Apple et la Formule Un semble être une histoire d’amour appelée à durer, tant les deux partenaires semblent heureux de leur alliance. Entre Apple qui a fait un carton avec le film « F1 », plus gros score de la firme pour sa filiale Apple TV (sans le « + »), et les déclarations du patron de Liberty Media (qui détient les droits de la compétition), rien ne semble pouvoir ternir l’idylle. Pour le plus grand bonheur des fans ?
Romain Grosjean, sur Lotus F1 E21, au GP de Suzuka 2013. Image Greg Onizuka.
Toujours est-il que durant une interview donnée à CNBC, le CEO de Liberty Media Derek Chang a donné quelques bribes d’informations concernant la suite du partenariat avec Apple. Il semble dans un premier temps que celui-ci soit amené à changer la façon dont la F1 soit diffusée, afin de ne plus limiter les pics d’audience aux seules courses du dimanche après-midi :
En parallèle du film F1, nous avons finalisé un accord avec Apple sur les droits médias américains. Aujourd’hui, la façon dont nous percevons le paysage médiatique a changé, surtout en termes d’audience, parce que la technologie permet de nouvelles choses. Il ne s’agit plus uniquement de ce qui se passe durant une fenêtre de diffusion d’une heure et demie le dimanche lors d’un Grand Prix, mais d’une présence constante, d’être toujours actif, toujours visible. Je pense qu’Apple, avec ses capacités technologiques, va vraiment enrichir le produit et donc le contenu, toute l’expérience qui contribuera à renforcer la marque ainsi que la notoriété de la discipline.
Apple a déjà commencé à bouger sur ce point, en amenant la F1 dans son app Apple Sports, qui intègre désormais tous les résultats de la saison en cours, y compris en direct durant les Grands Prix. Cette intégration a donné l’occasion à Apple d’étendre la portée de son app ailleurs qu’au continent américain, la proposant désormais dans la majorité de l’Europe.
Mais le patron de Liberty Media a aussi parlé du bout des lèvres d’une possibilité qui intéressera nombre de fans de ce sport en France et dans le reste de l’Europe : même si les mots ont été particulièrement bien choisis, il ouvre la porte à une extension du contrat d’exclusivité de diffusion d’Apple, actuellement pour les USA, à d’autres régions du monde, et pourquoi pas au monde entier.
Je pense qu’Apple sera très actif. Nous sommes en pourparlers avec eux sur de nombreux sujets. C’est encore très tôt, mais nous considérons qu’il s’agit d’un partenariat fort qui pourrait aboutir à d’autres collaborations ailleurs. Rien de spécifique pour le moment, mais c’est en discussion.
Cependant, si la porte est ouverte, rien n’est encore gagné, y compris et surtout en France : dans l’Hexagone, les droits de diffusion de la F1 sont une exclusivité réservée par Canal+ jusqu’à la saison 2029 incluse, et il est fort peu probable que le groupe de Vincent Bolloré laisse s’échapper ceux-ci sans demander une grosse compensation en cas de rupture.
Parallels Desktop dégaine une fois de plus une grosse opération Black Friday sur son site officiel, et cette année l'offre est à la fois claire, généreuse et vraiment tentante pour qui veut faire tourner Windows sur Mac. La promotion, valable jusqu’au 30 novembre 2025 inclus, affiche un rabais de 50 % à 72 % sur les abonnements annuels Standard et Pro, ainsi que sur l’achat unique (uniquement pour l’édition standard). Autrement dit, c’est la meilleure occasion de l’année pour basculer sur cette solution de virtualisation sans se ruiner, d’autant plus qu’il s’agit de la promo officielle, directement accessible sans validation de coupon ou inscription complexe : c’est sur parallels.com que ça se passe, point barre.
Les offres Black Friday de Parallels sont généralement généreuses, 2025 ne fait pas exception. Capture MacGeneration.
Le principe de l’offre ne s’encombre d’aucune subtilité : que vous optiez pour la version Standard (suffisante pour la majorité des besoins, y compris l’utilisation de Windows 11 sur Apple Silicon avec des ressources graphiques raisonnables) ou la version Pro (plus musclée, pensée pour les développeurs, la gestion avancée de machines virtuelles et les accès réseau pro), le tarif fond littéralement d’au moins la moitié. Sur la grille officielle française, on tombe donc à 53,99 € pour la mise à niveau Standard en licence perpétuelle, là où il atteint habituellement les 189 € pour une nouvelle licence. Pour la version Pro, on passe de 119,99 € à 45,49 € pour renouveler un abonnement d’un an. Aucun code à saisir — on clique, on paie, on télécharge.
Pour les nouveaux arrivants, les prix sont tout aussi intéressants : la version Standard est à 49,99 € en abonnement un an (pas de remise sur l’achat unique cette fois), et la version Pro à 59,99 €, toujours pour un an, contre 99,99 € et 119,99 € respectivement en temps normal.
Rien de planqué dans les petites lignes : pas de version « boîte » ni de remise chez les revendeurs sur cette offre-là, tout passe en direct. Dernier point, les étudiants sont parfois mieux lotis avec une offre dédiée, mais la promo Black Friday reste la plus accessible du moment, sans justificatif ni aiguillage vers une boutique partenaire.
Pour virtualiser Windows, Linux ou tout environnement x86/ARM sur Mac, difficile de faire plus direct et économique que cette promo Black Friday. C’est sur le site officiel, c’est ouvert à toutes et tous, et c’est jusqu’au 30 novembre — ensuite, il faudra attendre l’an prochain pour espérer une telle remise.
En bref, non, pas pour un usage en chatbot, car si le M5 va 25% plus vite que le M4, l'accélération énorme (jusqu'à 4 fois plus rapide) promise n'est que pour l'ingestion des Tokens du Prompt (l'entrée donc), pas pour le traitement subséquent.
Avec mon prompt maintenant célèbre "Que faire un week-end de vacances à Limoges?" il n'y aura aucune accélération visible, hors les meilleures perfs du M5 face au M4, grâce à sa meilleure bande-passante mémoire. Mais pas nécessairement un meilleur week-end !
