Apple exigerait plus d'automatisation chez ses sous-traitants

Il n'y a pas que les iPhone 17 Pro dans la vie. Les AirPods Pro 3 pourraient être votre achat coup de cœur de la semaine prochaine, enfin s'ils sont bel et bien présentés. À quelques jours du keynote, il commence à y avoir beaucoup de rumeurs autour de la paire d'écouteurs d'Apple, mais il y a malgré tout beaucoup d'incertitudes. Il est difficile de décrire avec autant de précision à quoi ressembleront les successeurs des AirPods Pro 2.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'iPhone 17 Pro et l'iPhone 17 Pro Max
Une chose est certaine : Apple a besoin d'un best-seller. La division Autres Produits, qui comprend également les Apple Watch et les HomePod, ne cesse de reculer depuis plusieurs trimestres. La plupart des produits phares de cette division devraient dans les prochains mois connaitre une mise à jour, l'occasion enfin de repartir de l'avant ?
La grande peur d'Apple concernant ces écouteurs, c'est qu'ils ne possèdent plus assez d'éléments différenciant, la faute notamment à la faiblesse de Siri. Mais Apple a, semble-t-il, quelques atouts en main.
Le boitier accueillant les AirPods Pro pourrait être légèrement plus petit. Il ne comporterait également plus de bouton pour l'appairage. Pour cela, Apple pourrait s'inspirer des AirPods 4. Avec ces derniers, il suffit de taper deux fois sur la face avant du boitier de charge, ouvert, pour effectuer un jumelage rapide avec un autre appareil.
Les AirPods Pro 3 simplifieraient le mode manuel d'appairage
Les écouteurs devraient également être légèrement revus sur le plan du design, mais on n’a aucune information précise à ce sujet à ce jour.
Sous le capot, Apple testerait une nouvelle puce audio plus rapide, capable d’offrir une réduction de bruit active encore meilleure que celle, déjà impressionnante, des AirPods Pro 2. Les différents constructeurs se livrent sur ce plan une bataille sans merci. Des appareils comme les Sony WF-1000XM5 ou les Bose QuietComfort Ultra sont en pointe dans ce domaine.
Au passage, si vous les tolérez, le meilleur moyen d'améliorer encore la réduction de bruit de vos AirPods Pro, c'est de leur adjoindre des embouts en mousse, comme ceux de Comply. Seul souci : il faut les changer de temps à autre…
Pour ceux qui sont allergiques à l'Apple Watch, les AirPods Pro 3 pourraient être un précieux allié. Il semble acquis que cette génération soit en mesure de mesurer votre fréquence cardiaque. Les PowerBeats Pro 2 le font très bien. On espère juste qu'Apple réglera les problèmes de synchronisation constatés.
L'accès à la fréquence cardiaque des Powerbeats Pro 2 bridé si vous avez un iPhone
Mais ce n'est pas tout : un second capteur de santé pourrait également être de la partie. Apple plancherait également sur un capteur de température intra-auriculaire. S’il devait voir le jour, il permettrait des mesures plus rapides et plus fiables que les estimations cutanées proposées depuis l’Apple Watch Series 8. En revanche, rien ne dit encore que cette technologie sera prête à temps pour une sortie en 2025.
On ignore à quel point cette fonctionnalité sera spécifique à ces modèles, mais Apple devrait bientôt proposer une traduction de conversation en temps réel directement dans les écouteurs. Vu que cette fonctionnalité repose sur Apple Intelligence, il y a fort à parier que l'iPhone ait un grand rôle à jouer.
Il n'est pas dit que cette fonctionnalité soit présente dès la commercialisation des nouveaux AirPods Pro. Elle pourrait arriver un peu plus tard lors d'une mise à jour logicielle.
Les AirPods vont bientôt traduire vos conversations en direct
Avec iOS 26, iPadOS 26 et macOS Tahoe, Apple prévoit d’apporter plusieurs nouveautés aux AirPods via une mise à jour de firmware. Au menu : la mise en pause automatique de l’audio quand on s’endort, la possibilité d’utiliser les AirPods comme télécommande pour l’appareil photo, une option pour garder le son dans les écouteurs même quand l’iPhone se connecte à un autre périphérique (comme l’autoradio), ainsi qu’une meilleure qualité des appels.
