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Un bug de scintillement pour le Studio Display avec macOS Tahoe

Un bug de macOS Tahoe fait... scintiller le Studio Display
Un tout nouveau Raycast prévu pour 2026
En l’espace de quelques années, Raycast est devenu l'un des utilitaires les plus populaires sur Mac. Il s’agit d’un lanceur dans la lignée d’Alfred, de LaunchBar ou encore de Quicksilver. Mais par rapport à ses concurrents historiques, Raycast se distingue par son ouverture vers les services tiers et mise énormément sur l’intelligence artificielle.
À la découverte de Raycast, le puissant lanceur multifonctions pour le Mac
Pour les aficionados du logiciel, la courte vidéo mise en ligne par l’éditeur a suscité une certaine effervescence. Si le teaser reste mystérieux, il laisse entrevoir une interface repensée pour se fondre encore davantage dans macOS. L'éditeur semble avoir concocté un mode compact encore plus minimaliste. L’esthétique, plus fine et épurée, adopte les codes visuels récents d'Apple : l'objectif est clairement de proposer un outil qui sait se faire oublier visuellement tout en restant immédiatement accessible sous les doigts.
Mais la véritable "killer feature" suggérée par ces quelques secondes concerne l'audio. Raycast semble prêt à intégrer la dictée vocale avancée directement au cœur du lanceur. Il ne s'agirait plus seulement de lancer des commandes à la voix, mais bien de dicter du texte avec la puissance de l'IA, à la manière de ce que proposent aujourd'hui des utilitaires spécialisés comme MacWhisper ou Wispr Flow. En intégrant nativement une telle fonction, Raycast pourrait bien "sherlocker" quelques applications tierces et s'imposer définitivement comme le centre névralgique de la productivité sur Mac.
AirPods Pro 3 : les grésillements font de la résistance
Lancés il y a quelques mois, les AirPods Pro 3 figurent sans doute parmi les meilleurs produits lancés par Apple cette année. Toutefois, tout n'est pas parfait pour autant : depuis leur commercialisation, plusieurs dysfonctionnements persistent et n'ont toujours pas été corrigés malgré l'enchaînement des mises à jour.
Comme nous le notions déjà fin octobre, un problème de grésillement — s'apparentant à de l’électricité statique — vient régulièrement perturber l’écoute. Le phénomène est particulièrement audible lorsque la réduction active du bruit (ANC) est activée, mais qu'aucun contenu n’est diffusé. Plus irritant encore, certains utilisateurs rapportent des sifflements aigus intermittents. En ce qui nous concerne, nous avons expérimenté ce bug à deux reprises le même jour ; il ne s'est fort heureusement plus manifesté depuis.
AirPods Pro 3 : un bug sonore qui fait grincer des oreilles
AirPods Pro 3 : certains utilisateurs se plaignent d’un bruit blanc constant
Des mises à jour sans grand effet
Apple est pourtant au travail, du moins sur le papier. Depuis l'émergence des premiers témoignages, deux mises à jour ont été déployées. La dernière en date, la B30 sortie il y a une semaine, permet notamment d’accéder à la traduction en direct en Europe.
Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3
Pourtant, le constat reste le même : les retours sur les forums d’assistance indiquent que ces nouveaux micrologiciels n’ont pas corrigé le tir. Les bruits de friture persistent, avec ou sans musique, et de nouveaux griefs font leur apparition, notamment concernant la latence et des problèmes de synchronisation audio lors de la lecture de vidéos.
Un défaut d'ordre logiciel ?
C’est toute la question qui anime la communauté. Certains clients ont tenté le passage en Apple Store pour un échange standard, mais la déception est souvent au rendez-vous : les écouteurs de remplacement présentent parfois les mêmes symptômes. Cela laisse planer un doute sur la nature du problème : s'agit-il d'un bug profond dans le traitement du signal ou d'un défaut de conception matérielle ?
Fidèle à ses habitudes, Apple reste peu loquace. Les notes de version se contentent de vagues « corrections de bugs et autres améliorations », sans jamais nommer précisément le problème de l'ANC. Pour une paire d'écouteurs vendue à ce prix, le silence de Cupertino finit par devenir aussi assourdissant que les grésillements qu'ils sont censés corriger.
Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur
Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas à nous faire part de vos témoignages dans les commentaires si vous rencontrez également ces problèmes !
Apple Plans : fin de voyage pour les visites guidées Flyover
Début septembre, nous nous étonnions de la disparition soudaine des visites guidées Flyover dans de très nombreuses villes. Ces survols automatisés n’étaient plus au programme, que ce soit sous iOS 18 ou sous les bêtas de son successeur.
Trois mois plus tard, comme le souligne MacRumors, cette fonction est toujours aux abonnés absents. On peut désormais acter la décision d’Apple : la firme a discrètement débranché une fonctionnalité qui, si elle n'était sans doute pas la plus utilisée, restait l'un des fleurons visuels de son application de cartographie.
Un vestige de l'ère iOS 8
Il ne faut pas confondre la technologie Flyover (la vue 3D), lancée en grande pompe en 2012 avec iOS 6, et les City Tours (les visites guidées). Ces derniers ne sont arrivés qu'en 2014, avec iOS 8 et OS X Yosemite. L'idée était séduisante : utiliser la richesse de l'imagerie aérienne pour proposer une découverte scénarisée des grandes métropoles.
Pendant une décennie, il suffisait de tapoter sur l'icône Flyover lors de la recherche d'une ville pour lancer le guide. Aujourd'hui, l'option a tout simplement été rayée de la carte. Un ménage de printemps avant l'heure, probablement justifié par des statistiques d'utilisation proches du néant.
La 3D reste, le pilote automatique s'en va
Que les amateurs de tourisme virtuel se rassurent : seule la visite automatisée disparaît. L’imagerie Flyover reste disponible dans plus de 350 villes à travers le monde. Vous pouvez toujours admirer les monuments, les parcs et les gratte-ciel avec cette vue plongeante si particulière.
Pour rappel, Apple utilise des clichés capturés par de petits avions pour modéliser ces environnements avec une précision chirurgicale. Une technologie impressionnante qui explique aussi pourquoi certaines zones restent désespérément "plates" pour des raisons de sécurité nationale ou de confidentialité.
En somme, Apple fait table rase pour laisser toute la place à l'expérience « Détails de la ville » (Detailed City Experience). Lancée avec iOS 15, cette cartographie « nouvelle génération » est autrement plus ambitieuse qu'une simple vidéo en boucle : elle propose une modélisation chirurgicale du relief, des marquages au sol précis, des passages piétons en 3D et des monuments dessinés à la main qui s'illuminent délicatement une fois la nuit tombée.
Il serait toutefois de bon ton qu’Apple mette maintenant un sérieux coup d'accélérateur sur le déploiement de cette fonctionnalité. Si le résultat est bluffant, il reste encore trop souvent l'apanage de quelques métropoles triées sur le volet. En France, Paris fait toujours cavalier seul et reste la seule ville à offrir cette expérience complète.
Un prototype de MacBook avec un SoC A15 ?
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Apple aurait créé un prototype de MacBook, sans qu'on en connaisse les détails et la configuration, avec une ancienne puce A15 d'iPhone 13.
Ce SoC A15 est similaire coté cœurs CPU, GPU et NPU avec le M2 des Mac, avec moins de cœurs essentiellement. Consommant moins aussi.
La rumeur d'un MacBook 12", ou plutôt 12,9", équipé d'un A18 Pro issu des iPhone 16 Pro, enfle, devient de plus en plus présente.
Et dans les dernières capture de logiciels, ce MacBook vient même avec un numéro de produit J700.
On se souvient du Mac mini DTK équipé du A12z dérivé du A12 des iPhone XS, et évidemment remplacé en production grand-public par le M1 dérivé des A14 des iPhone 12.
Il est évident que ce MacBook devrait bientôt arriver, créant une nouvelle entrée-de-gamme, mais probablement sans Apple Intelligence™ car avec 8 Go de RAM pour limiter la casse.
