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2026 : la feuille de route d’Apple pour le Mac (et elle est chargée)
Il y a encore quelques années, de nombreux utilisateurs reprochaient à Apple l’absence de véritable roadmap. C’était d’ailleurs l’un des arguments souvent avancés pour expliquer les difficultés du Mac à s’imposer dans le monde de l’entreprise.
Aujourd’hui, entre les rumeurs persistantes et l’évolution désormais assez lisible des puces Apple Silicon, on dispose d’une vision relativement claire des plans d’Apple à 12–18 mois. Et tout indique que 2026 pourrait être un très bon cru pour le Mac.
Voici à quoi devrait ressembler l’année 2026 pour la gamme, qui s’annonce particulièrement dynamique dès ses premiers mois
Début 2026 : MacBook Air et tous les MacBook Pro passent au M5
La transition vers le M5 a commencé le mois dernier avec le MacBook Pro 15” d’entrée de gamme. En toute logique, le MacBook Air devrait à son tour adopter cette nouvelle puce en début d’année prochaine.
Sur le papier, cette évolution promet un gain de performances notable, toujours dans un design aussi soigné. Reste toutefois une question : le MacBook Air, dépourvu de ventilateur, parviendra-t-il à exploiter pleinement une puce réputée plus exigeante thermiquement que ses prédécesseurs ?
Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace
Apple pourrait également intégrer les mêmes améliorations de SSD que celles introduites sur le MacBook Pro M5. Des améliorations que l’on devrait en tout cas retrouver sur l’ensemble des MacBook Pro de la gamme attendus, eux aussi, début 2026.
Quand on observe les gains apportés par le MacBook Pro M5 standard, on imagine sans peine ce que pourraient donner les futures versions équipées de puces M5 Pro et M5 Max. Officiellement présentée comme un simple speed bump, cette génération pourrait néanmoins marquer un vrai bond en avant sur certains usages, notamment du côté de l’intelligence artificielle et des performances graphiques.
Le MacBook low-cost en début d’année également
Comment Apple va-t-elle appeler son fameux MacBook équipé d’un processeur d’iPhone ? Même si cette dénomination est moins dans l’air du temps, elle pourrait l’appeler MacBook Air SE. Ce serait un formidable clin d’œil au Mac iconique sorti à la fin des années 80.
Si vraiment, Apple veut insister sur le côté low cost (cela ne lui ressemble pas, mais…), elle pourrait l’appeler également le MacBook LC. Là aussi, le clin d’œil serait clair : le LC, ce fameux Macintosh « boîte à pizza » des années 90.
Ce MacBook à bas coût aurait en tout cas un écran d'environ 13 pouces, légèrement plus petit que le MacBook Air de 13,6 pouces.
À quoi ressemblerait le MacBook “low-cost” équipé d’une puce d’iPhone ?
Apple prévoit d'intégrer sa puce A18 Pro dans ce modèle, une puce que l'on a déjà vue dans les modèles iPhone 16 Pro. Cette puce est gravée sur le processus 3 nm de deuxième génération d'Apple, avec 8 Go de RAM et un support pour Apple Intelligence, promettant des performances améliorées.
Ce MacBook d'entrée de gamme sera équipé d'un écran LCD standard, sans technologie mini-LED ni taux de rafraîchissement ProMotion. Il pourrait être disponible dans des couleurs vives, à l'instar de l'iMac, avec des teintes comme l'argent, le bleu, le rose et le jaune. Il ne remplacera pas le MacBook Air, mais viendra compléter la gamme en tant qu'option plus abordable.
Premier semestre 2026 : un nouvel écran ?
Apple n’a pas lancé de nouvel écran depuis le Studio Display en 2022, mais deux nouveaux modèles seraient en développement et prévus pour 2026.
La prochaine génération du Studio Display pourrait conserver la taille d’écran de 27 pouces, mais avec une technologie mini-LED, remplaçant ainsi l’ancien LCD. Cela apporterait des améliorations notables en termes de HDR, de luminosité, de contraste et de rendu des couleurs. Le Studio Display actuel embarque une puce A13, mais la version à venir pourrait adopter la puce A19 Pro, utilisée dans l’iPhone 17 Pro.
Apple préparerait bien un successeur au Studio Display, avec une puce A19 Pro
Il semble qu'Apple développe deux écrans, mais il n’est pas encore clair s’il s’agira d’un Studio Display proposé en deux tailles différentes, ou bien d’un Studio Display et d’un successeur plus haut de gamme du Pro Display XDR. Il est aussi possible qu’Apple ait conçu deux modèles distincts, mais qu’un seul soit finalement commercial.
La question est de savoir si Apple présentera ses nouveaux écrans avec les MacBook Pro (donc plutôt en début d’année) ou avec les Mac de bureau (attendus plus tard dans l’année).
Mac mini et Mac Studio M5 aux alentours de la WWDC ?
Selon Mark Gurman, Apple préparerait une vague de mises à jour autour de la mi-2026 pour ses machines de bureau, avec un renouvellement à la fois du Mac mini et du Mac Studio.
Le Mac mini devrait passer aux puces M5 et M5 Pro, sans changement notable du design. Le boîtier introduit avec la génération précédente serait donc conservé, Apple se limitant à une évolution interne, comme souvent sur ce modèle.
Le Mac Studio évoluerait, lui aussi, sur la même période. Apple n’ayant pas décliné de puce M4 Ultra, la gamme sauterait directement cette étape pour proposer un modèle basé sur les puces M5 Max et M5 Ultra.
La gamme M5 pourrait bien avoir son Ultra, pour le Mac Pro et le Mac Studio
La version Max offrirait des gains significatifs en performances CPU et GPU face à la M5 standard, tandis que la version Ultra viendrait, comme à l’accoutumée, doubler ces capacités.
À ce stade, aucune autre nouveauté matérielle n’est évoquée concernant ces deux machines. Il s’agirait donc avant tout d’une mise à jour interne, sans évolution majeure du design ou du positionnement produit.
Un tout nouveau MacBook Pro à la fin de l’année en guise de one more thing
Alors qu’un rafraîchissement des MacBook Pro M5 Pro et M5 Max est attendu début 2026, Apple préparerait déjà une seconde mise à jour plus ambitieuse. Selon les dernières informations, un MacBook Pro entièrement repensé avec écran OLED serait dans les cartons, embarquant cette fois une puce M6 de nouvelle génération.
Son lancement exact reste flou : fin 2026 ou début 2027. Mais 2026 reste une hypothèse sérieuse. Si cela se confirme, ce serait une année à deux mises à jour du MacBook Pro, un scénario rare, déjà observé une seule fois en 2023.
OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire
Sur le plan du design, plusieurs évolutions majeures sont évoquées. Le MacBook Pro adopterait une caméra en poinçon, sans encoche, afin de maximiser la surface d’affichage. L’écran serait également tactile, une première sur un Mac, avec une charnière renforcée conçue pour rester stable lorsque l’utilisateur interagit directement avec la dalle.
Le châssis serait revu pour devenir plus fin et plus léger, tout en conservant un clavier et un trackpad traditionnels. L’écran tactile viendrait compléter l’interface existante, sans la remplacer.
Côté composants, la puce M6 pourrait être gravée en 2 nanomètres par TSMC, promettant d’importants gains en performances et en efficacité énergétique, avec à la clé une autonomie en nette hausse sans sacrifier la puissance.
Enfin, ce MacBook Pro OLED pourrait marquer une autre première dans l’histoire du Mac : l’arrivée de la connectivité 5G. Apple intégrerait pour l’occasion son futur modem maison, le C2, compatible mmWave et sub-6 GHz.
Encore une année sans Mac Pro ?
Si vous avez bien suivi : deux machines manquent à l’appel : l’iMac et le Mac Pro. Concernant le premier, il devrait a priori bien adopter le processeur M5. Le timing reste cependant très incertain. Concernant le Mac Pro, les perspectives sont clairement moins folichonnes. D’après les dernières rumeurs, Apple pourrait tout simplement en avoir fini avec sa station de travail.
Apple semble avoir tourné la page du Mac Pro
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- Île-de-France : Navigo Annuel et Imagine R sur smartphone au printemps, avant enfin l’arrivée de la carte bancaire ?
Île-de-France : Navigo Annuel et Imagine R sur smartphone au printemps, avant enfin l’arrivée de la carte bancaire ?
Île-de-France Mobilités avait rassemblé la presse hier, jeudi 20 novembre 2025, à l’occasion du lancement officiel de nouveaux terminaux de paiement dans les bus de la région. Pour les usagers particuliers, il est maintenant possible d’acheter un ticket à l’unité en utilisant une carte bancaire sans contact ou son iPhone ou Apple Watch grâce à Apple Pay. Le ticket est alors vendu plus cher (2,5 €) qu’en l’achetant en amont sur un passe Navigo ou son smartphone (2 €) et il ne peut pas servir pour une correspondance. Reste que c’est la première fois que l’on peut emprunter les transports en commun franciliens uniquement avec une carte de paiement et sans acheter de titre de transport.
Est-ce une initiative appelée à être généralisée à tous les modes de transports en commun de la capitale ? Rien n’est tranché encore, mais Île-de-France Mobilités a confirmé à nos confrères de Numerama que des réflexions étaient en cours et qu’une décision allait être prise d’ici le mois d’avril 2026. Comme dans de nombreuses autres villes françaises (Lyon, Bordeaux, Toulouse…) et surtout comme à Londres qui montre l’exemple depuis 13 ans, la régie des transports pourrait adopter le standard Open Payment. Cela permettrait alors de voyager avec une carte bancaire physique ou bien sa variante virtuelle stockée dans un smartphone, sans avoir à acheter un ticket au préalable.
Pour rappel, le principe est simple : en entrant sur le réseau de transports en commun, on s’enregistre grâce à une empreinte bancaire liée à sa carte de paiement. À chaque correspondance, on utilise la même carte et les éventuels coûts associés sont ajoutés à sa note virtuelle, jusqu’à atteindre un plafond quotidien. En fin de journée, la somme nécessaire est prélevée, soit le plafond en question, soit moins si on a peu voyagé. Du point de vue des utilisateurs, c’est vraiment très simple, mais c’est du côté de l’organisme en charge des transports que cela peut coincer.
De fait, si la région Île-de-France adoptait le système, il faudrait remplacer tous les portiques pour leur ajouter un lecteur de carte bancaire. Même en partant de l’hypothèse que l’on pourrait supprimer les portiques de sortie grâce à la bascule sur le ticket unique1, le projet coûterait tout de même plus de cent millions d’euros et ce serait un chantier immense, le plus gros pour IDFM puisqu’il impliquerait une refonte totale du système de gestion des tickets.
C’est probablement le frein principal et Valérie Pécresse semblait moins enthousiaste que ses propres équipes à ce sujet, si l’on en croit les propos rapportés par Numerama. La région voudrait s’assurer que cela apporterait un vrai gain aux usagers, en particulier ceux qui n’habitent pas sur place et qui sont souvent perdus avec le système actuel. Pour l’avoir tout juste expérimenté moi-même, je confirme que c’est une horreur incompréhensible, alors j’espère de tout cœur que l’on aura à terme la simplicité de l’Open Payment dans la capitale.
L’implémentation actuelle enfin complète au printemps 2026
En attendant, Île-de-France Mobilités en a aussi profité pour annoncer que le système actuel va enfin être complété au printemps 2026. Le Navigo sur mobile, qui présente surtout l’avantage de ne pas avoir nécessité de changement matériel sur le réseau, ne gérait toujours pas les abonnements annuels et les cartes Imagine R des étudiants. Ce devrait finalement être le cas dans quelques mois et les abonnés devraient alors pouvoir ajouter une copie virtuelle de leur carte en plastique dans leur téléphone ou sur leur montre connectée.
Ces abonnés étaient très nombreux, puisque les deux offres sont les plus avantageuses pour tous ceux qui prennent les transports en commun tous les jours. Jusque-là, ces usagers devaient continuer de valider avec la carte Navigo en plastique et la version mobile ne gérait que les titres pour les usagers occasionnels ainsi que les abonnements mensuels. On savait que les options annuelles devaient arriver en 2026, on ne savait pas quand exactement. L’attente ne devrait plus être trop longue…
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On peut désormais acheter un ticket à 2,5 € pour les métros et RER qui couvre toutes les zones. Le ticket à 2 € destiné aux bus et tramways est facturé 2 € et de la même manière, il est valable partout. Les portiques de sortie étaient indispensables pour savoir quelles zones vous empruntiez et facturer en fonction de ce critère, mais tout cela n’est plus d’actualité pour les tickets individuels. Ça reste nécessaire pour les abonnements Navigo qui se font toujours sur la base des zones, peut-être que cela changera toutefois à terme. ↩︎
Ce que prépare vraiment Apple avec la F1 (et ça va beaucoup plus loin que prévu)
Google apporte la prise en charge d'AirDrop à ses Pixel 10

