apple s'est cette semaine conformée au nouveau règlement européen 2023/1669 lui imposant d'afficher des étiquettes énergétiques sur ses smartphones et tablettes. L'indice d’efficacité énergétique allant de A à G apparaît à côté des tarifs sur les fiches des produits concernés, et on...
Voilà les photos du Mac mini DTK équipé du A12z, destiné aux développeurs désireux de mettre la main à la pâte lors de la transition vers ARM. Deux de ces photos sont inédites, les deux autres ont été publiées sur MacBidouille.
Ces photos ont été prises par votre serviteur, avec son propre Mac mini DTK.
Un tour et puis s'en va. Apple a retiré de YouTube sa dernière publicité conçue autour d'arguments à donner à ses parents pour avoir un Mac pour ses études. Cette campagne avait été lancée cette semaine en parallèle à la période du Back to School qui vient de s'ouvrir aux États-Unis. C'est le moment de l'année où les étudiants américains et leurs parents ouvrent le porte-monnaie pour acheter le matériel nécessaire à la poursuite des études.
Image Apple.
Intitulée « Why I need a Mac for College » la campagne s'articulait autour d'un clip et d'une présentation à télécharger. C'est le clip qui a disparu, retiré sans mot dire. Cette vidéo, d'une longueur inhabituelle, 7 minutes, singeait une présentation où un spécialiste autoproclamé tente de vendre à son public une méthode pour réussir ou atteindre un objectif.
C'était clairement joué sur le registre de la dérision, avec le comédien Martin Herlihy dans le rôle du gourou sur scène intervenant dans un amphi rempli d'étudiant(es). Apparemment quelque chose n'a pas du tout cliqué. Le clip est resté en ligne moins de 2 jours et si vous êtes passé à côté il été piqué et republié ailleurs. La présentation — 80 pages sur le même ton — n'a pas subi le même sort, elle est toujours en ligne sur le site Éducation d'Apple. Mais alors qu'elle avait été placée en haut de la page elle se retrouve désormais tout à la fin.
Apple lance des pubs à un rythme assez régulier, toutes ne subissent pas pareil sort, tant s'en faut. Cependant on pourrait commencer à faire une série des clips retirés depuis un an. Entre ceux promouvant des fonctions d'Apple Intelligence finalement repoussées à bien plus tard, la publicité pour les iPad Pro peu goûtée par les créatifs ou l'un de ses épisodes de sa série The Underdogs tournée en Thaïlande, accusée d'accumuler les clichés.
Source Cannes Lions.
Ces ratés n'ont pas empêché Apple de recevoir des récompenses pour le travail de ses équipes et de son agence TBWA\MEDIA ARTS LAB Los Angeles. Le festival Cannes Lions qui vient tout juste de s'achever — un rendez-vous incontournable du milieu publicitaire — a décerné un grand prix à Apple pour sa campagne « Photographié à l'iPhone » qu'elle développe année après année. Et en mars dernier, Cannes Lions avait couronné Apple avec le titre de « Creative Marketer of the Year 2025 », attribué lorsqu'une marque accumule les Lions pendant une certaine période.
Avec iOS 26, Apple propose une nouvelle option pour la batterie afin de prolonger l’autonomie des iPhone. Elle a pour nom Adaptive Power (il n’y a pas encore une traduction française avec la bêta) mais se veut indisponible sur plusieurs iPhone. Un iPhone compatible avec Apple Intelligence est nécessaire Voici comment Apple présente Adaptative Power […]
Apple a (déjà) décidé de retirer sa vidéo qui explique aux étudiants comment convaincre leurs parents de leur acheter un Mac. La publication a eu lieu vendredi et Apple a retiré la vidéo de sa chaîne YouTube. Elle est maintenant en privé. Des critiques pour la nouvelle pub d’Apple La raison officielle du retrait n’est […]
J’utilise encore au quotidien un MacBook Pro 15" de 2017 (16 Go / 512 Go), acheté en 2018. Il a donc maintenant 7 ans au compteur. Et comme prévu, il est bloqué à macOS 15 Sequoia, la dernière version majeure qu’il pourra recevoir. D’ici peu, il ne bénéficiera même plus des mises à jour de sécurité.
J’ai pris cette réalité en pleine face. Avec une certaine douleur.
La Touch Bar, que je n’ai jamais vraiment supportée, a fini par rendre l’âme. Son écran est mort, mais je l’utilise encore à l’aveugle, un peu comme on tape sur un clavier sans marquage. J’ai aussi droit au fameux clavier papillon : la touche R ou A décide parfois de s’envoler, produisant soit des doublons, soit... ien. Quant à la touche Maj gauche, elle joue à pile ou face.