Ce qui devient intéressant avec les AirPods, c’est qu’ils continuent de s’enrichir de nouvelles fonctions tout au long de leur vie. Les AirPods Pro 2 sont des appareils beaucoup plus sophistiqués que lors de leur sortie il y a trois ans. Il en sera sans doute de même avec les AirPods Pro 3.
Reste la question du prix : Apple va-t-elle être tentée de revoir le prix de ses écouteurs Pro à la hausse ? C'est une possibilité. L'autre hypothèse serait qu'Apple propose à la vente deux modèles : un modèle haut de gamme avec toutes les options et un modèle légèrement moins cher débarrassé de quelques fonctionnalités, certains capteurs de santé, par exemple. Réponse normalement dans une semaine !
D’après DigiTimes, Apple aurait une nouvelle politique concernant les partenaires qui produisent ses appareils : ils doivent investir dans les automatisations et les robots capables de remplacer les humains, sous peine de perdre des contrats. Ce n’est pas la première fois que l’entreprise essaie d’éliminer les ouvriers de ses chaînes de production et les expériences précédentes se sont toutes mal terminées. Néanmoins, face aux nouveaux défis en grande partie liés à la guerre commerciale lancée par Donald Trump, les robots apparaissent de nouveau comme la solution, sauf que cette fois, la Pomme ne voudrait pas payer la facture.
Le site taïwanais, qui a de très bons contacts dans les chaînes de production asiatiques, croit savoir qu’Apple demanderait désormais à tous ses partenaires un effort du côté de l’automatisation, sous peine de perdre ses juteux contrats. La nouvelle politique concernerait tous les produits, pas seulement l’iPhone : l’iPad, l’Apple Watch et le Mac seraient aussi concernés. DigiTimes précise qu’Apple ne voudrait pas mettre la main au porte-monnaie : les sous-traitants devraient ainsi financer eux-même ce gros effort de robotisation, avec l’espoir de gagner de l’argent sur le long terme.
À court-terme toutefois, tout le monde sait que ces robots produiront moins vite et moins bien que les humains. C’est une grande leçon des précédents efforts, menés notamment au sein de Foxconn qui produit la majorité des produits conçus par Apple. Pendant des années, l’entreprise a tout essayé pour intégrer des robots sur les chaînes de production d’iPhone, mais ça s’est soldé par un échec. Même si les robots ont des avantages évidents sur le papier en termes de productivité et de régularité, ils se sont avérés incapables en pratique d’égaler un ouvrier.
Foxconn face aux problèmes de la robotisation
Les humains plus efficaces que les robots pour assembler les appareils d'Apple
Entre temps, de nouvelles techniques sont apparues grâce aux processus d’apprentissage automatisé (machine learning), alors Apple espère peut-être que ce nouvel essai sera le bon. Cela étant, si les informations du jour sont avérées, on peut noter le manque de confiance de la Pomme en sa propre initiative, puisqu’elle ne voudrait pas prendre le risque de la financer elle-même. C’était pourtant le cas pour les tentatives précédentes dans ce domaine. D’après DigiTimes, si l’entreprise de Tim Cook continue de soutenir financièrement ses partenaires pour atteindre son objectif de neutralité carbone en 2030, tout ce qui relève de l’automatisation serait uniquement pris en charge par ses sous-traitants.
Le site ajoute que cet effort serait une manière pour Apple ne de plus dépendre autant du contexte géopolitique. On peut imaginer que des robots peuvent plus aisément être déplacés d’un pays à l’autre… et pourquoi pas aux États-Unis même, où la firme de Cupertino tente de faire venir une partie de sa production.
Apple aimerait supprimer la documentation sur papier qui doit obligatoirement être fournie avec ses produits pour respecter les règles de l’Union européenne. L’entreprise l’a expliqué dans un document publié le 31 août 2025 par le site officiel de l’UE, en réponse à une consultation publique concernant une série de mesures envisagées jusqu’à 2030. Le PDF d’une vingtaine de pages couvre de nombreux sujets variés, qui vont de la confidentialité des données à la protection des utilisateurs dans l’App Store, en passant par les restrictions parentales sur les appareils. Au milieu de tout ça, un paragraphe plaide pour la fin des guides obligatoirement sur papier.