Accessibilité et iPhone : Apple dévoile une poignée ergonomique, en édition limitée
Intel mise tout sur le 14A et précise son pacte avec NVIDIA
AirDrop : Apple va-t-il fermer la porte à Android ?
Google a surpris son monde hier en ouvrant une passerelle permettant de partager facilement des fichiers entre un iPhone et un Pixel 10. Concrètement, une mise à jour logicielle rend interopérables AirDrop et son équivalent sur Android, Quick Share.
Les Pixel 10 de Google partagent des données avec les iPhone via AirDrop
Le silence d’Apple…
Passé l’effet de surprise, une question s’est rapidement imposée : comment une telle passerelle a-t-elle pu être mise en place sur le plan technique ? D’autant que si Google a multiplié les prises de parole à ce sujet, Cupertino, de son côté, brille par son silence.
De quoi alimenter un scénario qui a vite circulé sur les réseaux : et si Google avait développé cette fonctionnalité sans l’accord d’Apple ? Interrogé par Android Authority, le groupe a réagi via un communiqué :
Nous avons accompli cela grâce à notre propre implémentation. Celle-ci a été minutieusement examinée et validée par nos équipes internes en charge de la confidentialité et de la sécurité, et nous avons également fait appel à une société tierce spécialisée en sécurité pour tester la solution par des tests d’intrusion.
Autrement dit, Google a développé cette solution de son côté. Apple a-t-il été consulté d’une manière ou d’une autre ? Difficile à dire. Derrière cette initiative, on retrouve en tout cas une volonté claire : rapprocher les utilisateurs des deux plateformes et s’attaquer au fameux « syndrome de la bulle verte », qui irrite une partie du public. Voici ce qu’un porte-parole de Google a déclaré peu après le lancement de cette fonctionnalité :
Notre objectif est d’offrir à nos utilisateurs une expérience de partage de fichiers simple et sécurisée, quelle que soit la personne avec laquelle ils communiquent. Comme pour le RCS et les alertes de traqueurs inconnus, nous accueillons toujours favorablement les opportunités de collaboration afin de résoudre les problèmes d’interopérabilité entre iOS et Android
Que va faire Apple ?
Comme nous l’expliquions récemment, les relations entre Apple et Google sont complexes. Les deux sociétés savent parfois travailler main dans la main, comme on l’a vu avec l’intégration du RCS dans Messages, la détection des traqueurs inconnus ou encore la simplification du transfert de cartes SIM entre smartphones. À l’inverse, sur certains terrains, elles se rendent coup pour coup.
Apple miserait sur Gemini pour relancer Siri
Manifestement, cette affaire « AirDrop » relève plutôt de la seconde catégorie. Jusqu’ici, Cupertino n’a jamais vu d’un très bon œil les initiatives visant à créer des passerelles non officielles entre iPhone et Android, surtout lorsqu’elles empiètent sur ses services maison. L’épisode Beeper en est un bon exemple.
Beeper Mini a trouvé comment amener iMessage à Android, sans failles de sécurité
En rétro-ingénierant iMessage et ses mécanismes de chiffrement, l’application était parvenue à faire apparaître des bulles bleues sur Android. Une prouesse technique, mais qu’Apple avait rapidement neutralisée en bloquant l’accès à ses serveurs.
Le cas de Google est toutefois d’une autre ampleur. D’abord par son poids : on ne parle pas d’une start-up, mais de l’un des géants du secteur. Ensuite par la méthode : l’annonce est publique, le déploiement déjà amorcé, et la fonctionnalité présentée comme officielle, avec un volet sécurité mis en avant.
Pourquoi le cas Google n’est pas celui de Beeper
Surtout, le contexte a changé. AirDrop est aujourd’hui dans le viseur de la Commission européenne, qui souhaite voir émerger de la concurrence sur iOS. L’objectif affiché de Bruxelles est clair : renforcer l’interopérabilité entre plateformes.
Dans ce cadre, une réaction brutale de la part d’Apple lui donnerait du grain à moudre. À l’inverse, tolérer — même tacitement — cette « porte dérobée » offrirait à la firme un argument politique à faire valoir. Une sorte de partie de billard à plusieurs bandes, à haut risque.
Entre les pressions réglementaires croissantes, notamment en Europe, et les débats récurrents autour de l’ouverture de son écosystème, un blocage frontal de cette interopérabilité pourrait aujourd’hui coûter plus cher à Apple qu’un simple laisser-faire. Reste à voir si Cupertino choisira de temporiser… ou de replonger dans un bras de fer.
En lançant ce projet, Google savait très probablement que le terrain était miné. Et sur ce terrain-là, le coup est plutôt bien joué.
F1 : Apple en pourparlers pour acquérir les droits de diffusion mondiaux ?
Apple et la Formule Un semble être une histoire d’amour appelée à durer, tant les deux partenaires semblent heureux de leur alliance. Entre Apple qui a fait un carton avec le film « F1 », plus gros score de la firme pour sa filiale Apple TV (sans le « + »), et les déclarations du patron de Liberty Media (qui détient les droits de la compétition), rien ne semble pouvoir ternir l’idylle. Pour le plus grand bonheur des fans ?