Et pourtant, pour coder (C, PHP, Python) sous Visual Studio Code, naviguer sur le web ou utiliser SQLite sans charger toute la RAM, cette machine reste étonnamment efficace.
Mais les limites deviennent de plus en plus claires : en photo, certains logiciels ne sont plus compatibles avec macOS 15. D’autres nécessitent impérativement un Mac Apple Silicon. Impossible, par exemple, d’utiliser le très bon LM Studio.
Bref, c’est un mélange de problèmes de sécurité à venir (plus de mises à jour), de fatigue matérielle, d’incompatibilités logicielles et de ressources matérielles devenues trop justes.
Mes usages ont aussi changé : je ne fais plus vraiment de consulting et je travaille de plus en plus depuis nos bureaux, où claviers, écrans et souris m’attendent déjà.
J’ai donc fini par commander un nouveau Mac.
Mais il faut bien le dire : ce n’est pas un choix. Apple va cesser les mises à jour de sécurité pour Sequoia, et dans mon rôle actuel, je ne peux pas me permettre de tourner sur un OS obsolète. Surtout quand certains outils essentiels (comme Xcode) exigent macOS.
Je n’avais pas vraiment de budget pour ça, mais je n’avais pas le choix. Apple et les éditeurs me poussent hors de ma machine, sans ménagement.
Pour retarder l'âge du premier smartphone, Bouygues Telecom lance la Kids Watch. C'est la première montre connectée pour enfants proposée par un opérateur en France qui est volontairement bridée, sans accès à internet ni aux réseaux sociaux.
Ayaneo lance sa nouvelle console portable Android, la Pocket S2. C'est le premier appareil à embarquer la puce Snapdragon G3 Gen 3, avec un modèle Pro doté d'une batterie record de 10 000 mAh. Mais un choix surprenant concernant l'écran pourrait tout gâcher.
Après une plainte pour publicité mensongère, c'est désormais une action de groupe qui se monte aux États-Unis à l'origine d'un actionnaire d'Apple appelé Eric Tucker. Apple est accusée d'avoir trompé ses clients en montrant des images de la nouvelle version de Siri à la WWDC 2024 : « À...
Ils sont flous, granuleux, tremblants… et pourtant si précieux. Ces vieux souvenirs capturés sur VHS ou téléphones d’époque peuvent retrouver une netteté saisissante, jusqu’en 4K, en un clic. Oui, même si vous n’avez jamais touché à un logiciel de montage.
Il y a quelque chose de frustrant à revoir un vieux film de famille ou une vidéo d’anniversaire capturée avec un caméscope d’un autre temps. L’image tremble, les visages sont flous, le son est couvert de souffle. Et pourtant, impossible de jeter ça à la corbeille.
C’est là que VideoProc Converter AI entre en scène : une solution tout-en-un, pensée pour les nostalgiques comme pour les vidéastes occasionnels. Son objectif est clair : restaurer, lisser, stabiliser et magnifier ces trésors numériques sans effort, grâce à la puissance de l’intelligence artificielle.
Restaurez vos vidéos anciennes en un clic avec VideoProc Converter AI
Pensé pour les néophytes comme pour les pros, VideoProc Converter AI se présente comme un véritable couteau suisse multimédia. Restauration vidéo, conversion de formats, mise à l’échelle en 4K, suppression du bruit audio, compression, enregistrement, téléchargement… le tout soutenu par une accélération matérielle de niveau 3 pour des performances fluides, même sur des machines modestes.
Mais c’est surtout sa capacité à restaurer d’anciennes vidéos qui le distingue. Trois modules clés font la différence.
AI Super Resolution : pour révéler ce que l’on croyait perdu
Un vieux DVD, une numérisation VHS, une vidéo de téléphone d’époque ? Ce module analyse chaque image pour reconstituer les détails manquants, tout en quadruplant la résolution. Résultat : des visages plus nets, des contours redessinés, une image suffisamment propre pour être revue sur grand écran ou repartagée sur les réseaux sociaux.
Ce procédé est également efficace pour améliorer les vidéos compressées ou issues de sources à faible luminosité. Même les fichiers mal encodés ou entrelacés peuvent être récupérés proprement.
AI Frame Interpolation : pour lisser les mouvements
Les vidéos capturées à 15 ou 20 images par seconde donnent souvent un effet haché, désagréable à l’œil. Grâce à ce module, VideoProc recrée les images manquantes pour fluidifier les mouvements, rendant le visionnage beaucoup plus naturel.