Donc en général, non, MLX sous macOS 26.2 n'accélèrera pas grand chose...
Après l’iPhone Pocket par Issey Miyake, descendant monégasque de l’iPod socks, Apple semble décidée à ne pas s’arrêter en si bon chemin dans les collaborations avec des artistes et designers reconnus, même si cette fois-ci un petit verni d’utilité publique vient couvrir la folie créatrice.
Même s’il est étrange, l’outil peut être utile. Mais pourquoi diable en édition limitée ? Capture MacGeneration.
C’est ainsi qu’Apple est venue trouver Bailey Hikawa, artiste en design industriel passée par le California College of the Arts pour créer un appendice à utiliser avec le MagSafe, permettant aux personnes ayant un usage réduit des membres supérieurs de mieux pouvoir prendre en main leur iPhone.
Pour ça, l’artiste a écouté les demandes de nombreux utilisateurs d’iPhone ayant des problèmes d’arthrite, de tendinites, ou d’autres soucis affectant leur capacité à tenir leur appareil en main. Au final, le design retenu ressemble à une forme triangulaire avec des creux permettant d’y coller les doigts, complétée par un trou central où l’utilisateur glissera le pouce ou le majeur.
Objet design oblige, les couleurs choisies sont peu discrètes et sélectionnées par la créatrice : l’objet est ainsi disponible en couleur « chartreuse », ou en une matière recyclée faite de particules de plastique. Il est disponible sur l’Apple Store américain uniquement, sans informations supplémentaires sur une possible disponibilité mondiale, au tarif de 69,95 dollars, quelle que soit la couleur choisie.
L’artiste est connue pour faire des coques pour iPhone des plus étranges... Instagram, @baileyhikawa.
Maintenant vient la question qui fâche : que ce soit le tarif, tout comme la présentation de l’accessoire orientée vers l’utilité pour les personnes à mobilité réduite, font penser à une bonne action d’Apple, d’autant plus que l’outil est indiqué comme célébrant les 40 ans d’Apple dans le domaine de l’accessibilité. Jusqu’ici, rien à redire. Mais pourquoi diable en faire un accessoire en édition limitée ? Voilà qui gâche un peu le message véhiculé par le reste de la description.
Le Black Friday est comme chaque année, l'occasion de renouveler son équipement à moindre coût. WELOCK profite pour casser les prix sur sa serrure connectée Smart Lock U81, proposée à 179 € au lieu de 249 €.
Si vous avez déjà essayé de partager des données entre un smartphone Android et un iPhone, vous connaissez le problème : AirDrop est réservé aux appareils pommés, Quick Share (l'équivalent Android) ne fonctionne pas avec les iPhone et le partage en Bluetooth n'a jamais été activé sur les iPhone. Mais Google a une solution : une mise à jour des Pixel 10 permet de partager des données entre Quick Share et AirDrop.
La vidéo de présentation de Google.
Google n'indique pas si la fonction nécessite une mise à jour d'Android ou de l'app elle-même, mais elle est visiblement réservée aux Pixel 10. Un post explique que tout a été sécurisé pour éviter les problèmes, avec les protections d'Android d'un côté et celle d'iOS de l'autre. Une des raisons vient de l'usage du langage Rust, qui permet une protection de la mémoire bien plus efficace que celle d'autres langages, comme le C ou le Java qui sont plus permissifs et amènent plus d'erreurs. Google explique que tout a été testé par des experts en sécurité, mais il y a tout de même un petit bémol pratique : par défaut, AirDrop n'acceptera pas les données envoyées depuis un smartphone Android.
En effet, la fonction repose sur un mode précis d'AirDrop, celui qui permet de recevoir des données de n'importe qui. Il a longtemps été possible de rester dans ce mode en permanence, mais il est limité à 10 minutes depuis iOS 16.2.
Il faudra passer sur « Tout le monde pendant 10 minutes » pour recevoir des données, dans Réglages > Général > AirDrop.
Du côté d'iOS, il faut donc explicitement passer dans ce mode de réception pour que la nouvelle technologie de Google fonctionne, ce qui n'est pas une contrainte trop importante. Google fait par ailleurs un appel du pied à Apple pour permettre la mise en place de cette compatibilité avec le mode « Contacts uniquement », qui est le comportement par défaut d'AirDrop.
Mise à jour à 22 h 27 — La fonction est dès à présent disponible, comme nous avons pu le vérifier avec un Pixel 10 Pro et plusieurs appareils Apple (iPhone, iPad et Mac). Comme indiqué par Google, il faut passer AirDrop en mode « Tout le monde pendant 10 minutes » pour que l'iPhone apparaisse dans le menu Quick Share du smartphone Android.
Image iGeneration
Le partage fonctionne dans les deux sens : on peut envoyer un fichier du Pixel vers l'iPhone, et vice versa. Chaque transfert doit être approuvé manuellement.
Si les nouveautés des AirPods Pro 3 ne vous ont pas convaincu et que vous souhaitez vous offrir l'excellente version précédente au meilleur prix, c'est certainement le moment de craquer avec cette promotion du Black Friday.
Samsung vient de lancer un nouveau clavier, et visiblement les personnes à l'origine de son design ont pris des vacances à Cupertino. C'est un modèle compact, sans pavé numérique, et dans un coloris que nous pourrions appeler… gris sidéral, peut-être ?
Image Samsung. Montage MacGeneration.
Il propose une rangée de touches de fonctions qui sont partagées avec le contrôle du volume et des touches multimédias (c'est original, non ?) et des flèches directionnelles demi-hauteur. Le clavier qui ne s'inspire évidemment pas du Magic Keyboard (la preuve, il s'appelle Smart Keyboard) vaut 110 $ et n'a pas de rétroéclairage. Car oui, Samsung a même copié un des défauts des claviers Apple.
On peut voir la touche IA et la touche DeX (en haut à droite). Image Samsung.