Toujours est-il que durant une interview donnée à CNBC, le CEO de Liberty Media Derek Chang a donné quelques bribes d’informations concernant la suite du partenariat avec Apple. Il semble dans un premier temps que celui-ci soit amené à changer la façon dont la F1 soit diffusée, afin de ne plus limiter les pics d’audience aux seules courses du dimanche après-midi :
En parallèle du film F1, nous avons finalisé un accord avec Apple sur les droits médias américains. Aujourd’hui, la façon dont nous percevons le paysage médiatique a changé, surtout en termes d’audience, parce que la technologie permet de nouvelles choses. Il ne s’agit plus uniquement de ce qui se passe durant une fenêtre de diffusion d’une heure et demie le dimanche lors d’un Grand Prix, mais d’une présence constante, d’être toujours actif, toujours visible. Je pense qu’Apple, avec ses capacités technologiques, va vraiment enrichir le produit et donc le contenu, toute l’expérience qui contribuera à renforcer la marque ainsi que la notoriété de la discipline.
Apple a déjà commencé à bouger sur ce point, en amenant la F1 dans son app Apple Sports, qui intègre désormais tous les résultats de la saison en cours, y compris en direct durant les Grands Prix. Cette intégration a donné l’occasion à Apple d’étendre la portée de son app ailleurs qu’au continent américain, la proposant désormais dans la majorité de l’Europe.
L’arrivée d’Apple comme diffuseur a eu l’effet d’une bombe, et la F1 compte bien exploiter le partenariat au maximum
Mais le patron de Liberty Media a aussi parlé du bout des lèvres d’une possibilité qui intéressera nombre de fans de ce sport en France et dans le reste de l’Europe : même si les mots ont été particulièrement bien choisis, il ouvre la porte à une extension du contrat d’exclusivité de diffusion d’Apple, actuellement pour les USA, à d’autres régions du monde, et pourquoi pas au monde entier.
Je pense qu’Apple sera très actif. Nous sommes en pourparlers avec eux sur de nombreux sujets. C’est encore très tôt, mais nous considérons qu’il s’agit d’un partenariat fort qui pourrait aboutir à d’autres collaborations ailleurs. Rien de spécifique pour le moment, mais c’est en discussion.
Cependant, si la porte est ouverte, rien n’est encore gagné, y compris et surtout en France : dans l’Hexagone, les droits de diffusion de la F1 sont une exclusivité réservée par Canal+ jusqu’à la saison 2029 incluse, et il est fort peu probable que le groupe de Vincent Bolloré laisse s’échapper ceux-ci sans demander une grosse compensation en cas de rupture.
Black Friday : Parallels casse les prix avec plus de 50 % de rabais
Parallels Desktop dégaine une fois de plus une grosse opération Black Friday sur son site officiel, et cette année l'offre est à la fois claire, généreuse et vraiment tentante pour qui veut faire tourner Windows sur Mac. La promotion, valable jusqu’au 30 novembre 2025 inclus, affiche un rabais de 50 % à 72 % sur les abonnements annuels Standard et Pro, ainsi que sur l’achat unique (uniquement pour l’édition standard). Autrement dit, c’est la meilleure occasion de l’année pour basculer sur cette solution de virtualisation sans se ruiner, d’autant plus qu’il s’agit de la promo officielle, directement accessible sans validation de coupon ou inscription complexe : c’est sur parallels.com que ça se passe, point barre.