C’est particulièrement utile pour les plans de voyage, les scènes d’action, les films d’animation ou même les ralentis créés à partir de vieux rushs. Le rendu est bien plus cinématographique, sans passer par des logiciels complexes.
AI Stabilization : corriger les tremblements sans dénaturer l’image
C’est le cauchemar de toutes les vidéos tournées à la main : le flou de mouvement. Ici, VideoProc Converter AI propose une stabilisation intelligente qui corrige les secousses tout en respectant le cadrage d’origine. Que ce soit une promenade en famille, une séance de ski ou une vieille captation faite à l’arrache, le module donne une nouvelle vie aux plans instables.
Cette fonction est déjà disponible sur Windows, et sera très prochainement intégrée à la version macOS. Tous les détails sont à retrouver sur la page dédiée aux outils de restauration.
Ne s’arrête pas à la vidéo : l’image et l’audio sont aussi pris en charge
L’IA de VideoProc permet aussi de restaurer d’anciennes photos en noir et blanc, de coloriser des portraits, d’améliorer la netteté d’une image floue. Le module audio, quant à lui, élimine les bruits parasites (souffle, sifflements…) pour retrouver une piste propre, même sur des enregistrements d’époque.
Trois clics, et votre vidéo retrouve toute sa splendeur
Pas besoin de savoir manier Premiere Pro ou Final Cut. Le logiciel se veut accessible, même pour celles et ceux qui n’ont jamais monté une seule vidéo. Voici comment ça se passe :
Lancez le logiciel et importez votre vidéo en quelques secondes.
Choisissez le module AI qui convient : restauration de netteté, interpolation, ou stabilisation.
Cliquez sur "Exécuter"… et laissez la magie opérer.
Le tout se fait depuis une interface épurée, avec des paramètres par défaut efficaces. Pour les plus curieux, un guide détaillé est disponible ici.
Offre spéciale limitée : 67 % de réduction, sans abonnement
Actuellement, VideoProc Converter AI est proposé avec 67 % de réduction, incluant quatre outils bonus. La licence est valable à vie, sans frais cachés, avec mises à jour gratuites à vie. Une proposition difficile à battre quand on voit les prix pratiqués par la concurrence.
Oui. Il est développé par Digiarty, une société active depuis plus de dix ans dans l’édition de logiciels multimédias, réputée pour sa stabilité et son sérieux.
Est-ce compatible avec mon Mac ?
Le logiciel fonctionne avec toutes les versions de macOS à partir de High Sierra, jusqu’à Sonoma inclus. Une carte graphique récente est conseillée pour tirer pleinement parti de l’accélération matérielle, mais ce n’est pas obligatoire.
Le résultat vaut-il vraiment le coup ?
Absolument. Les effets de l’IA sont immédiatement visibles. Les vidéos restaurées gagnent en lisibilité, fluidité et netteté, et peuvent sans rougir être projetées, archivées ou partagées.
Apple envisagerait de faire une offre pour le rachat de Perplexity AI, selon les sources de Mark Gurman sur Bloomberg. Cette entreprise américaine spécialisée dans l'intelligence artificielle a développé un moteur de recherche et un agent conversationnel concurrent de ChatGPT. Adrian Perica, le...
C’est le retour d’une très bonne affaire : le MacBook Air M2 est vendu 799 € à la Fnac, chez Darty, chez Boulanger et sur Cdiscount. Il s’agit d’une configuration dotée de 256 Go de stockage et 16 Go de mémoire vive.
MacBook Air M2 minuit. Image MacGeneration.
Chez Fnac-Darty, c’est la version « minuit » qui est en promotion. Cette finition sombre est jolie… jusqu’à ce que l’on mette les mains dessus. Ce bleu métallique fait en effet ressortir les traces de doigts. Chez Boulanger, c’est le gris sidéral, moins foncé et moins salissant, qui fait l’objet de la réduction. Et sur Cdiscount, vous avez le choix entre le gris sidéral et l'argent, plus clair. Chez Cdiscount, vous devez saisir le code « APPLE50D799 » lors de la commande pour ramener le prix à 799 €.
Lancé en 2022, le MacBook Air M2 est très agréable à utiliser : il est léger, silencieux, performant et endurant. Deux générations lui ont succédé, mais la formule n’a pas changé, si bien qu’il reste tout à fait dans le coup aujourd’hui. Les 16 Go de RAM sont suffisants pour les usages classiques. Les 256 Go de stockage peuvent, eux, être trop faibles pour certains, mais on peut pallier le problème avec un SSD externe. C’est un excellent ordinateur principal pour la majorité des utilisateurs et une très bonne machine secondaire pour ceux qui ont un Mac de bureau plus puissant.