Les prix de la RAM et des GPU explose, ceux des SSD aussi, les CPU vont suivre: le marché est saturé d'une demande absolument incroyable pour les fermes d'IA dans le cloud.
Il est possible que Apple revoie ses placements tarifaires à la hausse début 2026 à cause de cela...
macOS Tahoe : un bug agaçant fait clignoter le Studio Display
C’est une vieille connaissance que l’on aurait préféré ne pas revoir. Depuis le lancement de macOS Tahoe en septembre dernier, le Studio Display semble pris d’une soudaine passion pour le stroboscope. Un bug agaçant qui, loin de se résorber avec les dernières mises à jour, semble au contraire gagner du terrain.
Un bug qui joue les prolongations
Le problème n'est pas totalement inédit. Comme le rapporte MacRumors, les témoignages d'utilisateurs excédés s'accumulent sur les forums de support. Si des phénomènes de scintillement avaient déjà pointé le bout de leur nez sur de précédentes versions du système, macOS Tahoe semble avoir définitivement ouvert la boîte de Pandore : ce qui n'était qu'un incident isolé par le passé devient, avec cette mouture, un défaut récurrent.
Nous avons d'ailleurs pu constater le phénomène directement à la rédaction : l'un de nos Studio Display est touché par ces clignotements intempestifs. Et le constat est sans appel : les versions 26.1 et 26.2 de Tahoe n'ont absolument rien réglé à l'affaire. Il est à noter que, selon certains témoignages, ce bogue frapperait également des moniteurs d’autre marque.
Photos et Vidéos dans le viseur
Si le bug peut frapper de manière aléatoire, il semble avoir une prédilection pour les contenus multimédias. Le scintillement se manifeste plus souvent lorsque de la photo ou de la vidéo est en jeu. De mon côté, le déclencheur est presque systématique : il suffit de lancer l'application Photos pour que l'écran se mette à vaciller, surtout lors du passage entre des interfaces sombres et des fonds très clairs.
Une piste pour calmer le jeu
En attendant qu'Apple se décide à publier un correctif — probablement via une mise à jour du firmware de l'écran — une solution de fortune semble porter ses fruits. Chez moi, le problème a été en grande partie résolu par une manipulation simple dans les Réglages Système : décocher l'option « Régler la luminosité automatiquement ».
Il semblerait que le capteur de luminosité ambiante et la gestion logicielle de Tahoe ne fassent plus bon ménage, provoquant ces ajustements brutaux qui ressemblent à des flashs. Ce n'est certes pas une solution idéale pour un écran de ce prix, mais cela permet au moins de retrouver un confort de travail acceptable en attendant des jours meilleurs.
Les ventes de consoles s’effondrent suite aux nombreuses hausses de prix
Pendant longtemps, la guerre des consoles était... le nerf de la guerre pour le trio Sony/Microsoft/Nintendo. Pour vendre des jeux et accessoires en masse, les trois constructeurs n’hésitaient pas à brader leurs consoles, quitte à y être de leur poche (comme ce fut le cas pour Sony et ses PlayStation 2, PSP, PS Vita et même PS5 à leurs débuts). Cependant, les choses semblent changer et les ventes s’en ressentent, tout particulièrement aux USA, comme le remarque IGN.

Ainsi, les prix ont déjà pris une claque mi-2025 suite aux atermoiements de l’administration américaine, avec une PlayStation 5 dont tous les tarifs montent de 50 dollars. La Xbox, de son côté, a fait encore plus fort : la Xbox S a pris 80 dollars, quand la Series X est montée de 100 à 130 dollars suivant les éditions ! De son côté, Nintendo a profité de la sortie de sa Switch 2 pour afficher d’emblée un tarif élevé, lui évitant la grogne à chaque hausse.
Mais ce n’était pas fini pour autant pour Microsoft : fin septembre, nouvelle hausse. Au final, la Xbox Series X qui s’affichait à 499 dollars au début de l’année est maintenant vendue 649 dollars ! Résultat ? Des ventes qui s’effondrent.