Le principe de l’offre ne s’encombre d’aucune subtilité : que vous optiez pour la version Standard (suffisante pour la majorité des besoins, y compris l’utilisation de Windows 11 sur Apple Silicon avec des ressources graphiques raisonnables) ou la version Pro (plus musclée, pensée pour les développeurs, la gestion avancée de machines virtuelles et les accès réseau pro), le tarif fond littéralement d’au moins la moitié. Sur la grille officielle française, on tombe donc à 53,99 € pour la mise à niveau Standard en licence perpétuelle, là où il atteint habituellement les 189 € pour une nouvelle licence. Pour la version Pro, on passe de 119,99 € à 45,49 € pour renouveler un abonnement d’un an. Aucun code à saisir — on clique, on paie, on télécharge.
Pour les nouveaux arrivants, les prix sont tout aussi intéressants : la version Standard est à 49,99 € en abonnement un an (pas de remise sur l’achat unique cette fois), et la version Pro à 59,99 €, toujours pour un an, contre 99,99 € et 119,99 € respectivement en temps normal.
Rien de planqué dans les petites lignes : pas de version « boîte » ni de remise chez les revendeurs sur cette offre-là, tout passe en direct. Dernier point, les étudiants sont parfois mieux lotis avec une offre dédiée, mais la promo Black Friday reste la plus accessible du moment, sans justificatif ni aiguillage vers une boutique partenaire.
Windows 11 sur un Mac Apple Silicon : le grand test avec Parallels Desktop
Pour virtualiser Windows, Linux ou tout environnement x86/ARM sur Mac, difficile de faire plus direct et économique que cette promo Black Friday. C’est sur le site officiel, c’est ouvert à toutes et tous, et c’est jusqu’au 30 novembre — ensuite, il faudra attendre l’an prochain pour espérer une telle remise.
MLX sous macOS 26.2 va accélérer les IA de type LLM génératif sur M5 ?
Je l'ai vu passer partout, voilà les explications techniques (en anglais).
En bref, non, pas pour un usage en chatbot, car si le M5 va 25% plus vite que le M4, l'accélération énorme (jusqu'à 4 fois plus rapide) promise n'est que pour l'ingestion des Tokens du Prompt (l'entrée donc), pas pour le traitement subséquent.
Avec mon prompt maintenant célèbre "Que faire un week-end de vacances à Limoges?" il n'y aura aucune accélération visible, hors les meilleures perfs du M5 face au M4, grâce à sa meilleure bande-passante mémoire. Mais pas nécessairement un meilleur week-end !
Donc en général, non, MLX sous macOS 26.2 n'accélèrera pas grand chose...
En ce moment, profitez du Black Friday et soutenez MacBidouille
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- Après l’iPhone Pocket, Apple sort un accessoire d’accessibilité pour l’iPhone en partenariat avec une designer industrielle
Après l’iPhone Pocket, Apple sort un accessoire d’accessibilité pour l’iPhone en partenariat avec une designer industrielle
Après l’iPhone Pocket par Issey Miyake, descendant monégasque de l’iPod socks, Apple semble décidée à ne pas s’arrêter en si bon chemin dans les collaborations avec des artistes et designers reconnus, même si cette fois-ci un petit vernis d’utilité publique vient couvrir la folie créatrice.

C’est ainsi qu’Apple est venue trouver Bailey Hikawa, artiste en design industriel passée par le California College of the Arts pour créer un appendice à utiliser avec le MagSafe, permettant aux personnes ayant un usage réduit des membres supérieurs de mieux pouvoir prendre en main leur iPhone.
Aperçu de l’iPhone Pocket : ou quand Apple vous fait les poches
Pour ça, l’artiste a écouté les demandes de nombreux utilisateurs d’iPhone ayant des problèmes d’arthrite, de tendinites, ou d’autres soucis affectant leur capacité à tenir leur appareil en main. Au final, le design retenu ressemble à une forme triangulaire avec des creux permettant d’y coller les doigts, complétée par un trou central où l’utilisateur glissera le pouce ou le majeur.
Objet design oblige, les couleurs choisies sont peu discrètes et sélectionnées par la créatrice : l’objet est ainsi disponible en couleur « chartreuse », ou en une matière recyclée faite de particules de plastique. Il est disponible sur l’Apple Store américain uniquement, sans informations supplémentaires sur une possible disponibilité mondiale, au tarif de 69,95 dollars, quelle que soit la couleur choisie.

Maintenant vient la question qui fâche : que ce soit le tarif, tout comme la présentation de l’accessoire orientée vers l’utilité pour les personnes à mobilité réduite, font penser à une bonne action d’Apple, d’autant plus que l’outil est indiqué comme célébrant les 40 ans d’Apple dans le domaine de l’accessibilité. Jusqu’ici, rien à redire. Mais pourquoi diable en faire un accessoire en édition limitée ? Voilà qui gâche un peu le message véhiculé par le reste de la description.
La serrure connectée WELOCK Smart Lock U81 est bradée pour le Black Friday
Les Pixel 10 de Google partagent des données avec les iPhone via AirDrop
Si vous avez déjà essayé de partager des données entre un smartphone Android et un iPhone, vous connaissez le problème : AirDrop est réservé aux appareils pommés, Quick Share (l'équivalent Android) ne fonctionne pas avec les iPhone et le partage en Bluetooth n'a jamais été activé sur les iPhone. Mais Google a une solution : une mise à jour des Pixel 10 permet de partager des données entre Quick Share et AirDrop.
Google n'indique pas si la fonction nécessite une mise à jour d'Android ou de l'app elle-même, mais elle est visiblement réservée aux Pixel 10. Un post explique que tout a été sécurisé pour éviter les problèmes, avec les protections d'Android d'un côté et celle d'iOS de l'autre. Une des raisons vient de l'usage du langage Rust, qui permet une protection de la mémoire bien plus efficace que celle d'autres langages, comme le C ou le Java qui sont plus permissifs et amènent plus d'erreurs. Google explique que tout a été testé par des experts en sécurité, mais il y a tout de même un petit bémol pratique : par défaut, AirDrop n'acceptera pas les données envoyées depuis un smartphone Android.
En effet, la fonction repose sur un mode précis d'AirDrop, celui qui permet de recevoir des données de n'importe qui. Il a longtemps été possible de rester dans ce mode en permanence, mais il est limité à 10 minutes depuis iOS 16.2.

iOS 16.2 : Apple limite le partage AirDrop à 10 minutes dans le monde entier, pas uniquement en Chine
Du côté d'iOS, il faut donc explicitement passer dans ce mode de réception pour que la nouvelle technologie de Google fonctionne, ce qui n'est pas une contrainte trop importante. Google fait par ailleurs un appel du pied à Apple pour permettre la mise en place de cette compatibilité avec le mode « Contacts uniquement », qui est le comportement par défaut d'AirDrop.
Mise à jour à 22 h 27 — La fonction est dès à présent disponible, comme nous avons pu le vérifier avec un Pixel 10 Pro et plusieurs appareils Apple (iPhone, iPad et Mac). Comme indiqué par Google, il faut passer AirDrop en mode « Tout le monde pendant 10 minutes » pour que l'iPhone apparaisse dans le menu Quick Share du smartphone Android.