Si vous voulez une meilleure webcam et plus de puissance dans le même format, le MacBook Air M4, celui de dernière génération, est en promotion sur Amazon autour de 1 100 € au lieu de 1 199 €.
L’Apple Watch n’a pas été oubliée par Apple lors de la dernière WWDC. Pas de gros chamboulement en vue, mais la montre va elle aussi passer à l’interface Liquid Glass et gagne quelques petites nouveautés bienvenues. Voyons ensemble ce que Cupertino nous réserve pour watchOS 26.
Image Apple
Le redesign Liquid Glass
Comme tous les autres systèmes de la Pomme, watchOS passe cette année à Liquid Glass. Cette nouvelle interface fait la part belle aux effets de transparence et de reflets. Les chiffres du cadran photo sont désormais en Liquid Glass ce qui permet d’avoir un rendu plus joli avec les tuiles de widgets.
Image MacGeneration.
Les autres éléments de l’interface ne sont pas en reste : les notifications, le Centre de contrôle ou les commandes dans les apps adoptent également cette nouvelle identité visuelle.
Workout Buddy, un coach IA vocal… en anglais
Apple a cette année dégainé son « Workout Buddy », un partenaire de sport se basant sur les données récoltées par la montre (charge d’entraînement, derniers enregistrements…). Ce nouvel assistant va vous encourager à l’aide de données précises, annonçant par exemple des statistiques comme la distance parcourue ou le temps au kilomètre. Il peut également donner des comparaisons avec le dernier entraînement ou indiquer quand un record personnel est battu.
Vidéo Apple
Ce nouvel assistant se base sur Apple Intelligence, et il faudra donc avoir dans sa poche un iPhone 15 Pro ou plus pour en tirer parti. La nouveauté ne fonctionnera qu’en anglais et avec des écouteurs Bluetooth. Apple indique qu’elle ne marche que sur les types d’entraînements « les plus prisés » comme la course, la marche le fractionné (HIIT) et le renforcement musculaire.
Un redesign pour l’application Exercice
L’app Exercice s’est refait une beauté sur watchOS 26, et Apple a modifié une bonne partie de son interface. Les tuiles pour choisir son exercice ont disparu, tandis que 4 nouveaux boutons ont fait leur apparition sur l'écran principal.
Image MacGeneration
On peut ainsi choisir les écrans d'information dont on veut disposer pendant l'effort ou rapidement définir un objectif à atteindre. L’app laisse également choisir les alertes que l'on souhaite entendre lors de son exercice, et il est maintenant possible d’automatiquement lancer de la musique lorsqu’un exercice démarre.
Petite nouveauté qui pourra être pratique dans certaines situations : l’app Notes est enfin disponible sur l’Apple Watch. De quoi facilement retrouver un code ou une liste de course à son poignet et rendre la montre un peu moins dépendante de l’iPhone.
Image MacGeneration
Apple n’a pas fait les choses à moitié, car il est possible de créer une note avec Siri, la dictée vocale ou le clavier. On peut également les épingler ou vérifier les points d’une check-list. Tout est synchronisé via iCloud.
De petits ajouts ici et là
Messages s’enrichit de la Traduction en direct sur les Series 9, Series 10 et Ultra 2 jumelées à un iPhone compatible Apple Intelligence. Sur ces mêmes montres, il va être possible de faire un geste « pichenette du poignet » permettant d’ignorer certaines notifications (appels entrants, alarmes…). Il s’agit d’un geste différent du Toucher deux fois apparu sur la Series 9.
Le nouveau geste en action. Image Apple
Toujours sur ces 3 montres, l’Apple Watch peut désormais régler le volume du haut-parleur en fonction du bruit ambiant. Côté accessibilité, Apple a prévu une fonction Écoute en temps réel visant les sourds et malentendants. Celle-ci va retranscrire ce qu’entend l’iPhone sur la montre. On pourra également revenir en arrière en cas d’élément passé un peu vite.