Comme Apple le note elle-même, ces bouts de papier sont en général ignorés par les clients, qui ne les lisent même pas quand ils ouvrent la boîte protégeant leur précieux nouveau produit. Je l’avoue moi-même volontiers, j’ai découvert la documentation fournie avec mon iPhone 16 Pro quasiment un an après l’avoir reçu et encore, uniquement parce que j’avais besoin d’illustrer cet article. Je pensais qu’Apple glissait encore quelques images pour découvrir le smartphone, mais ce n’est même plus le cas. On ne trouve dans la boîte qu’une série de petits guides dans plusieurs langues, qui contiennent à chaque fois des informations réglementaires sur la puissance d’émission de plusieurs bandes de fréquences ou encore sur la puissance du chargeur à utiliser.
Ces informations ne sont sans doute pas inutiles, mais elles seraient certainement bien plus utiles si elles étaient accessibles sous une forme numérique. Apple liste dans sa réponse tous les avantages qu’une version numérique apporterait : mises à jour faciles du contenu, traductions dans davantage de langues, possibilité de chercher un élément ou encore meilleure accessibilité, notamment pour les personnes qui souffrent de déficience visuelle. Même si ce n’est pas mon cas, je dois dire que l’écriture riquiqui des guides fournis avec l’iPhone ne m’incite pas à lire ce qui est écrit dessus.
Il y a encore d’autres avantages pratiques à effectuer ce changement. Apple indique que les informations resteraient disponibles pendant toute la vie de l’appareil, alors que les versions papier sont certainement jetées à un moment ou à un autre. L’entreprise reconnaît que cela lui simplifierait aussi la vie : en retirant un élément à glisser dans les boîtes destinées au marché européen, c’est autant de complexité logistique en moins. C’est aussi moins coûteux et plus écologique de se passer de tout ce papier, ne manque pas de souligner la firme de Tim Cook.
En attendant la réponse de l’Union européenne, on peut relever qu’Apple est désormais contrainte d’imprimer les étiquettes énergie à côté de certains de ses produits. C’est une contrainte de l’Europe qui est entrée en vigueur avant l’été et qui touche notamment les iPhone et iPad. Tous les revendeurs et tous les fabricants sont concernés, mais on imagine que la Pomme va aussi faire pression pour supprimer cette exigence. Peut-être que les étiquettes pourraient être affichées directement sur les écrans des appareils vendus, puisqu’ils sont de toute manière allumés en permanence.
Carte Vitale, l’app qui permet de stocker une version dématérialisée de la carte vitale dans son iPhone, a reçu une mise à jour importante ce jour. À une semaine du keynote et à moins d’un mois de la sortie de la version finale d’iOS 26, ses développeurs ont corrigé un bug qui l’empêchait de fonctionner correctement sur la bêta du système mobile de l’iPhone. Ce n’est pas un bug nouveau d’ailleurs, nous l’avions constaté en juin dernier avec les premières bêtas d’iOS 26.
J’ai pu confirmer ce soir sur mon propre iPhone que l’app Carte Vitale se lance bien sous iOS 26 et tout semble fonctionner normalement. Une bonne nouvelle pour ceux qui peuvent utiliser la version dématérialisée de la carte, c’est-à-dire tous ceux qui ont l’app France Identité avec la nouvelle carte nationale d’identité biométrique ainsi que les utilisateurs de 56 départements. L’assurance maladie promet une généralisation dans le courant de l’automne, sachant qu’il ne suffit pas d’avoir la carte stockée sur son smartphone pour pouvoir l’utiliser.
En face, le professionnel de santé doit lui aussi être correctement équipé pour accepter cette carte vitale dématérialisée et c’est encore loin d’être le cas pour tous les médecins, pharmacies et autres infirmiers. Même si les débuts ont été compliqués lors de nos essais réalisés il y a près de deux ans, la situation devrait toutefois s’améliorer progressivement et si vos soignants acceptent la version sur smartphone, vous n’auriez pas envie de tout perdre avec la mise à jour à venir.