Le partage fonctionne dans les deux sens : on peut envoyer un fichier du Pixel vers l'iPhone, et vice versa. Chaque transfert doit être approuvé manuellement.
Les AirPods Pro 2 bradés à 174€ pour le Black Friday !
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- Samsung lance un clavier particulièrement original qui n'est absolument pas un Magic Keyboard avec des touches DeX et IA
Samsung lance un clavier particulièrement original qui n'est absolument pas un Magic Keyboard avec des touches DeX et IA
Samsung vient de lancer un nouveau clavier, et visiblement les personnes à l'origine de son design ont pris des vacances à Cupertino. C'est un modèle compact, sans pavé numérique, et dans un coloris que nous pourrions appeler… gris sidéral, peut-être ?

Il propose une rangée de touches de fonctions qui sont partagées avec le contrôle du volume et des touches multimédias (c'est original, non ?) et des flèches directionnelles demi-hauteur. Le clavier qui ne s'inspire évidemment pas du Magic Keyboard (la preuve, il s'appelle Smart Keyboard) vaut 110 $ et n'a pas de rétroéclairage. Car oui, Samsung a même copié un des défauts des claviers Apple.

Le clavier se connecte en Bluetooth, avec la possibilité de passer d'un appareil à un autre, mais ne propose pas de prises USB. L'alimentation du clavier est par contre assez originale : une pile CR2032 au lieu de la batterie lithium-ion du modèle Apple. Samsung a tout de même aussi deux touches un peu originales. La première est dédiée à DeX, l'interface de bureau des smartphones de la marque. La seconde, placée à droite de la touche Alt, est dédiée à l'IA. Nous espérons que Samsung a suivi les recommandations de Microsoft et que cette touche utilise les valeurs standardisées pour cette dernière. Enfin, la touche Fn est à droite de la touche Ctrl, contrairement à Apple. Une preuve évidente que ce clavier n'est évidemment pas une copie d'un Magic Keyboard.
Les claviers des PC Windows vont bientôt gagner une touche Copilot
Une liseuse pour cet hiver ? La gamme Kindle à partir de 92€ pour le Black Friday !
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Le guide 2025 des accessoires Localiser : les meilleurs traqueurs pour tout retrouver
En l’espace de quelques années, les AirTags se sont imposés dans le quotidien de nombreux utilisateurs. Lorsqu’on y a goûté, il devient difficile de s’en passer tant le réseau Localiser brille par sa précision.
Le principal défaut des AirTags, finalement, reste leur prix : 29,99 € l’unité et 110 € le pack de quatre. Et encore, il s’agit là de tarifs en promotion : Apple vend le traqueur 39 € (et on a déjà vu de meilleures offres par le passé). Mais si vous souhaitez acheter des AirTags en particulier, mieux vaut patienter : la deuxième génération est attendue d’un moment à l’autre.
Qu'attendre des AirTag 2, promis avant la fin de l'année ?
Si vous voulez des traqueurs en format jeton, c'est-à-dire qui s'accrochent à des clés ou se glissent dans un sac, il y a un large choix de modèles compatibles. Les traqueurs tiers perdent la localisation précise à courte distance, qui reste l'apanage des AirTags (et qui nécessite un iPhone récent, sauf le 16e), mais tous les modèles intègrent a minima un trou pour accrocher le traqueur à des clés (par exemple), alors qu'Apple impose une housse pour cet usage basique.
Si les modèles noname se trouvaient uniquement sur Aliexpress et autres (comme l'iTag) il y a quelques années, vous trouverez facilement des modèles à bas prix sur Amazon — comme ici, à 17 € les quatre — ou tout simplement dans les chaînes de magasins spécialisés. Action, Kruidvat et d'autres proposent des traqueurs dans le même ordre de prix (vers 5 € pièce), mais ils ont généralement quelques défauts... et ne sont pas disponibles en ligne. Ils font le boulot pour retrouver un objet perdu grâce au réseau d'Apple, mais la finition est moyenne, l'autonomie plus faible que chez Apple (plutôt de l'ordre de six mois lors de nos tests empiriques) et ils manquent parfois de stabilité (vous devrez parfois enlever et remettre la pile). Nous n'allons pas vous les déconseiller pour autant : si vous êtes conscients des limites, ils font le travail demandé pour un prix très faible.

Entre les AirTags et les modèles à très bas prix, il y a quelques marques qui tentent de trouver une place. Nous pouvons citer eufy — nous avons testé un de leurs modèles — ou Ugreen (nous les avons aussi testés). Les traqueurs eufy ou Ugreen valent entre 10 et 15 € lors des promotions (9 € chez Ugreen pour le Black Friday) et dans les deux cas, vous pourrez en obtenir quatre pour à peu près le prix d'un seul AirTag (35 € chez eufy, 30 € chez Ugreen). Ils offrent une meilleure finition, une petite protection contre les projections d'eau et — selon nos essais — une bien meilleure autonomie. Un de nos traqueurs eufy a par exemple fonctionné presque 18 mois sur une pile CR2032, avec une vérification régulière de son fonctionnement. Eufy a aussi ajouté quelques fioritures avec une app iOS dédiée, alors qu'Ugreen, pour les amateurs, a aussi une gamme pour les smartphones Android ou les smartphones Samsung et une variante qui se recharge en USB-C. Il faut aussi évoquer Chipolo, une marque qui propose plus de fonctions sur ses traqueurs (comme une compatibilité Android) mais qui sont à un prix trop proche des AirTags (35 €, 28 € pendant le Black Friday) pour devenir réellement intéressants.