Avec iOS 26, Apple assouplit son contrôle sur le partage sans fil local en proposant Wi-Fi Aware, une nouvelle API permettant aux applications tierces de découvrir et connecter des appareils à proximité via Wi-Fi, sans connexion Internet. Cette avancée, annoncée lors de la WWDC 2025, marque un tournant dans l’interopérabilité d’Apple. Une alternative à AirDrop […]
Apple explore la possibilité d’acquérir Perplexity, une société spécialisée dans l’intelligence artificielle, selon Bloomberg. Ces discussions internes, encore à un stade préliminaire, visent à combler le retard d’Apple dans le domaine de l’IA et à anticiper une possible rupture de son partenariat lucratif avec Google. Une acquisition pour booster l’IA d’Apple Les discussions, menées par […]
Apple fait face à une nouvelle tempête judiciaire. Un recours collectif vient d'être déposé dans un tribunal de Californie. Ce dernier accuse la firme , ainsi que plusieurs de ses dirigeants, d’avoir induit les actionnaires en erreur concernant l’état réel de ses avancées en intelligence artificielle –notamment dans le cadre du lancement d’Apple Intelligence et de la refonte attendue de Siri.
Le Finder est un logiciel largement utilisé mais dont des fonctionnalités pratiques sont souvent méconnues. Voici une présentation de certaines de ces fonctionnalités que vous ne connaissez peut-être pas et qui sont pourtant très utiles.
Comme un frigo ou une machine à laver, Apple doit coller une étiquette d’efficacité énergétique sur les pages produit de ses iPhone et iPad vendus au sein de l’Union européenne.
Apple pourrait-elle faire une entrée fracassante dans le domaine des moteurs de recherche dopés à l’intelligence artificielle ? Selon Mark Gurman de Bloomberg, les dirigeants de Cupertino auraient entamé des discussions préliminaires en vue d’une potentielle acquisition de Perplexity AI, une startup montante dans le domaine de la recherche conversationnelle propulsée par l’IA.
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Les iPhone 17 vont peut-être mettre fin à une vieille habitude ! Ces nouveaux modèles pourraient faire une croix sur la carte SIM physique. Finie donc l’insertion de cette petite puce dans les iPhone. Ne resterait plus que l’eSIM, une SIM numérique que les opérateurs français gèrent de mieux en mieux. Est-ce un progrès ou bien des problèmes en vue ? On en discute dans cette émission.
Dans cet épisode également, on revient sur la panne nationale de SFR, sur l’arrivée de la publicité dans WhatsApp et sur le psychodrame entre le blogueur John Gruber et Apple.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
Vous êtes abonné au Club iGen ? Rendez-vous sur cette page pour accéder à nos podcasts complets et aux flux RSS qui vont bien.
Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez l’émission directement dans ce lecteur :
Perplexity bientôt intégré à Siri ? Pourquoi pas, même l’IA elle-même a trouvé beaucoup de sons concordants. Captures MacGeneration.
Si peu de détails filtrent, comme souvent, les personnes impliquées dans la discussion montrent que le sujet n’est pas un bavardage entre deux plats à la cantine de Cupertino : la table réunirait Adrian Perica (responsable des fusions et acquisitions), Eddy Cue (responsable des services), et les personnes à la tête du développement d’Apple Intelligence.
L’idée, si elle aboutissait, serait de doter Apple Intelligence d’un moteur de recherche dopé à l’intelligence artificielle, permettant non seulement d’avancer sur le sujet de l’IA, mais en plus de pallier la possible défection de l’accord Google-Apple sur le moteur de recherche par défaut des appareils Apple. L’accord, apportant chaque année environ 20 milliards de dollars à la pomme est en effet sur le fil du rasoir judiciaire.
De son côté, Perplexity permet avec ses apps et son site internet de poser n’importe quelle question à son IA, qui va ensuite aller piocher sur internet pour y répondre de la manière la plus efficace possible.
Si les responsables de Perplexity indiquent « ne pas avoir connaissance d’une quelconque discussion de fusion ou acquisition concernant Apple et Perplexity », Apple ne ferait quoi qu’il en soit aucun mouvement avant d’en savoir plus sur le destin de son contrat avec Google.
Perplexity devenant de plus en plus gros, une acquisition en ferait le plus gros mouvement de l’histoire d’Apple, dépassant largement l’achat de Beats pour 3 milliards de dollars en 2014. La taille de Perplexity pourrait d’ailleurs être un souci si elle venait à grossir encore, mais Apple aurait dans ce cas d’autres possibilités : la pomme pourrait très bien passer un partenariat fort (voire exclusif) avec la start-up de l’IA, intégrant les possibilités d’intelligence artificielle de cette dernière au cœur de Siri et en en faisant le moteur de recherche par défaut sur Safari.