Plus dure sera la chute
Ceux qui s’en sortent le mieux, sans surprise, c’est Nintendo : avec 10 % de baisse des ventes d’une année sur l’autre au mois de novembre, l’entreprise de Mario tire les marrons du feu. Mais ce n’est cependant qu’une façade : la Switch 2 est toute récente, et les ventes cumulent à la fois celles de la nouveauté, mais aussi de la vénérable Switch première génération.
Sony, de son côté, accuse le coup avec 40 % de baisse de ventes d’une année à l’autre pour le mois de novembre. La chute est sévère, mais logique : la PlayStation 5 est (re)devenue une console chère, avec des prix commençant à 499 dollars pour une version Digital. La PlayStation 5 Pro, n’en parlons même pas : à 749 dollars, seuls quelques hardcore gamers s’y intéressent... quand ils ne sont pas sur PC.
Mais pour Microsoft, ce n’est plus une chute, c’est une catastrophe : avec 70 % de baisse des ventes, la Xbox réalise son pire mois de novembre depuis son lancement !
Et les choses ne sont pas près de s’arranger niveau tarifs, que ce soit pour n’importe lequel des trois gros bonnets : la crise de la mémoire et des SSD va les toucher de plein fouet, et les tarifs des consoles étant déjà tirés au maximum, aucun ne pourra faire comme si de rien n’était. Les tarifs monteront, encore une fois, et mondialement cette fois.
Une crise ? Quelle crise ?
Cependant, Microsoft ne semble pas s’affoler outre mesure. L'entreprise de Redmond semble déjà être passée à autre chose, bien qu’elle continue encore de produire du matériel. Satya Nadella l’a bien fait comprendre, en cassant le principe des exclusivités de la plateforme Xbox : la lutte n’est plus sur le matériel, mais sur les grandes plateformes de téléchargement. La console Xbox coule ? Et alors ? L’important, c’est que les ventes restent stables voire montent au niveau des licences, et encore plus au niveau des abonnements.
Xbox est présent sur de nombreuses plateformes, y compris concurrentes : si seules les licences sont disponibles sur PlayStation 5, le Xbox Cloud Gaming, lui, est bien plus étendu : smartphones Android et iOS, iPad, PC Windows, Mac, casques VR comme le Meta Quest, Steam Deck, et même quelques smart tv comme celles de Samsung ou LG ! Le principe du Xbox Cloud Gaming, renforcé par toutes les licences acquises ces dernières années par Microsoft, commence à montrer son vrai visage : étouffer la concurrence en l’encerclant, rendant par la même occasion la console caduque.
Les TV LG 2022 et ultérieures transformées en Xbox
Au final, ces hausses de prix pourraient bien être bénéfiques pour Microsoft, enterrant encore plus vite les consoles pour passer à l’étape suivante : le jeu directement sur cloud, permettant de passer d’une plateforme à l’autre sans y réfléchir... et ramenant espèces sonnantes et trébuchantes à Redmond, pour chaque utilisateur. Bonus, le piratage se voit éliminé d’un coup, tout passant par le cloud.
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MacG.co
- Ce VPN taillé pour Mac qui offre 500 Go de stockage cloud fait le plein de promos avant Noël
Ce VPN taillé pour Mac qui offre 500 Go de stockage cloud fait le plein de promos avant Noël
Les fêtes approchent à grands pas, et avec elles l'éternelle quête du cadeau parfait. Cette année, pourquoi ne pas miser sur la sécurité numérique ?

CyberGhost propose une offre particulièrement alléchante qui devrait séduire tous les aficionados de l'écosystème Apple : un VPN performant, pensé spécifiquement pour Mac, assorti d'un généreux bonus de 500 Go de stockage sécurisé dans le cloud. Le tout à un tarif dérisoire qui défie toute concurrence.
Un VPN qui parle couramment Safari
Naviguer sur Safari devrait rester une affaire privée. C'est précisément ce que garantit CyberGhost, qui s'intègre naturellement à l'environnement macOS pour chiffrer l'intégralité du trafic web. Fini les regards indiscrets sur vos habitudes de navigation, vos recherches ou vos données bancaires. L'interface épouse parfaitement l'esthétique minimaliste chère à Apple, transformant la protection de votre vie privée en un geste aussi simple qu'un clic.