On a expérimenté l’appli carte Vitale, et ça n’a pas été une promenade de santé
Fort heureusement, ce ne sera pas le cas et vous pourrez mettre à jour votre iPhone existant sous iOS 26 dès la sortie de la version finale. Ou acheter un iPhone 17 flambant neuf et livré avec iOS 26 sans crainte, l’app Carte Vitale devrait tourner normalement.
À quelques jours de l’arrivée de macOS Tahoe en version finale, l’application Install Disk Creator se perfectionne grâce à une mise à jour majeure. Servant à créer une clé d’installation de macOS, cet utilitaire gratuit permet maintenant de télécharger directement la version du système de son choix.
Pour créer un support bootable, il faut une clé USB d’au moins 16 Go. Au passage, Install Disk Creator 2.0 a été notarisée, ce qui simplifie sa propre installation.
Mais avant de réserver une clé USB pour cet usage, demandez-vous si vous en avez vraiment besoin. Si c’est pour réaliser une « clean install », cette pratique est devenue passablement obsolète, voire indésirable, sur les Mac Apple Silicon. Et si c’est pour réaliser une véritable restauration, la clé sera inutile dans la plupart des cas.
La fin de la « clean install » : comment effacer et réinstaller son Mac
Apple le dit elle-même, « vous n’avez pas besoin d’un programme d’installation amorçable pour mettre à niveau ou réinstaller macOS. » Néanmoins, si cette option existe toujours, c’est parce qu’elle peut dépanner quand les autres méthodes échouent ou encore servir à installer macOS sur plusieurs ordinateurs sans retélécharger l’installeur à chaque fois. Dans ce domaine, il existe aussi MDS, véritablement pensé pour les administrateurs système.
Passablement ancien, mais toujours potentiellement utile, Stay devient un freeware. Cet utilitaire australien a comme vocation de mémoriser l'emplacement des fenêtres ouvertes à l'écran (ou sur plusieurs écrans) et de les remettre à leur place si vous les déplacez au fil de votre travail.
Lorsque ces fenêtres — d'une seule ou de plusieurs applications à la fois — sont à des positions et dans des dimensions qui vous conviennent, vous l'enregistrez via la commande "Store Windows of All Applications" dans la barre des menus du Finder. Plus tard, pour les remettre exactement comme elles étaient, utilisez la commande Restore du même menu (on peut affecter des raccourcis clavier à ces actions). Stay remettra tout comme il faut en un claquement de doigts.
On peut le faire pour toutes les fenêtres ouvertes ou uniquement pour celle d'une application donnée. Stay fonctionne aussi tout seul lorsque vous rebranchez un écran externe : toutes les fenêtres se retrouvent au bon endroit (voir la vidéo).
Par contre, Stay ne va pas réouvrir une fenêtre qui aura été fermée, c'est uniquement une redisposition de fenêtres qui sont toujours ouvertes. Vous trouverez plus de détails ici pour des cas particuliers.
Stay existe depuis 15 ans, son auteur le vendait 15 $ à l'époque. À son ouverture, la fenêtre annonce une mise à jour qui le transforme en freeware. Il est disponible aussi sur l'App Store, mais pas en France.
La dernière entrée sur le blog du développeur remonte à 2021. À première vue, Stay ne semble pas avoir de problème notable avec macOS 26.
Depuis les modèles de 2021, les MacBook Pro ont retrouvé un lecteur de cartes SD intégré. Une bonne chose pour les photographes, mais si vous n’utilisez jamais de carte mémoire, ce port est inutile. Plutôt que de le laisser vide, vous pouvez y glisser une petite carte d’extension. Le JetDrive Lite 330 de 128 Go est justement en promotion à 29,16 € sur Amazon pour une durée limitée.
Cette carte est conçue pour dépasser à peine du châssis d’un MacBook Pro Apple Silicon. Transcend indique qu’elle est aussi compatible avec les MacBook Pro Intel ayant un lecteur de carte, mais l’intégration esthétique ne sera pas forcément aussi réussie.