Les rencontres entre les dirigeants d’Apple et de Perplexity se sont multipliées avec le temps, indiquant un intérêt mutuel certain. Mais Cupertino n’est pas forcément seule sur le coup, Samsung ayant récemment passé un partenariat pour intégrer l’IA de la start-up dans Bixby.
Les dirigeants de Perplexity sont quoi qu’il arrive bien au courant d’être assis sur une mine d’or, indiquant qu’ils ne sont pas surpris de voir plusieurs grands groupes vouloir « offrir le moteur de recherche IA le meilleur et le plus précis à leurs utilisateurs. Ce qu’est Perplexity. ». Et Eddy Cue n’a pas caché non plus son intérêt pour l’entreprise, indiquant qu’Apple « est impressionnée par ce que Perplexity a réalisé, et que des discussions ont été entamées afin de savoir ce qui pourrait être fait ensemble ».
Alors, achat, pas achat ? C’est un gros morceau, certes... mais qui pourrait relancer Apple dans la course à l’IA, et renforcer la confiance de ses actionnaires, ce dont elle a énormément besoin en ce moment.
Des actionnaires d’Apple ont décidé de poursuivre le fabricant dans une action collective pour fraude boursière. Déposée devant un tribunal fédéral de San Francisco et relayée par Reuters, la plainte accuse l’entreprise d’avoir minimisé le temps nécessaire pour intégrer une intelligence artificielle avancée dans Siri, ce qui aurait nui aux ventes d’iPhone et au cours […]
Si Apple a fait un keynote plutôt réussi à la WWDC 2025, certains n’ont pas encore oublié l’édition précédente, et les annonces concernant l’intelligence artificielle qui ne se sont pas réalisées à temps (voire pas réalisées tout court pour le moment). C’est ainsi que plusieurs actionnaires de la pomme se sont regroupés aux États-Unis d’Amérique pour engager une class-action contre l’entreprise, comme le rapporte Reuters.
Dans le document original de la plainte, sont cités comme co-défendants d’Apple Tim Cook, Kevan Parekh (CFO, directeur financier d’Apple) et Luca Maestri (ancien CFO). La plainte porte sur plusieurs milliards de dollars perdus suite à la présentation d’Apple Intelligence et son intégration annoncée comme innovation majeure dans l’iPhone 16, avant qu’Apple ne se rétracte et supprime les publicités axées sur ces fonctions.
La plainte considère l’aveu d’Apple en mars 2025 concernant le retard du nouveau Siri comme un « début de vérité », et rappelle que durant la WWDC 2025 Apple n’a fait « aucune annonce concernant une quelconque avancée sur le nouveau Siri ».
Les plaignants citent entre autres John Gruber, n’hésitant pas à parler de « vaporware » dans son article Something Is Rotten in the State of Cupertino (Il y a quelque chose de pourri dans l’État de Cupertino). La plainte a été déposée auprès de l’État de Californie ce vendredi. Apple aura décidément fort à faire pour se défendre, une autre class-action ayant déjà été engagée pour « tromperie aux consommateurs » en mars de cette année, toujours concernant Apple Intelligence et l’iPhone 16.
Décidément, tout ne roule pas comme sur des roulettes en ce moment pour Tesla et pour Elon Musk en général. Après la brouille phénoménale avec son ancien ami Donald Trump (qui est retombée comme un soufflé quelques jours plus tard, après avoir bien secoué les actions du milliardaire), l’explosion du Starship 36 sur le banc d’essai (détruisant une bonne partie de ce qui se trouvait autour par la même occasion), le rejet des marques Robotaxi et Cybercab par le bureau américain des brevets (le terme est trop générique selon l’USPTO), voilà que des élus texans lui demandent d’attendre septembre pour lancer son service de taxis autonomes.
C’est Reuters qui rapporte ce nouveau revers, citant un groupe d’élus Démocrates de l’État qui a envoyé une lettre ouverte au constructeur automobile, lui rappelant que le Texas devant fortement modifier sa législation sur les véhicules autonomes en septembre, il serait de bon aloi de retarder le lancement officiel du service.
Si toutefois Tesla souhaitait maintenir la date du 22 juin pour celui-ci (date qui a déjà été reportée de 10 jours, Elon Musk ayant dans un premier temps annoncé le 12 juin), les élus demandent à la marque de répondre de manière très détaillée à la façon dont elle se pliera aux exigences des nouvelles réglementations à venir.
Actuellement, la loi texane autorise n’importe quel véhicule autonome à rouler, du moment que celui-ci répond aux normes des véhicules de tourisme, et aux demandes des assurances automobiles. À partir de septembre, la nouvelle réglementation impliquera que les entreprises voulant déployer des véhicules autonomes devront demander une autorisation spécifique avant de lancer leurs voitures autonomes sur les routes.