Le service fonctionne indifféremment sur iMac, MacBook Pro, MacBook Air ou Mac mini. Peu importe la machine que vous possédez dans la gamme Apple, l'expérience reste fluide et intuitive. On apprécie particulièrement cette absence de friction technique qui transforme la sécurité en réflexe plutôt qu'en contrainte.
Une infrastructure planétaire qui change la donne
Avec pas moins de 11 000 serveurs disséminés dans plus de 100 pays, CyberGhost dispose d'une infrastructure colossale qui garantit des connexions rapides où que vous soyez. Besoin d'accéder à du contenu géolocalisé en streaming ? Envie de contourner les restrictions imposées par certains gouvernements lors de vos pérégrinations à l'étranger ? Cette armada de serveurs répond à toutes ces problématiques avec une désinvolture déconcertante.

Cette couverture géographique pléthorique permet également d'optimiser les vitesses de connexion en sélectionnant automatiquement le serveur le plus proche et le moins congestionné. Résultat : on ne ressent pratiquement aucune latence, même en visioconférence ou lors du téléchargement de fichiers volumineux.
La confiance des pairs comme caution
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 4,7 étoiles sur 5 sur Trustpilot, calculées sur la base de plus de 14 800 avis vérifiés. Cette notation élogieuse témoigne d'une satisfaction client qui ne se dément pas. Les commentaires soulignent régulièrement la stabilité du service, la clarté de l'interface et la réactivité du support technique, trois piliers essentiels pour un VPN digne de ce nom.
Cette plébiscitation massive n'est pas le fruit du hasard. Elle reflète des années d'investissement continu dans l'amélioration du produit et l'écoute attentive des retours terrain. Quand des milliers de personnes valident leur choix publiquement, cela forge une réputation difficile à égaler.
500 Go de stockage cloud qui tombent à pic
Au-delà de la dimension VPN, CyberGhost ajoute une cerise substantielle sur le gâteau : 500 Go de stockage cloud sécurisé offerts. De quoi archiver photos de famille, documents importants, sauvegardes système ou projets créatifs sans avoir à jongler entre différents services. Tout reste centralisé, chiffré de bout en bout, accessible depuis n'importe quel appareil.
Cette générosité transforme l'abonnement en solution globale de protection numérique puisqu'on ne parle plus seulement de masquer son adresse IP, mais d'un véritable écosystème qui prend soin de l'ensemble de votre empreinte digitale. C'est cette approche holistique qui fait toute la différence.
Une offre de Noël qui ne reviendra pas de sitôt
Actuellement, l'abonnement de deux ans bénéficie d'une réduction vertigineuse de 83%, accompagnée de quatre mois supplémentaires offerts. Le calcul est vite fait : 2,03 euros par mois pour sécuriser l'intégralité de votre vie numérique sur Mac, et 68,33 € TTC pour l'intégralité de l'abonnement. Difficile de trouver meilleur rapport qualité-prix dans l'univers des VPN premium.
Si vous cherchiez le moment opportun pour franchir le pas, cette fenêtre temporelle représente une aubaine qu'il serait dommage de laisser passer !
Profitez de l'offre CyberGhost à -83% avec 4 mois offerts et transformez votre Mac en forteresse numérique inviolable tout en bénéficiant d'un espace de stockage conséquent !
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MacG.co
- Music Assistant change de tempo : nouvelle interface, AirPlay 2 et un développeur à temps plein
Music Assistant change de tempo : nouvelle interface, AirPlay 2 et un développeur à temps plein
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MacG.co
- L’iPhone Air se vend mal, ses coques aussi : Apple brade le bumper et la coque Beats sur Amazon
L’iPhone Air se vend mal, ses coques aussi : Apple brade le bumper et la coque Beats sur Amazon
S’il fallait une preuve que l’iPhone Air semble délaissé par les acheteurs, Apple vient d’en fournir une nouvelle par le biais d’Amazon, avec le tarif du bumper officiel pour iPhone Air, qui ne fait que baisser.