Si cette petite carte permet d’ajouter du stockage de manière quasiment transparente à son Mac, il faut connaitre ses limites. Ses débits plafonnent à 95 Mo/s en lecture et 75 Mo/s en écriture, ce qui lui barre la route d’usages exigeants, comme du montage vidéo, et elle n’est pas adaptée pour accueillir des sauvegardes sur le long terme. En revanche, elle peut servir à stocker des films ou une bibliothèque musicale.
Seul la version 128 Go profite actuellement d’une réduction, mais d’autres capacités sont disponibles : 256 Go à 48 € et 512 Go à 70 €.
Test d'un adaptateur microSD pour MacBook : pourquoi c’est un support de stockage à utiliser avec précaution
L’iPhone pliant pourrait faire l’impasse sur l’une des technologies les plus appréciées des modèles récents : Face ID. D’après Ming-Chi Kuo, cet appareil fera appel à Touch ID. L’analyste se montre même plus précis en indiquant que le lecteur d’empreintes digitales ne sera pas intégré sous l’écran interne, mais dans le bouton de verrouillage sur le côté.
Un tel choix s’explique assez bien sur un appareil pliant. C’est d’ailleurs la solution retenue par Samsung et Google pour leur Z Fold et Pixel Pro Fold. L’intégration de Face ID pourrait se heurter à la contrainte d’un design ultra fin pour l’« iPhone Fold ».
L’aspect pratique pèse également dans la balance : la technologie biométrique doit fonctionner aussi bien lorsque le terminal est fermé qu’ouvert. Un lecteur d’empreintes dans le bouton latéral évite de multiplier les capteurs externes et internes. Un tel bouton n’est d’ailleurs pas inédit chez Apple, puisque les iPad Air et iPad mini en ont un depuis plusieurs années.
À ce stade, c’est donc l’option la plus plausible. Reste une inconnue : Apple ajoutera-t-elle une reconnaissance faciale simplifiée, comme le font Samsung et Google ? Moins sûre que Face ID, elle permet néanmoins de déverrouiller son appareil très rapidement et même avec des gants.
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Cet iMac fait de briques de Lego a belle allure et peut-être un jour sera-t-il disponible à la vente ? Avant de recevoir le feu vert de Lego pour sa mise en production il faudra déjà qu'Apple donne le sien. On ne pariera pas excessivement sur cette hypothèse, ce n'est pas le genre de la maison.
Néanmoins cet iMac G3 "Bondi blue", la toute première génération, constitué d'environ 700 pièces est plutôt très réussi en l'état. Il est proche de son modèle avec son dos translucide à l'allure caractéristique, son clavier et sa fameuse souris toute ronde. La reproduction d'une carte-mère n'a pas été oubliée et peut-être mise à nu.
L'auteur de cette réalisation tente le coup en soumettant son idée dans le cadre du programme Ideas de Lego. N'importe quel passionné peut montrer ce qu'il a patiemment assemblé et tenter d'obtenir suffisamment de votes de la communauté (10 000 votes minimum) pour que Lego étudie sa proposition. Si l'idée est validée et commercialisée, son créateur percevra 1% du total net des ventes de ce produit.
Ce projet a réuni pour le moment un peu plus de 7 700 votes de supporters, il lui reste 317 jours pour atteindre le seuil des 10 000 qui ouvrira, peut-être, la porte des magasins.
L’Apple Store en Lego, bientôt disponible ?
Rentrée faite, agenda plein, connexion permanente : en 2025, notre vie numérique ne fait pas de pause. Et pourtant, rares sont ceux à protéger sérieusement leurs données en ligne.
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MacBook, iMac, iPhone, iPad : CyberGhost VPN s’adapte à tout l’univers Apple. Il est compatible avec macOS dès High Sierra (10.13), et tourne également sur les dernières versions de macOS Sonoma et iOS 18 sans souci.
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Que vous soyez en train de binger une série sur votre iPad, de télécharger un fichier volumineux sur votre MacBook ou de jouer en ligne, vous profitez d’une connexion fluide et protégée, sans compromettre la vitesse.
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