Le clavier se connecte en Bluetooth, avec la possibilité de passer d'un appareil à un autre, mais ne propose pas de prises USB. L'alimentation du clavier est par contre assez originale : une pile CR2032 au lieu de la batterie lithium-ion du modèle Apple. Samsung a tout de même aussi deux touches un peu originales. La première est dédiée à DeX, l'interface de bureau des smartphones de la marque. La seconde, placée à droite de la touche Alt, est dédiée à l'IA. Nous espérons que Samsung a suivi les recommandations de Microsoft et que cette touche utilise les valeurs standardisées pour cette dernière. Enfin, la touche Fn est à droite de la touche Ctrl, contrairement à Apple. Une preuve évidente que ce clavier n'est évidemment pas une copie d'un Magic Keyboard.
Quand l’hiver pointe le bout de son nez et que la lumière décline plus vite qu’une batterie d’iPhone un soir de mise à jour, on cherche tous un petit refuge confortable. Et avouons-le : se blottir sous un plaid avec une boisson chaude et une bonne histoire reste l’un des plus grands plaisirs de la saison. C’est précisément là qu’une liseuse révèle toute sa magie. Légère, rétro-éclairée juste ce q
Face à la multiplication des risques naturels, climatiques et technologiques, le gouvernement français met en avant son kit d’urgence 72 heures, un ensemble d’équipements essentiels censé permettre à chaque foyer de tenir en autonomie en cas de crise majeure. En voici les éléments clés.
Plusieurs promotions permettent aujourd'hui de s'offrir les packs de caméras de sécurité eufy 2C et 2C Pro compatibles HomeKit et HomeKIt Secure Video à un très bon tarif pour le Black Friday.
En l’espace de quelques années, les AirTags se sont imposés dans le quotidien de nombreux utilisateurs. Lorsqu’on y a goûté, il devient difficile de s’en passer tant le réseau Localiser brille par sa précision.
Le principal défaut des AirTags, finalement, reste leur prix : 29,99 € l’unité et 110 € le pack de quatre. Et encore, il s’agit là de tarifs en promotion : Apple vend le traqueur 39 € (et on a déjà vu de meilleures offres par le passé). Mais si vous souhaitez acheter des AirTags en particulier, mieux vaut patienter : la deuxième génération est attendue d’un moment à l’autre.
Si vous voulez des traqueurs en format jeton, c'est-à-dire qui s'accrochent à des clés ou se glissent dans un sac, il y a un large choix de modèles compatibles. Les traqueurs tiers perdent la localisation précise à courte distance, qui reste l'apanage des AirTags (et qui nécessite un iPhone récent, sauf le 16e), mais tous les modèles intègrent a minima un trou pour accrocher le traqueur à des clés (par exemple), alors qu'Apple impose une housse pour cet usage basique.
Si les modèles noname se trouvaient uniquement sur Aliexpress et autres (comme l'iTag) il y a quelques années, vous trouverez facilement des modèles à bas prix sur Amazon — comme ici, à 17 € les quatre — ou tout simplement dans les chaînes de magasins spécialisés. Action, Kruidvat et d'autres proposent des traqueurs dans le même ordre de prix (vers 5 € pièce), mais ils ont généralement quelques défauts... et ne sont pas disponibles en ligne. Ils font le boulot pour retrouver un objet perdu grâce au réseau d'Apple, mais la finition est moyenne, l'autonomie plus faible que chez Apple (plutôt de l'ordre de six mois lors de nos tests empiriques) et ils manquent parfois de stabilité (vous devrez parfois enlever et remettre la pile). Nous n'allons pas vous les déconseiller pour autant : si vous êtes conscients des limites, ils font le travail demandé pour un prix très faible.
Des traqueurs noname.
Entre les AirTags et les modèles à très bas prix, il y a quelques marques qui tentent de trouver une place. Nous pouvons citer eufy — nous avons testé un de leurs modèles — ou Ugreen (nous les avons aussi testés). Les traqueurs eufy ou Ugreen valent entre 10 et 15 € lors des promotions (9 € chez Ugreen pour le Black Friday) et dans les deux cas, vous pourrez en obtenir quatre pour à peu près le prix d'un seul AirTag (35 € chez eufy, 30 € chez Ugreen). Ils offrent une meilleure finition, une petite protection contre les projections d'eau et — selon nos essais — une bien meilleure autonomie. Un de nos traqueurs eufy a par exemple fonctionné presque 18 mois sur une pile CR2032, avec une vérification régulière de son fonctionnement. Eufy a aussi ajouté quelques fioritures avec une app iOS dédiée, alors qu'Ugreen, pour les amateurs, a aussi une gamme pour les smartphones Android ou les smartphones Samsung et une variante qui se recharge en USB-C. Il faut aussi évoquer Chipolo, une marque qui propose plus de fonctions sur ses traqueurs (comme une compatibilité Android) mais qui sont à un prix trop proche des AirTags (35 €, 28 € pendant le Black Friday) pour devenir réellement intéressants.
Ces petites balises ne sont cependant pas adaptées à tous les usages. Il est par exemple assez difficile de les glisser dans un portefeuille. Les différents fabricants ont donc pensé à ce cas de figure, avec trois générations de produits. La première génération (comme la carte d'eufy) est à éviter : ce sont des cartes jetables, qui offrent une bonne autonomie (deux à trois ans) avec un compromis gênant : la batterie n'est pas amovible ni rechargeable. Une fois qu'elle est vide, il faut donc en racheter un. La seconde génération intègre la possibilité de charger la batterie, avec un câble USB et une interface généralement propriétaire. Un choix intéressant, mais il faudra évidemment éviter de perdre le chargeur. Enfin, quelques modèles proposent aussi une charge en Qi. C'est une solution pratique, le même chargeur qu'un smartphone suffit, mais qui a le défaut de réduire un peu l'autonomie.