En effet, l’accessoire pour l’iPhone le plus léger de la famille qui était au départ à 45 €, passé entre temps à 30 €, est maintenant à 27 €. Et Apple ayant peu pour habitude de brader ses appareils comme ses accessoires, c’est bien qu’il faut se rendre à l’évidence : si l’appareil ne se vend pas, ou en tout cas pas aussi bien que prévu... les coques ne se vendront pas mieux.
iPhone Air : Apple aurait déjà stoppé la production et repoussé son successeur
Il semble donc que plutôt que de rester avec une flopée de coques invendues sur les bras, Apple a décidé de les brader pour écouler le stock. Il faut dire que celles-ci étant fort probablement produites plus vite que l’appareil lui-même, et à un coût dérisoire, elles ont dû être produites en quantité. Manque de bol, les acheteurs ne sont donc pas au rendez-vous.
Mais un prix ne fait pas une tendance... qu’en est-il des autres ? Pour rester chez Apple, la coque Beats pour iPhone Air commence elle aussi une belle chute de prix, à 31,50 € pour un prix de départ de 55 €. Même la coque MagSafe pour iPhone Air, pourtant une valeur sure, est à 39,60 € au lieu de 59 €.
Plus globalement, Amazon continue de jouer les prolongations sur les accessoires de la gamme classique. Le géant du commerce en ligne maintient une ristourne de 20 % sur l’ensemble des protections Apple destinées aux iPhone 17, 17 Pro et 17 Pro Max. C’est une offre honnête, même si pour ces modèles « premium », la baisse est un peu moins spectaculaire que celle que l'on avait pu croiser durant la semaine du Black Friday. Notez au passage qu’Amazon applique également cette remise de 20 % sur certains porte-cartes en tissage technique. De quoi rhabiller son iPhone à moindres frais.
Les chiffres se suivent et se ressemblent : l’iPhone Air ne trouve pas son public
Si les coques produites par Cupertino pour les modèles standards s'offrent quelques promotions régulières, le sort de l'iPhone Air est plus radical. On n'observe pas de tels effondrements de prix sur le reste de la gamme, ce qui tend à confirmer la tendance : l’iPhone Air est décidément le mal-aimé de la famille. Peut-être un jour reviendra-t-il en grâce, comme le loup de la pub ? En attendant, je vous laisse, je vais mettre du Claude François en sonnerie sur mon iPhone Air pour rester dans le thème des causes perdues.
Le MacBook Air M2 en promo à 724€ : le prix le plus bas jamais vu !
Free devrait proposer l'option eSIM sur d'autres montres connectées que l'Apple Watch
C'était l'arlésienne : alors que la première Apple Watch cellulaire date de 2017, Free Mobile propose (enfin) la possibilité de relier une Apple Watch à un forfait. La bonne nouvelle, c'est que cette option est gratuite si vous avez un forfait Free (sauf celui à 2 €). La mauvaise — pour certains — c'est que l'option est réservée aux Apple Watch, mais ça devrait changer.

Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G
Pendant un temps — elle a été modifiée depuis —, une page d'assistance de Free indiquait en effet ceci selon Univers Freebox, qui a été confirmé par un commentaire sur Next : « L’option eSIM Watch sera disponible prochainement pour les montres Wear OS. » Nos confrères indiquent par ailleurs que l'opérateur leur a confirmé en octobre que l'option allait bien être proposée pour d'autres montres connectées.
L'option cellulaire n'est pas généralisée dans les montres connectées, mais elle est tout de même très pratique : elle permet d'effectuer des appels sans smartphone à proximité, ce qui peut être intéressant en cas d'urgence. C'est aussi une option utile avec certains services de streaming pour la musique, pour éviter de passer par un smartphone pour écouter de la musique en déplacement. Reste à voir si Free Mobile va étendre directement le service à toutes les montres sous Wear OS ou si l'option sera mise en place au cas par cas. Pour les Apple Watch, c'est la seconde voie qui a été choisie pour des raisons techniques : une Apple Watch compatible avec watchOS 26.2 est obligatoire, ce qui exclut d'emblée les modèles Series 3 à Series 5.