Bien entendu, le Texas posera quelques questions à toute entreprise demandant une telle autorisation, et se réserve le droit de révoquer l’autorisation si les véhicules autonomes « mettent en danger le public ». Les entreprises seront aussi tenues de donner les explications claires et détaillées sur la façon dont les forces de l’ordre et les pompiers devront interagir avec le véhicule s’ils doivent l’aborder.
Le souci étant que ni Musk ni Tesla ayant donné de détails sur le lancement de ce service, mise à part le fait qu’il concernera « 10 à 20 Model Y transformés », les élus pourraient très bien passer de la demande à l’exigence une fois le mois de septembre arrivé, si Tesla n’a pas montré patte blanche d’ici là.
Il n’y a pas qu’Apple qui voit ses plans fuiter à l’avance : avec la magie d’Internet, tous les groupes, petits et grands, voient à un moment ou un autre leurs produits sortir en images avant la date de présentation. Et Nothing n’échappe pas à la règle.
Pendant que Beyerdynamic se fait racheter, Nothing prépare pour le 1er juillet la présentation de ses nouveaux produits audio, pour aller avec ses smartphones. Et cette année, en plus des écouteurs sans-fil, la marque a révélé s’attaquer à rien de moins que l’AirPods Max.
Les images de @MysteryLupin et nothing_fan_blog lèvent le moindre mystère restant, en montrant clairement le design du produit, dans la même veine que les Nothing Phones : un design très industriel, avec une coque aux formes carrées en aluminium, d’où déborde un ovale plastique transparent, laissant entrevoir l’intérieur du casque.
Clivant ? Certainement. Moche ? À chacun de décider. Toujours est-il que le design ne rend personne indifférent, au point que même l’illustre marque Sennheiser a décidé de réagir sur Reddit :
La seule raison pour laquelle nous ferions un tel design serait d’avoir été rachetés encore et encore, et d’avoir les meilleurs vendeurs. Et encore...
Reste à se faire une idée de la qualité sonore, et aussi du prix. Nothing a annoncé qu’ils seraient moins chers que les AirPods Max, et que l’interface utilisateur serait pratique et intuitive. La réponse dans quelques jours maintenant.
Si Meta n’aime pas trop que d’autres intelligences artificielles s’immiscent dans ses apps, comme elle l’a prouvé en bloquant Apple Intelligence dans Facebook ou encore Instagram, le groupe de Mark Zuckerberg aime bien gratter des ingénieurs à gauche et à droite, voire devenir majoritaire dans des start-ups complètes.
Alexandr Wang, co-fondateur de Scale AI. Image TED.
C’est ainsi que Bloomberg rapporte qu’avant d’investir 14,3 milliards de dollars dans Scale AI pour en détenir 49% et récupérer le co-fondateur Alexandr Wang, devenant directeur de la branche IA de Meta, le groupe a dans un premier temps tenté d’acheter Perplexity, sans succès.
Rien n’a fuité sur la somme proposée, qui devait être plus que conséquente, Perplexity étant évaluée à plus de 14 milliards de dollars suite à sa dernière levée de fonds. Étant donné la similarité entre les sommes proposées aux deux entreprises, Perplexity a considéré qu’elle avait plus de valeur que Scale AI.
En dehors de la prise de contrôle d’entreprises complètes, Mark Zuckerberg a aussi mis les bouchées doubles pour recruter chez les concurrents : plusieurs grands noms de Google DeepMind ou encore Sesame AI Inc. se sont laissés tenter par le géant des réseaux sociaux.
Il faut dire que l’offre peut paraître alléchante : Sam Altman a ainsi laissé entendre dans un podcast cette semaine que plusieurs de ses employés se sont vus proposer 100 millions de dollars en bonus à la signature, et d’autres avantages encore plus grands. Selon le patron d’Open AI, tous ses employés auraient refusé l’offre de Meta. Qui ne tente rien...
L'application Téléphone de Google reçoit sa plus grosse mise à jour visuelle depuis des années. Avec le nouveau style "Material 3 Expressive", elle offre un avant-goût du design d'Android 16 et change radicalement la façon de répondre aux appels.