Le produit le plus simple — et le moins cher — est encore à mettre au crédit d'Ugreen. Vendu moins de 20 €, le FineTrack Slim Smart Finder Tag peut se glisser dans un portefeuille sans le déformer et le prix est correct. La carte se recharge avec un câble USB propriétaire, mais la marque offre un bon suivi, et le produit est bien fini. Eufy propose une carte équivalente pour environ 25 €, avec les mêmes contraintes sur la charge, mais avec le choix d'une prise USB-C femelle, qui simplifie les choses.
Nomad propose également une gamme intéressante avec la Tracking Card Air (35 €, 26 € en promotion) et la nouvelle Tracking Card Pro (45 €). Cette dernière, tout juste annoncée, est particulièrement bien pensée. L’accessoiriste a conçu son traqueur de manière à ce qu’il ressemble presque trait pour trait à une carte de crédit. Futé ! Et surtout, les deux cartes se rechargent en Qi (et donc en MagSafe), ce qui simplifie les choses : vous ne risquez pas de perdre l'adaptateur USB propriétaire que vous n'utilisez qu'une fois tous les six mois.
Les vols de vélo sont malheureusement un véritable fléau. Même avec un bon antivol, on n’est jamais totalement à l’abri d’une mauvaise surprise. Les traqueurs Bluetooth qui utilisent le réseau d'Apple offrent donc un bon compromis entre efficacité et prix. Les modèles GPS de certaines grandes marques sont un peu plus efficaces et peuvent vous communiquer directement la position du vélo, mais ils sont aussi beaucoup plus onéreux et moins discrets.
C’est là que l’idée d’AirBell devient intéressante. La marque propose une sonnette de vélo dotée d’un compartiment suffisamment discret pour accueillir un AirTag. L’accessoire est vendu un peu moins de 20 € (12 € pendant le Black Friday), ce qui en fait une solution simple et efficace pour ajouter une couche de sécurité supplémentaire à votre deux-roues, avec une solution assez discrète.
Le fabricant commercialise également une version Pro, plus aboutie encore. Cette fois, nul besoin d’insérer votre propre AirTag : le traqueur est directement intégré dans la sonnette. Le tout pour 45 € (31 € en promotion). L’AirBell Pro peut fonctionner jusqu’à un an sans intervention. Et lorsque la batterie arrive en fin de vie, le remplacement est on ne peut plus simple : l’appareil utilise une pile bouton CR2032, un format standard que l’on trouve partout et qui se change en quelques secondes. Le fabricant Obrit dispose d'un modèle du même genre, qui se visse directement sur le cadre et offre une autonomie de trois ans selon le constructeur, avec deux piles CR2032, le tout pour 45 €.
Le chargeur de voyage qu’on n’oublie plus
Il vous est sans doute déjà arrivé d’oublier un chargeur dans un hôtel ou un Airbnb. Twelve South pense avoir trouvé la parade avec le PlugBug, le tout premier chargeur USB-C compatible avec le réseau Localiser d’Apple. Livré avec plusieurs adaptateurs internationaux, ce bloc est pensé pour les déplacements et pour éviter ce genre de mésaventure. Proposé en deux versions (50 W ou 120 W), il vise clairement les voyageurs qui veulent un chargeur unique capable d’alimenter tous leurs appareils…
Image : iGeneration
Le chargeur 50 W doté de deux ports USB-C est proposé actuellement à 60 €.
Les voyages peuvent aussi rimer avec stress : bagage perdu, valise oubliée à l’aéroport… Pour limiter ces désagréments, SBS propose le Track My Lock, un cadenas TSA doté d’un localisateur compatible avec le réseau Localiser d’Apple. Il offre un verrouillage à combinaison à trois chiffres, une alarme sonore d’environ 60 dB et se recharge en USB-C, le tout dans un format compact (45 × 43 × 14 mm) et léger. L’idée est simple mais pertinente : associer protection physique et géolocalisation intelligente pour permettre aux utilisateurs de suivre leurs bagages sur leur iPhone ou d’être alertés en cas d’oubli. Prix : 30 € (20 € en promotion). Pour les bagages, Satechi a aussi des modèles prévus pour se fixer sur une valise, avec de quoi écrire votre nom et une batterie rechargeable en Qi. Ils sont vendus 45 €, mais la marque est une habituée des promotions et il est à 30 € pour le Black Friday.
Pour terminer, rappelons que certains produits Apple participent aussi au réseau et fonctionnent de facto comme un traqueur. Le porte-cartes MagSafe de la marque peut se localiser s'il est détaché de son iPhone, et le boîtier des AirPods Pro 3 est un traqueur comme un autre.
Après le chatbot, c’est au tour du moteur de génération d’images de Gemini de s’améliorer. Google vient de dévoiler Nano Banana Pro, un nouveau modèle basé sur le tout frais Gemini 3 Pro vendu comme plus malin, plus fiable et produisant de meilleurs résultats. La qualité des textes sur les images a été améliorée, ce qui sera pratique pour représenter des données sous forme d'infographies ou transformer des notes manuscrites en diagrammes.
La page de présentation du modèle regorge d’exemples, et le modèle continue de vouloir concurrencer des outils comme Photoshop. Il peut facilement traduire des textes sur des objets, appliquer des textures sur un meuble ou encore ajouter du texte sur des t-shirts. Il peut sinon modifier le ratio d’une image, passant par exemple un cliché 4:3 en 16:9 en inventant les parties manquantes.
Traduction du texte sur un objet. Image Google
La meilleure gestion du texte sera pratique pour réaliser des storyboards, des logos ou encore des recettes de cuisine imagées. Google affirme que Nano Banana Pro peut visualiser et indiquer des informations en temps réel, telles que la météo ou les résultats sportifs.
Une infographie réalisée par Nano Banana Pro. Image Google
D’autres types de retouches intéressantes sont présentées : on peut ajuster les angles de caméra, par exemple en ajoutant un effet bokeh. Il est sinon possible de revoir la mise au point pour la concentrer sur un autre élément. Le modèle peut corriger les couleurs et changer l’éclairage.