Licenciements massifs : l'IA est-elle le vrai coupable ou l'excuse idéale des patrons ?
SFR piraté...
SFR c'est fait pirater aussi et on ne connait pas le nombre de clients touchés.
Pour ceux-ci c'est nom, prénom, adresse email, adresse postale, numéro de téléphone et quelques autres données qui ont fuité.
Les clients de SFR doivent être habitués suites aux fuites de données de juillet 2024, août 2024, et septembre 2024.
SFR a mis en place le numéro vert 0805 80 49 49 et les clients touchés contactés.
En revanche le phishing a déjà commencé en utilisant ces données, en appelant ces clients, et si vous êtes client SFR, la plus grande prudence vous est recommandée !
Apple prend le Japon en exemple pour contester le DMA européen
Le Japon a suivi l’Union européenne et son DMA en imposant à Apple une série de mesures qui vont l’obliger à ouvrir l’iPhone à la concurrence. On pourrait croire que l’entreprise californienne déteste les deux régulateurs avec la même passion. Dans un entretien accordé à plusieurs médias, dont Numerama et La Tribune (nous n’avons pas été invités…), elle révèle pourtant un favori. Alors qu’Apple n’a jamais caché qu’elle détestait le DMA, le MSCA japonais lui paraît nettement préférable.
Les deux textes sont pourtant proches et ce sont des points de détail qui font peser la balance en faveur du Japon dans le cœur de Cupertino. Ainsi, le Japon exige la possibilité de passer par des boutiques d’apps tierces au lieu de l’App Store. AltStore n’a pas attendu bien longtemps pour ouvrir ses portes dans le pays et d’autres boutiques devraient suivre.
Après l’Europe, le Japon contraint Apple à ouvrir véritablement l’iPhone à la concurrence
Quelques différences à la marge
Apple pointe toutefois quelques différences avec le DMA, à commencer par le passage obligatoire par une boutique. On ne peut pas télécharger une app directement depuis un site web sur les iPhone japonais comme on peut le faire en Europe, tout doit passer par les boutiques et donc par le processus de notarisation géré par ses soins. Ce qui lui permet de garder la main sur les apps autorisées et même si c’est en théorie des problèmes de sécurité qui peuvent justifier un refus, on l’a déjà vu s’en servir pour d’autres raisons.
Apple a bloqué iTorrent sur l’AltStore à la demande de gouvernements
L’Union européenne empêche normalement Apple de refuser une app par le biais de la notarisation et l’entretien semble indiquer que cette option restera ouverte au Japon. Pourtant, les règles destinées au pays n’évoquent pas de contrôle sur le contenu. L’argument de la pornographie a été brandi en guise de preuve, selon Apple, des méfaits du DMA. Pourtant, tout semble indiquer que la catégorie n’est pas interdite dans l’archipel et AltStore ne paraît pas proposer une liste d’apps spécifique au pays. La Pomme n’a manifestement toujours pas digéré la sortie de Hot Tub sur la boutique alternative, malicieusement présentée à l’époque comme approuvée par ses soins.
Apple réprouve totalement la première app porno pour iPhone distribuée par AltStore PAL
Elle a aussi une préférence sur la gestion des paiements externes, requise par le législateur japonais comme par le DMA. Pour commencer, les apps devront systématiquement proposer les deux options et permettre aux utilisateurs de choisir, alors que les développeurs doivent choisir une seule option sur ce continent. L’Union européenne ne tolère par ailleurs aucune restriction sur l’accès à des moyens de paiement qui ne sont pas gérés par ses soins, là où le Japon a accepté de les restreindre pour les mineurs. Les apps destinées aux moins de 13 ans ne pourront pas afficher un lien vers un système de paiement externe et tous les utilisateurs de moins de 18 ans devront obtenir une autorisation parentale pour réaliser un achat hors de l’App Store. Ces différences sont jugées essentielles par Apple pour protéger les enfants, ce qui serait impossible selon elle en Europe.