Test du Chipolo Pop, le traqueur Bluetooth multi-réseau (Apple ou Google) qui innove
Les traqueurs pour portefeuille
Ces petites balises ne sont cependant pas adaptées à tous les usages. Il est par exemple assez difficile de les glisser dans un portefeuille. Les différents fabricants ont donc pensé à ce cas de figure, avec trois générations de produits. La première génération (comme la carte d'eufy) est à éviter : ce sont des cartes jetables, qui offrent une bonne autonomie (deux à trois ans) avec un compromis gênant : la batterie n'est pas amovible ni rechargeable. Une fois qu'elle est vide, il faut donc en racheter un. La seconde génération intègre la possibilité de charger la batterie, avec un câble USB et une interface généralement propriétaire. Un choix intéressant, mais il faudra évidemment éviter de perdre le chargeur. Enfin, quelques modèles proposent aussi une charge en Qi. C'est une solution pratique, le même chargeur qu'un smartphone suffit, mais qui a le défaut de réduire un peu l'autonomie.
Test de trois traqueurs Localiser en format carte de crédit : Eufy, Pebblebee et Rolling Square
Le produit le plus simple — et le moins cher — est encore à mettre au crédit d'Ugreen. Vendu moins de 20 €, le FineTrack Slim Smart Finder Tag peut se glisser dans un portefeuille sans le déformer et le prix est correct. La carte se recharge avec un câble USB propriétaire, mais la marque offre un bon suivi, et le produit est bien fini. Eufy propose une carte équivalente pour environ 25 €, avec les mêmes contraintes sur la charge, mais avec le choix d'une prise USB-C femelle, qui simplifie les choses.
Nomad propose également une gamme intéressante avec la Tracking Card Air (35 €, 26 € en promotion) et la nouvelle Tracking Card Pro (45 €). Cette dernière, tout juste annoncée, est particulièrement bien pensée. L’accessoiriste a conçu son traqueur de manière à ce qu’il ressemble presque trait pour trait à une carte de crédit. Futé ! Et surtout, les deux cartes se rechargent en Qi (et donc en MagSafe), ce qui simplifie les choses : vous ne risquez pas de perdre l'adaptateur USB propriétaire que vous n'utilisez qu'une fois tous les six mois.
Nomad Tracking Card Pro : un AirTag en forme de carte bancaire
Des traqueurs pour son vélo
Les vols de vélo sont malheureusement un véritable fléau. Même avec un bon antivol, on n’est jamais totalement à l’abri d’une mauvaise surprise. Les traqueurs Bluetooth qui utilisent le réseau d'Apple offrent donc un bon compromis entre efficacité et prix. Les modèles GPS de certaines grandes marques sont un peu plus efficaces et peuvent vous communiquer directement la position du vélo, mais ils sont aussi beaucoup plus onéreux et moins discrets.
C’est là que l’idée d’AirBell devient intéressante. La marque propose une sonnette de vélo dotée d’un compartiment suffisamment discret pour accueillir un AirTag. L’accessoire est vendu un peu moins de 20 € (12 € pendant le Black Friday), ce qui en fait une solution simple et efficace pour ajouter une couche de sécurité supplémentaire à votre deux-roues, avec une solution assez discrète.
Le fabricant commercialise également une version Pro, plus aboutie encore. Cette fois, nul besoin d’insérer votre propre AirTag : le traqueur est directement intégré dans la sonnette. Le tout pour 45 € (31 € en promotion). L’AirBell Pro peut fonctionner jusqu’à un an sans intervention. Et lorsque la batterie arrive en fin de vie, le remplacement est on ne peut plus simple : l’appareil utilise une pile bouton CR2032, un format standard que l’on trouve partout et qui se change en quelques secondes. Le fabricant Obrit dispose d'un modèle du même genre, qui se visse directement sur le cadre et offre une autonomie de trois ans selon le constructeur, avec deux piles CR2032, le tout pour 45 €.
Le chargeur de voyage qu’on n’oublie plus
Il vous est sans doute déjà arrivé d’oublier un chargeur dans un hôtel ou un Airbnb. Twelve South pense avoir trouvé la parade avec le PlugBug, le tout premier chargeur USB-C compatible avec le réseau Localiser d’Apple. Livré avec plusieurs adaptateurs internationaux, ce bloc est pensé pour les déplacements et pour éviter ce genre de mésaventure. Proposé en deux versions (50 W ou 120 W), il vise clairement les voyageurs qui veulent un chargeur unique capable d’alimenter tous leurs appareils…
Le chargeur 50 W doté de deux ports USB-C est proposé actuellement à 60 €.
Test du PlugBug 120 W : un chargeur de voyage qu’on n’oublie pas grâce à Localiser
Le cadenas que vous pouvez localiser
Les voyages peuvent aussi rimer avec stress : bagage perdu, valise oubliée à l’aéroport… Pour limiter ces désagréments, SBS propose le Track My Lock, un cadenas TSA doté d’un localisateur compatible avec le réseau Localiser d’Apple. Il offre un verrouillage à combinaison à trois chiffres, une alarme sonore d’environ 60 dB et se recharge en USB-C, le tout dans un format compact (45 × 43 × 14 mm) et léger. L’idée est simple mais pertinente : associer protection physique et géolocalisation intelligente pour permettre aux utilisateurs de suivre leurs bagages sur leur iPhone ou d’être alertés en cas d’oubli. Prix : 30 € (20 € en promotion). Pour les bagages, Satechi a aussi des modèles prévus pour se fixer sur une valise, avec de quoi écrire votre nom et une batterie rechargeable en Qi. Ils sont vendus 45 €, mais la marque est une habituée des promotions et il est à 30 € pour le Black Friday.
Alors que le réseau Find My fête son cinquième anniversaire, les accessoiristes font preuve d’une imagination toujours plus débordante. On trouve ainsi un porte-clés compatible Find My — que nous avons testé —, un étui à lunettes pour ne pas les perdre (chez Satechi, comptez 50 € et 35 € en promotion), un traqueur à placer sur les lunettes (là aussi, nous l'avons testé) vendu 45 €, un porte-cartes MagSafe (35 €) ou encore un portefeuille qui intègre nativement la technologie de localisation d’Apple. Les bonnes idées ne manquent pas. Par contre, pensez toujours à avoir un bon stock de piles CR2032 en promo à 9,11 €…
Pour terminer, rappelons que certains produits Apple participent aussi au réseau et fonctionnent de facto comme un traqueur. Le porte-cartes MagSafe de la marque peut se localiser s'il est détaché de son iPhone, et le boîtier des AirPods Pro 3 est un traqueur comme un autre.
Avec Nano Banana Pro, Google améliore grandement la génération d’images de Gemini
Après le chatbot, c’est au tour du moteur de génération d’images de Gemini de s’améliorer. Google vient de dévoiler Nano Banana Pro, un nouveau modèle basé sur le tout frais Gemini 3 Pro vendu comme plus malin, plus fiable et produisant de meilleurs résultats. La qualité des textes sur les images a été améliorée, ce qui sera pratique pour représenter des données sous forme d'infographies ou transformer des notes manuscrites en diagrammes.
La page de présentation du modèle regorge d’exemples, et le modèle continue de vouloir concurrencer des outils comme Photoshop. Il peut facilement traduire des textes sur des objets, appliquer des textures sur un meuble ou encore ajouter du texte sur des t-shirts. Il peut sinon modifier le ratio d’une image, passant par exemple un cliché 4:3 en 16:9 en inventant les parties manquantes.

La meilleure gestion du texte sera pratique pour réaliser des storyboards, des logos ou encore des recettes de cuisine imagées. Google affirme que Nano Banana Pro peut visualiser et indiquer des informations en temps réel, telles que la météo ou les résultats sportifs.

D’autres types de retouches intéressantes sont présentées : on peut ajuster les angles de caméra, par exemple en ajoutant un effet bokeh. Il est sinon possible de revoir la mise au point pour la concentrer sur un autre élément. Le modèle peut corriger les couleurs et changer l’éclairage.

De manière plus créative, les personnages devraient désormais moins changer d’apparence d’une génération à l’autre, le modèle étant plus fidèle au matériau d’origine. Cela sera utile pour certaines retouches, comme pour ajouter un personnage A sur une image B. Google indique qu’il peut combiner plusieurs éléments dans une seule image, en utilisant jusqu'à 14 clichés et cinq personnes différentes.