Changement de mise au point avec Nano Banana Pro. Image Google
De manière plus créative, les personnages devraient désormais moins changer d’apparence d’une génération à l’autre, le modèle étant plus fidèle au matériau d’origine. Cela sera utile pour certaines retouches, comme pour ajouter un personnage A sur une image B. Google indique qu’il peut combiner plusieurs éléments dans une seule image, en utilisant jusqu'à 14 clichés et cinq personnes différentes.
Zoom dans une image. Image Google
La nouveauté peut être essayée gratuitement depuis l’app Gemini, en choisissant « Créer une image » et le modèle « Thinking ». Les utilisateurs gratuits ont un nombre de générations quotidiennes limité, ceux payant pour les services d’IA de Google ayant droit à un quota plus large. Notons que Google a ajouté la possibilité à Gemini de reconnaître certaines images retouchées par IA sur simple demande, le système se basant sur le filigrane SynthID maison.
Le jeu sur mobile a le vent en poupe avec des titres qui se rapprochent de plus en plus de ce que proposent les plateformes traditionnelles. Beaucoup d'utilisateurs n'apprécient toutefois pas les contrôles tactiles, souvent jugés (à raison) imprécis. Tous les appareils d'Apple sont désormais compatibles avec les manettes des grands constructeurs, dont celle de Microsoft actuellement en promotion.
Si jamais Shein avait envie de se mettre à dos d'autres secteurs de l'insdustrie, certains diraient que c'est en bonne voie ! En effet, le géant chinois de l'ultra fast fashion ne se contente plus d’inonder la planète de vêtements à vil prix, il s’attaque désormais au marché américain du livre d’occasion.
Travailler devant un écran toute la journée, c'est une chose. Mais lorsque la précision chromatique conditionne la viabilité d'un projet, le choix de son moniteur devient un investissement stratégique plutôt qu'un simple achat périphérique.
Entre les discours commerciaux et la profusion de spécifications techniques, comment distinguer ce qui relève du gadget et ce qui transforme réellement la qualité du travail quotidien ?
La question centrale tient en quelques mots : l'écran restitue-t-il fidèlement ce qu'on lui demande d'afficher ? Cette interrogation apparemment simple recouvre pourtant plusieurs dimensions techniques qu'il convient d'examiner avec méthode.
Les fondamentaux de la reproduction chromatique
La couverture des espaces colorimétriques constitue le premier critère discriminant. Le sRGB représente l'espace standard du web. Pour l'impression, l'Adobe RGB s'impose avec sa gamme élargie dans les cyans et les verts. Les vidéastes scruteront le Rec.709 pour la diffusion télévisuelle ou le DCI-P3 pour le cinéma.
Le Delta E mesure l'écart entre la couleur demandée et celle affichée. Un Delta E inférieur à 3 garantit que l'œil humain ne perçoit pas de différence. En deçà de 2, on entre dans le domaine professionnel. En deçà de 1,5, on atteint une fidélité que seuls les travaux les plus exigeants requièrent. L'uniformité de la dalle garantit qu'une couleur reste identique du centre aux angles, sans déviation perceptible.
L'étalonnage : usine contre terrain
Les moniteurs professionnels sortent d'usine avec un rapport d'étalonnage individuel. Chaque dalle reçoit un calibrage avant expédition, avec ses mesures consignées dans un certificat nominatif. Une dalle 10 bits affiche plus d'un milliard de couleurs contre 16,7 millions en 8 bits, produisant des dégradés plus lisses. Les tables LUT 3D en 16 bits permettent un contrôle encore plus fin du mélange RGB.
L'étalonnage matériel, proposé sur certains modèles haut de gamme, ajuste directement la table de correspondance (LUT) interne du moniteur sans modifier les données de sortie de la carte graphique, préservant ainsi toute la profondeur de couleur disponible. Cette approche, plus précise que l'étalonnage logiciel, s'avère déterminante pour les photographes d'art et les vidéastes exigeants.
La résolution : au-delà des pixels
Un écran 27 pouces en 2560 × 1440 pixels (QHD) offre 109 pixels par pouce, confortable sans mise à l'échelle agressive. La 4K à 3840 × 2160 pixels monte à 163 ppp, proche du Retina mais nécessitant parfois des ajustements de taille de police. La 5K, avec ses 5120 × 2880 pixels sur 27 pouces, atteint 218 ppp — une densité comparable aux écrans Retina d'Apple, idéale pour visualiser des détails infimes. Le format 16/9 convient à la plupart des usages professionnels.
Connectique et fonctionnalités de productivité
L'USB-C moderne transmet données, vidéo et alimentation sur un câble unique. Le Thunderbolt 4 autorise le chaînage de plusieurs écrans et offre des débits de 40 Gb/s, essentiels pour la manipulation d'actifs haute résolution. Le commutateur KVM intégré permet de contrôler deux machines avec un seul clavier et une seule souris.
Les modes d'affichage spécialisés évitent les manipulations chronophages : Chambre Noire pour l'obscurité, CAO/FAO pour le contraste des lignes techniques, Animation pour éclaircir les zones sombres sans surexposer.
Certifications et ergonomie
Les certifications Pantone Validated et Calman Verified attestent que des organismes indépendants ont vérifié les performances colorimétriques. Ces labels garantissent la reproduction fidèle de la bibliothèque Pantone et la précision pour la post-production vidéo.
L'ergonomie physique conditionne le confort : réglages en hauteur, inclinaison, pivot et mode portrait. Les technologies de protection oculaire deviennent déterminantes lors de sessions prolongées. Le rétroéclairage Flicker-Free élimine le scintillement, la réduction de lumière bleue atténue la fatigue, le traitement antireflet évite les éblouissements.
Panorama des gammes professionnelles chez BenQ
Dans l'écosystème des moniteurs destinés aux métiers de l'image, deux grandes familles se distinguent par leur orientation métier.
La série PD (DesignVue) : pour les créatifs polyvalents
Cette gamme s'adresse aux designers graphiques, architectes et créateurs de contenu nécessitant une excellente fidélité chromatique sans atteindre les exigences maximales de la photographie d'art ou du cinéma. Le PD2705Q, en format 27 pouces QHD, couvre 100 % du sRGB et du Rec.709 avec un Delta E inférieur ou égal à 3.