Le régulateur japonais n’exige pas d’interopérabilité systématique
Le dernier argument est sans doute le plus important : le DMA exige des fonctionnalités interopérables dès leur conception, alors qu’il n’y a rien de tel dans la loi japonaise. Apple juge que l’Europe veut bloquer l’innovation, motivée par des concurrents qui auraient fait preuve d’un « lobbying intense » auprès des institutions européennes. Spotify et Meta ont même été cités pendant l’entretien, ce qui n’est pas une surprise, tant les deux entreprises reviennent régulièrement dans les discussions. Le service de streaming n’a jamais manqué une occasion d’accuser la Pomme de nuire à son propre service en favorisant Apple Music.
Spotify insiste auprès de l’UE pour une condamnation rapide et sévère d’Apple
Apple juge l’approche japonaise bien meilleure, si bien qu’elle ne pense pas devoir bloquer des fonctionnalités nouvelles, comme elle le fait régulièrement en Europe. Outre la recopie de l’iPhone qui n’est toujours pas active sur le continent, on peut aussi évoquer le retrait à venir d’une fonctionnalité liée à l’Apple Watch.
L'Apple Watch va perdre une fonction à cause de l'Union européenne et du DMA
Apple ne rate jamais une occasion de faire pression sur l’Europe
Cette démonstration est avant tout une manière de plus pour Apple de mettre la pression sur l’Union européenne, par le biais de ses propres clients. L’entreprise de Tim Cook veut démontrer qu’il y avait une meilleure manière de faire en utilisant le Japon comme preuve, quand bien même les textes ne sont pas si éloignés qu’elle veut bien le dire.
C’est loin d’être la première fois qu’Apple cherche à mobiliser ses clients européens contre le DMA, à tel point que l’on pourrait aussi parler d’un « lobbying intense » à son sujet. Reste à savoir si le Japon érigé en contre-exemple va finalement faire mouche auprès des citoyens et in fine des institutions.
DMA : Apple explique pourquoi l'iPhone est privé de certaines nouveautés
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Mac4Ever
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Apple pourrait faire assembler ses écrans OLED en Inde
Quand nous parlons de puces, il y a parfois une confusion, qui est liée à la conception même de ces dernières. Si vous prenez une puce M1, elle comprend la puce elle-même (fabriquée par TSMC) mais aussi deux puces de mémoire et ce qu'on appelle le package, la partie sur laquelle sont placés les composants. Une puce peut donc être en réalité un assemblage de plusieurs composants (qui sont des puces). Et selon The Economic Times, Apple pourrait effectuer cet assemblage en Inde.

C'est la société CG Semi, basée à Sanand dans l'état du Gujarat, qui aurait été choisie. Le but ne serait pas ici d'assembler les puces principales, mais bien des composants liés aux écrans OLED. Dans le cas de ces derniers, les dalles peuvent provenir de trois fournisseurs (Samsungn LG, BOE) alors que les contrôleurs et les circuits de gestion, eux, dépendent d'autres sociétés (Samsung, Himax, LX Semicon et Novatek).

Il y a plusieurs raisons qui pourraient pousser Apple à assembler certains composants en Inde, et il s'agirait ici de discussions à un stade préliminaire, sans officialisation de la part d'Apple. Un des avantages de l'Inde est que le pays pourrait recevoir des composants issus de Corée du Sud, de Chine et de Taiwan, alors que l'installation d'une telle usine en Chine — par exemple — peut amener des problèmes géopolitiques complexes si une partie des composants arrivent de Taiwan. C'est probablement un moyen d'anticiper d'éventuels soucis à ce niveau dans le futur, tant les tensions sont grandes dans cette partie de l'Asie. L'Inde a l'avantage de ne pas être trop éloignée des différents fournisseurs tout en disposant d'une main-d'œuvre formée pour ce genre de travaux : The Economic Times explique qu'Intel a récemment confié à Tata Electronic (un géant local) une partie de l'assemblage de ses produits.