La nouveauté peut être essayée gratuitement depuis l’app Gemini, en choisissant « Créer une image » et le modèle « Thinking ». Les utilisateurs gratuits ont un nombre de générations quotidiennes limité, ceux payant pour les services d’IA de Google ayant droit à un quota plus large. Notons que Google a ajouté la possibilité à Gemini de reconnaître certaines images retouchées par IA sur simple demande, le système se basant sur le filigrane SynthID maison.
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Choisir son écran professionnel : ce qui compte vraiment
Travailler devant un écran toute la journée, c'est une chose. Mais lorsque la précision chromatique conditionne la viabilité d'un projet, le choix de son moniteur devient un investissement stratégique plutôt qu'un simple achat périphérique.
Entre les discours commerciaux et la profusion de spécifications techniques, comment distinguer ce qui relève du gadget et ce qui transforme réellement la qualité du travail quotidien ?
La question centrale tient en quelques mots : l'écran restitue-t-il fidèlement ce qu'on lui demande d'afficher ? Cette interrogation apparemment simple recouvre pourtant plusieurs dimensions techniques qu'il convient d'examiner avec méthode.
Les fondamentaux de la reproduction chromatique
La couverture des espaces colorimétriques constitue le premier critère discriminant. Le sRGB représente l'espace standard du web. Pour l'impression, l'Adobe RGB s'impose avec sa gamme élargie dans les cyans et les verts. Les vidéastes scruteront le Rec.709 pour la diffusion télévisuelle ou le DCI-P3 pour le cinéma.
Le Delta E mesure l'écart entre la couleur demandée et celle affichée. Un Delta E inférieur à 3 garantit que l'œil humain ne perçoit pas de différence. En deçà de 2, on entre dans le domaine professionnel. En deçà de 1,5, on atteint une fidélité que seuls les travaux les plus exigeants requièrent. L'uniformité de la dalle garantit qu'une couleur reste identique du centre aux angles, sans déviation perceptible.
L'étalonnage : usine contre terrain
Les moniteurs professionnels sortent d'usine avec un rapport d'étalonnage individuel. Chaque dalle reçoit un calibrage avant expédition, avec ses mesures consignées dans un certificat nominatif. Une dalle 10 bits affiche plus d'un milliard de couleurs contre 16,7 millions en 8 bits, produisant des dégradés plus lisses. Les tables LUT 3D en 16 bits permettent un contrôle encore plus fin du mélange RGB. L'étalonnage matériel, proposé sur certains modèles haut de gamme, ajuste directement la table de correspondance (LUT) interne du moniteur sans modifier les données de sortie de la carte graphique, préservant ainsi toute la profondeur de couleur disponible. Cette approche, plus précise que l'étalonnage logiciel, s'avère déterminante pour les photographes d'art et les vidéastes exigeants.
La résolution : au-delà des pixels
Un écran 27 pouces en 2560 × 1440 pixels (QHD) offre 109 pixels par pouce, confortable sans mise à l'échelle agressive. La 4K à 3840 × 2160 pixels monte à 163 ppp, proche du Retina mais nécessitant parfois des ajustements de taille de police. La 5K, avec ses 5120 × 2880 pixels sur 27 pouces, atteint 218 ppp — une densité comparable aux écrans Retina d'Apple, idéale pour visualiser des détails infimes. Le format 16/9 convient à la plupart des usages professionnels.
Connectique et fonctionnalités de productivité
L'USB-C moderne transmet données, vidéo et alimentation sur un câble unique. Le Thunderbolt 4 autorise le chaînage de plusieurs écrans et offre des débits de 40 Gb/s, essentiels pour la manipulation d'actifs haute résolution. Le commutateur KVM intégré permet de contrôler deux machines avec un seul clavier et une seule souris. Les modes d'affichage spécialisés évitent les manipulations chronophages : Chambre Noire pour l'obscurité, CAO/FAO pour le contraste des lignes techniques, Animation pour éclaircir les zones sombres sans surexposer.
Certifications et ergonomie
Les certifications Pantone Validated et Calman Verified attestent que des organismes indépendants ont vérifié les performances colorimétriques. Ces labels garantissent la reproduction fidèle de la bibliothèque Pantone et la précision pour la post-production vidéo. L'ergonomie physique conditionne le confort : réglages en hauteur, inclinaison, pivot et mode portrait. Les technologies de protection oculaire deviennent déterminantes lors de sessions prolongées. Le rétroéclairage Flicker-Free élimine le scintillement, la réduction de lumière bleue atténue la fatigue, le traitement antireflet évite les éblouissements.
Panorama des gammes professionnelles chez BenQ
Dans l'écosystème des moniteurs destinés aux métiers de l'image, deux grandes familles se distinguent par leur orientation métier.
La série PD (DesignVue) : pour les créatifs polyvalents
Cette gamme s'adresse aux designers graphiques, architectes et créateurs de contenu nécessitant une excellente fidélité chromatique sans atteindre les exigences maximales de la photographie d'art ou du cinéma. Le PD2705Q, en format 27 pouces QHD, couvre 100 % du sRGB et du Rec.709 avec un Delta E inférieur ou égal à 3.
Son étalonnage d'usine, ses certifications Calman Verified et Pantone Validated, ainsi que son USB-C en font un outil polyvalent pour la création quotidienne. La compatibilité HDR10 permet de prévisualiser du contenu vidéo dans ce format pendant l'édition. Le PD2705Q représente ainsi un compromis efficace entre précision et accessibilité.
Le PD2705U décline cette philosophie en montant à la 4K. En 27 pouces avec une résolution de 3840 × 2160 pixels, il couvre 99 % du sRGB et du Rec.709 avec profondeur 10 bits et Delta E inférieur ou égal à 3. La luminosité atteint 250 cd/m² en usage standard, poussée à 350 cd/m² en mode HDR10.
L'USB-C délivre 65 watts d'alimentation tout en transmettant signal vidéo et données. Le mode M-Book synchronise automatiquement le profil colorimétrique avec celui d'un MacBook Pro, assurant une cohérence chromatique entre les deux affichages. Le commutateur KVM intégré facilite le travail sur deux systèmes. Pour qui recherche une dalle 4K précise et abordable, le PD2705U constitue un choix rigoureux.
Le PD2730S se distingue par sa résolution 5K (5120 × 2880 pixels) sur dalle 27 pouces, atteignant une densité de 218 pixels par pouce — l'équivalent du Retina. Cette densité exceptionnelle s'avère particulièrement pertinente pour les designers 3D, animateurs VFX et développeurs de jeux vidéo qui manipulent des détails au niveau du pixel.
Sa couverture atteint 98 % du P3, 100 % du sRGB et 100 % du Rec.709, avec un Delta E inférieur ou égal à 2 — une précision supérieure aux autres modèles PD. Le contraste de 2000:1 et la luminosité de 400 cd/m² surpassent également le PD2705U. Le Thunderbolt 4 fournit 90 watts de puissance et autorise le chaînage de moniteurs supplémentaires. Le panneau Nano Matte, certifié TÜV, diffuse la lumière ambiante sans altérer la saturation, offrant un confort visuel remarquable lors de sessions prolongées. Pour les professionnels exigeant une définition maximale alliée à une ergonomie irréprochable, le PD2730S s'impose comme la référence 5K de la gamme DesignVue.