Son étalonnage d'usine, ses certifications Calman Verified et Pantone Validated, ainsi que son USB-C en font un outil polyvalent pour la création quotidienne. La compatibilité HDR10 permet de prévisualiser du contenu vidéo dans ce format pendant l'édition. Le PD2705Q représente ainsi un compromis efficace entre précision et accessibilité.
Le PD2705U décline cette philosophie en montant à la 4K. En 27 pouces avec une résolution de 3840 × 2160 pixels, il couvre 99 % du sRGB et du Rec.709 avec profondeur 10 bits et Delta E inférieur ou égal à 3. La luminosité atteint 250 cd/m² en usage standard, poussée à 350 cd/m² en mode HDR10.
L'USB-C délivre 65 watts d'alimentation tout en transmettant signal vidéo et données. Le mode M-Book synchronise automatiquement le profil colorimétrique avec celui d'un MacBook Pro, assurant une cohérence chromatique entre les deux affichages. Le commutateur KVM intégré facilite le travail sur deux systèmes. Pour qui recherche une dalle 4K précise et abordable, le PD2705U constitue un choix rigoureux.
Le PD2730S se distingue par sa résolution 5K (5120 × 2880 pixels) sur dalle 27 pouces, atteignant une densité de 218 pixels par pouce — l'équivalent du Retina. Cette densité exceptionnelle s'avère particulièrement pertinente pour les designers 3D, animateurs VFX et développeurs de jeux vidéo qui manipulent des détails au niveau du pixel.
Sa couverture atteint 98 % du P3, 100 % du sRGB et 100 % du Rec.709, avec un Delta E inférieur ou égal à 2 — une précision supérieure aux autres modèles PD. Le contraste de 2000:1 et la luminosité de 400 cd/m² surpassent également le PD2705U. Le Thunderbolt 4 fournit 90 watts de puissance et autorise le chaînage de moniteurs supplémentaires. Le panneau Nano Matte, certifié TÜV, diffuse la lumière ambiante sans altérer la saturation, offrant un confort visuel remarquable lors de sessions prolongées. Pour les professionnels exigeant une définition maximale alliée à une ergonomie irréprochable, le PD2730S s'impose comme la référence 5K de la gamme DesignVue.
Le PD3226G, en 32 pouces 4K, cible les créatifs recherchant un grand espace de travail doublé d'une fluidité inhabituelle : son taux de rafraîchissement de 144 Hz, rarissime sur un moniteur professionnel, séduit les game designers, les animateurs 3D et les monteurs vidéo habitués aux mouvements rapides.
Sa couverture atteint 95 % du P3, 100 % du sRGB et 100 % du Rec.709, avec un Delta E inférieur ou égal à 2. La luminosité de 400 cd/m² et la compatibilité HDR10 permettent de prévisualiser fidèlement du contenu HDR.
Le Thunderbolt 4 délivre 90 watts et supporte le chaînage de deux écrans 4K à 144 Hz — une prouesse technique. Le commutateur KVM intégré et le Hotkey Puck G3 (télécommande Bluetooth pour basculer rapidement entre modes colorimétriques) optimisent les workflows hybrides Mac/Windows. Le panneau Nano Matte antireflet complète l'ensemble. Pour qui recherche un grand format alliant précision chromatique et réactivité, le PD3226G offre une combinaison unique sur ce segment.
La série SW (PhotoVue) : précision absolue pour photographes et vidéastes
Cette gamme repousse les exigences en termes de fidélité chromatique. Le SW272Q, en 27 pouces QHD, couvre 99 % de l'Adobe RGB, 100 % du sRGB et 98 % du DCI-P3. Son Delta E descend à 1,5 ou moins, entrant dans la catégorie de précision où les experts eux-mêmes peinent à distinguer les écarts.
La table LUT 3D 16 bits affine le mélange RGB au-delà des capacités standard. Le traitement antireflet certifié TÜV Rheinland utilise une résine propriétaire qui atténue éblouissements et réfléchissements sans altérer la saturation. Pour les professionnels recherchant une définition 2K alliée à une précision chromatique absolue, le SW272Q constitue un choix rigoureux.
Le SW272U décline cette philosophie en montant à 400 cd/m² de luminosité maximale contre 300 pour le SW272Q, avec une couverture P3 de 99 % au lieu de 98 %. Ces différences, bien que marginales sur le papier, peuvent s'avérer déterminantes pour certains workflows vidéo HDR.
Le SW321C, en 32 pouces 4K, constitue la référence pour les photographes et vidéastes exigeants. Avec 99 % d'Adobe RGB, 100 % de sRGB/Rec.709 et 95 % de DCI-P3/Display P3, sa couverture embrasse tous les espaces de travail professionnels. Le Delta E inférieur ou égal à 2 garantit une reproduction chromatique d'une fidélité exemplaire.
La technologie d'uniformité de dernière génération ajuste plusieurs centaines de zones pour maintenir cohérence et luminance constantes sur toute la dalle. La table LUT 3D 16 bits permet un contrôle chromatique d'une finesse inégalée. Compatible HDR10 et HLG, il prend en charge les cadences vidéo natives 24P/25P/30P sans ralentissement.
L'USB-C délivre 60 watts d'alimentation tout en transmettant signal vidéo et données. Le panneau Nano Matte Pro, certifié TÜV Rheinland Reflection-Free, simule la texture du papier à l'écran — une sensation tactile inattendue qui facilite l'anticipation du rendu imprimé. Le logiciel Paper Color Sync simule le rendu d'impression en fonction du papier et de l'imprimante choisis, permettant d'anticiper le résultat final avant le tirage.
L'étalonnage matériel via Palette Master Ultimate, exclusif à la gamme SW, ajuste directement la LUT interne du moniteur avec une sonde colorimétrique externe, sans toucher aux données de sortie de la carte graphique. Cette approche préserve toute la profondeur de couleur et garantit une précision supérieure à l'étalonnage logiciel. Pour qui recherche la référence absolue en matière de fidélité chromatique avec support vidéo HDR, le SW321C s'impose comme un standard de l'industrie photographique.