Avec iOS 26, macOS Tahoe et les autres systèmes d’exploitation d’Apple prévus pour cet automne, une fonctionnalité majeure arrive pour les passkeys : la possibilité d’importer et d’exporter ces clés d’accès sécurisées, destinées à remplacer les mots de passe. Cette avancée promet de lever une barrière à leur adoption. Une solution à l’enfermement des passkeys […]
Deux ans après avoir brutalement abandonné sa précédente version, Vimeo annonce son grand retour sur l'Apple TV. Une nouvelle application, reconstruite de zéro, est disponible dès aujourd'hui, marquant un changement de stratégie pour la plateforme vidéo.
L’entrée en vigueur ce 20 juin 2025 de l’étiquette énergie obligatoire pour les smartphones et tablettes en Europe doit guider les consommateurs. Cependant, un document technique d’Apple de 44 pages révèle une bataille méthodologique autour des tests de durabilité et d’efficacité énergétique de l’iPhone et de l’iPad. La firme critique les ambiguïtés du règlement européen […]
Dans le petit monde de l’audio, peu de marques sont encore indépendantes. Si jusqu’à présent les choses se faisaient dans une certaine discrétion, depuis la razzia de Samsung sur les propriétés de Masimo les rachats font un peu plus de bruit.
Le DT 990 Pro X, casque studio de la marque. Image Beyerdynamic.
Parmi ces rares petits îlots luttant contre les grands groupes, Beyerdynamic faisait encore référence d’illustre ancien, la marque ayant été fondée en 1924. Faisait ? Oui, car elle aussi va être rapidement absorbée, comme le rapporte Heise : Cosonic Intelligent Technologies a officialisé la signature du rachat de ce vénérable ancêtre le 5 juin, pour 122 millions d’euros.
Qui est Cosonic ? Ce groupe chinois créé en 2013 est une des « petites mains » qui fabriquent des appareils pour des marques plus connues, comme Philips, JBL ou même Beats (oui oui, c’est donc un fournisseur d’Apple). Voulant se développer en Europe et aux USA, Cosonic n’a rien trouvé de mieux que de racheter l’une des marques les plus célèbres de l’audio.
Pour Beyerdynamic, l’intérêt est des plus logiques : bénéficier des fonds bien plus conséquents du groupe chinois pour continuer à innover. La recherche dans le domaine coûtant de plus en plus cher, et les investisseurs étant de plus en plus frileux, il était de plus en plus compliqué de garder son indépendance.
Entre Focal qui appartient à Vervent Audio Group, Cabasse à VEOM, d’autres grands noms comme Bowers & Wilkins, JBL, Denon, Marantz ou AKG par Samsung, les célébrités de l’audio sont petit à petit absorbées par des groupes internationaux, qui pour certains n’ont strictement rien à voir avec le domaine de l’audio moyen/haut de gamme d’origine de la marque, marquant ainsi la fin d’un certain âge d’or de la Hi-Fi.
Il y a quelques semaines, une action collective contre Apple était mise en avant médiatiquement. Portée par Julien Bayou, ancien secrétaire national du parti Europe Écologie Les Verts, elle reproche à Apple d'avoir exploité des enregistrements liés à Siri, qui contenaient dans certains cas des informations personnelles.
La Ligue des droits de l'homme, qui a aussi porté plainte contre Apple sur le même sujet quelques mois plus tôt, vient de porter plainte contre Julien Bayou. En effet, elle lui reproche d'avoir été associée (à tort) à la seconde plainte pendant un temps. La Ligue a donc adressé à Me Bayou un droit de réponse qui n'a pas été publié sur le site dédié, ce qui est contraire à la loi selon la Ligue. Julien Bayou est donc visé par une citation directe devant la 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris, selon nos confrères de l'Informé.
Le droit de réponse, consulté par l'Informé, accuse le cabinet d'avocat de vouloir récupérer une indemnisation sur laquelle ils toucheront 10 % (ils promettent de demander un remboursement de l'appareil en cause), et pas de vouloir faire changer le comportement des GAFAM sur les traitements des données personnelles des utilisateurs. Le reproche essentiel de la LDH est donc un message depuis effacé du site, qui indiquait un lien entre la plainte de la Ligue et celle du cabinet. Notons enfin que l'action collective contre Apple aurait été rejointe par 14 000 plaignants selon Le Parisien, probablement attirés par la possibilité (peu probable) de se faire rembourser un iPhone.
Vous rêvez de redonner un coup de jeune à ces vidéos de vacances ou vieilles photos précieusement stockées sur votre Mac, iPhone ou PC ? Bonne nouvelle : le tout dernier VideoProc Converter AI débarque en version boostée ! Grâce à ses modèles d’IA de nouvelle génération (Gen Detail et Real Smooth V3), le logiciel est désormais 80 % plus rapide et offre des résultats bluffants.