Le PD3226G, en 32 pouces 4K, cible les créatifs recherchant un grand espace de travail doublé d'une fluidité inhabituelle : son taux de rafraîchissement de 144 Hz, rarissime sur un moniteur professionnel, séduit les game designers, les animateurs 3D et les monteurs vidéo habitués aux mouvements rapides. Sa couverture atteint 95 % du P3, 100 % du sRGB et 100 % du Rec.709, avec un Delta E inférieur ou égal à 2. La luminosité de 400 cd/m² et la compatibilité HDR10 permettent de prévisualiser fidèlement du contenu HDR.
Le Thunderbolt 4 délivre 90 watts et supporte le chaînage de deux écrans 4K à 144 Hz — une prouesse technique. Le commutateur KVM intégré et le Hotkey Puck G3 (télécommande Bluetooth pour basculer rapidement entre modes colorimétriques) optimisent les workflows hybrides Mac/Windows. Le panneau Nano Matte antireflet complète l'ensemble. Pour qui recherche un grand format alliant précision chromatique et réactivité, le PD3226G offre une combinaison unique sur ce segment.
La série SW (PhotoVue) : précision absolue pour photographes et vidéastes
Cette gamme repousse les exigences en termes de fidélité chromatique. Le SW272Q, en 27 pouces QHD, couvre 99 % de l'Adobe RGB, 100 % du sRGB et 98 % du DCI-P3. Son Delta E descend à 1,5 ou moins, entrant dans la catégorie de précision où les experts eux-mêmes peinent à distinguer les écarts.
La table LUT 3D 16 bits affine le mélange RGB au-delà des capacités standard. Le traitement antireflet certifié TÜV Rheinland utilise une résine propriétaire qui atténue éblouissements et réfléchissements sans altérer la saturation. Pour les professionnels recherchant une définition 2K alliée à une précision chromatique absolue, le SW272Q constitue un choix rigoureux.
Le SW272U décline cette philosophie en montant à 400 cd/m² de luminosité maximale contre 300 pour le SW272Q, avec une couverture P3 de 99 % au lieu de 98 %. Ces différences, bien que marginales sur le papier, peuvent s'avérer déterminantes pour certains workflows vidéo HDR.
Le SW321C, en 32 pouces 4K, constitue la référence pour les photographes et vidéastes exigeants. Avec 99 % d'Adobe RGB, 100 % de sRGB/Rec.709 et 95 % de DCI-P3/Display P3, sa couverture embrasse tous les espaces de travail professionnels. Le Delta E inférieur ou égal à 2 garantit une reproduction chromatique d'une fidélité exemplaire.
La technologie d'uniformité de dernière génération ajuste plusieurs centaines de zones pour maintenir cohérence et luminance constantes sur toute la dalle. La table LUT 3D 16 bits permet un contrôle chromatique d'une finesse inégalée. Compatible HDR10 et HLG, il prend en charge les cadences vidéo natives 24P/25P/30P sans ralentissement.
L'USB-C délivre 60 watts d'alimentation tout en transmettant signal vidéo et données. Le panneau Nano Matte Pro, certifié TÜV Rheinland Reflection-Free, simule la texture du papier à l'écran — une sensation tactile inattendue qui facilite l'anticipation du rendu imprimé. Le logiciel Paper Color Sync simule le rendu d'impression en fonction du papier et de l'imprimante choisis, permettant d'anticiper le résultat final avant le tirage.
L'étalonnage matériel via Palette Master Ultimate, exclusif à la gamme SW, ajuste directement la LUT interne du moniteur avec une sonde colorimétrique externe, sans toucher aux données de sortie de la carte graphique. Cette approche préserve toute la profondeur de couleur et garantit une précision supérieure à l'étalonnage logiciel. Pour qui recherche la référence absolue en matière de fidélité chromatique avec support vidéo HDR, le SW321C s'impose comme un standard de l'industrie photographique.
Synchronisation et workflows hybrides
Les environnements de travail contemporains mêlent souvent macOS et Windows, ordinateur portable et station fixe. Le mode M-Book synchronise automatiquement le profil colorimétrique de l'écran avec celui d'un MacBook Pro, assurant une cohérence chromatique entre les deux affichages. La technologie ICCsync adapte et synchronise instantanément les profils ICC lors d'un changement de mode colorimétrique, que ce soit via le logiciel Display Pilot ou depuis les commandes du moniteur lui-même.
Le logiciel Palette Master Ultimate, fourni avec les écrans de la gamme PhotoVue et compatible avec la gamme DesignVue, permet un étalonnage précis avec une sonde colorimétrique externe. Pour les modèles SW, l'étalonnage est matériel : il modifie directement les valeurs dans la LUT de l'écran sans toucher aux données de sortie de la carte graphique, préservant ainsi toute la profondeur de couleur disponible. Pour les modèles PD, Palette Master Ultimate propose un étalonnage logiciel guidé, sans nécessiter d'expertise préalable, suivant des menus visuels clairs conformes aux standards internationaux.
Considérations pratiques
Un lecteur de carte SD intégré, bien que pratique pour les photographes, souffre parfois d'un emplacement peu accessible. Certains modèles le nichent dans un renfoncement latéral qui complique l'insertion et le retrait. Ce détail ergonomique, négligeable en apparence, devient irritant au quotidien. Les visières antireflet amovibles, fournies avec certains moniteurs haut de gamme, limitent les réflexions parasites dans les environnements lumineux. Leur présence ou absence peut influencer le choix selon les conditions de travail habituelles. Le support VESA 100×100 mm autorise le montage sur bras articulé, libérant de l'espace sur le bureau et offrant une flexibilité de positionnement supérieure au pied d'origine.
Au-delà des spécifications
Choisir un écran professionnel transcende la simple lecture d'une fiche technique. L'expérience quotidienne dépend de la cohérence entre les spécifications annoncées et leur mise en œuvre effective. Un rapport d'étalonnage d'usine nominatif, des certifications tierces vérifiables et une couverture documentée des espaces colorimétriques distinguent les outils professionnels des produits grand public maquillés en matériel sérieux.
La décision finale reposera sur l'adéquation entre les exigences du métier et les capacités du moniteur : un designer travaillant principalement pour le web trouvera dans un PD2705Q une base solide et polyvalente. Un designer 3D ou un animateur VFX privilégiera le PD2730S pour sa définition 5K exceptionnelle. Un professionnel du motion design appréciera la fluidité 144 Hz du PD3226G. Un photographe d'art réalisant des tirages grands formats exigera la précision d'un SW321C.
Et entre ces pôles, les modèles PD et SW de BenQ couvrent un spectre large de besoins professionnels, chaque professionnel devant évaluer ses exigences réelles plutôt que de succomber à la surenchère technique.