Synchronisation et workflows hybrides
Les environnements de travail contemporains mêlent souvent macOS et Windows, ordinateur portable et station fixe. Le mode M-Book synchronise automatiquement le profil colorimétrique de l'écran avec celui d'un MacBook Pro, assurant une cohérence chromatique entre les deux affichages. La technologie ICCsync adapte et synchronise instantanément les profils ICC lors d'un changement de mode colorimétrique, que ce soit via le logiciel Display Pilot ou depuis les commandes du moniteur lui-même.
Le logiciel Palette Master Ultimate, fourni avec les écrans de la gamme PhotoVue et compatible avec la gamme DesignVue, permet un étalonnage précis avec une sonde colorimétrique externe. Pour les modèles SW, l'étalonnage est matériel : il modifie directement les valeurs dans la LUT de l'écran sans toucher aux données de sortie de la carte graphique, préservant ainsi toute la profondeur de couleur disponible. Pour les modèles PD, Palette Master Ultimate propose un étalonnage logiciel guidé, sans nécessiter d'expertise préalable, suivant des menus visuels clairs conformes aux standards internationaux.
Considérations pratiques
Un lecteur de carte SD intégré, bien que pratique pour les photographes, souffre parfois d'un emplacement peu accessible. Certains modèles le nichent dans un renfoncement latéral qui complique l'insertion et le retrait. Ce détail ergonomique, négligeable en apparence, devient irritant au quotidien.
Les visières antireflet amovibles, fournies avec certains moniteurs haut de gamme, limitent les réflexions parasites dans les environnements lumineux. Leur présence ou absence peut influencer le choix selon les conditions de travail habituelles.
Le support VESA 100×100 mm autorise le montage sur bras articulé, libérant de l'espace sur le bureau et offrant une flexibilité de positionnement supérieure au pied d'origine.
Au-delà des spécifications
Choisir un écran professionnel transcende la simple lecture d'une fiche technique. L'expérience quotidienne dépend de la cohérence entre les spécifications annoncées et leur mise en œuvre effective. Un rapport d'étalonnage d'usine nominatif, des certifications tierces vérifiables et une couverture documentée des espaces colorimétriques distinguent les outils professionnels des produits grand public maquillés en matériel sérieux.
La décision finale reposera sur l'adéquation entre les exigences du métier et les capacités du moniteur : un designer travaillant principalement pour le web trouvera dans un PD2705Q une base solide et polyvalente. Un designer 3D ou un animateur VFX privilégiera le PD2730S pour sa définition 5K exceptionnelle. Un professionnel du motion design appréciera la fluidité 144 Hz du PD3226G. Un photographe d'art réalisant des tirages grands formats exigera la précision d'un SW321C.
Et entre ces pôles, les modèles PD et SW de BenQ couvrent un spectre large de besoins professionnels, chaque professionnel devant évaluer ses exigences réelles plutôt que de succomber à la surenchère technique.
Comme à chaque Black Friday, les différents constructeurs de manettes proposent des promotions parfois conséquentes sur leurs modèles phares. Nous avons sélectionné les modèles intéressants en promotions, qui sont compatibles avec les appareils Apple.
Lancée à 110 €, la manette Scuf Nomad pour iPhone est à 47 € en noir ou en blanc. C'est un modèle berceau Bluetooth que nous avons testé. La proposition est un peu particulière et cible les joueurs les plus acharnés, mais la manette est efficace. Attention, les sticks sont symétriques et placés en haut, ce qui est rare et peut déstabiliser.
Dans un autre genre, la manette Luna d'Amazon est à 40 € au lieu de 70 €. C'est un modèle proche des manettes de Xbox, mais qui a l'avantage de pouvoir être employé nativement avec le service de jeux en streaming d'Amazon. Il est possible de l'obtenir avec un Fire TV Stick, avec une réduction conséquente. La manette d'Amazon a l'avantage d'être nativement reconnue par les systèmes Apple, avec un pilote dédié.
La manette GameSir.
La manette GameSir X2s est un modèle berceau qui se connecte en USB-C, dès l'iPhone 15. Elle est en promotion à 48 € au lieu de 60 €. Nous n'avons pas testé ce modèle précis, mais elle propose les mêmes fonctions que de nombreuses manettes, avec des sticks asymétriques.
La Kishi V2 de Razer.
Chez Razer, il y a une promotion sur la Kishi V2 USB-C. Si elle a été remplacée par la V3, elle reste très efficace, surtout en promotion à 70 €. USB-C oblige, elle nécessite un iPhone 15 au moins. C'est un modèle berceau standard, avec de nombreux boutons et des sticks asymétriques. La dernière que nous avons remarquée est la Razer Kishi Ultra. C'est un modèle de grande taille, adapté aux iPhone mais aussi aux iPad mini (USB-C). Elle est en promotion à 113 € au lieu de 170 €. Nous avons testé ce modèle et elle est très convaincante, surtout à ce prix.
Le catalogue de vidéos immersives du Vision Pro va s’enrichir d’un programme qui devrait intéresser de nombreux fans de foot. Un documentaire exceptionnel retracera le match entre le Real Madrid et la Juventus Turin disputé le 22 octobre dernier dans le cadre de la Ligue des champions.
Le résultat promet d’être impressionnant : les vidéos immersives plongent le spectateur dans une bulle avec une image en 3D 8K à 90 i/s, et pour cette captation le club madrilène a sorti l’artillerie lourde. Pas moins d’une trentaine de caméras Blackmagic URSA Cine Immersive ont été déployées dans le stade, garantissant une multitude de points de vue, du tunnel des joueurs jusqu’au bord de la pelouse.
Apple et le Real Madrid ont mis les petits plats dans les grands pour annoncer cette future vidéo. Eddy Cue s’est rendu en Espagne, où Florentino Pérez lui a remis un t-shirt floqué à son prénom — et avec le numéro 10 de Kylian Mbappé, excusez du peu. Pour le président du club espagnol, l’objectif est de « permettre à n’importe quel fan de ressentir l’effervescence du Bernabéu comme s’il se trouvait réellement dans le stade », comme il l’explique au magazine GQ.
Sur le fond comme sur la forme, on s’attend un documentaire dans la lignée de ceux consacrés à la MLS Cup 2023 (foot en Amérique du Nord), au NBA All-Star Weekend 2024 (basket) ou encore au Yankee Stadium (baseball). Des productions saisissantes, offrant une proximité et une qualité d’image inédites dans le sport, mais qui partagent toutes la même limite : il ne s’agit pas de matchs en direct.
Eddy Cue et Florentino Pérez. Image Real Madrid.
Le documentaire consacré au Real Madrid arrivera avec la même frustration. Il sera diffusé plusieurs mois après la rencontre, une rencontre d’ailleurs loin d’être inoubliable. Là où Canal+ avait eu le nez creux en filmant la victoire renversante de Johann Zarco au Grand Prix de France de MotoGP, le 1-0 du Real face à la Juve — désolé pour le spoiler — ne restera pas dans les annales.
Il faut dire que la captation et la diffusion en direct au format Apple Video Immersive est un gros défi technique, entre le coût des caméras, le poids des fichiers, le placement de l’équipement… Autant d’obstacles qui expliquent l’absence de retransmissions live pour l’instant. Apple y travaille néanmoins. Aux États-Unis, des matchs des Los Angeles Lakers seront diffusés en direct sur Vision Pro en début d’année prochaine, et cela fait parti des ambitions du projet « Infinite Bernabéu » de Florentino Pérez.
Le Vision Pro étant seulement abordable pour les joueurs du club, Apple et le Real Madrid ont conclu un autre partenariat, plus large celui-ci. Les billets des matchs stockés dans l’application Cartes comprendront prochainement des informations supplémentaires, comme la carte du stade ou la météo.
C’est la nouvelle que j’attendais depuis le rachat de la MGM par Amazon. Le studio a officiellement validé la mise en production d'une nouvelle série Stargate à destination exclusive de Prime Video. Le projet est confié à Martin Gero, un vétéran de la franchise, qui aura la lourde tâche de relancer la machine après quatorze années de silence télévisuel.
Si vous avez envie de donner un look rétro à votre site, voici une trouvaille intéressante dénichée par Korben : une feuille de style CSS qui permet de donner à n’importe quel site web une interface Apple des années 1980. Disponible sur GitHub, system.css s’inspire du design monochrome du Système 6, le dernier système d’exploitation d’Apple en noir et blanc.
Son créateur Sakun Choudhary met en avant sa simplicité étant donné que le projet n’utilise pas de JavaScript. Il suffit d’installer le fichier pour que les boutons, champs de texte, menus déroulants et autres fenêtres du site récupèrent un look délicieusement rétro. Le tout est compatible avec React, Vue ou Svelte en plus du simple HTML.
System.css peut s’installer aussi bien via un simple lien CDN que sous forme de package npm, ce qui facilite son intégration dans des projets modernes. Le projet reste officiellement en bêta et s’inspire notamment de la bibliothèque 98.css, avec des polices recréées dans l’esprit des historiques Chicago et Geneva. La plupart des styles peuvent être surchargés, permettant d’adapter ce vernis rétro aux besoins d’un site sans forcément sacrifier toutes ses habitudes d’ergonomie moderne.
Sa grande compatibilité en fait un outil intéressant pour ceux qui souhaitent habiller un projet personnel, un portfolio ou une démo technique sans avoir à trop se prendre la tête. Une page de démo est en ligne pour vous faire une idée de ce à quoi ça ressemble. C’est loin d’être le premier du genre : il y a aussi de quoi donner à votre site un look MS Dos , Windows 95, Windows XP ou encore Windows 7.
Le fabricant chinois BOE aurait annulé son projet de fournir des écrans OLED LTPO à Apple pour l'iPhone 17 Pro cette année. D'après ZDNet Korea, les dalles produites par BOE auraient rencontré des problèmes de fiabilité et n'auraient pas répondu aux exigences d'Apple. BOE étant dans...
Si vous comptez vous équiper des excellentes enceintes connectées Sonos de la gamme Era, il est peut-être temps de craquer grâce à ces intéressantes promotions du Black Friday
Il y a quelques semaines, Google a abandonné les thermostats Nest de première génération et de seconde génération, celle qui a été vendue en Europe dès 2014. Mais le géant américain n'a pas totalement fermé ses serveurs : s'il est devenu impossible de contrôler le thermostat depuis l'app dédiée, il continue à envoyer ses informations de télémétrie à Google.
Google a coupé les serveurs… mais pas tous. Image projet No Longer Evil.
C'est Cody Kociemba, qui développe le firmware alternatif et open sourceNo Longer Evil, qui l'a remarqué. Selon lui, les thermostats continuent à envoyer la température choisie dans la pièce (qu'il reste possible de régler manuellement), la présence de personnes dans la pièce, les données des capteurs de luminosité, etc. Il explique The Verge que les données sont toujours envoyées à Google, même si la société n'assure plus aucun suivi.
La réponse de Google est que les données ne sont pas liées à un compte utilisateur précis, mais qu'il est toujours possible de déconnecter manuellement le thermostat du Wi-Fi, avec l'interface tactile. Google ne prend pas les utilisateurs en traître, même si continuer à récupérer les logs pour un produit abandonné reste étonnant : c'est indiqué sur la page de support des modèles en question. Mais d'un point de vue éthique, c'est évidemment assez malvenu, et le nom du projet de firmware alternatif, un pied de nez au Don't be evil qui servait de slogan à Google, prend tout son sens.
Cette année, Shokz s’invite pleinement dans les offres Black Friday avec une large gamme d’écouteurs à conduction osseuse ou à oreille libre, pensés pour le sport, le quotidien ou même (surtout) la natation. Une fois qu'on y a goûté, il est compliqué de s'en passer...